EN CONCLUSION DU CHAPITRE 2
En conclusion, les banques ont tout intérêt
à se prendre en main aujourd'hui afin de proposer des produits
éco conçus, verts ou durables afin de ne pas être
dépassées par ses concurrents, de fidéliser ses clients,
d'attirer de nouveaux prospects, et ainsi d'améliorer l'environnement.
Cependant cela présente des risques. Il s'agit d'un véritable
casse tête de communication, d'où le rôle clef du marketing.
De plus, avec la profusion des labels, le consommateur a de quoi y perdre la
tête et par conséquent de se lasser d'un produit pour lequel le
bien être qu'il procure ne semble pas à la mesure de ses
promesses.
Finalement, malgré ces difficultés, il semble
bien que le marketing vert ait de beaux jours devant lui à condition de
respecter les règles, à savoir que le marketing doit
refléter la réalité de l'entreprise. On se rend compte que
la mise en place d'un tel projet est tout à fait réalisable
à condition de bien préparer en amont sa mise en oeuvre et de
veiller en aval aux respects des règles et valeurs annoncées. La
pratique de la RSE au niveau marketing constitue plus un changement de
perception du marketing et du rôle de celui-ci qu'un apport en termes
d'outils. Les banques et des entreprises de divers horizons sont aujourd'hui
rentrées dans la sphère durable avec succès, peut
être les modèles des entreprises de demain...
|