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évaluation de la mise en œuvre du plan de gestion environnemental et social de l'entreprise (pges-e) du projet d'aménagement de la route de contournement de l'aéroport international de Yaoundé-Nsimalen.


par Jean Martial MBAGA BASSOMO
Université de Dschang Cameroun - Master professionnel en Etudes d’impacts environnementaux (EIE) 2020
  

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Mémoire de master professionnel en étude d'impact environnementaux (EIES)

CHAPITRE 3 : RESULTATS ET DISCUSSIONS

Cette partie présente l'état des lieux de la prise en compte des considérations environnementales, l'évaluation des écarts de mise en oeuvre du plan de gestion environnemental et social et les propositions des mesures correctives additives pour améliorer la mise en oeuvre du plan de gestion environnemental et social de l'entreprise (PGES-E) du projet d'aménagement de la route de contournement de l'aéroport international de Yaoundé-Nsimalen.

3.1. ETAT DES LIEUX DE LA PRISE EN COMPTE DES CONSIDERATIONS ENVIRONNEMENTALES DU PROJET

3.1.1 Etat des lieux avant la réalisation des travaux

Cette partie porte sur les impacts prévisionnels et les mesures proposées lors de la réalisation de l'étude d'impact environnemental et social du projet d'aménagement de la route de contournement de l'aéroport international de Yaoundé-Nsimalen. La figure 3.1 ci-dessous présente la zone d'étude à l'état initial c'est-à-dire avant la réalisation des travaux :

·

DECEMBRE

2016 : éta
initial

Figure 3.1 : Carte relative à la situation avant la réalisation des travaux Source : Google Earth

Présentation des impacts du projet

Ø Impact positif

L'impact positif de ce projet est d'ordre humain et socio-économique. Il s'agit d'un impact d'importance majeure qui est :

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- La création des emplois notamment par le recrutement de la main d'oeuvre locale pour l'exécution des travaux à haute intensité de main d'oeuvre (HIMO)

Ø Impacts négatifs :

ü Sur le milieu physique :

Les impacts d'importance moyenne sont :

- Risque de pollution des eaux superficielles et souterraines notamment par les différents travaux à exécuter qui sont susceptibles de constituer une source de pollutions des eaux de surface : Les travaux de terrassement, les déversements accidentels des carburants, maintenances des engins, camions et des véhicules de chantier, vidange des moteurs, unité de préfabrication des éléments en béton, construction des dalots (déviation du lit du cours d'eau, le dépôt des particules diverses)

- Nuisances paysagères : cet impact est susceptible d'être causé par les mouvements des engins dans la zone du projet pouvant enlaidir le paysage à travers l'exécution des travaux tels que : les travaux d'ouverture des sites d'exploitation d'emprunts et de dépôts en modifiant son aspect visuel.

Les impacts d'importance mineure sont :

- Pollution de l'air notamment par les activités tels que : l'amenée des équipements et du matériels de chantier pendant la phase d'installation, La circulation des engins et véhicule de chantier pendant les opérations de dégagement des emprises, terrassement susceptible de modifier la qualité de l'air.

- Nuisances sonores et vibrations notamment par les activités tels que : l'amenée des équipements et du matériels de chantier pendant la phase d'installation, La circulation des engins et véhicule de chantier pendant les opérations de dégagement des emprises, terrassement

- Nuisances olfactives et visuelles notamment lors des travaux d'imprégnation de la couche de base, la circulation des engins et véhicules de chantier pendant les travaux de terrassement et ceux de dégagement des emprises.

- Dégradation du sol : Certaines activités du projet sont de nature à favoriser l'érosion des sols. Il s'agit des débroussaillages, dégagement des emprises et terrassement qui dénudent les sols et les exposent à l'érosion car en l'absence de la végétation, le ruissèlement n'est plus freiné.

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- Pollution des sols : cet impact peut être causé par l'utilisation des produits (gasoil, toluène etc.) dans les bases de l'entreprise ainsi que par les déchets générés par ses installations et les travaux réalisés.

V' Sur le milieu biologique :

Les impacts d'importance mineure sont :

o Destruction de la végétation notamment par la perte du couvert végétal (destruction d'habitats naturels de certaines espèces animales et d'insectes, diminution de la biodiversité végétale) par l'exécution de nombreux travaux :

o Dispersion de la faune : Les travaux à effectuer étant source de vibration et de bruit, certaines espèces animales peuvent disparaitre momentanément dans les zones de forte concentration des travaux.

V' Sur le milieu humain et socio-économiques Les impacts d'importance majeure sont :

o Risque d'augmentation du taux de prévalence des IST/VIH/SIDA, harcèlement et VCS (violence à caractère sexiste) notamment avec le fort pouvoir d'achat des employés qui vont arriver dans les villages traversés par le projet (Nkolmefou I, Bénebalot, Nkolnda), peut avoir une influence négative chez les femmes de la localité (la naissance de promiscuité, la prostitution, les infidélités, la sexualité précoce, des harcèlements engendrant ainsi la propagation des infections sexuellement transmissibles, des violences à caractères sexistes et le VIH/SIDA et l'hépatite).

o Risque de conflits avec les riverains notamment par les pressions et potentiels harcèlements des employés étrangers à la localité sur les jeunes femmes des villages traversés par les travaux, la destruction des arbres fruitiers et des cultures situées dans l'emprise de la route.

Les impacts d'importance mineure sont :

o Risques d'accidents de circulation qui sont susceptibles d'être causées par les activités tels que : l'arrivée des engins sur la voie de contournement de l'aéroport de Nsimalen, la fréquentation permanente de cette voie par les camions (vides ou chargés) et véhicules légers de l'entreprise ainsi que les travaux à exécuter.

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o Risques d'accidents de travail : le démarrage des travaux et particulièrement l'ouverture de différents ateliers, les employés de l'entreprise seront plus ou moins exposés à plusieurs types de risques liés à différents critères (le travail à proximité des engins, la manipulation ou l'usage de certains produits chimiques dans des ateliers, l'environnement de travail etc.)

o Risques de déplacement ou atteintes aux réseaux divers : au cours des travaux de dégagement des emprises et ceux de terrassement, des réseaux électriques (aériens ou souterrains), les réseaux d'eaux de consommation et les câbles de télécommunication sont susceptibles d'être déplacés et entrainer le mécontentement des riverains.

o Nuisance de l'ambiance des sites culturels et religieux : la nature des travaux à exécuter sur la route de contournement (bretelle Mimetala) va perturber le cycle de fréquentation du sanctuaire marial de Nsimalen par les pèlerins d'une part et des nuisances diverses (bruits, levée de poussière) d'autre part.

En effet, au regard de ce qui précède, le plan de gestion environnemental et social de l'entreprise (PGES-E) du projet d'aménagement de la route de contournement de l'aéroport international de Yaoundé-Nsimalen repose sur les impacts d'importance majeure, moyenne et mineure tant positifs que négatifs.

Pour les impacts positifs, ceux d'importance majeure sont de 7% contre 0% de ceux d'importance moyenne et 0% de ceux d'importance mineure.

Pour les impacts négatifs, les impacts d'importance majeure sont de 13% contre 20% de ceux d'importance moyenne et 60% de ceux d'importance mineure. Ces impacts sont résumés dans la figure 3.2 suivante :

60%

13%

20%

Majeure
moyenne
mineure

Figure 3.2 : Répartition des impacts négatifs

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Par ailleurs, les impacts positifs de ce projet sont de 6% contre 94% d'impacts négatifs. La figure 3.3 ci-dessous résume le pourcentage des impacts positifs et négatifs du plan de gestion environnemental et social de l'entreprise (PGES-E) du projet d'aménagement de la route de contournement de l'aéroport international de Yaoundé-Nsimalen :

94%

6%

impact positifs impacts négatifs

Figure 3.3 : Répartition des impacts du plan de gestion environnemental et social de l'entreprise (PGES-E)

· Présentation des mesures proposées dans le plan de gestion environnemental et social de l'entreprise (PGES-E) de ce projet

Les mesures préconisées dans le plan de gestion environnemental et social sont de deux ordres : les mesures de bonifications pour les impacts positifs et les mesures d'atténuations pour les impacts négatifs.

Ø Mesures de bonifications pour les impacts positifs

ü Les mesures de bonifications liées aux composantes humaines et socio-économiques

o Création d'emplois : Recruter le maximum de main d'oeuvre dans la localité de Nsimalen et les villages traversés par le projet (Nkolmefou I, Bénebalot, Nkolnda).

Ø Mesures d'atténuations pour les impacts négatifs

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Une mesure d'atténuation désigne une action visant à empêcher ou à réduire au minimum, les impacts associés à une activités.

ü Mesures d'atténuations liées aux composantes physiques Pour les nuisances sonores, les mesures d'atténuations sont :

o Eviter le déplacement inutile des engins dans les zones habitées en mettant à la disposition des conducteurs d'engins un programme journalier de travail définissant les zones d'intervention, les heures de début et fin d'activité ;

o Remplacer périodiquement les filtres et l'huile de moteur suivant les carnets de demande d'intervention émis par les opérateurs ;

o Limiter les vitesses de circulation des engins et véhicules dans les zones habitées ou de fortes fréquentations humaines en installant des panneaux de fixe de limitation de vitesse et des ralentisseurs ;

o Installer la base de production ou de maintenance loin des habitations de manière à gêner le moins possible ou pas les riverains ;

o Orienter les façades principales des installations de l'entreprise (base de production, garage) de façon à réduire la propagation du bruit vers les zones d'habitation des riverains, à l'opposé des habitations ou de la route ;

o Informer par correspondance les chefs de village ou de quartier sur la possibilité d'exécuter à plus de 18 heures certains travaux pouvant solliciter l'usage des engins.

Pour les nuisances olfactives et visuelles, les mesures d'atténuations sont :

o Arroser au moins une à deux fois par jour en saison sèche les zones des travaux et celles habitées si nécessité s'impose au moyen d'un camion-citerne à eau ;

o Recouvrir de bâches les camions transportant des matériaux granulaires et le sable ;

o Promouvoir le port des EPI, notamment les cache-nez pour la protection des travailleurs sur le chantier ;

o Limiter les vitesses de déplacement des engins, camions, et véhicules légers dans la zone du projet à 30 Km/h et à 50 km/h en agglomération ;

o Interdire la combustion des matériaux pouvant produire des gaz toxiques.

o Fournir des masques respiratoires, de l'eau et du lait aux personnels affectés à l'imprégnation de la couche de base et la mise en oeuvre de la couche roulement en béton bitumineux.

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Pour les atteintes sur la qualité des eaux superficielles et souterraines, les mesures d'atténuations sont :

o Interdire le rejet des déchets issus du dégagement des emprises dans les plans d'eaux ;

o Disposer des bacs à ordures étiquetés dans le garage et les bureaux de l'entreprise pour la collecte des déchets ;

o Sensibiliser les employés à la gestion rationnelle des déchets générés par les travaux ;

o Créer des sites de dépôts des matériaux ou déchets issus du nettoyage sur des espaces éloignés des cours d'eau (100m minimum) loin des drains naturels des eaux pluviales

o Pomper l'eau destinée aux travaux dans la rivière « Ezala » avec des tuyaux non souillés de graisse ou de lubrifiant ;

o Interdire le lavage des véhicules et engins sur le chantier et particulièrement à proximité d'un cours d'eau ;

o Aménager une laverie équipée d'un puisard de récupération des eaux usées au voisinage du garage ;

Pour les prévenir l'érosion des sols, les mesures d'atténuations sont :

o Créer des drains d'eau dans les sites d'implantation des bases de l'entreprise ;

o L'abattage des arbres ou le désherbage doit se faire dans le respect strict de l'emprise du projet ;

o Définir les grains d'eaux dans les sites d'emprunts et de dépôts des matériaux

o Les procédures de remise en état doivent tenir compte de la préservation des terres végétales qui seront réutilisées après exploitation ;

o La pollution des sols, les mesures d'atténuations sont :

o Identifier et faire agréer par la MDC les sites de dépôts des déchets issus du dégagement de l'emprise ;

o Acheminer les déchets ménagers dans les points de collecte de la Société HYSACAM

o Disposer sur ses sites des bacs à ordures labellisés pour la collecte des différents déchets (plastiques, papiers, ordures ménagères, filtres usés

o Construction d'une aire de stockage provisoire des hydrocarbures et bétonnée munie d'un système de drainage de gestion des fuites dans les installations de l'entreprise

Les mesures d'atténuations liées aux nuisances paysagères sont :

o Créer et définir les aires de stationnement des engins et camions après travaux en disposant les panneaux d'indication de parking et ceux d'attention parking

o Créer les sites de dépôts de matériaux répondant aux normes environnementales

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o Remettre en état d'exploitation tous les sites qui vont servir dans le cadre des travaux suivant la convention avec le propriétaire du site ou le Maitre d'Ouvrage

o Recrutement des ouvriers pouvant indiquer au conducteur d'engins des espèces d'arbres localement protégées par les villageois.

ü Mesures d'atténuations liées aux composantes biologiques
Pour la destruction de la végétation, les mesures d'atténuations sont :

o Procéder uniquement à un abattage orienté des arbres situés dans l'emprise des travaux en utilisant des abatteurs expérimentés du village Benebalot car leur village est situé à l'entrée de la zone forestière du Projet et ils peuvent mieux maitriser cet écosystème ;

o Mettre à la disposition des riverains le bois issu des travaux de dégagement de l'emprise ;

o Délimiter l'emprise des travaux en implantant des piquets qui vont orienter nos équipes de terrassement sur leur champ d'intervention ;

o Sensibiliser les employés sur la protection de la biodiversité végétale en mettant à leur disposition la liste d'espèces végétales protégées utilisées par les riverains ;

o Recruter dans les villages Benebalot et Ekoko II des ouvriers qui pourront indiquer aux conducteurs d'engins les espèces d'arbres qui sont localement protégées par les villageois.

Les mesures de protection de la faune sont :

o Aménager une aire de restauration pour les employés et recruter deux prestataire (deux femmes résident non loin du site) ;

o Proscrire la consommation de la viande de brousse aux employés dans les bases de l'entreprise durant la période des travaux ;

o Interdire le trafic illicite du gibier dans les véhicules de transport du personnel ou des matériaux ;

o Sensibiliser avec l'appui technique des agents des eaux et forêts de l'Arrondissement de Mfou les populations de Nkolmefou I, Ekoko II, Benebalot sur l'interdiction de chasse et de consommation de certaines espèces fauniques locales menacées d'extinction.

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ü Mesures d'atténuations liées aux composantes humaines et socio-économiques

Les mesures de préventions des IST/SIDA, hépatites, harcèlement et les VCS (violence à caractères sexistes sont :

o Tenir une campagne de sensibilisation avec les différents chefs de villages traversés aux démarrages des travaux ;

o Sensibiliser le personnel de l'entreprise aux moyens des campagnes de sensibilisation et des réunions matinales hebdomadaires de sécurité ;

o Distribuer aux riverains les préservatifs pendant les campagnes de sensibilisation et aux employés ;

o Sensibiliser et faire connaître le code de conduite HSS à l'ensemble des employés dès la phase de recrutement ;

o Traiter et répondre favorablement à toutes les plaintes liées aux harcèlements ou VCS conformément à notre Code de conduite lorsqu'elles seront fondées.

Les mesures de prévention des conflits sont :

o Recruter un Cadre chargé des aspects sociaux.

o Créer avec les chefferies traversées par le projet, une plateforme de concertation et d'entente visant à résoudre de manière pacifique avec les riverains les potentiels conflits qui pourront naitre du fait de la présence des employés dans la zone ou des travaux exécutés ;

o Faire prôner l'égalité de chance dans le recrutement en se basant sur l'expérience décrite dans les dossiers de candidature et l'aptitude des recrus sur le chantier durant la période d'essai ;

o Traiter son personnel conformément au Code du travail et à la convention collective applicable dans les BTP (Bâtiment et Travaux Publics).

Les mesures de prévention des risques d'accidents de circulation sont :

o Signaler l'ensemble de ses travaux conformément au plan de signalisation consigné dans la stratégie de prévention ESH de l'entreprise ;

o Sensibiliser les riverains des différents villages et usagers de la routes sur la nécessité de préserver les panneaux disposés sur le chantier ;

o Aménager des ralentisseurs ou brise-vitesses en amont et en aval des zones à fortes fréquentation (école, centre de santé, site culturel et/ou religieux) ;

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o Sensibiliser le personnel sur le respect du code de la route et des panneaux de signalisation temporaire sur le chantier ;

o Disposer des Flags men en aval et en amont de chaque zone de travaux afin de prévenir les usagers de la route des dangers ou de la présence des engins en mouvement ;

Les mesures de préventions des accidents de travail sont :

o Signer une convention de soins avec le centre de santé de Nkolmefou I pour la prise en charge du personnel pendant tout le projet

o Doter le personnel des EPI adaptés aux à chaque poste de travail

o Faire afficher dans les ateliers les dangers et les risques présents, étiqueter tous les produits dangereux présents dans les magasins

o Recruter un Responsable Hygiène Santé et Sécurité au travail chargé de la planification de mise en oeuvre de tous les outils H55 l'entreprise (accueil sécurité de tous les employés et visiteurs, signalisation des travaux, tenue de réunion de sécurité etc.)

o Expulser du chantier tout employé récidiviste refusant de se conformer aux consignes générales de sécurité

o Signer une convention avec le CMA d'ODZA pour les cas d'urgence nécessitant un plateau technique plus important

Les mesures d'atténuations liés aux déplacements des réseaux divers sont :

o Impliquer les Concessionnaires dans toutes les opérations de déplacement des réseaux ;

o Informer les populations à l'avance des désagréments qui peuvent survenir sur les réseaux du fait de nos travaux ;

o Initier des démarches auprès des Concessionnaires de manière à éviter dans le meilleur cas des interruptions sur les différents réseaux.

Pour les nuisances de l'ambiance des sites culturels et religieux, les mesures de compensations sont :

o Travailler à des heures raisonnables n'excédant pas 19 heures (heure d'affluence des pèlerins) ;

o Informer les autorités religieuses responsables du sanctuaire et ses environs sur la nature des travaux à réaliser dans leur périmètre.

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"I don't believe we shall ever have a good money again before we take the thing out of the hand of governments. We can't take it violently, out of the hands of governments, all we can do is by some sly roundabout way introduce something that they can't stop ..."   Friedrich Hayek (1899-1992) en 1984