ANNEXE XIII. Tableau d'analyse.
Catégories
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Thèmes
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Sous-thèmes
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Léa
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Ninon
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Laurence
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Le parcours
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Les formations
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Diplômantes
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Je suis rentrée en école de
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Je n'ai pas fait la formation
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professionnel des
infirmières interrogées
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suivies
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Puéricultrice en 2008.
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de puéricultrice car je
voulais rester travailler en chirurgie...
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Continues
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Moi je suis correspondante douleur au sein du service.
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J'ai fait un DU de
médecine tropicale.
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J'ai fait la formation
d'hypnoanalgésie comme beaucoup le font aussi dans le
service, maintenant.
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Après mon DU, j'ai fait aussi une école «
Bioforce developpement », cest une
école pour l'humanitaire
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(logistique humanitaire).
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J'ai fait un DU douleur, il y a deux ans.
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J'ai demandé une
formation. Et, on a eu une formation, de un jour, sur
l'approche des enfants en chirurgie.
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Profession exercée avant l'obtention du diplôme
d'état infirmier
Stages effectués en pédiatrie en tant qu'EIDE
Services rencontrés durant sa carrière
infirmière
LXXXIII
Leurs expériences professionnelles
|
A la fin de mes études infirmières, j'ai
réussi à faire pas mal de stages avec les enfants. J'ai
passé mon diplôme en pédiatrie, néonatalogie... J'ai
fait de la maternité, j'ai été en halte-garderie. Et
d'autres
encore, mais c'est tellement loin.
j'avais quand même travaillé un petit peu, mais
pas énormément, au contact des enfants.
J'ai travaillé un mois en chirurgie
orthopédique, de jour et de nuit. Et ensuite, j'ai fait six mois
à l'hôpital, en dermatologie. Et aujourd'hui je suis en
ambulatoire, depuis huit ans.
J'ai fait une formation
d'aide-soignante. J'ai travaillé pendant un an en tant
qu'aide-soignante.
J'avais juste fait un stage aux urgences pédiatriques.
|
J'ai travaillé pendant un an en tant qu'aide-soignante,
plutôt en service de gériatrie.
C'est vrai que je n'ai pas vadrouillé à droite
à gauche. Aujourd'hui je suis en chirurgie pédiatrique.
J'ai dû faire six/sept ans de bloc opératoire. Je
suis partie avec médecins sans frontières pendant cinq ans.
Six/sept ans d'urgences... Et le reste du temps, c'a a été des
années dans les
services (cardiologie, pneumologie...) mais de nuit. A la
clinique, j'ai fait
|
LXXXIV
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quatre ans d'ambulatoire
dernièrement. Et
maintenant, je suis en consultation douleur.
|
Année d'obtention du diplôme d'état
infirmier
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J'ai été diplômée en 2007.
|
J'ai obtenu mon diplôme d'état infirmier en 2003,
et
je suis arrivée ici en chirurgie pédiatrique.
|
Dans mes vingt-sept ans de carrière.
|
Années
d'ancienneté dans
le service
pédiatrique
|
Je suis rentrée en école de puéricultrice en
2008. Et,
du coup, je suis en ambulatoire depuis janvier 2009.
|
Donc cela fait quatorze ans que je travaille ici !
|
A la clinique, j'ai fait
quatre ans d'ambulatoire dernièrement.
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Catégorie
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Thèmes
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Sous-thèmes
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Léa
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Ninon
|
Laurence
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Le niveau de
|
Le niveau de
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Peu de
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Infirmière, on fait vraiment
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compétences de
|
compétences de
|
connaissances à
|
un tout petit module sur la
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l'infirmier en
service de chirurgie pédiatrique
|
l'infirmier peu
expérimenté
|
propos de l'enfant
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pédiatrie.
Alors que là, on détaille
vraiment tout, de la naissance à dix-huit ans, et puis
tous les domaines.
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LXXXV
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Peu de contact avec l'enfant au cours de
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j'avais quand même
travaillé un petit peu, mais
|
Quand on est jeune
diplômée, qu'on n'a pas
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la formation et de
|
pas énormément, au
|
fait trop de stage auprès
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la carrière
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contact des enfants.
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des enfants... lorsqu'on se
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infirmière
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retrouve un peu propulsée
auprès des enfants, bon bah, il y a un petit temps
d'adaptation
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J'avais juste fait un stage aux urgences pédiatriques.
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Actes imprécis
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C'est vrai que,
automatiquement,
d'emblée : on met en place des choses, un petit peu de
manière aléatoire je dirais
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Je les faisais penser à autre chose mais je n'allais
pas en profondeur du sujet, je survolais le sujet.
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Soins compliqués
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J'étais plus dans les soins
compliqués. J'étais plus dans « il faut
faire le soin,
j'y vais ». Effectivement,
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LXXXVI
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c'était plus difficile quoi.
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Difficultés
d'approche auprès des enfants
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C'est vrai que moi, au
début, quand j'ai fait de
l'ambulatoire avec les
enfants. Ce n'était pas facile de savoir comment
approcher les enfants
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Temps d'adaptation
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Il a fallu un petit temps d'adaptation
|
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Le niveau de
compétences
résultant de
l'expérience de
l'infirmier
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Evolution de la
prise en charge de l'enfant
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Il y a surement des choses qui ont changé, oui.
|
Et bien c'est vrai que j'ai
évolué depuis que j'ai commencé à
travailler
|
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Maitrise des actes
|
Le fait d'être depuis un certain temps dans le
même service, ça... On fait que de la chirurgie, donc c'est
très ciblé quoi. Après, je pense que dans ce que je fais,
du coup, je pense que je maitrise assez bien.
|
Comme je le disais, j'arrive
à les faire voyager sur différents
thèmes...
|
Je maitrisais plus
|
Moi, je commence toujours par la partie administrative parce
que c'est plus enquiquinant.
Et après, il y a toujours un moment où je parle
avec l'enfant.
Je n'aime pas ne pas faire les entrées. [...] Ca
dépend un peu de chacun mais le fait de voir toujours la même
personne, je trouve que c'est un plus. C'est plus facile.
LXXXVII
Aborde les soins différemment
|
Organisation
|
C'est vrai que cela permet
d'aborder le soin différemment. Je note des
changements
Facilité dans la création d'un lien avec
l'enfant
|
Et après, il y a toujours un moment où je parle
avec l'enfant. Selon son âge, je lui demande quel âge il a... des
petites questions simples, pour le faire parler un peu. Et, je leur donne
Et bien, moi je vais essayer de faire partir l'enfant sur des
choses autre que l'intervention quoi. "tiens t'as un beau pyjama etc". Et puis,
éventuellement, lui proposer des jeux donc...
Un enfant, il comprend la magie, les fées, il croit en
tout. Ça, tu peux lui dire. Toutes ces petites astuces-là qui
font que...
|
moi je vais essayer de dialoguer un peu plus, pour
réussir à établir vraiment une relation de confiance, et
que ça se passe mieux quoi
Avec l'expérience, on réussit quand même
mieux à les rassurer, [...] il faut qu'on arrive à créer
une relation de confiance en leur disant "là, ça va vraiment
être quelque chose qui va te faire mal"...
LXXXVIII
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Meilleure
perception des choses
toujours mon prénom.
Je n'aime pas ne pas faire les entrées parce que
ça permet de les répérer et eux de me
répérer... Je trouve qu'après, je suis moins... j'ai plus
de mal dans la prise en charge, il n'y a pas eu ce lien depuis le début
en fait. Ca n'est pas un
élément précis mais : mettre en place
une
relation, qu'ils aient confiance.
Acquiesce à la question « la qualité de
cette relation de confiance entre vous et l'enfant, peut être le fruit de
votre expérience ? »
|
Je n'aime pas ne pas faire les entrées parce que
ça permet de les répérer et eux de me
répérer...
Acquiesce à la question « Selon toi, ces astuces,
sont-elles le fruit de ton expérience ou bien est-ce plutôt
instinctif ? »
C'est la relation de confiance. [...] Tu le connais, le lien
s'est instauré.
|
Après en général, tu le repères.
Tu sais déjà comment il va être au retour de bloc.
Les facteurs
influençant le
développement du
niveau de compétences
|
L'année de puériculture est vraiment très
serrée, on voit vraiment beaucoup de chose... Alors moi, j'ai appris
plein de choses parce que j'avais quand même travaillé un petit
peu, mais pas énormément, au contact des enfants...
|
J'ai appris beaucoup de choses parce que, de travailler,
ça permet quand même d'apprendre à gérer son
service, d'apprendre beaucoup de choses, etc
Avec l'expérience, on réussit quand même
mieux à les rassurer, on sait de quoi on parle.
Et bien c'est vrai, que j'ai évolué depuis que
j'ai commencé à travailler, parce que l'hypnoanalgésie,
c'est vrai que l'on n'en parlait pas, moi quand j'ai commencé.
|
Mais, il y a une part de la personnalité, il y a
le parcours, et ce que j'ai vécu
Après en général, tu le repères
Cette assurance découle
directement de l'expérience, après hein
Je pense qu'il y a de l'acquis. Ça veut donc dire que
tu l'as appris. Moi, je sais que mon DU douleur, parce que le DU douleur traite
de la pédiatrie, et la formation m'ont vachement apporté.
|
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aussi personnellement...
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Attrait pour la
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Ca a toujours été. J'ai
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Ce n'était pas vraiment
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Alors, moi, j'ai toujours
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pédiatrie
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toujours été beaucoup avec
|
mon choix de travailler
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aimé travailler avec des
|
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les enfants. J'ai toujours
voulu faire ça.
J'ai dit que je voulais être puéricultrice mais ils
m'ont
mise en dermatologie.
Donc j'étais avec les
personnes âgées, ce qui n'était pas mon
truc.
|
avec les enfants à la base, mais bon, voilà...
Mais bon, après, c'est vrai qu'un service de chirurgie
pédiatrique, c'est vrai que
c'est agréable quoi, de travailler avec les enfants.
|
enfants, déjà. Et, je pense que pour travailler
avec des enfants : il faut avoir un profil
|
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Je me suis bien habituée, et je ne regrette pas.
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Catégories
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Thèmes
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Sous-thèmes
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Léa
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|
Ninon
|
Laurence
|
Les caractéristiques
de l'anxiété
préopératoire du
petit-enfant
|
Les signes
d'anxiété préopératoire
manifestés par le petit-enfant
|
Cris
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|
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|
|
|
|
il se met à crier parce qu'il te voit
|
Pleurs
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|
|
|
De toute façon, c'est vrai qu'ils vont pleurer.
|
Un enfant qui crie, qui pleure
|
Repli sur soi
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Souvent peu.
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ils
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dorment
|
un
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Ils vont être refermés sur eux-mêmes
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Absence communication
|
de
|
|
|
|
|
on ne va pas du tout réussir à communiquer avec
eux.
|
Tu fais juste un
questionnaire, déjà tu vois
|
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|
|
|
|
|
s'ils arrivent à
répondre/pas répondre...
|
Absence de jeu
|
Un enfant qui joue, c'est un enfant qui est bien.
|
|
|
Opposition
|
|
Et puis, le fait de leur
mettre une blouse de bloc opératoire, certains enfants
veulent pas du tout la mettre quoi.
|
|
Les situations
anxiogènes pour le petit-enfant
hospitalisé en chirurgie
|
La séparation des
parents avant
l'entrée dans le bloc opératoire
|
Je ne sais pas... C'est plus
le fait d'être opérer, et d'être
séparé des parents.
Les petits surtouts ont du
mal à se détacher des
parents. Parfois, ils vont
être dans les bras des parents, ça les rassure
plus.
|
Et bien, on n'a pas trop de retour...
|
Ouais... Tu vois, souvent, ils accompagnent.
|
Le fait d'être opéré
|
Je ne sais pas... C'est plus
le fait d'être opérer, et d'être
séparé des parents.
|
|
|
XCII
Le manque de
préparation des
parents à
l'hospitalisation
|
L'attente avant
l'intervention
|
Mais voilà, plus les parents sont informés,
mieux ils expliquent à l'enfant, et moins il y a d'inquiétude. Le
fait de savoir comment ils vont s'endormir, etc, c'est des petits
détails mais ça permet de visualiser. Ca permet de repérer
un peu, ça dédramatise un peu l'opération
Quand ils font la séparation, quand les
personnes du bloc
opératoire viennent chercher l'enfant, ils
s'occupent de lui tout de suite. Ils ne le font pas attendre, comme les adultes
peuvent attendre. Le fait d'attendre peut être une situation
anxiogène pour les enfants...
|
Alors, il y a des enfants, on va leur expliquer et ça
va très bien se passer. Ils ne vont pas être anxieux car les
parents ont bien expliqué
|
[L'appréhension de
l'hospitalisation dépend de] Comment ils ont
été préparés. Comment les parents les ont
préparés. Ça c'est d'une importance capitale.
|
XCIII
|
|
Ses expériences
préalables
négatives à l'hôpital
|
|
|
je partais du principe qu'un enfant : il faut savoir s'il
est « vierge ou pas
d'hospitalisation ». S'il a déjà eu un
contact avec des blouses blanches ou pas. Il
faut savoir que s'il n'a jamais eu de contact avec les
blouses blanches, ton premier contact sera hyper
important pour sa vie adulte et, la douleur, rentrer
à l'hôpital, et tout ça. Déjà, tu le sais. Ca
veut dire que toi, quand tu vas prendre en charge un enfant, tu sais
que tu es vachement importante quoi
S'ils connaissent ou pas.
S'ils ont eu une bonne expérience ou pas. Ça,
c'est déjà super important. S'ils
ont eu une bonne expérience, ça se passera
bien
|
L'ambiance propre à l'hôpital
|
|
|
Il peut
impressionné.
|
être très
|
XCIV
|
|
|
|
|
Il se met à crier parce qu'il te voit.
|
Catégories
|
Thèmes
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Sous-thèmes
|
Léa
|
Ninon
|
Laurence
|
|
La préparation de
|
Lors des
|
On a un parcours dans la
|
Et puis, c'est vrai que la
|
C'est pour ça que, souvent
|
|
l'enfant en amont
|
consultations
|
clinique qui existe pour
|
prise en charge au niveau
|
en consultation
|
Les facteurs
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|
chirurgicales ou
|
l'instant, c'est le parcours
|
de la consultation de
|
d'anesthésie, je pense que
|
limitant l'anxiété
|
|
anesthésiques
|
« prévenance ». En fait, les
|
l'anesthésie, là, il y a
|
c'est là déjà que
|
préopératoire du
|
|
|
enfants peuvent rencontrer
|
l'association des Doudous
|
l'anesthésiste doit
|
petit-enfant
|
|
|
l'infirmière, le jour où ils
voient l'anesthésiste. Ça
nous permet de déjà rencontrer l'enfant, de
lui
expliquer la tenue, lui
expliquer un peu le déroulement, tout ça.
|
d'Aliénor : ils donnent un masque, l'enfant le garde,
il met de gommettes dessus. Donc, il y a tout un travail qui est fait en amont
pour
que l'enfant arrive aussi plus détendu pour le jour
de l'intervention quoi.
|
vachement lui expliquer, le briffer... etc
|
|
L'administration de prémédication
médicamenteuse
|
|
Certains anesthésistes
mettent une prémédication. Soit en suppositoire,
soit en sirop, ca dépend.
|
|
Le but principal, c'est de
déstresser dès le début.
C'est quoi le but de la prémédication ? C'est
que l'on sait que les gens qui
partent déstressés, quand
ils reviennent ils sont
|
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|
|
|
|
|
mieux
|
La préparation et
l'information de
l'enfant par
l'infirmier
|
Concernant le
déroulement de
l'hospitalisation
|
J'explique le déroulement : qu'ils vont venir se faire
opérer etc...
|
|
Tu sais que un enfant : il faut toujours le rassurer, lui
parler, lui dire ce que tu vas faire.
|
Concernant la tenue
à porter au bloc opératoire
|
J'explique la petite tenue
|
|
|
Concernant la
présence des
parents durant
l'hospitalisation
|
Après j'explique le
parcours : que les parents peuvent les accompagner
jusqu'à la porte et puis
voila. Les enfants plus ils
sont préparés, plus ils sont rassurés.
Ils comprennent pourquoi ils sont séparés, ils
savent
qu'ils vont retrouver les
parents après, ça, ils comprennent bien.
|
|
Tu peux lui dire "Là, tu vas partir, quand tu
reviendras papa et maman seront là,
ils t'attendront, t'inquiète pas". Tu vois ? Rassurant
un petit peu
|
XCVI
|
|
Concernant l'endormissement
|
Le fait de savoir comment
ils vont s'endormir, etc, c'est des petits détails
mais ça permet de visualiser. Ca permet de repérer un peu,
ça dédramatise un peu l'opération.
|
|
|
|
|
Concernant le type
|
|
A deux ans, ils n'ont pas
|
|
|
|
de douleur
|
|
encore la notion. Si le
|
|
|
|
postopératoire
|
|
médecin lui dit "ça va être une douleur
comme une
angine" : il va pas trop comprendre, on va plutôt lui
dire "tu vas avoir mal à la gorge". A six ans, c'est
vrai qu'il va mieux comprendre déjà donc.
|
|
|
|
|
|
On leur dit les choses.
|
|
|
|
A l'aide de livres
|
On a des petits livrets
|
On a un petit livre que les
|
|
|
|
explicatifs
|
SPARADRAP aussi que l'on peut leur donner.
Ça permet de repérer la tenue
|
parents ont en consultation,
qui explique l'anesthésie, ce qu'il va se passer, la
|
|
|
|
|
des personnes qui sont au bloc, sa petite tenue à lui,
le masque pour s'endormir, des petites choses comme
ça...Ça permet de leur
|
pommade, le masque etc.
|
|
montrer.
Le fait de savoir comment ils vont s'endormir, etc, c'est des
petits détails mais ça permet de visualiser. Ca permet de
repérer un peu, ça dédramatise un peu
l'opération.
|
L'attitude
rassurante de l'infirmier envers l'enfant
|
XCVIII
|
|
|
précis, mais : mettre en
place une relation, qu'ils
aient confiance. Avec
l'enfant, mais avec les parents aussi du coup.
|
|
exemple, au lieu d'être
grande... Tu peux essayer de t'asseoir à
côté de lui
Tu ne laisses pas des
enfants. C'est la relation de
confiance. S'il doit rester un peu plus longtemps, et que
tu ne peux plus le suivre, tu préviens l'enfant "tiens ça sera ma
collègue ect" c'est important. Tu le
connais, le lien s'est instauré.
|
|
Les compétences
|
La distraction de
|
|
Et bien, moi je vais essayer
|
Tu peux essayer de jouer
|
|
de l'infirmier
|
l'enfant par
|
|
de faire partir l'enfant sur
|
un peu avec lui, pendant le
|
|
|
l'infirmier
|
|
des choses autre que
l'intervention quoi. "tiens t'as un beau pyjama etc". Et
puis, éventuellement, lui proposer des jeux donc.
|
questionnaire...
Il faut toujours être à
côté d'eux, toujours les distraire.
donc il faut apprendre des chansons pour les enfants, et
voilà
|
On s'adapte à l'enfant.
on essaie de s'adapter pour que les choses se passent mieux
quoi.
A deux ans, ils n'ont pas encore la notion (de la douleur). A
six ans, c'est vrai qu'il va mieux comprendre déjà donc. On leur
dit les choses...
L'adulte c'est l'adulte, l'enfant c'est autre chose quoi
Un enfant, il comprend la magie, les fées, il croit en
tout ça. Toutes ces petites astuces...
Ça veut dire que pour un enfant, même si on te
presse, il ne faut pas te presser. Jamais pour un enfant.
L'enfant : tu prends le temps
Un enfant c'est du temps, c'est important
Après c'est possible qu'avec un enfant, ça ne se
passe pas très bien, parce
XCIX
L'adaptation de
l'infirmier à
l'enfant
|
La disponibilité de l'infirmier auprès de
l'enfant
|
A deux ans, ils ne se rendent pas bien compte... Mais à
six ans, si on leur explique avec le petit livret, qu'on leur détaille
bien tout : ils peuvent avoir peur, mais ils comprennent mieux ce qu'il se
passe.
|
C
|
|
|
|
|
qu'il ne fait que de pleurer etc. Et toi aussi, des fois,
tu as le droit d'être un peu...
|
|
|
|
|
|
Tu ne peux pas toujours être zen, cool, et tout
ça.
|
|
|
|
|
|
Dans ce cas, c'est bien de passer la main, parce qu'il peut
trouver une infirmière plus disponible. Des fois, voilà, tu as
plein de travail, et ta prise en charge ne sera pas la même quoi.
|
|
|
Le suivi et
|
Les amygdales, ils sont là
|
|
Déjà à partir du moment où
|
|
|
l'implication de
|
toute la journée donc ils me
|
|
tu prends en charge un
|
|
|
l'infirmier dans la
|
voient, moi, toute la
|
|
enfant, tu le prends du
|
|
|
prise en soin de
|
journée en fait. C'est la
|
|
début à la fin
|
|
|
l'enfant tout au
|
même personne qui est là
|
|
|
|
|
long de la journée
|
toute la journée. Ce suivi-
|
|
S'il doit partir au moment
|
|
|
|
là, que l'on met en place, c'est plus rassurant, de
voir
|
|
où tu es encore là, c'est toi qui finis quoi. Tu ne
laisses
|
|
|
|
toujours la même personne.
|
|
pas des enfants. C'est la relation de confiance.
|
|
|
|
|
|
S'il doit rester un peu plus longtemps, et que tu ne
peux plus le suivre, tu préviens l'enfant "tiens
ça sera ma collègue ect" c'est important. Tu le connais, le lien
s'est instauré.
|
La présence des parents auprès de l'enfant
CI
L'assurance que
renvoie l'infirmier à l'enfant
|
L'expérience de
l'infirmier
|
Après parfois ils ne sont pas du tout rassurants pour
l'enfant...
Avec l'expérience, on réussit quand même
mieux à les rassurer, on sait de quoi on parle
|
Avec l'expérience, on réussit quand même
mieux à les rassurer, on sait de quoi on parle, il faut qu'on arrive
à créer une relation de confiance en leur disant "là,
ça va vraiment être quelque chose qui va te faire mal",
"là, essaie de te ressaisir un petit peu, ça va aller", je pense
que ça joue
Et bien, les parents ne sont forcément une aide ici.
Les parents peuvent très bien augmenter l'anxiété de
De toutes manières, quelqu'un qui est stressé,
c'est qu'il ne comprend pas. Il faut qu'en face de lui, il ait quelqu'un qui
lui explique comment ça se passe, et quelqu'un qui soit sur de lui.
Il faut expliquer, et surtout montrer que tu connais les
choses
|
Moi, j'aime qu'il y ait pas les parents. Il me faut les
parents.
Après, surtout avant le bloc, je vois les parents qui
pleurent juste avant que l'enfant entre dans le bloc... c'est flagrant, ils
stressent l'enfant quoi. Les parents sont hyper inquiets, ils transmettent,
sans le vouloir, l'inquiétude aux enfants.
Les petits surtouts ont du mal à se détacher des
parents. Parfois, ils vont être dans les bras des parents, ça les
rassure plus.
|
l'enfant parce qu'ils vont être stressés.
En tant que parents, on a tendance quand même à
transmettre... l'enfant sent plus ou moins nos émotions. Après,
les parents ont une place assez importante auprès de leur enfant hein.
Sauf si effectivement, ils sont angoissants pour l'enfant. Là, on essaie
de leur faire comprendre mais bon...
|
Après, il y a un ou deux parents qui peuvent être
nocifs des fois... Des parents plus « porteurs de soucis » quoi.
Parce qu'ils sont trop stressés, et qu'ils transmettent le stress
à l'enfant, donc, notre rôle c'est aussi de déstresser les
parents, ce qui fait qu'ils détressent l'enfant
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CII
L'utilisation de
tablettes tactiles
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Là, quand un enfant on va faire l'accueil, si c'est un
peu difficile, on va sortir la tablette : tout de suite,
généralement, il commence à sourire, il va aller sur la
tablette, et on va le sentir beaucoup plus détendu.
Mais je pense que depuis
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CIII
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qu'il y a les tablettes... Ils se prennent en photo avec les
parents les enfants. Le
but c'est qu'ils puissent regarder les photos, qu'ils
voient les photos de leurs parents, pour qu'ils soient rassurés. Je
pense que ça atténue leurs angoisses.
c'est vrai que maintenant
on la tablette donc,
effectivement, elle aide
quand même bien à
diminuer l'anxiété
en préopératoire.
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Le recours à
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On va aussi utiliser des
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Non... Mais je veux me
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l'hypnose et
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métaphores pour expliquer
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former en hypnose.
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l'hypnose
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les choses.
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conversationnelle
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Parce que justement, je
trouve que l'hypnose
conversationnelle, par exemple, avec des enfants, c'est super
bien quoi.
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Dans l'hypnose
conversationnelle, tu
choisis un peu tes mots
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
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quoi. Tu fais attention à ne
pas utiliser de termes porteurs de sens négatifs,
par exemple. Le but c'est de détourner l'attention du
patient sur un point de fixation.
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Nous, au bloc les
anesthésistes sont
beaucoup formés en
hypnose pour
l'endormissement et la gestion de l'anxiété,
mais les infirmières ne sont pas
formées en amont justement, c'est dommage.
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Catégories
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Thèmes
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Sous-thèmes
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Léa
|
Ninon
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Laurence
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Le rôle et la place des parents dans la prise en charge du
petit-enfant
hospitalisé en chirurgie
pédiatrique
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La préparation
préopératoire de
l'enfant
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Physique
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On leur donne tous les petits conseils : d'être bien
à jeun...
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Ils vont être stressés par le
fait d'être à jeun, par exemple. Ils disent
« bah non, elle va pas supporter d'avoir faim ».
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Psychologique
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Ceux que l'on rencontre ça
peut aider à préparer
l'enfant, sinon c'est eux
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Alors, il y a des enfants, on va leur expliquer et ça
va très bien se passer. Ils ne
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Comment ils ont été
préparés. Comment les parents les ont
préparés. Ça
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qui préparent seuls mais...
Mais voilà, plus les parents sont informés,
mieux ils expliquent à l'enfant, et moins il y a d'inquiétude.
Ils sont installés en
chambre directement. Souvent les parents sont
avec les enfants
directement. Ils les accompagnent jusqu'à la porte
du bloc et la séparation se fait avant qu'ils soient endormis. Mais en
salle de réveil, ils sont sans les parents...
Il y a un anesthésiste qui fait venir les parents en
salle de réveil, une fois qu'ils sont ex-tubés. Il y en a qu'un
seul. Les autres ne le font pas car les locaux ne sont pas du tout
adaptés.
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
L'accompagnement de l'enfant dans le
déroulement de l'hospitalisation
|
vont pas être anxieux car les parents ont bien
expliqué.
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Après, les parents ont une place assez importante
auprès de leur enfant hein.
En fait, ils accompagnent l'enfant jusqu'à
l'entrée du bloc opératoire, ils voient l'anesthésiste. Et
les parents remontent après, ils ne peuvent pas l'accompagner dans le
bloc même.
|
c'est d'une importance capitale.
|
Accompagnement jusqu'au bloc opératoire.
Je pense qu'il faut totalement leur donner leur place dans le
service.
Moi, j'aime qu'il y ait pas les parents. Il me faut les
parents.
|
Les parents, on ne peut pas les mettre de côté.
Surtout avant le bloc, je vois les parents qui pleurent juste
avant que l'enfant entre dans le bloc... C'est flagrant, ils stressent l'enfant
quoi. Les parents qui sont hyper inquiets, ils transmettent sans le vouloir,
l'inquiétude aux enfants.
Mais voilà, plus les parents
Et bien, les parents ne sont forcément une aide ici.
Les parents peuvent très bien augmenter l'anxiété de
l'enfant parce qu'ils vont être stressés.
En tant que parents, on a tendance quand même à
transmettre... l'enfant sent plus ou moins nos émotions

L'apport d'informations concernant l'enfant auprès de
l'IDE
|
La participation à la gestion de
l'anxiété
préopératoire de l'enfant
|
Le parent : c'est lui qui connait. Donc, si toi tu sais pas,
tu leur dis "mais vous trouvez son comportement normal ? il pleure normalement
? D'habitude il est fatigué comme ça ? Il
chouigne comme ça
d'habitude ?" Et... les
parents, ils le savent mieux que toi de toutes
manières.
|
Moi, j'aime qu'il y ait pas les parents. Il me faut les
parents.
Après, il y a un ou deux parents qui peuvent être
nocifs des fois...
Des parents plus « porteurs de soucis » quoi. Parce
qu'ils sont trop stressés, et qu'ils transmettent le stress à
l'enfant, donc, notre rôle
|
CVII
|
|
|
sont informés, mieux ils
expliquent à l'enfant, et moins il y a
d'inquiétude.
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|
c'est aussi de déstresser les parents, ce qui fait qu'ils
détressent l'enfant
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Les petits surtouts ont du
mal à se détacher des
parents. Parfois, ils vont
être dans les bras des parents, ça les rassure
plus.
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La prise en charge
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En ambulatoire, ils ont
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postopératoire de
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tendance à être là de moins
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l'enfant à domicile
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en moins de temps, donc il faut qu'ils sachent gérer,
après, pour la sortie.
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Tout ce qui est médicament
per os, j'essaie de les
responsabiliser tout de
suite dans la prise en
charge et au traitement pour la sortie.
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CVIII
Catégories
|
Thèmes
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Sous-thèmes
|
Léa
|
Ninon
|
Laurence
|
La prise en soin de
la douleur
postopératoire par
l'infirmier en
service de chirurgie pédiatrique
|
Les moyens utilisés par l'infirmier pour soulager la
douleur postopératoire
|
L'évaluation de la douleur
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|
|
Après quand un enfant a
mal, il faut d'abord lui demander où il a mal... Parce
que les enfants, en
fonction de l'âge ils ne savent pas trop comment
s'exprimer, tout ça.
|
La dispensation
d'antalgiques
|
Et en fait, après, ils sont sous Dopliprane et ils
ont du Topalgic en si besoin,
entre les doses du
doliprane, ou en même
temps, ça dépend.
Globalement, ils sont bien
|
Donc après soit, c'est les
médicaments qu'il faut donner en systématique
|
En général, on essaie de leur donner les
antalgiques qu'il faut.
|
L'apport
d'alimentation froide
|
Ils boivent et ils mangent
quatre heures après l'opération. Ça joue
sur la
douleur, le fait qu'ils boivent ou mangent du frais...
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La distraction
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|
Ou bien en retour de bloc, bah, essayer de les
faire penser à autre chose, de les
|
Après au retour du bloc opératoire, il ne faut
jamais
les surprendre. Il faut
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|
|
|
|
|
faire sortir de la chambre pour qu'ils ne restent pas
centrés sur leur douleur.
|
toujours être à côté d'eux, toujours
les distraire. Dès que tu fais quelque chose, tu les distrais.
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Le soutien
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|
Après tu lui dis "t'inquiète pas, tes parents ne
vont pas
partir, ils restent maintenant avec toi, le bloc s'est bien
TRES bien passé, pas de souci, si tu as mal :
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on te donnera un produit magique" voilà. Ce genre de
choses.
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L'adaptation
|
à
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|
Après quand un enfant a
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l'enfant
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mal, il faut d'abord lui
demander où il a mal...
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|
Parce que les enfants, en
fonction de l'âge ils ne savent pas trop comment
s'exprimer, tout ça. Il faut lui demander où il a mal.
|
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|
|
Et quand tu lui donnes le médicament, il faut savoir
lui dire que ça va guérir mais pas tout de suite, tu
peux lui dire que c'est
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
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magique par exemple, ça il
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comprend. Un enfant, il
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comprend la magie, les
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fées, il croit en tout
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Catégories
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Thèmes
|
Sous-thèmes
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Léa
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Ninon
|
Laurence
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Les caractéristiques
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Perception de la
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Intensité ressentie
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La douleur postopératoire
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C'est quand même une
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Le problème c'est qu'ils
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de la douleur
postopératoire
induite par l'amygdalectomie, chez le petit-enfant
|
douleur
|
par le petit-enfant
|
de l'amygdalectomie est
une douleur plutôt forte, mais qui est plutôt bien
maîtrisée en fait.
|
douleur assez importante, l'amygdalectomie, c'est
de l'équivalence d'une angine.
|
n'ont rien, et quand ils
reviennent ils ont hyper mal...
|
|
|
|
Mais c'est vrai que la
douleur est bien gérée
maintenant donc, c'est
difficile à expliquer, à évaluer.
En général ils sont plus douloureux le
lendemain, je trouve. Je pense qu'il n'y a pas eu tout ce qu'il y a au bloc, le
jour de l'opération.
|
Mais, c'est qu'après
lorsqu'ils reviennent, qu'ils sentent vraiment la douleur.
Mais certains enfants, avec
les médicaments systématiques, ça va bien
se passer
|
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|
|
Des fois, ils dorment très bien la nuit par exemple,
donc ils ont eu un antalgique le soir mais rien pendant la
nuit donc...
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
|
|
Différences selon
l'âge des enfants
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Euhm, la douleur dépend complètement des
enfants. A deux ans, les enfants sont un peu moins douloureux. Plus ils
grandissent, plus la douleur est importante
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Atténuation grâce
|
La douleur postopératoire
|
Mais certains enfants, avec
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Parce que souvent en post-
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|
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aux stratégies
|
de l'amygdalectomie est
|
les médicaments
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op, ils ont quand même
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antalgiques adaptées
|
une douleur plutôt forte, mais qui est plutôt bien
maîtrisée en fait.
|
systématiques, ça va bien se passer
|
tout ce qu'il faut pour la
douleur. La douleur est
essentiellement gérée en salle de
réveil.
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|
Maintenant, il y a
beaucoup de médicaments qui sont donnés dès
le bloc
opératoire, grâce à la perfusion
|
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Ils n'attendent pas que
l'opération soit finie, que les enfants soient
réveillés
pour donner des antalgiques, ils donnent dès le bloc
opératoire. Ils en redonnent en salle de réveil
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Généralement, avec le
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Doliprane et Topalgic, c'est bien géré je
trouve.
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J'allais dire que on les a pas forcément en post-op...
Du coup, on ne les voit pas tout le temps. Après, ça
dépend des cas. Il y en a qui vont être super anxieux et ça
va très bien se passer. Et certains qui vont rester effectivement sur
leur anxiété, le moindre petit truc ça va être...
Si ça peut avoir un lien avec l'anxiété
d'avant quand même mais... C'est vrai qu'un enfant qui est anxieux en
pré-op oui, ça va être plus difficile quand même je
pense... Il va rester avec cette anxiété-là. Sauf si,
finalement, il n'est pas douloureux et qu'il va réussir à se
détendre. Là ça va bien se passer.
CXII

Les facteurs
pouvant majorer les scores de douleur postopératoire
|
L'anxiété
préopératoire du petit-enfant
|
L'éducation du
petit-enfant
Sur la gorge, pas vraiment...
Mais sur l'amygdalectomie
en elle-même... pas franchement.
|
Plus, je dirais, oui, en fonction du tempérament, de
l'éducation...
Quelqu'un qui part anxieux, on sait qu'il va revenir : il va
plus se plaindre. Le but
principal, c'est de déstresser dès le
début
C'est quoi le but de la prémédication ? c'est
que l'on sait que les gens qui partent déstressés, quand ils
reviennent ils sont mieux. Plus les gens partent dans de bonnes conditions, et
mieux est le retour. Et ça, chez les enfants tout pareil.
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Un enfant qui tombe ou qui se blesse, à qui tu ne dis
rien, tu dis "boh ça va, ça va aller" tu vois, cet enfant
CXIII
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|
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là il sera plus dur à la douleur. Donc, tu vois,
en tout cas le rapport avec les parents et les enfants... tu vois un peu
comment ça va se passer. Le rapport qu'il a déjà eu, lui,
à la douleur.
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Comment ses parents se sont comportés quand il avait
mal au ventre etc, ça c'est vachement important aussi
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Le tempérament du petit-enfant
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Il y a vraiment des
différences de tempérament des enfants,
plutôt.
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Les croyances du
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Sur la perfusion, peut être
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Le cathéter : ça va être
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petit-enfant vis-à-
vis de la perfusion
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plutôt. Par exemple, ils
sont fixés sur la perfusion, ils ne se plaignent que de la
perfusion, en fait
|
immense...
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Ils n'aiment pas la
perfusion, ça, ça peut leur faire peur. Et je
dirais que leur peur de ça, fait qu'ils vont avoir mal
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
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