2.2. Communication de masse
2.2.1. Libre expression de masse
Selon Cédric VERVIER-MF2 dans « la
communication, mieux la connaître, mieux l'utiliser »,
Mémoire d'Instructeur Régional, Toulouse Novembre 2003 nous avise
: « Qu'il ne suffit pas qu'une personne émette un message pour
qu'il y ait communication. Il faut aussi qu'une autre personne soit en contact
avec la première pour le recevoir. Ce message, encodé de
façon à pouvoir être décodé par le
récepteur, prend sa signification dans une situation. Réussir une
communication n'est pas toujours simple, car une multitude de facteurs, comme
nous l'avons vu, peuvent la perturber. Si nous sommes naturellement
porté à jeter le blâme d'un échec sur les personnes,
l'émetteur et/ou le récepteur, il ne faudrait toutefois pas
oublier que chaque composante est en cause dans l'échec ou la
réussite de la communication ». La communication demande une
participation de tous c'est-à-dire que le travail en équipe vaut
dans le grand intérêt de l'organisation si bien qu'une synergie
dans l'accomplissement de tâches dévolues aux membres
s'avère indispensable, il est utile pour asseoir une convivialité
de mener un travail axé sur le résultat et d'enterrer les
divergences ou querelles intestines. Les préjugés négatifs
ne profitent à personne selon l'auteur ci-dessus car chaque composante
porte l'image de la structure de l'émetteur ou récepteur.
(Cédric VERVIER-MF2, 2003, la communication, mieux la connaître,
mieux l'utiliser).
2.2.2. Internet
Christelle CARRET, démontre que « le web
laisse espérer une instantanéité et une transparence due
à la croyance de beaucoup d'internautes quant à la
véracité des informations en ligne. Internet a pris une telle
ampleur aujourd'hui que tout manquement à cette forme de communication
peut être interprété comme une rétention
d'information. La politique d'Autriche n'est plus possible. Tout comme il est
illusoire de croire que les informations ne s'ébruitent pas ».
Notre constat est que Goma est une ville dont rien que le courant fait
problème. Aussi, faut-il se poser la question de savoir par quelle
baguette magique les ONGD oeuvrant dans la même ville, comment elles
parviennent à pallier à cette exigence de la mondialisation pour
asseoir une communication de masse à l'instar des autres organisations
du niveau international. Les préjugés négatifs planent sur
leur fonctionnement en ce sens qu'outre le courant comme casse-tête, le
coût lié à la connexion n'est pas l'apanage de toute
organisation si bien que le financement des activités ne se fait pas du
tic au tac par les bailleurs de fonds. (Christelle CARRET,2004, internet de
crise et la communication de crise).
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