CONCLUSION
Dans notre tentative de validation empirique, on a essayer de
voir l'effet des variables macroéconomique (l'ouverture,...), le capital
humain et institutionnelle sur la croissance économique tout en de
montrant leur importance dans les différentes régions du monde et
surtout dans la zone MENA.
Les résultats économétriques des
différents tests ne donnent qu'un éclairage rétrospectif
de la situation économique dans l'échantillon des pays
étudiée. Ils font apparaître que l'effet de l'ouverture, de
capital humain sur la croissance est positif sur tout dans la zone MENA.
Les résultats trouvés semblent encourageants
pour l'ensemble des pays étudiés, dans la mesure où la
qualité de la gouvernance et ses indicateurs que nous avons
utilisé sont apparues clairement pertinentes dans l'explication de la
croissance économique.
On a aussi abouti à mettre en évidence une nette
corrélation positive entre le capital humain (Lkh) et
la croissance économique et avec l'ouverture aussi qui est
considéré un canal privilégié à travers
lequel l'amélioration est conduite à encourager la croissance
économique, confirmant ainsi les travaux de
J.C.Bérthélmy,A.Varadoukis et S. Dessus, Barro et Sala-i- Martin
(1995) et Mankiw, Romer et Weil (1992).
Ces résultats qui apparaissent en conformité
avec d'études antérieures qui soutiennent l'existence d'un impact
positif des variables institutionnelles sur la croissance économique
telles que la démocratie, la qualité des règlements,
l'efficacité de la gouvernance, la stabilité politique qui ont
tous un effet positif et significatif sur la croissance économique d'un
pays.
On a mené, dans un premier temps, une analyse
descriptive préliminaire des données qui sont analysées en
données de panel dynamique réalisée sur l'ensemble de 100
pays sur la période 1984-2002 sur l'effet ces variables (ouverture, le
capital humain...) sur la croissance économique.
Pour beaucoup des pays la zone en considération, il est
nécessaire de prendre des mesures d'ajustement structurel qui permettent
de transformer les secteurs traditionnels à des secteurs plus
compétitifs. Pour accroître la compétitivité il faut
réaliser des économies d'échelle, développer les
capacités humaines et encourager la recherche et développement.
De même les pays développés doivent accorder d'avantage
d'attention a la cohérence de leur politiques au politiques de
développement adoptés par les pays de MENA.
Par ailleurs, la prise en considération dans la
régression des variables macroéconomique, le capital humain et un
variable institutionnelle ne semble pas marginaliser, leur effet diffère
d'une région à une autre et dépend des effets des d'autres
variables macroéconomiques telles que l'investissement direct
étranger, l'investissement.
Donc, les résultats montrent un effet positif et
significatif de capital humain sur la croissance économique dans un
contexte d'ouverture et à travers un autre variable (IDE) pour la
région MENA, ce que signifie L'ouverture est catalyseur le
développement d'un pays notamment sur le capital humain ce qui traduit
un effet direct positif et significatif sur la croissance.
- Appuyer les structures de gouvernance contribuant au maintien
de la stabilité politique et économique.
- Améliorer l'efficacité de l'aide et la
cohérence des politiques nationales et régionales pour le
développement.
La prise en compte de l'importance relative à la
cohérence des politiques au niveau national et régional,
constitue une piste de recherche qui peut apporter des informations pertinentes
et concrètes sur les perspectives de développement des pays en
développement.
Globalement, on remarque que l'effet direct des variables sur
la croissance économique set significatif surtout pour l'ouverture qui a
aussi un effet indirect positif sur MENA et presque sur des autres
régions.
Ces résultats sont conformément compatibles avec
les résultats de Berthelemy, Dessus et varadoukis (1998) et Barro et
Sala-I-Martin (1995).
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