CONCLUSION
Par notre travail, il nous avait été
d'importance de disserter nos recherches sur les mécanismes
onusiens de la protection des personnes civiles victimes de conflits
armés en République Démocratique du
Congo.
Pour aboutir à nos résultats, nous étions
contraint premièrement d'analyser la question de savoir Quid de
l'organisation des Nations Unies, cette question nous l'avons bien
développé dans le premier chapitre de ce travail, cependant pour
rappelle nous pouvons retenir que l'organisation des nations unies (l'ONU) est
une grande et toute première dans le monde qui a pour but de maintenir
la paix et la sécurité internationale article 1 de la charte.
Cette organisation regroupe tous les États du monde sans distinction
régionale.
Elle est régie par une charte appelée «
Charte de Nations Unies » signée le 01 juin 1942 adoptée le
26 juin 1945; elle est une cendre de la Société des Nations
(SDN), Suite à plusieurs conflits que la SDN avait échoué
de sécuriser la paix internationale cela a engendré son
échec. C'est ainsi, plusieurs États puissantes ou moins ont
signé la dite charte. Fondée officiellement à San
Francisco le 24 Octobre 1945 avec ratification de la charte de l'ONU, son
siège provisoire était situé à Londres
(Angleterre). L'assemblée générale et le conseil de
sécurité s'y réunissent pour la première fois en
Janvier 1946.
Ainsi donc, il est d'importance de savoir qu'elle est notre
préoccupation en choisissant ce sujet , cela ce manifeste par une
problématique que nous nous sommes posée celle de savoir: Quels
sont les moyens que l'ONU met en jeux pour la protection et la
sécurisation des personnes civiles victimes des conflits armés en
RDC? Comment l'ONU participe - t- elle à la résolution desdits
conflits ? Toutes ses préoccupations ont trouvées leurs
éléments de réponses dans le second chapitre de ce
travail. Cependant, pour rappelle, nous pouvons retenir comme
éléments des réponses quant à ceux, signalons
que
L'ONU manifeste ses priorités dans la
sécurisation des personnes civiles en mettant en place plusieurs
mécanismes légaux ainsi que les moyens matériels tend
financiers cela pourra se remarquer par exemple au travers son organe conseil
de sécurité l'ONU qui a réaffirmé dans une
déclaration présidentielle du 21 septembre 2018, lue par la
Présidente du Conseil de sécurité et représentante
permanente des États-Unis auprès des Nations Unies, Madame Nikki
Haley, au nom des autres membres du Conseil, celui-ci déclare qu'il
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continuera à se pencher régulièrement sur
la question de la protection des civils, alors que 2019 marquera le
vingtième anniversaire de sa résolution 1265 (1999) et de la date
à laquelle il s'en est saisi. Que la protection des civils en
période de conflit armé est l'une de ses priorités
absolues et qu'il est déterminé à voir se poursuivre
l'application intégrale de toutes ses résolutions sur la
question, notamment les résolutions 1265 (1999), 1296 (2000), 1674
(2006), 1738 (2006), 1894 (2009), 2175 (2014), 2222 (2015), 2365 (2017), 2286
(2016) et 2417 (2018)
Mais aussi pour mieux y arriver, en RD Congo, l'ONU a mis en
place plusieurs moyens de sécurisation de personnes civiles en RD Congo
c'est entre autres, la résolution 1279 qui crée la MONUC en 2000.
Cette mission est constituée du personnel des Nations Unies dont le
déploiement avait été autorisé par des
résolutions antérieures. Le 24 février 2000, le Conseil
renforce le mandat et la taille de la mission tel que stipulé dans la
résolution 1291. La MONUC sera remplacée par la MONUSCO à
partir du 1er juillet 2010, conformément à la résolution
1925 du 28 mai 2010 avec comme mandat prioritaire la sécurisation des
personnes civiles.
L'ONU pour la résolution des conflits armés, met
à la disposition des Etats aux conflits différents moyens
légaux afin de régler leurs différends, cela peut se lire
dans l'article 1 du chapitre VI de la charte des Nations Unies mais
également une procédure pour résoudre les
différends qui opposent les États prévue toujours dans le
chapitre Vl de sa charte.
Parlant des conflits armés qu'à
déjà connus la RDC, nous pouvons dire que les conflits
armés frappent la RDC depuis plus de décennie d'années
sont du caractère national et international,
Par son caractère national, il s'agit des conflits
civils entre peuples autochtones qui se précipitent soit les terres soit
les pouvoirs coutumiers..., ces conflits est loin d'être politique
cependant il arrive de fois que les acteurs politiciens mal intentionnés
arrivent a les politisés, en créant un conflit ethnique avec des
motifs politique cela ce remarque plusieurs fois dans certains conflits
internes entre autre cas de YUMBI, KASAÏ avec les rebelles Kamwina
Sampu...
Par son caractère international, il s'agit d'un ou
plusieurs groupe rebelle frappent le territoire de deux ou plusieurs nations
cas de rebelle OUGANDAIS qui opèrent en RDC, ou RWANDA et en OUGANDA ces
rebelles finançaient par les hommes de différentes
nationalités. Les conflits à caractère international est
beaucoup plus politique, ses deux piliers
Quant aux agences, la MONUSCO a à sa disposition
différents bureaux de Nations Unies pour lui aider à une
réussite dans ses missions nous pouvons constater entre
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lui différencies d'un conflit armé à
caractère national il s'agit de l'étendue de l'opération
des champs de bataille, ainsi que son caractère politique.
Dans tous ces deux genres de conflits, la population civile
reste toujours victimes des violences, massacres et tueries, d'où une
nécessité des sécurités par le gouvernement de son
pays et l'ONU.
La RDC a déjà connue tous ces deux types de
conflit, c'est ainsi la mission de Nations Unies pour permettre une vie
paisible aux peuples congolais civils victimes du massacre et autres violences
dudit conflits, elle a pensée à la sécurisation de ceux
peuples en mettant en place certains mécanismes bien qu'il ne semble pas
être trop efficaces en engageant ses différentes missions en RD
Congo, ce le cas de la MONUC puis après MONUSCO avec comme mission
priorité <<LA SÉCURITÉ DES PERSONNES CIVILES
DANS LES ZONES CONFLICTUELLES CONGOLAISE >> .
En effet, sur ses priorités, les nations unies à
en première position la mission de garantir la paix et la
sécurité internationale dans le monde, malgré cela,
l'organisation des Nations Unies n'a pas réussi à mettre terme
aux conflits armés entre États, cela peut se remarqué par
le cas de la RDC, la Syrie et plusieurs autres États du monde alors
membres de l'organisation franchissent des cas plus critiques qui mènent
un détriment de la population civile.
En ce qui est de notre sujet, Les nations unies, passe
à la sécurisations de personnes civiles victimes des conflits
armés en République démocratique du Congo tout comme dans
d'autres États victimes des violences des guerres, en mettant en place
ses différentes missions en RDC, la MONUC puis la MONUSCO.
Par ailleurs, ses missions pour réussirent l'une
après l'autre, l'ONU a mis à leur disposition des fonds, des
agences, des forces d'interventions et de la sécurisation de personnes
et de leurs biens.
Quad aux fonds, outres les bailleurs de fonds des Nations
Unies, la MONUC bénéficiait d'un budget pouvant faire face
à ses besoins, tout comme la MONUSCO elle aussi bénéficie
d'un budget de la part de l'ONU lui permettant de couvrir ses besoins bien que
ce budget n'est pas suffisant pour couvrir tous ses problèmes.
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autres: Le Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de
l'Homme (BCNUDH), le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les
réfugiés (HCNUR), le Bureau de la coordination des affaires
humanitaires des Nations Unies (OCHA).
A ce qui concerne les forces sécuritaires, l'ONU a mis
à la disposition de la MONUSCO d'une part, une force constituante des
plusieurs nationalités c'est-à-dire des personnes composantes de
cette force sont les ressortissants de plusieurs États membres de
Nations Unies, cette force communément appelée les CASQUES BLEUS
de Nations Unies qui travail aux côtés de l'armée
congolaise dans les zones agressées par les rebelles ont en
première mission la sécurité de personnes civiles;
D'autre part, l'ONU a mis à la disposition de la
MONUSCO une police appelée police civile de Nations Unies
communément appelée les BERETS BLEUS des Nations Unies qui sont
aux côtés de l'armée congolaise ainsi que de la police
congolaise avec comme première mission, la sécurisation des
personnes civiles.
Outres tous ceux-ci, l'ONU au travers sa mission en RD Congo
(la MONUSCO), travail en collaboration avec le gouvernement congolais pour
éradiquer toutes ces troupes rebelles, mais aussi stabiliser
l'autorité de l'État congolais sur toute l'étendue de son
territoire national ainsi que observer la stabilité de la RDC.
Cependant, il se fait que, l'ONU face à sa mission en
RDC, celle de sécuriser les personnes civiles et sa participation
à la radiation des conflits armés dans ce pays, rencontre
plusieurs difficultés telles que
L'ONU, n'arrivent toujours pas à bien
sécurisé la population civiles victimes des conflits armés
en RDC ou réussir, cela se justifie par les manques de tous les moyens
nécessaires mis à la disposition de sa mission en RDC (la
MONUSCO), car le cas conflictuels congolais est beaucoup plus politisé
d'où la difficulté coopérative de l'État congolais
et la mission, qui pousse aux bailleurs de fond de Nations Unies de contribuer
à la cause congolaise avec difficultés, cela peut se remarquer
dans le rapport du secrétaire général
présenté le 10 mai 2010 par monsieur Roger MEECE, intervenait
pour la première fois devant le Conseil depuis sa nomination, a
toutefois insisté sur l'énormité des difficultés
rencontrées dans l'Est du pays et a répété que la
Mission, avec ses moyens, ne pouvait assurer une protection complète de
tous les civils sur un territoire « plus étendu que l'Est du pays
». Tant que les groupes armés resteront actifs, les
activités de maintien de la paix iront de pair avec les activités
de consolidation de la paix et de redressement économique, a-t-il
ajouté, en
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appelant au soutien de la communauté internationale
dans tous ces domaines, des grandes puissances qu'il a qualifié des
bailleurs des fonds par excellence de l'organisation.
Parfois, l'ONU rencontre autres difficultés avec les
autorités congolaises qui ne facilite pas une bonne collaboration entre
eux et les autorités de la MONUSCO cela ce constante dans le même
rapport où le représentant spécial a expliqué au
Conseil de sécurité qu'il s'était fixé comme
priorité, dès son arrivée à Kinshasa, de «
nouer un dialogue constant et constructif » avec le Gouvernement du pays.
Malheureusement, a-t-il ajouté, une « série
d'événements graves », y compris les attaques et viols de
masse au Nord-Kivu et une « escalade inquiétante de la violence en
général », l'ont obligé à passer une bonne
partie de ses premières semaines dans l'Est du pays.
Par ailleurs, les attaques atroces commises au Nord-Kivu, en
juillet et août, ont clairement démontré l'importance de la
protection des civils et ont donnés lieu à un réexamen
approfondi des activités de protection de la MONUSCO, a expliqué
le Représentant spécial, qui a affirmé au Conseil que cet
examen ne « serait pas une activité ponctuelle ».
La MONUC avait joué un rôle de pionnier, a
affirmé Mr Roger MEERCE, qui a toutefois ajouté que la Mission
s'était engagée plus avant, en augmentant les patrouilles
militaires, en étendant les réseaux de téléphonie
cellulaire ou de radio ou encore en améliorant la communication avec les
populations.
Quant à sa participation à la résolution
des conflits, l'ONU rencontre les difficultés telles que, le manque du
respect de sa charte par les États membre précisément les
États voisins de la RDC, car l'ONU reconnait le principe de la
souveraineté de l'État sur ses ressources naturelles, cependant
nous constatons que, les conflits que connus la RDC est beaucoup plus
politique, avec comme principal objectif exploitation illégale des
ressources de la RDC, cela pourra se justifier dans une déclaration de
groupe des experts des Nations Unies du 02 octobre 2017 déclara que,:
«Il est manifeste que le pillage et exploitation illégale de
ressources de la République démocratique du Congo (RDC) est
devenu l'élément moteur du conflit»; en revanche, le
Représentant de la France a ainsi souligné le lien étroit
entre la poursuite de la guerre et l'exploitation illégale des
ressources naturelles congolaises alors que le Conseil de
sécurité examinait depuis certain temps, sous la
présidence de M. Moctar Ouane (Mali), la situation en RDC à la
lumière du rapport du Groupe d'experts sur l'exploitation
illégale des ressources naturelles et autres richesses de ce pays. Pour
sa part, le représentant de la Belgique, qui s'exprimait au nom de
l'Union européenne et des pays associés, a jugé cette
Parlant du plan scientifique, ce travail a connu certaines
difficultés dans les récoltes des données,
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situation particulièrement cynique et tragique pour la
population congolaise, victime des richesses naturelles de son pays dont elle
devrait être la bénéficiaire.
Le Président du Groupe d'experts, M. Mahmoud Kassem, a
observé dans le même rapport que, depuis la publication d'un autre
rapport en mai 2001, l'exploitation systématique des ressources
naturelles de la RDC s'est poursuivie sans relâche, procurant des gains
substantiels à des réseaux d'intérêts qui ont fait
en sorte que la guerre s'autofinance et se poursuive.
Pour y mettre un terme, le Groupe avait recommandé dans
un autre rapport de 2001 entre autres, l'adoption d'un moratoire sur l'achat et
le transit de matières précieuses provenant de zones bien
spécifiques. Il reviendrait au Conseil de sécurité de
rendre ce moratoire volontaire ou contraignant, a ajouté M. Kassem qui a
également proposé au Conseil de mettre en oeuvre un
mécanisme de suivi et de contrôle qui serait chargé de lui
rendre compte des progrès réalisés dans la mise en oeuvre
des recommandations du Groupe.
En outre, pour la réalisation de ce travail, nous avons
usé des certaines méthodes et techniques de recherche telle que
méthode juridique, car dans ce travail, il nous était utile et
judicieux de pouvoir analyser et interprété les textes juridiques
internationaux qui meuvent l'ONU en RDC sur la protection des civiles victimes
de conflits armés. En usant de cette méthode, nous avons
jeté un regard sur une approche sociologique par rapport à la
société congolaise conflictuelle tout en faisant aussi appel
à l'approche dialectique qui représente une tentative
d'explication des faits sociaux et peut être holiste, c'est-à-dire
qu'elle est liée à la notion de totalité..
Sa nous a aidé littéralement à lire
à travers les textes afin de repérer les contradictions des
notions, saisir le tissu de significations d'une notion en cherchant ses
contradictions. Quant à la technique, Dans notre étude, nous
avons fait usage de la technique documentaire qui nous a permis la collecte des
données au travers les ouvrages, les documents, les articles, les notes
des cours pour mener à cette fin cette oeuvre scientifique
fondée.
Quant aux difficultés rencontrées, nous avons
rédigé ce travail avec un peu des stress sur les plans
scientifique, mentale et sociologique.
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Sur le plan mental, notre mémoire n'était pas
sans inquiétude en rédigeant ce travail suite à certains
événements familiale qui nous est arrivés le long de cette
année académique l'année consacrée à la
rédaction dudit travail.
Parlant des difficultés sociologiques, nous avons
raconté certaines calamités familiales à notre sujet qui a
fait de sorte que les moyens financier ne soit pas assez suffisants pour nous
permettre de mener à une très grandes hauteur nos recherches.
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