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Objectif Terre

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par Sullivan DELEZON
ESG - Mastère 2017
  

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II.B. Pour les Nations et collectivités :

L'ensemble des parties prenantes, Grands Groupes, et collectivités sont touchés par les nouvelles législations en matière d'environnement. Bon nombre de jeunes entreprises se doivent d'arrêter leur activité à cause des coûts de retraitement, recyclage, ou autres processus amenés par de récentes normes, n'existant pas il y a quelques années.

Parmi les tournants majeurs en termes de législation, on retrouvera plusieurs évènements :

- 5 Juin 1972 : 1e Sommet de la Terre à propos du climat, en Suède

- 1982 : 2nd Sommet, 10ans plus tard, à Nairobi

Après ces deux sommet mondiaux, plusieurs conférences se sont déroulées, de plus en plus souvent, car le problème devenait de plus en plus important, et demandais donc une plus grande acidité sur la tâche. Tout d'abord, ces deux premiers sommet on posés les bases pour ce que nous appelons aujourd'hui, les conférences sur le climat : Les COP (Conférence des Parties). En effet, elles on permit d'instaurer au fil de ces années, plusieurs études qui démontrent comment agir pour le climat. On retrouvera parmi elles le Protocole de Montréal, en 1986, qui met en avant la préservation de la couche d'ozone et de ses conséquences si elle vient à disparaitre. Deux an plus tard, en 1988, c'est ONU cette fois, après une réunion des grands chefs d'état, qui créer une cellule spécifique à la préservation de l'environnement, le GIEC (Groupe intergouvernemental d'experts sur le réchauffement climatique). Avec ces experts et les études à disposition, le monde connait maintenant assez bien sa planète et ses habitants dans tous leurs aspects afin de pouvoir proposer les meilleures solutions, durables, et équitables pour tous.

- 1992 : 3ème Sommet, à Rio, qui marquera un grand tournant dans la bataille pour le climat.

La conférence de Rio est à cette époque, la plus importante jamais tenue. Elle a rassemblée plus de 2000 organisations non gouvernementales pour le climat et près de 173 représentants de nations. Un impact donc, qui sera certain sur la suite des évènements.

Après cette semaine de concertation, c'est un texte mettant en reliefs 27 grands principes. Principes qui sont basés sur l'implication même de l'homme, dans ses droits et ses obligations, pour sensibiliser chaque pays à l'environnement. Cette convention cadre surtout le besoin des nations à se rassembler chaque année pour parler du problème de notre ère, celui du réchauffement climatique et de l'appauvrissement des terres. C'est dans ce contexte, dont

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toutes les nations de son, ni impliquées, ni convaincues, que les premières « Conférences des Parties » voient le jour.

Au même temps de la création des COP, et à l'issu de cette conférence de Rio, un « Planning » est également édité, il s'agit de l' « Agenda 21 » c'est en réalité un plan d'action sur le long terme à utiliser durant le XXIème siècle en relation directe avec le développement durable. Cet agenda a pour but de jalonner l'intégralité des actions menée pour le climat, au niveau local, national, et mondial. Programme qui sera contrôlé et supervisé par l'ensemble des ONG impliquées directement dans les conférences pour le climat, et d'autres par des contrôleurs ayant une influence et des prédispositions à sanctionner au niveau mondial. Il a pour but des objectifs très distincts et clairs : Lutter contre les exclusions sociales et la pauvreté, lutter contre l'égalité des classes et des nations, produire des biens et services durables et bien sûr, en mettant au centre de ces activités, la préservation de l'environnement.

Puisqu'on le rappelle, le développement durable, repris directement du rapport Brundtland, est défini par 3 piliers : L'environnement, l'économie, et le Social, le développement durable, l' « Economie Bleue », se situerais donc au croisement de ces 3 notions. (Cf Image Page 5.)

Au milieu des nombreuses Conferences Of Parties, l'on en trouve qui ont forcément plus marquées que d'autres de par leurs bilan et les engagements qui s'en suivent :

- La COP 1 en 1995 à Berlin : La première, donc l'une des plus importantes, commence par l'accord des différentes nation présentes à la nécessité de se fixer des objectifs clairs et chiffrés concernant les limitations de rejet de gaz à effet de serre (CO2, Monoxyde...)

- La COP 3 en 1997 a Kyoto : Surement l'une des plus célèbres, celle qui a réellement démarrer les mesures pour endiguer le réchauffement climatique. Des âpres négociations, longues et lourdes, pendant 11 jours, aboutissement finalement à des objectifs chiffrés, par régions, par pays, pour limiter les gaz à effet de serre. 37 nations signent ce protocole les premiers jours, appelé protocole de Kyoto, qui sera encore révisé par la suite, pour arriver à un objectif de baisse de 5.2% d'émission de gaz comparée à 1990. Cependant, pour que le protocole soit validé et viable pour tous, il doit être approuvé par au moins 55 nations pour ne pas être caduque, l'échéance, qui marque aussi le début de ce programme, est fixé à 2005. En 2005, c'est au final 182 nations qui adopteront le protocole et ses engagements.

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- La COP 6 de La Haye, dans les années 2000, qui à rassemblée 182 nations : L'adoption réelle du protocole de Kyoto approche, et il y a encore des retissant, des réfractaires au programme. Les négociations stagnent, personne ne veut réellement s'engager sur les mesures précises à mettre en oeuvre alors que l'échéance de 2005 approche à grand pas. Les négociations sont dès lors stoppées pour faire face à une nouvelle COP 6, quelques mois plus tard, qui n'aboutira pas à plus. Surtout que, entre les 2 conférences, Georges W. Bush, alors élu nouveau président des Etats-Unis, annonce très clairement qu'il ne fera pas parti et ne signera donc pas les accords inscrits sur le protocole de Kyoto. Une grande nation, la plus grande du monde à cet instant, qui refuse un traité liant l'ensemble des principales nations mondiales. Bien heureusement, un accord est trouvé dans la COP 6 Bis envers le président des Etats-Unis, un accord qui ouvrira un « marché » sur les émissions de carbones entres les pays.

- Les COP 7-8-9-10 (Respectivement Marrakech (Maroc), New Delhi (Inde), Milan (Italie) et Buenos Aires (Argentine) ne sortent pas du lot, mais restent tout de même indispensables pour le début mais aussi, l'après Kyoto, en 2012. Il faut préparer Kyoto, mais aussi préparer l'après. Le protocole va s'accompagné d'un plan monétaire qui permettra de réduire les inégalités entre nations et de fournir des aides financières au pays en développement : c'est le Fond d'adaptation.

- La COP 11 en 2005, à Montréal : C'est la plus grosse conférence jamais organisée depuis ses débuts. Avec près de 188 nations représentées, le commencement des actions envers le protocole de Kyoto, c'est normalement la conférence la plus intéressante et décisive jamais menée, mais ça n'a en réalité pas été le cas. Alors que les objectifs et tâches ont étés clairement fixées depuis le début des conférences, c'est principalement sur la suite des évènements après Kyoto que Montréal s'est penchée. Sans grandes prises de décisions derrières... Une décision, floue et brève, qu'est ce faire perdurer le protocole après son échéance, en 2012.

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- La COP 15 2009 à Copenhague : Si les 3 précédentes Conférences n'ont pas eu d'impacts déterminants, c'est bien pour préparer la COP 15 de Copenhague. Celle-ci a en effet pour but principal de trouver une nouvelle ligne de développement. Puisque c'est cette dernière qui va fixer l'après Kyoto en 2012. A Bali, 2ans auparavant, des accords pour un après Kyoto sont alors conclus, l'année suivante, à Poznan en Pologne, 27 pays de l'Union Européenne s'engagent alors sur la réduction des émissions de CO2 pour l'après Kyoto. L'objectif ? Réduire de 20% les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2020, sur une base d'émission de 1990, un défi difficile à réaliser.

Jour J, 7 Décembre 2009, Copenhague. Au final, elle devait être la plus attendue pour les futures actions à menées. Les négociations déboucherons sur un unique accord, sans grand poids ni réelle décision, sur l'implication de chacun à trouver de nouvelles méthodes en rapport avec les nouvelles énergies. Sans aucunes mesures ni objectifs clairement fixées, d'ailleurs la Chine, comme les Etats-Unis, ne signeront pas cet accord envers les nouvelles énergies. Un fond d'investissements, sera tout de même adopter pour lutter contre la déforestation et la préservation de certains espaces dans les pays les moins développés. : Le Fond pour le Climat.

- COP 16 2010 à Cancùn (Mexique) : elle vise les valeurs de ce dernier Fond pour le Climat à hauteur de 100 Milliards de Dollars, mais rien de vraiment concret. Cependant, un accord important est conclu par l'ensemble des nations pour la suite des évènements : l'engagement de ne pas dépasser de 2 degrés Celsius supplémentaires la hausse de la température mondiale liée directement à l'activité humaine.

- La COP 17 de Durban (Afrique du Sud) : Elle marque un arrêt du Protocole de Kyoto, en effet, l'objectif de cette conférence à pour but principal de fixer les nouveau jalons pour établir un nouveau protocole, initié en 2015, qui ne sera actif qu'en 2020. Afin de gagner un peu de temps mais rester dans cette dynamique, le compte rendu de la conférence de Durban propose alors de continuer les normes engendrées par le protocole de Kyoto encore 8 années, de quoi attendre un nouveau protocole et son application, en 2020. Les accords sont signées, ombre au tableau, 3 nations refusent de signer la prolongation, à savoir le Canada, le Japon et la Russie. Déjà abandonnée par la Chine et les Etats-Unis quelques années plus tôt, le « nouveau » protocole de Kyoto est aujourd'hui dérisoire, puisque c'est seulement 15% des émetteurs de gaz à effet de serre qui sont engagés envers le protocole.

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- Les COP 18, 19 et 20 (Doha (Qatar), Varsovie, Lima(Pérou) : Elles préparent la prochaine grande conférence qui aura lieux afin de fixer les accords pour succéder à Kyoto : La conférence de Paris. Les enjeux remis en évidence : trouver des mesures contraignantes d'ici 2020, date qui clôturera le protocole actuel.

- La COP 21, le 30 Novembre 2015 à Paris : C'est à ce jour, la plus importante et la plus décisive jamais organisée. Avec des années de préparations, près de 195 nations représentées.

C'est la conférence de Paris qu'a permis d'aboutir l'un des plus grands accord qui engage l'intégralité des 195 nations.

Engageant l'ensemble de ces pays à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. C'est l'activité humaine est à l'origine du réchauffement climatique, c'est que montrent les différentes études du GIEC, groupe d'étude formée entre les 2 derniers Sommets du Climat, celui de Nairobi et Rio, en 1988. Les nombreuses études s'accordent sur le fait que les activités de l'homme sont « probablement » à l'origine de la hausse du mercure. Le dernier rapport du GIEC paru en 2014, juste avant la conférence donc, dénonce les activités humaines, il annonce également que c'est un phénomène « sans équivoque et sans précédent ».

Préparée depuis plusieurs conférence, c'est celles-ci qui doit donner la prochaine marche à suivre et continuer directement les efforts qui ont étés fait durant le protocole de Kyoto.

Cette conférence a eu pour finalité les objectifs suivants :

- Stabiliser le réchauffement climatique en dessous des 1.5°C pour le prochain centenaire. Pour ce faire, il faudrait alors que les émissions mondiales baissent de 40% à 70% d'ici la moitié de notre centenaire si nous voulons atteindre cet objectif. D'ici 2050, l'objectif serait de fédérer une économie mondiale pratiquement neutre en émissions de carbone pour arriver à l'augmentation de 1.5°C entre 1861 et 2100.

- Produire vert, ça coûte cher, la conférence a pour but d'évoluer ces Fond d'adaptation en « Fonds Verts pour le Climat ». Rappelez-vous, durant les débuts de la COP, c'était 35 pays qui participais à la récolte de ces fonds pour permettre au pays en voie de développement d'investir dans les moyens pour réduire ces GES (gaz à effets de serre). C'est en 2015, près de

En quelques chiffres, les GES c'est :

22.7%

15.6%

10.9%

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195 nations qui investissent dans un même but, émettre de moins possible de gaz, et ce pour chacune des nations.

La conférence de Paris a surtout mis en évidence l'arrêt de tergiverser autour du pot sans trouver de réelles solutions. Elle demande alors à chacune des nations signant les accords la présentation de réels engagements au travers « L'Agenda des Solutions Durables ». L'avantage de cet agenda, c'est qu'il est mis en oeuvre par des organismes non gouvernementaux, et donc, non influencés par les politiques financières des pays, mais uniquement par les engagements tenus, suivis des résultats.

C'est donc les entreprises, les ONG ou encore les collectivités qui contrôleront et pourront dénoncer les signataires des accords en cas de non actions concrète, pourtant annoncée, envers l'environnement et l'économie durable.

A l'instar du second protocole de Kyoto, les accords de Paris ont eux, impliqué les plus gros acteurs mondiaux. Les plus gros émetteurs de GES. Les accords de Paris, après une réflexion longue de plusieurs mois, ont étés signés le 22 avril 2016. Partie des clauses, les accords se doivent d'être renouvelés tous les ans, c'est alors que le 22 avril 2017, il a été re-signé pour une durée d'un an supplémentaire à New-York, par au total, 175 nations.

Ces 175 Nations représentent à elles-seules près de 56.75% du total des émissions de GES.

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Tout le monde le sait, ces derniers mois, information a été au centre de toute l'actualité, l'élection de Donald Trump. Le nouveau présentent de la 1ère puissance mondiale a annoncé récemment son retrait des accords de Paris, selon lui, un élément perturbateur quant à l'évolution économique de son pays et également responsable du taux de chômage au sein du pays.

L'information à retentie comme une bombe pour les nations Unies et toutes les autres puissances mondiales. Lorsque l'on sait que les Etats-Unis sont responsables de plus de 15% des émissions des GES dans le monde, les accords de Paris perdent tout de suite de leur crédibilité. La crainte est de voir alors plusieurs nations calquer le comportement du président Américain. Pourquoi leur nation ferait des efforts à financer le développement durable tandis que d'autres se permettent de se développer au détriment de l'environnement ? C'est une question que peuvent se poser les différents chefs d'Etats et mettre alors en échec les accords de Paris.

- La COP 22 à Marrakech en Décembre 2016 : La dernière conférence à avoir eu lieu n'a pas vraiment fait évoluée ni concrétisée les accords de Paris, elle n'a que fait préparer le prochain sommet, là où seront décidées les règles d'application des accords sur le climat édités à Paris l'an passé.

La COP 23 aura donc lieu à Bonn, au siège de la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Lieux emblématique qui a déjà rassemblé plusieurs nations, jusqu'à 190 pour les plus gros évènements. Conférence qui est par ailleurs organisée par les Iles Fidji, ces derniers qui n'ont pas pu assurer l'évènement dans leurs locaux par soucis de logements.

Cette conférence va donc, si l'on en croit les engagements de la COP 22, décider de plusieurs actions concrètes à mettre en oeuvre afin de tenir les engagements des accords de Paris. Que ce soit pour le réchauffement climatique, les inégalités, le développement de l'énergie renouvelable ou le Fond Vert pour le Climat, la COP 23 est attendue à tenir ses promesses et à engager la majorité des nations quant au programme à venir.

Autre détail, qui n'est est pas un, il faudra trouver une solution avec les Etats-Unis afin de les réaligner sur les devoirs et engagements de chacune des Nations. Si l'organisation ne trouve pas de solution pour réintégrer les USA au coeur des préoccupations mondiale, cela risque de compromettre toutes les opérations à venir et donc, la non-atteinte des objectifs fixés.

Des évènements qui réunissent les grandes Nations, mais c'est aussi les normes, brevet et Labels qui contraignent les entreprises.

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De nombreux Labels ont vu le jour ces dernières années. A la demande de l'entreprise, un Label permet, sous réserve d'entrer dans le cahier des charges, d'être montré comme un véritable acteur pour l'environnement ou la qualité des produits. Chaque Label à son importance, sa signification, et ça crédibilité également. Certain Label n'hésitent pas, avec l'attrait du profit, à accorder le logo sans réel contrôle. Alors comment reconnaitre un bon label d'un mauvais ? On ne peut pas sans s'être soit même renseigné au préalable. Parmi eux, on en retrouvera de très célèbres, et gages sincères de qualité et d'engagements de par les chartes vérifiées et de réels contrôles.

 

Le Label PEFC : Utilisé par Ikéa entre autres, il permet d'identifier les entreprises qui utilisent au moins 70% de leur bois en autosuffisance. Quand on connaît l'exemple d'Ikéa, ce Label, pourtant réputé, fait preuve de laxisme sur l'affaire Ikéa, on peut cependant s'y fier dans sa généralité.

Ecolabel : Celui-ci est délivré en France par Afnor Certification, un grand organisme. Label Crée en 1992, il intègre une approche globale du développement durable dans tous ces aspects : sociaux, économiques et écologiques. C'est un label de qualité, très difficile à obtenir car très règlementé. Un réel argument de vente pour les entreprises.

 

L'agriculture biologique est au centre des tendances d'aujourd'hui. Réelle prise de conscience ou effet de mode ? Le bio se développe de plus en plus, parce que son succès se développe lui aussi. En Moins de 10ans, la consommation de produits Bio a triplé. Le Label agriculture biologique est le label le plus recherché du moment dans le secteur alimentaire. Il prouve un gage de qualité et respectueux de l'environnement.

Dernier exemple d'influenceur : Energy Star. Cet organisme contrôle majoritairement les appareils électriques comme nos ordinateurs. Il atteste d'une consommation moindre des produits pour une consommation d'énergie réduire et une préservation de l'environnement.

 

Aujourd'hui, des solutions sont en train d'être trouvées, grâce à l'innovation. Des solutions pour leur majorité, urbaines, qui se font par le biais d'installation. Ces innovations voient le jour par des startup innovantes, à la recherche d'un demain meilleur et plus connecté.

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Quelques exemples de concept existant pour solutionner la diminution des GES :

- Depuis peu, Place d'Alésia, à Paris, les habitant et touristes ont pu observer cet été un

élément de décoration bien étrange. Ce dernier, c'est un Puit de Carbone. Au premier abord on pourrait penser à un Kiosque à journaux, et bien non ! Mis en place début Avril 2017, ce Puit, inventé par le groupe Suez, permettrait de remplacer en absorbions de CO2, l'équivalent d'un bosquet de 100 arbres. Le tout grâce aux algues à l'intérieur et à la photosynthèse.

- E-tree : C'est le nom de l'arbre du futur. Présenté lors de la COP 21 à Paris, cet arbre

multifonction est l'innovation urbaine par excellence. Plusieurs utilisations sont possibles avec cet arbre : Recharger son smartphone, son vélo, c'est aussi un point d'eau et accès Wi-Fi. Super connecté, il reste 100% écologique puisqu'il est autosuffisant en ce qui concerne l'électricité et en redistribue même à la ville. Des géants de l'industrie tels que Jean-Claude Decaux ou encore Google sont intéressés par l'innovation. Il se pourrait donc que l'on voit « pousser » de plus en plus de ces arbres dans nos villes.

- Innovation connue de tous, et qui séduit de plus en plus de collectivités : le Tramway.

Le Tramway est une bonne alternative au réchauffement climatique. La pollution dans les grandes villes augmente, le Traffic aussi, et donc les problèmes de circulations augmentent à leur tour. Innovation obligatoire, mais qui sait concilier l'écologie, le Tramway est instauré dans plus de plus de villes, c'est aujourd'hui près de 15% du transport en commun en ville. Ce qui en fait une vraie success-story. Suivent les petites navettes électriques. Dans les villes plus petites, où le développement d'un tramway n'est pas justifié, les communautés de communes adoptent une stratégie différente. Les Eco-bus, ou encore Libé-bus, à chaque ville son nom, mais une même utilisé, limiter les transports individuels au profit des collectifs.

Du mobilier urbain ludique, permettant de sensibiliser directement la population, voit aussi le jour. Un exemple, le vélo qui recharge votre smartphone. Branché à une dynamo, il permet à l'utilisateur de recharger son téléphone tout en faisant un effort physique. Une bonne manière pour sensibiliser aux économies d'énergies et pour l'habituer à faire du vélo !

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"Il faut répondre au mal par la rectitude, au bien par le bien."   Confucius