La figure du père dans "Quelques adieux " de Marie Laberge. Discours de l'implicite et stratégies narratives( Télécharger le fichier original )par Massiva AIT OUARAB Université d'Alger - Licence de français 2011 |
III. Les rapports Père/EnfantLa relation père/enfant, est très importante dans la mesure où elle permet un développement normal de l'enfant. Sa suppression peut engendrer des perturbations, parfois irréversibles, du comportement. Dans Quelques Adieux, nous relevons une relation père/enfant, plus ou moins complexe : nous avons des rapports quasi inexistant chez certains personnages tels que François, très forts et momentanés pour le personnage d'Anne, solides et durables concernant le personnage d'Elisabeth. Ces différents rapports, rendent compte des facettes multiples du père, qui sont souvent liées au contexte socioculturel. Dans ce présent travail, les personnages baignent dans une société québécoise où le statut du père a changé, et cède la place à un père démissionnaire, à ce sujet Germain Dulac, sociologue et chercheur dans un centre d'étude appliqués sur la famille, dira : « Plusieurs personnes hésitent désormais avant de définir ce qu'est un père. Si nous divergeons d'opinion sur ces points, cela n'est pas sans lien avec le fait que, comme société, nous vivons sous l'emprise d'un paradoxe du père nécessaire et du père abject. D'un côté, on nous dit que le père est nécessaire; de l'autre, il serait un être immoral, indigne de notre confiance. »220(*) Ce paradoxe du père dans la société québécoise, est similaire aux études faites par d'autres sociologues appartenant à d'autres pays, et donc, d'autres cultures. L'aspect responsable et irresponsable du père, n'est pas un phénomène qui date d'aujourd'hui, toutefois, il est intéressant de constater que certaines productions littéraires s'y intéressent. Nous avons remarqué que la figure du père, est un sujet d'actualité. Notamment, dans Quelques Adieux, le personnage du père est présent sous différentes formes, c'est-à-dire, qu'il est à la fois, un père responsable, indigne, absent, mais nécessaire : « Il (le personnage du père) apparaît si intimement lié à l'action - qu'il (...) assume ou provoque- qu'il constitue le vecteur privilégié de l'intrigue et le coeur des programmes narratifs »221(*) Ce passage, montre l'importance du personnage du père dans le récit, car il représente le facteur essentiel du déroulement des événements, même si, ce personnage est peu présent dans la narration, selon Philippe Hamon, ce personnage fugace « on doit l'abstraire, car on ne peut l'extraire : localisable partout et nulle part, ce n'est pas une partie autonome, ... prélevable et homogène du texte, mais unlieu ou un effet sémantique diffus.»222(*). Cette figure insaisissable, et qui constitue à elle toute seule un élément signifiant, a une grande incidence sur la vie des protagonistes, et plus précisément sur celle des enfants. De ce constat découle le besoin d'établir des rapports père/enfant pour chaque personnage. Ces relations père/enfant, peuvent être étudiées à partir de deux axes : l'un s'intéressant au mécanisme du déracinement chez les amants (François et Anne). Et l'autre, considérant le père comme le point d'ancrage de l'épanouissement et du non épanouissement, des personnages. A. Le mécanisme du déracinement Avant de procéder à l'analyse, il est important de définir le concept du déracinement, tel que nous l'entendons dans notre étude. Il ne s'agit pas de s'intéresser au sort et aux méandres des exilés qui quittent leur terre d'origine pour des raisons matérielle ou politique, et qui rencontrent des problèmes d'ordre culturel et valorisent la quête identitaire. Certes, dans notre récit les personnages mènent une quête identitaire, mais celle-ci a été provoquée par l'absence du père. Et le sens du déracinement, dans notre travail, va avoir une portée psychique. Il s'agit d'exposer l'état d'esprit des protagonistes qui ont subi une absence, un arrachement, de l'être qu'ils aimaient ou qu'ils auraient voulu aimer. Nous allons voir le cas de François, privé d'amour paternel et qui tente de retrouver son enfance, mais sans résultats. Ainsi que le cas d'Anne qui a connu la perte d'un père attentionné, et désire rejeter l'amour, mais en vain. Le personnage de François, est présenté, au début de l'oeuvre, comme un être stable et comblé, mais nous nous apercevons à la page 33, qu'il y a une redondance de la phrase suivante : « Quelque chose est fini qui ne reviendra plus ».223(*) Cette phrase est répétée cinq fois dans un espace très réduit, c'est-à-dire, dans un paragraphe de quinze lignes. Cette répétition, nous intrigue et incite le lecteur à se poser des questions quant à l'élément qui est fini et qui ne reviendra plus. A partir de ce moment, le lecteur se sent investi d'une mission, celle de trouver une réponse à son étonnement. Ce qui va amplifier notre besoin de connaître le « quelque chose qui est fini et qui ne reviendra plus », c'est la question suivante : « D'où venait la cassure ? »224(*) A travers cette question, nous pouvons, dores et déjà, nous mettre sur la piste du passé, car le paragraphe fait allusion au passé et à la nostalgie, avec une pointe de tristesse : « Quelqu'un dans le voisinage a mis le feu aux feuilles. (...)L'odeur le (François) remplit d'une tristesse indicible, (...) le parfum est puissant et l'enveloppe d'une nostalgie qui ne cherche pas à se nommer. (...) Un souvenir, un souvenir brumeux dans l'air piquant de l'automne, comme l'écho d'un cri venu d'une vie antérieure. »225(*) Cet extrait en rapport avec le passé de François, n'est pas clair et ne donne aucune indication quant à l'événement qui est responsable de ce qui est fini. La question que nous avons relevée, nous pousse à chercher des détails, des informations, qui ont provoqué la cassure dans laquelle vit François. Ces sentiments de cassure, de nostalgie et de tristesse, sont en relation avec une enfance marquée par l'absence, et ce qui nous autorise à avancer ces propos, c'est le travail qui a été effectué, non seulement dans le premier chapitre de notre exposé mais aussi dans le deuxième. Et également, les résultats obtenus, lors de notre recherche, c'est-à-dire, la redondance et la référence constante à un seul personnage peu présent dans le récit, il s'agit de la figure du Père. Même adulte, François continue à ressentir le malaise de l'absence, parce qu'il l'a privé de souvenirs, de mémoire et d'enfance. Dans la fiction, le protagoniste donne l'impression de ne pas tenir son père pour responsable de son instabilité, mais son comportement exprime tout autre chose : le fait de ne pas vouloir d'enfant et de se comporter comme un père à l'égard de son père, vieilli et inconscient, révèlent un homme en quête de son enfance et de son identité. L'enfance est une étape importante, chez l'homme, sans elle, il n'a pas de repère et se sent perdu, tel est le cas du personnage principal. François voudrait comprendre l'absence qu'il a connue, et connaître les raisons qui ont poussé son père à être irresponsable; or, le personnage du père, devenu malade, est inaccessible. Cette incapacité à découvrir la vérité, réduit le héros à l'état de victime du passé, et les conséquences en sont la solitude, la perturbation psychique, l'adultère, la maladie et la mort. Le parcours fictif de François est ressemblant à celui de la gravure décrite dans le récit. Celle-ci résume, parfaitement, son déracinement intérieur dû à une vie antérieure. La gravure de Florence représente un arbre qui n'a pas de racines, et qui devient la victime du vent. Pareillement, le protagoniste n'a pas de racines et d'enfance, sa situation est sujette aux comportements asociaux tel que l'adultère. Le personnage d'Anne, au début de l'oeuvre, semble être mystérieux et dépourvu de tout indice concernant sa vie de famille, et ce n'est qu'au chapitre trois de la première partie du roman, que le passé d'Anne surgit, et nous donne des précisions sur les raisons de son comportement. Ce personnage féminin est complexe, et son attitude laisse paraître une étudiante sûre d'elle et libre de tout attache affectif. D'ailleurs, le portrait moral qui a été établi dans le récit rejoint cette attitude de liberté affective, et le besoin de solitude : « L'université permettait à Anne d'habiter presque seule avec subsides parentaux eu égard aux études, (...) partir en nowhere aurait nettement mieux convenu à Anne, (...).Elle (Hélène Théberge) considère (...) que Anne est tout fait le type de fille avec qui elle peut apprendre (...). Surtout en ce qui concerne l'autonomie, vertu très développée chez Anne (...). (...)Assise toute seule au restaurant de la Jonction, Anne savourait le plaisir d'être l'unique cliente. (...) c'était le genre de calme qu'appréciait Anne Morissette (...) » 226(*) Ce désir de solitude, que nous apercevons dans le premier chapitre, n'est pas justifié, il nous a fallu attendre le troisième chapitre de la première partie, pour connaître l'origine de cette nécessité et recueillir des informations d'ordre familial. Cette solitude provoquée par un événement passé, a donné naissance à une Anne refusant tout lien affectif, d'un point de vue familial ou amoureux. Elle exprime sa liberté en disposant des hommes comme elle le désire : « Anne avait dû séduire un gars du cours et passer la nuit avec lui. Ça lui arrivait souvent. Hélène enviait beaucoup sa liberté et son audace. (...) Anne, (...) avait presque une baguette magique ; elle regardait le gars et, dix minutes plus tard, il était à ses pieds. Il semblait à Hélène qu'Anne n'avait jamais connu d'échec. Ni amoureux, ni scolaire, ni d'aucune sorte. » 227(*) La liberté sexuelle dont jouit Anne, son manque d'attachement aux hommes et la fuite qu'elle entreprend à chaque témoignage d'amour, montrent qu'il y a une faille dans son vécu personnel. Nous pouvons considérer cette solitude et liberté, comme un moyen de compenser un sentiment ou une absence, liés au passé de la protagoniste. Grâce au chapitre de La Reddition, la conduite de ce personnage est justifiée, elle est en rapport avec son enfance, et plus distinctement, avec la mort de son père. Nous signalons que le manque d'amour paternel, a des incidences sur le comportement social et privé du sujet, c'est-à-dire, que le personnage d'Anne conçoit la figure du père comme un tout, un équilibre indispensable, et contrairement à François, Anne garde de son père des souvenirs tendres et affectueux : « Le sourire de son père (...), et les gestes doux qu'il avait eus pour mettre les souliers à sa petite fille éblouie. »228(*) Cet amour, cette tendresse et cet homme, qui est son père, l'ont aliénés et ramenés, rapidement à une vie instable où la peur d'enterrer un être cher et « à en faire son deuil »229(*) l'obsède et l'angoisse. Cette faille psychique a déraciné Anne, l'éloignant d'abord de sa famille puis de l'amour. Ainsi, le déracinement d'Anne et son manque de sociabilité proviennent d'une carence affective, celle du père, qui a une portée significative dans la vie du personnage. Il est responsable de la souffrance et de l'instabilité psychique, vécus par Anne. La figure du père est, non seulement à l'origine des perturbations psychiques du personnage, mais elle est, aussi, un prétexte à l'adultère. La quête de soi, les questions sans réponses, les états d'âmes changeants, poussent la protagoniste à chercher une compensation. Celle-ci se fera sous la forme d'une passion ravageuse, qui ne deviendra pas substitut affectif, mais la fera retrouver face à la mort. L'aspect dérisoire de l'absence d'un père, a engendré des êtres incompris, qui se cherchent, sans succès. Nous allons voir, si cette quête de soi, une fois menée à terme, permet l'épanouissement ou le non épanouissement des personnages. B. Le père comme élément central de l'épanouissement ou du non épanouissement Il s'agit de voir si la figure du père, personnage peu présent dans le récit, influence l'évolution psychique de l'enfant. Nous supposons que cette influence comporte deux versants, le premier concerne les personnages qui ne connaissent pas la carence affective du père, et donc il y a épanouissement et c'est le cas d'Elisabeth. Le deuxième concerne les personnages qui ont vécu l'absence de l'amour paternel, et dans ce cas, nous ne pouvons pas prétendre à leur épanouissement. a) Elisabeth Elisabeth est un personnage équilibré, de par son enfance et sa famille. Le récit n'accorde pas une grande place à son passé, néanmoins, le peu de passages faisant référence à sa vie antérieure et à son père, montrent que la protagoniste n'a pas souffert d'absence ou de manque affectif. Dans sa famille, son père la gâte et son désir est de la voir heureuse :
« Son père lui avait confié un peu d'argent pour qu'elle se gâte (...) une somme donnée (...) pour lui dire qu'il la voulait heureuse »230(*) Même dans son couple, c'est une femme aimée par son mari, et le lien qui l'unit à François est particulier car elle a vécu tant d'année auprès de lui en acceptant sa résolution, celle de ne pas avoir d'enfant. Ce sacrifice, ce renoncement, est un témoignage d'amour. Et lui, aussi l'avait rendue heureuse : « Elle avait eu ses vingt ans heureux, et ses vingt et un ans de mariage proche d'un homme qu'elle aimait et qui l'aimait. Elle était tout de même dépositaire de ce trésor inouï qu'est le bonheur. Même passé. »231(*) Ce bonheur ne peut s'effacer avec l'infidélité de François, même si Elisabeth a subi les méandres de la vérité, toutefois, elle reprend confiance et décide de bâtir un autre avenir auprès d'un autre homme, Jérôme. Cette attitude, qui est d'enterrer le passé et d'entreprendre l'avenir, met l'accent sur un personnage féminin épanoui, contrairement à François, qui se laisse anéantir par la maladie pour échapper à son passé, à son adultère, à ses mensonges, à sa passion et à son instabilité psychique. b) François François, après avoir subi l'absence de son père en étant enfant et après l'avoir perdu une fois adulte, n'a qu'un seul langage, celui du corps avec Anne, et celui du mensonge avec Elisabeth. Les deux facettes du protagoniste, méconnues par Elisabeth, vont l'anéantir car il n'a pas la capacité de faire un choix. La double vie qu'a menée ce personnage, lui a été fatale mais en même temps nécessaire : Avec Elisabeth, il retrouve un semblant de stabilité sociale, celle-ci le rassure et lui permet de faire face à sa deuxième vie qui le préoccupe. Même si François remarque que la reconnaissance sociale est une illusion du bonheur et de l'épanouissement, cela ne l'empêche pas de vouloir la maintenir, pour permettre à sa femme une vie décente et sans agitations. Simultanément, avec Anne, on assiste à l'émergence d'un François différent, libéré de toute volonté et de tout désir à vouloir respecter les règles de la bienséance, ce qui le rassure, c'est que sa femme, Elisabeth, soit protégée du regard de la société. Cela ne l'empêche pas d'être tourmenté par la passion qu'il vit auprès de son étudiante, et surtout par le lien qui les unit. A travers notre analyse de ce personnage, et par le biais de l'écriture de M. Laberge et de son utilisation des analepses, nous constatons que l'ambivalence de François relève d'un passé et d'une absence non acceptée, tout comme Anne. D'ailleurs, c'est ce qui fait la particularité de leur relation. Ce qui revient à dire, que la présence de la figure paternelle est indispensable à l'évolution sociale et familiale du personnage, et son absence « qu'elle soit physique ou psychique constitue (...) une modification importante (...) »232(*) sur le plan mental. Sa disparition signifie la perte de repères, et c'est justement là qu'on voit le personnage tiraillé entre deux vies et hanté par un passé inexistant, puis tourné vers la maladie, pour ensuite se laisser mourir. L e personnage de François, n'évolue pas parce qu'il ne détient pas la clef de son passé. Dans l'écriture de M. Laberge, nous observons un dispositif mis en place par l'écrivaine dans un but précis, et qui est « la réalisation d'un souhait (...) qui rencontre (...) de nombreux obstacles remettant en cause les capacités d'action (...) du personnage (...) »233(*), c'est-à-dire, que le protagoniste, François Bélanger, a un objectif : se rapprocher de son père afin de réaliser son souhait qui est de rattraper les souvenirs de son enfance. Cependant un obstacle s'impose, celui de la vieillesse et de la maladie de son père. Ces dernières, ont provoqué chez le père de François un handicape mental, ainsi, le fils est dans l'incapacité de reconstruire son passé et son enfance. Et donc, il est condamné au non épanouissement et à la mort. c) Anne Tout comme François, Anne souffre de l'absence de son père, toutefois, elle détient la clef de son passé parce qu'elle a en mémoire les souvenirs d'un père présent et aimant qui, malencontreusement, a connu une mort précoce. Néanmoins, la présence de son père, même si elle a été de courte durée, a apportée à la protagoniste la force nécessaire pour survivre. Cette survie se résume à un comportement libertaire dénué de tout attachement, et de fuite, en cas de tentation à l'égard de l'amour. Ce dernier point, tant respecté et voulu par le personnage féminin, a cessé d'exister le jour où François est allé avec elle, Rue Fraser. L'amour de François est envahissant, et étouffe Anne. Elle tente d'y mettre fin mais elle n'y arrive pas. Le sentiment de dépendance qu'elle éprouve, va la pousser à fuir cet amour, même si il a duré sept ans. Ce sentiment, va la mettre face à une solitude, insurmontable, qui finira par la tuer non pas physiquement mais symboliquement. La relation intense qu'a connue Anne avec François, est une forme de substitut affectif. Privée de son père très jeune, elle renonce à l'amour pour ne plus être blessée, mais sa rencontre avec F. Bélanger, va raviver les sentiments qu'elle avait, jadis, enfouis en elle pour ne plus être hantée par le passé et la mort. Ces sentiments refoulés et qui font surface, vont réveiller une blessure profonde non cicatrisée, celle de la mort de son père. Cette mort a entraîné, chez Anne, deux conduites paradoxales : l'une évitant l'amour et l'autre l'épuisant jusqu'à provoquer sa mort et celle de son amant. Nous pouvons dire, également, qu'avec la mort de son père, Anne sent une partie de son être mourir, et avec la disparition de François, c'est tout son être qui meurt. Et cette mort symbolique est la preuve du non épanouissement de ce personnage. Nous soulignons que la figure du père, est incontournable et nécessaire pour l'épanouissement de l'enfant et de l'adulte. Nous l'avons vu avec Elisabeth, le personnage le plus équilibré comparé aux deux autres. Et nous reconnaissons que l'absence du père peut engendrer des transformations d'ordre psychique et perturber, ainsi, le bon développement social et familial de l'enfant, une fois devenu adulte. C'est ce que nous avons essayé de montrer à travers le comportement des amants : François et Anne. Et afin de saisir l'impact de la présence ou de l'absence du père, il est indispensable de délimiter son rôle au sein de sa famille et de son couple. Notre travail, à présent, consistera à mettre l'accent sur le rôle de la figure paternelle au sein de sa famille et de son couple, afin de souligner sa densité et son influence.
* 220 -G. Dulac, La fragilité de la paternité dans la société Québécoise : Les paradoxes du père nécessaire et du père abject, dans la revue professionnelle « défi jeunesse ». In http://www.centrejeunessedemontreal.qc.ca/cmulti/défi/defi_jeuness_0006/paternite.htm (site consulté le 5/11/2007 à 20h) * 221 -E. Borda, C.B. Moison, G. Bonnet, A. Déruelle, C. M. Colard, L'analyse littéraire, Nathan, 2002, p. 147. * 222 -PH. Hamon, Le personnel du roman, Le système des personnages dans Les Rougon - Macquart d'Émile Zola, Geneve, Droz, 1983, p19. * 223 -M. Laberge, Quelques Adieux, Boréal, 19992, p.33. * 224 -Idem, p.33. * 225 -Ibid, p.33. * 226 -Ibidem, p. 19-25. * 227 -Ibidem, p.64. * 228-Ibidem, p.161-162. * 229 -Ibidem, p.163. * 230 -M. Laberge, Quelques Adieux, Boréal, 1992, p. 255. * 231-Ibid, p. 275. * 232 -C. Olivier, L'ogre intérieur, De la violence personnelle et familiale, Paris, Fayard, 1998, p.67. Dans la Revue professionnelle Défi jeunesse, La fragilité de la paternité dans la société québécoise : Les paradoxes du père nécessaire et du père abject, article de , G. Dulac, in http://wwww.centrejeunessedemontreal.qc.ca/cmulti/defi_jeunesse_0006/paternite.htm (site consulté le 5/11/2007 à 20h) * 233 -E. Bordas, C. B. Moison ,G. Bonnet, A. Déruelle, C. M. Colard, L'analyse littéraire, Nathan, 2002, p.151. |
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