CHAPITRE III : LE CINEMA COMME ARME DE DESTRUCTION
MASSIVE
Section I : Le cinéma et ses genres
1. Le cinéma
Pour bien argumenter cette partie de notre travail, nous avons
eu à recourir très souvent au premier chapitre de notre travail,
qui parle en profondeur du cinéma et de son évolution à
travers le temps. Pour éviter la monotonie ou le redit, nous allons
juste survoler cette partie du fait qu'on en a déjà parlé
dans notre premier chapitre.
Le cinéma dans son acception originelle est le
procédé permettant d'enregistrer et de projeter des vues
animées. Il est né avec les frères Lumière vers les
années (...) à la fin du XIXe et début XXe siècle,
il est aussi considéré comme un art par rapport à la
combinaison des images, du son et des couleurs. Non seulement cela, mais aussi
le procédé permettant d'enregistrer et de projeter des vues
animées.57
Le cinéma a aussi évolué dans le temps et
même dans l'espace, avec l'évolution technologique et la
mondialisation, le cinéma n'est pas resté en arrière mais
s'est adapté dans cette évolution. Et pour ce qui concerne les
autres éléments concernant le cinéma, il faut se
référer au chapitre premier.
2. Les genres
Pour ce qui concerne les genres du cinéma, nous avons
deux grands genres cinématographiques qui ont chacun ses variables ou
ses sous genres :
? Le cinéma vérité ou le film documentaire ?
Le cinéma de fiction
a) Le cinéma vérité ou film
documentaire
Pour Jean-Marie Dikanga Kazadi, un film documentaire est comme
« une oeuvre audio-visuelle ou cinématographique relatant les
événements de la
57 Jacky Mpungu, cours de l'histoire du cinéma,
Op.cit., p4
62
réalité et dont l'objet est de les porter
à la connaissance d'un public avec une ambition pédagogique.
Lamizet, cité par Dikanga, préfère le terme de
"cinéma vérité", "cinéma direct ou de cinéma
spontané." »58
Pour le dictionnaire Larousse de poche, le documentaire est
défini comme quelque chose « qui a le caractère d'un
document à titre documentaire : pour information. Un film didactique
montrant un aspect particulier de la réalité. »59
Robert Flaherty cité par Dikanga Kazadi,
considère que le film documentaire est « un traitement
créatif de l'actualité. »60
Après ces différentes définitions que
nous venons de voir ci-haut, nous avons remarqué qu'il y a quelque chose
de très attirant dans ces définitions, c'est le fait que le film
documentaire ne rend pas compte de toute sa complexité, parce que
lorsque nous sommes sur terrain dans la pratique nous avons l'impression
qu'entre un film de fiction et un film documentaire ou entre fiction et
réalité il existe un risque de compénétration et de
confusion, les limites sont tellement floues qu'on a du mal à distinguer
les deux genres, ainsi la difficulté à définir le film
documentaire tient à sa nature particulière qui est celle du
point d'intersection entre le rapport réel et la construction par un
cinéaste, d'une vision, d'un point de vue. A ce niveau nous nous rendons
déjà compte que la relation qu'entretient un film documentaire et
la fiction devient ambigüe, parce que l'on peut se rendre compte
qu'à un certain moment les images que l'on met à notre
disposition ne sont pas nécessairement fidèles ou réelles,
mais seulement aux intentions de celui ou ceux qui les produisent.
Dikanga Kazadirelève cette problématique du film
documentaire en ces termes : " le film documentaire est difficilement
accepté comme un film du réel parce qu'il y a la
subjectivité du réalisateur qui intervient lors d'un
58 Dikanga Kazadi JM., cours de film documentaire
cours dispensé en première licence SIC/AS, UNILU 2012
59 Dictionnaire de poche, Larousse, Op.cit, p252
60 Dikanga Kazadi JM., Op.cit.
63
tournage ; c'est le réalisateur qui choisit
l'échelle des plans, c'est encore lui qui décide quoi montrer ou
non."61
Mais il est à noter qu'il y a certains auteurs qui se
sont penchés sur ce dossier et ont essayé de trouver un terrain
d'entente entre le film de fiction et le film documentaire. C'est le cas, par
exemple, de Jean-Luc Godard, réalisateur et cinéaste
français d'origine suisse, qui traduit cette difficulté de
distinction en trouvant un terrain d'entente pour lui : « tous les grands
films de fiction tendent au documentaire comme tous les documentaires tendent
à la fiction. Et qui bote à fond pour l'un trouve
nécessairement l'autre au bout du chemin62. »
Frederick Wiseman, réalisateur américain,
voulant éviter la controverse opposant la fiction et le documentaire,
estime que «le film documentaire reste une fiction du
réel»63parce qu'il estime que la réalité
reste vraie lorsqu'elle est réelle, c'est-à-dire que lorsqu'il
n'y a pas d'intervention venant d'un réalisateur.
1°) Caractéristiques d'un film
documentaire
Bien avant de parler des caractéristiques d'un film
documentaire, nous trouvons très important de parler d'abord des
origines du documentaire. D'entrée de jeu d'abord nous trouvons qu'il
est aussi nécessaire de préciser que le documentaire est
né au même moment que le cinéma, il n'a pas trainé
à se transformer en un genre à part entière, mais il a su
séduire un public considérable à la fin du XXe
siècle grâce à des oeuvres parfaitement en phase avec leur
époque.
Il s'agit d'un cinéma au service de la science, de
l'actualité et/ou de la pédagogie. Les thèmes sont
tirés principalement des faits sociaux ou scientifiques et sont
commentés avec une intention didactique.64
61 Dikanga Kazadi JM., Op.cit.
62 Dictionnaire Encarta, Op.cit.
63 Ibidem
64 Mpungu J., Histoire du cinéma Op.cit.,
p33
65 Dikand J-M., Op.cit.
64
Comme nous venons de le voir, le film documentaire est un
genre qui demande beaucoup de rigueur et de sérieux au risque de tomber
dans la fiction. Pour ce qui concerne les caractéristiques d'un
documentaire, nous avons :
- Le reflet de la réalité
- La recherche de la vérité
- L'absence de scénario et d'acteurs
? Le reflet de la réalité
A ce niveau il est important de noter qu'un film documentaire
ne vient pas entièrement de l'imagination du réalisateur qui
fabrique son réel. Mais ici il s'agit d'un réel observable ou
ayant été observé, donc même si le film documentaire
ne traduit pas le réel fidèlement c'est-à-dire à
cent pourcent, mais il doit toutefois rester collé au réel parce
que c'est la caractéristique fondamentale qui fait en sorte qu'on le
différencie d'un film de fiction.
Pour Dikanga Kazadi, «l'oeuvre cinématographique
du documentaire s'accroche en principe au réel, il essaie de rendre
compte de la réalité de la manière la plus
fidèlement possible65».
Exemple : Lorsqu'un réalisateur prend les images de la
façon dont on pleure un roi chez les Rund ou chez le Babemba, il doit
prendre des images sans tenir compte des positions ou demander à
quelqu'un de se tenir de telle ou telle autre façon, ou de regarder
à la camera.
? La recherche de la vérité
Le film documentaire est très considéré
comme un document didactique, qui permet aux gens d'avoir une connaissance sur
quelque chose, alors autant que le film documentaire se soucie de traduire
fidèlement le réel, autant il est animé par le souci de la
recherche de la vérité, c'est ce qui fait de lui un document
didactique.
66 Ibidem
67 Hanot M., Op.cit.
65
La vérité dont il est question ici, peut
être le fait qu'un fait est caché et que personne ne veut rendre
cela public, ou soit un fait qui a été mal rendu ou
déformé pour des raisons que l'on ignore de plusieurs natures, et
que le réalisateur cherche à donner la vraie version.
Exemple : lorsque l'on suit le documentaire «le tombeau
de Jésus», on doit d'abord comprendre ce que le réalisateur
cherche à nous faire voir, et se poser la question de savoir si avant
ça, il y a eu quelque chose qu'on nous a cachée.
Ainsi pour Dikanga Kazadi, «la recherche de la
vérité fait du réalisateur un véritable chercheur
qui doit consulter une documentation abondante et discuter avec des
spécialistes du domaine pour justement faire éclater cette
vérité.66»
Donc le documentaire est un genre qui nous réclame une
certaine rigueur, d'autant plus que cette vérité est à ne
pas confondre du vraisemblable comme nous le disent André Gaudrault et
Philippe Marion, cités par Muriel Hanot : «la «
vérité documentaire se » pose ainsi en contrepoint du «
vraisemblable fictionnel ». Le vraisemblable est une qualité issue
d'une construction scénarisée, il caractérise
l'activité narrative, (...).67
? Absence du scénario et d'acteurs
Comme tout travail scientifique, le film documentaire ne part
pas d'un scénario comme les films de fiction, mais il part d'une
hypothèse de travail qui doit être confirmé ou
modifié au moment de tournage, c'est aussi l'une des raisons qui fait
que l'on parle d'un documentaire comme étant un document didactique. Si
l'on part de cette hypothèse on doit savoir qu'un film documentaire ne
peut avoir même de découpage technique parce que tout est
sensé se faire au moment du tournage, et le réalisateur est
sensé aussi se contenter de capturer la réalité qui existe
déjà et qu'il doit l'attirer vers lui, en ce moment on n'a
même pas besoin d'acteurs parce si c'est le contraire qui se produit, la
subjectivité
66
risque d'être plus grande et faire dévier le film
de son objectivité. Nous savons qu'un acteur est sensé jouer un
rôle Qui lui a été assigné par un
réalisateur.
Mais cette thèse ne fait pas l'unanimité du fait
qu'il y a d'autres types de documentaire qui nécessitaient vraiment un
scénario ou des acteurs, c'est le cas, par exemple, du documentaire
historique ou de reconstitution, qui nous parle des époques antiques,
là le réalisateur sera obligé de reconstituer ou de
créer certaines choses ou personnages pour bien expliciter cela.
2°) différents types du film
documentaire
C'est vrai qu'il est difficile de classifier le film
documentaire du fait qu'il y a une très grande disparité de ce
genre de cinéma. Pour ne pas être trop excessif, nous allons juste
nous limiter à une classification usuelle, qui nous permettra de
regrouper le film documentaire selon un objet bien précis, de cette
façon nous aurons :
- Le documentaire historique ou de
reconstitution
Ici comme nous venons de le dire ci-haut, s'agit
généralement de reconstituer une réalité qui a
cessé d'exister. C'est le cas, par exemple, des documentaires comme :
«Air crash» qui est une série de documentaires qui parle les
crashs d'avion, c'est-à-dire que l'on reconstitue le décor, les
faits qui se sont déroulés mais cette fois avec des acteurs, ou
soit on peut recourir à un montage des films d'archives par rapport
à la réalité décrite.
- Le documentaire scientifique
C'est un genre de documentaire qui est plus ou moins de
création, il peut concerner notamment ce que l'on appelle le
documentaire de fond marin, ou l'avenir de l'homme sur terre, pour bien
expliquer on recourt à une reconstitution ou une création du
futur montrant l'évolution de l'homme dans le temps.
68 Encarta, Op.cit.
67
Certains réalisateurs ou critiques du cinéma
trouvent que ces deux sous-genres du film documentaire nous éloignent un
peu plus de l'idéal d'un film documentaire, qui est de prendre la
réalité telle qu'elle est sans y apporter des modifications.
- Le documentaire de propagande
Cette forme de documentaire, on la retrouve très
souvent dans les domaines politique et religieux. Elle peut donc consister
à suivre un acteur politique ou une personnalité religieuse, en
enregistrant tous ses faits et gestes, ses discours, ses interventions
télévisuelles et autres, pour en faire un document à part
entière.
- Le documentaire cinéma direct
C'est le plus courant et le plus répandu, cette forme a
pour méthode de capturer la réalité et de la restituer
sous forme d'un cinéma. Il répond aux caractéristiques
documentaires, c'est-à-dire qu'il s'inscrit dans le réel et
demeure dans le réel.
b. Le cinéma de fiction
Est considéré comme cinéma de fiction,
toute oeuvre cinématographique provenant de l'imagination de l'homme,
nous pouvons aussi dire que c'est un domaine des histoires inventées.
Pour le dictionnaire Encarta, un film de fiction est
considéré comme «toute oeuvre cinématographique qui
repose sur une histoire inventée68»
De la manière la plus simple ou populaire nous pouvons
dire qu'un film de fiction est le contraire de ce qu'est un film documentaire,
c'est-à-dire que, par exemple, dans le cadre d'un scénario, un
film de fiction, tout commence par un synopsis qui est une idée qui peut
venir du producteur, du réalisateur ou de quelqu'un d'autre que le
producteur achète, que l'on donne à un scénariste qui va
produire un scénario, ici on ne
69 Ibidem
68
part pas d'une hypothèse comme dans un documentaire, et
la présence des acteurs est fortement ancrée, parce qu'il y a
même de ces comédiens (acteurs) qui arrivent à imposer leur
personnalité, donc ils prennent le dessus sur le réalisateur.
1°) Différents intervenants dans la
réalisation d'un film - Le producteur
D'habitude c'est un monsieur qui n'a rien avoir avec le
cinéma, il peut être un homme d'affaires qui veut investir dans le
cinéma pour gagner beaucoup plus. Et c'est à son argent qu'un
réalisateur va transformer une idée en un film, en
réunissant les différents talents et en négociant la
diffusion du produit fini.
Lorsque les capitaux proviennent des investisseurs
indépendants qui forment une commandite, le producteur a souvent le
rôle de partenaire principal. Aux États-Unis, le studio qui
finance le film désigne un représentant, appelé producteur
exécutif. En France, on nomme « producteur
délégué » celui qui est considéré comme
le responsable économique et juridique du film, et aussi chargé
de la négociation des droits de diffusion, celui qui représente
celui qui a mis son argent en jeux sur le plateau de tournage69.
- Le réalisateur
Le réalisateur est le personnage clé dans le
tournage d'un film, c'est le patron même du tournage, c'est lui qui
dirige l'équipe technique et les acteurs. Le réalisateur exerce
un contrôle artistique à toutes les étapes, du
scénario à la dernière prise de vue du film. C'est, comme
nous venons de le dire, le patron du film au moment du tournage, si le film
rate au moment du tournage, c'est lui qui va rendre compte au producteur et non
les acteurs ou l'équipe technique, parce le producteur n'est pas en
contact direct avec les acteurs.
69
Le réalisateur est généralement choisi
par le producteur, mais dans le cadre du cinéma d'auteur
européen, il est souvent l'auteur du scénario et parfois
même participe à la production, et cela n'est interdit si le
réalisateur a de l'argent, il peut s'associer avec un autre producteur
pour produire une oeuvre cinématographique.
- Le scénariste
C'est lui qui traduit le texte du synopsis au scénario,
mais il est important de savoir que la fonction d'un scénariste varie
énormément d'un film à l'autre. On peut demander à
un scénariste de développer une idée ou d'adapter à
l'écran un roman, une pièce de théâtre ou une
comédie musicale.
Mise à part les différents intervenants que nous
venons citer ci-haut, il y a d'autres métiers que n'aurons pas à
définir, pour ne pas être trop excessif, c'est le cas, par
exemple, de :
- Directeur de la photographie.
- Des chefs-opérateurs spécialisés
peuvent être engagés pour les effets spéciaux ou pour les
prises de vues particulières.
- Directeur de Casting, chargé de choisir les acteurs
d'un film. Mais il faut dire que ce dernier intervient très souvent que
dans le recrutement des acteurs secondaires et les figurants. Pour les acteurs
principaux c'est le réalisateur qui s'en occupe très souvent.
- Monteur, il est chargé de l'arrangement des plans en
un ensemble rythmé.
- Compositeur, il crée la musique du film qui
accompagne les effets sonores, les dialogues ou simplement les images.
- Des décorateurs qui s'occupent de tout ce qui
concerne l'aménagement du plateau de tournage, jusqu'à la
lumière et le maquillage.
70
2°) Quelques tendances du film de
fiction
Par rapport aux différents types de film de fiction, il
ne nous sera pas facile de le classifier comme ce fut le cas avec le film
documentaire, mais nous allons tenter d'établir une classification
à notre niveau, alors nous avons :
- Le film policier
Le film policier est généralement fondé
sur une combinaison d'évènements et d'actions qui constitue la
trame de l'histoire qui met aux prises la police et les malfaiteurs. Alors dans
un film policier le héros peut être la police (le service de
police), soit le policier ou flic.
Ici nous pouvons prendre l'exemple du film de Bruce Willis
`'die hard (1989)», dans lequel le héros et un agent de police et
doit arrêter un groupe de bandits qui ont pris en otages un immeuble de
plus de dix étages.
- Le film dramatique
Pour bien parler du genre film dramatique, il important de
définir le mot dramatique à part entière ; c'est un mot
d'origine grec `'drama» qui veux dire « action », mais
le mot dramatique, quant à lui, vient toujours du grec
`'dramatikos», se rapporte d'abord à tout ce qui a trait
au théâtre70. Avec l'évolution le mot va prendre
une nouvelle acception moderne au XIXe siècle, il qualifie un conflit ou
une émotion intense mis en scène dans le drame
théâtral ou dans la vie réelle. D'après les
définitions que nous venons de voir, on pourra dire que toute oeuvre
cinématographique est un drame, parce que dans toute oeuvre
cinématographie il y a toujours de l'action, mais comme nous venons de
le voir avec l'évolution, le mot `'dramatique» ne concerne que les
films dans lesquels nous pouvons retrouver `'la violence, la tristesse, la
tragédie, etc.»
70 Encarta 2009, Op.cit.
71 Ibidem
71
Mais pour le dictionnaire encarta, il le définit comme
`'un film qui raconte une histoire sérieuse, grave et
parfois triste ou tragique. Le récit est réaliste, ce qui
n'exclut pas des séquences comiques plus légères. Le
cinéaste Alfred Hitchcock l'a défini comme « la vie
débarrassée de ses moments ennuyeux »»71.
Ainsi dit, il faut aussi signifier qu'il existe plusieurs
types de film dramatique, qui exploitent facilement, la violence, la tristesse,
etc., nous pouvons avoir par exemple :
? drame sentimental, qui exploite très
des histoires d'amour.
? drame psychologique, qui exploite des
histoires qui mettent l'accent sur l'évolution psychologique des
héros.
? drame social, qui raconte souvent une
histoire décrivant un fait de société.
? drame historique, qui met en scène
les événements d'un moment de l'histoire d'un pays ou d'une
communauté, ou même d'une personnalité importante de
l'histoire.
Il est vrai que nous venons de donner quelques sous-genres du
film dramatique, mais ce n'est pas l'ensemble ou le tout parce qu'il y a eu
encore d'autres que l'on n'a pas pu citer pour ne pas être trop long,
c'est le cas par exemple du `'mélodrame», `'la comédie
dramatique», etc.
- Le film fantastique
A ce niveau quand on parle d'un film fantastique, on voit un
genre de film un peu plus particulier qui se déroule dans un univers
hors de la réalité, c'est-à-dire en dehors du monde
réel ou le monde dans lequel nous vivons. Mais dans ce domaine c'est le
genre du film d'horreur qui est le plus répandu à l'heure
actuelle. Nous pouvons citer un exemple de quelques films fantastiques :
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> Cinquième Élément (Luc
Besson),
> Volte-face (John Woo), film policier mais
fantastique
> 2001 : Harry Potter à l'école des
sorciers, film américano-britannique
(Chris Columbus), science-fiction
> 1991 : Terminator 2, film américain
(James Cameron), science-
fiction.
> Pacte de sang ou the covenan+ (Maria Gonzales),
horreur
- Le film d'action
A l'heure actuelle les films d'action sont devenus très
populaires aux cotés des comiques et disposent d'un budget très
considérable, pour leur permettre de réaliser des scènes
très spectaculaires des casses, cascades, etc. On appelle film d'action,
un film de divertissement dont le récit est toujours en mouvement avec
combats, bagarres, poursuites, explosions et effets spéciaux en tous
genres ; ils sont très souvent réalisés par des acteurs
qui incarnent des personnages prêts à tout pour atteindre leur
objectif. Très souvent ces films sont associés à d'autres
genres de film tel que :
> Film d'aventure
> Film de guerre
> Film-catastrophe
> Film d'espions
> Film d'arts martiaux
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