Développer et moderniser son pays par l'acceptation de la mondialisation touristique. L'exemple de Dubaà¯.( Télécharger le fichier original )par Laurent Manier INEAD - Bachelor en Marketing 2012 |
1.3.4 La citoyenneté mondiale ou l'incarnation d'un idéalA la délicate question sur l'avenir de la culture mondiale ou le respect de tous, devons-nous comme le préconise Michel Camdessus ancien directeur du Fond Monétaire International lors d'un colloque sur les semaines sociales en France, établir, créer une sorte de citoyenneté mondiale à tous les niveaux : locale, régionale, nationale, mondiale ? 29 Annexe 11 et 12, L'Anglais langue des affaires. 30 Annexe 13, histoire du thé. 31 http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoireduthé 32 http://karate.bt.free.fr/histoire.htm 20 Selon l'ancien Directeur, le dialogue apporte tout : la paix et l'amour, le respect de chacun. Il préconise une ouverture vers l'autre, une écoute et une mondialisation citoyenne. Cette vision d'Éden est un peu trop idéale à mon gout, une utopie pure, un rêve inaccessible et qui n'aurait aucun sens. La richesse des cultures vient du fait même d'êtres différents les uns des autres. Une harmonisation par le biais d'une citoyenneté ou toutes les religions, traditions et cultures coexisteraient sans heurt est impossible. Tenter la citoyenneté mondiale est une perte de temps, d'énergie et ne pourrait qu'attiser encore plus les querelles et les susceptibilités. Par contre la coexistence et l'acceptation de l'autre et le respect et le droit à la différence est primordial. Mais Michel Camdessus a parfaitement raison lorsqu'il dit à cette même convention : « Faire sa place à l'acceptation du deuil, à l'idée de la perte ». Par là il nous encourage à faire table rase sur le passé, d'arrêter de compter ses morts, car chacun à beaucoup perdu dans le passé, certains à des moments énormément perdu mais ne jamais oublier que dans un conflit il n y a jamais de vainqueur ni de vaincus. Il parait important de ne pas oublier les paroles de Ricoeur : « La capacité à faire le deuil doit être sans cesse apprise et réapprise, il faut accepter dans nos échanges culturels qu'il y est de l'indéchiffrable dans nos histoires de vies, de l'irréconciliable dans nos différends, de l'irréparable dans les dommages subis et infligés. Quand on admis cette part de deuil, on peut se confier à une mémoire apaisée, au feu croisés entre foyers de cultures dispersés, à la réinterprétation mutuelles de nos histoires et au travail à jamais inachevé de traduction de culture à une autre ». |
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