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Profil épidémiologique et prise en charge de la fracture de la jambe. Cas des cliniques universitaires de Lubumbashi.

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par Serge BILALA NGUMBA
Université de Lubumbashi - Médecine 2013
  

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3.14. Les séjours hospitaliers

Notre étude a révélé que la durée d'hospitalisation variait entre 2 et 160 jours et les patients fracturés de la jambe ont été plus hospitalisé dans une période allant de 2 jours à 27 jours suivi de la tranche de 28 jours à 53 jours.

NOUHOUM A DIALLO dans son étude 56.0 % de patients n'étaient pas hospitalisés.

Nous pensons que cette différence serait justifiée par deux raisons : La première est que son étude était prospective avec une taille de l'échantillon différente de la nôtre, la seconde serait par rapport aux types de fractures qu'il a enregistré qui était plus de fractures fermées stables qui, après une bon moyen de réduction et de contention, permet aux patients de rentrer à domicile et de suivre le traitement en ambulatoire.

Nos résultats s'expliquerait par le fait que nous avons enregistré plus de fractures ouvertes que fermée ce qui fait que le patient concerné va être hospitalisé afin de bien suivre une prise en charge adéquate. Nous pensons également que plus une fracture est fermée et stable plus le séjour hospitalier est réduit, ce qui serait peut-être notre cas car nous avons signalé que la plus part de fractures ouvertes ont été rendue fermée.

3.15. L'évolution

Dans 59,7% de cas, notre étude a révélé que l'évolution était bonne contre 37,3% des mauvaises évolutions c'est-à-dire évoluées vers les complications.

En effet, OUSMANE MAIGA, dans son étude a eu presque le même résultat ; 63,64% des cas l'évolution était bonne tandis que 36,36% des cas ont été mauvaises.

Ce résultat serait justifié par le fait d'une bonne prise en charge de la fracture de la jambe, car une prise en charge précoce et adéquate prévient et évite les différentes sortes de complications qu'on peut avoir en cas de la fracture de la jambe.

3.16. Les complications

Dans 61,2% de cas notre étude a révélé l'absence des complications contre 38,8% de cas de complications reparties de la manière suivante : déplacements secondaires dans 18% de cas, les ostéites dans 12% de cas, les infections cutanées et les thrombophlébites dans chacun 3% de cas et enfin les cals vicieux et le retard de consolidation dans chacun 1,5% de cas.

Ce résultat est comparable à celui de NOUHOUM A DIALLO qui a constaté dans son étude que 64% de cas de fractures ont évolué sans complications et 36% de cas de fractures ont évolué vers les complications.

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"Il faudrait pour le bonheur des états que les philosophes fussent roi ou que les rois fussent philosophes"   Platon