1.2. Les institutions de santé
Dans un article paru dans le journal d'information de la
Caisse Nationale d'Allocation Familiales (Article CNAM - 1975) un
encadré mentionne une étude scientifique réalisée
sur le yoga de la méditation. Concernant les résultats de cette
étude il est dit que : « C'est ainsi que la pratique
de cette technique abaisse le métabolisme de base de 20%, alors que le
sommeil profond va tout au plus jusqu'à un abaissement de 10%...
...C'est dire que les fonctions du corps sont ralenties : il y a une sorte
de super-repos »
Il est aussi fait mention de différentes études
sur des « Techniques orientales qui ont fait l'objet de
mesures électroencéphalographiques... Toutes ces recherches ont
montrée que les états de méditation profonde,
appelés Samâdhi ou Satori, avaient des correspondances
physiologiques au niveau du fonctionnement cérébral. On observe
d'abord un renforcement du rythme alpha, c'est à dire un renforcement du
rythme cérébral au repos au niveau des régions
arrières du crâne vers l'avant ; s'y ajoute aussi un
renforcement par rapport à ce qui pourrait le perturber : si on
déclenche un stimulus sonore, visuel, ou tactile auprès d'une
personne qui est en méditation profonde, ce stimulus ne fait pas
arrêter le rythme alpha, ce qui est le cas habituellement.»
En 1975, il était fait état de trois niveaux de
conscience. Les résultats des études réalisées sur
la méditation permirent aux chercheurs de faire état d'un
quatrième état de conscience :
1. Veille,
2. Sommeil,
3. Rêve, et
4. Méditation.
« Des chercheurs ont aboutis à distinguer
quatre états de consciences au lieu des trois habituellement
reconnus ». Par ailleurs les résultats des tests
annoncent des résultats visibles et mesurable concernant le comportement
de l'individu « ... l'amélioration des tests de
mémoire, des tests d'attention et de concentration ainsi qu'une
diminution de certains composants du sang traduisant soit la fatigue, soit
l'émotivité. »
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