CHAPITRE É
L'ECONOMIE DE LA LANGUE
CHAPITRE I : L'ECONOMIE DE LA LANGUE
Comme à la coutume de tous travaux
scientifiques, dans ce chapitre de l'économie de la langue nous
passerons premièrement à définir les concepts
clés ; en suite nous citerons quelques auteurs qui nous ont
intéressés comme : Pierre Bourdieu, Dell Hathaway Hymes,
William Labov, Emile Durkheim et Gumpers pour égaler l'angle de
réflexion théorique et celui de l'incidence pragmatique de ce
savoir à construire.
En ce qui concerne les définitions de
concepts, nous avons utilisé les dictionnaires suivants : le
dictionnaire universel (Hachette), le dictionnaire de didactique du
français (Cle International), le dictionnaire encyclopédique de
l'éducation et de la formation(Nathan).
I.1Définition des concepts clés du
thème.
Les concepts dans la science sont des faits
diachroniques et non statiques ; leurs évolutions sont d'une
époque à une autre. Les concepts de l'économie peuvent
être différenciés d'un réseau à un autre
suivant l'objectif et l'intérêt de la scientificité
concomitante à la réalité sociale, économique et
écologique.
Au goût du jour une
complémentarité de notion unissent la discutée pour
enlever le quiproquo d'un auteur à un autre ; à fin de
faire sentir à chaque lecteur la substantifique moelle que un concept
peut évoquer d'une époque à une autre. De l'époque
byzantine à nos jours par exemple la notion de l'économie
signifiait simplement une organisation.
Comme aussi celle de la langue ; de
Saussure à William Labov le point de vue est un écart permis pour
éprouver cette substantifique moelle de la linguistique et de la
sociolinguistique qui reste indissociable du point de vue
complémentaire.
Quant à l'économie d'une langue,
elle est plus profonde qu'une goutte d'eau dans l'océan et de plus
secrète pour faire feu de tout bois en utilisant la technologie de
pointe. Elle est l'arme par excellence pour l'épanouissement
socioculturelle. Sa vaste extension fait l'objet d'étude profonde pour
qu'en devenir elle puisse être considéré comme une science
à part entière.
?L'ÉCONOMIE : soin à ne dépenser que
ce qui convient ; Epargne dans la dépense. Vivre avec la plus
stricte économie. ant.gaspillage, prodigalité.
2. ensemble des faits relatifs à la production,
à la circulation, à la répartition et à la
consommation des richesses dans une société.
?Didactique : Economie privée, publique, mixte.
-Economie politique : science (nommée auj. science
économique) qui a pour objet l'étude des phénomènes
de production, de circulation, de consommation des richesses.
-Économie rurale : science des
procédés tendant à obtenir le meilleur rendement d'un
sol.-Économie du développement : partie de l'économie
qui étudie les phénomènes économiques propres aux
pays en développement.
3. Harmonie existant entre les différentes fonctions
d'un organisme vivant.
Encyclopédie ? C'est à partir de la
renaissance que l'économie politique (l'expression apparait en 1615) se
détacha de la philosophie et se préoccupa exclusivement de la
création et de la circulation des biens matériels à
l'échelle nationale (d'où le mot politique : « de la
cité »). Le premier grand traité fut publié en 1776
par Adam Smith vinrent ensuite Ricardo et Marx.
La plupart des économistes estimaient que, dans une
économie de marché, si on considère une assez longue
période le volume de la production trouve toujours son équilibre,
ce qui assure le plein emploi.
En 1936, Keynes montra que les équilibres de
sous-emploi pouvaient également être durables. Les
économistes entreprirent alors de déterminer les conditions de
l'équilibre général, à l'échelle
macroéconomique.
Ainsi la science économique étudie-t-elle
principalement les équilibres fondamentaux.
Elle dispose d'un appareil statistique de plus en plus
perfectionné et des techniques de la comptabilité nationale.
?LA LANGUE : ensemble de signes linguistiques et de
règles de combinaison de ces signes entre eux, qui constitue
l'instrument de communication d'une communauté donnée.
Selon Cuq(Pg147 ;2003), Les investigations
de la linguistiques générale et celles de la grammaire des
langues particulières, tout comme celles de la sociolinguistique
permettent aujourd'hui de poser deux aspects complémentaires du concept
de langue, un aspect abstrait et systématique (langue = idiome) et un
aspect social (langue=culture).
Il s'agit, pour ce qui est du premier
de ces deux aspects, d'établir, soit par l'observation, soit par
l'application d'un modèle théorique, les
régularités et les règles de fonctionnement d'un
système qu'on postule comme sous-jacent aux productions effectives. La
langue est alors conçue comme un système abstrait de signes dont
on peut étudier, de façon séparée ou concomitante
suivant les théories, l'évolution, les aspects phonétiques
et phonologiques, la morphologie, le lexique, la syntaxique, la
sémantique. Pour cet aspect de la langue, on peut utiliser le mot
d'idiome, comme synonyme désambiguïsé de langue. Le second
aspect, longtemps minoré mais aujourd'hui au contraire totalement
valoriser, justifie les travaux de la sociolinguistique.
Mais c'est dans ce cas, signe de difficulté
épistémologique, que le terme de langue lui-même peut
être ambigu : c'est parce qu'il comporte un jugement, manifeste une
émotion ou une opinion, bref, une certaine dose de subjectivité,
que la linguistique se proposait naguère justement d'éradiquer de
son objet.
?L'EDUCATION FAMILIALE : action éducative conduite
en famille en direction des enfants, qui se distingue donc de l'action
pédagogique mise en oeuvre à l'école.
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