2-2-3)Annulation pure et simple de la dette des pays
pauvres
Le débat sur l'annulation de la dette des pays pauvres
a été aussi de plus en plus tendu ces derniers temps. D'un
coté, les partisans de l'annulation de la dette estiment qu'il est
crcucial que les créanciers de ces pays annule leur dette dans la
mesure où ces pays n'ont pas la possibilé de rembourser er que
les sommes necessaires au remboursement les permettra de financer leur projet
de développement .Figure au premier plan dans ce groupe le CATDM
présidé aujourd'hui par Eri c Toussaint, le Jubilé 2000,
l' ATTAC , des ONGs , etc. Par contre plusieurs entités et
organismes, les créanciers ne sont du toout d'accord à
l'annulation totale sans condition de la dettte de ses pays . Ils voient dans
l'annulation sans condition de la dette de ces pays le riqsque qu'ils ne vont
plus faire attention à la gestion de leur endettement car , ils seront
rembouseé tot ou tard . Ils pensent aussi que ces pays ont
déjà beneficié l'APD des pays du nord . Mais a noter que
ce APD malgré la promesse des pays riches en 2002 à Monterrey
où se tenait la conférence internationale sur le
développement , les objectifs de 0,4% sur la base d'objectif de 0,5 %
en 2005 et 0,7% en 2012. Le rapport Meltzer ( IFIAC ,1998),
commandé par le congrès américain en novembre 1998
favorisant les apporta de la banque mondiale en matière de
développement est encurageant mais reste insuffisant vu le l'ampleur
de la pauvreté dans cs pays. Faut -il rappeler que l'APD a passé
de 30dollars par habitant en 1990 à 18 dollars en 2001.Il ne faut pas
compter alors sur cette hypothèse qui stiplule l' APD est
déjà là , alors pas quesrtion d'annulation de la dette des
pays pauvres.
Aussi,les créanciers sont soucieux de leur
créance et ne veulent pas perdre des sous de cette manière .I l
ne faut pas quand même que ces pays ont déjà
remboursé plus qu'il ont recu .D'aprè le CATDM , la dettedu
tiers- monde a déjà été rembourée plusieurs
fois car pour 1 dollar du en 1980, le tiers monde a remboursé 8
dollars mais en doit encore 4 dollars. Encore , en 2002 , la dette
extérieure de l'Afirque s'élevait à 204 milliards de
dollars , elle a donc été multipliée par 3,4 dépuis
1980 .Toujours en 2002, l'Afique subsaharienne s'est saignée aux quatre
veines pour rembourser la somme de 13,4 milliardsde dollars au titre du service
de la dette( capital plus intérêt). Si on considère la
période entre 1980 et 2002, c'est plus de 205 milliards de dollars qui
ont été remboursés, soit quatre fois la dette de
1980.Entre 1998 et 2002 , les pouvoirs publics d'Afrique subsaharienne ont recu
en prets 34826 millions de dollars tandis qu'ils ont remboursés 49273
millions de dollars !Bref , ils ont transféré en faveur des
créanciers du nord , plus de 15000 millions de dollars. Chaque
année , l'Afrique subsaharienne paie en service de la dette plus que
l'additiondes budgets de santé et d `éducationde toute la
région[Erric Toussaint, 2004 ,p.372].
A travers ces données relatées par E
Toussaint, on peut avancer que les pays pauvres Des PED en particulier
l'Afrique subsahariennne a déjàà souffert du remboursement
de sa dette vis- à - vis des créanciers des pays du nord. Il est
temps peut etre de voir les choses en face et de se preoccuper des pauvres.
Même si l'initiative PPTE est déjà là ca ne suffit
pas et nous avona vu precedement les limites de cette initiative . Encore une
raison de plus.
N `oublions pas que la dette de ces pays dans l'ensemble ne
constitue qu'une infine parti de leur créances .Ici pas la peine de
chercher des arguments qu'ils soient politique , moral , religieux , etc mais
justement on doit prioriser les conditions de vie de la population de ces pays
qui depuis plusieurs décennies sous le choc des PAS ont
déjà assez souffert.
E n tout alors l'annulation de la dette des pays pauvres
constitue un des defi auquels la communauté financière
internationale, les créanciers privés et les gounvernement du
nord doivent faire face.
Dans un monde comme celui d'aujourd'hui essentiellement
marqué par des risques de crises systemiques un regroupement financier
regional apparaît aussi comme solution crédible dans la gestion
des crises futures.
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