5.2 Traduction "manuelle"
La traduction manuelle, comme son nom l'indique, ne fait appel
à aucun mécanisme d'automatisation.
Dans ce cas, la traduction de tout le document est
effectuée par un traducteur humain. Bien que cela ne soit
généralement pas formalisé, les traducteurs utilisent
habituellement une approche de type empirique car, lorsqu'ils rencontrent un
problème et qu'ils le résolvent une première fois, ils
sauront comment le résoudre s'ils s'y trouvent confrontés une
seconde fois.
5.3 Traduction automatique "monotraducteur"
Aussi bien dans le cadre d'une approche systématique
que par l'application d'une approche empirique, on obtient un ensemble de
règles de traduction qui permettent ensuite d'effectuer automatiquement
la traduction de documents.
La traduction est réalisée par un logiciel
chargé d'appliquer les règles de traduction de façon
systématique.
Mais, avant d'utiiser un logiciel de traduction automatique, il
faut avoir préalablement définit ces règles et cela est
complexe et nécessite un fort investissement.
FIG. 5.3 - Méthode de traduction automatique
Les outils et technologies applicables
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5.4 Utilisation d'outils de "reverse-engenering"
Généralement basés sur une approche
systématique, ce sont des outils dont le fonctionnement est proche de
celui de l'interlangue. Toutefois, le langage utiisé est sou-vent proche
de l'UML et ce sont des outils intégrés et fournis
"tels-quels".
Ces outils vendus ou mis à disposition par des
entreprises d'édition de logiciels, ce sont des solutions de type "clefs
en main". Cependant, comme l'import ou l'export depuis ou vers un SGBD se fait
par un traducteur spécifique, il faut que les connecteurs existent
(malheureusement si on utilise un ou des systèmes peu courants, il est
assez difficile de trouver un atelier de reverse-engenering proposant les
traducteurs nécessaires).
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