Liste des tableaux
Tableau 1. Classification d'Escherichia
coli ........................   4 
Tableau 2. Matériel utilisé
dans l'expérimentation  . 7 
Tableau 3. Galerie biochimique classique
d'identification d'Escherichia coui 12 
Tableau 4. Antibiotiques utilisés pour
E.coli 19 
Tableau 5. Résultats de la galerie
biochimique classique et type respiratoire sur milieu 
Schubert cloche  22 
Tableau 6. Résultats de la Galerie API
20 E  .. 24 
Tableau 7. L'antibiogramme d'E.coli
...........................................................25 
Tableau 8. Article de Santos et al.,
2011 ... 26 
Tableau 9. Article de Yuhang et al.,
2004  28 
Tableau 10. Tests microbiologiques appliquant
la méthode de la concentration 
minimale inhibitrice   27 
Tableau 11. La capacité
antimicrobienne de cu2+/montmorillonite sur E.coli  ..
28 
III 
Liste des figures
Figure 1. La structure d'une montmorillonite 
... 3 
Figure 2. Protocole expérimental  8 
Figure 3. Les étapes de la
préparation de la bentonite   15 
Figure4. Bentonite de Maghnia en poudre . 16 
Figure 5. Préparation des dilutions 
17 
Figure 6. L'antibiogramme d'E.coli 
25 
Figure 7. Résultats microbiologiques
appliquant la méthode de diffusion sur gélose à la 
bentonite brute  26 
Figure 8. Tests microbiologiques appliquant la
méthode de diffusion sur gélose à la 
bentonite échangée par Ag+ montant la
présence d'un effet bactéricide  ... 26 
Figure 9. Tests microbiologiques appliquant la
méthode de diffusion sur gélose 
montrant une comparaison entre les effets bactéricides ..
27 
Figure 10. Valeurs de diamètres ou halos
pour la bentonite échangée avec Ag+ activée par l'acide et
la bentonite échangée avec Ag+ prétraitée montrant
une comparaison 
entre les effets bactéricides sur l'E.coli  26 
IV 
Liste des photos
Photo 1. Milieu Mannitol-Mobilité  .
12 
Photo 2. Milieu Citrate de simmon . 13 
Photo 3. Milieu T.S.I   13 
Photo 4. Aspect macroscopiques de souches
d'E.coli sur gélose Mac Conkey .. 21 
Photo 5. Observation microscopique d'E.coli
après coloration de Gram  21 
Photo 6. Milieu Mannitol-Mobilité
après incubation . 22 
Photo 7. Milieu Citrate de simmon
après incubation  .. 22 
Photo 8. Milieu T.S.I après incubation
 22 
Photo 9. Milieu Schubert avec cloche
après incubation  .. 22 
Photo 10. Résultats API 20 E
d'E.coli après incubation  23 
ntroduction
Page | 1 
Introduction
Dans la lutte antibactérienne, les moyens d'action sont
de plus en plus limités. Les antibiotiques, qui semblaient être le
remède miracle contre de nombreuses infections il y a moins d'un
siècle, sont désormais obsolètes. Les bactéries
communiquent et s'échangent des gènes de résistance, ce
qui leur permet de lutter contre les antibactériens. La
multirésistance aux antibiotiques est devenue un problème de
santé publique majeure, et de nouveaux moyens de traitements sont
nécessaires. 
En particulier, l'Escherichia coui est la
bactérie la mieux étudiée et également le
microorganisme expérimental de choix pour beaucoup de microbiologistes.
Cette bactérie majeure du colon humain et des animaux à sang
chaud est très utile pour l'analyse de la contamination fécale.
Par ailleurs, C'est la bactérie la plus fréquemment
impliqué dans les infections urinaires. Elle peut aussi provoquer des
diarrhées par des mécanismes très divers, ainsi que
diverses infections communautaires ou nosocomiales (Bourjilat,
2009). 
A côté des antibiotiques, d'autres voies sont
explorées pour combattre les infections. Utilisées depuis
longtemps dans les anciens pays de l'Est, les bactériophages suscitent
un regain d'intérêt en France, où ils font l'objet de
recherches et bientôt d'un essai contrôlé. Aussi la
recherche de nouveaux antibiotiques qui sont efficaces sur les bactéries
résistantes. Et y'en a aussi la lutte biologique,
précisément par utilisation de micro-organismes
entomopathogènes (qui luttant les insectes) est une alternative
très prometteuse pour assurer une protection phytosanitaire. Il existe
des moyens de lutte par l'utilisation des agents naturels tels que l'argile 
En effet, l'argile est un outil thérapeutique
très ancien. Les Égyptiens l'utilisaient dans le
procédé de momification et dans le traitement des
diarrhées, des abcès et des blessures. Durant la première
guerre mondiale, les médecins allemands et autrichiens s'en sont
également servis pour soigner la dysenterie, une maladie infectieuse du
côlon. 
On ne trouve pas une mais des argiles. De part une structure
spécifique, ainsi que des propriétés multiples, les
argiles répondent à de nombreuses indications. Elle est
déformable, transformable, adhérente, coulante, glissante, et a
ainsi de nombreuses capacités parmi lesquelles le transport, la capture,
la libération de substances liquides, gazeuses...etc. Sa richesse
minérale et en oligo-éléments en fait un outil dans la
santé, le bien-être, la beauté, l'entretien du corps, de la
maison, des constructions, dans l'industrie (Adrianne, 2003).
L'argile était utilisée comme un antipoison naturel radicalement
efficace. Elle possède un fort pouvoir absorbant et adsorbant qui attire
les poisons, toxiques et impuretés du conduit digestif sans les
relâcher. Une manière efficace de nettoyer le système
digestif et de débarrasser l'intestin des toxines, germes, et
bactéries pathogènes sans pour autant détruire la flore
intestinale comme le feraient des antibiotiques (Theodorou et al.,
1994). 
D'après le grand usage de la bentonite dans
différents domaines, la question qui vient à l'esprit dans ce
cas-là est : si la bentonite a un effet antibactérien ? 
L'objet de ce travail est de savoir si la bentonite à
un effet sur la bactérie Escherichia 
coui. 
  
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