DEDICACE
A nos très chers parents Samuel KIDINDA MILAMBO et
Lucie LONGO LONGO pour vos lourdes responsabilités et efforts
endossés à notre égard afin de promouvoir les fruits de
vos entrailles. Dès le bas âge, nous avons été
bénéfiques de vos bons conseils et d'une bonne éducation ;
nous vous prions de trouver dans ce travail le couronnement des efforts
conjugués en notre faveur car ce travail est le fruit de votre semence.
Que Dieu le Tout Puissant soit témoins de vos bienfaits.
Daniel Bryan MABWISHA KIDINDA
II
REMERCIEMENTS
Nous voici enfin à l'apogée du moment tant
attendu par notre famille après tant des sacrifices, des sueurs,
d'humiliation et d'endurance.
Ce travail n'est pas seulement le fruit de notre effort
personnel plutôt la grâce de Dieu. Raison pour laquelle nous le
rendons gloire pour nous avoir accordé grâce, sagesse et
intelligence ainsi que des voies et moyens jusqu'à l'élaboration
de ce travail.
Nos remerciements sont offerts au Chef de travaux Henri BOPE
BUSHEBU le directeur de ce présent travail et l'assistant Daddy KYUNGU
BITSHEBITSHE qui, malgré leurs multiples occupations ont acceptés
de prendre avec bonté et amour de bons formateurs la direction de ce
noble travail.
Notre particulière gratitude s'adresse tout droit
à toutes les autorités académiques de l'Institut
Supérieure de Statistique, tous le corps professoral, les Chefs de
travaux, les assistants, les chargés des cours pour les connaissances
qu'ils nous ont transmises durant notre premier cycle d'études
supérieures.
Nos sentiments de reconnaissances s'adressent à notre
pasteur Joël KALUME de l'église COLONNE DE FEU pour vos sages
conseils et le soutien spirituel ; notre orchestre LE LEVITE, ainsi que toute
l'église en générale pour vos soutiens spirituels.
Nous disons également merci à vous frères
et soeurs, cousins et cousines : Lazard NTAMBWE, Blaise LUMBA FATAKI, Marc
KAPOTWE, Raphael MUDIMBA, Patricia HAMICI, Ariane FATUMA Monique MUKALA, Naomi
BANAKAY, Junior MILAMBO, Martine KAPULULA, Emilie BEKIE, Benjamin MILAMBO,
Benita KULIMBA et les autres pour tous les moments de peine et de joie que nous
avons vécus ensembles.
A vous mes ami(e)s et connaissances sans qui la vie aurait pu
être encore plus triste : Félicien MBOWA, Gracia NYEMBA, Helga
MIANDA, Raph MBUYI, Nusra MWADI, Olive NGOY, Shilon NGOIE, Jeff LUNGUNDA,
Esther NZASHI, Christelle MWANGE, Patrick MASENGO, Elysée MULANGU,
Alliance MAKULU, Hervé MBUYA, Tatiana EKOKO, Félicien MFUILA,
Félicien MUTOMBO, Edgar MWEPU, Stanislas KABASELE, Belge TSHIDIMBA,
Blaise SALUMU OMARI,...
Daniel Bryan MABWISHA KIDINDA
III
A tous ceux qui de prêt ou de loin nous ont soutenu
d'une manière ou d'une autre et que par oubli ou faute d'espace leurs
noms ne sont pas cité, qu'ils ne nous soient pas taxé d'ingrat,
qu'ils trouvent ici l'expression de nos sincères remerciements !
1
INTRODUCTION GENERALE
1. PRESENTATION DU SUJET
La communication marketing a une importance primordiale dans
l'amélioration de la notoriété et l'image de l'entreprise,
ses marques et produits. Elle est un véritable dialogue entre
l'entreprise et ses clients, qui se déroule avant et pendant la vente,
pendant et après la consommation.
Communiquer c'est transmettre les informations dans le but
d'obtenir de la part du destinataire une modification de comportement ou
attitude, et ce à travers l'utilisation de différentes
techniques.
Le contenu du marketing à travers ses techniques les
plus modernes est devenu indispensable et offre les ventes et les moyens
permettant à toute entreprise émouvant dans une situation de
concurrence, l'écoulement aisé de ses produits et d'occuper une
place de choix sur le marché.
De part ces techniques, nous sommes focalisés sur la
publicité et la promotion de vente comme thème de notre travail ,
qui jouent un rôle prépondérant dans la commercialisation
des produits car ; elles consistent non seulement à faire connaitre les
produits auprès du public , stimuler ou inciter l'achat ou
établir et conserver l'entente entre entreprise et son public mais dans
la mesure où elles contribuent à l'accroissement de leur chiffre
d'affaires et à la conquête du marché. C'est pourquoi nous
disons que toute entreprise est agent de la communication. Ce qui prouve
à suffisance le choix de l'intitulé «
communication publi-promotionnelle et la consommation de la TNT
dans la ville de Lubumbashi », d'où le message qui
évoque la qualité engendre ainsi une réaction affective et
positive de nature stimulant le récepteur à réagir
favorablement en achetant les produits qui lui sont proposés.
2
2. CHOIX ET INTERET DU SUJET
2.1.CHOIX DU SUJET
Le choix que nous avons porté sur ce présent
sujet se justifie par le fait que, ce dernier cadre avec notre domaine de
formation académique qui est Marketing.
Etant donné que la conjoncture actuelle est
caractérisée par une forte concurrence qui pousse plusieurs
entreprises à multiplier ou à diversifier leurs stratégies
de communication ; la communication marketing ayant une importance
indéniable dans la vie d'une société, cela a poussé
à focaliser notre attention vers ce problème
d'actualité.
2.2.INTERET DU SUJET
2.2.1. SUR LE PLAN PERSONNEL
L'étude nous a permis d'une part à concilier les
connaissances théoriques à la réalité sur terrain
et d'autre part d'approfondir notre connaissance personnelle et de saisir le
tenant et aboutissant d'une recherche scientifique notamment d'un travail de
fin d'étude.
2.2.2. SUR LE PLAN SCIENTIFIQUE
Sur le plan scientifique, nous osons croire que notre travail
est un document qui pourra aider certains responsables des entreprises ou aux
futurs chercheurs de guide référentiel lors de
l'élaboration de leurs travaux de ce domaine marketing.
2.2.3. SUR LE PLAN SOCIETAL
Les responsables et agents de Startimes ainsi que toutes
personnes intéressées (société) dans ce travail
trouverons une analyse faite qui pourra les aider à comprendre
l'importance de la communication sur la consommation au sein d'une entreprise
audio-visuelle et des stratégies plus ou moins adéquates de
communication pouvant résorber tant soit peu les problèmes des
consommateurs dans la ville de Lubumbashi.
3
3. ETAT DE LA QUESTION
D'après Marcous BINDUGWA IBANDA, l'état de la
question se définit comme étant une étape qui nous permet
de connaitre ce que les prédécesseurs ont déjà dit
en la matière, afin de préciser la particularité ou la
nouveauté qu'on apporte1.
L'état de la question permet d'entamer nos
investigations en jetant un regard sur les travaux antérieurs qui ont
rapport avec notre sujet en vue de concéder plus de l'originalité
à notre étude.
MULAMB MBUMB Junior développe son mémoire
intitulé « La communication marketing et son impact sur le chiffre
d'affaires » ; il ressort de cette idée l'importance de la
communication marketing dans l'augmentation du chiffre d'affaires par les
différentes techniques de communication, comme la promotion des ventes
qui est un outil qui incite les nouveaux clients et stimule la vente qui fera
augmenter le chiffre d'affaires à travers le volume de ventes
réalisé2.
Dans son travail portant sur le sujet : « Rôle de
la musique dans la démarche publicitaire », KAPEND MUTEJ
Landry3. Il part d'un postulat selon lequel la démarche
publicitaire télévisée et radio diffusée et cherche
à comprendre comment la musique de type publicitaire a pu s'imposer dans
le mass-média, et son apport au succès d'une campagne
publicitaire. Pour l'auteur, la publicité est devenue depuis peu
ennuyante pour sa cible et le souci de la rendre attrayante ne cesse de se
faire sentir auprès des annonceurs. Vu que la musique demeure un
élément préféré dans chaque culture, son
usage, la conclusion de l'auteur de rendre attractive la publicité et
son message ; son apport est celui de l'augmentation de l'audience.
1 BINDUGWA IBANDA M, Comment élaborer un
travail de fin de cycle, contenu et étapes, édition :
MEDISPAUL, 2008, P.65.
2MULAMB MBUMB J ; « Communication
marketing et son impact sur le chiffre d'affaires », mémoire,
ISS/Lubumbashi, Option marketing, 1997-1998
3 KAPEND MUTEJ L ; « Rôle de la musique
dans la démarche publicitaire », mémoire, ISC/Lubumbashi,
Option marketing, 2007.
4
MPUNGWE NTALANGIE Dorcas dans son travail de fin
d'étude intitulé « Apport marketing sur le comportement
des consommateurs face au lancement d'un nouveau produit sur le
marché»4. La particularité de son travail
réside dans le fait qu'elle a beaucoup plus parlé sur les
stratégies marketing ainsi que sa concrétisation au lancement non
pas de boissons gazeuses mais d'une eau minérale dénommée
: CRISTAL.
Dorcas a tiré comme conclusion que l'image qui
réside d'une publicité est vitale de l'entreprise dont la
technique publicitaire qui sert à maintenir l'image de l'entreprise dans
la mesure où elle développe le capital sympathique pour la marque
et la consommation du produit.
Ainsi dans le cadre de notre travail, nous allons
apprécier la communication publi-promotionnelle de Startimes et analyser
afin de dégager son impact sur la consommation de TNT.
4. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE DU TRAVAIL
4.1.PROBLEMATIQUE
Le monde évolue dans une économie de
consommation où le client se retrouve devant les produits similaires et
identiques remplissant les mêmes fonctions. C'est pourquoi la
satisfaction du consommateur est au centre de la démarche marketing.
En effet l'objectif principal du consommateur est de
satisfaire au mieux un besoin par l'acte d'achat du produit qu'il choisit avant
d'arriver au stade de décision, il est soumis à l'influence de
variables multiples qui induisent ses motivations et ses freins.
En République démocratique du Congo
particulièrement dans notre province du Haut Katanga, nous assistons
à des différents problèmes dans le monde de commerce et en
particulier dans le secteur de télé numérique terrestre
(TNT) ou par satellite (TNS).
4MPUNGWE NTALANGIE D, « Apport marketing
sur le comportement des consommateurs face au lancement d'un nouveau produit
sur le marché », mémoire, ISC/Lubumbashi, Option
marketing, Septembre 2014.
5
Nous constatons depuis un certain temps que les entreprises
oeuvrant dans ce secteur cherchent à adapter leurs offres au revenu des
consommateurs pourvu que ces derniers y accèdent toujours. Mais aussi,
le comportement de ces consommateurs reste un véritable problème
pour l'entreprise car il peut changer d'un moment à l'autre (suite
à la promotion chez le concurrent ou autre) ; or la mission et/ou
l'objectif de chaque entreprise est de garder le plus longtemps possible son
client.
La publicité joue, en effet deux rôles
complémentaires, elle construit l'image de marque du produit et elle met
en exergue les avantages de ce dernier par rapport à la concurrence.
Bien qu'actuellement, bon nombre des sociétés ventent la
qualité de leurs produits à travers les différents moyens
de communication à longueur des journées pour arriver à
réaliser les bonnes affaires ; est-ce réellement les gens
consomment-ils les produits de STARTIMES que quand il y a promotion ou c'est
à travers la publicité que ces derniers ce procure les produits
offerts ?
C'est dans cet ordre d'idée que la question ci-dessous
à laquelle nous allons répondre tout au long de notre travail
:
? Quel serait l'impact de la communication
publi-promotionnelle sur la consommation de la TNT ?
4.2.HYPOTHESE
La publicité est l'une des outils de communication
marketing qui influence de façon positive les consommateurs (acheteurs).
Sa réception est nécessaire avant que le message qu'il
véhicule puisse produire un effet quelconque. Cette réception
regroupe un arsenal d'événements tels que l'attention
porté au message, sa perception, sa compréhension, etc. Ainsi
pour notre travail, nous formulons l'hypothèse selon laquelle, la
publicité de la promotion des ventes organisée par la
société Startimes aurait aidé cette société
à faire connaitre ses services auprès des consommateurs et aussi
à les influencés.
6
5. METHODES ET TECHNIQUES DE RECHERCHE
5.1.METHODES
Etymologiquement parlant, la méthode est conçue
comme procédé, une procédure, la manière de s'y
prendre pour résoudre un problème, chercher une solution et aller
de l'avant. Sur ce même point, le concept peut aussi vouloir dire : agir
de telle manière pour aboutir à tels buts, pour atteindre tels
objectifs, pour obtenir tels résultats5.
Nous pouvons la définir aussi comme une démarche
à suivre pour atteindre ses objectifs. Dans le cadre de ce travail, nous
allons utiliser la méthode inductive et la méthode
qualitative.
5.1.1. METHODE INDUCTIVE
Cette méthode remonte des particuliers aux
générales. Elle consiste à observer d'abord les fais,
à rechercher les liens qui les unissent, les uniformités qui s'en
dégagent et à formuler des principes généraux qu'on
appelle des lois6.
Elle est donc une opération qui consiste à
requérir les informations sur une partie de la population appelée
« Echantillon » en étendant la
décision tirée sur toute la population mère où ce
dernier a été tiré7. Elle nous a permis de
descendre sur terrain et trouver les contacts selon lesquels nous allons
étudiés.
5.1.2. METHODE QUALITATIVE
C'est une méthode qui traduit la qualité ou une
catégorisation. Les caractères qualitatifs ou variables
catégorielles ont des attributs dont les différentes
modalités ne sont ni mesurables. Elles sont constatées.
Le caractère se subdivise en catégories ou en
modalités de la variable auxquelles seront attachées un effectif
et une fréquence absolue. Il n'est pas toujours possible d'y
établir un ordre.
5NKUANZAKA INZANZA Adélard., Précis
de recherche en sciences sociales et humaines, P.69. 6GUITTON H
; Précis d'économie politique, Tome 1, Paris, 1996,
P.108.
7 KANGOY MWANANVITA, Méthode de recherche
scientifique, L1 SCOFI, ISS/Lubumbashi, 2016-2017.
7
5.2.TECHNIQUES
Dans le but de collecter le maximum d'informations sur notre
thème de recherche, nous avons utilisé la technique documentaire,
la technique de sondage.
5.2.1. TECHNIQUES DOCUMENTAIRE
Cette technique nous sera très utile dans
l'élaboration du présent travail dans le fait que nous aurons
à consulter plusieurs ouvrages de notre domaine pour mettre sur pieds un
travail authentique en consultant les documents contenant les informations dont
nous aurons besoin. D'où pour élaborer ce travail, nous avons
consulté des ouvrages entre autres : les mémoires, les archives
et d'autres documents nécessaires en rapport avec notre sujet
d'étude.
5.2.2. TECHNIQUE DE SONDAGE
Par définition, le sondage est une enquête
menée sur une fraction représentative de la population ou
échantillon8.
C'est un procédé qui permet à partir d'un
échantillon déterminé, de déduire les
caractéristiques d'une population totale. Ainsi l'enquête mener
sur une fraction de la population est appelé « SONDAGE ». Elle
nous a aidés de sonder la population, les abonnés aux services de
STARTIMES en vue de recueillir les opinions pouvant servir à la
concrétisation de certaines données fondamentales.
6. DELIMITATION DU TRAVAIL
Comme tout sujet de recherche doit être circonscrit
temporairement dans un cadre afin d'éviter tout éventuel
débordement et toute possibilité de se verser dans l'infini ;
notre travail a comme cadre de référence la société
Startimes. L'analyse se limite dans le temps sur une période de 2015
à 2018.
8Floribert HEMBI ; Cours de pratique de sondage, G3
marketing, ISS/Lubumbashi, 2015-2016.
8
7. SUBDIVISION SOMMAIRE DU TRAVAIL
Outre l'introduction générale et la conclusion
générale, notre travail est subdivisé en trois chapitres
dont :
? Le premier est consacré aux cadres conceptuel et
théorique;
? Le deuxièmes de basera sur la présentation du
milieu d'étude : ville de Lubumbashi
? Le troisième se focalisera sur l'analyse de l'impact de
la communication sur la consommation de la TNT.
9
CHAPITRE I. CADRES CONCEPTUEL ET THEORIQUE
Dans ce présent chapitre, il sera question de
définir les termes clés auxquels nous aurons à faire appel
dans le parcours de ce travail, et de donner une approche théorique sur
la communication publi-promotionnelle.
Section 1. CADRE CONCEPTUEL
La définition des concepts de base est une étape
importante pour tout travail scientifique. En effet, cette étape permet
d'éviter l'ambiguïté qui peut revêtir la signification
d'un concept. La démarche de cette section a pour but essentiel de fixer
nos lecteurs sur le sens des concepts de base de notre travail. C'est ainsi que
nous allons définir les concepts dont il est question.
I.1.1. COMMUNICATION
Communiquer, étymologiquement, c'est mettre en commun.
C'est échanger des informations réciproques et en particulier des
impressions réciproques de chacun sur les autres, de façon
à ce que nous apprenions comment les autres nous voient et que les
autres apprennent comment nous les voyons9.
Selon l'esprit du travail, nous retenons cette deuxième
signification selon laquelle « la communication est l'ensemble des
interactions avec autrui qui transmettent une quelconque information. Il s'agit
donc de l'ensemble des moyens et techniques permettant la diffusion d'un
message auprès d'une certaine audience10.
I.1.2. PUBLICITE
La publicité est une forme de communication de masse,
impersonnelle dont le but est de fixer l'attention d'une cible (des
consommateurs) pour les inciter à adopter un comportement
souhaité. C'est-à-dire l'achat11.
Le petit Robert de poche décrit la publicité
comme étant le fait, l'art d'exercer une action psychologique sur un
public à des fins commerciales12.
9François Aélion ; Manager en toutes
lettres, Editions d'organisation, Groupe Eyrolles, Paris 2009, P.72.
10
fr.m.Wikipedia.org ; 01
février 2018 à 19h31'
11 Jacques Lendrevie ; Publicitor, la
communication 360, Edition : Paris 2008, P.29.
12 PETIT ROBERT ; Nouvelle Edition, 2011, P.364.
10
Dans le sens de notre travail, nous retenons la
première définition que l'on ajoute en disant que la
publicité désigne toutes les techniques de promotion
utilisées pour faire connaître, faire valoir un produit ou un
service, un événement,... Elle doit donc informer (sur
l'existence du produit, sur son prix, sur ces dimensions,...) mais surtout
inciter à l'achat.
I.1.3. PROMOTION DES VENTES
La promotion des ventes est définie de plusieurs
manières notamment : comme étant l'ensemble des techniques
communicationnelles dont le but est de stimuler la demande à court terme
toute en poussant le produit vers les consommateurs13.
La promotion des ventes est une opération qui consiste
à associer à un produit un avantage temporaire destiné
à faciliter ou à stimuler son utilisation, son achat ou sa
distribution14
Enfin, la promotion des ventes comprend l'ensemble des
stimulants qui, d'une façon non permanente et souvent locale, viennent
renforcer les actions de la publicité et de la force de vente afin de
stimuler les achats15.
I.1.4. COMMUNICATION PUBLI-PROMOTIONNELLE
C'est une communication publicitaire qui accompagne la
période de la promotion des ventes en vue de pousser les produits vers
les consommateurs (susciter un désir d'achat) et par la suite, les
fidéliser.
I.1.5. CONSOMMATION
La consommation est l'utilisation d'un bien ou service qui
entraine à terme sa destruction ou sa transformation16.
Est consommateur, la personne qui bénéficie du
service rendu. Il est consommateur selon que le produit est à usage
unique ou à usages répétés, comme un bien
d'investissement par exemple. Il peut formuler des revendications septiques ou
refuser de travailler avec certains équipements. Il est mieux
placé pour évaluer la performance des produits17.
13 BERARD C. BLANCHE, Introduction au
Marketing, Paris, DUNOD 1999, P.51.
14Lendrevie J ; Levy, Lindon ; Mercator,
7ème édition, Dalloz, Paris, P.603.
15Lambin J.J ; Chantal de Moerloose ; Marketing
Stratégique et Opérationnel, 7ème Edition,
DUNOD, Paris/France, Paris, 2008, P.521.
16 Dictionnaire le Robert, illustré et son
dictionnaire interne, Nouvelle édition 2015, Paris/France, P.413.
17 Lambi J.J á Chantal de Moerloose ; Op Cit ;
P.88.
11
Au sens de la deuxième définition, retenons que,
est consommateur, toute personne qui satisfait un de ses besoins en utilisant
jusqu'à la destruction finale un produit ou un bien.
I.1.6. TNT (Télévision Numérique
Terrestre)
Définir la Télévision Numérique
Terrestre ne revient pas à le faire isolement d'un mot à l'autre
pris hors de ce contexte de manière distincte. La manière
à laquelle nous souscrivons pour définir la
Télévision Numérique Terrestre, est dans son ensemble du
point de vue de ses caractéristiques, ses composantes, ses enjeux et ses
implications.
En effet, la Télévision Numérique
Terrestre (TNT) est une évolution technique en matière de
télédiffusion, fondée sur la diffusion de signaux de
télévision numérique par un réseau de
réémetteurs hertziens terrestres18.
? CONCEPTS CONNEXES
? ENQUETE
Une enquête est une activité organisée et
méthodique de collecte des données sur base des
caractéristiques d'intérêt de la population, à
l'aide des méthodes et des procédures bien
définies19. La collecte des données est le processus
qui permet d'obtenir l'information nécessaire pour chaque unité
sélectionné de l'enquête.
? ECHANTILLON
Un échantillon est un sous ensemble ou une fraction de
la population qu'un chercher se contente d'examiner20.
Section 2. QUELQUES THEORIES
Dans cette section il s'agit de donner une théorie en
détail sur la communication marketing ; la publicité et sur la
promotion des ventes qui sont deux variables principales de notre thème
d'étude parmi les moyens de la communication marketing pouvant nous
permettre de comprendre ce travail.
18fr.m.Wikipedia.org,
09 mars 2018 à 16 : 57'
19Floribert HEMBI; Op Cit, P.9.
20 TSHISWAKA ; Statistique appliquée à
l'étude du marché, L1 marketing, ISS/Lubumbashi, 2016-2017,
P.16.
12
I.2.1. GENERALITES SUR LA COMMUNICATION MARKETING
Le meilleur des produits ne pourra jamais connaitre une vie
durable sur le marché si personne n'est au courant de son existence sur
le marché, même s'il répond très bien à un
besoin spécifique. D'où l'importance d'une bonne communication.
La communication, élément crucial du mix-marketing se veut
élément le plus visible du marketing.
L'activité marketing déclarent KOTLER á
DUBOIS, ne se limite pas à l'élaboration d'un produit et au choix
d'un prix et d'un mode de distribution. Une entreprise qui veut aller
au-delà d'un courant de vente spontané doit concevoir et
transmettre des informations à ses clients actuels et potentiels,
à ses fournisseurs, à ses détaillants ainsi qu'aux
différentes parties prenantes composant son environnement (medias,
administration, opinion publique, etc.). De par sa nature, toute entreprise est
un agent de communication21.
L'exposition aux messages est inévitable dans la vie de
tous les jours. Prenez par exemple le film de la journée, la radio au
lever, les journaux du matin, l'affichage omniprésent dans les rues, les
conseils de tout achat, tous nos gestes, cris, paroles, grimaces, silences sont
autant des signes de communication.
La communication est directement liée au marketing. La
fonction marketing est devenue une fonction intégrée de
l'entreprise qui permet d'organiser et de planifier diverses tâches en se
concentrant sur l'aboutissement final de toute activité commerciale en
relation avec le client.
Fondamentalement, le responsable marketing doit
réfléchir aux différents canaux qu'il va utiliser pour
transmettre sa communication. Ceux-ci peuvent être classés en deux
grandes catégories :
- La communication personnelle : c'est une
communication qui constitue des moyens permettant un contact
individualisé et direct avec l'audience.
- La communication impersonnelle : c'est une
communication qui constitue tous les médias qui acheminent le message
(information) sans contact interactif avec l'audience.
21KOTLER á DUBOIS ; Marketing
Management, 10ème édition, Public Union, 2000,
P.551.
13
I.2.1.1. OBJET DE LA COMMUNICATION
Rappelons que la fonction de la communication est de modifier
le degré de connaissance, les attitudes et la perception qu'un
récepteur aura vis-à-vis d'un produit ou service : qui s'articule
par une prise de conscience, la connaissance, l'attrait, la
préférence, la conviction ainsi que l'achat.
En effet, pour vendre, il ne suffit pas d'offrir un produit
à un certain prix, par l'intermédiaire de circuits de
distribution, il faut aussi accompagner l'offre d'un ensemble de communications
cohérentes entre elles, destinées à faire connaître
le produit, à le positionner, à mettre en évidence les
besoins qu'il peut satisfaire et à entourer d'un halo favorable de
façon à créer et à maintenir une bonne image.
La communication et la promotion des ventes figurent parmi les
savoir-faire les plus importants du marketing. Le premier des deux termes a un
sens très large : vous communiquez sans cesse, que vous le vouliez ou
non. Les vêtements que portent vos vendeuses communiquent, le
décor de votre siège social communique,...tout cela crée
des impressions. Ce phénomène explique l'intérêt
croissant que suscite la communication marketing. Il s'agit d'orchestrer un
ensemble cohérent d'impressions émanant du personnel, des locaux
et des actions de l'entreprise, le tout exprimant le sens et la promesse de la
marque à ses divers publics22.
I.2.1.2. DESCRIPTION DU PROCESSUS DE LA
COMMUNICATION
Toute communication suppose en effet un échange de
signaux entre un émetteur et récepteur, avec la mise en oeuvre
d'un processus de codage et de décodage (la forme la plus usuelle de
codage est le langage) destiné à permettre l'échange.
Il devient nécessaire d'envisager la communication
comme un service de la relation à long terme avec la clientèle.
Comme les clients ont des besoins différents, les communications doivent
être spécifiquement adaptées à chaque segment voir
chaque individu.
22 Philip KOTLER ; Péchés mortels en
marketing, Symptômes et solutions ; Maxima, Paris, 2007, P.138.
14
EMETTEUR
Feedback
CODAGE
MESSAGE
BRUITS
DECODAGE
Réponse
RECEPTEUR
Rappelons qu'il y a bien longtemps que les producteurs
s'acharnent à vouloir faire connaître leurs produits dans le but
d'augmenter la vente. L'une des premières
Source : KOTLER, P. ; KELLER, K. ; MANCEAU, D. ; Marketing
management ; 12èmé édition ; Nouveaux Horizons
; 2006 ; P.640.
- L'émetteur : est l'individu ou l'organisme qui est
à l'origine de la communication ;
- Le codage : c'est un processus par lequel on transforme les
idées en symboles ;
- Médias : sont des moyens et canaux par lesquels le
message est véhiculé de l'émetteur
au récepteur ;
- Le décodage : c'un processus ou mécanisme par
lequel le récepteur attache une
signification aux symboles transmis par l'émetteur ;
- Le récepteur : c'est la personne ou l'organisme à
qui est destiné le message envoyé ;
- Les bruits : c'est l'ensemble de toutes les distorsions qui
font que le message émis ne
corresponde pas au message reçu. On peut ainsi identifier
4 sortes de bruits :
· Les bruits sonores, techniques, réels ;
· Les bruits organisationnels (liés aux conditions
dans lesquelles se déroule la communication) ;
· Les bruits sémiologiques, d'attitudes et de
conduite ;
· Les bruits sémantiques.
Ce schéma décrit les facteurs clés propres
à tout processus de communication et permet d'identifier ainsi les
conditions d'une communication efficace.
I.2.2. THEORIE SUR LA PUBLICITE
I.2.2.1. HISTORIQUE DE LA PUBLICITE 1.
Premiers pas
15
méthodes publicitaires connues est l'affichage
extérieur qui, généralement sous forme d'une simple
enseigne peinte ou gravée sur un bâtiment attire le regard du
passant. La construction, l'urbanisation des grandes villes et
l'évolution des activités commerciales du moyen âge ont su
accomplir la mise au point d'autres formes de publicité non moderne. A
cette époque la publicité recourait aux crieurs publics,
payés par des commerçants pour lire des avis vantant les
mérites de leurs marchandises.
A la fin du XVème Siècle, la toute
nouvelle invention de l'imprimerie a permis de créer une nouvelle forme
de publicité : l'affichage. Les progrès considérables des
techniques d'imprimerie et de l'art de l'affichage permettent petit à
petit de maîtriser l'identité visuelle des produits
vantés.
Les marchands souhaitent désormais que leurs clients
puissent reconnaître leur « marque de fabriqué », rien
qu'en regardant leurs affiches. La marque, le dessin ou l'imprimé
symbolisent les produits ont fait leurs apparitions à la fin du
XVIème Siècle, quand les marchands placent des
panonceaux distinctifs à l'extérieur de leurs boutiques.
2. Avènement de la publicité
moderne
A partir de la fin du XIXème Siècle,
la publicité fait son apparition dans de nouveaux secteurs. Les
fabricants de produits médicaux et pharmaceutiques ainsi que les
compagnies de chemins de fer, commencent à l'utiliser dans des journaux
à grand tirage. C'est à cette époque que les industriels
(dont les fabricants de savon) se lancent dans la commercialisation de produits
à emballages personnalisés. Cette évolution ouvre une
nouvelle ère de l'histoire de la publicité avec les techniques de
packaging (mise en valeur d'un produit par son emballage).
Auparavant, les produits de consommation courante telle que
le sucre ou le beurre étaient vendus dans des barils ou des sacs, de
sorte que les consommateurs attachent de la valeur au produit, à son
prix, mais pas à la marque.
3. Progrès techniques et premières agences
de publicité
Après la première Guerre mondiale, le
progrès de la publicité est stimulé par les innovations
techniques, notamment l'électricité, qui permet l'apparition
d'affiches extérieures illuminées, et la photogravure, qui est
utilisée par la presse. Enfin, l'arrivée de la radio dans les
années 1920 fait naître une nouvelle forme de publicité
à travers les messages
16
audio qui, à partir de 1929, sont introduits en France
par Marcel Bleustein-Blanchet, fondateur de l'agence Publics.
Après la seconde Guerre mondiale, la nouveauté
essentielle est la télévision, qui incite le monde de la
publicité à perfectionner ses techniques de vente en utilisant
toutes les possibilités de ce nouveau support, devenu peu à peu
le media publicitaire le plus important en raison de son impact sur un
très large public.
A partir des années 1960 et 1970, la publicité,
présente sous de très nombreux supports
(télévision, radio, affichage, cinéma, publicité
sur lieu de vente), devient un facteur déterminant dans la
stratégie des entreprises, alors que la société de
consommation est en phase d'expansion.
4. Une nouvelle ère
Dans les années 1990, l'apparition des
télécommandes de télévision (permettant le zapping)
fait des téléspectateurs des consommateurs plus
éduqués. Conscients des menaces que ces nouveaux instruments
représentent pour leur activité, les annonceurs
expérimentent de nouvelles formes de publicité :
? Le parrainage (sponsoring) afin d'être associé
à une émission ou à un événement (la coupe
du monde par exemple) ;
? La communication autour de la vie des entreprises ;
? Les infomercils (ou publicités d'information), sorte de
court métrage publicitaire qui permet d'argumenter de manière
détaillée sur un produit.
Depuis la fin du XXème Siècle,
l'expansion de l'intérêt et des réseaux de communication
internationaux crée de nouvelles perspectives pour la publicité.
Grâce aux bandeaux, interactifs disposés sur les serveurs
d'internet, le consommateur peut se trouver directement sur le site de son
annonceur, se renseigner et commander des produits.
17
I.2.2.2. DEFINITION DE LA PUBLICITE
Parmi les nombreuses définitions de publicité, on
peut reprendre les
suivantes :
? Selon KOTLER á DUBOIS, c'est toute forme de
communication non interactive utilisant un support payant, mise en place pour
le compte d'un émetteur identifié entant que tel23.
? La publicité est un moyen de communication qui permet
à l'entreprise de délivrer un message auprès de clients
potentiels avec lesquels elle n'a pas de contact direct. En recourant à
la publicité, l'entreprise met en oeuvre une stratégie de
communication d'aspiration, dont l'objectif principal est de créer,
auprès de la demande finale, une image de marque ainsi qu'un capital de
notoriété, et de favoriser ainsi la coopération des
distributeurs24.
I.2.2.3. SORTES DE PUBLICITES
Il existe deux sortes de publicités dont chacune d'elle
à ses supports qui permettent de faire la distribution de forme ; ainsi
nous avons :
1°. La publicité directe : elle
consiste à adresser des messages individuels au membre du public
visé ; ces messages peuvent prendre la forme de lettre, d'appel
téléphoniques, ou des contacts personnels assurés par des
représentants de l'entreprise (vendeur, salon, exposition,
congrées,...).
2°. La publicité indirecte : est
celle qui s'adresse aux consommateurs au moyen des désirs et qui
facilite la communication en un temps record. A titre d'exemple, citons les
tee-shirts, pagnes, chapeaux, képis, sachets, calendriers,
parasols,...
I.2.2.4. MISSION ET ROLE DE LA PUBLICITE
1. MISSION (BUT) DE LA PUBLICITE
Toute entreprise qui se respecte doit avoir un but majeur
poursuivi. La publicité a pour but d'assurer un écoulement plus
abondant, plus rapide et plus sure de la production, en vue de renforcer cette
dernière.
23 KOTLER á DUBOIS ; Op Cit, P.580.
24 Lambin J.J ; Chantal de Moerloose ; Op Cit,
P.521.
18
La publicité vise aussi de manière directe ou
indirecte, à influencer autrui jusque dans ses comportements. Elle
s'appuie sur des moyens utilisés de manière circonstancielle
selon la stratégie marketing à satisfaire.
2. ROLE DE LA PUBLICITE
Nous parlerons du rôle de la publicité par
rapport à l'annonceur et son utilité pour l'acheteur ou client
potentiel.
? Pour l'annonceur, le rôle de la publicité est
de fournir des informations aux clients et de susciter une sympathie
auprès de ceux-ci, en vue de créer ou de développer la
demande pour son produit ;
? Pour le client potentiel, la publicité permet de
connaitre les qualités distinctives du produit revendiquées par
le producteur et d'économiser du temps dans l'accès à
cette information puisqu'il l'obtient sans démarche de prospection.
I.2.2.5. LES OUTILS DE LA PUBLICITE
Pour atteindre ses buts, la publicité a
généralement très peu de temps qu'il lui faut donc presque
simultanément capter l'attention, la retenir et faire passer son message
; ainsi donc l'explication de recours aux supports medias et à ceux hors
medias, mais aux partenaires comme les annonceurs et les agences de
publicité.
1. PUBLICITE MEDIA (COMMUNICATION MASS-MEDIA)
La publicité media est un moyen de communication au
sens strict, elle consiste à émettre des messages en vue
d'exercer directement une influence sur l'esprit des gens auxquels elle
s'adresse et indirectement sur leur comportement affectif.
La publicité media utilise comme vecteur l'affichage,
le cinéma, la presse, la radio, la télévision ainsi que le
Web/Internet.
a) L'AFFICHAGE
Elle doit comporter des messages susceptibles d'être
appréhendés rapidement et ne peut donc comporter d'arguments. Les
réseaux d'affichages offrent des panneaux « grand format » en
zone urbaine ou rurale, des publicités lumineuses et des affichages
« transport,... ». Ce media est intéressant à
l'utiliser lors d'un lancement car c'est
19
un media puissant qui s'impose au plus grand nombre et qui est
capable de forcer l'attention25.
b) LE CINEMA
Dont l'immense atout est de bénéficier d'une
audience de qualité car très captive, offre de grandes
qualités techniques. C'est un media onéreux en termes d'achat
d'espaces et de réalisation technique.
En outre la cible touchée est étroite et
typée : les jeunes en majorité. Ce ciblage très
précis peut être un frein mais malgré cela intéresse
certains annonceurs26.
c) LA PRESSE
La presse écrite occupe la première place dans
les investissements publicitaires. C'est la diversité des supports de
presse qui fait le succès de ce media. On trouve la presse quotidienne
(qui comprend la presse quotidienne nationale, régionale et même
locale) ; la presse périodique qualifiée aussi de presse magazine
grand public (hebdomadaire, mensuels, bimensuels, trimestriels,...) ; la presse
technique et professionnelle destinée le plus souvent à des
professions particulières ou des secteurs d'activités
spécifiques et, finalement, la presse gratuite qui offre un contenu
essentiellement publicitaire et une adaptation locale27.
d) LA RADIO
Souvent utilisée en média d'accompagnement dans
la mesure où l'absence de possibilités visuelles ne permet de
présenter le produit ni d'en faire la démonstration. La
qualité de l'audience ne peut être très bonne car
l'auditeur écoute la radio en accomplissant d'autres activités et
son attention peut dont être très assez limitée. Mais en
même temps, c'est un media qui s'insinue dans la vie de tous les jours et
peut être entendu à tout moment, sans que l'individu en ait
véritablement conscience (par exemple dans un lieu public ou dans un
magasin,...).
e) LA TELEVISION
Constitue un media de masse puissant qui offre un grand
potentiel de démonstration et tend à conférer à
l'annonceur un certain prestige. La télévision est quasiment
incontournable quand on veut toucher une cible familiale ou enfantine. En
revanche, ce media
25 Eric VERNETTE ; Publicité :
Théories, acteurs et méthodes, Paris, la documentation
Française, 2000, P.65. 26Eric VERNETTE ; Op Cit, P.65.
27Eric VERNETTE ; Op Cit, P.65.
20
ne génère pas forcement une audience «de
qualité » car le récepteur peut l'utiliser en media de fond
ou d'ambiance et peut zapper et changer de chaine dès qu'il en a
envie.
f) LE WEB (INTERNET)
Ce media a vu ses investissements publicitaires augmenter de
façon impressionnante en quelques années. La publicité sur
internet sert à faire connaître, à promouvoir, son site
Web, un produit ou une entreprise. L'un des avantages de ce media est la large
audience qu'il permet de cibler pour un faible coût.
L'internet est un media de qualité unique par la
réponse instantanée et l'incitation à l'action qu'il
offre, il fait appel à des compétences techniques et
créatives comme l'ergonomie, le graphisme ou la vente.
Les publicités sur ce media très évolutif
comprennent énormément de services publicitaires comme :
l'affichage de bannières publicitaires, les blogs marketing, la
publicité par les liens contextuels, les liens sponsorisés, la
publicité dans les newsletters,...
La publicité sur le Web ne vise pas simplement à
faire connaître un site ou gérer une campagne publicitaire sur un
moteur de recherche, elle requiert une définition de la stratégie
marketing de l'entreprise, la fonction que doit jouer son site internet et la
cible commerciale à laquelle elle d'adresse.
De là, les choix de type de publicité et de
media seront posés. La publicité Web est très peu couteuse
comparée à celle des autres medias et permet au consommateur de
rechercher et acheter ses produits et services où et quand cela lui
convient.
2. PUBLICITE HORS MEDIA (COMMUNICATION HORS MEDIA)
Le terme de communication hors media est parfois
utilisé pour désigner tous les moyens de communication (autres
que la publicité par mass-média) dont les coûts sont
imputés au budget de communication de l'entreprise. En plus du marketing
direct, de la publicité sur le lieu de vente (PLV), de la promotion des
ventes et des techniques de parrainage ; la communication hors media regroupe
aussi les relations presse, les relations publiques et la communication
événementielle qu'on va définir.
21
a) MARKETING DIRECT
Est une communication directe aux consommateurs en vue
d'obtenir une réponse et /ou une transaction28. Ses
caractéristiques sont l'absence d'intermédiaires entre
l'entreprise et le client, une double fonction de communication et/ou de vente,
et l'attente d'une réaction rapide du client (souvent une commande ou
une demande d'information).
b) LA PROMOTION DES VENTES
C'est un ensemble des techniques destinées à
stimuler les ventes, souvent à court terme, en augmentant le rythme ou
le volume des achats des consommateurs ou des distributeurs29. Elle
est conçue pour avoir, en plus, une influence sur la
notoriété et l'image des marques et des produits.
La promotion des ventes représente aujourd'hui 16% des
dépenses de communication. Alors que la publicité donne une
raison d'acheter, la promotion offre une incitation à l'achat. De par sa
diversité, la promotion des ventes sert une multitude d'objectifs. La
remise d'un échantillon facilite l'essai, tandis qu'une offre de
défraiement publicitaire instaure des bonnes relations avec les
distributeurs.
c) LA FORCE DE VENTE
La force de vente est une communication « sur mesure
», personnelle et bilatérale (un dialogue), apportant des
informations à l'entreprise et qui est davantage conçue pour
inciter le client à une action immédiate. La vente personnelle
est le moyen de communication le plus efficace à certains stades du
processus d'achat, particulièrement lorsqu'il faut développer les
préférences et inciter à la décision d'achat.
d) RELATIONS PUBLIQUES ; RELATIONS PRESSE ; ET COMMUNICATION
EVENEMENTIELLE
? Relations publiques : Les relations
publiques constituent un monde de communication commerciale (d'information
séduction) permettant de « vendre » l'image la plus favorable
possible d'une entreprise et d'entretenir les meilleurs rapports avec ceux dont
dépend son avenir, par l'intermédiaire d'actions
spécifiques créées par l'entreprise auprès d'une
cible précise30
28KOTLER, P. ; KELLER, K. ; MANCEAU, D. ;
Marketing management, 14ème édition, Nouveaux
Horizons, Pearson France, 2012 ; P.608.
29KOTLER, P. ; KELLER, K. ; MANCEAU, D.; Op Cit ;
P.588.
30 Claude Demeure ; Aide-mémoire
marketing, 6eme Edition, Dunod, P.321.
22
? Relation presse : C'est une communication
par l'intermédiaire de la presse écrite et audiovisuelle qui
consiste à contacter les journalistes pour qu'ils relient le message
à leur lectorat.
? Communication évènementielle
: C'est un processus qui consiste à concevoir, mettre en
scène ou s'associer à un évènement afin de susciter
l'intérêt ou la sympathie du produit. En outre pour décrire
une publicité multi supports qui dure dans le temps, on parle de
campagne publicitaire. Mais qu'il faut noter que peu importe le support, le
slogan publicitaire reste une pièce maitresse de la publicité.
e) LE DESIGN
C'est l'ensemble des éléments qui affectent
l'apparence et le fonctionnement du produit pour son utilisateur. Il
détermine les émotions générées par le
produit, sa dimension symbolique et la signification qu'il vaut revêt
pour le client31.
Pour l'entreprise, un produit bien conçu est facile
à fabriquer et commercialisé. Pour le client, il doit être
agréable à utiliser et à regarder, facile à ouvrir,
à installer, à maitriser, à réparer et, le moment
venu, à abandonner. Le design génère des
bénéfices fonctionnels et émotionnels, multipliant ainsi
les occasions d'utilisation et les fonctionnalités employées.
Le design intervient très en amont de la conception
afin d'intégrer la forme du produit et sa fonction. Parfois, la forme
est considérée comme relativement autonome et l'esthétique
constitue une dimension en soi.
I.2.2.6. LA CREATION PUBLICITAIRE
Dans l'élaboration d'une campagne publicitaire, la
première étape est celle de l'élaboration du message
à communiquer à la cible. L'axe général de la
campagne publicitaire est normalement déjà défini,
puisqu'il résulte du choix du positionnement stratégique retenu
pour la marque. C'est aux responsables du marketing stratégique,
rappelons-le, qu'il incombe de fournir aux créatifs le cahier des
charges de la campagne qui constitue le cadre à l'intérieur
duquel ces derniers traduiront l'axe de communication en message, lequel sera
ensuite matérialisé sous la forme d'un dessin, d'une maquette,
d'un film ou d'une affiche.
31KOTLER, P. ; KELLER, K. ; MANCEAU, D. ; Op. Cit ;
P.383.
23
a) LES APPROCHES CREATIVES
Une fois qu'ils ont bien défini et bien compris
l'objectif de la communication publicitaire, les créatifs traduisent le
message en idées, en symboles, en formes, en sons, en paroles, en
situations, etc. qui parlent efficacement aux individus faisant partie de la
cible, sachant que ceux-ci sont quotidiennement bombardés de messages en
tous genres. Le défi est d'autant plus considérable que la
qualité de la communication conditionne l'efficacité de
l'ensemble du processus. La pertinence du message et la qualité de son
expression sont les facteurs essentiels qui vont déterminer la
productivité de l'investissement publicitaire. Au stade de la
création publicitaire, différentes approches créatives
peuvent être adoptées.
?La copy-stratégie
La copy est le document qui sert de cahier des charges pour
les créatifs : elle déni ce qui doit être communiqué
par la publicité. La force de cette méthode est d'amener les
responsables marketing à choisir un axe de communication qui sera
maintenu pendant plusieurs années et qui dotera la marque d'une image
spécifique et d'un positionnement32.
Cette approche créative est particulièrement
efficace pour des produits à dominante fonctionnelle et utilitaire, ou
pour lesquels il existe des éléments de différenciation
ayant une contrepartie technique.
?La star-stratégie
La star-stratégie s'appuie sur trois composantes pour
déterminer l'axe de communication : le physique de la marque (sa
fonction), son caractère ou sa personnalité et le style de
l'expression. Ce type d'approche créative est particulièrement
efficace lorsque le produit à soutenir ne présente aucun
élément de différenciation important pour le client.
b) LA RECHERCHE D'UNE BONNE IDEE PUBLICITAIRE
Bâtir la campagne sur une bonne idée est
indispensable. Il existe plusieurs méthodes pour rechercher de bonnes
idées publicitaires. Comme nous l'avons déjà
souligné, le choix du message publicitaire fait partie de la
décision de positionnement du produit ou de la marque, puisque la
publicité doit communiquer la promesse que la marque fait au client.
32Lambin J.J ; Chantal de Moerloose ; Op Cit,
P.508.
24
Pour le concept retenu, plusieurs messages peuvent être
imaginés, et les créatifs ont toute latitude pour modifier le
message sans pour autant changer le positionnement recherché pour la
marque. Cohérence et continuité de la publicité sont des
facteurs indispensables pour créer une image et un capital de marque.
L'impact d'une publicité ne dépend pas seulement du contenu du
message, mais également de la qualité de son exécution. La
création publicitaire doit faire preuve d'originalité : il existe
de multiples manières d'exprimer la même idée.
I.2.2.7. L'EVALUATION DE L'EFFICACITE PUBLICITAIRE
Mesurer l'efficacité d'une publicité est un
difficile pour l'annonceur. Lorsque les objectifs de la communication
publicitaire ont été clairement définis et traduits en
messages, la mesure de l'efficacité de la communication est
déjà largement facilitée. On distingue trois niveaux de
l'efficacité publicitaire : l'efficacité au niveau de la
perception, de l'attitude et du comportement. Ils correspondent aux trois
niveaux de réponse du marché (cognitif, affectif et
comportemental).
a) L'EFFICACITE SUR LA REPONSE COGNITIVE
On examine ici la capacité d'une annonce à
franchir le mur d'indifférence ou de défense perceptuelle des
clients potentiels à être vue, lue, entendue et
mémorisée par le groupe-cible. Il est évident que la
première qualité d'une annonce est d'être remarquée.
Si cette condition n'est pas satisfaite, rien ne peut se passer sur le plan de
l'attitude ou du comportement : on comprend mieux la préoccupation du
publicitaire parfois irritante pour l'observateur, de « passer la rampe
» et d'utiliser à cette fin l'humour, le rêve, l'incongru, le
vedettariat. Ce souci est d'autant plus important que la prolifération
des messages publicitaires provoque inévitablement une baisse
d'attention du public qui rejette les éléments ennuyeux ou
indésirables.
b) L'EFFICACITE SUR LA REPONSE AFFECTIVE
Le deuxième niveau d'efficacité est celui qui
concerne la réponse affective ainsi que l'impact du message perçu
sur l'attitude vis-à-vis du produit ou de la marque. Le fait qu'un
message ait été effectivement perçu par le groupe de
clients visé ne permet pas de conclure que la communication est efficace
sur le plan du changement d'attitude, puisqu'un message parfaitement
reçu, compris et assimilé, peut être totalement
inopérant en raison de son inadaptation, de son manque de crédit
ou de pertinence.
? Stimuler les achats : la publicité a pour
finalité d'assurer un écoulement plus abondant, plus rapide, plus
régulier de la production ;
25
Toutefois, il est apparu que le simple effet d'exposition
à une publicité de pure notoriété peut avoir un
impact sur la réponse affective. Ainsi les expositions multiples
à un message finissent par créer une préférence
pour l'objet présenté.
c) L'EFFICACITE SUR LA REPONSE COMPORTEMENTALE
Le troisième niveau du processus est le niveau de
l'efficacité comportementale, c'est-à-dire le comportement
d'achat suscité par l'action publicitaire, qui est bien l'objectif
ultime poursuivi. Les indicateurs utilisés sont alors les achats
d'essai, les ventes ou la part de marché, décomposée en
taux d'occupation, d'intensité, d'exclusivité ou de
fidélité.
Les fonctions de réponse sont utiles à un double
égard. Tout d'abord, l'estimation des fonctions de réponse,
basée sur l'observation de différents marchés,
différents segments, différentes catégories de produits,
améliore la compréhension des mécanismes de réponse
des acheteurs. On peut également mesurer l'efficacité de la
publicité soit en termes de communication et en termes de ventes.
? EN TERMES DE COMMUNICATION
Certains moyens sont utilisés pour apprécier la
valeur de communication d'une annonce publicitaire :
? L'interview des consommateurs ;
? Le test de laboratoire ;
? Le post test : mémorisation, reconnaissance,
incitation à l'achat. ? EN TERMES DE VENTES
On mesure cet impact en utilisant des données
historiques ou expérimentales. C'est-à-dire d'une relation entre
les ventes passées et les budgets publicitaires correspondants.
I.2.2.8. AVANTAGES ET INCONVENIENTS DE LA PUBLICITE
a) AVANTAGES DE LA PUBLICITE
La publicité joue un triple avantage, à savoir :
26
? Accroitre la production : la publicité exerce une
influence directe ou indirecte sur le taux d'accroissement de la production
;
? Régulariser la production : une publicité bien
organisée assure aux producteurs comme à tous les échelons
de la distribution un écoulement plus régulier des produits, avec
une rotation accélérée des stocks et des profits en
ascension constante.
Notons que l'avantage de la publicité s'articule
également autour de l'accroissement des recettes, c'est-à-dire
une publicité bien conçue et bien faite, permet à
l'entreprise d'accroitre les ventes et produit un bénéfice
significatif.
b) INCONVENIENTS DE LA PUBLICITE
La publicité comporte aussi ses méfaits, et parmi
ses derniers, on peut citer :
? Le cout qu'elle engage,
? La création des besoins artificiels chez les
consommateurs,
? La difficulté de marquer l'essentiel et l'accessoire
à travers les messages qui sont lancés au public.
I.2.3. THEORIE SUR LA PROMOTION DES VENTES
I.2.3.1. NOTIONS SUR LA PROMOTION DES VENTES
La plupart des programmes de promotion des ventes ne sont pas
rentables. La promotion la moins rentable de toutes est celle où seuls
les utilisateurs habituels du produit l'achètent à son prix
promotionnel, sans qu'aucun nouveau client ne l'essai. Cela revient à
donner aux clients habituels une prime qui les pousse à acheter
davantage d'unités pendant la période de promotion, quitte
à réduire ensuite leurs achats.
Les meilleures promotions des ventes attirent de nouveaux
clients qui essaient le produit, jugent la marque supérieure et en font
leur marque préférée33. Ceci arrive que cette
marque fût une belle endormie : elle était déjà
supérieure aux autres, mais les consommateurs ne la connaissaient pas ou
mal. Dans ce cas, l'entreprise doit compléter le stimulus de la
promotion des ventes par des distributions d'échantillons.
Les promotions des ventes sont trop souvent
développées par des chefs de produits ayant peu
d'expérience spécifique en la matière. Il y a une
solution, qui consiste à nommer une personne expérimentée
pour conseiller ses collègues, puis à analyser les
résultats
33Philip KOTLER ; Op Cit ; P.112.
27
de chaque promotion pour mieux cerner ce qui marche le mieux.
On peut aussi faire appel à une agence de promotion des ventes qui
recommandera la meilleure promotion, en fonction des circonstances.
I.2.3.2. OBJECTIFS DE LA PROMOTION DES VENTES
Depuis quelques années, il ressort des observations du
budget marketing des grandes entreprises une augmentation rapide des
dépenses promotionnelles. A l'analyse de cette situation, on remarque
que c'est dans les secteurs où les produits sont peu
différenciés et où il est souvent difficile de
créer chez le consommateur un intérêt par le seul fait de
la publicité que les dépenses promotionnelles croissant.
Il existe toute une panoplie d'actions promotionnelles. Et
cette diversité de la promotion des ventes favorise une
multiplicité des objectifs qu'elle vise.
La promotion des ventes est la plus efficace en
amélioration de la réponse post-comportementale. On peut examiner
la promotion du point de vue de l'émetteur de l'offre (fabricant ou
distributeur) et du point de vue de la cible visée (client,
distributeur, force de vente). C'est ainsi que nous retiendrons quatre types de
promotion :
1°. La promotion client (consommateur) :
qui consiste à proposer au client un avantage immédiat,
différé ou hypothétique, lié à l'achat d'un
produit. La promotion client est émise par le fabricant et utilise le
plus souvent un canal de distribution.
2°. La promotion distributeur : propose
aux entreprises de distribution des avantages ponctuels, le plus souvent
d'ordre financier, afin de les inciter à augmenter leurs stocks et/ou de
financer des actions de revente auprès de leurs propres clients, comme
par exemple des mises en avant ou des actions publicitaires. Il s'agit alors de
« conditions promotionnelles ».
3°. La promotion commerciale : qui
comprend les opérations commerciales organisées par les
entreprises de distribution au bénéfice de leurs propres clients
et utilisant, pour une part, les moyens financiers mis à leur
disposition par les fabricants.
4°. La promotion réseau : dont
l'objectif est d'inciter tous les personnels (force de vente, grossistes,
détaillants,...) concernés par la vente du produit à
consentir un effort particulier pour en promouvoir la vente, en jouant sur
l'intérêt individuel.
28
I.2.3.3. TECHNIQUES DE LA PROMOTION DES VENTES
Les techniques promotionnelles sont nombreuses et très
diversifiées, on peut le regroupées en quatre grandes familles
:
1. Ventes avec primes
- Prime directe : offre d'un article supplémentaire remis
gratuitement, en même temps
que le produit acheté.
- Prime recette : offre des fiches recettes en primes à
tout acheteur d'un produit.
- Prime différée : offre d'un avantage
supplémentaire dont la remise est différée.
- Prime à échantillon : remise directe d'un
produit échantillon.
- Prime contenant : modification du conditionnement pour en
faire un contenant
réutilisable par le client.
- Offre auto payante : proposition d'un article à un prix
particulièrement avantageux,
offre véhiculée par une marque
déterminée, sans que cette dernière ait à en subir
la
moindre répercussion financière.
2. Techniques des jeux
- Concours : promesse d'un gain substantiel acquis à
la faveur d'une compétition faisant appel aux qualités
d'observation, de sagacité et de créativité des
participants.
- Jeux, loterie sweepstake : formes diverses de jeux du type
« tirage au sort » avec promesse d'un gain acquis grâce
à l'intervention du hasard.
- Winner perstore (un gagnant par magasin) : tirage au sort
dans un point de vente donné permettant à celui-ci de faire
gagner l'un de ses clients, sans qu'il ait obligation d'achat.
3. Réduction de prix
- Bons de réduction : coupon ou titre donnant droit
à une réduction déterminée sur le
prix normal au produit ;
- Offre spéciale : prix spécial consenti au public
pendant une période donnée ;
- 3 pour 2 : technique consistant à proposer trois
produits pour le prix de deux, quatre
pour le prix de trois, etc. ;
- Offre de remboursement : réduction
différée sur le prix d'une marchandise donnée, sur
présentation de la preuve d'achat ;
- Reprise de produit : rachat par un fabricant d'un vieux
produit de la marque.
4. Essais et échantillonnage
29
- Echantillon : taille réduite d'un produit
diffusée gratuitement pour faire connaitre une nouveauté ;
- Cadeau gratuit : distribution d'un cadeau pour inciter le
public à une action déterminée (exemple : s'abonner
à un journal ou visiter un supermarché) ;
- Essai gratuit : offre d'un essai gratuit d'un nouveau produit
sans obligation d'achat ;
- Démonstration : présentation commerciale des
qualités d'un produit avec, le cas échéant,
dégustation de celui-ci ou essai pratique.
I.2.3.4. LES EFFETS PERVERS DE LA PROMOTION DES
VENTES
Le recours trop fréquent aux actions promotionnelles
risque d'avoir des effets pervers sur les comportements d'achat et sur l'image
de marque. On peut en identifier quatre types :
- La surenchère promotionnelle : le risque d'une
promotion efficace est de susciter, selon un mécanisme de
repésailler, un processus d'escalade promotionnelle installant une
situation de promotion quasi permanente dans le marché, ce qui n'est
attractif pour le fabricant ni pour le distributeur.
- La banalisation de l'image de marque : la promotion, si elle
est trop fréquente, risque de contribuer à dévaloriser la
marque aux yeux des clients, en particulier lorsque le positionnement
recherché par la publicité d'image est celui d'un produit de haut
de gamme.
- Le développement de comportements spéculatifs
: dans la mesure où une part croissante des ventes est
réalisée dans des conditions promotionnelles, les clients peuvent
modifier leur comportement d'achat en attendant systématiquement les
offres promotionnelles.
- Une difficulté de comparaison des prix : la
multiplication des offres promotionnelles rend l'évaluation du juste
prix ainsi que les comparaisons de prix plus difficiles pour le consommateur,
et risque en définitive de réduire sa sensibilité au
prix.
Il est important de ne pas confondre la promotion des ventes
avec la publicité. En effet, ces deux méthodes fonctionnent sur
deux modes différents. Alors que l'objectif de la publicité est
de donner raison d'acheter et cherche donc à attirer le consommateur
vers les produits (stratégie PULL) ; la promotion des ventes offre quant
à elle une incitation à l'achat et pousse donc le produit vers
les consommateurs (stratégie PUSH).
30
CHAPITRE II. PRESENTATION DU MILIEU D'ETUDE : VILLE
DE
LUBUMBASHI
Dans ce chapitre il est question de présenter la ville
de Lubumbashi qui est notre terrain de recherche. Les éléments
présentés dans ce chapitre sont tirés des archives de la
Mairie de Lubumbashi, cédés par le service de la documentation et
sur le site web, www.http/Lubumbashi.cd.
Section 1. SITUATION HISTORIQUE ET GEOAGRAPHIQUE DE LA
VILLE DE
LUBUMBASHI
II.1.1. SITUATION HISTORIQUE
Lubumbashi est, selon les estimations, la deuxième ou
troisième ville de la République démocratique du Congo
quant au nombre d'habitants, titre disputé avec Mbuji-Mayi. Elle est
devancée par Kinshasa. Lubumbashi était le chef-lieu de la
province du Katanga (temporairement Shaba sous le règne de Mobutu)
jusqu'en 2015. Elle devient ensuite le chef-lieu de la province du
Haut-Katanga. Lubumbashi est aussi appelée capitale du cuivre.
Fondée en 1910 par les Belges sous le nom
d'Élisabethville ou Elisabethstad (d'après Élisabeth de
Bavière, devenue reine des Belges), souvent abrégée en
« E'ville », la ville fut renommée Lubumbashi en 1965. Elle
fut aussi la capitale de l'éphémère État
autoproclamé du Katanga (1960-1963), né sous l'impulsion de
Moïse Tshombe.
Elle est le siège de plusieurs grandes
sociétés congolaises, ou à capitaux étrangers, dont
la Société nationale des chemins de fer du Congo, SNCC en sigle,
la Gécamines, GCM en sigle, Ruashi Mining et KICC (Metorex Group
companies), Anvil Mining sprl (Mawson West RDC), Société de
Traitement du Terril de Lubumbashi (STL), Tenke Fungurume Mining (Freeport Mac
Moran), Phelps Dodges RDC, ou encore le groupe George Forrest.
La prison de Kassapa est située au nord de Lubumbashi,
actuellement non loin des nouveaux lotissements attribués à leurs
nouveaux acquéreurs, se retrouvant ainsi trop rapprochée de la
ville et de son peuple. Cette prison est recensée parmi les plus grandes
prisons du pays avec une importante population carcérale. Ensemble avec
la prison Centrale de Makala à Kinshasa et celle de Buluwo à
Likasi, elles sont réputées comme étant les plus
sécurisées de la République démocratique du
Congo.
31
II.1.1.1. HERALDIQUE DE LA VILLE DE LUBUMBASHI
Dans cette partie, il s'agit de donner le blason (armoirie) de
la ville Lubumbashi en donnant aussi les différentes significations de
ses symboles.
Blason de Lubumbashi
Elle reçut ses premières armoiries le 20
décembre 1954.
Elles sont blasonnées comme suit : « D'argent au
chevron de gueules, chargé d'une lettre majuscule romaine L
sommée d'une couronne royale, le tout d'argent et accompagné de
trois croisettes monétaires katangaises de gueules.
Devise : Ex imis ad culmina (des profondeurs vers les
sommets), de gueules sur un listel d'argent.
II.1.1.2. SIGNIFICATION
Les croisettes monétaires katangaises rouges
évoquent la richesse minière en cuivre du Katanga. Dans le
même ordre d'idées, le chevron rouge pourrait symboliser une
coulée de cuivre, à moins qu'il n'évoque l'extraction du
minerai, comme pourrait le suggérer la devise qui signifie « des
profondeurs vers les sommets ». Aujourd'hui, on pourrait aussi y voir le
profil du terril, élément du paysage caractéristique de la
ville. Tout ceci n'est toutefois qu'hypothétique. Quant au « E
» couronné, il constitue une marque d'hommage à la reine
Élisabeth.
C'est avec cet écu que les « croisettes
monétaires katangaises » firent leur entrée parmi les
figures héraldiques. Cet objet en cuivre, qui servait de monnaie aux
indigènes du Haut-Katanga jusqu'à l'arrivée des
Européens, se présente comme une petite croix
légèrement pattée et aux extrémités
arrondies, de 20 cm environ de côté. Cependant, en la
représentant comme une petite croix grecque, les héraldistes
officiels belges, mal informés, commirent une regrettable erreur. Au
Katanga, elle est en effet traditionnellement représentée comme
une croix de saint André. Les armoiries civiques (voir celles de
l'État de Moïse Tshombé du Katanga) ou personnelles
ultérieures respecteront mieux la tradition.
32
II.1.2. SITUATION GEOGRAPHIQUE
Dans cette partie du Travail, nous allons présenter la
situation Géographique
de la Ville de Lubumbashi l'Hydrographie, le relief, ainsi le
climat:
- Altitude : 1 230 m
- Latitude : entre 11° 20' et 12° Sud
- Longitude : entre 27° 10' et 27° 40' Est
- Températures : moyenne : 20 °C
- Les plus basses : 15,8 °C en moyenne, mais pouvant
descendre jusqu'à 10 °C au mois
de juillet ;
- les plus hautes : 22,5 °C en moyenne pouvant monter
à 38 °C en octobre.
- Substrat géologique : sols provenant des roches du
Katanguien.
II.1.2.1. L'HYDROGRAPHIE
Du nord au nord-ouest vers le sud-est, la Ville de Lubumbashi
est traversée par deux grandes rivières : Kafubu et Lubumbashi.
Son bassin Hydrographique est composé de sept ruisseaux qui sont :
Kampemba, Kimilolo, Ruashi, Luoshi, Luano, Karavia et Naviundu.
II.1.2.2. LE RELIEF
Le relief de la Ville de Lubumbashi est caractérisé
par :
- Le plateau incliné du nord vers le sud-est,
- Plusieurs vallons où sont implantées les fermes
agropastorales
- Un sol alluvionnaire et sablons-anguleux.
II.1.2.3. LE CLIMAT
La Ville de Lubumbashi est sous un climat sec avec deux sessions
qui sont :
- La session de pluie allant de fin octobre à mi-avril
- La session sèche allant de fin avril à mi-octobre
Il faut noter qui a une forte chaleur pendant le mois
Août, de Septembre et d'Octobre. Alors qu'il fait froid au mois de Juin
et Juillet.
33
II.1.2.4. ÉCONOMIE
La ville de Lubumbashi compte sur une économie
majoritairement axée sur les activités minières des
compagnies oeuvrant dans les différentes villes du Katanga, qui de fait,
possèdent presque toutes des bureaux officiels dans la ville. La masse
monétaire influençant les activités économiques est
principalement due aux revenus des travailleurs originaires de la ville qui
vont travailler en dehors de la ville. L'agriculture ou l'élevage ne
représentent pas une grande activité qui puisse jouer sur
l'économie, par contre toutes les denrées sont importées
des pays d'Afrique Australe, notamment la Zambie, l'Afrique du Sud ou encore la
Tanzanie. Rendant également la ville dépendante de toute
fermeture de frontière aux denrées alimentaires. Exemple du mois
d'avril 2013 où le sac de farine, très apprécié des
Lushois, était passé à plus de 40 dollars US, au lieu des
12 à 16 dollars habituels.
II.1.2.4.1. LES GRANDES ENTREPRISES LOCALES
- Gécamines
- Ruashi Mining
- SOMIKA
- CHEMAF
- CDM
La plus part de grandes entreprises de la Ville oeuvrent dans
l'industrie
minière et contribuent à la résorption du
chômage et aux actions d'intérêt communautaire
dans la Ville.
II.1.2.4.2. PRINCIPAUX PRODUITS AGRICOLES
- Maïs (48%) - Manioc (29%) - Arachide (21%) - Riz paddy
(2%)
L'agriculture n'est pas très développée
dans la Ville de Lubumbashi, à l'exception de la Commune Annexe qui
dispose encore un peu d'espace cultivable pour certaines cultures ; ceci est
dû à l'expropriation des champs par les sociétés
minières et la spoliation par les chefs de quartiers, de cellules, le
service de cadastre. Certains fermiers aussi n'exploitent pas rationnellement
leurs concessions. La Ville de Lubumbashi exploite 65 km2 en
cultures vivrières surtout dans la Commune Annexe.
34
Suite à u, faible niveau de production agricole,
l'agriculture est essentiellement rudimentaire et de substance. La
céréale la plus répandue est le maïs. Elle se
consomme sous de foufou, de bouillie pour enfant,
etc. la production de manioc, maïs et
cultures maraichères est faite en abondance dans la commune annexe ;
alors que le riz paddy n'est cultivé dans la commune de Katuba. Toutes
les denrées sont importées des pays d'Afrique Australe, notamment
la Zambie, l'Afrique du sud ou encore la Tanzanie. Rendant également la
ville dépendante de toute fermeture de frontière aux
denrées alimentaires.
II.1.2.5. EDUCATION
II.1.2.5.1. ENSEIGNEMENT PRIMAIRE
Depuis 2005, la ville possède 143 écoles
primaires avec 11914 élèves (presque autant de filles que de
garçons). Le taux de scolarisation au niveau primaire est de 70%
à 90% à 14 ans, et est plus faible dans les quartiers dits
d'auto-construction et dans les villages citadins.
II.1.2.5.2. ENSEIGNEMENT SECONDAIRE
En 1998, les 92 écoles secondaires comptent 37754
élèves, dont deux fois plus de garçons que les filles. Ses
écoles sont surtout des lycées, collèges, instituts
d'enseignement général et rarement des écoles techniques
ou centres de formation
professionnelle. Entre 60% et 90% de l population de 15 à
21 ans fréquentes ces écoles.
II.1.2.5.3. HAUTES ECOLES
L'enseignement supérieur est dispensé par 6
institutions, composant 6900 étudiants.
A. Instituts supérieurs
- Institut supérieur pédagogique (ISP)
- Institut supérieur de statistique (ISS)
- Institut supérieur d'études sociales (ISES)
- ISEC
- ISTC
B. Grand séminaire de Lubumbashi
C. Université de Lubumbashi
D. Université Protestante de Lubumbashi (UPL)
E. Ecole Supérieure d'informatique Salama (ESIS)
F. Ecoles Supérieure de la Gouvernance Economique et
Politique (ECOPO)
G. Institut Universitaire MARIA MALKIA (IUMM)
35
H. Institut Supérieur interdiocésain monseigneur
Mulolwa (ISIM)
I. Institut Supérieur de philosophie Saint Jean Bosco
(ISPHSTJB)
II.1.2.6. SANTE
La ville de Lubumbashi compte plusieurs centres de santé
:
? Les cliniques universitaires Mama Mobutu (anciennement
Hôpital reine Élisabeth) ;
? L'hôpital Sendwe ;
? Les hôpitaux des grandes sociétés :
hôpital Gécamines Sud, cliniques
Gécamines/cadres, hôpital SNCC ;
? Plusieurs maternités (Katuba, Ruashi, Camp Vangu) et
dispensaires ;
? Le CMC, centre médical de la communauté.
II.1.2.7. SUR LE PLAN CULTUREL
La culture est l'ensemble des connaissances dans un domaine
particulier, ensemble des phénomènes matériels et
idéologique qui caractérisent un groupe ethnique ou nation,
civilisation, par un groupe opposition à un autre groupe ou à une
autre nation, c'est aussi l'ensemble d'activités qu'exerce un groupe des
gens. C'est pour cette raison que nous allons essayer de donner les principales
activités exercées dans la ville de Lubumbashi.
- Petit Commerce (50%)
- Exploitation minière (20%)
- Agriculture Urbaine (maraîchage) (22%) - Elevage (3%)
La Ville de Lubumbashi est un grand Centre Commercial
où près de 50% de la population survivent principalement
grâce aux petits commerces. Par ailleurs, la Ville de Lubumbashi,
étant essentiellement minière, environs 25% de la population
travaillent dans les industries minières. L'agriculture urbaine,
principalement la production de légumes est réalisée par
22% de la population urbaine. Un petit nombre de la population (3%) survit
grâce à l'élevage (surtout l'élevage des poulets de
chair).
L'agriculture et l'élevage à grande
échelle sont effectués par quelques fermes privées : sur
la route de Kasenga, on trouve les fermes Psaromatic, Nazem, Futuka et la ferme
des Aumôniers du travail. Sur l'axe menant vers la Kafubu, se trouvent
les fermes Number one, Jacaranda et Naviundu ; sur l'axe Kasumbalesa, la ferme
Espoir.
36
? LANGUES PARLEES DANS CETTE VILLE
SWAHILI : Lubumbashi étant une Ville
cosmopolite, plusieurs langues y sont parlées suites à la
présence de personnes de différentes tributs et/ou
nationalités. A part le français, le swahili constitue la langue
majoritaire de la ville de Lubumbashi. Il est parlé par presque tous les
habitants de la ville.
Nous voilà arriver au terme de ce chapitre dans lequel
nous avons montré le champ de notre étude qui est la Ville de
Lubumbashi sur ces différents aspect expliqués ci-haut; sur ce,
nous passons au suivant qui est le troisième et le dernier de cette
étude.
Section 2. ORGANISATION ADMINISTRATIVE
La ville de Lubumbashi est divisée en sept communes dont
une urbano-
rurale : Commune annexe. Elle compte 11 quartiers à
savoir : Kalebuka, Kasapa, Kasumbalesa, Kimbembe, Kisanga, Luwowoshi, Munua,
Naviundu, Kilobelobe, Kamisepa, Jolie-Site.
Ces quartiers sont repartis dans les communes comme suit :
1. Kamalondo
Elle compte 2 Quartiers :Kitumaini,Njanja.
2. Kampemba
Elle compte 9 Quartiers qui sont :
- Bel-Air I,
- Bel-Air II,
- Bongonga,
- Quartier Industriel,
- Kafubu,
- Kampemba,
- Kigoma,
- Hewa-Bora.
3.
37
Katuba
Elle compte 10 Quartiers qui sont :
- Bukama,
- Kaponda,
- Kinyama,
- Kimilolo,
- Kisale,
- Lufira,
- Musumba,
- Mwana Shaba,
- Nsele,
- Upemba.
4. Kenya
Elle compte 3 Quartiers qui sont :
- Lualaba,
- Luapula,
- Luvua.
5. Lubumbashi
Elle compte 15 Quartiers qui sont :
- Gambela 1,
- Gambela 2,
- Kalubwe,
- Kiwele,
- Lido-Golf,
- Lumumba,
- Makutano,
- Mampala,
- Baudoin,
- Makomeno,
- Golf-Tshiamalale,
- Golf-Malela,
- Golf-Plateau,
- Golf-Faustin,
38
- Centre des Recherches Agro-Alimentaires (CRAA).
6. Rwashi
Elle compte 6 Quartiers qui sont :
- Bendera,
- Kalukuluku,
- Matoleo,
- Shindaika,
- Congo, - Radem.
39
TABLEAU N°1. DEMOGRAPHIE DE LA VILLE DE LUBUMBASHI
STATISTIQUE DE LA POPULATION CONGOLAISE ET ETRANGERE
PREMIER SEMESTRE VILLE DE LUBUMBASHI 2017
|
SUBDIVISION
|
POPULATION CONGOLAISE
|
POPULATION ETRANGERES
|
|
|
ADMINISTRATION
|
HOMMES
|
FEMMES
|
GARCONS
|
FIILES
|
TOTAL
|
HOMMES
|
FEMMES
|
GARCONS
|
FILLES
|
TOTAL
|
TOTAL GENERAL
|
TOTAL GENERAL EN %
|
ANNEXE
|
83408
|
84447
|
115861
|
114357
|
398073
|
431
|
18
|
3
|
1
|
453
|
398526
|
20%
|
KAMALONDO
|
7699
|
7419
|
10429
|
11113
|
36660
|
106
|
102
|
90
|
82
|
380
|
37040
|
2%
|
KAMPEMBA
|
89427
|
95611
|
167471
|
167294
|
519803
|
860
|
500
|
396
|
346
|
2102
|
521905
|
27%
|
KATUBA
|
58365
|
63533
|
94693
|
104665
|
321256
|
15
|
18
|
10
|
11
|
54
|
321310
|
16%
|
KENYA
|
20092
|
20903
|
35727
|
35283
|
112005
|
43
|
17
|
11
|
5
|
76
|
112081
|
6%
|
LUBUMBASHI
|
61927
|
68762
|
97558
|
92607
|
320854
|
1039
|
650
|
630
|
560
|
2879
|
323733
|
17%
|
RUASHI
|
40976
|
48865
|
65812
|
68115
|
223768
|
412
|
456
|
392
|
440
|
1700
|
225468
|
12%
|
TOTAL
|
361894
|
389540
|
587551
|
593434
|
1932419
|
2906
|
1761
|
1532
|
1445
|
7644
|
1940063
|
100%
|
Source : Mairie de la ville de Lubumbashi : bureau des
entités décentralisées
40
2
- Z= le coefficient conventionné qui est de 1,96 ;
- P= la prévalence qui est le taux des abonnés aux
services de Startimes qu'on n'a pas et que l'on suppose à 50% ;
- ??2 = la marge d'erreur qui est de
5% parce que supposons que nous avons 95% de chance que notre résultat
soit correct et 5% qu'il soit erroné.
taille globale de
l'échantillon*Quotas/Commune
? Quotas/Commune = Effectif/Commune
Total de la population * 100
? Pourcentage(%)/Sexe = Effectif/Sexe
Effectif/Commune * 100
? Talle de l'échantillon (n) =
??2.P(1-P)
??
? Echantillon/Commune =
100
Voici comment se présente le quota de la population pour
chaque commune
TABLEAU N°2 : DE STATISTIQUE DE LA POPULATION LUSHOISE
POUR HOMMES ET FEMMES
|
SUBDIVISION
|
POPULATION CONGOLAISE
|
POPULATION ETRANGERE
|
TOTAL
|
ADMINISTRATION
|
HOMMES
|
FEMMES
|
TOTAL
|
HOMMES
|
FEMMES
|
TOTAL
|
TOTAL HOMMES
|
TOTAL FEMMES
|
TOTAL GENERAL
|
QUOTAS
|
ANNEXE
|
83408
|
84447
|
167855
|
431
|
18
|
449
|
83839
|
84465
|
168304
|
22%
|
KAMALONDO
|
7699
|
7419
|
15118
|
106
|
102
|
208
|
7805
|
7521
|
15326
|
2%
|
KAMPEMBA
|
89427
|
95611
|
185038
|
860
|
500
|
1360
|
90287
|
96111
|
186398
|
25%
|
KATUBA
|
58365
|
63533
|
121898
|
15
|
18
|
33
|
58380
|
63551
|
121931
|
16%
|
KENYA
|
20092
|
20903
|
40995
|
43
|
17
|
60
|
20135
|
20920
|
41055
|
5%
|
LUBUMBASHI
|
61927
|
68762
|
130689
|
1039
|
650
|
1689
|
62966
|
69412
|
132378
|
18%
|
RUASHI
|
40976
|
48865
|
89841
|
412
|
456
|
868
|
41388
|
49321
|
90709
|
12%
|
TOTAL
|
361894
|
389540
|
751434
|
2906
|
1761
|
4667
|
364800
|
391301
|
756101
|
100%
|
Source : nous même sur base des données du tableau
N°1.
41
CHAPITRE III. ANALYSE DE L'IMPACT DE LA COMMUNICATION
SUR LA CONSOMMATION DE LA TNT
Dans ce chapitre ; il sera question pour nous de faire une
description de l'échantillon selon les variables de l'étude et de
démontrer l'impact qu'a la communication publi-promotionnelle sur la
consommation et ce qu'elle créée comme comportement après
les enquêtes menées dans le cadre de notre travail en vue
d'affirmer ou infirmer l'hypothèse émise en ce qui concerne la
communication publi-promotionnelle de la TNT chez Startimes.
Section 1. MISE EN OEUVRE DES ACTIONS PUBLICITAIRES
ET PROMOTIONNELLES CHEZ STARTIMES
III.1.1. PUBLICITE
En tant qu'entreprise, Startimes fait de la publicité
pour vendre ses produits et/ou services. Cela dans le but d'exercer un impact
sur les consommateurs et de les inciter à consommer. Mais la
véritable nature de l'influence de la publicité sur les
consommateurs est qu'elle se présente comme une forme de communication.
Elle cherche à attirer l'attention d'une cible définie au
préalable. Son but est clairement incitatif et vise à adopter un
comportement souhaité, par exemple, l'achat d'un produit comme il est
question ici.
Ainsi chez STARTIMES, la publicité est en toute
permanence sur les chaines de télévisions locales,
décoration sur les murailles, des flailleurs, panneaux publicitaires ;
justement pour se faire connaitre et attirer l'attention du public.
Il est sans doute qu'aujourd'hui, STARTIMES se fait parler de
lui jusqu'au fin fond de la ville et/ou a pris d'ampleur sur l'étendue
de la ville depuis son arrivée comme pas possible (comme pas on ne
pouvait s'imaginer) ; c'est grâce à la publicité qu'elle
est parvenue à atteindre ses plus grands objectifs. Elle est un outil
indispensable aux activités des STARTIMES.
III.1.2. PROMOTION DES VENTES
Il s'agit d'une démarche associant un ensemble des
techniques et de moyens de communication mis en oeuvre dans le cadre du plan
d'action commercial de l'entreprise afin de susciter auprès des cibles
visées le changement du comportement d'achat ou de consommation à
court terme ou à moyen terme. La promotion de ventes vise à
améliorer la
Startimes a développé les décodeurs
pouvant recevoir à la fois des signaux satellite (DTH) et terrestre
(TNT).
42
réponse post-comportementale, la fidélisation
des clients, le rachat du produit par le consommateur,...
Ce moyen de communication permet à Startimes de
susciter un bon comportement d'achat par ses abonnés
(réabonnement,...), et à l'augmentation du chiffre d'affaires. Le
plus grand souci est d'attirer les clients (prospects) à
s'adhérer à ses services, à fidéliser les clients
actuels, et faire en sorte que le taux de réabonnement augmente,...
C'est ainsi qu'à ce sujet, Startimes espère
mieux fidéliser ses clients/abonnés en se donnant la peine avec
des chaines spécifiques purement adaptées à chaque
catégorie des personnes pour que chacune d'elle retrouve son
goût/choix en tenant compte de la situation économique et du
revenu des clients en leur laissant le choix.
Pour attirer sa cible, Startimes propose le meilleur des
séries, films, cinéma, les nouveaux épisodes de Novelas,
documentaires, programmes pour enfants, l'actualité, la musique, et plus
de 230 chaines pour votre divertissement. C'est une chaine ayant vocation
à proposer de fictions mieux adapter à un public
complètement fan de séries. Elle s'attend à attirer un
public plus jeune et plus féminin. Tous les sportifs s'y retrouvent et
se font plaisir avec cette chaine. Suivre des événements sportifs
en direct est un privilège. La qualité d'image hyper claire et
brillante est très bonne avec un décodeur HD haut de gamme (haute
définition) qui permet d'enregistrer les émissions, films,
séries, match de football,...
? PRODUITS DISPONIBLES CHEZ STARTIMES
a. Téléviseur numérique
En 2016, Startimes a sorti un téléviseur
numérique permettant d'accéder aux bouquets Satellitaires et TNT
sans décodeur. Ce téléviseur est disponible en HD (32
pouces) et Full HD (42 pouces). L'Afrique est entrain de réaliser sa
transition vers la télévision numérique et le
téléviseur numérique de Startimes a été
conçu pour aider les familles à compléter la
dernière étape de la transition. Ce produit tout en un leur
permet en effet de bénéficier pleinement des avantages de la
télévision numérique.
b. Décodeurs
43
c. Projecteur TV et Système de
télévision solaire
Le projecteur TV de Startimes peut projeter une image de plus
de 120 pouces sur un mur. Il utilise la technologie DLP et une source de
lumière LED doté d'une forte luminosité pour une
consommation faible. Des appareils extérieurs tels que les lecteurs DVD,
des décodeurs ou les ordinateurs peuvent y être
connectés.
Le système de télévision solaire de
Startimes est un projecteur TV de basse consommation qui peut recevoir la
télévision numérique directement des satellites à
l'aide d'une seule batterie de 50 Watts. Il fournit cinq à six heures de
télévision la nuit. Une version plus récente appelé
52 incorpore des jeux, un lecteur de musique et la possibilité
d'installer des applications.
d. Smartphones
Startimes produit une série de téléphones
portables : Planet Note, Faith, Solar Note, Solar Mini et Nova 5. Ils utilisent
tous la plate-forme Android et Plante Note est le téléphone haut
de gamme de Startimes.
Section 2. PRESENTATION, ANALYSE ET
INTERPRETATION DES RESULTATS
III.2.1. PRESENTATION DE L'ENQUETE
Les méthodes d'enquête par questionnaire
recueillent des opinions sur un thème donné. Elles permettent de
quantifier et de savoir combien de personnes déclarent tel(le)
opinion/intention/comportement. On les pratique dans une perspective
descriptive ou explicative du phénomène étudié.
Pendant la collecte des données, les interventions de l'enquête
déterminent où sont les membres de la population, c'est-à
dire des particuliers ou des organismes, ils communiquent avec eux et leur
demandent de participer à l'enquête. Dans ce cas le chercheur
intervient en posant des questions mais sans avoir le désir explicite de
modifier la situation dans laquelle il agit en tant que tel.
III.2.1.1. UNIVERS D'ENQUETE
On appelle univers d'enquête, l'ensemble des groupes
humain concerné par les objectifs communs de l'enquête. C'est dans
cet univers que sera découpé l'échantillon. Cet univers
peut être déterminé géographiquement ou socio
démographiquement. Pour notre étude l'univers d'enquête est
la ville de Lubumbashi dans toutes les communes.
44
III.2.1.2. LA TAILLE DE L'ECHANTILLON
Nous tirons notre échantillon d'une manière
arbitraire, c'est-à dire de notre propre volonté ; ainsi pris,
notre échantillon sera de 115 personnes qui seront réparti comme
suite sur les 7 communes de la ville de Lubumbashi :
1) 100 = 100 = 25,3 soit 25
= 2,3 soit 2
Annexe :taille globale de
l'échantillon*Quotas/Commune 115*22
taille globale de l'échantillon*Quotas/Commune 115*2
2) Kamalondo :
=
100 100
taille globale de l'échantillon*Quotas/Commune 115*25
3) Kampemba :
100 100
= 28,75 soit 29
taille globale de l'échantillon*Quotas/Commune 115*16
4) Katuba :
100 100
= 18,4 soit 18
taille globale de l'échantillon*Quotas/Commune 115*5
5) Kenya :
100 100 = 5,75 soit 6
taille globale de l'échantillon*Quotas/Commune 115*18
6) Lubumbashi :
100 100
= 20,7 soit 21
taille globale de l'échantillon*Quotas/Commune 115*12
7) Ruashi :
100 100
= 13,8 soit 14
Le total est de 115 personnes qui représentent le 100%
de la population est réparti suivant les Quotas tel que
présenté au tableau n°2.
II.2.2. DEPOUILLEMENT ET PRESENTATION DES RESULTATS
Le dépouillement des données est une
opération qui consiste à rendre les données
récoltées exploitables, c'est-à dire
compréhensibles et intelligibles. Nous avons fait notre
dépouillement question par question en dégageant pour chacune
d'elle, les fréquences transformées en pourcentages et les
données recueillies ont été représentées
dans les différentes colonnes.
II.2.2.1. ANALYSE ET INTERPRETATION DES RESULTATS
Notre analyse partira du dépouillement de chaque
question du questionnaire en relevant en même temps la pertinence de
chaque question.
45
Question N°1. Vous habitez quelle commune ?
Tableau n°3. Répartition de l'échantillon par commune
COMMUNES
|
EFFECTIFS (ni)
|
pourcentages (%)
|
ANNEXE
|
25
|
22
|
KAMALONDO
|
2
|
2
|
KAMPEMBA
|
29
|
25
|
KATUBA
|
18
|
16
|
KENYA
|
6
|
5
|
LUBUMBASHI
|
21
|
18
|
RUASHI
|
14
|
12
|
TOTAL
|
115
|
100
|
Source : Elaboré par nous-mêmes à partir des
données de l'enquête. Graphique n°1. En rapport avec le
tableau n°3.
COMMUNE D'HABITATION
35 30 25 20 15 10 5 0
|
|
|
|
|
|
Commune Pourcentages (%)
|
Source : Logiciel EXCEL des données du tableau n°3.
Analyse et interprétation des résultats
Partant de notre taille de l'échantillon, le tableau
n°3 et graphique n°1 démontrent que ce la commune KAMPEMBA qui
a un plus grand nombre des enquêtés (25%) suivi de la commune
ANNEXE qui occupe 22% de l'échantillon, la commune LUBUMBASHI vient en
troisième position avec 18%, KATUBA a 16%, après il vient la
commune RUASHI avec 12%, ensuite nous trouvons la commune KENYA qui a 5% en
enfin vient la commune KAMALONDO qui n'a que 2%. Il faut noter que les
communes
Le tableau n°4 ainsi que le graphique n°2 nous donne
les informations selon lesquelles, la majorité des personnes à
enquêter ont l'âge variant entre 26 ans et 33 ans.
46
KAMALONDO et KENYA occupent une part très faible sur
l'échantillon du fait qu'elles sont moins peuplées.
Question n°2. Quelle est votre tranche d'âge
?
Tableau n°4. Répartition de
l'échantillon selon la tranche d'âge
COMMUNES
|
18-25 ans
|
26-33ans
|
34-41 ans
|
42 et PLUS
|
TOTAL
|
ANNEXE
|
4
|
14
|
5
|
2
|
25
|
KAMALONDO
|
0
|
2
|
0
|
0
|
2
|
KAMPEMBA
|
6
|
10
|
9
|
4
|
29
|
KATUBA
|
3
|
6
|
5
|
4
|
18
|
KENYA
|
2
|
2
|
0
|
2
|
6
|
LUBUMBASHI
|
3
|
11
|
4
|
3
|
21
|
RUASHI
|
4
|
6
|
3
|
1
|
14
|
TOTAL
|
22
|
51
|
26
|
16
|
115
|
%
|
19
|
44
|
23
|
14
|
100%
|
Source : Elaboré par nous-mêmes à partir des
données de l'enquête. Graphique n°2. En rapport avec le
tableau n°4.
TRANCHE D'AGE
16
14
12 10 8 6 4 2 0
|
|
18-25 ans 26-33ans 34-41 ans 42 et PLUS
|
|
|
|
Source : Logiciel EXCEL des données du tableau n°4.
Analyse et interprétation des résultats
47
Question n°3. Quel est votre niveau d'étude
? Tableau n°5. Répartition selon les niveaux
d'étude
COMMUNES
|
sans diplôme
|
primaire
|
Secondaire
|
Universitaire
|
TOTAL
|
ANNEXE
|
2
|
0
|
10
|
13
|
25
|
KAMALONDO
|
2
|
0
|
0
|
0
|
2
|
KAMPEMBA
|
1
|
2
|
12
|
14
|
29
|
KATUBA
|
4
|
1
|
9
|
4
|
18
|
KENYA
|
1
|
0
|
3
|
2
|
6
|
LUBUMBASHI
|
2
|
0
|
8
|
11
|
21
|
RUASHI
|
2
|
1
|
6
|
5
|
14
|
TOTAL
|
14
|
4
|
48
|
49
|
115
|
%
|
12
|
3
|
42
|
43
|
100
|
Source : Elaboré par nous-mêmes à partir des
données de l'enquête. Graphique n°3. En rapport avec le
tableau n°5.
NIVEAU D'ETUDE
16 14 12 10 8 6 4 2 0
|
|
|
|
|
|
sans diplôme primiare secondaire université
|
Source : Logiciel EXCEL des données du tableau n°5.
Analyse et interprétation des résultats
Le tableau n°5 ainsi que le graphique n°3 nous
démontrent la commune Kampemba suivi de la commune Annexe, et la commune
de Lubumbashi détiennent un grand nombre des personnes ayant chacune un
diplôme de l'université et/ou occupent (67,5%) plus de la
moitié de l'échantillon.
48
Question n°4. Connaissez-vous Startimes
?
Tableau n°6. Répartition selon la connaissance sur
Startimes
COMMUNES
|
OUI
|
NON
|
TOTAL
|
ANNEXE
|
25
|
0
|
25
|
KAMALONDO
|
2
|
0
|
2
|
KAMPEMBA
|
29
|
0
|
29
|
KATUBA
|
18
|
0
|
18
|
KENYA
|
6
|
0
|
6
|
LUBUMBASHI
|
21
|
0
|
21
|
RUASHI
|
14
|
0
|
14
|
TOTAL
|
115
|
0
|
115
|
%
|
100
|
0
|
100
|
Source : Elaboré par nous-mêmes à partir des
données de l'enquête. Graphique n°4. En rapport avec le
tableau n°6.
CONNAISSANCE DE STARTIMES
35 30 25 20 15 10 5 0
|
|
|
|
|
|
OUI NON
|
Source : Logiciel EXCEL des données du tableau n°6.
Analyse et interprétation des résultats
Par rapport à notre taille de l'échantillon,
nous supposons que 115 individus soit 100% ont une connaissance sur Startimes
car notre objectif principal est de faire une analyse de la communication
publi-promotionnelle sur la consommation de la TNT de ceux qui connaissent et
qui sont abonnés aux services de Startimes. Raison pour laquelle ceux
qui n'ayant pas une connaissance de la société et n'étant
pas abonné ne pouvaient pas faire parti de notre étude afin
d'avoir les informations recherchées.
49
Question n°5. Par quel moyen avez-vous connu
Startimes ? Tableau n°7. Répartition par moyen de
communication
COMMUNES
|
PUBLICITE
|
PDV
|
AUTRES
|
TOTAL
|
ANNEXE
|
12
|
8
|
5
|
25
|
KAMALONDO
|
2
|
0
|
0
|
2
|
KAMPEMBA
|
20
|
9
|
0
|
29
|
KATUBA
|
10
|
7
|
1
|
18
|
KENYA
|
4
|
2
|
0
|
6
|
LUBUMBASHI
|
18
|
2
|
1
|
21
|
RUASHI
|
9
|
4
|
1
|
14
|
TOTAL
|
75
|
32
|
8
|
115
|
%
|
65
|
28
|
7
|
100%
|
Source : Elaboré par nous-mêmes à partir des
données de l'enquête. Graphique n°5. En rapport avec le
tableau n°7.
MOYEN DE COMMUNICATION
25 20 15 10 5 0
|
|
|
|
|
|
PUBLICITE PDV
AUTRES
|
Source : Logiciel EXCEL des données du tableau n°7.
Analyse et interprétation des résultats
Le tableau n°7 ainsi que le graphique n°5 nous
montrent que STARTIMES doit beaucoup plus se focaliser à la
publicité s'il s'agit de la connaissance des offres disponibles, car
dans la connaissance de l'entreprise elle-même, elle a occupé plus
de 50% ce qui démontre sans doute son efficacité par rapport
à la promotion de ventes.
50
Question n°6. Etes-vous abonné aux services
de Startimes ? Tableau n°8. Répartition par réponse
de oui ou non
COMMUNES
|
OUI
|
NON
|
TOTAL
|
ANNEXE
|
25
|
0
|
25
|
KAMALONDO
|
2
|
0
|
2
|
KAMPEMBA
|
29
|
0
|
29
|
KATUBA
|
18
|
0
|
18
|
KENYA
|
6
|
0
|
6
|
LUBUMBASHI
|
21
|
0
|
21
|
RUASHI
|
14
|
0
|
14
|
TOTAL
|
115
|
0
|
115
|
%
|
100
|
0
|
100%
|
Source : Elaboré par nous-mêmes à partir des
données de l'enquête. Graphique n°6. En rapport avec le
tableau n°8.
ABONNEMENT AUX SERVICES
35 30 25 20 15 10 5 0
|
|
|
|
|
|
OUI NON
|
Source : Logiciel EXCEL des données du tableau
n°8. Analyse et interprétation des
résultats
Cette question est complémentaire de la question
n°4 qui se justifie que seuls les individus ayant une connaissance et sont
abonné aux services de Startimes feront parti des notre taille
d'échantillon (étude), d'où disons que le 100% des
individus concernés par cette étude sont abonnés aux
services de Startimes.
51
Question n°7. Si OUI, depuis quand êtes-vous
abonné aux services de Startimes ? Tableau n°9.
Répartition selon la durée de l'abonnement
COMMUNES
|
1-4 mois
|
5-8 mois
|
9-12 mois
|
1 an et plus
|
TOTAL
|
ANNEXE
|
5
|
9
|
4
|
7
|
25
|
KAMALONDO
|
1
|
1
|
0
|
0
|
2
|
KAMPEMBA
|
8
|
6
|
7
|
8
|
29
|
KATUBA
|
7
|
3
|
3
|
5
|
18
|
KENYA
|
3
|
0
|
2
|
1
|
6
|
LUBUMBASHI
|
9
|
6
|
4
|
2
|
21
|
RUASHI
|
5
|
5
|
3
|
1
|
14
|
TOTAL
|
38
|
30
|
23
|
24
|
115
|
%
|
23
|
22
|
28
|
27
|
100
|
Source : Elaboré par nous-mêmes à partir des
données de l'enquête. Graphique n°7. En rapport avec le
tableau n°9.
PERIODE D'ABONNEMENT
10
9
8
7 6 5 4 3 2 1 0
|
|
|
|
|
|
1-4 mois 5-8 mois 9-12 mois 1 an et plus
|
Source : Logiciel EXCEL des données du tableau n°9.
Analyse et interprétation des résultats
Par rapport à la durée d'abonnement aux services
de Startimes, nous constatons que 38 individus soit 23% sont abonné
depuis 1 à 4 mois, 30 individus soit 22% sont abonnés depuis 5
à 8 mois, 23 individus soit 28% sont abonnés depuis 9 à 12
mois et enfin 24 individus soit 27% sont abonnés depuis 1an et plus.
52
Question n°8. Qu'est-ce qui vous a influencé
à vous abonner aux services de Startimes ? Tableau n°10.
Répartition selon la motivation.
COMMUINES
|
AMIS
|
FAMILLE
|
PRIX
|
PUBLICITE
|
QUALITE
|
AUTRES
|
TOTAL
|
ANNEXE
|
5
|
7
|
8
|
5
|
0
|
0
|
25
|
KAMALONDO
|
0
|
0
|
1
|
1
|
0
|
0
|
2
|
KAMPEMBA
|
3
|
6
|
9
|
6
|
5
|
0
|
29
|
KATUBA
|
0
|
3
|
6
|
5
|
4
|
0
|
18
|
KENYA
|
1
|
0
|
4
|
1
|
0
|
0
|
6
|
LUBUMBASHI
|
2
|
3
|
6
|
6
|
4
|
0
|
21
|
RUASHI
|
0
|
1
|
6
|
4
|
2
|
1
|
14
|
TOTAL
|
11
|
20
|
40
|
28
|
15
|
1
|
115
|
%
|
10
|
17
|
35
|
24
|
13
|
1
|
100%
|
Source : Elaboré par nous-mêmes à partir des
données de l'enquête. Graphique n°8. En rapport avec le
tableau n°10.
MOTIVATION
10
9
8
7 6 5 4 3 2 1 0
|
|
|
|
|
|
AMIS FAMILLE PRIX PUBLICITE QUALITE AUTRES
|
Source : Logiciel EXCEL des données du tableau n°10.
Analyse et interprétation des résultats
Le tableau n°10 ainsi que le graphique n°8 nous
montre que 13 individus soit 10% ont été influencé par
leurs amis, 20 individus soit 17% ont été influencé par la
famille, 40individus soit 35% par le prix, 28 individus soit 24% par la
publicité, 15 individus soit 13% par la qualité et enfin 1
individu soit 1% par autres. Ce qui prouve que le prix a aussi un impact sur
l'influence au comportement d'achat/réabonnement.
53
Question n°9. Avez-vous déjà
participé à la promotion de ventes de Startimes ?
Tableau n°11.Répartition selon la participation à la
promotion de ventes
COMMUNES
|
OUI
|
NON
|
TOTAL
|
ANNEXE
|
15
|
10
|
25
|
KAMALONDO
|
2
|
0
|
2
|
KAMPEMBA
|
15
|
14
|
29
|
KATUBA
|
7
|
11
|
18
|
KENYA
|
4
|
2
|
6
|
LUBUMBASHI
|
13
|
8
|
21
|
RUASHI
|
8
|
6
|
14
|
TOTAL
|
64
|
51
|
115
|
%
|
56
|
44
|
100%
|
Source : Elaboré par nous-mêmes à partir des
données de l'enquête. Graphique n°9. En rapport avec le
tableau n°11.
PARTICIPATION A LA PROMOTION DE VENTE
16
14
12 10 8 6 4 2 0
|
|
|
|
|
|
|
OUI NON
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Source : Logiciel EXCEL des données du tableau n°11.
Analyse et interprétation des résultats
Le tableau n°11 et le graphique n°9 donnent les
informations suivantes : 64 individus soit 56% ont déjà
participé à la promotion et 51 individus soit 44% disent de
n'avoir pas participé à la promotion de ventes.
54
Question n°10. Avez-vous été
influencé par cette promotion ? Tableau n°12.
Répartition selon l'influence de la promotion de ventes
COMMUNES
|
OUI
|
NON
|
TOTAL
|
ANNEXE
|
15
|
10
|
25
|
KAMALONDO
|
2
|
0
|
2
|
KAMPEMBA
|
15
|
14
|
29
|
KATUBA
|
7
|
11
|
18
|
KENYA
|
4
|
2
|
6
|
LUBUMBASHI
|
13
|
8
|
21
|
RUASHI
|
8
|
6
|
14
|
TOTAL
|
64
|
51
|
115
|
%
|
56
|
44
|
100
|
Source : Elaboré par nous-mêmes à partir des
données de l'enquête. Graphique n°10. En rapport avec le
tableau n°12.
REPONSE DE LA PROMOTION DE VENTES
16
14
12 10 8 6 4 2 0
|
|
|
|
|
|
|
OUI NON
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Source : Logiciel EXCEL des données du tableau n°12.
Analyse et interprétation des résultats
Le tableau n°12 ainsi que le graphique n°10 donnent
les informations disant que 64 individus soit 56% ont été
influencé par cette promotion à travers les avantages liés
à celle-ci à l'achat du produit. Pour certains, le prix auquel
STARTIMES offre ses services est abordable et semble être plus qu'une
promotion, d'où même sans promotion ; ils continueront toujours
à le consommer grâce à cette variable prix.
55
Question n°11. Comment vous apprécier les
services de Startimes ? Tableau n°13. Répartition selon la
qualité des services de Startimes
COMMUNES
|
EXCELLENT
|
TRES BON
|
BON
|
ASSEZ BON
|
MAUVAIS
|
MEDIOCRE
|
TOTAL
|
ANNEXE
|
2
|
11
|
8
|
4
|
0
|
0
|
25
|
KAMALONDO
|
0
|
1
|
1
|
0
|
0
|
0
|
2
|
KAMPEMBA
|
3
|
15
|
10
|
1
|
0
|
0
|
29
|
KATUBA
|
2
|
6
|
6
|
4
|
0
|
0
|
18
|
KENYA
|
0
|
1
|
4
|
1
|
0
|
0
|
6
|
LUBUMBASHI
|
2
|
9
|
7
|
3
|
0
|
0
|
21
|
RUASHI
|
2
|
4
|
5
|
3
|
0
|
0
|
14
|
TOTAL
|
11
|
47
|
41
|
16
|
0
|
0
|
115
|
%
|
10
|
41
|
34
|
14
|
0
|
0
|
100%
|
Source : Elaboré par nous-mêmes à partir des
données de l'enquête. Graphique 11. En rapport avec le tableau
n°13.
QUALITE DE SERVICES
16 14 12 10 8 6 4 2 0
|
|
|
|
|
|
EXCELLENT TRES BON BON
ASSEZ BON MAUVAIS MEDIOCRE
|
Source : Logiciel EXCEL des données du tableau n°13.
Analyse et interprétation des résultats
Le tableau n°13 ainsi que le graphique n°11
ci-dessus nous montre la situation telle que 11 individus soit 10% disent que
les services qu'offres Startimes sont excellent, 47 soit 41% disent que les
services sont très bon, 41 soit 34% disent que les services sont bon et
enfin 16 soit 14% disent que les services sont assez bon. Ainsi Startimes a
adapté son offre de manière efficace surtout à la
population jeune (ayant l'âge compris entre 26 à 33 ans).
56
Question n°12. Avez-vous déjà
utilisé une autre TNT ? Tableau n°14. Répartition
selon l'utilisation d'une autre TNT
COMMUNES
|
OUI
|
NON
|
TOTAL
|
ANNEXE
|
13
|
12
|
25
|
KAMALONDO
|
0
|
2
|
2
|
KAMPEMBA
|
18
|
11
|
29
|
KATUBA
|
8
|
10
|
18
|
KENYA
|
4
|
2
|
6
|
LUBUMBASHI
|
13
|
8
|
21
|
RUASHI
|
8
|
6
|
14
|
TOTAL
|
64
|
51
|
115
|
%
|
56
|
44
|
100%
|
Source : Elaboré par nous-mêmes à partir des
données de l'enquête. Graphique n°12.En rapport avec le
tableau n°14.
UTILISATION D'UNE AUTRE TNT
20 18 16 14 12 10 8 6 4 2 0
|
|
|
|
|
|
|
OUI NON
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Source : Logiciel EXCEL des données du tableau n°14.
Analyse et interprétation des résultats
Etant donné que STARTIMES est venu s'installer sur un
marché où il y avait ses prédécesseurs ;
d'où il s'est fait que 56% de notre échantillon avaient
déjà utilisé d'autres TNT avant son arrivé, et pour
les restes soit 44% de l'échantillon, ce leur première
expérience. Signalons aussi que STARTIMES a adapté son offre en
jouant avec la variable prix et la promotion de ventes pour y arriver à
conquérir et fidéliser les clients acquis (ceux qui consommer
chez les concurrents).
57
Question n°13. Si OUI, pourquoi l'avez-vous
abandonné pour Startimes ?
Nous disons que parmi ceux qui ont déjà
utilisé une autre TNT soit 64 abonnés, ils sont parvenus à
s'adhérer aux services de Startimes suite aux multiples raisons entre
autre :
- Startimes est moins cher
- Il offre l'abonnement journalier
- Il offre les chaines locales (double brassard c'est-à
dire deux systèmes)
- Facilite l'abonnement (réabonnement) selon le niveau de
revenu
- Trop apprécier par les amoureux de foot.
Question n°14. Est-ce qu'il vous arrive de ne pas
vous réabonné ? Tableau n°15. Répartition
selon le non réabonnement
COMMUNES
|
OUI
|
NON
|
TOTAL
|
ANNEXE
|
5
|
20
|
25
|
KAMALONDO
|
0
|
2
|
2
|
KAMPEMBA
|
8
|
21
|
29
|
KATUBA
|
6
|
12
|
18
|
KENYA
|
0
|
6
|
6
|
LUBUMBASHI
|
7
|
14
|
21
|
RUASHI
|
4
|
10
|
14
|
TOTAL
|
30
|
85
|
115
|
%
|
26
|
74
|
100%
|
Source : Elaboré par nous-mêmes à partir des
données de l'enquête.
58
Graphique n°13. En rapport avec le tableau n°15.
REABONNEMENT
Source : Logiciel EXCEL des données du tableau n°15.
Analyse et interprétation des résultats
Nous observons à travers ce tableau et graphique que 30
individus soit 26% se retrouvent dans l'impossibilité et de ne pas se
réabonnés régulièrement pour quelques raisons qui
seront énumérées comme réponses a la question
suivante ; 85 individus soit 75% sont fidèles (se réabonnent
régulièrement) aux services de Startimes.
Question n°15. Si OUI, pourquoi ?
Nous énumérons en quelques lignes les raisons
bien fondées de ceux qui ne parviennent pas à se réabonner
:
- Manque d'argent
- Rupture pendant la période des épreuves pour les
enfants
- Après la saison de foot, les autres oublient - Le cas
de mutation ou voyage par exemple
III.2.2.2. INTERPRETATION DE RESULTATS OBTENUS
Nous avons menés notre étude sur 115 individus
habitant dans les différentes communes qui chacun a son profil que nous
démonteront de la manière suivantes : 14 individus ou 12% sont
sans diplôme, 4 individus soit 3% ont un niveau d'étude primaires,
48 individus soit 42% ont un niveau secondaire(D6), 49 individus soit 43 % ont
un niveau universitaire relativement à la question n°3 qui se
basée sur le niveau d'étude. A cette étape
59
de connaissance des enquêtés nous a permis
d'évaluer la cohérence de réponses par rapport au profil
de l'enquêté.
En analysant les informations obtenues après
enquêtes, 100% de notre échantillon soit 115 individus connaissent
l'entreprise dont chacun de sa façon ; 75 abonnés soit 65% par la
publicité, 32 abonnés soit 28% par la promotion de ventes et
enfin 8 abonnés soit 7% par autres moyens (vente à domicile,...),
en rapport avec la question n°5 et tous sont abonnés.
Les abonnés de Startimes ont été
influencé de différentes manières pour adhérer
à son offre dont 13 abonnés par leurs amis, 24 par la famille, 39
par le prix, 23 par la publicité, 15 par la qualité et enfin 1
par autre ; d'où 64 abonnés ou 56% ont déjà
participé à la promotion de ventes et 51 abonnés ou 44%
n'ont pas encore participé à la promotion de ventes en rapport
avec la question n°8. Disons aussi que 56% des abonnés qui ont
participé à la promotion de ventes ont été
influencé par rapport aux avantages liés à l'offre.
Par rapport au sentiment post-achat, il est évident que
chaque individu eu ce qu'il ressort à partir d'une telle ou telle offre
; d'où 11 abonnés soit 10% trouvent Startimes excellent ; 47
abonnés soit 41 trouvent Startimes très bon, 41 abonnés ou
34% trouvent Startimes bon, 16 soit 14% trouvent Startimes assez-bon
relativement à la question n°11.
Si nous considérons ces questions auxquelles on a fait
intervenir la publicité et la promotion de ventes, notamment à la
cinquième question où la publicité occupe 65%, et la
promotion de ventes prend 28% ainsi qu'à la huitième question que
la publicité occupe encore 24% ; nous disons que ces outils de
communication jouent un rôle capital sur la connaissance de l'entreprise
et l'influence à la consommation des offres disponibles chez Startimes.
Une autre variable qui s'est introduite et à laquelle l'entreprise doit
aussi prendre en compte s'il faut influencer les clients/prospects à
s'abonner, c'est le prix qui occupe 35% en rapport avec la question n°8 ;
il joue un rôle important du fait que les consommateurs sont sensibles
à celui-ci.
Nous sommes convaincus sans doute que la publicité et
la promotion de ventes ont beaucoup d'influence sur la consommation de
STARTIMES. Ces outils sont efficaces et contribuent à l'activité
de l'entreprise.
60
CONCLUSION GENERALE
Nous voici arrivé au terme de notre scientifique qui a
porté sur un thème intitulé : «
Communication publi-promotionnelle et la consommation de la TNT
dans la ville de Lubumbashi » avec STARTIMES comme cas.
Notre préoccupation dans cette réflexion
s'était résumée par la question de savoir l'impact qu'a la
communication publi-promotionnelle sur la consommation de la TNT.
En guise de réponse à cette question, nous avons
formulé l'hypothèse du travail selon laquelle, la
publicité de la promotion des ventes organisée par la
société Startimes a beaucoup aidé cette firme à
bien pénétrer le marché envahi par la concurrence.
Pour arriver à répondre à cette
préoccupation, nous avons opté quelques méthodes
(méthode inductive et la méthode qualitative) ; et aux techniques
(documentaire et de sondage).
Ainsi, en vue d'atteindre les objectifs assignés, nous
avons organisé le travail en trois (3) chapitres.
Après enquête, les résultats obtenus nous
montrent que STARTIMES est bien connu dans la ville de Lubumbashi et la
publicité a contribué à faire connaitre STARTIMES à
65%, la promotion des ventes à 28% et les autres moyens à 7%.
S'agissant de la consommation de la TNT, elle est fortement
consommée à Lubumbashi et la publicité favorise cette
consommation seulement à 28%.
Cela étant, nous confirmons l'hypothèse en
disant que la communication publi-promotionnelle permet à faire
connaitre les services de STARTIMES à Lubumbashi et à influencer
les consommateurs.
Nous signalons que la taille de l'échantillon aurait
été de 384 personnes suivant le calcul normal, ce qui est
très énorme, couteux et nous demanderais beaucoup de temps alors
qu'un échantillon plus petit pourrait faire l'affaire du faites que les
situations restent presque elles-mêmes chez différents individus.
Ainsi notre population cible d'étude était constituée des
personnes ayant une connaissance sur STARTIMES et lesquelles sont
abonnées à ses services, auprès de laquelle nous avons
tiré un échantillon de 115 personnes d'une manière
arbitraire (de notre propre choix).
61
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
1. BINDUGWA IBANDA M, Comment élaborer un travail de
fin de cycle, contenu et étapes, édition : MEDISPAUL,
2008.
2. BERARD C. BLANCHE, Introduction au Marketing, Paris,
Dunod 1999.
4. Claude Demeure ; Aide-mémoire marketing,
6eme Edition, Dunod.
5. Eric VERNETTE ; Publicité : Théories,
acteurs et méthodes, Paris, la documentation Française,
2000.
6. François Aélion ; Manager en toutes lettres,
Editions d'organisation, Groupe Eyrolles, Paris 2009.
7. GUITTON H ; Précis d'économie politique,
Tome 1, Paris.
8. Jacques Lendrevie ; Publicitor, la communication360,
Edition : Paris 2008.
9. KOTLER, P. ; KELLER, K. ; MANCEAU, D. ; Marketing
management, 14ème édition, Nouveaux Horizons,
Pearson France, 2012.
10. KOTLER á DUBOIS ; Marketing Management,
10ème édition, Public Union, 2000.
11. KOTLER Philip ; Péchés mortels en
marketing, Symptômes et solutions ; Maxima, Paris, 2007.
12. Lambin J.J ; Chantal de Moerloose ; Marketing
Stratégique et Opérationnel, 7ème Edition, Dunod,
Paris/France, Paris, 2008.
13. Lendrevie J ; Levy, Lindon ; Mercator,
7ème édition, Dalloz, Paris.
14. NKUANZAKA INZANZA Abélard., Précis de
recherche en sciences sociales et humaines.
II. TRAVAUX DE FIN D'ETUDE
1. KAPEND MUTEJ L ; « Rôle de la musique dans la
démarche publicitaire », mémoire, ISC/Lubumbashi, Option
marketing, 2007.
2. MULAMB MBUMB J ; « Communication marketing et son
impact sur le chiffre d'affaires », mémoire, ISS/Lubumbashi,
Option marketing, 1997-1998.
3. MPUNGWE NTALANGIE D, « Apport marketing sur le
comportement des consommateurs face au lancement d'un nouveau produit sur le
marché », mémoire, ISC/Lubumbashi, Option marketing,
Septembre 2014.
62
III. COURS
1. HEMBI Floribert ; Cours de pratique de sondage, G3 marketing,
ISS/Lubumbashi, 2015-2016, Inédit
2. TSHISWAKA ; Statistique appliquée à
l'étude du marché, L1 marketing, ISS/Lubumbashi, 2016-2017, P.16,
Inédit.
IV. AUTRES DOCUMENTS
1. Dictionnaire le Robert, illustré et son dictionnaire
interne, Nouvelle édition 2015, Paris/France.
2. PETIT ROBERT ; Nouvelle Edition, 2011, Inédit.
3.
fr.m.Wikipedia.org, 09 mars 2018
à 16 : 57'
4.
fr.m.Wikipedia.org ; 01
février 2018 à 19h31'
63
ANNEXE
QUESTIONNAIRE D'ENQUETE
I. QUESTIONS D'IDENTIFICATION
I.1. Vous habitez quelle commune ?
a. Annexe b. Kamalondo c. Kampemba d. Katuba e. Kenya
f. Lubumbashi g. Ruashi
I.2. Quelle est votre tranche d'âge ?
a. 18-25 ans b. 26-33 ans c. 34-41 ans d. plus de 42 ans
I.3. Quel votre niveau d'étude ?
a. Sans diplôme b. Primaire c. Secondaire d.
Universitaire
II. QUESTIONS OPERATOIRES
II.1. Connaissez-vous Startimes ?
a. Oui b. Non
II.2. Par quel moyen avez-vous connu Startimes ?
a. Publicité b. Promotion des ventes c. Autres
II.3. Etes-vous abonné aux services de Startimes ?
a. Oui b. Non
II.4. Si Oui, depuis quand êtes-vous abonné aux
services de Startimes ?
a.1-4 mois b. 5-8 mois c. 9-12 mois d. plus d'1 an
II.5. Qu'est-ce qui vous influencé à vous abonner
aux services de Startimes ?
a. Amis b. Membres de famille c. Prix d. Publicité e.
Qualité f. Autres
II.6. Avez-vous déjà participé à la
promotion Startimes ?
a. Oui b. Non
II.7. Avez-vous été influencé par cette
promotion ?
a. Oui b. Non
II.8. Comment vous apprécier les services de Startimes
?
a. Excellent b. Très bon c. Bon e. Assez bon
f. Mauvais g. Médiocre
II.9. Avez-vous déjà utilisé une autre TNT
?
a. Oui b. Non
II.10. Si Oui, pourquoi l'avez-vous abandonné pour
Startimes ?
II.11. Est-ce qu'il vous arrive de ne pas vous
réabonné ?
a. Oui b. Non
II.12. Si Oui, pourquoi ?
64
TABLE DES MATIERES
DEDICACE I
REMERCIEMENTS II
INTRODUCTION GENERALE 1
1. PRESENTATION DU SUJET 1
2. CHOIX ET INTERET DU SUJET 2
2.1. CHOIX DU SUJET 2
2.2. INTERET DU SUJET 2
3. ETAT DE LA QUESTION 3
4. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE DU TRAVAIL 4
4.1. PROBLEMATIQUE 4
4.2. HYPOTHESE 5
5. METHODES ET TECHNIQUES DE RECHERCHE 6
5.1. METHODES 6
5.2. TECHNIQUES 7
6. DELIMITATION DU TRAVAIL 7
7. SUBDIVISION SOMMAIRE DU TRAVAIL 8
CHAPITRE I. CADRES CONCEPTUEL ET THEORIQUE 9
Section 1. CADRE CONCEPTUEL 9
I.1.1. COMMUNICATION 9
I.1.2. PUBLICITE 9
I.1.3. PROMOTION DES VENTES 10
I.1.4. COMMUNICATION PUBLI-PROMOTIONNELLE 10
I.1.5. CONSOMMATION 10
I.1.6. TNT (Télévision Numérique Terrestre)
11
Section 2. QUELQUES THEORIES 11
I.2.1. GENERALITES SUR LA COMMUNICATION MARKETING 12
I.2.2. THEORIE SUR LA PUBLICITE 14
I.2.3. THEORIE SUR LA PROMOTION DES VENTES 26
CHAPITRE II. PRESENTATION DU MILIEU D'ETUDE : VILLE DE LUBUMBASHI
30
Section 1. SITUATION HISTORIQUE ET GEOAGRAPHIQUE DE LA VILLE
DE
LUBUMBASHI 30
II.1.1. SITUATION HISTORIQUE 30
II.1.2. SITUATION GEOGRAPHIQUE 32
Section 2. ORGANISATION ADMINISTRATIVE 36
65
CHAPITRE III. ANALYSE DE L'IMPACT DE LA COMMUNICATION
SUR LA
CONSOMMATION DE LA TNT 41
Section 1. MISE EN OEUVRE DES ACTIONS PUBLICITAIRES ET
PROMOTIONNELLES CHEZ STARTIMES 41
III.1.1. PUBLICITE 41
III.1.2. PROMOTION DES VENTES 41
Section 2. PRESENTATION, ANALYSE ET INTERPRETATION DES RESULTATS
43
III.2.1. PRESENTATION DE L'ENQUETE 43
II.2.2. DEPOUILLEMENT ET PRESENTATION DES RESULTATS 44
CONCLUSION GENERALE 60
BIBLIOGRAPHIE 61
ANNEXE 63
|