SUGGESTIONS
Ø La province doit avoir à la tête de deux
institutions les autorités qui ont la consciencede leur engagement;
Ø Les autorités doivent avoir l'amour et la
volonté du développement;
Ø Les autorités puisseent commencer à
travailler avec la vision, les objectifs qu'elles se fixent pour la
durée de leur mandat;
Ø Les élus peuvent manifester,l'esprit du
sacrifice pour la province et la population.
CONCLUSION
GÉNÉRALE
Au terme de notre étude consacrée sur la crise
institutionnelle et développement socio- économique de la
province du haut -Lomami, nous convenons selon la tradition et après nos
investigations, de mettre les propos ci-après :
La crise institutionnelle sociale économique dans la
province du Haut-Lomami est manifeste. Nous sommes partis de l'observation
selon laquelle dans la province du Haut-Lomami, depuis l'existence de la
province en 2015, cette dernière est l'incapacité de se
développer. Elle traverse une série des comportements du
désordre de nos représentants provinciaux jamais vécus
depuis lors.
Nous avons compris que le bon fonctionnement des
institutionsnécessitera l'implication des hommes qui ont l'amour, la
volonté et devant avoir une vision de moderniser pour mettre les
éléments qui puissent pousser la province vers le
développement.
Ainsi notre problématique a reposé sur le
questionnement suivant : quel serait l'apport des institutions provincial sur
le développement socio-économique dans la province du
Haut-Lomami?
À cette question nous estimons qu'il n'y a aucun apport
des institutions provincial sur le développement socio-économique
dans la mesure où la population ne bénéficie d'aucune
évolution ou développement. De cette réponse a
étéconfirmé par une descente sur terrain. Les
autorités doivent disponibiliser un esprit du travail, l'amour pour la
construction de la province.
Dans notre travail nous nous sommes servis de la
méthode fonctionnelle qui nous a permis de saisir le rôle que
jouent les institutions. Le travail est analysé de 2015 à 2022 et
il présente trois chapitres dont le 1erse focalise sur les
aperçusgénéraux. Dans le second chapitre nous avons
présenté la province du Haut-Lomami. Et dans le dernier chapitre,
nous avons parlé sur les institutions provinciales et le
développement socio-économique du Haut-Lomami. Nous avons
tenté de cerner les vices qui rongent les institutions, proposer des
voies favorisant le développement socio-économique de la
province. La province éprouved'énormesdifficultés pour
remplir convenablement ses tâches.Lesdifficultés sont
d'ordre : moral, fonctionnel et organisationnel.Celle-ci entraine le
sous-développement de la population.
Au terme de notre étude nous avons conclu que rien de
plus durable ne peut êtreréaliséaujourd'hui ou
ultérieurement, si les institutions ne sont pas
réhabilitées sur un socle solide. Celui de la compétence,
de la responsabilité et de la conscience ainsi que la possession d'une
vision et une rigueur dans le travail. Ainsi le pouvoir central ne doit pas
laisser les institutions provinciales avec un oeil regardant ou sans
ambitions.
En général, la RDC en particulier le Haut-Lomami
a besoin des leaders qui maitrisent bien la définition du mot
institution et savoir sa mission pour mieux répondre aux attentes de
cette pauvre population
À cet effet, nous suggérons aux acteurs ou
décideurs politiques de faire en sorte que :
Nous n'avons pas la prétention d'avoir tout
démontré, exploré dans ce travail ; néanmoins nous
avons été animés par le souci de démontrer
l'importance qu'ont les institutions pour assurer le développement
socio-économique de la province du Haut-Lomami.
Mais comme toute oeuvre humaine, celle-ci aussi,relève
des imperfections. Nous souhaitons bon chemin aux chercheurs qui se pencheront
sur le même thème.
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