EPIGRAPHE
« La personne humaine est sacrée, l'Etat a
l'obligation de la respecteret de la protéger. Toute personne a droit
à la vie, àl'intégrité physique ainsi qu'on libre
développement de sa personnalité dans le respect de la loi, de
l'ordre public, du droit d'autrui et des bonnes moeurs, Nul ne peut être
soumis à un traitement cruel, inhumain ou
dégradant. »
(Constitution de la République Démocratique
du Congo, article 16 et Pacte International relatif aux droits civils et
politiques, article 7).
AVERTISSEMENT
La forme, les méthodes, les règles de styles et
les règles de notes de références utilisées dans ce
mémoire sont conformes aux indications contenues dans l'ouvrage de
Pierre Félix Kandolo intitulé : Guide Kandolo.
Méthodes et règles de rédaction d'un Travail de recherche
en droit, Beau Bassin (Mauritius), Editions Universitaires
Européennes, 2018.
TABLE DES MATIERES
EPIGRAPHE
Erreur ! Signet non
défini.
AVERTISSEMENT
2
LISTE DES TABLEAUX
6
LISTE DES SIGLES, ACRONYMES ET ABREVIATIONS
7
RESUME
Erreur ! Signet non
défini.
ABSTRACT
11
IN MEMORIUM
13
DEDICACE
14
REMERCIEMENTS
15
AVANT-PROPOS
17
INTRODUCTION
18
1. PRESENTATION DU SUJET
18
2. CHOIX ET INTERET DU SUJET
18
2.1. CHOIX DU SUJET
18
2.2. INTERET DU SUJET
19
3. ETAT DE LA QUESTION
22
3. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE
25
3.1. PROBLEMATIQUE
25
3.2. HYPOTHESE
27
4. METHODES ET TECHNIQUES DE RECHERCHES
31
4.1. APPROCHE METHODOLOGIQUE
31
5. DELIMITATION DU TRAVAIL
34
5.1. DELIMITATION DANS L'ESPACE
35
5.2. DELIMITATION DANS LE TEMPS
35
5.3. DELIMITATION SELON LA MATIERE
35
6. SUBDIVISION DU TRAVAIL
35
CHAPITRE I : LES CONSIDERATIONS GENERALES
37
Section 1 : DOMAINE PENITENTIAIRE
37
§1. LE DETENUS
38
Section 2. DE L'ANALYSE SYSTEMIQUE
39
a) LE CHAMP AU DOMAINE
40
Sélection 3. LA REFORME
40
§1. LES MAISONS D'ARRET
40
§2. ETUDE DE DETENUS
42
§3. LA DETENTION PREVENTIVE
44
§4. DELAI DE LA DETENTION
46
Section 4. SOUS FORME HISTORIQUE DE
L'HIÉRARCHIE DE L'ADMINISTRATION PENITENTIAIRE EN RDC.
46
4.1. Historique du service pénitentiaire en
RDC
46
4.2. L'Hiérarchie Administrative du service
pénitentiaire en RDC
47
C) L'HIÉRARCHIE PENITENTIAIRE AU NIVEAU
PROVINCIAL
49
CHAPITRE II : APERCU GENERAL DE L'APPLICABILITE
DE LA PENITENCE DANS LES ETABLISSEMENTS PENITENTAIRES DE LA RDC
51
Sélection 1. ORGANIGRAMME DE (BOMA, KASAPA et
BULUO.)
51
1.1. ORGANIGRAMME INTERNE DE L'ETABLISSEMENT
TYPE CARCERAL
53
Section 2. QUELQUES ETABLISSEMENTS PENITENTIAIRE DE
LA RDC
59
2.1. ETABLISSEMENTS COMME LIEU D'ISOLEMENT DES
AUTEURS ET COAUTEURS ET COMPLICES DES CRIMES.
59
Section 2. AU FOUR ET AU MOULIN PENITENTIAIRE
67
2.1. LES DOCUMENTS TENUS PAR LE DIRECTEUR
67
2.2. SORTES DES PEINES
69
2.3. NOTION GENERALE SUR LA SERVITUDE PENALE
PRINCIPALE EN RDC
71
2.4. Exemplaire d'un registre d'écran (sa
face externe)
71
CHAPITRE III : INTERPRETATION DE LA
REGLEMENTATION PENITENTIAIRE DE LA RDC
76
Section 1. FONCTION DE LA REGLEMENTATION
PENITENTIAIRE
76
1. DEFINITION
76
2. OBJECTIF DE CE TROISIEME CHAPITRE
76
3. SORTES DES REGLEMENTATION DANS LE SERVICE
PENITENTIAIRE DE LA RDC
76
Section 2. LE POINT DE DEPART DE LA REGLEMENTATION
DU REGIME PENITENTIAIRE DANS NOTRE PAYS
77
2.1. L'ORDONNANCE N°344 du 17 septembre
1965
77
Section 3. LE TRANSFEREMENT, DECES ET EVASION
81
3.1. De transfèrement
81
3.2. Concernant le décès d'un
détenu
82
3.3. De l'évasion
82
CONSIDERATION. CRITIQUE ET SUGGESTION
83
CRITIQUE ET SUGGESTION
83
CONCLUSION
89
ANNEXES
92
DANS LA MAISON D'ARRÊT
93
BIBLIOGRAPHIE
99
INDEXE
103
LISTE DES TABLEAUX
Tableau I: ORGANIGRAMME TYPE D'UN
ETABLISSEMENT PENITENTIAIRE
3
Tableau II: REGISTRE D'ECROUT
71
Tableau III: REGISTRE DE SITUATION
JOURNALIERE
73
Tableau IV. La valeur du mot
réconciliation
96
Tableau V: GRILLAGE TYPE D'UNE PORTE D'UN
MILIEU INCARCERAL
103
Tableau VI: TABLEAU TYPE DE LA PREVISION
GENERALE DE SITUATION JOURNALIERE
103
LISTE DES SIGLES, ACRONYMES
ET ABREVIATIONS.
S.P.P : Servitude Pénale
Principale
ONG : Organisation
Non-Gouvernementale
P.U.F : Presses Universitaires de
France
R : Revue
Id : Idem (de même)
TFC : Travail de Fin du Cycle
N° : Numéro
Ed : Edition
PUL : Presses Universitaires de
Lubumbashi
Art : Article
Al : Alinéa
CPC : Code de Procédure Civil
RC : Rôle Civil
CPM : Code de Procédure
Militaire
C.I : Centre d'Instruction
OPJ : Officier de Police Judiciaire
RP : Rôle Pénal ou Registre
Pénal
RMP : Registre du Ministère
Public
OD.P : Ordonnance de Détention
Préventive ou Provisoire
O.C : Ordonnance de Confirmation (de la
détention)
PROLICO : Proposition de
Libération Conditionnelle
MONUSCO : Mission d'Observation des
Nations-Unies au Congo
ONU : Organisation des Nations Unies
P.V : Procès-Verbal
C.O.M : Cour d'Ordre Militaire
OML : Ordonnance de Mise en
Liberté
M.A : Mandat d'Arrêt
RECL : Registre d'Enfant en Conflit avec
la loi
APAJ : Affaire Politique de
l'Administration Juridique
RPN : Règlementation
Pénitentiaire Nationale
RPR : Règlementation
Pénitentiaire Régionale
R.I : Règlementation
Internationale / Relation Internationale
PGR : Procureur Général de
la République
PPC : Peine Prend Cours
MAP : Mandant d'Arrêt
Provisoire
Nature des faits : Incrimination ou
Infraction
RAE : Réquisition à fait
d'emprisonnement
D.A : Date d'Arrestation
A.A. : Acte D'appel
RS : Résidence
surveillé
RPA : Servitude Pénale Plus
Amande
CPC : Contrainte Par Corps
SPS : Servitude Pénale
Subsidiaire
RESUME
Etant donné que l'intitulé de notre sujet
est : « Nécessité de réforme du
système pénitentiaire en RDC : Une étude des droits
des détenus dans la maison d'arrêt de Boma, le Camp de
détention de Buluo et la Prison de Kasapa) », il
convient de nous intéresser à l'article 16 de la Constitution de
la République Démocratique du Congo et à l'Article 7 du
Pacte International relatif aux droits civils et politiques qui stipulent que
la personne humaine est sacrée, l'Etat a l'obligation de la respecter et
de la protéger. Toute personne a droit à la vie, à
l'intégrité physique ainsi qu'au libre développement de sa
personnalité dans le respect de la loi, de l'ordre public, du droit
d'autrui et des bonnes moeurs. Nul ne peut être soumis à un
traitement cruel, inhumain ou dégradant.
Sans oublier l'analyse historique de document de la
première catégorie car ça relate sur le fait même
tel que notre sujet. D'où l'ordonnance n°344 du 17 septembre 1965
portant sur le régime pénitentiaire en RDC. Il y a des
difficultés car l'hexamètre de Quintilien existequant à
l'authenticité l'ordonnance 344 du 17 septembre 1965 ça ne cause
pas problème car c'est à l'époque du feu président
Joseph Kasa-Vubu, mais suivant le système de Quintilien et selon les
idées de Paul Lazarsteld il y a différentes difficultés
faute d'inadaptabilité et incompatibilité aux situations actuel
du système pénitentiaire car selon Paul LAZARSTELD et
Quitalie : qui dit ? ; il dit quoi ?; à qui ?;
et quand avec quel objectif ?.Donc le feu Président Joseph
KASAVUBU, il s'adresse aux gens de son époque c'est-à-dire aux
détenus et personnel pénitentiaire de 1965 et non ont
système pénitentiaire actuel. Alors nous aujourd'hui nous pensons
que c'est mieux qu'il y ait une réforme tout d'abord en révisant
l'ordonnance 344 du 17 septembre 1965 pour son adaptation aux
réalités actuelles et les droits de l'homme.
Néanmoins ça peut nous servir de
référence pour concevoir un régime pénitentiaire
moderne conforme aux réalités de droit de l'homme actuel.
Notre observation dans le système pénitentiaire
a été directe et nous avons procédé par le
système d'échantillonnage et des enquêtes, par sondage car
la population à interroger est dans la Prison de Kasapa fondée en
1958, dans la maison d'Arrêt de Boma et dans le Camp de détention
de Buluo qui sont nos Terrains de recherche par excellence dans la province du
Haut-Katanga.
En RDC, Nous nous sommes mêlées et nous avons eu
à Interroger 30% de la population Carcérale, par interview des
leaders et de détenus. La marge correcte que nous avons constatée
après l'enquête est de 95% dans le Camp de détention de
Buluo, la maison d'arrêt de Boma (tous deuxà Likasi) et dans la
Prison de la Kasapa à Lubumbashi.
La marge d'erreur est de 5%. D'où la
nécessité de la réforme du système
pénitentiaire qui doit être une réalité pour adapter
et rendre compatible le régime pénitentiaire aux
réalités et besoins afin que le service pénitentiaire
puisse atteindre avec succès son objectif qui est la
rééducation et la réinsertion sociale.
Bref : Tout ce qui a de
connotation pénitentiaire nous intéresse dans ce travail. Mots
clés : détention, prévention, réforme,
système, maison d'arrêt, prévenus, Camp de
détention, Prison, condamné.
ABSTRACT
As the title of our tapicis : « need of reform
prison reform in the democratic republic of Congo. (Survey of the right of
detention in the remnad center of Boma, detention camp of Buluo and Kasapa
prison.)»
It would rather be important to get interested in article 16
of the Democratic Républic of Congo Constitution and Article 7 of the
international, pact related civil and political right, which stipulates that
the humain is sacred, the state is urged to respect and protect them. Each
person has the right to life, physical integrity as well as to the freedom
developpment of their personality by respecting the law, public order, rights
of others and morality.
None can undergo a cruel inhumain, or degradant
consideration.Without forgeting the historical analysis of the first category
document which fromes with our research area for it relates to the same fact of
the topic. Hence the ordinance law n°344 of 17 september 1965 on the
prison regime. There are difficulties and insuffisance that we have discovered
by facusing on the heseameter system of quitilian, but with regard to the
ordinance authenticity 344 of 17 september 1965 it does not course a problem,
for it was during the time of late president Joseph KASAVUBU, but according to
the ideas of Paul LAZARSTELD, for he also evokes the system of quitilian. So,
there are different difficulties because of the unsuitability and
incampatibility in nowadays situations of the modernisation of prison system.
According to Paul LAZARSTELD and quitelian : who says what ?; to
whom ?; And when and with which of objective ?. So the late president
Joseph KASAVUBU, he was adressing to the detained people following the reality
epoc and not the today's prison system which has also its Own realities of the
moment. The reform is needed which also aims at revising the ordinance law
n° 344 of the 17thseptember 1965 for its adaptability to
nowadays reality (realities) and to the event of the promoting the humain
rights which is imposed every where. At least, this ordinance of the 17th
september 1965.
It can help us as a reference in order to make again a modern
prison regime and conforms to reality of actual human rights, our observation
inprison system has been detected and we have proceded by the sampling system
and surveys, by survey for the remand center of BOMA and in the detention camp
of Buluo that are our fields of research by excellence in the Haut-Katanga
Province. Withautforgeting the central Prison of Kasapa in Lubumbashi.
Following in the DRC, we are mingled and we have to interrogate 30% of the
Prison population of the Democratic Republic of Congo, Thraugh interview of
leaders and the detained people being in the detention areas.
Then, we have noticed that the correct margin is of 95% and
the magin of error is of 5%. After proceeding this, we have found that there is
a need of reform of the Prison system of the Democratic Republic of Congo.
Key words : Detention, Prevention, Reform, Remand center,
Detention camp, Prison, Sentenced, extramuros, Intramuros etc.
IN MEMORIUM
Il y a des événements Joyeux d'autres
Attristés. Nous avions été content quand nous avions
découvert le monde de la science pénitentiaire par l'Ironie de la
détention injuste suite à l'incompétence, la
négligence et la mauvaise foi de ceux qui
étaientcensés,Nous couvrir pour nous faire échapper
à cette détention injuste, Arbitraire et inhumaine. Nous avions
été traumatisé par la disparition mortelle de nos
instructeurs Militaires par excellence : Le Feu Général
BASEKAY KAMANGALA Bertin, qui fut commandant du centre d'instruction de MURA et
commandant (comd) place Garnison (Gson) de Likasi aux années
2013-2015 après il avait été muté pour devenir
commandant région à Kisangani où il tomba malade
Décédé en Afrique du Sud et enterré en RDC.
Ainsi, pour la famille des grands combattants nous regrettons
et nous ne t'oublierons jamais pour les bienfaits, sans oublier le
Colonel MBIENGA MWANAKOKO KILOLO NESSY, le Feu
MAMADOU NDALA, Le Major KAZADI YAMBINDO Marcel décédé au
centre d'Instruction MURA. Alors nous, étantqu'élément de
la descendance des hommes de Guerre, nous disons que « leurs
âmes reposent en paix et que la terre de nos ancêtres leur soit
douce ». Surtout que nous avons l'espoir de nous revoir un Jour, sans
oublier le Feu Abée CREVETE ANDRE MALOSA et le Prof. KWIRAVUSA de
BUTEMBO mort à mont-Lubwe. Et nous n'allons pas rester
indifférent pour nous souvenir de la bienveillance, hospitalité
du feu Maman MONIC TSHLAY « que son âme repose en
paix » sans oublier le feu Grand père, père KIMWANGA
MILITANT KACHELEWA Laurent, le Mzée IRONGOZI VICTORE ET LE MZEE KATAVALI
de VIKINDWE « que la terre de nos aïeux grands père vous
soit douce et légère ».
DEDICACE
A l'Eternel Dieu tout puissant des soldats pour ne pas dire
des Armées, qui, veillant sur nous jour et nuit.
A papa BALIYANGA SHAMUNDINGA-SHAN AKILIMALI Gode-NICO et a
Maman KABILA KATANIKA MARIE pour leur bien vouloir et la bonne foi qu'ils ont
manifesté pour soutenir la rédaction de ce travail. A tous les
membres de la composition du groupe et service pénitentiaire en RDC sans
oublié particulièrement notre Instructeur Pénitentiaire
par son bien vouloir le Directeur du Camp de détention de Buluo
répondant au Nom de Janvier KAMBALA.
A toute la promotion de SIMBA ZA MURA partout où ils se
trouvent chacun par son nom trouvez ici mon expression de l'esprit
d'équipe car nous sommes de coeur envers vous entant qu'amis de
souffrance.
A mon COLONEL ZANZA TESEMBA Médard DSEM et le COLONEL
Log IKONGO MaurishoCharleComd 2nd CI MURA, retrouvent ici mes
sentiments de considération envers l'armée via votre signature.
Ainsi pour votre bonne foi et confiance envers nous, nous en tant que votre
élément Juriste en formation nous vous promettons de ne jamais
trahir votre signature car nous allons la défendre juridiquement partout
et jusqu'au sacrifice suprême ont nom de la doctrine qui défend la
méritocratie non discriminatoire loin de la marginalisation et
l'exclusion.
A mon Major KOMBE AZABI John qui est un bon compagnon de lutte
scientifique à l'université et à toutes nos connaissances
dont nous faisons taire les noms comme les enfants de la
télévision.
A maman KAVIRA BASILIANNE, sans oublié papa KATEMBO
NZUKI, et la grande mère KAHAMBU SIWAKO NYAMBUSA.
A vous tous qui liront ce présent travail de
mémoire en droit Public.
Je dédie.
REMERCIEMENTS
Au seuil de notre travail, qu'il nous soit permis de
témoigner notre gratitude aux autorités politico-administrative,
aux autorités judiciaires civils tant que Militaire. Sans plus tarder
nous remercions les autorités de l'université de Likasi en
commençant par le Recteur et toute son équipe de travail pour
notre formation entant qu'universitaire.Que notre gratitude s'adresse au
professeur Pierre Félix KANDOLO ON'UFUKU WA KANDOLO et le chef de
Travaux Paul MUTOMBO LUBILANDJI qui, en dépit de leurs multiples
occupations ont bien dirigé ce travail avec tant d'ouverture pour nous
initier dans le monde scientifique.
Nos remerciements vont tout droit à tous qui de
près ou de loin nous ont apportés une assistance tant
matérielle que morale. Tels que KAKULE Mahali à la SONAS
Likasi.
Nous remercions le général KAKULE SOMO Evariste
actuellement chargé de la logistique et administration de
22ème région Militaire.Sans oublier le
général PALUKU KAHERAYA Marcel chef d'Etat-major deuxième
zone de défense.
Nous pensons que tous qui a déjà
été finaliste le saint, cette partie reste la plus
agréable à écrire. En effet, après une longue
concentration soutenue et parfois une période de désespoir, mais
il est bon et heureux de s'acquitter d'un noble devoir, celui d'écrire
ces ultimes phrases de reconnaissance. Ainsi, nous disons aux ami(e)s
ennemi(e)s et à toutes nos connaissances qui m'ont permis de
découvrir le monde de la science car nous pensons être
suffisamment être initié au grand livre du monde scientifique.
Nous ne citons pas ici le nom de personne car c'est avec réalité
et preuve à l'appui que nous tenons à vous remercier vous tous,
et vous toute(s) entant que ma connaissance pour les pires et dans les
meilleurs qui ont contribués à mon épanouissement
intellectuel que scientifique. Nous remercions également le juge
président du tribunal de Grande Instance Likasi KAHINDO KISUGHUNO
Germain et maman MAPENDO.Sans oublier le Juge président du Tribunal
Militaire de Garnison de Likasi le Major Albert KAPUKU KABAMBA ;
L'auditeur Militaire de Garnison de Likasi ISOKELO HAWANA WEMA
et le Greffier au Tribunal Militaire de Likasi le (Lt) lieutenant
BOENGANI LONGONDO Théophile pour sa gentillesse. Nous remercions
également le colonel ZANZATE SEMBA Médard DSEM Com. C.I. MURA,
sans oublier le Major IBAKO MONDIO Michel, le Major MUME BENZE Jhonson, le
Major B.C, le capitaine LWAMBA SEBASTIE Commandant (comd), cie, EM
SV(compagnie, Etat-major service) C.I MURA.
Le retour à l'authenticité nécessite et
oblige à notre esprit de remercier le général qui est
notre Idole KATSUVA. Nous remercions également KAMAVU MUGNERERE KAMBASU,
le colonel KAMBALE NZOLE, le futur général MBUYU NTANDA
Jean-Claude TEM (Technicien d'Etat-major) et homme sage comme le colonel NZANZA
Sans oublier la sagesse du feu Général BASEKAY, Le Major KASEREKA
VUYIMBI Jean et le Ltcolonel KINGOMBE ENDI MWANZO Eddy, le colonel
NGOY DIESE GARY, il fut commandant 3BnInstr
(3èmeBataillon Instruction) dans la formation de la promotion
SIMBA ZA MURA. Nous tenons à remercier infiniment les
présumé ambassadeurs de la paix venant de l'Amérique
notamment ALLY, le délégué spécial Américain
en RDC pour le compte de PAE (Peace Arc ChecEngener) opération
civilo-militaire en sigle S.M.O.
Nous remercions aussi le S.M MDLULWA commander Mission THEBE
colonel Sud-Africain. Toute la composition de 46 SouthAfrican Brigade Force
Preparation (46ème Brigade de Force de Préparation
Sud-Africaine). Nous remercions également le professeur Emérite
KATSUVA NGOLOMA Emanuel, vue que la liste est énormément grande,
nous n'allons pas oublier à remercier les parents Biologiques en qui
nous devons beaucoup du respect. Afin, nous remercions aussi papa DAVID KALALA
et maman Léonie. Sans oublier les membres de STHITUNGA Likasi et
Lubumbashi, et tous les membres of English (club centre la borne et centre les
talents à Likasi) chapeauté par le Doyen Isaac KALUME
L'incomparable, le Premier parmi les premiers en matière d'anglais.
Nous voudrions, nous excuser auprès de tous que leurs
noms ne s'y trouvent pas comme les enfants de la télévision.
Ainsi, nous vous supplions de bien vouloir retrouver nos sentiments de
gratitude et patriotique les plus dévouécar nous vous remercions
sincèrement tous pour votre lecture.
KAMBALE KIMWANGA Dauphin
AVANT-PROPOS
Conformément aux dispositions en vigueur
régissant l'enseignement supérieur et universitaire en
République Démocratique du Congo, la fin d'étude
universitaire de deuxième Licence est sanctionnée par un travail
de mémoire. Ce dernier sanctionné pour nous la fin du
deuxième Licence en Droit Public, ce travail pour nous, est le fruit
d'une longue histoire, endurance dans l'horrible souffrance et pénible,
des moments de désespoir et d'espoir parfois même de moqueries et
humiliation pénibles pour le découragement par les contre
succès, mais omniscient, omnipotent, nous l'avons pu réaliser
grâce au maître de temps via les personnes animées de bonne
foi qui ont contribué activement pour notre réussite comme
Steiner et David l'opérateur de saisie.
Donc, que tous ceux auprès de qui nous avons
retrouvé réconfort et assurance durant l'élaboration de ce
travail et tous dont le nom n'y figurant pas sur la liste de rubrique
remerciement, ne nous tienne pas rigueur, ainsi qu'ils trouvent aussi à
travers ce travail l'expression de notre profonde gratitude envers eux tels que
l'Abbé Willy MUSANZ, l'Abbé PUTUSHI Jean Boduin, l'Abbé
Alphonse KABUYU l'homme philosophe en vision l'Aigle, et l'Abbé ALYDOR,
il est aussi colonel des Forces Armées de la République
Démocratique du Congo.
Notre père spirituel et scientifique, sans oublier papa
GODE-NICO AKILIMALY et KATEMBO NZUKI avec maman KAVIRA BASILIANNE, qui par
leurs prières notre détermination dans le monde scientifique qui
doit être une réalité. Et aussi grâce à nos
enseignant et enseignantes de l'Ecole primaire chacun(e) par son nom, et nos
formateurs au secondaire tels que à l'institut « Mont-LUBWE
High School, après VISEHYA Institut. » Sans oublier que nous
avons été aussi formé à l'école de KAYEBA
après MURAMilitary Training Center, tout comme nous somme aussi
formé à l'Institut de Tourisme de Butembo (en sigle I.T.B), sans
oublier l'université de Likasi (en sigle UNILI) qui est dans la province
du Haut-Katanga où commence notre initiation en matière
pénitentiaire après la visite de KAKWANGURA (cas concret.
D'où le présent travail de mémoire
Intitulé :« Nécessité de réforme du
système pénitentiaire en RDC (une étude des Droits de
détenus dans la maison d'Arrêt, de BOMA, Le Camp de
détention de BULUO et la Prison de KASAPA.)»
KAMBALE KIMWANGA Dauphin
INTRODUCTION
1. PRESENTATION DU SUJET
Tout travail scientifique digne doit obligatoirement avoir et
se faire autour d'un sujet qui est un fondement incontournable pour chercher
à résoudre un problème dans une société
donné. Et dans une société bien organisée, l'Etat
assure la responsabilité de l'ordre public et du bienêtre des
personnes y compris le bien commun ou public. Ainsi, nous évoquons les
idées de NYUMBAIZA TAMBWE, nous constatons que le sujet peut être
le fruit ou le résultat d'une discussion scientifique, il peut
être tiré d'un cours vu tout comme il peut être ou
résulter d'une lecture personnelle, l'observation directe ou indirecte
qui peut aussi inspirer un étudiant pour avoir un sujet. Ainsi,
après avoir mis toutes ces idées en pratique, raison pour
laquelle nous avons estimé nécessaire de réfléchir
sur le sujet qui est : « Nécessité de
réforme du système pénitentiaire en RDC (une étude
des droits de détenus dans la maison d'arrêt de BOMA, le Camp de
détention de BULUO et La prison de KASAPA.)
Alors de tout ce qui précède, la
nécessité de la réforme pour amender aussi
l' « ordonnance 344 du 17 septembre 1965 relatif au
régime pénitentiaire, qui certaines de ses dispositions n'ont
plus d'importance à la réalité de l'ère actuel et
d'autres dispositions sont régulièrement violées et
violentées par les hommes qui devraient les donner de la valeur
c'est-à-dire que nous devons appliquer les dispositions légales
dans les structures pour le respect des droits humains. Alors compte tenu des
toutes les failles constatées par l'auteur de ce présent travail
dans le domaine pénitentiaire, c'est la raison même pour le choix
des idées de la réforme souhaitée dans le traitement de ce
sujet. Dans l'ordre normale et simplifiée pour que le service
pénitentiaire puisse atteindre son objectif tant attendu par la
société et faire respecter les droits de détenus en
Pépublique Démocratique du Congo (1(*)).
2. CHOIX ET INTERET DU SUJET
2.1. CHOIX DU SUJET
WENU BECKER estime que : « le choix du sujet
c'est la première des exigences à laquelle le chercheur que nous
sommes nous devrons être soumis car ça détermine notre
meilleure aboutissement dans notre travail scientifique. Il dépendra
aussi de la culture du chercheur et de l'évolution de la science.
Chercheur que nous sommes en deuxième Licence, nous avons au
préalable pris connaissance des théories préexistantes et
de techniques ayant trait à notre préoccupation du moment qui est
le respect des droits de détenus entant qu'être humain et cela est
possible que par le changement et réforme simplifiée, claire dans
le domaine pénitentiaire en RDC (2(*)).
Vu ce qui précède, plusieurs raisons majeurs
sont à la base du choix que nous avons opéré à
notre sujet. Le choix est compris selon le Dictionnaire universel étant
comme une action de choisir, une décision prise ainsi donc, notre choix
du sujet de mémoire porte sur : « la
nécessité de réforme du système
pénitentiaire en RDC (une étude des droits des détenus
dans la maison d'arrêt de BOMA, le Camp de détention de BULUO et
la Prison de KASAPA.)
Bref, l'étude des droits de détenus via le
domaine ou champ pénitentiaire dans un état de Droit. Dans la
stricte préoccupation de la réforme du système
pénitentiaire congolais d'une manière simple et claire pour
éviter de compliquer inutilement le système dont il est question
dans ce travail. Ainsi c'est aux autorités compétentes à
la matière de bien vouloir réformer d'une manière simple
et claire comme souhaité dans cet ouvrage. La réforme
pénitentiaire et la réhabilitation de peu des structures
pénitentiaires qui existe déjà est souhaitable qui est
aussi une nécessité urgente en commençant par les maisons
d'arrêt tels que celle de BOMA à Likasi qui est dans un Etant de
délabrement avancée et la Prison de KASAPA qui avait
été victime de l'incendie volontaire commise par les
détenus de structure pénitentiaire. Aussi d'autres structures
pénitentiaire de la RDC n'est doit pas échappé à la
réforme et à la réhabilitation. Est cela pour une
meilleure réalisation de leurs missions dans la société.
Sinon, dans le cas contraire le taux de la récidive continuera à
être signalé dans la plus part des cas de détention
(3(*)).
2.2. INTERET DU SUJET
KADONY NGOWANYI, préconise que « nous
chercheur nous devons également montrer à nos lecteurs
l'intérêt que nous attachons aux thèmes de nos recherches.
Notre Intérêt est parfois scientifique et professionnel. Sans
oublié que le dictionnaire universel définit
l'intérêt comme ce qui est utile, profitable à quelque
chose ou à quelqu'un(e). Ainsi, trois raisons ont attiré notre
curiosité scientifique dans le domaine pénitentiaire. Il s'agit
respectivement :4(*)
a) Raison scientifique
Nous étant qu'auteur de ce travail scientifique, nous
sommes juriste finaliste en deuxième licence. Nous avions
constaté dans notre mini TFC de G2 droit après notre arrestation
d'une manière illégale et par la négligence de ceux qui
était censé nous couvrir et nous défendre. Ainsi, nous
avions parlé de la vengeance non-violence après notre
libération étant que homme scientifique. Surtout que nous avions
constaté que les conditions d'arrestation et d'incarcération en
république Démocratique du Congo sont d'une manière
flagrante en marge et en violation des droits fondamentaux des humains, or la
RDC est un Etat de droit et membre des organisations internationaux pour
évoquer ici l'idée des différents documents internationaux
ratifié en République Démocratique du Congo pour la
protection, la sauvegarde et la garantie des droits humains. Donc les amigos,
les maisons d'arrêt, les camps de détention, les Prisons et les
cachots ne doivent pas être considéré comme de mouroirs
à court, à moyen et à long terme car les détenus
qui y journent sont aussi des humains avec de l'eau et du sang qui coule dans
leurs veines.
Donc à chacun(e) d'entre nous partout où il
(elle) se trouve, c'est mieux de faire de son mieux pour éviter que les
anciens détenus puisse manifester les séquelles de la
détention car nous constatons qu'il est presque pratiquement impossible
pour certains libérés de se reclasser dans la
société libre comme il était avant sa détention.
Pour le monde scientifique nous osons croire que l'ouvrage que
nous avons entrepris pour parler de la réforme mentale, comportemental
et structurelle dans le système pénitentiaire. Cette oeuvre
scientifique, nous osons croire que ça inspirera les chercheurs en
faisant ce travail de mémoire l'une de pièce constructrice du
monument qui est le Droit et plus précisément le Droit dans le
domaine pénitentiaire. D'où il faut que les autorités
compétentes préconise des sanctions pour les horsla loi qui osera
violer les droits de détenus. D'où plusieurs enseignement,
formation d'initiation et recherche dans ce domaine pénitentiaire ont
été pour nous des prérequis pour la théorie qui
doit être réaliste est la mieux adapter après la
réforme du système pénitentiaire d'une manière
simplifiée et claire du domaine pénitentiaire dans notre pays.
b) Raison personnel
Vu qu'il est de coutume, à la fin d'un cycle
académique complet, chaque étudiant finaliste est soumis à
l'exercice de la rédaction d'un travail de mémoire en
deuxième licence. Nous, étant que finaliste en Droit Public nous
ne pouvons pas déroger à cette exigence, celle-ci nous permet non
seulement de décrocher le titre de licence en droit, mais aussi et
surtout d'établir nos connaissances que nous avons en magasinées
durant notre parcours scientifique jusqu'en deuxième licence
département de Droit Public.
Pour nous la raison personnel ou l'intérêt sur
notre sujet : « nécessité de réforme du
système pénitentiaire en RDC (une étude des Droits de
détenus dans la maison d'arrêt de BOMA, le Camp de
détention de BULUO et la Prison de KASAPA) » ce sujet nous a
permis et ça va nous permettre de découvrir encore beaucoup plus
dans le domaine pénitentiaire où nous avons aussi constaté
la théorie et le pratique de ce qui est et de ce qui doit être qui
y existe aussi et notre constant est que cette théorie et parfois
pratique, existe presque partout dans les domaines que nous avons eu la chance
de découvrir.
Cette théorie et pratique ne nous empêche pas
entant que chercheur et rédacteur de cet ouvrage en Droit public
d'où nous y parlons sur le respect des droits humains etd'autres formes
multiples de la réforme dans le domaine dont il est question dans ce
travail de mémoire. Les détenus sont souvent dans des conditions
dégradante et inhumaine. En effet, ils semblent être tenus en
esclavage, torturé comme des vaut rien, enfermé comme des sans
valeur, privé parfois des substances nutritionnelle et médicaux
de première nécessité hygiénique pour leurs survie
digneétant qu'être humain, l'amour n'a parlons plus dans des
milieux carcéral ou les détenus hommes et femmes majeur semblent
être abandonné d'une manière légalisée
à leur triste sort. Or les innocents peuvent y exister parmi tant
d'autre détenu illégalement !
c) Raison socio-économique
Il semble être probable qu'une oeuvre scientifique ne
contribue pas au développement de sa science n'en est pas une bonne des
oeuvres qui mérite car une oeuvre ne doivent pas viser un
intérêt seulement et égoïste, mais plutôt elle
doit en effet, chercher à accomplir le rôle scientifique dans la
société comme le veut le Droit Public, qui est celui
d'éclairer par les pensées qui y contient pour apporter des
réponses aux multiples questions du domaine donné dans la
société, non-seulement de ses contemporains, mais aussi pour le
compte de la génération présente avenir et futur. C'est la
raison pour laquelle, nous croyons bien que la présente oeuvre d'esprit
pourra bien fournir des pistes de solution aux problèmes lié
à la non aboutissement actuel de la mission du service
pénitentiaire en République Démocratique du Congo.
D'où la nécessite de la révision et
réforme dans le domaine pénitentiaire de notre pays et cela est
possible par l'implication des autorités compétentes, pour
arriver à éradiquer ce problème des violations de droits
humains qui est comme des maladies dans le domaine pénitentiaire. Et
nous avons compris qu'il existe tout un arsenal des dispositions légales
qui doit être révisé pour les faire adapter à la
réalité que nécessite les détenus actuel et le
structure pénitentiaire qui nécessite la modernisation pour
répondre aux normes du standards international des établissement
pénitentiaire qui accueillent des détenus qui sont aussi des
humains qui méritent aussi la garantie et le respect des leurs droits
fondamentaux relatifs au respect des droits humains.
Notez que l'incarcération des innocents est à la
base de beaucoup de dégâts presque irréparables. Donc le
service pénitentiaire dans un Etat de Droit doit bien s'acquitter de son
travail social en faisant et en rendant un bon service à la
société a commençant par le détenus lui-même
car si la personne ex-incarcérée pendant plus ou moins un
longtemps, une telle personne a besoin d'une assistance sociale dès sa
sortie du lieu carcérale. Alors si le détenu avait acquisé
l'apprentissage de certains métiers professionnelles et cela pourrait
lui permettre de ne plus délinquer pour ne pas tomber dans le coup du
récidive.
Nous constatons que dans certains cas les époux ou
épouses des incarcérées risquent de commettre
l'adultère et la prostitution dans la recherche de la survie, et leurs
enfants sont parfois versé facilement dans les aléas de la rue
d'autres finis par abandonné leurs études. Donc, il existe
beaucoup des dégâts socio-économiques liés à
l'incarcération ou la détention de quelqu'un. D'où nous
lançons un cri d'alarme non seulement aux membres du service
pénitentiaire, mais aussi à tout un chacun(es) de prendre cela
comme son devoir à son niveau de lutter contre les arrestations
Arbitraire et l'incarcération des innocents surtout.
3. ETAT DE LA QUESTION
La science a toujours un caractère participatif et
interdépendant comme les éléments de tout un
système structurel ou comme une chaine composée de noeuds pour
son bon fonctionnement. Ainsi, il nous a été impérieux
avant de commencer la rédaction de cette oeuvre scientifique. Nous avons
et nous devons toujours continuer à lire nos prédécesseurs
sur la question du sujet traité dans ce travail car il faut souligner
que nous ne sommes pas les premiers à aborder ce thème `
pénitentiaire en R.D.C qui nécessite une reforme
simplifiée et clarifiée'. Ainsi, serait-il
prétentieux d'affirmer notre monopole dans la recherche d'autant plus
que la problématique à l'étude sur le domaine qui a fait
déjà objet de plusieurs recherches antérieures. Cependant,
ce qui est vrai est que chacun des chercheurs est praticien du domaine de
recherche chacun (e), le traite de sa manière selon sa doctrine, sa
croyance et ses visions pour atteindre ce qu'il vise dans le domaine
concerné par sa recherche.
Donc, nous pouvons nous prévaloird'affirmer que ce
travail est l'original selon notre convictions après avoir fait tant des
recherches et fouiné le domaine pour viser la réforme simple et
claire du domaine pénitentiaire en RDC qui est le thème du sujet
traite dans ce travail.
Ainsi, nous avons longuement promené notre regard
vigilant et plein de curiosité dans les bibliothèques sur terrain
et nous avons usé de notre observation participative pour nous rassurer
de ce qui se passe réellement en théorie et dans la pratique du
domaine ou champ pénitentiaire.
Par la suite nous nous sommes approchés de la
réflexion des plusieurs auteurs et praticiens, d'autres parmi les
praticiens sont au four et au moulin dans le domaine dont il est question
d'étude dans notre sujet. Alors parmi les praticiens, nous avons fait la
curiosité sur :
- La maison d'arrêt de BOMA qui a été la
comme notre première cible dans la recherche et que le directeur de
cette établissement pénitentiaire répondant à nos
questions liées à la réforme du système
pénitentiaire en RDC.
Il répondit en disant que : « son soucis
est de voir la maison d'arrêtsous son commandement, réponde aux
normes de standards internationaux des droits humains »après
nous avons à lire : CAMILE DE GEZ dans son ouvrage
intitulé : « l'univers carcéral »
1iere édition, paris, document concernant les affaires Claude
BOURSIER en 1970 où il a parlé comment traiter un détenu
et les travaux dans les milieux carcéral. Et nous avons longtemps
promené notre regard dans l'ordonnance loi n°344 du 17 Septembre
1995 relatif au régime pénitentiaire à son article 7 et
autres articles. Afin nous avons constatés que cette ordonnance n'est
plus conforme aux réalités du monde actuel. (5(*))
Par la suite de nos recherches nous avons eu à lire
d'autres auteurs suivants : STEPHANE BABONNEAU, dans son ouvrage
intitulé : « l'indemnisation des victimes
d'infraction pénale ». Dans cet ouvrage, il nous
éclaire tout en cherchant à démontrer que la question de
l'indemnisation du préjudice subi à la suite d'une
détention arbitraire est souvent au coeur des préoccupations des
Victimes LES DEMARCHES EN JUSTICE visant à aboutir au payement des
dommages et intérêts qui parfoisfinis par le non
aboutissement.6(*)
JEAN PRADEL, dans son ouvrage
intitulé : « la détention
arbitraire ». Et nous avons eu à épouser ces
raisonnements car nous avons constaté qu'il existe beaucoup des
malfaiteurs dont leurs fautes ou infractions commise par ce dernier, eux et
leurs infraction reste parfois impunie suite au rang social qu'ils occupent
dans la société, et consort. D'où « une sorte de
détention arbitraire » car parfois non conforme aux droits
fondamentaux des humains.
Notre Philosophie qui est une façon de voir le monde de
notre part, nous pousse à dire que tout le monde, humain que nous
sommes, chacun et chacune d'entre nous a une liberté provisoire car si
vous vous concentrer à raisonner dans la même direction que
l'auteur de cet ouvrage vous pouvez conclure dans la même direction que
l'auteur a raison de confirmer que chacun et chacune d'entre nous sur terre a
une liberté provisoire, car les fautes ou infractions par omission tels
que la non-assistance aux personnes en danger, or les infractions
tentées sont punies comme des infractions consommées, car la
mauvaise pensée, qui entraine la mauvaise foi, sans oublier les
infractions consommées malgré que d'autres tombent dans la liste
noire de la criminalité.
Jean PRADEL, dans son ouvrage intitulé « La
détention arbitraire », il nous éclaire tout en
cherchant à démontrer que la détention provisoire est
l'incarcération d'un inculpé présumé coupable pour
des raisons d'enquête. Il est placé dans une maison d'arrêt
pendant toute ou une partie de l'instruction préparatoire jusqu'au
jugement final tout comme un dossier peut être classé sans suite
(7(*)).
JOCELYNE LE BOIS-HAPPE, qui parle du « respect de la
liberté », et il explique que la détention provisoire
constitue un moment clé de l'instruction, durant lequel des principales
contradictions doivent être conciliés : respect de la
liberté et le principe de la présomption d'innocence et en
même temps la nécessité de préserver les besoins de
l'instruction (8(*))
FAUSTIN HELIE, a pu écrire à ce propos
que : La détention préalable inflige un mal réel, une
véritable souffrance, à un détenu qui, non seulement n'est
réputé coupable, mais qui peut être innocent
ultérieurement si possible dans sa réputation, dans ses moyens
d'existence et dans sa personne.
Afin, vu que le parcours de notre recherche a
été tellement long, ainsi nous avons eu à rencontrer le
praticien du Droit Pénitentiaire tel que JANVIER KAMBALA, Directeur de
camp de détention de Buluo. Il a beaucoup attiré notre attention
dans sa façon d'être dans ce domaine pénitentiaire car il
avait été victime d'une arrestation injuste lorsqu'il y avait eu
évasion des 7 détenus, criminelles de grand chemin qui
s'étaient évadés dans la nuit du 11 au 12/Juillet/2021.
D'où une sorte d'arrestation arbitraire du Directeur Janvier Kambala,
arrêté un certain dimanche. Il a été
transféré de la maison d'arrêt de Boma à la prison
centrale de la Kasapa, transféré un certain le
12/Décembre/2021. Pour être acquitté le 13/Mai/2021 faute
de preuve, et il est réhabilité et replacé au même
établissement du camp de détentiondeBuluo depuis le 16 Août
2021, en remplacement du Directeur Intérimaire Monsieur KISIMBA SEZAR.
3. PROBLEMATIQUE ET
HYPOTHESE
A) PROBLEMATIQUE9(*)
La problématique se définit étant comme
l'ensemble de questions et problèmes des préoccupations que l'on
se pose autour d'un sujet faisant l'objet d'une recherche (10(*)), elle se définit aussi
comme étant « une approche, une perspective théorique
que l'on décide d'adapter pour le problème posé, pour la
question du départ »(11(*)), c'est aussi « l'art de poser clairement
les problèmes afin de les résoudre en suivant leurs
transformations dans la recherche, nette réflexion philosophique et
scientifique »(12(*)).
Pour sa part, le chef de travaux MPIANA Jeanocord, il
définit la problématique comme étant la question
principale qui exprime la préoccupation du chercheur. C'est aussi,
d'après le même auteur qui dit aussi que c'est l'approche ou la
perspective théorique qu'on adapte pour traiter un problème
posé par la question du départ (13(*)).
Selon le Dictionnaire Français
« Larousse », la problématique est définie
comme un ensemble des problèmes qui se posent sur un sujet.
Pour KANT, le terme problématique signifie jugement
à la proposition qui exprime une simple possibilité,
c'est-à-dire qui pourra être admis sans être affirmé
pour autant, ils sont opposés aux jugements aseptiques qui sont
nécessaires, mais nécessairement affirmé et ils
distinguent des jugements apodictiques qui ne sont nécessaire.
De la part de BINDUNGA IBANDA, qui définit la
problématique comme étant la partie de l'introduction
générale qui pose le problème dans un travail scientifique
sous forme d'un questionnement sans se tourner à cette interrogatoire,
elle est toute une orientation (littéral), littéraire autour de
celle-ci (14(*)).
Selon DUMAZIE R et RIPERT, Le chercheur ne choisit pas la
problématique à résoudre, c'est plutôt l'histoire
qui lui impose, néanmoins, le chercheur crée sa
problématique dans la mesure où pour résoudre un
problème donné, il choisit un certain nombre des critiques et
élabore à partir de celle-ci son système de recherche
(15(*)).
Pour ALTHUSSER, la problématique pourra être
entendue comme le domaine des connaissances théoriques dans lequel on
pose le problème du bien exact, de la position et les concepts requis
(16(*)).
BRECHTIEN, définit la problématique comme les
questions que l'on se pose autour de quelles va graviter l'investigation du
chercheur sur le sujet.
Selon Pierre Félix KANDOLO ON' UFUKU WA KANDOLO, il
parle de la problématique « concernant la question principale
et les questions secondaires » de recherche d'où, il appel
cette rubrique « question de départ » car les
réponses provisoires données aux questions sont qualifiées
d' « hypothèses » et les deux notions sont
inséparables. Celles-ci peuvent être envisagées comme des
réponses anticipées que le chercheur formule à ses
questions spécifiques de recherche.
De notre part entant qu'auteur de ce travail présent et
en rapport justement avec notre sujet de recherche scientifique dans le domaine
pénitentiaire, ainsi nous tapons sur la table en demandant :
Comment et pourquoi l'Etat Congolais peut-il se permettre
d'une manière légalisée que les Droits fondamentaux
à caractère international de ses citoyens et patriotes puissent
être violés voir même être violentés dans des
milieux supposés être de rééducation pour les
personnes détenues ?
Comment est-ce que l'Etat congolais peut réellement y
arriver pour compléter le vide et l'incohérence de certains
textes pénitentiaires supposés être légaux ?
Donc, en attendant que l'Etat puisse commencer à
amorcer ces questions de réformer en profondeur le système
pénitentiaire congolais d'une manière simple et claire. Lequel
présentement parmi tant des nécessités dans la
société. En dehors des textes légaux qui doivent
être révisés, il y a des murs, des portes des structures
pénitentiaires au Congo.sans oublier l'éducation, la formation
professionnelle qui est l'apprentissage des métiers pourrant assurer les
meilleures conditions de vie des détenus. Bref, leurs restrictions et
l'éducation à tous les niveaux ?
· Y-a-t-il réellement respect des droits humains
dans des milieux pénitentiaires en RDC ?
· Quel est le sort réservé aux auteurs des
violences faites aux détenus ?
· Pourquoi, la parité ne semble pas être
respectée dans certains établissements
pénitentiaires ?
· Pourquoi les soldats, les civiles, les
condamnés, les prévenus, ainsi que même les enfants et
femmes tous enfermés en commun ?
B) HYPOTHESE
Le Dictionnaire de la langue Française définit
l'hypothèse comme étant un ensemble des réponses à
un point auquel on se propose d'aboutir à la conclusion (17(*)). En effet, il convient de
répondre en nous appuyant sur les bases légales :
La loi n°15/024 du 31 décembre 2015 modifiant et
complétant le décret-loi du 06/08/1959 portant Code de
procédure pénale congolais au bénéfice d'une
personne arrêtée, les divers droits contenus notamment dans le
Pacte International sur les droits civils et politiques à son Article 7
et la constitution de la RDC à son Article 16. Et nous avons
trouvé une sorte des contradictions dans la justice militaire par
exemple à l'Article 209 du Code de la procédure militaire qui
stipule autrement que ce que nous avons constaté chez les civiles
concernant l'obligation faite au juge de se prononcer en chambre de conseil, ce
qui ne pas le cas chez les détenus militaires, or la
légalité de la détention doit être
vérifiée pour une justice juste et légale vu que la
détention des innocents est à la base des plusieurs
préjudices inexplicables. D'où la chambre de conseil est a
souhaiter au sein de la justice militaire congolais pour éviter les
détentions arbitraires dans un Etat de Droit.
La réforme et la réhabilitation, est devenue
après nos recherches, une impérieuse nécessité car
nous avons constaté un Etat avancer de délabrement et
détérioration de tissu socio-économique dans le domaine
pénitentiaire de la RDC et le service pénitentiaire n'arrive pas
à bien accomplir sa mission de la rééducation et la
réinsertion social des ex-détenus, qui la plupart finis toujours
et parfois tomber dans la récidive ce qui cause des énormes
dépenses à l'Etat et aux familles de détenus. Bref, la
réforme est d'une manière multidimensionnelle que nous souhaitons
dans le champ pénitentiaire de la République Démocratique
du Congo. Surtout que c'est après un constat regrettable faute des
moyens multidimensionnels le détenu peut sembler s'amender quand il est
encore dans ce milieu carcéral, mais dès son arrivé dans
la société libre, il manque sur quelle branche s'accrocher. Vu
que même le peu de réputation qu'il pouvait avoir est
déjà bousillée. Ainsi donc, et compte tenu de
l'idée qui dit quand on cherche à traquer Satan, il faut chercher
à le chasser avec tous ses associés.
Raison pour laquelle nous souhaitons que les détenus
libérés du milieu carcéral doivent être suffisamment
bien outils ou bien doté par l'Etat et les personnes de bonne
volonté des moyens multidimensionnels pour parvenir à faire face
et avoir l'espoir en une sorte d'une nouvelle vie qui s'annonce devant le
détenu après sa libération et cela, est possible via la
bonne foi des autorités compétentes de pouvoir permettre et
faciliter la réforme dans le domaine pénitentiaire. Donc la
récréation doit prendre fin de ce côté-là,
malgré que les détenus actuels soient entrain de continuer
à survivre dans cette obscurité d'une manière
légalisée.
Les milieux de la détention en RDC sont de mouroirs ou
pas ? le changement est souhaitable malgré qu'il faut beaucoup des
moyens pour atteindre cette réforme souhaitée par l'auteur de cet
ouvrage sous forme de la révolution de la modernité dans le
domaine pénitentiaire de la RDC pour que nous puissions arriver à
considérer que le gouvernement a réellement relevé ce
grand défi, mais qui semble être inaperçue sous le gros
silence des certaines autorités compétentes à la
matière.
Faisons, un peu d'analyse chronologique dans le temps comme
dans l'espace. Nous constatons que le décalage est tellement grand qui
sépare la période actuelle et celle de l'élaboration de
l'ordonnance-loi n°344 du 17 Septembre 1965 qui n'est plus adaptée
aux réalités actuelles pour être appliquer
jusqu'aujourd'hui, et nous constatons que cette ordonnance est
régulièrement violée tels que à son article 7,
titre 5ème et il y a beaucoup des dispositions qui
créent des confusions et l'incompréhension des droits humains et
vous constaterez ensemble avec nous que l'article 7 de cette ordonnance
n°344 du 17 Septembre 1965. Cette disposition parle seulement de la
création de camps de détention sans pour autant penser à
la prison et la maison d'arrêt. Or sa doit être multiplié
aussi sur toute l'étendue de la République car la
démographie a aussi augmenté.Et ce n'est pas normal que les
militaires, les civiles voir même les enfants et les adultes voir aussi
les femmes détenus tous être enfermé ensemble. Cela semble
être une génocide aux Droits humains. Donc, pour éviter ces
antivaleurs dans le domaine pénitentiaire, surtout que le taux de la
population comme le taux de la criminalité a aussi augmenté et
évolué en RDC comme ailleurs dans le monde.
Alors il faut encore la construction des autres structures
pénitentiaires tout en respectant les trois sortes de structure
pénitentiaire pour la matérialisation de la réforme
multidimensionnelle dans le système pénitentiaire. Notamment, il
faut la construction des autres maison d'arrêt, les prisons et les camps
de détention qui pourront abriter les matériaux d'apprentissage
des métiers aux ex-détenus pour préparer leurs
réinsertion convenable dans la société libre.
Nous constatons aussi que le titre cinquième
(Vème) de l'ordonnance n°344, sur le régime
applicable aux détenus, cette partie ne peut pas échapper
à la révision car ça parle sur la répartition des
détenus dans les locaux de l'établissement pénitentiaire
sans pour autant bien déterminer quelle catégorie des
détenus pouvait se retrouver dans quelles catégories de
l'établissement pénitentiaire car l'auteur de cet ouvrage
distingue trois catégories des détenus pour atteindre facilement
le but et les objectifs du service pénitentiaire tant attendue par la
société et pour faciliter la compréhension simple et
claire du cycle normal pour arriver à éradiquer et attribuer une
dose complète au détenu qui a besoin d'être
rééduqué et d'être réinséré
dans la société libre après avoir subis tout une
série de transformation comportementale et j'en pense.
D'où pour arriver à transformer la vie et les
comportements multilatérale d'un présumé
délinquant. Il faut le cycle complet passant par les trois
catégories des Etablissements pénitentiaire pour que le service
pénitentiaire puisse atteindre un bon résultat dans sa mission
lui confie par la société et l'Etat congolais.
Bref, nous avons constaté trois catégories de
détenus et trois catégories des établissements
pénitentiaires. Notamment : les détenus prévenus, les
détenus condamnés et les détenus amandés. Sans
oublié les trois catégories des établissements
pénitentiaires qui sont : les maisons d'arrêt, les prisons
(centrales etc.) et les camps de détention.
Donc, normalement :
Ø Les détenus avant la condamnation qui sont les
prévenus doivent se retrouver dans une maison d'arrêt tel que
BOMA, et d'autres maisons d'arrêt sur l'étendue de la
République.
Ø Les détenus condamnés doivent se
retrouver dans la prison proprement dite c'est-à-dire que :
dès leur condamnation, leur place n'est plus normalement dans la maison
d'arrêt. Ici nous citons l'exemple de la prison central de la KASAPA
à Lubumbashi et tant d'autres qui doivent acquérir les
détenus condamnés sur l'étendue du territoire national de
la RDC.
Ø Enfin pour un cycle complet, les détenus qui
se sont déjà et ceux qui sont presque à la fin de leurs
peines, et qui sont préparé pour leurs réinsertion dans la
société libre, pour bien préparer leur retour dans la vie
de liberté, ils doivent être préparés dans un camp
de détention, tels que le camp de détention BULUO et tant
d'autres qui existent et les autres doit être bien construits et
modernisés sur le territoire nationale congolais. Chose qui est
déjà prévue dans l'ordonnance n°344 du 17 Septembre
1965 relatif au régime applicableaux personnes détenus par l'Etat
dans un milieu carcéral. Les stipulations relatifs à ces
idées est contenue à l'article 7 titre 2 de l'ordonnance
n°344 du 17 Septembre 1965 (18(*)).
Ainsi, de tout ce qui précède, mieux de noter
que la réforme systématique est souhaitable dans le domaine
pénitentiaire de la RDC qui est concerné pour éclairer le
reste du monde dans les jours avenirs. Nous devons acté aussi qu'il faut
l'indemnisation aux victimes de la détention arbitraire après son
acquittement car cette détention arbitraire a causé de dommage.
Et la charge de l'indemnisation incomberait à l'Etat soit de la partie
ou la personne qui délibérement d'une manière ou d'une
autre aurait permis et participer à la commission de l'infraction
d'arrestation et détention arbitraire. En effet, il convient de signaler
que la détention elle constitue une des armes le plus redoutable dont
dispose l'Etat. pour maintenir l'ordre public dans la société via
l'appareil judiciaire qui est l'une de défense de la
société. Néanmoins l'application de cette mesure laisse
apparaître quelques lacunes bien entendu parfois lorsqu'elle est mal
utilisée, surtout si, le plaignant, soit les magistrats eux-mêmes
font l'application de cette mesure de mettre l'accusée contre mur ou
entre mur à l'encontre de la loi c'est-à-dire d'une
manière illégale au détriment de la procédure
prévue.
Un constat amer car c'est devenu une forme d'épreuve de
la démonstration de force surtout si la partie plaignante est
économiquement forte de ce fait, pour chuter avec notre rubrique
d'hypothèse nous lançons un cri d'alarme aux autorités
compétentes pour un contrôle régulier et rigoureux dans ce
domaine pour éviter les antivaleurs dans l'appareil judiciaire. Bref,
les autorités compétentes doivent favoriser un contrôle
régulier.
Pour veuillez jours et nuits afin d'éviter des
arrestations inexpliquées et aussi pour ne pas rendre un mauvais service
par la détention arbitraire. Surtout que ce n'est pas normal de
procéder à l'arrestation même des innocents. Sans oublier
que la non-discrimination pour favoriser une justice juste dans la
société.
4. METHODES ET TECHNIQUES DE
RECHERCHES
4.1. APPROCHE METHODOLOGIQUE
Pour WENU BECKER : « La méthode est de
nos jours un impératif indispensable attribué sans lequel une
recherche perd de sa validité scientifique ». C'est autant
affirmer que l'on ne peut se penser de la méthode de tout travail
scientifique. De ce fait, il y a lieu d'affirmer que la méthode est pour
la science, ce qui est le fusil pour un militaire (19(*)).
PINTO et GRAWITZ quant à eux, considèrent la
méthode comme « l'ensemble des opérations
intellectuelles par lesquelles une discipline cherche à atteindre les
vérités qu'elle poursuit, les démontre et les
vérifie. A cette définition, nous ajoutons la recherche
d'atteindre des connaissances à l'aide de techniques et de nouveaux
concepts et théories. Autrement dit, la méthode désigne
aussi une procédure logique et articulée, sans oublier que le
concept méthode vient de deux mots grecs Mèta : chemin,
passage. Donc « chemin suivant », autrement dit la marche
et l'ensemble des règles à suivre pour atteindre un but que l'on
se fixe pour évoquer l'ensemble d'application auquel celui-ci compte.
En fait, plusieurs entendements sont données par
différents doctrinaires et chercheurs scientifiques, à propos de
la méthode mais l'essentiel c'est d'avoir une idée
générale par rapport à la définition de la
méthode et sa notion. Ainsi, pour arriver à réaliser notre
travail. Nous avons fait recours à des plusieurs méthodes des
parmi lesquelles nous citons :
· L'observation participative par le faite qu'elle nous a
permis de se mêler au groupe de détenus pour bien aborder le
système pénitentiaire. Afin de dénicher les bons et les
mauvais côtés du domaine pénitentiaire, pour ensuite
chercher et tenter de donner les pistes pouvant réparer les mauvais
côtés.
· L'analyse historique de documents de la première
catégorie car sa relate sur le fait même telque notre sujet qui
cadre avec le service pénitentiaire, d'où l'ordonnance n°344
du 17 Septembre 1965 sur le régime applicable aux personnes
détenus en République Démocratique du Congo. Mais !
Les diverses difficultés dans cette ordonnance qui date de longtemps
avec des insuffisances depuis le feu président Joseph KASAVUBU qui est
la période de son élaboration. Donc quant à
l'authenticité ça ne cause pas de difficultés de
l'originalité malgré les fautes et insuffisances qui y peuvent
être remarquables, car les différentes difficultés sont au
niveau de la sincérité et la véracité des
réalités visées par son auteur. Conformément aux
idées du système de quintelie cité par Paul
LAZARSTELD : « qui dit ?; il dit quoi ?; à qui
il dit ça ou à qui il parle ?; avec quel
objectif ?; pour quel effet et qui date de quand ? Donc le
Président Joseph KASAVUBU, s'adressait conformément aux
réalités des gens de son époque ! alors, nous
aujourd'hui nous devons réviser cette ordonnance pour essayer
d'éliminer certaines zones d'ombre qui peuvent y être remarquable.
Dans les soucis de l'adapter à l'actuel loi sur les droits humains,
modèle pour concevoir un régime pénitentiaire moderne.
D'où le passé est parfois important pour s'y
référer, pour éclairer le présent et pour
préparer l'avenir. Nous continuons à soutenir la méthode
d'observation participative dont nous avons fait usage pour
l'élaboration de ce travail. Par le faite que notre observation a
été directe à procédure, par le système
d'échantillonnage que nous avons procédépar .
C'est-à-dire nous faisons aussi allusion aux enquêtes et sondages
que nous avons eu à même devant la population carcérale qui
détermine notre cible dans notre recherche.
D'où nous avons eu à entrer en contact avec les
détenus de la maison d'arrêt de Boma, ceux du camp de
détention de Buluo et les détenus de la prison centrale de la
Kasapa.
Notre Terrain de recherche par excellence car ce travail est
rédigé sur terrain dans l'une de locaux stratégiques du
camp de détention de Buluo comme cela où nous nous sommes
fixés notre Etat -major de notre recherche pour nous permettre de
balayer les différentes difficultés que nous pourrions rencontrer
dans notre parcours de recherche visant la rédaction d'un travail ici
présent. Ainsi, donc dans cet ouvrage nous sommes entre le terrain et la
bibliothèque. D'ailleurs il est dit que dans la rédaction d'un
travail scientifique après la bibliothèque, ce mieux de sembler
oublier la bibliothèque pour sembler privilégier le terrain afin
l'on pourrait faire recours à la bibliothèque au moment voulu. De
tout ce qui précède, ça nous pousse à
évoquer l'idée d'un observateur actif dans la chambre d'un camp
de détention. Sur l'étendue de la République
Démocratique du Congo. La population interrogée dans ce travail
est de 30% de la population carcérale, par interview aux détenus
et aux leaders dans ce domaine. Nous évoquons la marge correcte qui est
de 95% après les enquêtes et sondages sur le 30% de la population
détenu dans le camp de détention de BULUO, dans la maison de
d'arrêt de BOMA et dans la prison de KAPASA. Ainsi concernant la marge
d'erreur sans pour autant faire appel à la méthode de quotas que
nous avons semblé ne pas appliquer pour privilégier le
questionnaire pour chercher les réponses écrites par nous
même à provenance de nos interlocuteurs écrite après
notre intime conviction et nous avions eu a acheminé le questionnaire de
nous-même vers les destinateurs. Après, nous avions
remarqué que la marge d'erreur dans les réponses nous fournis est
de 5% (20(*)). A titre de
cette rubrique d'approche méthodologique nous avons fait appel à
la méthode d'analyse systémique qui est important dans ce travail
car nous avons pensé aussi à la méthode fonctionnelle du
système pénitentiaire en RDC. Donc tout ce qui a de connotation
ont service pénitentiaire nous intéresse dans le changement et
reforme souhaite dans ce travail. Voyons GUY ROCHER qui définit la
méthode d'analyse systémique comme étant toute recherche
théorique ou empirique qui part du postulat par lequel la
réalité social présente le caractère d'un
système pour expliquer et interpréter les relations
d'interdépendance entre eux.ils s'influencent mutuellement. Il faut les
indicatifs du système d'où nous citons les détenus, les
structures aux milieux carcérale et le personnel pénitentiaire
sans oublié la réglementation pénitentiaire en
République Démocratique du Congo. Bref, nous évoquons les
relations du domaine avec d'autres environnant.
4.2. TECHNIQUE DE RECHERCHE
La technique se complète à la méthode,
car la technique est un moyen utilisé pour collectionner les
données dans ce but ultime, le choix d'une technique, son utilisation
est étroitement liés non-seulement aux hypothèses de
travail et aux définitions explicites ou implicites que le chercheur
fait usage dans son domaine de recherche. La technique de recherche est toute
démarche aux explications à caractère scientifique,
l'utilisation de procédure aux procédés rigoureux bien
définit, transmissibles voir mêmes d'une manière
transparente, susceptible d'être adapté en genre de
problème à résoudre ou en cause qui pour nous est
l'étude des détenus et la réforme du système
pénitentiaire (21(*)).
A cet effet, nous avons fait recours aux techniques
suivantes : la technique d'observation qui selon CAP LOW qui distingue
l'observation directe, indirecte, libre, dirige participante ou participative
et documentaire. De notre part dans les techniques pour réaliser ce
travail de mémoire de deuxième licence en droit public.
Ainsi,actez que nous avons fait usage de toutes ses composantes de
l'observation. Sans oublié que parmi les différentes distinctions
des observations énumérées par CAP LOW, nous avons fait
usage sauf la technique de l'observation libre car comme le disait l'homme
scientifique sud-Africain(e) Pither HABRAHAM, je ne suis pas un homme libre,
mais néanmoins la technique qui est l'observation participative nous a
permis de réussir à récolter les données,
après l'analyse systématique en est suivis. Comme le disait Henri
Bergson, philosophe (1859-1941), qui par sa doctrine il enseigne que :
`'pour mieux connaitre comment fonctionne un système, il faut vous
payez un transport pour vous transportez dedans'' (22(*)). Compte tenue des
idées du général Anglais : ROBERT SMITH STEFN SON
BADEN POWELL, fondateur du mouvement SCOUT (Servir, Courtoisie,
Obéissance, Union, Travail.) Pour lui : « il faut rendre
le monde plus meilleur, dont vous l'avez trouvé ». D'où
nous voyons ici le monde pénitentiaire pour les détenus de la
RDC, qui gangrenant tant des confusions et des injustices laissé parfois
pour compte.
5. DELIMITATION DU TRAVAIL
En vue d'assouplir et compte tenue de la matière que
nous possédons, nous avons pris comme borne dans le temps comme dans
l'espace, cela dans le but de produire un travail scientifique de meilleur
qualité rigoureux23(*).
5.1. DELIMITATION DANS
L'ESPACE
Géographiquement notre travail se situe dans l'actuel
province du Haut-Katanga et la matière s'étend sur toute les
territoires de la RDC pour afin éclairer le continent d'Afrique24(*) et le reste du monde car le
recherche continuera dans le domaine pénitentiaire mondial après
notre travail de mémoire ici présent concentré en
République Démocratique du Congo.
5.2. DELIMITATION DANS LE
TEMPS
Notre travail va du jour de notre arrivé dans la maison
d'Arrêt de Boma Jusque le jour de sa défense. Donc ce travail va
de 2017 jusqu'à 2021. En effet, nous étions arrivé pour la
première fois dans la maison de BOMA un certain vendredi, le
22/septembre/2017 pour y sortir le vendredi 29/12/2017 à 14h30'.
5.3. DELIMITATION SELON LA
MATIERE
Vu que le champ pénitentiaire est très vaste,
ainsi notre recherche est concentrée essentiellement sur les
idées qui vise la réforme du système pénitentiaire
afin de rendre clair et compréhensible pour un meilleur résultat
meilleur en République Démocratique du Congo. Donc, tout ce qui a
des connotations aux droits de détenus et la problématique de la
réforme du système pénitentiaire depuis sa création
avant l'indépendance du Congo Kinshasa jusqu'à nos jours. Tels
est la délimitation de notre travail selon la matière du sujet
qui nous intéresse qui est :
« Nécessité de réforme du
système pénitentiaire en RDC (Une étude des droits des
détenus dans la maison d'arrêt, le camp de détention et la
prison) ».
6. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Pour pouvoir se rendre compte de l'agencement des
idées, il est vrai que notre travail scientifique ici présent,
nous avons jugé mieux de le subdivisé à trois chapitres
qui contient chacun des sections, paragraphes, des points et des sous points.
Autre l'introduction générale, la conclusion, les
considérations critiques.
En annexe les idées contenues dans notre mini TFC de G2
intitulé : « la vengeance non-violence
libérateur » qui vas compléter les idées
prévues, pour mettre les points sur les Xs et compléter les
idées prévues dans ce travail de mémoire ici
présent qui vas se limiter à son point final par l'index qui
vient après la bibliographie et l'annexe que nous avons
inséré entre la conclusion et la Bibliographie car la table de
matière a été placé parmi les pages
préliminaires, parmi les pages de la première position dans le
travail ici présent conformément aux indications contenus dans
l'ouvrage de pierre Felix KANDOLO ON'UFUKU WA KANDOLO. Dans son ouvrage
intitulé : Guide KANDOLO, méthodes et règles de
rédaction d'un travail de recherche en droit, Beau Bassin, (Mauritius),
éditions universitaires Européennes, 2018.Ainsi, sans plus
tardé passons au premier chapitre dans ce travail de notre
mémoire.
CHAPITRE I : LES
CONSIDERATIONS GENERALES
Section 1 : DOMAINE
PENITENTIAIRE
La définition du domaine pénitentiaire est
attendue comme étant l'ensemble des règles régissant la
vie dans la société pénitentiaire (25(*)). Ainsi, de ce qui concerne le
domaine du Droit pénitentiaire, par la suite dans l'objet de la
pénitence pour nous. C'est tout (es) ce qui a de connotation
pénitentiaire et carcéral, les organes de l'administrations et
structure pénitentiaire pour assurer la continuité et
l'amélioration des objectifs des maisons d'arrêt, des prisons et
des camps de détention. Bref, nous voyons aussi les personnes physiques
qui animent le service pénitentiaire. Tels que les détenus et
consort.
Nous évoquons l'idée de tous les organes
pénitentiaires à tout leur niveau partout où il se trouve
et qui sont reconnus légalement car règlementer et doter d'un
pouvoir exceptionnel par les autorités compétente de pouvoir
procédé à des arrestations et détentions des
personnes supposé être délinquant. La détention doit
être d'une période déterminée par la loi car ce
déjà préétablie.
Ici nous n'allons pas passer sans signaler que d'autres
doctrinaires et chercheurs scientifiques dans le champ pénitentiaire tel
que le général militaire LIKULYA BULONGO, pour lui, il dit qu'il
est difficile de définir ce qui est le domaine pénitentiaire,
mais au moins il dit qu'on peut donner des traces de définition.
D'où il parle des quelques traces pour faire allusion au domaine
pénitentiaire. Il cite : l'ensemble des règles qui
régissent la vie carcéral du milieu pénitentiaire, et il
parle à terme de la pénologie (26(*)). Donc, pour le général LIKULYA le
domaine pénitentiaire est synonyme de la pénologie car c'est un
domaine qui étudie scientifiquement par-là les traitements
curatif et préventif de la délinquance.
De la part de EDMARD, il dit que le palais de la justice sont
de palais des obligations tels que les palais au structure pénitentiaire
(27(*)). Alors, pour
éclairer notre sujet nous étant que auteur de ce présent
travail qui cadre avec le domaine dont il est débat ici. Donc,
après des nombreuses recherche et constants ce qui nous permet de
définir la pénitence dans l'optique de notre domaine de recherche
tout comme en religion.
v « La pénitence » qui signifie la
repentance d'un pécheur aliène par le péché.
Tandis que dans l'angle de notre sujet qui est dans le domaine sous
étude. La pénitence signifie « l'amendement d'un
infracteur », détenus qui reconnait sa faute et qui est
prêt a demandé pardon comme qui dire qu'un pécheur
prêt a confessé ses péchés ou fautes. Donc sa
conscience qui lui reproche de quelque chose de mauvais et qui suscite à
lui le changement pour se retourner vers les biens en invitant le mal qui met
sa vie en équation en risque et périls car le service
pénitentiaire que nous avons eu a mené de recherche à se
transportant dedans comme le disait le philosophe Henri Bergson et nous avons
constaté que parfois le service pénitentiaire est sans
pitié... donc, il faut invité sont là les termes que nous
sous entendons dans le domaine pénitentiaire, sans oublié sont
personnelle qui le compose (28(*)).
v Le mot pénitence sur le plan religieux et sur le plan
de la science dans le domaine dont il est question dans ce travail sa peut
signifier aussi : la punition, châtiment, peine, condamnation,
sanction, correction, donation et répression et j'en passe. Mais le tout
visant le changement de détenus qui se reconnait coupable avis des
s'amande et laisse ce dont il est reproché pour regagner la confiance
qu'il (elle) prétende perdre, surtout qu'une faute avouée est
à moitié pardonnée dit-on ! (29(*)).
§1. LE DETENUS
Un détenus est une personne arrêté de la
liberté d'aller et de revenir et il est mis à la disposition de
l'Etat via l'Appareil Judiciaire afin de répondre comme responsable ou
civilement responsable aux incriminations dont il est accusé, sans
oublier que le même terme dans d'autre cas signifie aussi prisonnier,
captif, otage, interné, prévenu, bagnard, déporté
et disposé.
A. L'ETUDE
Est compris comme un travail de l'esprit qui consiste à
prendre ou à approfondir quelque chose. Selon le dictionnaire petit
Larousse (30(*)),
l'étude est l'ensemble des travaux qui précèdent,
préparent l'exécution d'un projet, ce même terme a
été définit aussi par un auteur Gérard CARNU, comme
étant un examen approfondi d'une affaire, d'un dossier qui est souvent
pendant un temps de recherche et de réflexion (31(*)). Le préalable d'une
décision ou d'une initiative. Quant à nous, étant que
auteur actif dans le travail présent nous disons que l'étude est
un examen ou un analyse d'une manière attentivement pour faire l'examen,
la prospection, le sondage, l'information pour l'approfondissement et la
poursuite d'une idée à vis de trouvé une réponse
à un problème posé, après avoir creusé la
question.
B. DROITS
Le droit est définit par Léon KANKONDE, dans le
cours de droit civil des obligations : Le droit est compris étant
comme un ensemble des prérogatifs reconnues en une personne de faire ou
de ne pas faire quelque chose.
Quant à nous : Dauphin KAMBALE, auteur de ce
présent travail, nous marions ses idées dans la mesure où
nous parlons des droits des détenus dans ce présent travail de
mémoire à deuxième licence. Sont les droits reconnus aux
détenus d'une manière directe, rectiligne, tendu, débout,
vertical, abrupt, perpendiculaire. Malgré que nous avons semblé
constatés que tous ces droits reconnus aux détenus semblent
être courbé pour ne pèse que sur eux car ayant comme qui
dirait que des devoirs sans droit qui leur est reconnus étant que
être humain.
Section 2. DE L'ANALYSE
SYSTEMIQUE
L'analyse systémique est définit par GUY ROCHER,
comme étant toute recherche théorique ou empirique qui part du
postulant par laquelle la réalité sociale présente le
caractère de système pour expliquer et interpréter les
relations d'interdépendances entre eux.Surtout que les
éléments d'un système s'influencent mutuellement.
Quant à nous, nous disons que après l'analyse
des éléments du système qui doit s'identifier suite aux
indicatifs du système concerné et ses relations avec les milieux
environnants d'eux. Alors nous voyons l'enseignement, des leçons qui
précepte les doctrines et consort.
a) LE CHAMP OU DOMAINE
Est un étendu qui peut être
déterminé dans le temps et dans l'espace à cette
étendu doit avoir des appartenances ou indicatifs bien déterminer
dans les pensées comme dans la réalité du système
concerné. D'où comme indicatif du domaine nous avons le
terme : propriété, succession, jouissance, usage, bien,
patrimoine, héritage et capital.
Sélection 3. LA
REFORME
La réforme est sous attendu ici comme le remaniement
dans un système bien déterminé ou tout simplement un
changement en utilisant d'autres méthodes nouvelles, mais qui se base
à celle préexistante dans le but de rendre plus meilleur a
redressant un domaine donné contre les lacunes ou insuffisances, qui
peuvent être remarquable dans ce qui est préexistant.
Dans le but de bien vouloir faire adapter les méthodes
aux réalités actuelles et pour balayer les lacunes. Notez que les
nouveaux méthodes de leurs tour doit aussi répondre et adapter
aux circonstances et réalité du moment présent dans ce
système concerné par la réforme.
Le terme réforme signifie aussi :
l'amélioration, progrès, mieux et perfectionnement dans un bon
sens adapté au système qui est synonyme d'affermissement,
rénovation, rétablissement et réhabilitation via
bonification d'un domaine au système donné.
LES MAISONS D'ARRET
Sont des bâtiments ou structures pénitentiaires
qui normalement et conformément à la théorie de Dauphin
KAMBALE dans ce travail de mémoire en droit public car après
avoir fouiné via plusieurs recherche dans le domaine de
l'université carcéral que d'autres auteurs appelle univers ou
milieu carcéral. Nous avons constaté que clairement, normalement
et logiquement les maisons d'Arrêts sont destinées à
recevoir les personnes détenus non encore condamné
c'est-à-dire les prévenus sans oublié que les
détenus suspects sont devant l'officier de la police Judiciaire dans les
Amigos, les CIAT(s), sous-CIATS, synonyme des cachots devant les OPJ et IPJ.
· LES
PRISONS
Sont des établissements ou structures
pénitentiaires par excellence destiné à recevoir les
détenus condamné, sans oublié que les condamnés
avec sursis peut passer leurs peine en dehors de cette dernière
contrairement aux condamnés par défaut qui doivent être
cherché et mis en prison pour y purger leurs peines. Notez que la
condamnation avec sursis est la décision du tribunal qui dit qu'un
condamné sursitaire peut passer sa condamnation en dehors de la prison,
mais il y a des conditions pour un détenu d'en être
bénéficiaire.
Tandis que la condamnation d'une partie à son absence,
une telle condamnation est appelé une condamnation par défaut
lorsque. Autrement dit, lorsque le Tribunal rendant une décision qui
condamne une partie absente à l'audience. D'où il faut un mandat
de prise de corps a fait d'emprisonnement. Autrement dit pour mettre à
détention la partie qui a été condamné par
défaut. Donc, pour qu'elle soit admise dans le milieu
pénitentiaire qui est la prison dans ce cas, après son
arrestation, il faut la réquisition afin d'emprisonnement (RAE en sigle)
pour rendre son emprisonnement légale et régulière tout
comme il faut un mandat de dépôts pour qu'un détenus puisse
être admis dans un établissement pénitentiaire. Donc, nul
ne peut pas être placé dans la Prison d'une manière
illégale et irrégulière c'est-à-dire sans document
officiel justifiant sa détention. Si non le commanditaire avec les
complices de cette détention risque d'engage aussi leur
responsabilité pour détention arbitraire. A ce qui concerne les
prisons ici citons l'exemple de la prison de KASAPA à Lubumbashi.
· LES
CAMPS DE
·
DETENTION
Sont des bâtiments pénitentiaires
disponibilisé pour recevoir normalement les détenus qui se sont
déjà amandé et qui prépare leur réinsertion
dans la société libre. Et ce dans le camp de détention que
le détenu doit être bien outils par l'apprentissage de certains
métiers professionnelle selon ses aptitudes pour préparer sa
réinsertion digne dans la société non carcérale. A
ce qui concerne les camps de détention ici nous citons l'exemple du camp
de détention de BULUO notez que le camp de détention doit avoir
un grand terrain ou une grande étendue de sa parcelle pour permettre
à l'Etat de construire une très grande clôture et bien
électrifié. D'où parmi les réformes souhaite par
l'auteur, nous évoquons aussi l'idée de la sécurité
par le système d'électrification des murs comme était le
cas lors de la création et la construction du camp de détention
de BULUO par les blancs, malheureusement l'homme noir non évolué
ne-ce pas gardé en bonne étant les choses publiques de l'Etat car
actuellement ce système d'électrification des murs pour une
sécurité efficace, sont à nos jours complétement en
endommager au détriment de la haute sécurité. Chose qui
nécessite une réparation parmi les buts de la
matérialisation de la réforme dans le système
pénitentiaire. Donc, l'Etat doit construire une très grande
clôture qui contienne plusieurs Ateliers d'apprentissage des
métiers professionnels pour valoriser les détenus pour leur
permettre de rendre certains services à la société
congolaise et pourquoi pas devenir utile pour eux-mêmes car ce le travail
qui garantit l'indépendance et rendre la vie meilleur. De tout ce qui
précède, voici d'autres idées similaire aux
précédentes d'une manière enchainer pour bien
éclairer ce premier chapitre de notre travail de mémoire qui
concerne la réforme dans le domaine qui a de mot-clé qui sont
sensible pour l'indicatif du domaine pénitentiaire tels que les
mots : Prison, maison d'Arrêt, détenus, etc.
§2. ETUDE DE DETENUS
Il est bien connu que le détenus sont toutes ces
personnes admises dans un établissement pénitentiaire car
privé de leur liberté d'aller et de revenir indépendamment
de la nature ou de la gravité de la mesure prononcée contre eux,
néanmoins ils doivent bénéficier des droits qui leurs sont
reconnus et qui est garanti par la loi. Malheureusement c'est avec un grand
regret que nous constatons que même leurs droits fondamentaux qui leur
est garantie par les droits humains. Chose grave nous constatons que tous ces
droits sont violés et violente parfois par ceux qui sont censé
veiller sur leurs respects et nous nous posons même des questions de
savoir pourquoi le système pénitentiaire congolais ne veulent pas
les octroyer cette mesure des prérogatifs qui est reconnu aux
détenus dans les établissements pénitentiaires ?
Soit, il conviendrait de changer le nom ou le terme détenu tout court
pour y ajouter et commencer à parlé des « hommes sans
valeur à l'Etat et la société ». Mais ce qui est
mieux est la réforme qui vise le changement comportementale des
autorités compétentes dans le système pénitentiaire
pour se soucier du bien être de détenus, surtout pour veiller au
respect de leurs droits qui leurs sont garantis par beaucoup des instruments
légal national qu'international.le concept détenu nous renvoie
à la notion de détention qui est un état d'une personne
incarcéré privé de liberté d'aller et de revenir.
Notez qu'il n'y a que des auteurs d'infractions et coauteurs ou complices qui
peuvent être mise en état de détention après avoir
été arrêté conformément aux procédures
de l'arrestation et de la détention sans oublié que la
détention peut être préventive et temporaire, soit une
détention peut être préventive et définitive.
Préventive car sa prive certain liberté à
la personne détenu prévenu, le détenu condamné et
un détenu amandé après un certain temps de sa
détention quand il reconnait sa faute et il manifeste les signes de sa
disponibilité pour confesser et de ne plus commettre le mal qui lui
été reproché ainsi on parle d'un détenu
amandé. Notez que la détention définitive, c'est quand l
s'agit d'une décision d'un Jugement qui sanctionne une personne reconnu
coupable après l'épuisementde tous ces moyens de défense,
condamnation infligeant une peine déterminé par la loi.
Un prévenu normalement, il ne doit pas subir une peine
comme un condamné car la détention d'un prévenu c'est
juste pour raison d'enquête. Alors, s'il parvient à être
acquitté, il lui faut normalement une indemnisation car la
détention d'une personne ne se termine pas sans causée
préjudices.
§3. LA DETENTION
PREVENTIVE
La détention préventive est une mesure
exceptionnelle, elle est une mise en application lorsqu'il existe des indices
sérieux de culpabilité contre une personne poursuivis à
justice, et le fait qui pèse sur l'accusé doit constituer une
infraction que la loi puni ou réprime d'une peine de servitude
pénal supérieur à 7 jours et s'il y a lieu de crainte de
la fuite ou si l'identité de la personne poursuivi est douteuse soit
inconnu. Dans des tels cas la détention préventive est
impérieusement réclamée pour l'intérêt de la
sécurité dans la société. Cette mesure de
détention préventive se différencie d'autres mesures telle
que les détentions administrative, l'hospitalisation d'office,
l'internement psychiatrique, la détention en raison de l'état
d'ivresse et la détention de demander d'asile dans les zones
internationales (soit pour organiser leur expulsions soit pour examiner leur
demande). Dans le cadre de la procédure générale, la
prévention de liberté par la garde à vue est
fondamentalement différente du régime de la détention sous
examen dans ce travail. Car la garde à vue peut être
décidée par l'officier de la police judiciaire durant
l'enquête policière ou partout autre autorité
compétente afin de recueillir rapidement les preuves de l'information.
Alors que la détention préventive qui est
ordonné par l'OMP par exemple dans le cadre d'une instruction du
dossier. La détention préventive à de multiples facettes
nous avons vu que cette contrainte peut être utilisé à
l'instruction et à la garde de a sécurité du publique car
elle empêche le suspect tout comme l'inculpé de faire disparaitre
aussi les traces du crime, de subordonner les témoins comme
signalé dans le code pénal congolais à son article 129, de
concerter avec ses complices. Nous sommes dans une société
où la population demande toujours une réponse au moins une
réaction immédiate face aux actes criminels notamment ceux qui
sont visible et spectaculaire (la violence, les crimes en bande organisé
selon les enseignements de la criminologie général enseigne
à l'UNILI G3 Droit par le C.T. Paul MUTOMBO LUBILANDJI (32(*)). Alors il arrive que le
magistrat instructeur du dossier ait recours à la détention comme
une arme et peine anticipé lorsqu'il dispose suffisamment de charge
contre la personne mise en examen de la justice, mais cela n'empêche que
l'infraction de la détention arbitraire si cette arrestation est
à l'encontre des règles préétablis d'où il
ne faut pas aller à l'encontre de la loi pour inviter d'engage aussi sa
responsabilité.
3.1. LA DETENTION
Elle doit être réclamée par une
nécessité de l'insécurité sociale découlant
d'un danger estimé raisonnablement comme presque certain et d'une
gravité exceptionnellesi les buts su évoqué pouvant
être obtenu sans arrestation et sans la mise en détention, tant
mieux. Il va dans soi que le recours à cette mesure est injuste et
injustifié.En général la détention signifie le
maintien d'une personne dans un établissement pénitentiaire
reconnue par l'Etat car c'est à lui qui a le monopole de garantir la
sécurité de sa population, d'où tous les délinquant
sont à la disposition de l'Etat. N'oublie pas que le même terme
détention signifie : possession, acquisition, disposition,
maitrisé, jouissance, usage et propriété.
3.2 PREVENTIVE
Ce terme vient du mot
« prévention » qui est une attitude ou l'ensemble de
mesures à prendre pour priver la liberté et prévenir un
danger soit mettre le délinquant hors l'Etat de nuire. Pour inviter
qu'une situation ne se dégrade pas, un accident, une
épidémie ou une maladie ne survienne pas et surtout est souvent
sa se réalise normalement une prévention qui est une action
avertisseur visant à élimineune situation donnée qui peut
être une faiblesse pressenties dans un système où la cause
d'une non-conformité potentielle et indésirable. Afin
d'empêcher l'apparition de son objectif initiale de l'action
préventive est pour éviter à l'occurrence d'une
non-conformité, mais inclut généralement aussi
l'amélioration de l'efficacité du système comme la justice
par exemple via la pénitence soumis ont détenus compte tenu du
décret d'aout 1959 portant code de la procédure pénale.
§4. DELAI DE LA
DETENTION
4.1. Le délai : est une période, un temps
qu'on laisse pour faire et obtenir quelque chose. Temps reconnu et
nécessaire accordé soit par le cocontractant pour accomplir une
obligation, un acte, comparaître en justice etc. les délais sont
calculer en jours, en mois, parfois en heurs.Bref,le délai en
matière correctionnelle après une exigence d'une procédure
opérant en invitant la personne en cause de présenter
suffisamment ses moyens de défense car le principe est la liberté
et la détention est une exception. Donc, il faut éviter les
différents dégâts lier à la détention.
L'article 9 paragraphe 3 du pacte internationale relatif aux droits civiles et
politiques dispose que : « toute personne a droit à ce
que sa cause soit entendue : ces droits comprend : le droit
d'être jugé dans le délai raisonnable par une juridiction
impartiale » (33(*)).
Section 4. SOUS FORME
HISTORIQUE DE L'HIÉRARCHIE DE L'ADMINISTRATION PENITENTIAIRE EN RDC.
A) Historique du service
pénitentiaire en RDC
L'organisation pénitentiaire en RDC existe belle et
bien avant l'indépendance 34(*)de notre pays, pendant cette période,
l'institution pénitentiaire n'étant pas encore bien
organisée dans notre pays. Il y avait que des peines
« infamantes. » Exemple : un voleur de poule pour le
punir on le faisait circuler en portant cette poule au coup et on le faisait
circuler presque dans tous les villages de son contré environnante
suivis des a clameurs public. C'est ainsi que le 22/04/1890, que le roi de
Belges avait pris le décret ou35(*) il instruira le gouverneur général
résident en RDC (Congo Belge à l'époque),36(*) il instruira de règler
pour la règlementation concernant tout ce qui concerne le régime
pénitentiaire et arrêter sur la matière. Donc le gouverneur
générale avait aussi reçue l'ordre de prendre les
arrêtés pour règlementer et organiser en mettant de l'ordre
dans le règlement disciplinaire préexistant qui était des
peines infamantes. Ainsi, un règlement disciplinaire spécial
seront établi auxquels sont soumis les individus ou personnes
détenus.
Chose dégradante et curie l'homme blanc et le noir qui
étaient chargés de veiller sur les détenus, tous jouer un
même rôle, autrement dit que tous faisait un même travail
mais chose étonnante et dégradante pour montrer son orgueil, le
colon Belge pouvait se prévaloir de commencer à dire que lui seul
est un directeur et que c'est l'homme noir qui est le Gardien. Comme qui dirait
lui, Belges qui pensait qu'un africain et plus précisément un
congolais ne pouvait pas être traité sur le même pied
d'égalité que lui qui a la peau blanche. Or tous faisaient un
même job : celui de veiller sur les détenus. Notez que cette
petite histoire ci-haut qui est considéré comme point de
départ de la règlementation du régime pénitentiaire
dans notre pays le Congo.
B) L'Hiérarchie Administrative du
service pénitentiaire en RDC
Notons que l'administration au niveau central dans ce domaine
est chapoté par le ministre de la justice en collaboration avec le
ministre de la défense nationale. Tous deux dépend du
président de la République entant que chef de toutes les
directions administratives est cela dans tout le domaine administratives et
gouvernemental de la République est tout simplement par ce qu'il est le
numéro un (1) de la République. Après le ministre, nous
avons à la deuxième position « le secrétaire
général à la justice qui est le chef des
directeurs. » Il est fonctionnaire de l'Etat ayant sa matricule, ce
bien lui le patron de l'administration pénitentiaire. Il chapote dans
son Bureau 6 directions central du domaine pénitentiaire.
Premièrement nous avons :
· La direction chargée du personnel et services
généraux et la direction qui engage à donnant des
engagements ou des boulots. D'où, comme le principe est que se la
même main qui donne et se la même main qui révoque. Ainsi la
mise à pied dans ce domaine c'est l'autorité du premier bureau
qui est compétent pour la mise à pied c'est-à-dire il est
compétent pour infliger de punition disciplinaire comme la
suspension.
· Deuxièmement nous avons la direction
compétent ou chargé de culte et ASBL c'est-à-dire les ONG
pour l'octroi de leur attestation légale agréant leursstatuts de
fonctionnement.
· Troisième, nous avons la direction
chargée ou une direction compétente à matière de la
chancellerie est pour vérifier le contentieux, elle est aussi
compétente pour faire la police des cimetières.Pour inviter des
inimantion illégale, non autorisé. Et elle suit de près ou
de loin via ses organes a détachement sur le territoire congolais pour
veiller à l'octroi de sol ou de cimetière.
· Après vient la 4ème direction
qui est maintenant notre domaine de recherche ou notre champ de bataille
scientifique c'est-à-dire que la 4ème direction qui
est une direction compétente à matière
pénitentiaire que nous sommes entre de décortiquer
présentement dans ce travail de mémoire qui a comme sujet qui a
des matières qui semblerait se concentrée à cette
4ème direction. Et cela ou nous trouvons la dépendance
des maisons d'arrêts, les prisons et les camps de détention.
· Après vient la cinquième direction ou
nous avons une direction chargée de s'occuper des enfants à
conflit avec la loi, c'est-à-dire une direction dont dépend les
tribunaux pour enfant et les EGEE qui sont des établissements de garde
et D'éducation de l'Etat ou nous trouvons que ses membres poursuivables
sont des enfants de moins de 18 ans. C'est-à-dire, normalement les
enfants de 14 à moins de 18 ans et inférieur à cet
âge.
· Afin la sixième direction est une
émanation de la compétence administrative à matière
du plan c'est-à-dire compétence administrativeà
matière du plan c'est-à-dire pour faire les projets pourra
assurer et garantir la survie du domaine pénitentiaire qui est la
matière contenue dans la 4eme direction. Tels
estl'hiérarchie pénitentiaire au niveau central.
C) L'HIÉRARCHIE PENITENTIAIRE AU
NIVEAU PROVINCIAL
Notez que celui qui représente le secrétaire
général à matière pénitentiaire qui est du
niveau central à Kinshasa, mais au niveau régional à la
province. Le secrétaire général est
représenté par le chef de division provincial de la justice et
gardes des sceaux. Il y a aussi six (6) bureaux au niveau de la province comme
au niveau central à Kinshasa.
· D'où à la province premièrement
nous avons le chef du bureau chargé du personnel et service
généraux;
· deuxièmement il y a le chef de bureau
chargé de culte, ASBL (association sans but lucratif) et les
organisations non gouvernemental (en sigle ONG).
· Troisièmement le chef de Bureau chargé de
(culte, ASBL), de la chancellerie et il s'occupe aussi de contentieux et il
fait la police de cimetière.
· La 4ème direction est chapoté
par le chef de Bureau qui s'occupe de service pénitentiaires au niveau
provincial.
· La 5ème est la direction
dirigée par le chef de bureau chargé des enfants en conflit avec
la loi.
· Et afin à la
sixième(6ème) Position des directions provinciaux,
nous avons le divisionnaire ou le chef chargé du plan pour les
projets.
N.B : il est mieux de retenir que : l'appellation au
titre de « Directeur » est une fonction, tandis que
l'appellation au titre de « secrétaire général
ou chef de divisionnaireautrement dit chef de division » :
toutes ces qualifications sont de grades.Sans oublier que le ministre de la
justice sa fonction et son appellation dépend d'une province en une
autre.tels que l'exemple d'exception de la province du Nord-Kivu où le
ministre de la défense sembleêtre différent de celui de la
justice comparativement à la province du Haut-Katanga où le
Ministre de la justice parfois sa fonction se confond à celui du
ministre de la défense dans le domaine pénitentiaire dans ses
actes.
CHAPITRE II : APERCU
GENERAL DE L'APPLICABILITE DE LA PENITENCE DANS LES ETABLISSEMENTS
PENITENTAIRES DE LA RDC
Sélection 1.
ORGANIGRAMME DE (BOMA, KASAPA et BULUO.)
Le système ou cycle complet dans le milieu d'isolement,
consacré à la rééducation et l'amendement de
détenus pour bien diagnostiquer leur délinquance. Alors, le temps
nous ai profitable de donner l'organigramme dans l'ensemble de ces trois sortes
d'établissements pénitentiaires comme bien rangé dans la
1ère section ci-Haut c'est-à-dire :
1. la maison d'Arrêt ;
2. La prison proprement dite ; et
3. le camp de détention.
Vu que les structures pénitentiaires sont là
pour servir comme milieu destiné à l'accueille de détenu
chacun(e) dans son établissement selon son statut de détention ou
selon qu'il est détenu prévenu, détenu condamné et
détenu amandée etc. normalement, comme la loi le dit que un
accusé doit être devant sont juge naturel. Ainsi chaque
catégories de détenus doit être placé dans un
établissement qui convient à sa catégorie de
détenu.
Comme tous les établissements pénitentiaires
poursuive presque lesmêmes objectifs, malgré les mérites de
chaque catégorie d'entre eux de recevoir telle ou telle autre
catégorie de détenu. Nous constatons que les attributions et
mérites de chaque établissement pénitentiaire sa contribue
pour atteindre l'objectif principal du service pénitentiaire et cet
objectif Général du service Pénitentiaire est
bidimensionnel c'est-à-dire :- la rééducation et - la
réinsertion social.car l'amendement semble être inclus dans la
rééducation.
Bref : la réinsertion social doit normalement
venir après l'amendement qui est incluse dans la
rééducation. D'une manière générale car nous
avons fait allusion envers les autres établissements
pénitentiaires restant en RDC car après tant de recherche pendant
notre observation directe dans la maison d'arrêt BOMA à Likasi, la
Prison de KASAPA et dans le camps de détention de BULUO, pour
s'acquérir de leur structure administrative et leur organisation
interne. Nous avons constaté ce qui suit concernant leur organisation
administrative qui a présenté un même ordre
organisationnelle et administratif.
1) Le bureau de directeur titulaire ;
2) Le bureau de directeur adjoint sans oublier qu'ils peuvent
être deux ou plusieurs directeurs adjoints soit un seul ;
3) Le bureau du personnel chargé des projets
(élaborations et faire le suivis) ;
4) Le bureau du personnel chargé de
l'éducation ;
5) Le bureau du personnel chargé de l'inspection et
statistique ;
6) Le bureau du personnel chargé de la surveillance
(sont des surveillants) ;
7) Le secrétariat ;
8) Le greffe civil ;
9) Le greffe au quartier militaire qui dépend de la
juridiction militaire pour s'acquérir de la situation des détenus
de juridiction militaire ;
10) Le cabinet médical ;
11) Le magasin
12) Le butin de saisie ;
13) Le dépôt de produits agricole et consort pour
l'apprentissage des différents métiers pour les
détenus.
Pour éclaircir l'interdépendance de ces
différents bureaux qui comporte un structure pénitentiaire sur le
plan organisationnel interne. Voici l'organigramme qui contient les bureaux qui
sont interdépendant.
Tableau I: ORGANIGRAMME TYPE D'UN ETABLISSEMENT
PENITENTIAIRE
Directeur Titulaire
Directeur adjoint
Quartier ou greffe militaire
Surveillance
Greffe ou secrétariat général
Projet et relation publique
Inspection et statistique
Cabinet médical
Butin et saisie
Marechaire et consort
Corps éducatif ou éducationnel
Secrétariat secondaire différent du greffe
Dans cette partie consacrée à l'organisation
interne de l'administration type d'un établissement carcéral ou
pénitentiaire sous le commandement du directeur de
l'établissement carcéral ou pénitentiaire. Ainsi, nous
venons et nous allons donner les idées sous formes de la perspective qui
fera un traçage d'interdépendance des actes
considéré comme organisationnel de l'Etablissement
pénitentiaire.
Quant aux mesures en interne ça ne doit pas
nécessairement violé ou porté atteinte aux droits reconnus
aux détenus.Chose regrettable, nous avons constaté que parfois le
milieu carcéral sont de fois transformé à des lieux des
violences faite aux détenus, d'abord entre-eux-mêmes suite aux
différentes postes et fonctions ter-à-ter qui peuvent leurs
être attribué parfois suite à l'insuffisance de la main
d'oeuvre du personnelle pénitentiaire. Alors si nous allons un peu loin
dans les raisonnements, nous constatons que sont les autorités qui leurs
nomme à ce poste qui en est responsable de leurs actes.
Surtout que au regard de la loi, nous trouvons que les
détenus ont des devoirs et des droits. Mais ! malheureusement leurs
droits sont parfois foulé aux pieds du jours les jours au
détriment de la violation des dispositions légales interne et
international conforme aux droits humains.Pour garantir les droits fondamentaux
inhérents à l'être humain partout où il se trouve.
Donc des telles prérogatives ne doive pas normalement être
violé en aucun cas. pour dire que les mesures d'organisation interne
d'un milieu carcéral doit être bien prise par le directeur et doit
être bien exécute dans l'objectif de garantir le bien être
du détenu.etcela ne causerait pas des problèmes, tant mieux, pour
assurer le respect, le bien être présent et avenir du
détenus dans son milieu carcéral qui doit survivre tout en visant
son objectif de la rééducation et la réinsertion sociale
digne. Donc, non en une organisation interne qui initié les
détenus en une sorte de banditismes et délinquance aiguë
dans les milieux supposés être correctionnelle et modificatrice
pour les bonnes moeurs et comportements digne d'un bon citoyen. Donc à
ce point l'organisation interne doit être conçue dans
l'intérêt du public et non à poursuivant des
intérêts égoïstes des particuliers.
Vue l'importance d'une bonne organisation interne, ainsi nous
trouvons que ce mieux de faire d'abord une formation de la matière sur
les droits humains avant son élaboration, une formation
instantanée aux personnelles pénitentiaires et d'une
manière rigoureuse pour rappeler à la conscience de tous. Et aux
autorités compétentes d'érigée les règles et
sanctions modèle et disciplinaires pour la personne employer,
mandaté soit un tiers pour vu que les droits de l'homme soit
respecté dans les établissements pénitentiaire.
Vu que les détenus sont parfois
considérée comme des êtres vulnérable, sans
défense nécessaire ni droits à la liberté, à
la stabilité intellectuelle de pouvoir réfléchir avec une
mémoire sécurise ! Vraiment le respect de droit de
détenu doit être d'une manière impérieuse pour
mettre fin aux confusions actuel dans les milieux du service
pénitentiaire.
Normalement il faut lancer des ateliers de formations de
droits humains par les autorités compétentes ou personnelles
pénitentiaires dans le soucie de la réforme mentale et
comportementale de la composition pénitentiaire avant de passer aux
structures pour s'attendre à un bon résultat dans le domaine
pénitentiaire qui a un rôle très important dans la
société. Il faut doter une connaissance suffisante en
matière de droit de l'homme car vous trouverait premièrement les
surveillants qui sont secondé entre eux dans leurs rôles. Et nous
constatons que leur travail et poste sont parfois préétablis par
le directeur de l'établissement. Donc, ces derniers surveillant, entant
qu'oeil et oreille du directeur qui est le gardien qui veuille sur les
détenus. Mais, cela n'empêche pas que chacun soit chef à
son niveau àcondition quelles actes posés ne soit pas contraire
à la loi. Nous supposons que le non-respect du règlement par
d'autres détenus, impliquerait directement ou indirectement la
responsabilité sur la surveillance qui est l'oeil et l'oreille de
directeur qui le chef numéro un (1) de l'établissement
pénitentiaire dont il est affecté par l'Etat congolais.
Ce qui est vrai de nos jours les détenus sont victimes
de plusieurs violences et dépressions psychologique. Le quelque
violences pouvant être énumérer par exemple :
- chaque détenus dès son arrivée est
accueilli par les anciens détenus moyennant des gifles qui peuvent
s'effectuerpendant la journée et surtout nocturne via leurs sales
habitudes qui se nomme `'TWANDA''par exemple dans la maison d'Arrêt de
BOMA et à la Prison de KASAPA cette pratique on dirait démoniaque
est dénommé `'histoire y a Ba peuple''. D'où parfois les
coups et blessure volontaire si non la dépression et tourmentisme
psychologique causé par beaucoup des terreurs aiguë et
exagérée. Comme ces tous les jours aussi longtemps que la
catégorie de détenus concernée par ces violences n'aura
pas donné ce qu'on appelle localement dans ce système `'frais des
consignes''. Vraiment dommage ! car les anciens détenus appelle
localement dans le milieu carcéral « les
diasporas », ils ont embêté Beaucoup les nouveau
détenus qu'il dénomme (TUBAMBWIRI) car eux étant
qu'anciens ils se nomme (diaspora) alors ils vont exiger voir même
exagérée aux nouveaux (MBWIRI) de lancer des cries inutiles tout
on long de la nuit par exemple à leurs demandant s'il y a combien des
murs (BIBUMBASHI) dans la cellule ou ils se trouve, est le nouveau doit
répondre qu'il aurait 5 murs c'est-à-dire le 4 murs plus le
pavement du ciment que eux considèrent comme 5ème
murs, tout en considérant le pavement du ciment comme leur table
à manger sur et à même temps comme leurs lit pour y
dormir.
Il ne faut pas oublier de citer le béton armée
ou plafond qui est considéré comme juge de mort par d'autres
détenus dans la mesure ou pour les anciens détenus, il est facile
de tuer un autre détenu en le faisant monter au béton
armée ou plafond. Une mauvaise pratique qui était souvent
utilisé par le dénommé VOVIVO et KATAFUMBWA qui
était des anciens détenus à BOMA et ils étaient des
condamnés à perpétuité et consort. Ainsi, les
anciens détenus pouvait ordonner qu'un autre détenus puisse
monter, soit on lui fait monter et s'accrocher sur le béton armé
au plafond, puis par après il pouvait mettre une casserole rempli d'eaux
bouillante en dessous alors celui qui est accroché au plafond si sa lui
arrive de se fatiguer il pourrait même tomber sous l'eau bouillante, et
cela ils expliquaient en disant qu'ils veulent lui donné un coeur dure,
or nous avions constaté après plusieurs recherches que
c'était dans le but de rançonner l'argent par force via les
violence intimidatrice et en poussant de crie inutile et monotone surtout pour
animer ce qu'ils appelle TWANDA.un système ou cérémonie
qu'ils appellent `'TWANDA'' qui est déjà devenue comme une
coutume gênante suite a des cries continuelle du jour au jour tout on
long de la nuit surtout dans des cellules considéré comme
destiné aux détenus sans argents pour payer le frais de
consignation pour leur protection. Et cela est devenu comme une tradition dans
certaines établissements pénitentiaires car il est dit par les
anciens qui parles aux nouveaux détenus que la pénitence ou le
`'BULOKO'' vas ensemble avec l'argent. Pourtant le détenu est à
la disposition de l'Etat et le gouvernement du pays a toujours fait sa part
sauf que, c'est le manque de suivie pour punir les auteurs de violence faite
aux détenus. Alors c'est à la justice et membre de
sécurité. Bref, les autorités compétentes doivent
prendre des dispositions avec comme objectif de mettre fin aux violences faite
aux détenus, et dire non aux traitements dégradant et cruelle
dans les établissements pénitentiaires. Car nous trouvons qu'une
catégorie de détenu négliger qui sont d'office placer dans
de cellules considéré comme misérables sans même
autant tenir compte de quoi le détenu est accusée, car parfois
nous avons constaté que dans la plus part des organisations interne ce
qui compte ce l'argent. Et nous trouvons et constatez les habits de
détenu être changé par d'autres habits contenant des poux.
Tout ça et tout cela même si on peut constatez que la technologie
à évoluer et nous trouvons que le taux de la criminalité a
réellement aussi évolué dans certains
établissements pénitentiaires de la RDC et sa semble
exagérée avec une mauvaise tournure. Donc, il faut une
réforme de façon à faire appliquer le règlement
interne qui doit être aussi adapté ou compatible aux droits
humains. Notez que violé les droits fondamentaux d'un humain c'est
énervé la loi ; et nous trouvons une autre catégorie
des détenus abandonné de leur triste sort, ils dorment dans des
mauvaises conditions et énorme difficultés plus que même
une bête qui en tant son abattoir. Alors un cri d'alarme a disant
même il n'y a pas parfois des lits pour les détenus, mais on
devrait faire quelque chose par des personnes de bonnes volonté pour
essayer d'améliorer un peu leurs conditions étant qu'êtres
humains. Malheureusement vous constaterait que ce sont souvent le détenu
qui mangent misérablement, qui reçoivent difficilement
l'assistance médicale, qui sont chicotte, qui font l'entretien des
installations sanitaires comme les lieux d'aisance (W.C,...). Bref, leurs
état de santé est parfois très précaire et
critique.
Les détenus souvent sont placés dans une
situation complique car a quand de vouloir faire le grand besoin pendant la
nuit, c'est toute une situation qui nécessite beaucoup l'acrobatie, car
aucun détenu ne peut pas sortir en dehors de leurs cellules pendant la
nuit. D'où ce qui leur pouce chacun (es) d'entre-deux à cas de
besoin, le détenu est obligé pendant la nuit de faire son grand
besoin dans un emballage. Donc, un détenu avoir besoin de ce
soulagé que sa soit pour un petit ou grand besoin pendant la nuit, c'est
un scandale voir même un élément ou un
phénomène indésirable pour un détenu car ces
besoins nocturnes est souvent mal satisfait suit en une manque de
prévoyance et une sorte de négligence de la part de l'Etat qui
est représenté dans ce domaine par l'administration
pénitentiaire pour répondre aux multiple nécessités
dans ce domaine. Donc, une bonne administration pénitentiaire doit
être entre l'Etat et le détenu pour faciliter de trouver des
solutions aux préoccupations de part et d'autre c'est-à-dire une
préoccupation entre l'Etat et le détenu. Quant au besoin de faire
la coiffure cet besoin ne pas bien satisfait car ce ne pas bien ordonné
dans de milieu carcéral dans des établissements
pénitentiaires de la RDC, car vous constaterait parfois que deux ou
plusieurs détenus peuvent être coiffé moyennant une
même lame de rasoir, le droit de se laver qui doit être bien
assuré avec toute quiétude pour invité certaines maladie
vulnérable qui existe. Car parfois on peut constater sur la peau des
certains détenus des couches de poudre blanche qui y sont posés
avec l'apparition des mucosités. Encore un autre mal à corriger
est que à chaque fois quand il y a un détenu qui reçoive
des visiteurs venant de l'extérieur qui peut être membre de sa
fille ou une connaissance. Alors si c'est visiteur ne parviennent pas à
lui laisser ou lui donner quelque chose comme argent qui pourra permettre au
détenue qui a été visité de traverser les
différentes barrières érigé à
l'intérieur de l'établissement, pénitentiaire dans un
cadre pure et simple de rançonnage d'argent sur le détenu avant
d'atteindre sa cellule ou dortoirs et d'autres comme à KASAPA on appelle
ça pavillon qui contient des cellules. Notez que même dans sa
cellule comme les détenussont parfois enfermé en commun dans une
même chambre ou cellule. Ainsi, le détenu est appelé voir
même une obligation de donner aussi quelque chose comme contribution pour
qu'il puisse librement jouir de ce qui lui est amené qui peut être
nourriture, argent etc.
Ainsi, nous lançons encore un cri d'alarme et de
sympathie, dans la détresse. Ces aux autorités compétentes
à prendredes processus pour éradiquer cette maladie grave qui
semble datée de longtemps dans le domaine pénitentiaire surtout
que le détenus sont des individus qui semble être dans une affaire
difficile à expliquer et parfois à leur défaveur comme qui
dirait quand on est dans une situation de détention on perd des visions.
Car on est à la disposition de l'Etat via la justice est clairement par
là on ait suppose n'avoir pas d'argent. Alors pourquoi et comment est-ce
possible d'être traité de la sorte, si ce ne pas suite à la
cupidité inconsciente de certains chefs et autorité
pénitentiaire qui favorisant, autorise et tolérée un tel
comportement arbitraire dans le milieu de la pénitence. Donc, cette
sorte d'arrogance et inconscience doivent prendre fin dans les Etablissements
pénitentiaires qui sont contraire aux installations ou
établissements commerciale qui paye d'impôt. Ainsi, cet aux
autorités compétente par exemple de bien vouloir et avoir
l'amabilité de se mettre à la place de détenus et ils
trouveront que c'est ne pas normal de demande l'argent à quelqu'un qui
est enfermé et qui ne fait rien comme travail tout on long de la
journée et à longueur de la nuit,toujours dans la
pénitence entré de méditer. Donc, il faut mettre fin
à tous ces antivaleurs embêtant dans le milieu
pénitentiaire.
Un contrôle régulier est souhaitable comme ledit
l'ordonnance n°344 du 17 septembre 1965 applicable au régime
pénitentiaire soumis aux détenus et conformément à
la charte Africaine de droits humains de 1981, pour qu'afin après avoir
s'acquérir de toutes ces situations illégales qui se passe sous
les yeux et le gros silence des certaines autorités complice pour
favoriser ces antivaleurs.Ainsi, l'autorité compétente devrait
s'acquérir de tout ce qui se passe sur terrain entre détenus
parfois manipuler et torturer les autres détenus, pour les
intérêts parfois égoïste d'un individus ou un petit
groupe des gens qui favorise des antivaleurs.
D'où la réforme nécessitée dans ce
travail veut aussi que l'ancienne méthode puisse être
remplacée par la méthode nouvelle pour voir et faire les choses
autrement dans le domaine pénitentiaire au profit du bienêtre et
la dignité du détenu. Car les bavures posaient par le staff du
capita général communément appelé S.G qui est
exécutant des mauvaises idées des auteurs intellectuelles et
morales. Notez que le S.G est à collaboration avec les surveillants et
la direction. Ainsi, cet au directeur de bien vouloir adapté le
système d'application de l'organisation interne dans la faveur du
respect de droits humains. Sinon il endosserait la responsabilité d'une
manière ou d'une autre vis-à-vis des fautes et erreurs commis car
il est considéré comme civilement responsable. Donc, le directeur
étant que autorité ayant beaucoup des charges, il doit être
une personne qui prie Dieu pour qu'il puisse lui accorder la sagesse et des
bonne manières de veiller sur les gens sous sa surveillance et
responsable des actes posés dans son établissement dont il a la
charge lui confié pour un objectif de favoriser la
rééducation et la réinsertion de détenus dans la
société innocente.
A) LES PEINES INTERNES DANS UN MILIEU
CARCERAL
- La neutralisation : qui a
pour fonction de réparer le mal par le mal c'est-à-dire la
réparation par la teneur du mal commis par le concerner et
c'était pour qu'il arrive à reconnaitre sa faute et
prévenir à demander pardon, mais du côté de la
victime ce qui compte est de chercher un soulagement ;
- La dissuasion : ici nous
avons l'intimidation que la peine peut causer aux détenus ;
- La réadaptation : ce
pour permettre au détenus de se resocialiser après sa
rééducation dans le milieu incarcéral
- Privation de visite et
correspondance sauf celle de son conseil, maître avocat.
- Le cachot :pendant un temps
déterminé ;
- La menotte a quand de
nécessité pour la sécurité.
B) LE SYSTEME D'AFFERMEMENT INTERNE
Ø Le système
pénnsylvanien : C'est un système qui avait
pris naissance au pensyle, il y a très longtemps qui consistait à
mettre chaque détenus dans sa propre cellule pour y passer chaque fois
nuit seul, mais comme le corps de l'homme a besoin de mouvement et le besoin de
s'approcher vers les autres, alors souvent ont laissé les détenus
circuler pendant quelques minutes, et après un laps du temps, puis
on leurs affermées dans leur cellule respective, chacun dans sa
cellule ;
Ø Le système
d'auburnien : un système qui fait laisser les
détenus libre, pendant la journée, mais les enfermant d'une
manière isolée pendant la nuit. D'où ce système
occasionnait beaucoup d'évasion de détenus qui étaient
libre pendant la journée et la cause de les isolées. Alors leurs
psychologie le dirigée toujours et parfois à chercher comment
fuir.
Ø Le système mixte ou l'enfermement
en commun : Est un système qui laisse les
détenus ensembles et libre dans la cours pendant la journée, mais
pendant la nuit ils sont enfermé à partir de la soirée,
pendant la nuit les détenus sont renfermer ensemble par ce
système mixte, on tient compte du critère de genre pour
dispatcher les détenus dans les cellules. Alors c'est un système
le plus appliqué rendu en RDC. Donc les femmes dans leurs cellules
appelé quartier femme et les hommes dans d'autres cellules loin de celle
femme. D'où l'idée de la parité doit même arriver ou
être appliquer aussidans des milieuxincarcéral.
Section 2. QUELQUES
ETABLISSEMENTS PENITENTIAIRE DE LA RDC
2.1. ETABLISSEMENTS COMME LIEU
D'ISOLEMENT DES AUTEURS ET COAUTEURS ET COMPLICES DES CRIMES.
Normalement un innocent n'a pas sa place dans un milieu
incarcéral, pour prévenir et diminue le taux de la
criminalité. Alors il faudrait que en principe qu'il ait dans chaque
ville une maison, une prison et un camp de détention et à chaque
chef-lieu de la province, y compris le Territoire et Chefferie voir dans chaque
entité territoriale décentralisée, dans le coin et dans
les recoins il faut de cachots pour faire face aux contrevenant car la
criminalité est en évolution grandissante et croissante au rythme
de l'évolution de la technologie et à l'augmentation
démographique actuel. Par la suite évoquons l'ancienne et
actuelle appellation des établissements pénitentiaire selon le
milieu où il se trouve en place. Ainsi, nous avons :
a) Les établissements pénitentiaires urbains
c'est-à-dire situé au niveau de la ville comme son ressort,
malgré qu'ils doivent être à l'écart des habitants
de la ville et périphérique ;
b) Les établissements pénitentiaires secondaire,
de territoire au chefferie sans oublié les cachots de police y
annexé et consort au service du maintien de l'ordre publique, une fois
ou plusieurs fois troubler. Pour la rééducation via la
détention ordonné et légale visant la pénitence ont
besoin la réinsertion. Ainsi, les établissements,
pénitentiaires suivent ont tombé dans notre filet et sondage de
recherche scientifique, alors au moyen de notre hameçons pour picoler la
matière nous avons pu rencontrer les établissements
pénitentiaires suivent parmi tant d'autres sur l'Etendue de la RDC nous
avons : l'établissement pénitentiaire de : SAKANYA,
ASOBIMIKO (à Kasumbalesa) ; KILWA, MITWABA, DILALA (au LUALABA
à KOLWEZI); KIPUSHI ; KASANDJI, PWETO, KASENGA et KAMBOVE à
part BULUO et BOMA (à Likasi) et KASAPA (à Lubumbashi) et tant
d'autres sur l'étendue de la république démocratique du
Congo. Nous avons aussi des établissements pénitentiaires
normalement réserve et uniquement aux militaires. Ces
établissements pénitentiaires militaires sont actuellement moins
de 5 en République Démocratique du Congo hormis les cachots
militaire. D'où nous avons l'établissement incarcéral
Militaire de : MAKALA à Kinshasa comme Prison militaire.
Deuxièmement la Prison Militaire de Tshikakasa (au bas Congo),
troisièmement la prison militaire de NDOLO (à Kinshasa) ;
quatrièmement la Prison militaire de ANGENGA (en équateur).
D'où la réforme du service pénitentiaire en RDC, doit
aussi pense a créé les maisons d'Arrêts et camps le
détention militaire en construisant d'autres établissements
pénitentiaire en RDC pour matérialiser et rendre effectif la
réforme nécessité dans le système
pénitentiaire de la RDC qui est le sujet qui fait débat dans ce
travail de mémoire ici présent.
En effet, notre principale cible est de faire respect ce
droits humains dans les établissement pénitentiaire et la
construction des autres structures pénitentiaires moderne pour faire
face à la criminalité ci-active que la technologie d'innovation
par l'homme en essayant même d'imiter trèsmal. Pour essayer de
corroborer les idées de réformée le système
carcéral dans ce travail, nous avons longuement mené de recherche
dans les établissements pénitentiaires du Haut-Katanga et
après une longue fouille du régime pénitentiaire. C'est
ainsi que nous avons constaté qu'il y a une nécessité de
réformer le système pénitentiaire de la RDC a
commençant tout d'abord dans la maison d'arrêt de BOMA, la Prison
de KASAPA et le camp de détention de BULUO.
1. LA MAISON D'ARRET DE BOMA
Qui a été construite en 1928, par les Belges un
établissement pénitentiaire situé entre le camp police et
le camp militaire génie de combat. Donc, cette maison d'Arrêt est
entre deux camps dans la commune de Likasi. Ainsi, pour beaucoup des
détails nous vous prions de bien vouloir jeter un coût d'oeil sur
l'annexe dans ce travail qui est situé entre la conclusion et la
Bibliographie de ce travail de mémoire.
2. LE CAMP DE DETENTION DE BULUO
Est situé dans la province du Haut-Katanga, dans la
ville de Likasi a quelque Kilomètres de la ville et plus
précisément ce dans le territoire de KAMBOVE. Un
établissement pénitentiaire qui est notre terrain de recherche
par excellence car ce dans le camp de détention de BULUO que nous avons
érigé notre Etat-major de recherche et de la rédaction de
ce présent ouvrage scientifique qui avait été
conçue et rédiger dans un des locaux stratégique du camp
de détention de BULUO, pour nous permettre de balayer quelque lacune sur
terrain dans le domaine pénitentiaire en donnant quelques orientations
à suivre dans ce domaine.Via notre travail qui parle sur la
réforme et les respects des droits humains dans de milieu
incarcéral.
En effet, en poursuivant notre recherche dans ce travail
d'esprit anime par la curiosité, nous profitons de l'occasion pour
découvrir ensemble avec vous l'organisation interne et historique de la
création du camp de détention de Buluo après l'acception
de notre pays à l'indépendance. Ainsi, nous avons attiré
notre attention sur le premier directeur noir du camp de détention de
BULUO qui est le feu KAKOMBE après le départ de blanc et c'est le
même feu KAKOMBE qui avait construit le monument de la femme à
Likasi. Notez que avant la guerre de la Libération par MZEE Laurent
Désiré KABILA avec ces KADOGO, tout les locaux de
l'établissement du campde détention de Buluo, était
opérationnelle, alors c'est à l'arrivée de l'AFDL avec la
guerre que d'autres locaux furent détruit, abimé par les
militaires Rwandais qui y habitaient et ils auraient saccagé presque
tout une moitié du bâtiment qui contenait des ateliers de
menuiserie. Entre autre le quartier vert dans cet établissement furent
complètement endommagé, une place qui était destiné
aux ateliers d'apprentissage des métiers aux détenus et c'est
là que restaient les détenus des peines de moins de 5ans.
Tandis que le quartier rouge, actuellement fonctionnelle
étaient à l'époque destiné aux détenus de
peines de 5ans et plus. Un quartier actuellement occupé par tous les
détenus de l'établissement du camp de détention de Buluo.
Alors, pendant notre recherche toujours à la recherche
de la vérité et la réalité du système, nous
avons eu l'occasion et la chance d'accéder dans toutes les cellules en
usant de l'observation, guidé par le capita général
à ce temps c'était PAPY OKITO, qui est actuellement dans la
maison d'arrêt de Boma comme un simple détenu pour des raisons
disciplinaires car, il aurait commis des bavures comme il était
accusé d'être incitateur et provocateur de l'évasion
tenté, mais rate à l'année 2020.
Hélas ! sous couvert, nous avons eu à
constater ce qui suit : à part la clôture rectangulaire qui
délimite cet établissement de camp de détention de
Buluoqui fut construit par les colonisateurs belges. Notez que le bloc actuel
à l'intérieur est aussi subdivisés en deux.L'autre occupe
par les détenus avec un petit sous-bloc et l'autre abrite des bureaux
administratifs du bâtiment.Dans le bloc occupé est départ
et d'autre, sépare au milieu par des cellules dans un petit bloc qui
serve comme des Eglises d'où l'église : - catholique, -
protestant, - musulman.Et d'autres cellules de ce petit bloc sont utiliser par
les détenus comme réfectoire, cuisine et ateliers pour le
raffinerie de fabrications de corbeille, chaises, chapeau etc. selon leurs
aptitude, qualité et capacité de raffinerie qui peut être
parfois fait sur commande des clients.
· Le bloc A : qui contient 50 cellules
fonctionnelles
· Le bloc B : qui contient aussi 50 cellules
fonctionnelles hormis les deux sortes des cellules localement appelé les
petits bateaux, qui est habité par les capita général et
son équipe et sans pour autant citez les cellules noir dans un quartier
qualifier comme d'une haute sécurité et ce quartier est de
renommeappelé VATICAN.
· Le Vatican : est une sorte des cellules
carcéral retrouver dans le camp de détention de Buluo a forme de
chambres noir et souvent très froide et obscure car dépourvue de
la lumière artificielle que naturelle c'est-à-dire il n'y a pas
d'électricité et la lumière du soleil tout comme de la
lune n'y entre pas pour dire que les chambres du quartier Vatican n'ont pas
accès à la lumière. Notez que suite à
l'événement du droits humains, la cave furent fermé qui
permettait de faire évacuer discrètement les détenus pour
l'exécution de la peine de mort car cette peine actuellement
prononcé, mais non exécuté dans notre pays car cette peine
est d'abolition dans le pays qu'on ratifie le pacte internationale sur la
protection des Droit de l'homme. Mieux de noter que la peine de mort demeure
mais notre pays a adopté un moratoire cela veut dire que, pour le moment
on l'exécute pas car son exécution est suspendue pour le moment
dans notre pays, bref cette peine capital ou de mort peut se prononcer
mais ! non exécutoire actuellement dans notre pays.Pour la
curiosité et compte tenu de l'histoire d'enfermement de patrice Emery
LUMUMBA dans cet établissement pénitentiaire que nous avions vu
dans un film intitulé : « qui a tué
LUMUMBA ? ». Ainsi, sa attiré notre curiosité pour
entrer au VATICAN et nous avons eu à nous asseoir pendant quelques
heures pour satisfaire, coloré nos rêves et pérenniser la
continuité de l'esprit du panafricanisme lumière du monde avec un
coeur ouvert et sans peur pour libérer l'Afrique de la colonisation
mentale actuelle, une guerre de décolonisation mener par certains
autorités Africains qui sont parfois divisé car les Autres
considérai comme des marionnettes de l'occident. heureusement il y en a
d'autre qui travail pour le compte de l'Afrique et plus particulièrement
pour le compte du développement de leurs pays d'origine comme fut le cas
de l'arrestation et assassinat de LUMUMBA qui se battait pour la
libération et l'indépendance de la RDC.
· Notez que cette aspiration nous l'avions eu
après avoir passé quelques heures dans la cellule où
était enferme LUMUMBA, une cellule obscur et froide. Par la suite nous
avons continué notre chemin de recherche et nous avons visité
d'autres cellules de grande renommée du Vatican. Telles que les cellules
ou était enfermé ZAIDI NGOMA, OLENGA NGOY et MASASU NGANDU et
l'évadé jusqu'aujourd'hui ALLY MUHAMED, vraiment sont là
les cellules qui ont beaucoup attiré notre attention dans le camp de
détention de BULUO. Est le résultat de notre observation dans cet
quartier du Vatican était presque le même suite à
l'obscurité et le froid qui gangrèneet règne dans ce
quartier. Par la suite de nos recherches Il nous a été
révélé et confirmé que actuellement ce quartier du
Vatican peut servir parfois pour punir certains détenus qui oserait
manifester une sorte d'indiscipline dans l'établissement
pénitentiaire et carcéral qui sous étude.Donc le camp de
détention de BULUO, les nouveaux détenus doivent d'abord passe au
Vatican, même pour 45 jours avant d'être mélangé ou
classé dans des cellules qu'occuper d'autre anciens détenus
suppose être discipliné car la place de détenus
indiscipliné et dangereux et dans le quartier Vatican.
Toujours dans la recherche sur terrain nous avons
constaté que pour la sécurité interne, cette
sécurité est assurée parfois par d'autres détenus
entre eux. Ils se sont déjà surnommés avec de grade et de
fonction de haut niveau. Un exemple concret : quand vous arrivée
à côté droit de l'entrée du Vatican dans le camp de
détention de BULUO, vous trouverez une chambre portant la mention :
comdt PM, qui est synonyme de commandant de Police Militaire au sein d'un
Armé bien organisée pour assurer la Police et la discipline des
éléments qui compose ce corps d'armé ainsi, après
des longues investigations nous nous sommes rendu compte que celui qui fut
lecomdt PM lors de notre passage pour les investigations et recherche
scientifique car actuellement et pendant la rédaction de ce travail, ce
monsieur qui est condamné à perpétuité a
déjà pris fuite lors de l'évasion nocturne entre 11 et
12/07/2021 le monsieur répondant au nom de SALUMU ASANI surnommé
MWANA OTT le SOBIBOR, le faux bord. C'est-à-dire le (MULOPWE) des
incarcérés, synonymes du chef qui veuille sur les détenus.
Notez que, le SOBIBOR est un film ou il y a les images d'une machine qui
était chargé à moudre les détenus
indisciplinés, dangereux et non désirable(non drata).
Notez que sur le bureau du comdt PM de BULUO, il y avait la
mention intitulé : KEBA NA VIETNAM, comdt PM : MWANA OTT.Par
la suite nous avions y a découvrir que parmi les membres de la
composition de la sécurité interne, il y avait celui localement
appelé le président de la cours car ils ont déjà
composé leurs staff et membres des cours et Tribunaux. Donc, a l'interne
même de l'établissement pénitentiaire il y a la notion de
la justice. Le détenu qui se juge entre eux, à travers les cours
et Tribunaux pour confirmer l'idée qui dit la loi existe partout ou il y
a une société. En définitif, et vu que pour l'ordre du
commandement, il faut toujours un chef commanditaire, donneur des ordres
suprême. Ainsi, pour les détenus sous l'angle de rendre les
honneurs à leur chef qui est le capita général qui est
localement appelé S.G alors pour lui rendre les honneurs les
détenus appelé mobile qui lui glorifie car ils sont sous son
commandement dans la composition sécuritaire incarcéral et
interne. Alors cette catégorie des détenus appelé PM il
lance de crie suivant pour saluer et glorifier la présence de leur chef
S.G. il lui dit : MOKONZI NABISO, qui peut s'opposer (NANI AKOBOYO, NANI
ATA PINGA ? Océan, SUMEBS, GAZNA GAZ, docteur Léon,
immortel, TOSA BATOSAYO). Donc, ils sont toujours prêts à
maintenir l'ordre public entre eux dans l'Etablissement
pénitentiaire.
LA PRISON DE KASA à LUBUMBASHI
La prison de KASAPA fut construit à 1958, par les
Belges avec une capacité d'accueil de 800 détenus mais
malheureusement aujourd'hui nous trouvons un nombre extrêmement
élevée même de 1902 de détenus tel qui était
l'effectif général du 12 novembre 2021, mais, date et
année de notre nème visite pour raisons de recherche
scientifique dans le domaine pénitentiaire. Nous avions constaté
qu'il y avait le nombre de tous les détenus prévenus
c'est-à-dire civil, militaire et policier leurs nombres total y compris
les mineurs, il y avait 1950 prévenus et le reste c'était de
condamné.
L'établissement pénitentiaire de la prison de
KASAPA a l'époque était situé à 12
kilomètres de la ville de Lubumbashi, mais ontjour d'aujourd'hui est
entouré par des maisons des habitant de la commune annexe.Et
l'établissement avait empreinte le nom du quartier anciennement appel
quartier KASAPA, mais aujourd'hui ce quartier a changé de nom et
d'appellation sa s'appelle actuellement quartier KAMATETE. La Prison de KASAPA
est situé sur l'avenue des mineurs dans la ville de Lubumbashi, dans la
commune annexe et au quartier KAMATETE, précisément sur l'avenu
appelé avenue des mineurs.
Notez qu'il y avait une prison dans la ville de Lubumbashi en
face de l'hôpital SENDWE, cette prison était appelé :
PRISON KASONGO et cela que SIMON KIMBANGU était enfermé. Cette
ancienne prison KASONGO, malgré que ça n'existe plus, mais elle
est considéré comme l'ancêtre de l'actuel Prison
KASAPA.
Notez que dans la Prison de KASPA, les nouveaux détenus
sont soumis par les anciens détenus à un exercice appelé
« histoire YA BA PEUPLE » qui est le synonyme de TWANDA
« à BOMA, d'où à KASAPA ça se fait sous
une autre forme appelé « histoire YA BAPEUPLE ».
Alors, nuitamment les anciens détenus commence a
demandé le nouveau détenu de leur raconter l'histoire qui lui a
fait quitter le Congo pour lui amener au Zaïre. C'est-à-dire qu'on
demande au nouveau détenu ce qui lui a fait quitter le monde de personne
libre pour lui amener en Prison.
Toujours les anciens détenus, voir même les
condamnés ils commencent à provoquer le nouveau venu en
disant : PESA BISO HISTOIRE YA BA PEUPLE, KOSA BISO. TOKOYE BISA YO
VERITE », encore les anciens ils répètent
« KOSA BISO, TIYA LOYENGE, SOSOLA » et puis le nouveau
détenu intervient pour répondre et donner son histoire : il
commence d'abord par une salutation en disant : HISTORYA, MBOTE NA
BINO BA DYASPORA et après il salue les soit disant peuples car eux sont
des détenus qui n'ont pas de fonction dans la prison.
Après l'acceptation de sa salutation par les diasporas
et les peuples car lui étant que nouveau détenu, il s'appelle
« MBWIRI » synonyme d'un oiseau qui a encore beaucoup du
froid et qui tremblote trop à cause de la peur et surtout s'il ne pas
récidiviste soit s'il n'a jamais fréquenté la prison
même pour une simple visite. Alors comme ce sa première jour d'y
entrer comme détenu. Ainsi, il se trouve entre une équation
accompagné des pressions voir même des violences. D'où
malgré lui, il doit relater l'histoire et motif de son arrestation
jusqu'à la prison. Ainsi, les anciens détenus après lui
avoir écouté, ils vont lui donner les prophéties sur ce
qui sera le résultat de sa cause car ces anciens détenus
eux-mêmes se sont déjà attribué des fonctions et les
autres sont de juge présidents et consort. Donc, il y a toute une sorte
des juridictions organisées même dans la Prison. Passons sans plus
tardé car c'est après avoir épuisé tant
d'énergie, de sueurs et après avoirs transpiré le long des
plusieurs journées et nuits pour ce travail intitulé :
« la Nécessité de la réforme du
système pénitentiaire en RDC ». D'où
comme la Prison de KASAPA est en RDC, un pays qui a un domaine
pénitentiaire qui semble être complexe et compliqué plain
d'absurdité. Alors nous étant qu'auteur de cet ouvrage qui parle
sur la réforme du système pénitentiaire de la RDC. Nous
avons jugé mieux de proposer la théorie suivante pour essayer
d'éclairer et simplifier la compréhension dans ce domaine
pénitentiaire.
Il convient de dire et de confirmer la théorie suivante
qui peut devenir une pratique ou utilisation simple et claire pour bien
atteindre l'objectif de la rééducation et la réinsertion
d'un détenu transformé à bénédiction dans la
société.
Donc, il convient de dire et confirmer que :
ü Dans la maison d'arrêt, normalement il faut les
détenus prévenu ;
ü Dans la prison proprement dite, normalement il faut les
détenus condamnés ;
ü Dans le camp de détention, normalement il faut
que cette structure pénitentiaire soit réserve uniquement aux
détenus amandé qui sont de détenus prêt à
recevoir différents formation professionnelle selon ses aptitude pouvant
lui rendre utile dans la société libre qu'il compte rejoindre
après avoir purgé sa peine et comme il a déjà
confessé de laisser ses mauvais comportements et agissement qui lui
était reproché. Ainsi, comme il a changé après
avoir purgé sa peine jusqu'au point de s'amender. Ainsi, nous
évoquons les idées qui dit : « une faute
avoué est à moitié pardonné » ainsi, il
aura mille et une chance de devenir utile et très important à la
société car il vient d'apprendre quelque chose de bien pour sa
réinsertion dans la société libre. Ainsi, comme le camp de
détention vient de beaucoup attire notre attention, alors, nous disons
voici les 8 camps de détention répertorié et qui doit
recevoir une réforme et multiplication moderne sur l'ensemble du
territoire de la République Démocratique du Congo37(*).
1. Le camp de détention de LUZULA
2. Le camp de détention de BELINGO
3. Le camp de détention de OSIO
4. Le camp de détention de NYONGERA (Au Nord-Kivu)
5. Le camp de détention de LUAMBA
6. Le camp de détention de DJAMBOLEZA
7. Le camp de détention de LUIZA
8. Le camp de détention de BULUO
Notez que pour la réalisation et la
matérialisation de la réforme moderne, il faut les encadrer avec
une très grande clôture chacun d'entre -eux et il faut place aux
murs un système d'électrification pour la sécurité
autour de la structure du mur qui clôture la grande étendue pour
le camp de détention qui contient différant ateliers permettant
d'apprendre de métiers professionnelles aux détenus amande. Les
différents métiers tels que : la menuiserie, coupe et
couture, cordonnerie, la mécanique, les oeuvres d'art, l'élevage,
l'agriculture, l'Education et l'alphabétisation, sans oublié
l'apprentissage des langues telles que « l'anglais et le
français ». étant d'autres métiers qui existe
dans le monde. Donc chaque détenu devra être orienté et
encadré selon ses aptitudes physiques et mentales etc.
Section 2. AU FOUR ET AU
MOULIN PENITENTIAIRE
2.1. LES DOCUMENTS TENUS PAR LE DIRECTEUR
Normalement dans une maison ou établissement
pénitentiaire, nul ne peut pas y être admise comme détenu
sans titre au document légal et motif valable, normalement il faut un
document écrit ayant son fondement légal.
Alors, quelqu'un peut être admis dans
l'établissement pénitentiaire comme détenu lorsqu'il est
porteur d'un titre ou motif légal et valable qui pèse sur lui
notamment : la réquisition enfin d'emprisonnement d'un
condamné (RAE) et le mandant d'arrêt Provisoire (MAP) pour un
détenu Prévenu. Ainsi, comme indiquer dans
l'ordonnance-loin°344 du 17 septembre 1965, relatif au régime
pénitentiaire applicable aux détenus en RDC en son article 16 qui
dispose que c'est pour permettre à l'administration pénitentiaire
d'avoir des justifications pourra fournir rapidement l'information en cas de
besoin. D'où le directeur de l'établissement contenant de
personnes détenus en République Démocratique du Congo il
tient les documents ci-après :
1. Le registre d'écroutqui est à deux
sortes :
a) Le registre d'écroutpour écrouer les
condamner donc qui est destiné à centraliser les infractions qui
y doit être consigné concernant tous les détenus
condamné. Et nous pouvons encore l'appelé un registre des
emprisonnés c'est-à-dire les détenus qui sont porteur de
réquisition enfin d'emprisonnement (RAE) d'où le registre de
réquisition afin d'emprisonnement.
b) Le registre d'écroutdes détenus
prévenu (détention préventive) c'est-à-dire le
registre d'écroutdans lequel consigné les détenus
préventivement et ils sont porteur de mandat d'arrêt provisoire
(MAP).
2. Le registre de MEMENTO : un document dans lequel est
consigné la prévention de peine de chaque condamnés
c'est-à-dire ce dans ce registre ou le directeur prévoie la date
d'expiration de peine d'un détenu condamné. Donc nous pouvons
dire autrement que c'est le registre ou le directeur prévoie les sorties
de détenus après l'expiration de leurs peine chaque détenu
selon la durée de sa peine.
3. Le registre d'Hébergement : sont là le
registre par lequel tous les détenus sous-mandat d'Arrêt
Provisoire y sont consignés dedans, les immigrés et les personnes
souffrant de trouble mentaux.
4. Le registre des sanctions infligé : c'est un
document qui permet de voir les amendements des détenus ;
5. Le registre d'inventaire de bien saisi appartenant aux
détenus moyennant un procès-verbal, ici les détenus
concernés signe avec le directeur ;
6. Le registre d'inventaire de matériel appartenant
à l'établissement pénitentiaire, sont consigné dans
un registre approprié, sans oublié le magasin d'alimentation
d'où les contenus du magasin y sont consigné dedans aussi que
d'autre matériel appartenant à établissement ;
7. Le registre de situation journalière (pour
enregistre les entrées et de sorties) donc tous les
événements journalières y sont consigné.
8. Le registre de transfert (si pas les moyens de la famille
de détenu et le directeur, ils peuvent collaborée ensemble s'ils
s'estiment que c'est important et nécessaire d'envoyer ou
transférer un détenu dans un autre milieu de détention
toujours sur l'étendue du territoire congolais, ilpeut le faire si
possible, tandis que pour les étrangers sa c'est un affaire qui concerne
les système d'extradition une coopération entre les gouvernements
intéressés car la protection diplomatique existe aussi.
9. Le journal : c'est un registre, sous forme d'un cacher
appel aussi livre d'or ou encore cahier d'inspection car cela que chaque
autorité qui passe dans l'établissement pénitentiaire, il
mentionne tous ses avis et considération, ces constants tel que :
le maire de la ville, et d'autres autorité compétant à la
matière.
10. Le registre des évader :
11. Le registre des évadés repris ;
12. Le registre des malades hospitalisés ;
13. Le registre des morts.
Notez que tous ces registres citez ci-haut sont des documents
d'inspection car elles sont principaux pour fournir des informations pour le
contrôles administratifs dans le domaine pénitentiaire qui est
aussi en interdépendance avec d'autres services de l'Etat.
2.2. SORTES DES PEINES
a) Les peines préventives de liberté :
v Les peines de servitude pénale Principale (SPP)
v Les peines de servitude pénale subsidiaire (SPS)
v Les peins de contrainte par corps (CPC)
v La peine de servitude pénal lus amande (SPA)
b) Les peines restrictives de liberté
v La résidence surveillée (R.S)
c'est-à-dire les condamnations conditionnelle, un détenu
condamné en une peine de (S.P) servitude pénal, mais
exécute en dehors de l'établissement
pénitentiaire ;
v La condamnation avec sursis est une peine de servitude
pénale infligée en un détenu, mais il va purger sa
condamnation de peine en dehors de l'établissement pénitentiaire
et cela est règlementé auteurs des certaines conditions car
souvent cette mesure sursitaire n'est possible que pour des courtes peines
observer. Donc, il y a des critères pour en être
bénéficiaire.
Notez aussi que pour une peine principale, on ne peut pas
payer d'argent comme objet de vente car tous les détenus auraient
déjà acheté leur libération. D'où
peut-être il faut une grâce présidentielle qui doit aussi
être bien justifié pour que la peine de servitude pénale
principale, puisse prendre fin en cours d'exécution. Si non dans le cas
contraire le condamné en une peine principale est appelé à
consommer toute la teneur qui peut être périodiquement
complète, car les condamnations à perpétuité existe
aussi. Surtout qu'une peine principale et la peine qui a été
déclaré ou infligée par un tribunal compétent.
Alors, si par exception, le condamné peut faire appel
à temps c'est-à-dire a respectant les délais de faire
appel qui est de 15 jours dès que la décision de condamnation est
assortie d'un tribunal. Donc, si le délai d'appel est respecté de
peur que l'acte d'appel ne soit déclaré irrecevable faut de
non-respect du délai légal pour faire appel. Si la cause ou
l'acte d'appel est déclaré recevable. Ainsi, le juge d'Appel peut
changer soit confirmer la décision du juge de la première
Instance.
N.B : Un détenu doit être muni d'un titre
justificatif légal car personne ne pourra pas être admis dans un
établissement pénitentiaire sans billet d'écroutou sans
numéro matricule de détention.Alors, voici un exemplaire, des
certains observations pourrait être contenudans et pour
complété un registre d'écrou.
* A.A : Acte d'Appel
* D.A. : Date d'Arrestation
* RAE : Réquisition Affaire d'Emprisonnement
* M.A.P : Mandat D'arrêt Provisoire
* OMP : Officié du Ministère Public
c'est-à-dire qu'ici il faut le nom du magistrat instructeur du dossier
doit être mentionné dans le registre. La mention : nature de
fait signifie l'incrimination ou l'infraction.
* P.P.C : Peine Prend Cours
* R.P : Rôle ou Registre pénal
* RMP : Registre du ministère Public
* ODP : Ordonnance de détention Préventive
ou provisoire
* O.C : Ordonnance de confirmation (de la
détention)
o PROLICO : Proposition de libération
conditionnelle.
La remise ; est un système qui est synonyme de
réduction, alors ce terme est souvent employé dans le domaine
pénitentiaire car la grâce présidentielle et l'amnistie
peuvent intervenir pour pardonner les auteurs de certains infractions et faire
a sorte comme si les infractions commise par les amnistiés n'avait
jamais y lieu ou n'avait jamais été commise par les amnisties ou
les gracieux présidentielle. Sans oublié le terme de l'amnistie
sur le Plan International pour pardonne les auteurs des infractions qui ont
violé le droit de la compétence International. D'où
l'Amnistie International existe aussi.
2.3. NOTION GENERALE SUR LA SERVITUDE PENALE PRINCIPALE EN
RDC
- De 0 à 2 mois
- De 2 mois à 6 mois
- De 6 à 12 mois (1 an)
- De 1 an à 5 ans
- De 5 ans à 10 ans
- De 10 ans à 15 ans
- De 15 ans à 20 ans,
Notez que en RDC le plafond de peine est de 20 ans,
après vient la condamnation à perpétuité ou la
prison avec détention à vie, après vient la peine capital
au condamnation à mort qui n'est pas actuellement exécutoire sur
l'étendue de la RDC car les traités internationales de droits de
l'homme (humain) tentent à abolir cette peine de mort ou capital. Mais
ça existe sur la liste des peines en RDC. Donc, le juge peut la
prononcer et sans être exécuté. Alors, c'est comme qui
dirait que c'est dans l'attente d'une décision quelconque. Pour dire
s'il faut abolir ou pas ? une question sous examen, car il est dit que sa
peut être prononcé sans être exécuté.
Tableau II: REGISTRE D'ECROUT
2.4. Exemplaire d'un registre d'écran (sa face
externe)
REGISTRE D'ECROUT
MINISTERE DE LA JUSTICE
......................................................................................................................................................................................................................................................................
PERIODE du .......................... au
..........................................
VOICI LA FACE INTERNE D'UN REGISTRE D'ECROUT
Numéro
|
Nom :
Post-Nom et Prénom
Age et sexe du détenu, date de naissance
|
Pays d'origine et lieu de résidence, village, groupement,
secteur, Province, et adresse actuelle
|
Profession
|
Date
D.A (Date d'arrestation)
D.E (Date D'entrée)
|
Nature et date du document
justificatif.
|
Durée de détention à subir
|
Date d'expiration de la peine
|
Date de sortie réelle
|
1. Motif de la sortie
2. Signature du libéré et du gardien de la maison
de détention.
|
Observation ; Mention : des confirmations mandat
d'arrêt, des citations, de pourvoir en application ou en appel, des
hospitalisations
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
2.5. Exemplaire
d'un registre de situation journalière
Notez que le registre de situation journalière
à des feuilles qui fonctionnent d'une manière triple pour un seul
fait est écrit sur un triple des feuilles, mais ces trois feuilles ont
différentes couleurs c'est-à-dire que chaque feuillet à sa
couleur. D'où trois couleurs. Donc ces feuilles ou papier sont
utilisés d'une manière triple, chaque situation qui se
présente est contenu ou signalé sur trois feuilles des couleurs
différentes :
· Le premier papier de ce triple a une couleur bleue
foncée ;
· Le deuxième papier ou feuille a une couleur
jaunâtre.
· Le Troisième papier ou feuille a une couleur
blanche
Donc les trois feuillets ensembles qui forment un
triplé et ainsi de suite jusqu'à la dernière
triplé.
Tableau III: REGISTRE DE
SITUATION JOURNALIERE
MINISTERE DE LA JUSTICE
..................................................................................................................................................................
.............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
PERIODE du .......................... au
..........................................
REGISTRE DE SITUATION JOURNALIERE
Alors, voici la face externe d'un registre de situation
journalière.
VOICI LA FACE INTERNE D'UN REGISTRE DE SITUATION
JOURNALIERE
|
CONDAMNES A LA SERVITUDE PENALE PRINCIPALE
|
DETENUS AUTRES
|
NOMBRE DE DETENUS REPUTES DANGEREUX
|
P
|
2 mois
|
2 mois à 6 mois
|
6 mois à 1 an
|
1 an à 3 ans
|
3 ans à 5 ans
|
5 ans à 10 ans
|
10 ans à 20 ans
|
20 ans et plus
|
Perpétuité
|
SPS
|
Contrainte
|
Vagabond
|
Mesure de police
|
Aliénés
|
Hébergés
|
|
Total général
|
Réputés dangereux
|
1
|
H
2
|
F
3
|
H
4
|
F
5
|
H
6
|
F
7
|
H
8
|
F
9
|
H
10
|
F
11
|
H
12
|
F
13
|
H
14
|
F
15
|
H
16
|
F
17
|
H
18
|
F
19
|
H
20
|
F
21
|
H
22
|
F
23
|
H
24
|
F
25
|
H
26
|
F
27
|
H
28
|
F
29
|
H
30
|
F
31
|
H
32
|
F
33
|
H
34
|
F
35
|
H
36
|
F
37
|
H
38
|
F
39
|
SORTIE DU MOIS
|
2
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
3
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
4
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
5
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
6
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
7
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
8
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
9
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
10
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
11
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
12
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
13
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
14
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
15
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
16
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
17
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
18
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
19
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
20
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
21
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
22
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
23
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
24
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1. Bleu foncé
2. Jaune
3. Blanche
Don c'est multiplié par trois
C'est mieux de retenir qu'un registre doit être
côté par le directeur et visé par le procureur de la
République ou par le Président du Tribunal de Grande Instance, si
le procureur de la République fait défaut.
Par la suite le registre doit porter le deux sceaux
c'est-à-dire (celui de l'établissement pénitentiaire
utilisateur du registre et le sceau du procureur de la république soit
un sceau TGI), soit le cachet de l'auditeur militaire, si c'est un registre
utilisé par le militaire. Ainsi, après cette opération de
la cotation et de visé, alors tout tentative qui cherchera à
faire disparaitre un trace d'information, effacer ou déchirer cette acte
pourrait être considérés comme outrage à
l'emblème national car un tel registre a acquis l'authenticité
pour devenir un document juridico-officiel suite aux signatures et les seaux
qui agit au nom de l'Etat.
CHAPITRE III :
INTERPRETATION DE LA REGLEMENTATION PENITENTIAIRE DE LA RDC
Section 1. FONCTION DE LA
REGLEMENTATION PENITENTIAIRE
1.a) DEFINITION
La règlementation pénitentiaire est l'ensemble
des règles d'origine national et international qui régissent
l'organisation et fonctionnement de l'administration pénitentiaire d'un
Etat comme la RDC, car elle est membre de certaines organisations
internationales.
2.b) OBJECTIF DE CE TROISIEME
CHAPITRE
Est de prendre connaissance de la règlementation
pénitentiaire préexistante dans notre pays afin de contribuer
à donner certains pistes à suivre pour l'effectivité de la
réforme nécessité dans ce domaine pour s'occuper du bien
être de détenu et contribue au développement du pays. La
règlementation pénitentiaire, normalement et lorsqu'elle est bien
conçue et applique. Elle constitue une garantie quant au respect des
droits des détenus.Donc ce chapitre qui parle sur la
règlementation pénitentiaire en RDC, ce mieux de bien vouloir
mettre en Application l'ordre du respect des droits fondamentaux
inhérent à l'être humain comme les détenus.
Notezqu'un autorité qui respecte les
droits des détenus il a mille et une chance d'être
élevé à fonction, tout comme à grade dans ce
domaine pénitentiaire qui est son carrière de Travail.
SORTES DES REGLEMENTATION DANS
LE SERVICE PENITENTIAIRE DE LA RDC
Il existe trois (3) sortes des règlementations en RDC
à savoir :
1. LA règlementation pénitentiaire
nationale : qui est notre champ de bataille dans ce travail
concentrée, mieux de comprendre que la règlementation
pénitentiaire est l'ensemble des textes édicté par un des
autorités compétant d'un Etat pour régir sont
système pénitentiaire. Comme dans notre pays, nous citons
l'exemple de l'ordonnance n°344 du 17 septembre 1965, portant
régime applicable aux personnes détenus en république
Démocratique du Congo. Sans oublié la constitution de la
République Démocratique du Congo du 26/08/2006 qui est aussi
applicable dans ce domaine car c'est la constitution d'un Etat qui est
considéré comme la loi des lois dans un Etat. Nous voyons
aussi :
2. La règlementation
régionale : qui est l'ensemble des textes
édictés par Etat d'une organisation régionale ou sous
régionale pour régir le système pénitentiaire
provincial. Ici, nous évoquons l'exemple de l'arrêté Royal
de 1957 qui parlait de la gérance du système pénitentiaire
au niveau de la province. Ici c'est une affaire politique (APAJ) qui est un
ouvrage sur l'affaire de gérance. Ici, c'était la province qui
gérait et non la décision du pouvoir central de Kinshasa.
3. La règlementation
internationale : qui est l'ensemble des textes
édictés par une organisation international c'est-à-dire
l'ensemble des textes regroupant plusieurs Etats du monde pour régir la
détention et le traitement de détenus entre les pays d'un
même organisation international. D'où nous voyons ici l'exemple
des règles MANDDELA qui parle comment traité les détenus
en Afrique et les pactes international relatif au droit civil et politique.
Section 2. LE POINT DE
DEPART DE LA REGLEMENTATION DU REGIME PENITENTIAIRE DANS NOTRE PAYS
Notez qu'après l'instruction du gouverneur
général par le roi des Belges le 22/04/1890, un décret qui
ordonnait au gouverneur général d'arrêter pour
régler sur tout ce qui concerne le régime pénitentiaire.
Pour une mesure disciplinaire spéciale auxquels sont soumis les
individus détenus.
Ensuite, nous voyons l'arrêté Royal de 1951, un
arrêté qui avait créé pour mettre en place un
service pénitentiaire à l'échelon ou,ont niveau centrale
(à Kinshasa), un arrêté qui est venu mettre fin à la
gérance du système pénitentiaire ont niveau provincial.
Ainsi, c'est à 1957 qu'on avait supprimé la gestion du
système pénitentiaire qui n'est plus gérée au
niveau national pour être gérée au niveau provincial. Voir
l'APAJ qui est l'Affaire Politique et Administration Judiciaire. Après,
est venue l'ordonnance du 11/-13 et du 15/01/1960, qui a récrée
encore et remettre la gestion des établissements pénitentiaires
au niveau central de Kinshasa (la capitale) à l'époque
(LéopoldVille), créer par le gouvernement
légèrement tout avant l'indépendance.
2.1. L'ORDONNANCE N°344 du
17 septembre 1965
Une ordonnance portant sur le régime
pénitentiaire en RDC.
ü De
l'administration du service pénitentiaire
Les personnels de l'administration pénitentiaire
peutdéfinit et organisé des structures et on désigne leurs
responsabilités de l'Article 1 à 4 dans l'ordonnance n°344,
il y a des inspecteurs dans chaque province qui sont aujourd'hui appelé,
les chefs de division provinciale de la justice et garde de sceaux.
ü De
l'administration de l'établissement carcéral et de maison
d'Arrêt en RDC (Art. 5 à 10) dans l'ordonnance n°344 du 17
sept 1965.
Notez que l'autorité compétente pour affecter
les personnels pénitentiaires est le ministère du gouvernement
central. Les établissements pénitentiaires sont établis
dans chaque lieu où il y a un Tribunal de paix, il y a un
établissement carcéral du territoire ou de police.
L'arrêté du ministre détermine l'endroit pour créer
un établissement pénitentiaire et camp de détention.
ü Du
personnel des établissements pénitentiaires et maisons
d'arrêts (Art. 11 à 19) de l'ordonnance n°344 du 17 septembre
1965, qui dispose que :
Le directeur de l'établissement qu'on appelle gardien
de ce dernier, il est chargé de la garde et de l'administration. Il est
chargé de la responsabilité pour gérer les détenus,
des écritures, différents registres et il assure la gestion
quotidienne de la maison ou établissement pénitentiaire.
ü Du
personnel de surveillance
Article 20 à 22 dans l'ordonnance n°344 du 17
septembre 1965, qui dispose que la surveillance immédiate de
détenu est assurée par les surveillants, toutefois, il est admis
qu'en cas d'insuffisance d'effectif on recourt aux gendarmes. Alors comme ils
n'existent plus aujourd'hui, ici on va recourir aux agents de police et de
l'armée nationale congolaise.
ü Du
personnel éducatif
Article 23 de l'ordonnance n°344 du 17 septembre 1965 qui
dispose que l'éducation immédiate des détenus est
assuré et exercé par des instructeurs. Toutefois, le directeur
est assuré et exercé par des instructeurs. Toutefois, le gardien
ou le directeur qui peut charger le surveillant pour accomplir cette
tâche, il doit choisir le surveillant apte et compétant.A
défaut il peut recourir à un particulier en dehors de la
surveillance et ce dernier reçoit des avantages nécessaires pour
le service rendu à l'établissement pénitentiaire.
ü Du
contrôle de l'Etablissement carcéral et pénitentiaire.
Article 24 à 29 dans l'ordonnance n°344 du 17
septembre 1965, qui dispose que : à part les chefs des divisions,
il y a des autorités politico-administratives, autorités
judiciaires et autorités sanitaires tous sont habilités à
contrôler l'établissement pénitentiaire. Le chef de
division, il contrôle une fois par trimestre, le gouverneur : il
contrôle les établissements pénitentiaires lui aussi une
fois par mois, le médecin désigné par le gouvernement lui,
il doit contrôler et visité régulièrement au moins
une (1) fois par jour car quant au médecin infirmier affecté
à l'établissement pénitentiaire donné, il doit
visiter fréquemment et régulièrement et cela chaque jour
et sans délai.
Les visiteurs ont le droit de demander au directeur (gardien)
tous les renseignements utiles rentrant dans la sphère de leurs
attributions. Si les détenus ont des doléances à leurs
présenter, ils les entendent isolement.
ü
Administration des détenus dans les établissements
pénitentiaires
Voir les articles 30 et 33 de l'ordonnance n°344 du 17
septembre 1965, qui dispose que : il est déterminé
limitativement le titre de détention qui permet au directeur de
l'établissement carcéral d'admettre un détenu dans
l'établissement pénitentiaire sous sa direction, ainsi que les
formalités pratiques de cette admission. Il est indiqué
également les mentions que doit contenir un registre d'écroutet
le rôle que doit jouer le personnel médical depuis l'accueil
jusqu'à la sortie du détenu.
Retenons, qu'il n'y a pas de détenu en prison, maison
d'Arrêt et camp de détention sans titre valable et légal
qui l'incarcère dans la maison de détention.
ü
Administration des détenus dans les maisons de détentions et
d'arrêt
Tout situation qui tient au détenu préventif
(prévenu) s'il tombe malade etc. il doit être toujours
porté à la connaissance du magistrat instructeur de son dossier
sur rapport du médecin.
ü
Répartition des détenus dans les locaux
Les articles 39 et 43 de l'ordonnance n°344 du 17
Septembre 1965, dispose que : les détenus sont répartis dans
les locaux (cellules) destinés à les accueillir d'une
manière en commun selon leurs catégories sur base de sexe,
d'âge, statut et j'en passe. Il est organisé des quartiers
spéciales qui sont prévu pour la sécurité et
l'isolement comme destiné.
Notez que le règlement intérieur
détermine les mesures d'ordre intérieur et de police locale et
les détails de service qu'il est utile de prévenir dans chaque
établissement pénitentiaire qui sont des maisons de
détention et d'arrêt tout comme le camp de détention et les
prisons profondément dite.
Il doit être affiché un extenso au corps de garde
de l'établissement carcéral et par diverses extrait dans les
divers quartiers de bâtiment pénitentiaire. Il faut le rôle
élaboré par le directeur du bâtiment carcéral. Ce
rôle doit être approuvé par la hiérarchie. Le
directeur spécifie les devoirs et les attributions du personnel ainsi
que les consignes permanentes pour le personnel et les détenus.
Exemple : Eviter des attroupements et des cris inutiles dans
un établissement pénitentiaire.
· Des
interdictions : il est interdit aux détenus et au
personnel (interne ou externe) d'afficher un mauvais comportement tel que les
cris en désordre, toute réunion en groupe bruyant, tout acte
individuel ou collectif de nature à troubler l'ordre sont interdits et
prohibés aux détenus. Des gestes et des objets prohibés au
sein d'un établissement pénitentiaire.
· Propreté et soin
corporel : L'ordonnance n°344 du 17 septembre 1965
respectivement à ses articles 48 et 60, dispose que : les mesures
de propreté, de soins corporels des vêtements, d'exercices
physiques, mentales et des soins médicaux. Le directeur peut prescrire
que les détenus des maisons pénitentiaires, d'arrêt et
carcéral. Sur prescription du directeur une catégorie d'entre les
détenus soient revêtus d'une tenue distinctive, mais la tenue ne
peut pas d'aucune manière être dégradante et humiliante.
· Du travail faite par les
détenus : le travail est justifié par les
articles 64 et 68 de l'ordonnance 344 du 17 Septembre 1965, qui dispose que, le
travail est un droit fondamental. D'où l'Etat a droit à organiser
du travail à l'intention des détenus, à tout détenu
qui travaille doit être rémunéré de manière
équitable. Ce fond doit être géré par le Directeur
de l'établissement pénitentiaire dont le détenu
appartient. Les travaux sont répartis en tenant compte des
capacités et aptitudes physiques et mentales de tout un chacun (e) et
des exigences de la disciplines. Le ministre de la justice du gouvernement
central décide de la création ou de la suppression d'atelier dans
un établissement pénitentiaire. Notez qu'il est interdit
d'affecter les détenus au service personnel du directeur ou de toute
autre personne.
· Concernant la nourriture des
détenus : leur nourriture est défendu par
l'ordonnance-loi n° 344 du 17 septembre 1965, à ces articles 48 et
60 qui dispose que : les détenus ont droit à une nourriture
seine, quel que soit le motif de leur arrestation, ils doivent manger trois (3)
fois par jour.
· Du
pécule : à l'occasion du travail,
bénéfice du travail dont le ministre de la justice du
gouvernement central peut arrêter que les détenus
bénéficient pour chaque journée de travail, d'un
pécule disponible pour les paiements des amandes et frais de justice
d'un pécule de service destiné à sa survie
journalière pour toute infraction à la discipline du travail, le
Directeur ou gardien peut supprimer l'allocation allouée pour la
journée du cours de laquelle l'infraction qui a été
commise. Il est dit à l'article 70 de l'ordonnance 344 du 17 septembre
1965 que toute suppression d'allocation est consigné dans un registre
par le Directeur et le montant de cette allocation qui sera versé
à la CANTINE, ceci ça se justifie par l'ordonnance -loi
n°344 du 17 septembre 1965, à son article 47.
· Des relations avec
l'extérieur : Nous devons garantir les relations
avec les membres extérieurs et cela sans tracasserie, facilitons
l'accès aux partenaires en se rassurant s'ils ont de l'existence
légale. Ils doivent se conformer aux règles internes de
l'établissement.
· Concernant la punition de
détenus : la punition de détenus à
l'encontre de la loi ou pour les détenus indisciplinés. c'est
bien explicité dans l'ordonnance-loi n°344 du 17 septembre 1965
précisément à ces articles 77 et 76 qui stipulent
que : les peines disciplinaires sont infligées par le Directeur
gardien, ou en cas d'absence ou empêchement par celui qui remplace. Notez
que le Directeur ne doit pas punir un détenu selon ses sentiments, il
doit respecter les normes internationales que nationales. Si le détenu
commet une faute lourde, le Directeur gardien peut ordonner et infliger
à un tel détenu 45 jours de cachot. Pour une faute moyenne, il
peut lui infliger 30 jours et pour une faute légère le
détenu coupable peut faire 15 jours dans le cachot de
l'établissement pénitentiaire. Mais la nuit le détenu est
remis dans sa cellule respective tout comme le gardien peut juger mieux de lui
changer de cellule. Sans oublier aussi que pour l'adoucissement du
régime. Si un détenu fait du bien, il faut le récompenser,
l'encourager et le féliciter comme un enfant de l'école primaire
qui est félicité par son enseignant quand il réussit. Voir
les articles 81 et 82 de l'ordonnance-loi n°344 du 17 septembre 1965.
Section 3. LE
TRANSFEREMENT, DECES ET EVASION
3.1. De transfèrement
Les détenus peuvent être transférés
d'un établissement à un autre pour harmoniser les affaires dans
le domaine pénitentiaire par exemple. Ce transfèrement peut
s'effectuer au sein d'une même province ou d'une province en une autre.
Le transfèrement peut être exécuté
à la demande du détenu en collaboration avec sa famille ou seul
le détenu, la demande de l'autorité judiciaire soit le
transfèrement d'un détenu peut être sur demande de
l'autorité politico-administrative. Voir les articles 83 et 88 de
l'ordonnance 344 du 17 septembre 1965.
3.2. Concernant le décès d'un détenu
Pour le cas de décès d'un détenu, le
Directeur informe l'autorité administrative compétente et
l'autorité judiciaire. Si le défunt détenu est un
prévenu, on informe l'officier du ministère publique instructeur
du dossier.
· Concernant la libération
conditionnelle
Voir les articles 91 et 103 de l'ordonnance-loi n°344 du
17 septembre 1965, qui stipule que : la libération conditionnelle
est une mesure qui intervient avant le terme de la peine prononcée, une
libération anticipée, elle est décidée par le
ministre nationale de la justice ou celui de la défense selon le cas
civil ou militaire, sans oublier aussi qu'un détenu prévenu peut
en être bénéficiaire.
3.3. De l'évasion
Selon l'Article 90 dans l'ordonnance-loi n°344 du 17
septembre 1965 qui nous informe que : en cas d'évasion, il faut que
le Directeur informe immédiatement toutes les autorités
compétentes. D'abord par téléphone puis par écrit.
Ainsi, le Directeur de l'établissement qui abrite l'évadé
ou les évadés, peut informer d'abord le bourgmestre, et les
autres autorités compétentes.
· Des formalités à la sortie
légale et légalisée
Les Articles 106 et 107 de l'ordonnance-loi n°344 du 17
Septembre 1965, nous informe que : il faut tout d'abord remplir toutes
formalités du levée d'écrou. En vérifiant toute
l'identité quand le Directeur l'avait reçu, il faut que le
Directeur soit vigilant et bien vérifier les documents avant de
libérer.
CONSIDERATION CRITIQUE ET
SUGGESTION
CRITIQUE ET SUGGESTION
Normalement on constate que nombreuses dispositions
légales règlementaires et variées protégeant les
droits et devoirs des détenus. Vu que la partie accusante et l'Etat via
la société et plus précisément la partie dite
plaignante ou partie accusante. Tout ceci car la justice est rendue au nom du
président de la République qui est le numéro un (1) de la
république et qui représente un Etat.
D'où l'Etat congolais a des lois et règles qui
ne doit pas violer les droits humains car notre pays est membre de
l'organisation internationale qui privilège et garantit le respect de
droits humains et cela doit être respecté par tous les pays qui
ont ratifié le pacte international relatif aux droits humains.
Donc les droits unérants et fondamentaux des
détenus doivent être garantis aux personnes détenus en
République Démocratique du Congo. Le Droit comme l'habitation
digne et capable de protéger sa personnalité et la nourriture
seine en qualité et en quantité pour garantir sa survie.
Malheureusement l'on relève la balance penchée lourdement vers le
non-respect de détenus qui sont aussi des êtres humains qui
méritent d'être protégés et
rééduqués.
Alors, l'on ne doit pas se réjouir de torturer ces
derniers cars n'oubliez pas que, vous vous croyez être libre, mais nous
vous informons que vous avez juste une liberté qui est d'une
manière provisoire, car la loi est considérée comme un
panneau publicitaire, que l'on peut s'heurter contre et sans le vouloir.
D'où quel que soit ce qui serait votre explication lorsque vous
êtes déjà heurté contre la loi, cette
dernière finira toujours par s'énerver contre vous.
Donc, il faut éviter d'énerver la loi. Surtout
que la loi pénale est de stricte application.
Comme la loi a toujours tendance à s'énerver
contre quiconque semblerait la provoquer, alors si vous violer les droits de
détenus. Ainsi, vous risquerez aussi d'aller vivre la détention
sur terrain avec les hommes que vous avez semblé minimisé voir
même les voir comme de vaut rien pour les torturer comme vous voulez.
Alors pour éviter le pire car la détention, le service
pénitentiaire ou domaine pénitentiaire est bon ou belle que
lorsque vous écoutez ça de loin ou lorsque vous y mener des
recherches pour un but déterminé visant un intérêt
quelconque. C'est bon, mais aussi c'est très mauvais (e) quand vous y
arrivez comme détenus. Alors quel que soit votre pouvoir que vous avez
vis-à-vis de détenus, il est mieux de leurs témoigner
même un minimum de considération envers eux entant qu'êtres
humains et cela sans tenir compte de leurs motifs d'arrestation car l'homme a
toujours des bons côtés et des insuffisances dans son parcours
vital.
Alors, c'est mieux de réaliser et garantir les droits
fondamentaux des détenus entant qu'être vivant, mais ce qui est
décevante est qu'il y a des sérieuses difficultés d'une
manière générale dans prèsquetous les
établissements pénitentiaires de la RDC.Pour dénoncer
toutes les formes des violences dont les détenus sont victimes car aucun
auteur d'infraction ne pourra jamais accepter à ce qu'un détenu
victime d'une violence grave puisse se plaindre officiellement devant les
juridictions légales, de peur pour l'auteur d'être directement ou
indirectement incriminé pour enfin engagé sa
responsabilité. Malheureusement une infraction reste toujours une
infraction car c'est un comportement et acte non voulu par la
société.
D'où un détenu doit aussi jouir de tous ses
droits fondamentaux car sont des droits qui lui est garantis par la loi et la
même constitution qui est supposée être la volonté de
toute la société. Or l'infraction est un mal ou acte non voulue
dans la société. Donc c'est de la même chose que les
détenus n'aiment pas être maltraiter comme s'ils n'étaient
pas des êtres humains.
Bref, c'est mieux que tout un chacun partout où vous
êtes de bien vouloir contribuer et témoigner même un minimum
de considération envers les détenus, contribuer à leur
rééducation car après l'amendement, il peut encore
être réinsérer pour devenir utile à la
société. Si réellement le service pénitentiaire a
bien fait son travail de transformer celui qui était un danger, un non
voulu qui peut être transformé en bénédiction et
personne utile à la société. D'où pour atteindre
cet objectif, nous avons trouvé mieux qu'il faut une réforme bien
faite dans le domaine ou service pénitentiaire en RDC. Sans oublier que
le détenu doit connaître ses devoirs d'une manière
légale, car certains détenus repris de justice versant parfois et
ouvertement dans le triomphalisme, à telle enseigne que, comme qui
dirait, ils n'avaient jamais causé aucun mal à leurs victimes
qui sont souvent la partie plaignante qui peut aussi avoir été
animé d'une mauvaise foi pour faire souffrir inutilement un être
humain.
Alors voilà que le canon est tourné vers les
détenus car tout acte qu'un détenu voudrait faire dans un
établissement pénitentiaire doit être visé par le
chef compétent en la matière.
Ainsi, il est presque difficile pour un détenu victime
de dénoncer la violence ou comportement quelconque qui viole ses droits.
Constat fait est que comme il semble être comparé aux personnes
vulnérables, sans moyens de réclamer ses droits violés,
même ce qui lui est primordial. D'où certains détenus
finissent parfois par maigrir car étouffé parfois par des remords
internes quand ils se trouvent abandonnés de leurs tristes sorts.
Vraiment, il faut un mécanisme de dénonciation dans les
établissements pénitentiaires de la RDC.
Et le gouvernement via les autorités compétentes
doit mettre en place une procédure spéciale pour amender, dire
non à l'utilisation des certains détenus dotés des lourdes
responsabilités vis-à-vis de leurs semblables détenus.
Sans oublier que l'Etat, toujours via les autorités compétentes
en la matière, il doit encourager certains systèmes ou pratiques
importantes appliquées dans l'organisation interne de
l'établissement et d'encourager le système ou les pratiques qui
ne sont pas importants. Surtout, il faudrait beaucoup plus critiquer, le fait
d'utiliser certains autres détenus qui semblent être à la
hauteur plus que les autres détenus comme un éléphant qui
marche sur les oeufs, suite en un pouvoir ou fonction précaire lui
attribué par les membres de l'organisation interne de
l'établissement pénitentiaire.
Donc, il faut une formation instantanée et nous
supposons, qu'il faut construire de grande clôture abrita ou dotée
de plusieurs ateliers et matériels d'apprentissage des différents
métiers. Sans oublier la sécurité et surtout et comme
l'objectif des éléments de force publique, compte tenu de
l'insuffisance des éléments commis à la garde dans un pays
dominé par la guerre continuelle. Ainsi, pour la sécurité
des murs des établissements pénitentiaires. Nous supposons qu'il
faudrait arranger moyennant des dispositifs d'électrification de murs
comme fut à l'époque la clôture du camp de détention
de Buluo. Des dispositifs électriques pour une sécurité
maximale, mais aussi dangereux car quiconque détenu ou une tierce
personne qui oserait s'approcher du mur, il encoure le risque d'être
électrocuté qui est un danger de mort. Malgré tout
ça, ce système doit y être replacé après
avoir fait grandir ou élargir le mur sur une grande étendue de la
surface que contient ou que comporte beaucoup de nos domaines
pénitentiaires qui abritent beaucoup des établissements
pénitentiaires en RDC.
Sans oublier que pour l'effectivité et la
matérialisation de la réforme, il faut aussi la création
des autres établissements pénitentiaires compte tenu de nos
suppositions dans ce travail de mémoire qui est l'oeuvre d'esprit
après tant des recherches soutenues dans le domaine
pénitentiaire. Et comme il faut une formation rigoureuse de la main
d'oeuvre du personnel pénitentiaire et détenus sur la protection
des droits humains. Car actuellement la politique pénitentiaire
congolais semble être décevante car vous trouverez les droits de
l'homme être violé régulièrement dans des milieux
pénitentiaires par d'autres détenus et parfois même par des
personnels ayant l'autorité et le pouvoir sur les détenus. Sous
le gros silence des autorités compétentes pour mettre de l'ordre
dans ce domaine et c'est ce qui devient pire voir un détenu qui peut
même se prévaloir donner des ordres parfois mal donner dans des
établissements pénitentiaires. Et par l'ivresse du pouvoir
précaire dans le lieu carcéral certains détenus ayant des
titres, ils semblent oublier même la peine qui pèse sur eux or ils
sont appelés à subir la teneur de leur pénologie pourvu
qu'ils puissent s'amendé. Ou confessé qu'il ne
répéterons plus à commettre le mal qui les avait conduit
à la détention.
Sans oublier que l'ordonnance n°344 du 17 septembre 1965
doit leurs être applicable avec douceur, telle est la stipulation des
certains articles ou disposition relative à la promotion de droits
humains. Sans oublier la loi du 22 Juin 1987, portant sur les règles
applicables sur la population détenus. Et la loi du 18 Janvier 1994
portant sur la réforme de la santé en milieu
carcéral ; doit aussi être appliquée pour atteindre
les objectifs visés par la réforme souhaitée dans ce
travail : - la loi de 1998 sur la réforme des services
pénitentiaires d'insertion et de probation ainsi que les multiples
circulaires visant la bonne marche du domaine pénitentiaire.
Malgré que nous constatons que jusque-là, les
quelques efforts qui peuvent être remarquables sur terrain comme à
la maison d'arrêt de Boma qui a essayé de repeindre ses murs, mais
la situation pour faire respecter les droits des détenus n'a pas encore
atteint un niveau prioritaire pour le respect des droits fondamentaux à
l'être humain. Jusqu'aujourd'hui dans nos établissements
pénitentiaires rien n'est fait pour préparer comme il faut
l'apprentissage des différents métiers pour la resocialisation
des détenus dans la société libre. D'où nous
souhaitons une réinsertion digne et bénéfique aux
détenus et à toute la population congolaise. Surtout les
détenus qui ont été condamnés doivent en être
bénéficiaires après leur amendement. Pour préparer
leur retour à la vie paisible dans la société libre et
parfois innocent, mais coupable des actes de récidiviste cause par les
détenus qui n'ont pas été bien préparé pour
le retour normal dans la société libre.
A ce point les détenus, ont complétement raison
de réclamer le respect de leurs droits car c'est pour vouloir bien aussi
de leur tour chercher de bien s'acquitter de leurs devoirs. Et leur raison est
fondée par le constat que dès la sortie dans le milieu où
ils étaient enfermé, il ne sait pas sur quel pied commence la
dance vu que dans la société il faut un travail pour parvenir
à subvenir et répondre aux multiples besoins pour la survie.
Alors comme un détenu qui a fait longtemps en détention, il
semble perdre le rythme de la dance dans la société libre et
suite à leur isolement, y sont aliéné mentalement voir
même tourmenter en esprit qui est déjà faible dès le
jour d'arrestation et même parfois qui semble être entouré
de rouille et horreur. D'où ils leurs arrivent d'être difficile de
s'adapter facilement après leurs libération pour la
société libre et travailleur.
Ainsi, suite à tous ces cris de détresses et de
désespoirs sous forme des critiques. Nous suggérons que c'est
mieux que, les autorités ainsi que toute personne qui lira cet ouvrage
d'avoir la bonne foi et l'amabilité de bien vouloir faire respecter les
droits des détenus, surtout, ils ont droit ont travail
rémunératoire pour répondre à ses multiples besoins
après leurs libération légale. Ainsi, avant de chuter avec
cette partie du travail réservée aux critiques et suggestions.
Nous trouvons que c'est mieux de signaler que nous constatons
que dans la plupart des établissements pénitentiaires de la RDC,
il y a toujours et parfois les violations et violences faites aux
détenus. L'autre constat est que la plupart des bâtiments
pénitentiaires qui existent en RDC, ont été construit par
les colonisateurs Belges et comme ça date de longtemps, d'autres sont
actuellement menacés par un état avancé du
délabrement car menacé par la rouille et ne répondant pas
aux normes requises pour sauvegarder les droits humains et répondre aux
normes internationaux.
Par considération de la pertinence de tout ce qui
précède, nous continuons à suggérer qu'il y a
toujours l'espoir au changement pour habiller notre domaine
pénitentiaire d'une nouvelle robe et nous pensons que ce changement doit
commencer dans le coeur du personnel pénitentiaire congolais pour donner
la chance au respect des droits humains et nous sommes sûrs que tout ira
bien pour permettre le service pénitentiaire de bien s'acquitter de ses
devoirs pour atteindre les objectifs tant attendu dans la
société.
Nous chutons par des notions suivantes qui dit qu'il faut une
formation rudimentaire dans les établissements pénitentiaires au
profit de la population détenus car c'est dans le cadre de la
réforme sous forme de la révolution de la modernité pour
le respect des droits humains car il est dit que, même en cas guerre, il
faut même un minimum d'un comportement civilisé entre les parties
au conflit. Donc, il n'y a pas débat car les respects de droits humains
s'impose.
Ainsi, c'est aux autorités pénitentiaires de se
plaindre incessamment devant l'hiérarchie gouvernementale et les
particuliers de bonne foi jusqu'à ce qu'une solution sera trouvé
tels que la construction et la réhabilitation des autres bâtiments
pénitentiaires. Il faut la multiplication de maisons ou
établissement pénitentiaire dans le pays, sans oublier la
prévision des ateliers et salles d'apprentissage des différents
métiers au profit des détenus, les ateliers et les salles doivent
être bien équipé pour bien contribuer à
l'éducation de détenu via la main, d'oeuvre perfectionné
et bien outiller. Surtout que nous avons parfois et toujours
écouté que notre pays est suffisamment riche. Ainsi, nous
espérons que dès maintenant et dans les jours avenir, notre pays
sera doté d'un domaine pénitentiaire qui donne la confiance
à la rééducation et la réinsertion utile et
importante au détenu lui-même et à la
société. Après toute ces critiques et suggestions ci-haut.
Enfin, nous suggérons aussi qu'il faut des établissements
pénitentiaires ayant plusieurs ateliers d'apprentissage des
différents métiers professionnels au profit des détenus.
CONCLUSION
Le respect des droits humains via la qualité et
l'efficacité de la justice préoccupant tous les citoyens d'un
Etat, et c'est au coeur du développement d'une nation.
Ainsi, dans cet ouvrage le respect de droits de détenus
est un principe sacrosaint. Pour rappeler aux professionnels et
autorités compétentes. Chacun (e) a son niveau de bien vouloir
faire respecter les droits de détenus, et cela dans la conformité
de la loi nationale qu'internationale relative à la protection des
droits humains. Sans oublier de contribuer à l'élimination d'une
autre forme d'antivaleur qui est le tribalisme qui doit aussi être mis en
écart dans le service pénitentiaire de la RDC. Car il est
mentionné noir sur blanc dans la constitution de la République
Démocratique du Congo à son article 16 et dans d'autres
dispositions de la même constitution de notre pays.
Sans oublier les traités et règles minima des
nations-unies sur le traitement des détenus acceptées et d'autres
sont parfois signe à Genève. L'ordonnance-loi n°344 du 17
septembre 1965 applicable aux détenus en RDC dont la première
disposition stipule que : « Le condamné à le droit
d'être amande, reclassé et préparé à
l'insertion dans la société libre », nous
évoquons aussi l'adage en latin qui dit « UBI SOCIETAS UBI
JUS » c'est-à-dire que là où il y a une
société il y a le droit. Ainsi, notre sujet est dans la
société carcérale pour confirmer notre position qui
prône la réforme pour le respect de droits de détenus car
sont des êtres humains.
Rappelez-vous que la présente oeuvre d'esprit
scientifique animée par la diversité et me dote d'une
volonté scientifique farouche, qui est toujours prêt à
répondre à l'appel de la science comme un commando pour
défendre sa patrie. Alors ce travail est animé autour d'un sujet
intitulé : « NECESSITE DE REFORME DU SYSTEME
PENITENTIAIRE EN RDC. (UNE ETUDE DES DROITS DE DETENUS DANS LA MAISON D'ARRET
DE BOMA, LE CAMP DE DETENTION DE BULUO ET LA PRISON DE KASAPA).»
Ce travail est subdivisé en trois chapitres qui
traitent séparément sur les notions préliminaires,
sur les considérations générales, dans le premier chapitre
et deuxième chapitre qui traite sur l'aperçu
général de l'applicabilité de la pénitence dans la
maison d'arrêt, dans le camp de détention et dans la prison.
D'autre part, hormis ces trois chapitres, nous avons
l'introduction générale, les critiques et suggestions, la
conclusion et l'annexe qui contient des idées pour compléter la
compréhension et l'information sur l'idée qui ont poussé
l'auteur que nous sommes d'apporter notre attention au sujet que nous avons
choisi pour animer ce travail de mémoire. Enfin, il y a la bibliographie
qui vient après l'annexe que nous avons inséré entre la
conclusion ici présente et la bibliographie qui vient tout avant l'index
qui est la partie finale de ce travail car la table de matière a
été placé parmi les pages préliminaires parmi les
pages de la première position dans ce travail et c'est bien pour le plan
de travail de mémoire présent pour sanctionner notre formation en
deuxième licence,département de Droit public.
Avant de jeter l'encre et pour préparer de mettre les
points sur les Xs dans cette partie qui est la conclusion de ce travail, il
est mieux de signaler que nous savons pertinemment que le législateur
congolais a déjà disposé du fondement juridique, mais qui
peut aussi être révisé pour être adapté aux
situations de la réalité nouvelle dans un domaine concerne par ce
fondement juridique.
D'où dans le cas du domaine sous étude dans ce
travail de mémoire nous voyons l'ordonnance-loi n°344 du 17
septembre 1965 portant régime applicable aux personnes détenues
en RDC. Cette ordonnance mérite la révisitation, l'amendement et
la révision de certains articles pour les adapter aux
réalités nouvelles dans le domaine pénitentiaire et des
réalités actuelles sur la scène internationale de la
promotion de droits humains.
En bref, nous avons eu aussi à parler sur les
instructions et circulaires qui nous ont servis à la rédaction de
ce travail, tels que : le circulaire n°005/002/PGR/2004, du
28/12/2003 relatives à la population carcérale et la
mortalité dans les milieux carcérales par MUKEBA, procureur
à 2004.
Bien que, nous connaissons CAMILLE DE GEZ qui est parmi les
éminents doctrinaires qui ont écrit sur l'organisation du domaine
pénitentiaire, dans son ouvrage intitulé « univers
carcéral » lui aussi avait constaté comme nous qu'il
existe une faible quantité des matériaux disponibles pour
l'éducation des détenus amandé. Ainsi, nous concluons en
disant que, pour la resocialisation et l'insertion avec réforme de
détenus amandés, et pour nous permettre d'avoir encore confiance
et l'espoir en un avenir digne et prospère des détenus
après leurs libérations.
Pour la matérialisation de la réforme avec des
nouveaux structures pénitentiaires et anciens réhabilité.
Il faut prévoir des ateliers de la mécanique, automobile, la
menuiserie tout comme la maçonnerie, la plomberie, la pâtisserie
pour la fabrication des paix, oeuvre d'art, vannerie,
électricité, l'agronomie pour l'agriculture maraichère
tout comme l'élevage et j'en passe. Et nous espérons à un
meilleur résultat qui est une victoire pour le service
pénitentiaire pour avoir réduit le taux de la récidive en
évitant le chômage des détenus. Donc tout détenu
libéré doit avoir un bon souvenir d'avoir maitrisé ne fus
qu'un métier libéral dans le milieu carcéral. Ainsi, aux
services et organisations de bonnes foies dans la société de bien
vouloir aussi si moyen il y en a, organisé des structures d'accueil
comportant différent travaux pourra aider d'encadrer les personnes
libres dans le milieu carcéral et cela pour les permettre de trouver ne
fis qu'un petit rien, en attendant qu'ils puissent voler de leurs propres
ailes, une chose charitable et louable que nous souhaitons. Malgré,
qu'il existe aussi une catégorie de personne qui n'ont aucune vocation
professionnelle dans leurs vie, qui poussent à dire quelque part que de
telles personnes méritent de passer le reste de leurs vie en milieu
carcéral car il semble qu'ils sont anormales ou déjà
abimé pour avoir laissé leurs peaux dans l'établissement
pénitentiaire.
ANNEXES
DANS LA MAISON
D'ARRÊT
Faudrait-t-il à l'arrivé s'opposer à la
dictature et aux actes de cruauté y rencontrés ? ou
ça serait ouvrir la porte à la torture et, ont `'TWANDA''
à BOMA ?
Ainsi, pour la vérité et rien que la
vérité scientifique pour le condamné injustement, nous les
vengerons par écrit et nous parlerons pour la défense.
Actée que c'est pour le bien être. Il faut protéger et
entretenir un bon environnement car ça vous viendra un jour au secours
dans les temps de détresse, un moment venu. Ces idées dans une
nouvelle vision du monde.
Selon l'ordonnance-loi n°344 du 17 septembre 1965 qui
dispose certaines stipulations qui parlent et qui soutiennent la garantie des
droits de détenus, notamment leurs droits à la communication avec
l'extérieur.mais malheureusement ou malchance ce droit est parfois n'est
pas respecté par l'organisation interne dans les maisons de
détention.
Alors la liberté de penser et de droit à l'amour
n'existe presque pas à l'intérieur des établissements
pénitentiaires de la RDC.
Ainsi, les jours passés dans un milieu carcéral
sont des jours sans nom, sans espoir à la vie digne et respectueuse des
droits humains voir même sans droit à l'amour avec les enfants de
la télévision. !
Alors conformément au droit de la
génération future évoqué par Frederico Mayor dit le
courrier de l'unesco. Alors, trouver ces idées sur le point 1.04.6. Dans
Florilege 6ème, 2ème édition vous
trouverez les passages intitulés : Tu parleras de Thomas
Rahamadraha dans la présence africaine.
Quelques questions à l'opinion publique pour chercher
à résoudre le problème ensemble.
Quels conseils un condamné récidiviste et
bandits de grand chemin peut-il donner à un détenu
prévenu ? si ce n'est pas que le détruire suite à la
mauvaise foi du récidiviste qui n'a que d'expérience dans la
commission des infractions pénales qui amènent toujours à
la condamnation car la loi pénale est de stricte interprétation.
Pour éviter cela, il faut la séparation et
classement de détenus dans des cellules ou dortoirs selon telle ou telle
autre catégorie de détenus. Par exemple les détenus
condamnés dans leur tordoirs et le prévenu dans le cellule d'un
bloc séparé à celui de condamné. Tout ceci pour
éviter la confusion dans le domaine pénitentiaire. C'est aussi
mieux de créer ou de séparer les établissements de
détention pour les soldats et d'autres doit être propre aux
civiles, d'où l'idée des prisons militaires qui doit être
différent et loin de la prison civile par exemple pour eviter et
prévenir les complexes de mésentente pouvant résulter
entre ces deux groupes sociaux car leurs missions chacun d'entre ces deux sont
différentes. Surtout aussi leur façon de voir le monde et les
choses est différent (e). Cette opinion peut être soutenu par le
langage courant et couramment prononcé dans la société en
disant que : dans quelques circonstances de cas, le civil n'a pas
confiance au soldat et le soldat non plus parfois n'a pas totalement confiance
à un civil et cela vice versa.
Voyons le `'TWANDA'' à BOMA qui demande aux
détenus : La prison c'est quoi ? comme réponse du
détenu il répond en disant que : la prison c'est l'ordre, la
discipline et la propreté.
La prison est comparée à quelle
règne ? ou bien où sommes-nous ? questions
posées par d'autres détenus et le détenu concerné
ou le détenu à qui le `'TWANDA'' s'adresse, Il doit
répondre à cette question que : ils sont au RWANDA, tout
comme il peut répondre que : ils sont Au Zaïre. D'où le
Rwanda du Zaïre une cellule très bizarre et pénible car
ayant des pratiques embêtantes. Les détenus en disant, soit en
parlant du Rwanda au Zaïre (Rwanda du Zaïre) c'est comme qui dirait
qu'il veut se rebeller du Congo, pays qui les a mis en détention.
Normalement, l'établissement pénitentiaire est
un milieu de partage pénible entre les détenus qui y trouvent et
il doit se poser des questions de savoir pourquoi ils sont et se retrouvent
dans des telles situations et mauvaises conditions de détention ?
Et comment y en sortir ? Mais ! malheureusement et ce regrettable
même que ce monde semblerait se transformer sans liberté de
prière car chacun a sa croyance et la liberté de prier et de
confesser dans une église de son choix et dans laquelle il confesse sa
foi. D'où la prière d'un petit enfant soldat car sans
liberté. Je ne voulais plus allez à leurs églisette de
réveille et d'autres de sommeil.comme ils les disaient qu'il faut que
tout détenu y aller ! or lorsque vous avec atteinté à
ma liberté en général et plus particulièrement
quand vous violez mon droit de confesser ma foi. Ainsi, il arrive des moments,
où nous vous disons vaut mieux la mort que chercher de me faire perdre
ma foi par force. D'où les jours passés en détention sont
des jours sans noms, et en détention, il y a des nuits sans lune comme
il y a des jours sans soleil car même si le soleil sortait c'est comme
qui dirait que le soleil n'existe pas quand vous êtes en
détention. Car nous étions à moitié
asphyxiés et l'odeur parfois de sang et d'innocence nous jaillissait les
larmes de toute torture qui bouchait notre liberté et ce qui entraine
des nuits sans lune et des jours sans lumière. La peine qui nous
habitait nous étouffait pour nous faire des nuits sans sommeils, des
nuits sans lune et j'aurais voulue et pouvoir penser à mon
Grand-père pour vouloir même se transformer en un petit insecte
pour s'échapper et trouver des petits trous. Mais ! la souffrance
nous obsède un besoin d'évasion étant
étouffé par la souffrance et désespoir suite aux jours
sans lumière, sans nom et des nuits obscurs sans lumières qui
entrainait même en nous le dégout de vivre à cause de la
souffrance encrée dans le coeur aussi profondément que le coeur
été touché au point de ne plus avoir confiance en personne
et à qui que ce soit à part Dieu et les quelques ami (es) qui
inspirent votre espoir et confiance.Sans oublier certains qui viennent vous
visiter et d'autres qui empatisse avec vous-même de loin. D'où le
moment de détention est aussi un moment très important voir
même de grâce que Dieu peut vous accorder pour connaitre qui est
pour et qui est contre votre succès et bien être. qui est vrai ami
(e) et qui ne l'est pas.
Donc, la détention peut aussi être comme une
initiation pour vous ouvrir au grand livre du monde inconnu qui vous entoure
pour parler de votre environnement même le degré de vos relations.
D'où comme nous sommes africains, c'est mieux aussi de
connaitre et conserver les adages et les proverbes de la sagesse africaine tels
que :
· La meilleure des connaissances est celle qui
mène l'homme vers les autres ;
· Si tu ouvres la porte à tout le monde, les
paresseux seront nombreux ;
· La maison est belle que lorsque chacun y reconnait sa
part de labeur ;
· Qui a un bananier à domicile peut en cueillir
les fruits même sous la pluie tel est le cas du droit réel. Donc
ne soyons pas paresseux pour éviter l'enrichissement sans
cause ;
· Quand tu as attrapé deux antilopes, mange les
chenilles et range les bonnes bêtes dans ton grenier car la souris du
domicile ou de la maison n'est pas mangeable (consommable) vu que cette
dernière peut mourir à ta place s'il y a eu une nourriture ou
repas empoisonner pour toi, la souris peut être la première
à goutter cette nourriture avant vous et élimine à votre
place ;
· Le chemin où tout le monde passe est la plus
sûr comme le patriotisme ;
· L'eau chaude ne brûle pas l'habit pour dire ce
qui est écrit est écrit car c'est signé et celé ou
cacheté ;
· Toujours et partout un témoin nous observe,
à commencer par notre propre conscience, l'idée d'un
juge surnaturel ;
· On ne met pas sur la tête un fardeau dont on
ignore le contenu et dont le poids dépasse nos forces.
C'est-à-dire qu'il faut développer l'esprit de curiosité
caractérisé par l'attention à la nature car parfois c'est
mieux d'écouter les choses que les êtres ;
· Ne disposez pas de la queue d'un singe avant qu'il ne
soit mort c'est-à-dire qu'il y avait des jours le lion fut l'ami de
l'homme, mais ! c'est le dernier homme, qui aurait appris au lion qu'il
faut s'entretuer ;
· L'éléphant ne se fatigue à porter
ses défenses
· Si tu lui donne un poisson, il mangera un jour, si tu
l'apprend à pêcher il n'aurait plus faim. Alors, il faut nous
apprendre le travail que de nous apprendre la violence et le mal. Alors
encouragez-nous dans des bonnes choses que de nous enfoncer par votre mauvaise
foi, arrêter de nous critiquer pour chercher à nous rendre un
mauvais service. Heureusement nous n'allons pas permettre cela au profit de ce
qui est bien que nous voulons. Alors arrêtez votre mauvaise intention au
détriment du développement.
· Le petit d'un serpent est toujours un serpent et chaque
serpent rampe à sa façon. Ainsi la part du lion ;
· Les hommes sont deux mains sales, mais l'une ne se lave
qu'avec l'autre pour dire que l'interdépendance. Alors pourquoi !
une sorte de contradiction entre les éléments du monde si ce
n'est pas la mauvaise foi ;
Alors, il faut bannir la mauvaise foi dans nos
sociétés pour la prospérité de notre
planète. D'où pour palier à ce problème. Allez y
dire aux chèvres qui ne s'entendent pas entre eux.
Tableau IV. La valeur
du mot réconciliation
· L'arbre coupé tombe en grand bruit, mais on
n'entend pas la forêt qui pousse. comme les biens faits ne sont
jamais oubliés normalement, mais parfois nous trouvons le contraire dans
le monde pourquoi ? Tout simplement car l'homme est injuste. D'où
il faut le Droit car c'est nécessaire dans la société pour
le droit qui vient du mot latin Dirito (Droit) qui signifie la
droiture ;
· Le mensonge peut courir toute une année, mais la
vérité l'attrapera un jour pour justifier la présence de
la justice surnaturelle que nous supposons que ça sera une justice juste
car rendu par un vrai juge, est juge de juges ;
· Avoir un couteau tranchant ne permet pas de couper
l'ombre pour évoquer l'idée de la théorie de la
baïonnette intelligente.
· Celui qui n'a pas des défauts ne mourra
jamais.
· L'abondance d'eau tue le crapaud. Cas de l'excès
de pouvoir qui est punissable dans l'armée congolaise.
· On se noie là où on n'a pas l'habitude de
se baigner.
· La nouvelle n'a pas d'ailles, mais elle peut traverser
sept fleuves.
· Ce qu'ossis le vieillard voit, debout l'adolescent ne
le voit pas. or le poussin peut conseiller la poule.
· Qui a été mordu par un serpent craint
même un ver de terre comme celui qui fut détenus connait la valeur
de la liberté en temps qu'il faut.
· Le mauvais génie qui peut se tromper dans ce
qu'on appelle les évidences mathématiques selon René
Descartes. Sans oublier l'idée du `'Lactushaus'' c'est-à-dire
qu'on ne touche pas aux règles de support commun. Une pensée qui
nécessite une modification car chacun a sa façon de voir le
monde, comme toute génération a sa vision du monde (Le will tan
shang).
Vu ce qui précède et comme nous avons
constaté que l'homme parfois est un animal très méchant,
l'homme est un lion parfois il est rusé et camouflé. D'où
il ne faut pas prétendre lui connaitre soit vouloir lui connaitre dans
son entièreté car un homme parfait n'existe pas. D'où pour
éviter des scandales pourra survenir lorsque la justice est mal rendue,
peut être suite à la négligence de la méthode
d'enquête. D'où un message aux autorités civiles que
militaires de ne pas aimer trop le sommeil dans leurs attributions qui peut
être juridico-sécuritaire pour dire qu'un chef n'a pas droit de
fermer profondément l'oeil et l'oreille car une simple situation peut
s'exagérer suite à la négligence de l'information et
ça peut entrainer le péril de beaucoup des choses et occasionner
beaucoup des situations compliquées. Surtout qu'i est dit que :
« si la garde somnole c'est la patrie qui succombe ». Sans
oublier l'idée contenue dans l'adage qui dit : si vous êtes
poursuivi, ne chiez pas au carrefour pour éviter de créer u n
scandale de pistes qui peut alerter l'ennemie qui peut vous faire du mal. Ceci
est un message à toute personne ayant reçu le coup de fil que son
collègue est attaqué et il n'est pas venu au secours. D'où
un pêché par omission ou la non-assistance à la personne en
danger qui pèse sur lui et qui risquerait de lui ouvrir la porte aux
TWANDA à Boma quand il devient détenu, surtout qu'en RDC,
normalement nul n'est au-dessus de la loi.
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
1. BRECHTER. « Le phénomène
révolutionnaire », éd. PUF, Paris, 1971.
2. CT. CHARLES KASONGO, Cours de Droit constitutionnel
congolais, G2 Droit, UNILI 2017-2018, inédit.
3. CT. NGALA MULUME NICOLAS, SHAMBUYI, Notes de cours de la
méthode de science politique, UNILI G3 Droit Public, année
académique 2018-2019, inédit.
4. CT. PAUL MUTOMBO LUBILANJI., « Cours de
criminologie générale, G3 Droit, UNILI, 2018-2019 notes
inédites.s
5. CT. SABIN SABWE KANYANGA FABIE., Cours de Droit et Science
pénitentiaire, G3 Droit privé et judiciaire, UNILI 2018-2019,
Notes inédites.
6. CAMILLE DE GEZ « Un univers
carcéral » 1er éd. Paris document
concernant les affaires Claudes BOURSIER 1970 ;
7. DUMAZIER ET RIPERT « Loisir de la ville et
lecture » ; éd. Seuil Paris 1966.
8. GERARD CANU, Vocabulaire juridiqu.
9. GUILIEN et J. VAINCENT., « lexique de termes
juridiques », 2ème éd. Dalloz, Paris 189,
p.55.
10. Jean PRADEL., « La détention
arbitraire », éd. PUF, Bruxelles 2015.
11. JOCELYNE LEBLOIS - HAPPE., « Le respect de la
liberté », éd. Thèse, Aix Marseille 3, Paris
2016.
12. KANDOLO ON'UFUKU WA KANDOLO, P.F., Guide KANDOLO.
Méthodes et règles de rédaction d'un travail de recherche
en droit, Beau bassin (Mauritus). Editions universitaires européennes,
2018.
13. KANDOLO ON'UFUKU WA KANDOLO, P.F.,
règlementation congolais du Droit International privé, (Essai de
mise en commun avec notes) ; 2ème éd. Centre
Africain d'études et de recherche en Droits de l'homme - YULA
(CAFERDHO-Y) ; Lubumbashi 2009.
14. KANDOLO ON'UFUKU WA KANDOLO. P.F., Petit manuel des lignes
directrices pour la rédaction des travaux scientifiques en droit
à l'usage des directeurs et rédacteurs, inédit, Likasi,
université de Likasi, Faculté de Droit, 2018.
15. Le Général LIKULYA BULONGO,
Définition du Droit et science pénitentiaire, cité par
Maître SABIN, UNILI, 2018-2019.
16. MULUMBATI NGASHA., « Manuel de Sociologie
générale », éd. Africa, Lubumbashi, 198.
17. MWAMBA MPIANA Jeancord, Notes de cours d'introduction
à la recherche scientifique, UNILI, 2017-2018, inédit.
18. OUIVY et LUC VAN campe NHADU., Manuel de recherche
scientifique en sciences sociales, éd. DUNOD, Paris 1998, p.86.
19. PINTO et GRAWITZ., « Méthodes de
recherche en science sociales », éd. 1971.
20. STEPHANE BABONNAU., « L'indemnisation des
victimes d'infraction pénales » éd. PUF, Paris, 2013.
21. WENU BECKER., « Recherche
Guidé », 2ème éd.
Augmentée et corrigée connaissance, Lubumbashi 2001.
II. TEXTES REGLEMENTAIRES ET LEGAUX
1. La constitution congolaise de 2006- en son article 16.
2. Le pacte international relatif aux droits civils et
politiques Article 7.
3. L'ordonnance-loi n°344 du 17 septembre 1965 relatif au
régime pénitentiaire.
4. Décret d'août 1959 portant code de la
procédure pénale congolaise.
5. La charte Africaine des droits de l'homme de 1981. Art.7
6. L'arrêté royal de 1951 et
l'arrêté royal de 1957 qui parle de la gérance de
l'établissement pénitentiaire au niveau de la province.
7. L'affaire politique de l'administration juridique relatif
au domaine pénitentiaire (APAJ).
8. L'ordonnance n°11/13 du 15 Janvier 1960 qui parle pour
ramener l'administration des établissements pénitentiaires au
niveau central.
9. Le circulaire n°005/D02/PGR/2004.
10. La loi n°023/2002 du 13/11/2002 portant code
judiciaire militaire et la loi n°024/2002 du 18/11/2002 portant code
pénal militaire.
11. Le décret-loi n°017/2002 portant code de
conduite de l'agent public de l'Etat.
12. Le décret-loi n° 001/2002 du 26/01/2002
portant organisation générale de la défense et des forces
armées congolaises et ce décret-loi n°002/2002 du 26/01/2002
portant instruction, organisation et fonctionnement de la police nationale
congolaise.
13. La déclaration universelle des droits de l'homme
des nations-unies adoptée le 10/12/1948 article
5ème.
14. Le Code pénal congolais régis par le
décret-loi du 30 janvier 1940 tel que modifiée et
complétée à ce jour, mise à jour au 05/10/2006.
15. Le recueil des textes législatifs congolais et
internationaux en matière de justice militaire.
16. Les règles MANDELA, pour le traitement des
détenus. Cité par Janvien KAMBALA.
III. REVUES ET ARTICLES SCIENTIFIQUES
1. La détention de l'auteur Dauphin KAMBALE/Etudiant
extramuros 2017-2018, inédit.
2. Dictionnaire universelle 5ème
édition et dictionnaire Petit Larousse.
3. HEROS National, Dans l'Etude de la vie à la
manière du combat, voir calicots écrit par Mzée Lurent
Désiré KABILA au Centre d'institution Militaire, (C.I) Mura
inédit.
4. Florilège 6ème éd. P.77,
221, 225 et 231. « Tu parleras, les droits des
générations avenir, les nuits sans nom et proverbe de la sagesse
africaine ».
5. Initiation littéraire le Français en
4ème année secondaire, éd. New Scolat edition,
Fist impression July 2011 p.89 ; P. 200 ; P.194. (La prière
d'un petit enfant nègre de GUYTIROLIEN et la Bataille contre les singes
p.44.
IV. NOTES DES COURS
1. Prof. MUGHUMA ALEWA WAVAYITA., Cours de Géographie
général, VUSIGHA, LUBYA & UIKINDWE Institut, B.P. 140
Bbo (BUTEMBO/MUSIENNENE LUBERO). 2007-2008.
2. Prof. VWAHIREHI, Cours d'anglais Institut MONT-LUBWE High
School, 2008-2009,,B.P. 146 Bbo (BUTEMBO/LUOTU et LUBERO).
3. KOMBI TARZA et KATENDE., Cours d'Ecologie
Générale, Institut de Tourisme de Butembo, 2010-2011.
4. L'abbé Alphonse KABUYU, Note de Cours de Philosophie
générale, 6ème année H.P. Complexe
Scolaire soient Donatien & Terre promise et fertile, 2015-2016,
inédit.
V. INTERNET ET SITE WEB AUTRES SOURCES
1. www.wikipédia.com
2.
www.Larousse.fr/dictionnaire de fr.
3. www.cabinet bem.com
4.
Ambardcongocassanda.cd/fr/art/présentation-RDC.ASP
5.
http//:www.kivupeace.org et
www.ind P-Congo.org
6.
http// :wikipédia.org/wiki/U.A
7.
http//:www.groupil.org/directionnaire/Séurité/html.
8.
http// :www.sangonet.com/fichactuainterafric/sécuri RDC
mise 27 février.
9. @copyright radio OKAPI.net.
10.
http//:www.CongoVision.com/nouvelles/Kianglhtnl.
11.
http// :www.mondediplomatique
12. Copyrigh@2008 Monuc
13. www.fripolitique étrangère 2008.
14. www.fiacat.org
15.
http://www.google.com.rapport sur la détention dans les prisons
et cachot de la RDC (Toutes les sanctions confondues : Monusco,
ONG.ONU)
16. http://www.google.cd
17.
http://www.au.int/fr/about/vision
18. Renseignements recueillis auprès de Directeur et
les Détenus de la maison d'arrêt BOMA.
19. Renseignement recueillis auprès de Directeur et des
détenus du camp de détention de Buluo.
20. Renseignement recueillis auprès de Directeur et des
détenus de la prison central de la KASAPA
INDEXE
Maison de détention moderne de KAKWANGURA (de
BUTEMBO.)
· Pas d'évasion dans notre établissement
pénitentiaire moderne.
· No Prison Break in our Modern prison.
Tableau V: GRILLAGE TYPE
D'UNE PORTE D'UN MILIEU INCARCERAL
Tableau VI: TABLEAU TYPE
DE LA PREVISION GENERALE DE SITUATION JOURNALIERE
* 1 NYUMBA IZA TAMBWE.,
« Méthode de recherche en science sociales » du
syllabus G1, UNILU/L'Shi, année Académique 1996-1997.
* 2 WENU BECKER.,
« Recherche guide » 2e Ed. Augmentée et
corrigée connaissance, Lubumbashi, 2001, p.9.
* 3 Dictionnaire
* 4 KADONY NGUWANYI.,
« Méthode de travail scientifique » notes
inédites du cours G1. FITT/Likasi, Année Académique
1997-1998.
* 5 CAMILE DE GEZ,
« L'Univers carcéral, document concernant les affaires Claude
BOURSIER », 1ère éd. Paris, 1970.
* 6 STEPHANE BABONNEAU,
L'indemnisation des victimes d'infractions pénales,
éd.,PUF. Paris 2013, p.2.
* 7 JEAN PRADEL, La
détention Arbitraire, éd. PUF, Bruxelles 2015, P.132.
* 8 JOCELYNE LE BOIS-HAPPE,
Le respect de la liberté, éd. Thèse Marseille 3,
Paris 2016.
* 9 Dictionnaire Universel,
5ème éd., Organisation international de la
francophonie, Hachette Edicef.
* 10 MULUMBATI NGASHA,
Manuel de Sociologie générale, éd. Africa, L'shi,
1980, p.21.
* 11 OUVY et LUC VAN CAMPO
NHADU., Manuel de recherche scientifique en sciences sociales,
éd. DUNOD, Paris, 1998, p.86.
* 12 TSHUNGU BENESA.,
Méthode de travail scientifique G1 Droit, UNILU, 1993 - 1994
inédit.
* 13 P. F. KANDOLO ON'UFUKU WA
KANDOLO, Guide Kandolo Méthodes et règles de rédaction
d'un travail de recherche à Droit, Beau Bassin (Mauritius),
éd. Universitaires Européennes, p.59
* 14 C.T. MPIANA Jeancord.,
Notes de cours d'initiation à la recherche scientifique, UNILI
2014-2021, inédit.
* 15 DUMAZIER et RIPERT.,
« Les loirs de la ville, loisir et lecture »
éd. Seuil Paris, 1966, p.32
* 16 BRECHIER ; Les
phénomènes révolutionnaires, PUF, Paris 1974, p.24
* 17 Ordonnance loi n°344
du 17 septembre 1965, relatif au régime pénitentiaire
* 18 Ordonnance loi n°344
du 17 septembre 1965, idem
* 19 WENU BECKER, op.cit,
p.5
* 20 C.T. NGALA MULUME
Nicolas,. Notes de cours de la méthode de science, politique,
UNILI, G3 Droit Public année académique 2018-2019, note
inédites.
* 21 MULUMBATI NGASHA,
Introduction à la science politique, éd. Africa,
2005-2006, L'SHI, p.21.
* 22 R. PINTO et GRAWITZ,
Cité par MULUMBATI NGASHA, éd. Africa, 1997, in introduction
à la science politique L'shi-Kinshasa, Mars-Avril 1984 p.24
* 23 SIMON SCAILLET,
« Cas de méthodes de science », éd.
Dalloz, 1971, p.20
* 24 THEUNISSEAU,
« Méthode scientifique », notes inédit
ou cours de G1 Sciences sociales.
* 25 EDMARD et LIKULYA BULONGO,
cité par maître SABIN, dans la définition du droit et
science pénitentiaire, UNILI, G3 Droit Privé et Judiciaire,
Année académique 2018-2019, notes inédites.
* 26 R. GUILLIEN et J. Vincent,
Lexique des termes juridiques, Dalloz, 15ème éd.
Francophonie, édifié, 58, Rue, Jean zen, F 92178 Vanves cedex.
* 27 Dauphin KAMBALE,
L'étude de Droits de détenus TFC G3 Droit Public, UNILI,
2018-2019, p.27 notes inédites.
* 28 Dictionnaire le Robert et
un dictionnaire petit Larousse.
* 29 Gérard KARNU,
Vocabulaire juridique, p.24
* 30 Idem p.420.
* 31
* 32 PAUL MUTOMBO LUBILANJI,
Cours de criminologie générale, G3 DROIT, UNILI
2018-2019 ; notes inédits.
* 33
www.wikipédia.com
* 34
www.laroussefr/dictionnaire
de français juridique français. www.cabinet bem.com
* 35 Article juridique du 21
août 2012 de maitre Anthony Bem Pacte international relatif aux droits
civils et
politique.
* 36 Charte Africaine des
droits de l'homme de 1981 art. 7.
* 37 CAMILLE DEGEZ,
« Université et l'univers carcéral »,
éd. Paris Document concernant les affaires Claudes Boursier, 1970.