L'internet et son impact dans les organisations de Goma, cas spécifique de la RVA Gomapar Samuel Habamungu Kitwanda Université du CEPROMAD (UNIC - GOMA) - Licence en Communication des Organisations 2015 |
CHAPITRE DEUXIÈME : CADRE THÉORIQUE ET CONCEPTUEL1.1.1. 2.1. DÉFINITION DES CONCEPTS DE BASEUne définition est une proposition qui dit ce qu'est une chose ou ce que signifie un mot. C'est le fait de déterminer les caractéristiques d'un concept, d'un mot, d'un objet, etc., ensemble des propriétés essentielles de quelque chose12(*). De part notre travail, nous allons définir : l'Internet, l'Impact et l'organisation. 2.1.1. Internet L'internet est le réseau informatique mondial accessible au public. C'est un réseau de réseaux, sans centre névralgique, composé de millions de réseaux aussi bien publics que privés, universitaires, commerciaux et gouvernementaux, eux-mêmes regroupés, en 2014, en 47 000 réseaux autonomes. L' information est transmise par l'internet grâce à un ensemble standardisé de protocoles de transfert de données, qui permet l'élaboration d'applications et de services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée, le World Wide Web et le pair-à-pair (chaque client est aussi un serveur, On parle de noeud) 2.1.2. Impact Entrer en collision, heurter.Avoir des conséquences, des répercussions sur quelque chose, affecter, influencer. Impact c'est l'effet produit par quelqu'un ou quelque chose sur quelqu'un ou quelque chose13(*). 2.1.3. Organisation Une organisation est un groupement d'individus qui se proposent des buts déterminés. Elle est synonyme d'association, entreprise, société, etc14(*). 1.1.2. 2.2. THÉORIE SUR L'INTERNETDans cette section nous allons parler l'historique de l'Internet, le commerce électronique, Informatisation du travail et Internet et Entreprise. 2.2.1. Historique de l'internet Internet est le réseau informatique mondial accessible au public. C'est un réseau de réseaux, sans centre névralgique, composé de millions de réseaux aussi bien publics que privés, universitaires, commerciaux et gouvernementaux, eux-mêmes regroupés, en 2014, en 47 000 réseaux autonomes. L' information est transmise par Internet grâce à un ensemble standardisé de protocoles de transfert de données, qui permet l'élaboration d'applications et de services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée, le pair-à-pair et le World Wide Web. Un réseau informatique est un ensemble d' équipements reliés entre eux pour échanger des informations. Par analogie avec un filet (un réseau est un « petit rets », c'est-à-dire un petit filet), on appelle noeud l'extrémité d'une connexion, qui peut être une intersection de plusieurs connexions ou équipements (un ordinateur, un routeur, un concentrateur, un commutateur). 2.2.2. Commerce électronique Le commerce électronique est la vente ou l'achat de marchandises ou de services effectués sur des réseaux informatiques au moyen de méthodes spécifiquement conçues pour la réception ou la passation de commandes. Même si les marchandises ou les services sont commandés par voie électronique, le paiement et la livraison n'ont pas besoin d'avoir lieu en ligne15(*). La téléphonie mobile, Internet et d'autres formes de technologies de l'information et de la communication (TIC) présentent des avantages considérables pour les activités commerciales courantes de bon nombre de petites et moyennes entreprises (PME) des pays en développement. Ils ont déjà permis des gains de productivité dans plusieurs secteurs. En outre, les gouvernements doivent faire en sorte que les utilisateurs bénéficient non seulement de leur connexion à Internet, mais aussi de tous les progrès technologiques qui peuvent accélérer la circulation des données et contribuer a réduire les couts pour le consommateur. 1) Commerce électronique et PME Dans les pays développés aussi bien que dans les pays en développement, les PME représentent la majorité des entreprises et emploient la majorité des travailleurs dans le secteur manufacturier et les services. Les PME desservent principalement le marché intérieur, et leur contribution au PIB, bien qu'elle soit normalement très faible, peut varier beaucoup selon la valeur des biens ou des services qu'elles produisent. Alors que la proportion de la maind'oeuvre formelle employée dans les PME du secteur manufacturier est inférieure à 6% en Azerbaïdjan, au Bélarus (Russie Blanche) et en Ukraine, elle dépasse 50% dans d'autres pays en développement tels que le Ghana, la Turquie et l'Équateur. Les recherches indiquent que les pays ayant un large secteur des PME tendent aussi à bénéficier de la contribution élevée des PME au PIB16(*). Une étude de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) a montré que les PME, tout en étant généralement en retard dans le domaine des TIC, sont celles qui ont le plus à gagner de l'accroissement de la productivité obtenu grâce au commerce électronique. Mais elles risquent concrètement de manquer des occasions d'améliorer à la fois leur productivité et leur rentabilité en ne s'engageant pas dans le commerce électronique. Les PME ont également un rôle important à jouer dans l'économie des pays en développement, car c'est dans ces pays qu'elles peuvent retirer le plus d'avantages du commerce électronique. La mesure dans laquelle elles utilisent les TIC dépend à la fois de leur secteur et de leur taille. En général, les PME tournées vers l'exportation ou l'importation et celles qui font partie du secteur touristique sont plus incitées à investir dans l'adoption des TIC17(*). Le commerce électronique a été salué par beaucoup comme une possibilité pour les pays en développement de prendre pied plus solidement dans le système commercial multilatéral. Il peut jouer un rôle important en aidant les économies en développement à mieux tirer parti du commerce. Contrairement aux conditions imposées pour gérer une entreprise à partir d'un bâtiment physique, il n'exige pas d'entrepôts, d'assurance ou d'investissements dans une infrastructure de la part du détaillant. La seule condition préalable est une devanture Web bien conçue pour toucher la clientèle. Le commerce électronique permet en outre de réaliser des marges bénéficiaires plus élevées, car le coût d'exploitation de l'entreprise est sensiblement inférieur. Un autre avantage du commerce électronique est qu'il permet d'offrir à la clientèle un service meilleur et plus rapide. Dans certains cas, les clients peuvent accéder directement à leur compte personnel en ligne et éviter d'appeler l'entreprise au téléphone, ce qui économise du temps et de l'argent. Et l'ajout de services en ligne tels que la livraison exprès en 24 heures peut aussi avoir des avantages commerciaux. À cela peuvent s'ajouter des services de suivi de la livraison qui permettent aux clients de vérifier en ligne où se trouvent leurs colis. Cela aide l'entreprise à satisfaire sa clientèle moyennant très peu d'efforts.18(*) 2) Passer commande sur un site web Afin de vous permettre d'évoluer en toute confiance sur son site, le prestataire a l'obligation de vous informer de la marche à suivre pour passer commande, étape par étape. Notez que si vous contractez à des fins professionnelles, le prestataire peut déroger à cette obligation. Généralement, la procédure de commande se déroule comme suit : Pour commencer, vous pouvez trouver le bien ou le service que vous désirez en consultant, le cas échéant (la date à laquelle une opération doit être réalisée), un catalogue en ligne, disponible sur le site du prestataire (Un prestataire est une personne ou une entreprise capable d'offrir un service appelé prestation) et reprenant par rubriques l'ensemble des biens et services offerts en vente. La consultation de ce catalogue est parfois facilitée par l'utilisation d'un moteur de recherche. Au fur et à mesure de vos recherches, vous pouvez sélectionner un ou plusieurs articles, qui s'accumulent dans votre «panier d'achats». Une fois votre choix arrêté, vous pouvez décider d'amorcer le processus de conclusion du contrat, en cliquant sur une icône spécifique. Vous êtes alors invité à suivre un itinéraire qui, dans le meilleur des cas, est soigneusement découpé en étapes, chaque passage à l'étape ultérieure étant conditionné par votre approbation, exprimée par un clic sur l'icône appropriée. A chaque instant, si vous le désirez, vous avez la possibilité d'interrompre la procédure et de revenir en arrière, sans conclure le contrat. Ainsi, pas à pas, vous allez remplir le formulaire de commande, introduire vos données à caractère personnel, choisir votre mode de paiement et de livraison, etc. En cours de route, vous pouvez accéder à une foule d'informations, concernant les conditions générales de vente, les tarifs et délais de livraison, les taxes éventuelles, la protection de vos données à caractère personnel, etc. Il faut toutefois noter que la loi prévoit désormais l'interdiction du précochage sur Internet. En effet, il est interdit à l'entreprise, lors de la conclusion du contrat sur internet, d'avoir recours à des options par défaut que vous devriez refuser pour éviter tout paiement d'un ou de plusieurs produits supplémentaires. Il est en effet pratique courante, lors de la vente par internet, que l'entreprise, lors de l'offre en vente de produits supplémentaires cocher préalablement les cases prévues à cet effet, de sorte que si le consommateur n'est pas vigilant ou oublie de supprimer les croix, il commande sans le vouloir des produits qu'il ne souhaite pas en réalité. Pour éviter cette pratique, un système opt-in (option d'adhésion à, accepter librement) est instauré pour ces produits. Le consommateur devra par conséquent choisir activement lui-même un produit supplémentaire, de sorte qu'il fasse sa commande consciemment et sans influence injustifiée19(*). Une fois tous les éléments du contrat déterminés, de nombreux sites prévoient qu'un récapitulatif de l'opération apparaît à l'écran. Il est vivement recommandé de vérifier une dernière fois l'exactitude des données, avant de valider définitivement la commande, en cliquant sur l'icône prévue à cet effet. Ce n'est qu'au terme de ce processus que la commande est enregistrée. Parfois, une page web s'affiche à l'écran pour vous confirmer l'enregistrement de votre commande. De nombreux prestataires fournissent sur leur site des informations destinées à vous familiariser avec l'achat en ligne. La page d'accueil présente parfois une «visite guidée» du site proposant une simulation de commande. Souvent, on peut également trouver une foule d'informations sur le fonctionnement du site, les modalités d'achat, les solutions en cas de problèmes, les astuces de navigation, etc., dans une rubrique d'aide, accessible depuis la page d'accueil, ou en bas de chaque page. En outre, le prestataire peut facilement réduire les risques en plaçant, tout au long du processus de commande, depuis la sélection d'un article jusqu'à la validation de la commande, des boutons de correction, de modification, d'annulation, de suppression des divers éléments de la commande. Ainsi, vous pouvez modifier votre commande à tout moment, si vous détectez une erreur ou simplement si vous changez d'avis. 3) Gagner sa vie en vendant des objets sur Internet Il existe de nombreux sites permettant à chacun de mettre en vente des biens et services divers, aux enchères ou à prix fixe. eBay (eBay est une entreprise américaine de courtage en ligne, connue par son site web de ventes aux enchères du même nom) en est un exemple bien connu. Certains parviennent même à retirer des gains importants des ventes qu'ils concluent sur ce genre de plate-forme. 4) On ne peut pas tout vendre et tout acheter sur Internet D'abord, certains biens sont illicites, comme les biens contrefaits ou les biens volés. Vendre ou acheter de tels biens est un délit pénal. Ensuite, la fourniture de certains biens (alcool, tabac, médicaments, armes...) ou services (banque, assurance, voyages organisés, courtage matrimonial...) est réglementée. Veillez donc à vous renseigner pour vérifier que vous avez le droit de vendre ou d'acheter de tels biens ou services. 2.2.3. Informatisation du travail Les débats qui entourent les effets des technologies de l'information sur les conditions de travail font ressortir de nombreuses images contradictoires. Ceux qui ont une perception négative entrevoient une ère de l'information caractérisée par un chômage massif et des conditions de travail inhumaines pour ceux qui continueront d'avoir un emploi. Ceux qui ont une perception positive sont d'avis que ces technologies constituent l'occasion de créer une économie postindustrielle de travailleurs qualifiés. Ces débats reprennent des thèmes déjà abordés il y a plus de deux décennies. Deux questions restent toutefois à résoudre : le rythme des changements et la façon dont le passage à une économie de plus en plus technologique axée sur les services a affecté le contenu des emplois et la sécurité d'emploi. Les discussions relatives aux nouvelles technologies de l'information (TI), que la majorité des gens associent aux ordinateurs personnels, partent généralement du principe que l'adoption et la diffusion de ces technologies se font rapidement et ne cessent de s'accélérer, ce qui donne lieu à des répercussions importantes pour les travailleurs, les entreprises et l'économie dans son ensemble. En fait, la technologie semble avoir modifié l'industrie canadienne de façon considérable. À partir de deux cycles de l'Enquête sociale générale (ESG), le présent article porte sur les changements qui ont touché les connaissances informatiques entre 1989 et 1994, ainsi que sur l'utilisation accrue de l'ordinateur en milieu de travail. Il aborde en outre la question des effets de la technologie sur le contenu des emplois et la sécurité d'emploi20(*). 2.2.4. Internet et Entreprise Les puissantes fonctionnalités d'Internet peuvent engendrer de nouvelles pratiques sociales particulièrement originales et intéressantes21(*). 1) Des entreprises plus compétitives Les entreprises qui s'équipent aujourd'hui en matière de réseaux électroniques et qui systématisent l'usage d'Internet en leur sein se donnent un avantage compétitif certain : - Accroissement de l'efficacité en interne, stimulation du travail de groupe et réduction des coûts ; - Approche stratégique renouvelée, conquête de nouveaux marchés et cybermarketing planétaire ; - Intelligence économique, maîtrise de l'information et interventions plus opportunes ; - Nouveaux partenariats ; - Etc. Mais tout cela n'est possible que si on adopte une attitude résolument novatrice. Il faut changer ses modes d'organisation, abandonner certaines structures trop hiérarchiques ou pyramidales, accepter plus de spontanéité et de mobilisation de la créativité de ses personnels et de ses équipes, oublier les frontières par trop protectrices. Il faut encore investir en outils et équipements appropriés et surtout former les personnels à ces nouvelles approches (ce qui ne va pas sans quelques difficultés). 2) Des emplois perdus, d'autres gagnés Globalement, on peut attendre des nouvelles technologies de l'information et d'Internet qu'ils changent la structure et la répartition des emplois dans un pays ou une zone donnée. Il est clair que beaucoup d'emplois traditionnels relevant de certaines formes antérieures d'organisation et de travail vont disparaître, notamment dans tout ce qui relève des opérations d'intermédiation aujourd'hui remplacées par l'informatique et les communications électroniques (secrétariat, dactylographie,..). Mais dans le même temps on voit apparaître de nouveaux métiers liés au développement des NTI, comme on voit se spécialiser, dans l'entreprise, certaines personnes et certaines équipes autour des usages d'Internet. Il est difficile d'établir aujourd'hui un bilan complet de ces transformations, mais on commence à déceler certains signes avant-coureurs d'une réelle mutation. Enfin, il faut mentionner les créations d'emploi engendrées indirectement par la conquête de nouveaux marchés du fait d'une compétitivité accrue. 3) De nouvelles modalités d'enseignement Dans le domaine éducatif, on peut et on doit attendre beaucoup d'une généralisation des usages d'Internet. C'est d'abord la possibilité de donner un accès plus large, plus universel aux sources de savoir. Les responsables américains en décidant d'équiper toutes les Écoles en accès efficaces au réseau ont bien compris que cette façon d'agir au niveau de l'éducation, c'est donner un avantage certain à long terme à l'économie américaine22(*). Outre de nouvelles possibilités d'accès à l'éducation et au savoir, Internet permet de repenser l'éducation, l'enseignement, la pédagogie : enseignement à distance, formation in situ (dans l'entreprise ou à domicile), formation tout au long de la vie, tutorat électronique, collectifs d'apprentissage, etc. C'est sur ce terrain qu'il faut s'attendre dans un proche avenir à des innovations majeures, remettant profondément en cause les dispositifs d'éducation et d'enseignement hérités d'un XIXème siècle positiviste et productiviste. Encore faut-il que les milieux enseignants se mettent réellement à utiliser Internet et à en tirer des conséquences dans leur façon de faire : de nombreux rapports, notamment européens, soulignent le caractère fortement conservateur de ces milieux enseignants. 4) Un nouveau regard sur la vie publique et la démocratie Aujourd'hui les discussions sur les forums électroniques comme dans la presse se focalisent tout particulièrement sur la question de la nouvelle citoyenneté dans la société de l'information. Se pose désormais de façon cruciale la question de l'influence d'Internet sur le développement démocratique et sur les règles du jeu de la vie publique. Il est difficilement acceptable aujourd'hui qu'un gouvernement puisse limiter les conditions d'accès au réseau électronique ou exercer certaines formes de censure. Ce qui est vrai d'un gouvernement l'est tout autant d'un acteur qui aurait une position dominante exclusive (un monopole de fait de tel ou tel opérateur du secteur informatique). 5) Internet au service du développement durable Il est intéressant de noter un effet incontestable d'Internet dans le domaine du développement durable (sustainabledevelopment). Du fait même de la structure en réseau de la "toile", du fait aussi de la facilité de communication par voie électronique, Internet est un vecteur privilégié de promotion de la notion de développement durable. De nombreux sites permettent de donner accès à de riches informations utiles en la matière ; des forums se multiplient qui aident à concrétiser les plans d'actions pour le développement durable. En d'autres termes, Internet apparaît clairement comme un moyen de promotion d'idées et de projets sur lesquels se dégagent aujourd'hui de larges consensus politiques mais qui ne trouvent pas toujours de concrétisations pratiques du fait des pesanteurs techniques, administratives ou purement humaines. 2.2.5. Utilisation de l'Internet 2.2.5.1. Importance de l'internet dans la gestion et sauvegarde des données numériques Comparaison des données diffusées et gardées à l'internet et celles gardées dans des armoires physiques. Tableau n°1 : Armoire virtuel et armoire physique
Source : Notes du cours des réseaux sociaux, L2 SIC, UNIC Goma, p23 2.2.5.2. Les raisons d'ouvrir un site internet Plusieurs raisons poussent quelqu'un d'ouvrir un site internet : personnelles et professionnelles23(*) : - Raisons personnelles : Les raisons personnelles de la création du site internet sont souvent le partage des informations personnelles, divertissements, centres d'intérêts - Raisons professionnelles : Les raisons professionnelles de l'ouverture d'un site internet suivent un but politique, scientifique, informatif, commercial, etc. * 12 Larousse online, www.larousse.fr/dictionnaires/francais/définition/22700?q=Définition#22580, visité le 11 septembre 2015. * 13 Dictionnaire Micro Robert, Nouvelle édition, Montréal, Canada, 1991 :653 * 14 Idem, p 878 * 15 OMC : Organisation Mondiale du Commerce, Le commerce électronique dans les pays en développement possibilités offertes aux petites et moyennes entreprises et difficultés rencontrées, 2013 :1 * 16 OMC, Op.cit. 2013 : p2 * 17 IDEM * 18OMC, Op.cit. 2013 :2 * 19Regis MASSANT, Guide pour les utilisateurs d'Internet, Centre de Recherches Informatique et Droit,Bruxelles, 2011 :169 * 20Graham S. Lowe(University of Alberta-Canada),Travail et informatisation, Albetra Canada, 1997 :2 * 21Jean MICHEL, l'impact d'internet sur le développement culturel, social et économique, Belgrade, mai 1997 :8 * 22Jean MICHEL, Op.cit :11 * 23 Dominique Mweze Chirhulwe Nkingi, Histoire de la communication, cours, Facultés Catholiques de Kinshasa, 1995 :190 |
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