Implication des salariés de l'entreprise CHEMAF dans la réalisation des objectifs organisationnels.( Télécharger le fichier original )par Matthieu MBOLYO CHEMBE UNILU - Licence 2014 |
3.2. INTERPRETATION DES RESULTATSAprès avoir présenté et analysé les résultats obtenus auprès de 65 participants, tous salariés de chémaf, nous allons maintenant procéder à l'interprétation des résultats en se basant sur les notions et théories auxquelles nous avons fait allusion dans ce travail. J. Dewey (1939) et Thorndike (1940) cité par Abraham Maslow, dans son ouvrage intitulé « devenir le meilleur de soi-même » ont distingué un aspect primordial de la motivation qui a été totalement négligé par la majorité des psychologues, en l'occurrence, la possibilité d'atteindre le but ou les objectifs recherchés. Dans l'ensemble, nous désirons de manière consciente ce pourrait se situer à notre portée.44(*) Il est crucial de tenir compte de facteur pour comprendre les différences de motivation parmi les classes sociales et les castes d'une population donnée et dans des cultures et des pays. En référence aux facteurs d'implication au travail, les salariés pensent qu'il ya des facteurs qui, leurs impliques dans la réalisation des objectifs assignés par l'entreprise. (cfr tableau n°3). Ainsi, nous pouvons dire que les salariés de chemaf ont une représentation positive du travail. (cfr tableau n°4) c'est-à-dire, ils ont une bonne représentation de leur travail entant que salariés ou travailleurs de CHEMAF. En ce qui concerne les faits incitateurs au travail, en fonction de ceux-ci, les salariés pensent qu'il ya les fait qui, les incitent pour qu'ils puissent bien travailler et garder leur poste de travail. Et même une bonne cause de motivation étroite qui les pousse à bien fonctionner comme il se doit. (Cfr tableau 5 et 6). Au vu des informations obtenus sur la non motivation des salariés de cette entreprise, il ressort qu'il ya des causes qui peuvent justifier la non motivation des salariés de cette entreprise. En raison d'être mal payé un salaire insuffisant peut causer la démotivation chez un salarié. (cfr tableau n°7) La théorie de l'équité affirme que les individus préfèrent en général une condition d'équité, c'est à dire avoir le sentiment d'être traités d'une façon juste et impartiale par rapport aux autres dans leur relation d'échange avec l'organisation. Ensuite la manière dont les salariés estiment leurs postes de travail, les postes de travail correspond mieux aux travailleurs et aussi à leurs niveaux d'étude moins d'en être eux dise qu'il ne le correspond pas. (Cfr tableau n°8) Par ailleurs, il est à signaler que les travailleurs de l'entreprise chémaf apprécient l'allure de travail, donc il ya une bonne manière de travailler dans cette tutelle privée. Par conséquent l'employeur doit tenir la même allure de travail pour maximiser la production dans son entreprise et pour réaliser à long terme. (Cfr tableau n°9). Quand un salarié se sent alaise à l'exécution des objectifs assignés par l'entreprise il ya une meilleure productivité et un bon rendement dans l'entreprise et même une bonne condition de travail. (Cfr Tableau n° 10). Partant de l'appréciation des salariés de l'entreprise chémaf quant au salaire perçu à la fi du mois, le salaire est satisfaisant pour le travailleur. Ces derniers apprécient positivement le salaire qu'ils perçoivent (Cfr tableau n°11). Nous avons constaté que l'entreprise chémaf fait en sorte que ses salariés puisse s'impliqué d'avantage dans leurs réalisation des tâches assignés par celle-ci. Enfin, nous pouvons dire que les salariés de l'entreprise chémaf s'impliquent beaucoup dans la réalisation des objectifs fixés par celle-ci. Conscient, cela nous amène à affirmer que les facteurs qui sont à la base de la satisfaction seraient la motivation salariale, les conditions de travail, la considération au travail, les avantages sociaux et les bonnes relations avec le chef. * 44 Abraham Maslow, devenir le meilleur de soi-même, besoins fondamentaux, motivation et personnalité, nouveaux horisons-ARS, Paris, quatrième tirage, 2013, p 53. |
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