REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE
UNIVERSITE CATHOLIQUE DE BUKAVU
U.C.B
B.P 250
FACULTE DES SCIENCES ECONOMIQUES ET DE
GESTION
ANALYSE DE LA SCOLARITE A L'U.C.B : Cas de la
Faculté des Sciences Economiques & de Gestion Cohorte
(1997-1998 ; 1998-1999)
Travail de fin de cycle présenté
en vue de l'obtention du diplôme de Gradué en Sciences
Économiques et de gestion.
Présenté par :
MUSHAGALUSA MUSAFIRI Pascal
Dirigé par :
Prof. Dr. Jean Baptiste NTAGOMA KUSHINGANINE
Année académique :
2010-2011
MUSHAGALUSA MUSAFIRI Pascal
Tel : 00243 853342350, 00243994187459
E-mail :pascalmushaga@yahoo.fr
EPIGRAPHE
« Les projets que forme le coeur dépendent
de l'homme,
Mais la réponse que donne la bouche vient de
l'eternel.
Recommande à l'eternel tes oeuvres et tes projets
réussiront. »
Proverbes 16 :1,3
DEDICACE
A mes très chers parents MULUMEODERWA
MUSAFIRI et CIREZI MPARANYI, pour tant d'amour et de
sacrifices depuis notre naissance jusqu'en ce moment, pour vos encouragements
et votre soutien indéfectible à nos études ;
A mes petits frères Pacifique M, Patrick M,
Fabrice M, Rodrigue M, Arsène M, Serge M, Josué M, David M,
Jonathan M et à mon unique petite Soeur
Bénédicte M, que ce travail reflète
l'image de l'affection que vous témoignez à notre égard et
qu'il vous fasse grandir l'amour de la science ;
A ma future progéniture, que ce travail soit pour vous
un modèle à suivre ;
A mes cousins, cousines, neveux nièces, oncle et
tantes,
A mes amis et connaissances
Ce travail vous est dédié.
REMERCIEMENTS
Au bout de notre travail de recherche, le Dieu Tout Puissant
est grandement remercié pour nous avoir protégé,
gardé et donné son souffle de vie.
Nous adressons notre gratitude en premier lieu au corps
professoral de l'Université Catholique de Bukavu(U.C.B), aux enseignants
qui ont assuré notre formation en vue de notre épanouissement
intellectuel.
Nous remercions sincèrement notre directeur de Travaux
de Fin de Cycle Jean Baptiste NTAGOMA KUSHINGANINE, Professeur Docteur au
département de Sciences économique et de Gestion à l'UCB,
sans l'initiative de ces derniers ce travail n'aurait pas été
possible. Nous tenons à leur exprimer toute notre reconnaissance pour
leur dévouement, la confiance qu'ils nous ont accordée, leur
rigueur et la qualité des commentaires et suggestions dont ils nous ont
fait part.
Nous exprimons notre reconnaissance à la famille
MWANDULO pour sa chaleur familiale nous assurée volontiers mais surtout
pour s'affabilité et sa magnanimité.et à mon oncle et sa
femme MUSAFIRI MWANDULO et FRANCINE MUDOSA. Nous vous resterons à jamais
débiteur.
A nos amis et compagnons de lutte pour leur franche
collaboration, leur complicité et leur enrichissement mutuel durant ce
cursus universitaire : BWIRA B, DJIBRIL, STEVEN, SAVE, ERIC
RUSHENGEMUNGU, KASIGWA EMMANUEL, WODON, RAMAZANI T THOMAS, JUSLIN, ANNUARITE,
RHEIS, DANNIELLA, PATRICK L, SAKINA, YVON, ALICE M, ERIC CASINGA, FABRICE
MPARANYI, HIGOBERT CHAFALI, BAHATI, MUGISHO, CAROLLA DEMPLE.
A mes frères et soeurs : AMISI M, ALIMASI M, MIMY M,
SIKITU M, MARIE LAURE M, KUJIRABWINJA R, DEOGRATIAS R.
Enfin, que tous ceux auprès de qui nous avons
trouvé réconfort et assurance et dont le nom n'a pas
été repris, trouvent dans cette monographie l'expression de notre
reconnaissance.
MUSHAGALUSA MUSAFIRI Pascal
LISTE DE GRAPHIQUES ET TABLEAUX
I. Liste de graphiques
Graphique 1 : Organigramme de
l'U.C.B............................................................24
Graphique 1 : Evolution des effectifs
estudiantins de 1990-2010................................26
Graphique 2 : Moyenne par ans et par cycle
de toutes les
facultés................................29
Graphique 3 : Représentation en
camembert........................................................30
Graphique 4 : Faculté de
Médecine....................................................................31
Graphique 5 : Faculté
d'Agronomie..................................................................31
Graphique 6 : Faculté de
Droit........................................................................32
Graphique 7 : Faculté
d'Economie...................................................................32
II. Liste de tableaux
Tableau 1 : Evolution des Effectifs
Estudiantins de 1990-2010..................................
.25
Tableau 2 : Evolution des Effectifs
Estudiantins par Facultés 1990-2010.......................
27
Tableau 3 : Evolution des Effectifs par
Cycle de 1990-2010.......................................33
Tableau 4 : Spécification des
Variables
explicatives...............................................37
Tableau 5 : Présentation de la
Cohorte Relative à l'année Académique
1997-1998...........39
Tableau 6 : Présentation de la
Cohorte Relative à l'année Académique
1998-1999...........40
Tableau 7 : Synthétique des Flux
pour la Première Promotion des Diplômes en Sciences Economiques et
de Gestion (Cohorte 1997-1998)
................................................. 42
Tableau 8 : Synthétique des Flux
pour la Première Promotion des Diplômes en Sciences Economiques et
de Gestion (Cohorte 1998-1999)
................................................. 43
Tableau 9 : Performance par Sexe Pour la
Première Cohorte.....................................
46
Tableau 10 : Performance par Sexe Pour la
Deuxième Cohorte.............................. ...46
Tableau 11 : Age et Points Obtenus aux Examens
d'Etat pour la Première Cohorte.........47
Tableau 12 : Age et Points Obtenus aux
Examens d'Etat pour la Deuxième Cohorte........47
Tableau 13 : Tableau des Fréquences
pour la Première
Cohorte.................................49
Tableau 14 : Tableau des Fréquences
pour la Première
Cohorte.................................49
Tableau 15 : Finaliste Gestion
Financière pour la Première
Cohorte..............................50
Tableau 16 : Finaliste Economie Rural pour
la Première Cohorte..............................51
Tableau 17 : Finaliste Gestion
Financière pour la Deuxième
Cohorte............................51
Tableau 18 : Finaliste Economie Rural pour
la Deuxième Cohorte...............................52
Tableau 19 : Etudiants Finalistes mettant
en relation des points Obtenus à l'Examen d'Etat et l'évolution
des points académiques des étudiants pour la première
Cohorte ..................53
Tableau 20 : Etudiants Finalistes mettant
en relation des points Obtenus à l'Examen d'Etat et l'évolution
des points académiques des étudiants pour la Deuxième
Cohorte ...... ..........54
Tableau 21 : Effectif estudiantins de la
Faculté des Sciences Economiques et de Gestion, tous les
étudiants que comporte la 1ière Cohorte depuis le
début de l'année. Critère Sexe, Age, Pourcentage Exetat,
Section d'Origine, Année obtention
Diplôme..............................55
Tableau 22 : Effectif Estudiantins de la
Faculté des Sciences Economiques et de Gestion, tous les Etudiants que
comporte la 2ière Cohorte depuis le début de
l'année. Critère Sexe, Age, Pourcentage Exetat, Section
d'Origine, Année obtention
Diplôme..............................57
0. INTRODUCTION
L'éducation a toujours été une
priorité majeur sein d'une société et, il est crucial que
l'homme, un facteur de production plus important compte tenu du rôle
qu'il joue dans le processus économique de chaque entité
économique acquiert une certaine formation.
L'éducation se trouve donc nécessairement au
coeur du fonctionnement de l'économie, ce qui autorise
l'économiste à en faire un champ d'analyse de sa discipline(ce
qui n'interdit pas au sociologue ou à l'historien de faire de
même).De ce fait, même si le développement de cette branche
de la science économique est relativement récent, le survol de la
pensée économiques montre que l'éducation a toujours
été un thème présent, sans doute trop
discrètement, dans la réflexion des économistes1(*)
Il apparait donc évident que le niveau
d'éducation atteint par les individus qui compose une économie
constitue un déterminant majeur de son succès sur
l'échiquier économique mondial et, partant, du niveau de vie de
ses citoyens.
I.PROBLEMATIQUE
Le Droit de l'éducation fait partie des droits
fondamentaux reconnus à tout être humain par la déclaration
universelle des droits de l'homme puis consacrés dans la récente
constitution de la république démocratique du Congo,
approuvée par plus de 80% de la population en âge de voter lors du
referendum organisé du 18 au 19 Décembre 20052(*)
La crise accélérée du système
d'enseignement supérieur en Afrique, ajoutée aux
incohérences des politiques de recherche scientifique, suscitent des
réflexions3(*) sur
les quelles il faut s'appuyer pour mieux saisir la portée des
défis qui perdurent, malgré les tentatives des reformes des
universités africaines.
Pourtant, partout dans le monde, il est reconnu que les
universités, par la place unique qu'elles occupent dans la production de
nouvelles connaissances, leurs diffusions et leur valorisation, sont des
vecteurs incontournables et indispensables au développement
économique et social d'un état. Cependant, pour le continent
africain, dans les premières décennies d'indépendance,
l'université a été sujette à un traitement peu
valorisant. D'abord, elle fut considérée comme un obstacle au
développement et à la stabilité des états
nouvellement indépendants à cause du fusionnement des
idées et acte contes taire à caractère politique par les
autorités administratives4(*) d'autre part elle est réputée être
une institution budgetivere peu rentable par les bailleurs de fond5(*)
La tendance actuelle fait de l'université un pilier
important pour l'accession au bien être de la société.
C'est dans ce sillage que s'inscrit Iba Ndia DJADJI qui soutient
que « pour sortir du sous développement, le chemin le
plus sur c'est l'enseignement supérieur avec une recherche
adaptée aux besoins des populations6(*)
En considérant l'enseignement universitaire comme un
processus de production, il est judicieux de procéder à une
meilleure sélection des inputs comme dans tout processus de production
pour songer à des meilleurs outputs. Cette sélection passe par la
scolarité, une scolarité qui doit produire les élites
à la fin du processus et non les rebuts du système.
Nombre de nos prédécesseurs ont
considéré le système éducatif comme leur objet
d'étude sous différents angles, rentabilité de l'U.C.B,
satisfaction des étudiants, etc.
Pour ce qui nous concerne, nous proposons d'analyser dans les
pages qui suivent la scolarité des étudiants dans les
facultés que l'U.C.B organise et plus précisément la
faculté des sciences économiques et de gestion.
C'est ainsi que notre travail sera articulé autours de
la question suivante :
v Quels sont les caractéristiques(biologiques telles
que l'âge, le sexe, les points obtenus aux examens d'état,
école, section et option d'origine) contenus dans les dossiers que
l'université possède sur l'étudiant lors de son
inscription et ceci nous permettra de comprendre en grande partie la
performance des cohortes d'étudiants à l'université ;
la probabilité de réussite que garantie une cohorte des
étudiants s'inscrivant en première année de graduat de
terminer leurs études universitaires après 5ans étant
données leurs caractéristiques à l'entrée ?;
analyser les tendances qui existe entre la cohorte la plus excellente de toutes
les cohortes toujours accueillis dans cette faculté.
En effet répondre à ces questions permettrait
à l'U.C.B de mettre au point une politique fondée sur
l'indentification des facteurs influençant la scolarité des
facultés organisées et aider ainsi les parents et les enfants
à mieux comprendre une faculté avant de la choisir au lieu de se
plonger dans une incertitude totale.
II.HYPOTHESES DU TRAVAIL
Nous abordons notre travail en nous fixant les
hypothèses suivantes :
v La construction des outils d'analyse s'avère d'une
grande pertinence pour la compréhension du comportement des cohortes et
la prise des grandes décisions les concernant.
v La section et l'option d'origine au secondaire constitue un
pré requis de grande taille pour la cohorte dans l'apprentissage et la
réussite aux certains cours stratégiques à
l'université
v La performance d'une cohorte des étudiants à
l'UCB dépend de sa prise de conscience individuelle et non de la
caractéristique de la cohorte à l'entrée
III.CHOIX ET INTERET DU SUJET
Notre choix d'analyse de la scolarité à l'UCB
est guidé par le souci d'appréhender les outils et techniques que
l'université utiliser, les analyser et émettre, si
nécessaire des suggestions utiles qui serviront à des gestions
efficace de la scolarité.
Ainsi, le présent travail présente un double
intérêt à savoir :
1. A l'université catholique de Bukavu :
A la fin de cette étude, une idée claire et
précise aidera la hiérarchie de l'université a mieux
comprendre l'évolution des effectifs étudiants de la
faculté, plus particulièrement la faculté des sciences
économiques et des gestions. Cette dernière connaitra mieux les
tendances sur le niveau de la scolarité, le succès de
l'étudiant dans chacun des cours et sa performance globale, et sa
moyenne générale pour l'ensemble de son programme.
2. Au monde scientifique :
Ce travail marquera son utilité à
l'enrichissement des techniques documentaires pour les autres chercheurs qui
s'inscriront dans le même angle que celui de la présente
étude.
IV.DELIMITATION DU SUJET
Notre étude se limite à l'analyse de la
scolarité de la faculté des sciences économiques et de
gestion à l'université catholique de Bukavu.
Pour autant que la finesse d'une analyse ne dépende pas
seulement de la qualité des données récoltées mais
aussi de leur quantité, nous nous sommes proposé d'effectuer
notre recherche sur deux premières promotions des diplômés
soit les deux premières cohortes, qui s'étendent de
l'année 1997-1998 et 1998-1999
V.METHODE ET TECHNIQUE DU TRAVAIL
v.1.Méthodes
Une méthode est l'ensemble des démarches qui
suit l'esprit pour découvrir et démontrer une
vérité scientifique7(*)Toute recherche à caractère scientifique
doit comporter l'utilisation des procédés rigoureux, bien
défini, transmissibles, susceptibles d'être appliqués
à nouveau dans le phénomène en cause.
Dans le cadre de ce travail, nous nous servirons des
méthodes suivantes :
a)La méthode comparative
Elle nous permettra de comparer la scolarité des
étudiants admis et inscrits jusqu'à leurs finalités mais
aussi de comparer le pourcentage du diplôme qui représente la
moyenne de l'étudiant par rapport à sa réussite à
l'université. Pour chacun des cours, le groupe de
référence est l'ensemble des étudiants d'un même
auditoire et qui ont suivi le même cours à la même
session.
b) La méthode historique
Méthode proposée par B. Verhaegen, cette
méthode a comme objectif de forger une connaissance scientifique du
présent à partir des sources que l'histoire classique
récuse : l'information orale, le récit autobiographique et
documents contemporain8(*).
Via cette méthode nous serons capables de connaitre la
genèse et l'évolution la faculté des sciences
économiques et de gestion.
c)La méthode statistique
Cette méthode nous permettra de procéder
à la description, à l'analyse des différents aspects,
relations statistiques et tests utilisés pour obtenir la moyenne
arithmétique et à l'interprétation des données
recueillies.
v.2. Techniques
Contrairement à la méthode, la technique est
l'ensemble des outils qui facilitent la collecte et l'analyse de
données. Ainsi dans le cadre de notre travail nous nous servirons des
techniques suivantes :
v La techniques documentaires : elle
nous permettra non seulement de recourir à plusieurs ouvrages et
documents utilisé par l'U.C.B mais aussi elle nous aidera à
constituer un soubassement théorique consistant à travers une
lecture des ouvrages, des revues, des Travail de Fin de Cycle, articles... y
relatifs.
v La technique d'interview : elle nous
permettra de vérifier le fonctionnement de la faculté des
sciences économiques et de gestion et la mission de l'université
catholique de Bukavu.
VI.SUBDIVISION DU TRAVAIL
Mise à part l'introduction et la conclusion, notre
travail se composera en trois chapitres.
Le premier chapitre portera sur la revue de la
littérature sur l'économie de l'éducation.
Le deuxième chapitre consistera à la
présentation du milieu d'application de notre étude.
Enfin le troisième chapitre parlera sur l'analyse et
l'interprétation des données recueillies.
CHAP I : REVUE DE LA LITTERATURE
Dans ce chapitre il sera question de présenter deux
approches dont l'approche théorique et approche empirique.
I. APPROCHE THEORIQUE
Dans cette section nous tacherons de donner des humbles
détails concernant notre sujet.
I.1. DEFINITIONS DES CONCEPTS
a. La Scolarité :
Etudes accomplies par un élève dans une
école. Durée ou niveau des études accomplies par une
personne9(*).
Durée des études prescrites aux étudiants
des Universités, pour qu'ils puissent se présenter à tel
examen ou à tel concours. (Définition du mot "scolarité"
selon : Dictionnaire de L'Académie française)
b. Scolarisation :
Selon le dictionnaire, Petit Larousse (1998 :924) le mot
scolarisation signifie le fait de doter un pays ou une région des
établissements nécessaires à l'enseignement de toute une
population. La scolarisation est aussi l'action d'admettre un enfant ou un
groupe à suivre l'enseignement d'un établissement scolaire.
c. Cohorte :
Une cohorte est un ensemble d'individus ayant un vécu
un évènement semblable pendant la même période de
temps10(*)
Les études de cohortes sont définies par
l'observation dans le temps d'un groupe de personnes recrutées en
fonction de critères précis et soumises à une observation
commune pendant une certaine période.
On parle de générations s'agissant de cohorte de
naissance et l'on dénomme parfois promotions les cohortes de mariages,
les cohortes constituent le support de l'analyse longitudinale. (Dictionnaire
Démographique, P.U.F 1979. p. 25)
Une cohorte désigne un ensemble d'individus ayant
vécu un même événement au cours d'une même
période. Expression employée dans certaines statistiques
officielles pour désigner l'ensemble des enfants d'un âge ou d'un
niveau déterminé dans une école, une circonscription ou un
pays (Fernand, 1973).
d. Taux de scolarité :
Selon Pressât (1972) le taux de scolarité est la
proportion des personnes fréquentant un établissement
d'enseignement dans un groupe de population, distingué
généralement selon l'âge et parfois le sexe.
e. Taux de scolarisation :
Le taux de solarisation est le pourcentage de jeunes d'un
âge de scolarisation donné qui sont scolarisés par rapport
à l'ensemble de la population du même âge.
f. Taux de cohorte :
Taux entant que fréquence d'événements,
lors que ces derniers se rapportent en totalité à une ou
plusieurs cohortes. C'est le cas des taux par âge ou durée atteint
lorsque c'est l'âge qui est enjeu, on parle de taux de
génération11(*).
g. Analyse statique :
Application de la statistique à la recherche
pédagogique ou psychologique et spécialement à la
présentation et à l'interprétation des données
numériques.
(Fernand, 1973)
h. La sélection :
Elle est le résultat de toute une série de
décisions successives ou simultanées qui peuvent être
prises, soit par l'étudiant, soit par les enseignants, mais aussi par
les employeurs (Gravot, 1993).
i. taux d'alphabétisation :
C'est un taux qui exprime le pourcentage de population adulte
sachant lire et écrire. Il peut être un indicateur du niveau de
développement
d'un État.
I.2. GENERALITES SUR L'EDUCATION
L'éducation couvre un champ d'action très vaste
dans les sciences sociales en général et économique en
particulier. Comme tout autre problème économique (production,
consommation, répartition,...), elle fait l'objet d'une analyse
approfondie en sciences économiques.
Depuis les années soixante-dix, les instances
internationales ont très régulièrement appelé
l'Ecole à apporter sa contribution pour relever les grands défit
environnementaux. Le coup d'envoie de l'éducation à
l'environnemental été donné par la conférence des
nations unis de Stockholm en juin 1972 ; chaque conférence, de Rio
(1992) à Johannesburg (2002) en passant par Kyoto (1997), a amené
son lot de préconisations.
En même temps que les analyses et les
problématiques ont évolué, intégrant de
façon plus explicite les volets sociaux et économiques aux
aspects environnementaux, les mots ont changé : après le
rapport Brundtland en 1987 (du nom de Madame Gro Harlem Brundtland,
présidente de la commission mondiale de l'environnement et du
développement), le terme « développement
durable » s'est imposé progressivement et a gagné
lentement le terrain de l'éducation12(*).
Dans cette section, il nous sera question d'exploiter les
concepts relatifs à l'éducation et au système
éducative. Compte tenu des divers éléments constitutifs de
l'éducation, certaines autres notions seront également
abordées dans ce chapitre.
a) L'éducation
L'éducation est une action exercée sur autrui
pour développer ses facultés physiques, intellectuelles et
morales, ainsi que son caractère. C'est l'ensemble de moyens qui
contribuent à façonner un être. C'est le
développement de ses talents13(*).
Elle est l'action de former intellectuellement ou mentalement
un enfant, un adolescent et même un adulte. Elle permet également
d'acquérir des qualités morales qui se développent.
Concept d'éducation
L'éducation est un concept difficile car elle
émane parfois d'un consensus sur le quel s'accordent les
sociétés tant sur sa forme que sur ses méthodes de
transmissions. Toutefois, selon l'UNESCO, elle peut se définir en termes
généraux en tant que l'ensemble des méthodes
déformations humaines, ou de manière plus étroite, en
tant que l'ensemble des méthodes de formations humaines, ou de
manière plus étroite, en tant que processus d'acquisitions des
connaissances dans des institutions spécialisées. En ce sens elle
constitue une forme essentielle d'épanouissement des ressources
humaines14(*).
Dans la pratique, il existe plusieurs formes
d'éducations :
v L'éducation formelle :
Ensemble des apprentissages se déroulent dans des institutions
classiques de formation (centres d'éducation préscolaires, les
écoles primaires, secondaires et supérieures)
v L'éducation non
formelle : Education parallèle à
l'éducation formelle, elle est toute activité de formation
organisée en dehors du système éducatif formel. Elle offre
la possibilité à la vaste majorité d'enfants, de jeunes et
d'adultes des pays en développement qui ne sont pas atteints par le
système éducatif formel d'accéder à
l'apprentissage.
v L'éducation
marginale : Elle peut se définir comme étant
l'acquisition des connaissances en dehors de tout cadre institutionnel ou tout
programme organisé. Ce type d'éducation est acquis au sein de la
famille, au lieu de travail et dans les collectivités.
b) L'éducation dans l'histoire de la
pensée économique
L'éducation existe depuis que les hommes se situent
dans le temps et désirent retransmettre leur pensée, leur savoir
pour survivre et aussi leur façon d'interpréter le monde. En
d'autres termes, l'histoire de l'éducation et de la pédagogie est
profondément solidaire de l'histoire de la pensée.
En effet, jusqu'à A. Smith inclus,
l'éducation est plus considérée par les économistes
comme une consommation que comme une dépense d'investissement. Smith
range l'éducation parmi les services, qui « n'ajoutent
à la valeur de rien ». L'éducation participe plus de la
gestion du social qu'elle ne constitue un facteur de production. Cette
conception restera dominante chez les économistes, libéraux ou
socialistes, du XIXe siècle, même si leurs intérêts
les portent désormais surtout les premiers moins exclusivement vers la
production des biens matériels, et davantage vers celle des services. Se
pose aussi de plus en plus la question du financement de l'éducation et
de la part que doit y prendre l'État, à mesure que s'organisent
des systèmes éducatifs nationaux. Mais l'irruption de
l'économie de l'éducation comme objet de recherche à part
entière ne date que des années 1960, dans le contexte des Trente
glorieuses qui voient une augmentation exponentielle des dépenses
éducatives dans tous les pays, développés ou non. Ses
initiateurs sont américains (G. Becker, M. Blaug,
T. Schultz) mais des émules apparaissent rapidement dans d'autres
pays. L'histoire ultérieure de la discipline est elle-même
intéressante : depuis la théorie du capital humain
exposée par Schultz en 1961, elle s'est diversifiée,
affinée et complexifiée pour deux grands types de raisons :
les interrogations suscitées par les mutations qu'a connues
l'éducation, qui affectent à la fois le rôle de
l'État, l'organisation et le management de l'entreprise
Éducation, le comportement des parents, les objectifs sociaux et
professionnels visés ou atteints par l'instruction et la
formation ; l'évolution des paradigmes propres de la recherche, et
les interférences disciplinaires qui se nouent ou se dénouent,
avec la sociologie notamment a cet égard, on notera que la contribution
des historiens est faible, quelle que soit la période
considérée.15(*).
Parmi les économistes qui ont abordé de
manière diverse la notion de l'éducation depuis le
XVIIe Siècle nous pouvons en cité :
v Adam SMITH : Père fondateur de
l'économie de l'éducation car il fut une des plusieurs, si pas le
premier à s'interroger sur la notion du capital humain.
v William Petty Qui avant lui va
s'intéresser au rôle de l'éducation en calculant la valeur
travail d'un homme. Son étude a le mérite de lier l'homme et son
travail à la notion de capital.
v Ricardo donne la priorité au capital
technique en banalisant le facteur travail ;
v Malthus n'évoquant
l'éducation que sous la perspective démographique,
v Smith considère les qualifications
possédées par les individus comme un élément
déterminant le progrès économique. Il qualifie ces
qualifications ou aptitudes comme étant acquises par les individus par
l'éducation familiale, les études et l'apprentissage.
v Le XIXe siècle :
Malgré l'apport d'Adam Smith dans le domaine de
l'éducation, ce siècle n'apportera rien de fondamentalement
nouveau. Parmi les penseurs de cette époque.
v John Stuart Smill : A l'encontre d'A.
Smith, il fait remarquer que dans le domaine de l'éducation, les
mécanismes de marché ne fonctionnent pas efficacement.
Plutôt de prôner une instruction publique gratuite, il
suggère une instruction gratuite obligatoire dans une école
privée ou à domicile jusqu'à un certain âge,
sanctionnée par des examens d'Etat. Selon lui, le gouvernement pourrait
apporter une assistance financière aux institutions d'enseignement et
des dispenses financières aux enfants des pauvres.
v Karl Marx : Lui ne fait qu'élaguer
le sujet en précisant juste que le travail qualifié a une plus
grande valeur que le travail non qualifié et que la production de ce
travail qualifié exige du travail sous forme d'éducation. On voit
ici apparaître en filigrane l'idée que le capital humain est
produit grâce à l'éducation.
v La première moitié du XXe
siècle (Marshall et quelques pionniers) : Elle sera
marquée par le poids déterminant de l'économiste
Britannique Alfred Marshall.
v Alfred Marshall, Met en valeur les
bénéfices directs et indirects liés à
l'éducation (comme Smith) ; cependant, il va exclure le capital
humain de sa définition de la richesse et du capital (au sens large).Ces
travaux vont entraîner un coup d'arrêt dans le développement
de l'économie de l'éducation.
Il faudra attendre le début des années 60, avec
les travaux de SCHULTZ et BECKER pour qu'elle puisse prendre son essor
définitif car, ces économistes ont su appliquer de manière
systématique à l'éducation leurs instruments d'analyse et
leurs critères d'appréciation.
C. Importance de l'éducation
L'importance de l'éducation réside dans l'acteur
principal de la vie économique qui est l'homme, à travers sa
qualité en tant que producteur, consommateur et citoyen. Etant
(l'éducation) le moyen d'apporter le changement souhaité dans la
société, de développer une génération
d'individus vertueux et de contribuer ainsi au développement de bons
êtres humains, elle a pour but fondamental l'acquisition des
connaissances, inculquer les formes de bonne conduite et l'acquisition des
compétences techniques, elle est le moyen de se développer
physiquement, mentalement et socialement.
Pour l'enfant, une bonne éducation c'est la grande
chance de sa vie. Son épanouissement, son bonheur temporel et
éternel, sa valeur morale et spirituelle et sa réussite en
dépendent presque entièrement. Au niveau de la famille, une bonne
éducation récompense et réjouit les membres de la famille.
Elle prépare aussi l'individu à fonder plus tard un foyer
heureux, en le dotant des principes, des vertus, des compétences qui
assureront la bonne entente conjugale, l'harmonie, la paix, la
solidarité, l'amour du travail et qu'il transmettra à son tour
à ses enfants. Pour la société par ailleurs, la bonne
éducation est la garantie du progrès social, de la
prospérité économique, culturelle des peuples, parce que
génératrice de science, de conscience, d'honnêteté,
d'esprit de dévouement, de sens de la responsabilité, de
solidarité. La bonne éducation assure la qualité des
individus, la stabilité de la famille, le sérieux de la vie
professionnelle, la fidélité aux engagements, tous,
éléments indispensables à l'édification d'une
société où il fait bon vivre16(*).
II.APPROCHE EMPIRIQUE
Blaise HAMENI (2005), dans son travail « Les
méthodes actives dans le système éducatif camerounais : le
cas de la NAP dans l'enseignement de la philosophie en classes de terminale
à Yaoundé », se fixait comme objectifs de
décrire l'intégration des méthodes admises dans le
système éducatif camerounais et celui de montrer qu'il existe des
résistances à la pratique des méthodes inspirées de
l'éducation nouvelle au Cameroun. Pour valider ses hypothèses,
Blaise a utilisé la méthode d'observation directe ainsi que les
entretiens directs sur un échantillon de 70 individus (chefs
d'établissement).
Comme résultat, il a trouvé que les
recherches documentaires en particulier l'analyse des programmes officiels de
philosophie sont satisfait soit un Comme résultat, il a trouvé
que les recherches documentaires en particulier l'analyse des programmes
officiels de philosophie sont satisfait soit un pourcentage de 68 et 32 autre
ne sont pas de l'avis.
En 2007. Mekone TOLROM. Dans son travail
« Rendement Interne du Collège Charles Lwanga de Sarh (Tchad):
Cas de la cohorte 1987-1994 »il s'est assigné comme objectif,
de chercher les facteurs prépondérants qui font les
succès de réussite scolaire au sein du Collège Charles
Lwanga de Sarh.
Ainsi, pour comprendre son environnement de son étude,
il se basait sur les classes terminales et démontre que le rendement
d'un établissement doit être vu sous un angle
socioéconomique se basant sur la contribution que l'établissement
apporte à la construction de son environnement par le biais de la
formation. Pour prouvé sa théorie, il procède par des
présentations thématiques ou il montre sur un
échantillon de 200 étudiants que l'effectif des
élèves issus des zones rurales est presque toujours en-dessous de
50%. Suite aux faibles revenues des ménages rurales et 50% sont issus
des élèves internes.
CHAP II. PRESENTATION DU MILIEU D'ETUDE
II.1. HISTORIQUE17(*)
Il a fallu attendre le retour de la libéralisation de
l'enseignement supérieur et universitaire au Zaïre en avril 1989
pour voir son excellence Mgr Aloys MULINDWA MUTABESHA,
Archevêque de Bukavu, signer en date du 21 novembre 1989, le
décret portant direction de l'UCB(Université Catholique de
Bukavu) conformément au code de Droit Canonique, en ses canons 807 a
814, lequel décret demeure conforme et à la constitution
apostolique Ex corde Ecclésiale du 05 août 1990 relative aux
universités catholiques et aux institutions supérieurs.
Pour des raisons historiques et de convenance
institutionnelle, les signataires de l'acte fondateur ont confiées la
responsabilité de l'université aux soins de l'archidiocèse
de Bukavu, représenté par ses représentants légaux.
Il en détient ainsi le pouvoir
Organisateur, aide dans cette charge par un conseil
d'administration dont les membres sont des signataires des présents
statuts de l'Université Catholique de Bukavu.
Sont membres fondateurs de l'association UCB a.s.b.l tous ceux
qui ont été a la base de la création de
l'université dont :
· Prof MULAGO GWA CIKALA Vincent,
· Abbe RUHAMANYI BISIMWA Deogratias
· Dr. KABANDA Gilbert,
· Maître MAMBOLEO MUGHUBA,
· Abbé MIRINDI KISHINGOKO Bonaventure,
· Abbé NYAGAHAMA UWIKIZANGO Gaudes.
II.2. NATURE, MISSION ET OBJECTIFS DE L.UCB
II.2.1.Nature
Il est créé sous la forme d'association sans but
lucratif a.s.b.l. en sigle et sous la nomination Université Catholique
de Bukavu, en abrégé "UCB" a.s.b.l, un établissement
universitaire conformément á la loi 004/2001 au 20 juillet 2001
portant dispositions générales applicables aux associations sans
but lucratif et aux établissements d'utilité publique et en
référence aux lois et régime universitaire de la
République Démocratique du Congo.
L'université a son siège sur l'avenue Bugabo, n°
2, commune de Kadutu, Bukavu en
République Démocratique du Congo.
II.2.2.Mission
L'université catholique de Bukavu a pour objet
l'enseignement et la recherche
Scientifique et les autres activités annexes telles que
la création des instituts et écoles ainsi que des centres de
recherche.
II.2.3.Objectifs
Pour affirmer son caractère catholique, l.UCB assure
«sous forme institutionnelle une présence chrétienne dans le
monde universitaire face aux grands problèmes de la
société et de la culture» tel que le recommande vivement
Jean-Paul II dans la constitution apostolique : Ex code Ecclésiale.
Elle poursuit donc les objectifs suivants:
· Organiser l'enseignement universitaire de la science
sous toutes ses formes, en vue de promouvoir les cadres intellectuels congolais
et contribuer au développement socio-économique du pays, plus
particulièrement de la région du Sud-Kivu, en s'inspirant de la
tradition chrétienne.
· Effectuer la recherche scientifique et la publication
des études scientifiques, en toute matière avec le souci toujours
permanent d'une harmonisation des connaissances grâce au dialogue entre
la foi et la raison incluant une préoccupation éthique et une
perspective Théologique. Tout en restant ouvert a l'échange et a
la réflexion, S'ouvre a des interrogations toujours peu vastes et montre
que la réponse apportée a celle-ci vient d'en haut, a travers la
foi. Ils devront considérer les implications morales se
présentent comme partie intégrante de l'enseignement de cette
discipline et cela afin que l'ensemble du processus éducatif tende, en
définitive, au développement intégral de la personne.
· Pour la formation à l'esprit critique
amène les étudiants à comprendre en profondeurs les
racines et les causes des problèmes de la société, et de
leur temps, à contribuer à les résoudre en accordant une
attention particulière à leur dimension éthique et
religieuse. Ils pourront ainsi apporter activement leur concours à
l.intégration harmonieuse de la culture congolaise et africaine dans la
civilisation universelle et ressentir la joie d'être demain des leaders
qualifiés et des témoins du christ dans les endroits ou ils
devront accomplir leurs taches.
· Instaurer la coopération scientifique nationale
et internationale dans l'optique adaptée aux besoins et a la culture du
peuple congolais de l'Afrique et du reste du monde.
II.3.STRUCTURE
L'Université Catholique de Bukavu comprend divers
facultés (faculté d'agronomie, faculté de médecine,
faculté de droit, faculté d'informatique, et la faculté
des sciences économiques). Ainsi que tous les établissements,
instituts, départements, écoles, cliniques, centres
pédagogiques et institutions dont elle est dotée.
La communauté universitaire de l.UCB est
constituée des étudiants régulièrement inscrits et
des membres de son personnel académique et scientifique, administratif
et ouvrier.
Fonctionnement des services de l.UCB
Dans les statuts de l.UCB se trouve décrit le
fonctionnement de chaque service.
· Le Grand chancelier
Il fait partie du gouvernement de l.UCB, sa façon est
assimilée par l'archevêque de Bukavu en exercice. Il
représente le saint siège auprès de l'université et
est le représentant légal de l'Université Catholique de
Bukavu. Il confirme la désignation des membres du conseil administratif,
la nomination du recteur, des vice-recteurs et Administrateur
général, la nomination du personnel académique et
scientifique a temps plein et des cadres supérieurs de l'administration.
Il veille au maintien et au progrès de l'Université.
· Le conseil
d'administration
Il est l'organe chargé de L'Administration
Générale de l'Université et comprend 17 membres. Il
détient dans le respect des normes des présents statuts, tous les
pouvoirs nécessaires pour remplir ses fonctions et atteindre les
objectifs de l'université, définir la politique
générale de l'Université, la vérification des
comptes des corps académique et scientifique et des cadres,...
v Le conseil académique et
scientifique
Il fait partie des organes de gestion de l'Université.
Il est souvent convoqué par le recteur ou en cas d'empêchement par
le vice recteur.il se réunit au moins une fois tous les mois le conseil
académique et scientifique soumet au conseil d'administration des
recommandations concernant la politique générale de
l'université
Le conseil académique et scientifique est
composé :
§ Du recteur qui en est le président,
§ Du vice-recteur aux affaires académiques, qui
exerce la fonction du vice recteur
§ Du vice-recteur aux affaires estudiantines,
§ De l'administrateur général,
§ Des doyens des facultés
§ Des directeurs des instituts et écoles,
§ Des directeurs des centres de recherche,
§ Du représentant des étudiants.
Le recteur
Est le numéro un du comité de direction et
dirige l'université. il doit en principe être professeur
ordinaire.il supervise et coordonne l'ensemble des activités de
l'université.il convoque et précise les réunions du
conseil académique, il veille a la réalisation des objectifs de
l'Université.
Il représente l'université en justice.
Le vice-recteur aux affaires académiques
Il doit être professeur, et a la charge de la gestion
académique et scientifique de
L'Université.il assiste le recteur dans ses
fonctions.
Vice-recteur aux affaires
estudiantines
Il doit en principe être professeur, et a la charge de
gérer l'ensemble des rapports autres qu'académiques entre
l'Université et les étudiants.il assiste également le
recteur dans ses fonctions.
L'administration
générale
Il doit être une personne expérimentée et
détentrice d'au moins une licence universitaire.il assiste le recteur et
le vice recteur dans leurs fonctions administratives.il assure la direction de
l'ensemble des services administratifs.la gestion du personnel et des biens de
l'université.il gèrent aussi les finances de
l'université.
Les facultés
Outre les attributions déterminées par le statut
du personnel académique et scientifique de l'université, les
doyens et les directeurs de centres de recherche (centre informatique et
bibliothèque) assurent la direction de leurs secteurs respectifs et
participent avec voix délibérative aux réunions du conseil
académique et scientifique
II.4. ORGANIGRAMME UNIVERSITE CATHOLIQUE DE BUKAVU
:
Conseiller Juridique
Cabinet du Recteur
Service des Relations Publiques
Service de Coopération Interuniversitaire
Grand Chancelier
Conseil d'Administration
Conseil Académique et Scientifique
Comité de Direction
Recteur
Vice-recteur aux Affaires Etudiantes et Sociales
aux Affaires Etudiantes et Sociales
Administrateur Général
Vice-recteur Aux Affaires Académiques
aux Affaires Académiques
aux Affaires Académiques
aux Affaires Académiques
Cabinet de
l'Adm. Gén.
Cabinet du
VRA
Cabinet du
VRE
Bibliothèque
Facultés
Coordination de
la Recherche
Service
Internet
Service
Apparitorat
Service
Administratif
Service
Financier
Service de
publication
Service de
Scolarit
Programme et
Enseignem
Centre
Informatiqu
Aum
Service des
bourses
Service des
OEuvres
Sociales
Bureau de
la
Trésorerie
Bureau des
Services
Généraux
Bureau du budget contrôle
Bureau de
Comptabilité
Bureau du
Personnel
II.5 EVOLUTION DES EFFECTIFS ESTUDIANTINS DE L'AN
1990-2010
Le tableau ci-dessous montre la composition des effectifs
estudiantins de l'U.C.B de 1990-2010, soit pour 20 ans, il présente les
effectifs de l'U.C.B selon les différentes années
académiques et les nombres des facultés organisées
à chaque année académique. Un histogramme sera joint a ce
dernier pour arriver a mieux comprendre le développement des effectifs
au fil du temps.
II.5.1 Effectifs estudiantins par année
académique
Tableau n°1. Evolution des effectifs
estudiantins de 1990-2010
Année
|
Effectifs estudiantins
|
Nombre des facultés
|
1990-1991
1991-1992
1992-1993
1993-1994
1994-1995
1995-1996
1996-1997
1997-1998
1998-1999
1999-2000
2000-2001
2001-2002
2002-2003
2003-2004
2004-2005
2005-2006
2006-2007
2007-2008
2008-2009
2009-2010
|
277
394
528
776
924
1235
854
931
820
353
203
771
883
910
1197
1465
1560
1516
1726
2007
|
Propédeutique
2
2
4
4
4
4
4
4
4
5
5
5
5
5
5
5
5
5
5
|
Effectifs totaux
|
19330
|
5
|
Source : données
tirées au service de l'apparitorat central de l'UCB
Graphiquement l'effectif se présente de la
manière suivante:
Graphique II.1 : évolution des
effectifs estudiantins de 1990-2010
Partant de ce graphique, nous remarquons une évolution
croissante de effectifs de l'année academique 1990-1998, Comparement
à l'année 1997-1998 cette année academique(1997-1998) a
connu une baisse en effectif de 12%une forte baisse s'en est quivi
l'année 1999-2000 et cela a été déclarée
blanche pour les promotions suivante :
G2Agro,G3Agro,Ir1,Ir2,G2Medecine,G3Medecine,Doc1 et Doc3.
Cette situation de crisé n'a pas été
favorable au sein de l'université car elle a eu un impact sur le plan
financier et avec comme repercution une réductions du
remunération su personnel aussi bien academique que scientifique de
l'université.
Cela s'explique par le fait que l'evolution des salaires du
personnel de l'université dependent directement de l'evolution des
effectifs des etudiants et partant des recettes de l'Université qui est
constituer en grande partie par le minérval payé par les
etudiants.Cet ainsi que l'université catholique de bukavu a
ppliqué une formule dite fixe variavle,la quelle consistait en la
deduction du salaire de base et certaines avantages sociaux tel que la rubrique
le transport,le logement.
Nous remarquons également que l'Université
atteint l'effectif le plus bas de son éxistence au cours de
l'année académique 1999-2000, et avant cette chute des
éffectifs on remarque une autre mais plus grave au cours de
l'année 1996-1997 cette baisse en effectif étaient du à la
2eme guerre qu'a connu la region du Sud-kivu a savoir la guerre de
1996 et celle de 1998 qui ont eu des répercutions facheuses sur la
situation de l'Université On ne voyait plus les étudiants venir
d'autres regions du pays ou des pays étrangers pour venir étudier
a l'UCB, la situation financière des parents, suite aux deux guerre,
n'était pas bonne. Aussi, suite a l'insécurité on verra
les étudaints fouir la région et aller étudier
ailleurs.
Enfin, suite a l'amélioration de la
sécurité dans la région et à la résolution
progressive du problème des années élastiques, les
effectifs estudiantins sont en progression ces dernières années.
L'Université réalise ses effectifs les plus élevé
durant ces cinq dernières années, constant vécu pour
l'année 2009-2010 avec à son sein 2007etudiants soit un effectif
jamais réaliser depuis son existence.
II.5.2. Evolution des effectifs par faculté
Ce tableau ci-dessous va nous permettre de distribuer les
différents effectifs que constitue chaque faculté cela nous
permettra de visualiser le poids les effectifs estudiantins que constitue
chaque faculté de l'U.C.B de 1990-2010.
Tableau n°2: évolution des effectifs
estudiantins par faculté 1990-2010
Année
|
Médecine
|
Agronomie
|
Droit
|
Economie
|
Total
|
1990-1991
|
--
|
--
|
--
|
--
|
0
|
1991-1992
|
103
|
--
|
--
|
114
|
217
|
1992-1993
|
144
|
--
|
--
|
166
|
310
|
1993-1994
|
192
|
23
|
95
|
246
|
556
|
1994-1995
|
220
|
29
|
130
|
286
|
665
|
1995-1996
|
341
|
40
|
193
|
341
|
915
|
1996-1997
|
296
|
35
|
143
|
228
|
702
|
1997-1998
|
342
|
46
|
174
|
214
|
776
|
1998-1999
|
317
|
62
|
138
|
176
|
693
|
1999-2000
|
54
|
--
|
40
|
154
|
248
|
2000-2001
|
413
|
59
|
154
|
177
|
803
|
2001-2002
|
335
|
69
|
169
|
147
|
720
|
2002-2003
|
371
|
65
|
198
|
165
|
799
|
2003-2004
|
337
|
90
|
208
|
200
|
835
|
2004-2005
|
440
|
115
|
257
|
268
|
1080
|
2005-2006
|
452
|
153
|
327
|
336
|
1268
|
2006-2007
|
446
|
172
|
332
|
372
|
1322
|
2007-2008
|
397
|
178
|
325
|
381
|
1281
|
2008-2009
|
403
|
194
|
381
|
506
|
1484
|
2OO9-2010
|
444
|
252
|
452
|
607
|
1755
|
Total
|
6047
|
1582
|
3716
|
5084
|
16429
|
Source : données tirées au
service de l'apparitorat central de l'UCB
Graphique II.2. Moyenne par ans et par
cycle
L'Université Catholique de Bukavu débute ses
activités en 1990 avec en son sein deux propédeutiques à
savoir : La propédeutique sciences et la propédeutique
sciences humaines.
Dans notre graphique ci haut, nous avons combiné les
effectifs de deux propédeutiques celle de la propédeutique
sciences et sciences humaine et cela nous a permit de ne trac er qu'une seule
courbe représentant les deux propédeutiques.
Nous constatons également que les effectifs de la
propédeutique de l'année 1991-1992 est au début
décroissante et les années suivante elle commence à
accroitre jusqu'en 1995-1996 ou elle atteint un effectif le plus
élevé et de l'année 1999-2000 ou elle connaît un
effectif le plus bas. Après cette année académique, la
propédeutique a cessé d'exister à l'U.C.B
En calculant la moyenne annuelle facultaire des effectifs
estudiantins on obtient ce qui suit :
Pour la faculté de Médecine = =302,35/an
Pour la faculté d'Agronomie = =79,1/an
Pour la faculté de droit = =185,8/an
Pour la faculté de l'économie = =254,2/an
Il en découle de ce qui précède que la
faculté de Médecine avec une moyenne de 302,35
étudiants/ans encadre plus d'étudiants que les autres
facultés. Elle est suivie de la faculté d'économie avec
une moyenne de 254,2/an, la faculté de Droit avec une moyenne de
185,8/an et enfin de la faculté d'agronomie avec une moyenne de
79,1/an.
Ci-dessous les graphiques caractéristiques de la
scolarité à l'U.C.B pour ces 19 ans d'existence.
Graphique II.3 : Représentation en
camembert
Le graphique ci-haut représente le poids de chaque
faculté dans la constitution totale des effectifs de l'U.C.B pour ces 20
ans de fonctionnement. Cet ainsi qu'en voyant le graphique nous concluons que
la faculté de Médecine est la première en terme
d'effectifs, vient ensuite la faculté des sciences économiques et
de gestion, puis en troisième position la faculté de droit s'en
suit la faculté d'Agronomie en quatrième position et enfin la
faculté d'informatique en cinquième et dernière
position.
II.5.3. Graphiques des tendances centrales par
faculté
Nous inspirant toujours de notre tableau d'effectifs par cycle
nous pouvons aussi exposer les tendances centrales par faculté pour les
5 facultés qu'organisés l'Université Catholique de Bukavu
jusqu'ici :
Graphique II.4 Faculté de
Médecine
La faculté de médecine débute en bonne
état avec une croissance en effectif estudiantins jusqu'en 1995-1996
après cette période nous constatons des oscillations en effectifs
mais le pire survient en 1998-2000 avec une grande décroissante
estudiantins. Ce constat est du au fait de la guerre et aux difficultés
des chaumages que se heurté les ménages.
Graphique II.4 Faculté
d'agronomie
Cette faculté d'agronomie à pour
caractéristique principale le fait d'avoir subit fortement un
débâcle au courant de l'année académique 1999-2000
en arrêtant complètement ces activités car elle a subit une
année blanche malgré cette situation nous constatons que les
effectifs durant l'année suivante soit de l'an 2000 jusqu'en 2010 elle a
connu une croissance en effectif estudiantins.
Graphique II.5 Faculté de Droit
Le présent graphique montre l'évolution des
effectif en Droit une faculté qui commence ces activités en
1993-1994 et depuis lors la courbe commence sa phase ascendante et va subir des
fluctuations les années suivantes pour faire une chute en 1999-2000
après cette année la courbe reprend sa phase ascendante et l'on
aperçois que la faculté de droit atteint son effectif le plus
élevé en 2009-2010.
Graphique II.6 Faculté
d'économie
Cette faculté connaît un accroissement des
effectifs estudiantins jusqu'en 1994-1995 ou il subit des décroissances
jusqu'en 2000-2001 ou la courbe commence sa phase ascendante. Jusqu'à
présent les effectifs ne font que s'accroître a chaque
année et la faculté atteint son effectif le plus
élevé en 2009-2010.
Tableau n° 3 : Evolution des
effectifs par cycle de 1990-2010
Année
|
Médecine
|
Agronomie
|
Economie
|
Droit
|
|
1er cycle
|
2e cycle
|
1er cycle
|
2e cycle
|
1er cycle
|
2e cycle
|
1er cycle
|
2e cycle
|
1990-1991
|
|
__
|
__
|
__
|
__
|
__
|
__
|
__
|
1991-1992
|
103
|
--
|
--
|
--
|
114
|
--
|
--
|
--
|
1992-1993
|
144
|
--
|
--
|
--
|
166
|
--
|
--
|
--
|
1993-1994
|
192
|
--
|
23
|
--
|
246
|
--
|
95
|
--
|
1994-1995
|
186
|
34
|
29
|
--
|
239
|
47
|
130
|
--
|
1995-1996
|
288
|
53
|
26
|
14
|
242
|
99
|
193
|
--
|
1996-1997
|
291
|
55
|
24
|
11
|
169
|
59
|
143
|
--
|
1997-1998
|
241
|
55
|
33
|
13
|
148
|
66
|
138
|
36
|
1998-1999
|
220
|
97
|
46
|
16
|
122
|
54
|
85
|
53
|
1999-2000
|
54
|
--
|
--
|
--
|
97
|
57
|
40
|
--
|
2000-2001
|
304
|
109
|
37
|
22
|
111
|
66
|
107
|
47
|
2001-2002
|
224
|
111
|
39
|
30
|
84
|
63
|
122
|
47
|
2002-2003
|
275
|
92
|
38
|
27
|
110
|
55
|
147
|
51
|
2003-2004
|
226
|
111
|
71
|
19
|
147
|
53
|
163
|
45
|
2004-2005
|
316
|
124
|
86
|
29
|
222
|
46
|
215
|
42
|
2005-2006
|
332
|
120
|
115
|
38
|
288
|
39
|
279
|
48
|
2006-2007
|
322
|
124
|
128
|
44
|
303
|
69
|
272
|
60
|
2007-2008
|
275
|
122
|
133
|
45
|
282
|
99
|
244
|
81
|
2008-2009
2009-2010
|
292
291
|
111
153
|
151
196
|
43
56
|
382
464
|
124
143
|
278
371
|
103
81
|
Total
|
4576
|
1471
|
1175
|
407
|
3936
|
1093
|
3215
|
694
|
Source : données tirées au
service de l'apparitorat central de l'UCB
En calculant les proportions des effectifs estudiantins par
cycle, on obtient les résultats suivants par faculté :
1) Faculté de Médecine :
a) = ×100=75, 67 %
b) = ×100=24,32%
2) Faculté d'Agronomie :
a) = ×100=74, 27%
b) = ×100=25, 72%
3) Faculté d'Economie:
a) = ×100=78, 26%
b) = ×100=21, 73%
4) Faculté de Droit:
a) = ×100=82, 24%
b) = ×100=17, 75%
Commentaire :
Partant des analyses ci-haut, nous remarquons une forte
concentration estudiantine au premier cycle par rapport au second cycle et ceci
est du a la forte concentration des rebuts du système éducatif vu
au premier cycle qu'au second cycle.
Ces rebuts peuvent être considéré comme
les étudiants redoublant, les étudiants qui ont abandonné,
ou les étudiants qui ont effectuer des transfèrent d'une
faculté vers autres facultés, ... ces principaux facteurs
empêchent les étudiants de franchir leurs premier cycle.
CHAP III. ANALYSE DE LA COHORTE (1997-
1998,1998-1999)
III.1. INTRODUCTION
Nous voici à présent à
l'analyse de la cohorte au sein de notre faculté d'économie. Les
deux cohortes que nous avons choisies pour faire notre étude est celle
de l'année1997-1998 et 1998-1999.
C'est ainsi que ce Chapitre III qui est le dernier de notre
travail, se composera de trois parties à savoir :
La première partie est l'exposé de la
méthodologie
La deuxième partie est l'exposé des
résultats de notre recherche et
La troisième partie est dernière est
l'interprétation des résultats exposés.
III.2.METHODOLOGIE
Pour ce qui est de notre méthode
utilisé en vue d'étudier la performance des cohortes au sein de
l'université, nous avons recourut a des fiches des scolarités,
les dossiers individuels des étudiants sous étude, les documents
d'archives se trouvant à L'université plus
précisément à l'UCB/KARHALE et grilles de
délibérations disponible à l'apparitorat de
l'université pour y retrouver les promotions de différentes
étudiants et les caractéristiques à l'entrée que
nous nous sommes fixées à l'introduction de notre travail. Nous
nous somme heurtés à un niveau de complexité au moment de
la récolte des données :
- Manque des fiches d'inscription des certains
étudiants
- Certaines fiches sont incomplètes
Pour cela dans le souci de bien analyser la scolarité
dans cette faculté d'économie de 1998-2003 soit deux promotions
de diplômé, il nous faudra nous intéresser et
considérer la deuxième année de licence comme le
début d'analyse pour ces deux promotions de diplôme. Les quelques
analyses que nous ferons sont de graduat et de la licence.
Modèle de ciblage des flux
académiques :
G1
1997-1998
G1 G2
1998-1999
G1 G2 G3
1999-2000
G1 G2 G3 L1
2000-2001
G1 G2 G3 L1 L2
2001-2002
G1 G2 G3 L1 L2
2002-2003
Source: Notre propre conception
Les deux dernières lignes nous montrent les deux
promotions de finalistes de la faculté d'économie et de gestion
de l'U.C.B qui constituent nos promotions cibles en ce qui concerne le cas de
notre travail.
Ce modèle de ciblage peut être analysé
sous différentes dimensions ainsi, nous aurons :
1. Analyse horizontale : cette analyse nous permet de
lire le modèle sous forme horizontale et nous donne les promotions ayant
étudiées pendant une même année mais
différentes dans la constitution des cohortes.
2. Analyse verticale : différentes années,
différentes promotions, mais la constitution mêmes des
étudiants moins rebuts du système c.-à-d. les
étudiants ayant échoués, abandonnées ou les
étudiants ayant changé des filières d'études. Cette
analyse va nous guider tout au long de notre travail, elle nous permettra de
suivre l'évolution d'une cohorte dé son entrée
jusqu'à sa sorite dans le système éducatif.
3. Analyse oblique : Elle permet de suivre
l'évolution de la scolarité d'une manière oblique, elle a
pour caractéristique principale de se renseigner sur le comportement
d'une promotion au fil du temps.
Spécification des variables
Variable expliquée (dépendante ou
endogène)
La variable expliquée est l'analyse de la performance
des cohortes à l'université.
Elle est déterminée par un certain nombre de
raisons ou causes qui constituent les variables explicatives.
La variable explicative ou indépendante ou
exogène et quelques
Elles sont de plusieurs ordres ;
Ce sont les facteurs qui permettent la compréhension du
phénomène étudié ; les auteurs
répertoriés donnent un éventail des variables qui
permettent la compréhension de cette analyse en question ; il
s'agit notamment du sexe de l'étudiant, du pourcentage obtenu aux
examens d'Etat, de l'année d'obtention du diplôme d'Etat, de
l'école d'origine de l'étudiant, l'âge de
l'étudiant, la section qu'à suivie l'étudiant au
secondaire.
Tous ces facteurs nous permettent d'analyser et d'expliquer la
performance des cohortes à l'université catholique de Bukavu au
sein des facultés qu'elles organisent et plus précisément
dans la faculté de sciences économiques et de gestion.
De ce fait, Le tableau suivant nous en parle longuement en ce
qui concerne la spécification des variables explicatives :
Tableau n°4 : spécification des
variables explicatives
INTITULE
|
V ARIABLES
|
SPECIFICATION
|
Sexe
|
Explicative
|
Quantitative/qualitative
|
Ecole d'origine
|
Explicative
|
Qualitative
|
Age de l'étudiant
|
Explicative
|
Quantitative
|
Année de l'obtention du diplôme d'Etat
|
Explicative
|
Qualitative
|
Pourcentage obtenu aux examens d'Etat
|
Explicative
|
Quantitative
|
Probabilité de réussite
|
Explicative
|
Qualitative/quantitative
|
Section suivie au secondaire
|
Explicative
|
Qualitative
|
Pour ce qui est de notre travail, nous procéderons par
quelques représentations sous formes de tableaux, graphiques et l'usage
de la statistique descriptive de même que l'utilisation du tableau de
contingence qui s'avère d'une importance capital en ce qui concerne
notre travail.
Pour ce fait nous serons obligés de confronter les
résultats obtenus par les différentes cohortes mis ensemble pour
en tiré des conclusions.
II.1. Méthode statistique :
A) La moyenne arithmétique : le
calcule de la moyenne arithmétique est différente en statistique
descriptive selon que le caractère statistique est discret ou
continu :
Caractère statistique discret :
o Moyenne arithmétique simple : moyenne
arithmétique simple de p nombres x1, x2,...xp est :
Cette équation se lit : « somme de
i allant de 1 à p de
xi »
o Moyenne arithmétique pondérée :
moyenne arithmétique des p nombres x1,x2,...,xp pondérés
par les coefficients ou les effectifs respectifs n1,n2,...,np est :
Dans notre travail nous allons plus utiliser la moyenne
arithmétique pour comprendre la tendance centrale de nos effectifs
estudiantins. C'est ainsi que les moyennes obtenues lors de nos
différentes calcules vont nous permettre lors de l'élaboration
des tableaux synthétiques pour nos deux cohortes soit la cohorte
1997-1998 et 1998-1999.
B) Différents taux : les
différents taux que nous analyserons vont nous permettre de mesurer le
rapport&poids des différents résultats obtenus dans la
constitution globale ou d'échantillon des étudiants tiré
sur base des différents critères de discrimination.
III.3.ECHANTILLONNAGE
L'échantillon est un sous ensemble de la population de
base qui est interrogé après sélection lors d'une
enquête18(*).
Pour ce qui est de notre travail, l'échantillon qui
concerne notre analyse est ce de la cohorte de l'année 1997-1998 et la
cohorte de l'année 1998-1999. Plus précisément nous allons
plus nous focaliser sur l'échantillon de la dernière promotion
soit la promotion de la 2ième licence car elle va nous
aidé à analyser le taux de l'école de provenance des
étudiants sous analyse et son impact sur la réussite de ce
dernier, la signification du pourcentage obtenue par l'étudiant aux
épreuves de l'examen d'état
Cependant, en ce qui est de la présentations des options
choisies par l'étudiant soit pour ce qui est de notre faculté
d'économie que nous analysons l'option économie rurale ou la
gestion financière nous ne seront pas obligé de le
considérés quelque soit la différenciation des cours car
nous ne seront pas obligé de biaiser nos résultats obtenue lors
de nos analyses.
Tableau n° 5 : Présentation
de la cohorte relative à l'année académique 1997-1998
Cohorte
|
Total effectif
|
participants
|
Echecs
|
Réussite
|
Abandon
|
Total générale
étudiants
|
Promotion
|
Année
|
G
|
F
|
1ièr session
|
2ièm session
|
G
|
F
|
G
|
F
|
G
|
F
|
G1
|
1997-1998
|
32
|
19
|
51
|
35
|
11
|
5
|
20
|
9
|
2
|
4
|
51
|
G2
|
1998-1999
|
19
|
9
|
39
|
39
|
4
|
4
|
15
|
5
|
-
|
-
|
28
|
G3
|
1999-2000
|
16
|
5
|
32
|
22
|
-
|
-
|
16
|
5
|
4
|
-
|
21
|
L1Ecorur
|
2000-2001
|
3
|
2
|
10
|
10
|
1
|
-
|
2
|
2
|
1
|
-
|
5
|
L1Gefin
|
2000-2001
|
9
|
2
|
22
|
22
|
-
|
-
|
9
|
2
|
-
|
-
|
11
|
L2Ecorur
|
2001-2002
|
2
|
2
|
8
|
8
|
-
|
-
|
2
|
2
|
-
|
-
|
4
|
L2Gefin
|
2001-2002
|
9
|
2
|
19
|
19
|
1
|
-
|
8
|
2
|
1
|
-
|
11
|
Source : Palmarès
apparitorat central
Il ressort de ce tableau un effectif significatif
observé en graduat qu'en licence. Cette écart en effectif est
expliquer du fait que soit certains étudiants on pu abandonnée
suite à l'observation des échecs qu'ils ont pu avoir au courant
de leurs cursus universitaire, soit par une orientation vers le marché
du travail (marché d'emploie) soit par un taux de chômage
élevé de la part des étudiants ou des parents qui
supportent leurs frais académiques et tout ceci conduit à la non
poursuite des cours au second cycle(la licence) par les étudiants.
Mais aussi nous remarquons dans le tableau n°5 qu'au
début de l'année académique de cette cohorte l'on observe
un grand nombres d'étudiants garçons que d'étudiantes
filles cela peut signifier que durant cet début d'année
académique(soit l'année 1997-1998)les étudiants
garçons ont beaucoup préférer la faculté
d'économie que les étudiantes filles ;et l'évolution
de cette cohorte durant les année académiques s'est achevé
avec un grand nombre d'étudiants garçons qu'étudiantes
filles(soit au début de l'année de cette cohorte nous avons
32garcons et 19filles et à la fin de l'année de cette cohorte
nous remarquons 11garcons et 4filles les deux options d'économie
confondus)
Tableau n° 6 :
Présentation de la cohorte relative à l'année
académique 1998-1999
Cohorte
|
Total effectif
|
participants
|
Echecs
|
Réussite
|
Abandon
|
Total générale
étudiants
|
promotion
|
Année
|
G
|
F
|
1ièr session
|
2ièm session
|
G
|
F
|
G
|
F
|
G
|
F
|
G1
|
1998-1999
|
15
|
25
|
40
|
23
|
5
|
9
|
11
|
15
|
-
|
-
|
40
|
G2
|
1999-2000
|
1O
|
16
|
34
|
33
|
-
|
-
|
10
|
16
|
-
|
-
|
26
|
G3
|
2000-2001
|
7
|
13
|
31
|
29
|
-
|
1
|
7
|
12
|
-
|
-
|
20
|
L1Gefin
|
2001-2002
|
8
|
13
|
29
|
29
|
2
|
4
|
6
|
9
|
-
|
-
|
21
|
L1Ecorur
|
2001-2002
|
1
|
1
|
7
|
7
|
1
|
-
|
-
|
1
|
-
|
-
|
2
|
L2Gefin
|
2002-2003
|
6
|
9
|
23
|
23
|
-
|
-
|
6
|
9
|
-
|
-
|
15
|
L2Ecorur
|
2002-2003
|
-
|
1
|
5
|
5
|
-
|
-
|
-
|
1
|
-
|
-
|
1
|
Source : Palmarès
apparitorat central
Au vue de ce tableau, nous constatons une
supériorité des effectifs estudiantins du genre masculine par
rapport à celle du genre féminine mais aussi un nombre
significatif en total estudiantins en graduat qu'en licence.
Contrairement au tableau n°5, le tableau n°6
requiert un nombre plus grande du genre féminine que masculine au
début de sa promotion de graduat soit 25Filles sur 15Garcons la somme
qui nous donne un effectif totales en G1économie de 40
étudiants.
a) Effectif total : Est le nombre
d'individus qui correspondent au même caractère19(*).
Pour ce qui est de notre travail, l'effectif total donne
l'évolution des effectifs estudiantins au sein de l'université au
fil de du temps. L'effectif concerne seulement les flux qui entrent en
formation dès le début de l'année académique et on
suit son évolution (parcours) jusqu'à sa sortie d'une promotion
à une autre. .
L'effectif total de la cohorte des années
académique :
- 1997-1998 est de : 51(début de l'année de
la cohorte), 28, 21, 16,15(fin de parcours des étudiants dans la
cohorte, toutes facultés confondus) cfr tableau n° 5
- 1998-1999 est de : 40(étudiants début de
l'année académique de la cohorte), 36, 20, 23,16(étudiants
fin parcours dans la cohorte) cfr tableau n°6
- Nous avons jugés bon de séparer ses effectifs
pour mieux comprendre la contribution réelle de chaque cohorte dans ces
effectifs. Ainsi nous avons le total des effectifs des garçons et ceux
des filles et valeur absolue pour les 2cohortes mais aussi le total des
participants de chaque cohorte:
- Pour ce qui est des effectifs total par sexe de la
première cohorte
TEG : 32, 19, 16, 3, 9, 2, 9 cfr tableau n°5
TEF : 19, 9, 5, 2,2, 2, 2 cfr tableau n°5
- Pour ce qui est des effectifs total par sexe de la
deuxième cohorte
TEG : 15, 10, 7, 8, 1,6, 0 cfr tableau n°6
TEF : 25, 16, 13, 13, 1, 9, 1 cfr tableau n°6
Par cette analyse nous constatons que la première cohorte
a acquis une effectivité élevée en genre masculin que la
deuxième cohorte contrairement à la deuxième cohorte qui a
acquis un nombre élevée du genre féminin par rapport
à la première cohorte. C'est ainsi que, le genre (sexe) aura un
impact significatif dans notre analyse.
Pour ce qui est de l'effectif total des participants
première et deuxième sessions aux examens à
l'université, (tous les étudiants de la cohorte sous étude
qui participe à l'épreuve des examens y compris ceux qui ne sont
pas dans la cohorte d'étude c.-à-d.les redoublent que l'on
rencontre dans les différentes promotions et les étudiants qui se
sont inscrits dans la promotion)
- Première cohorte :
TEGP 1ière session : 51, 39, 32, 10, 2, 2, 8
cfr tableau n°5
TEGP 2ième session : 35, 39, 22,
10, 22, 8 cfr tableau n°5
- Deuxième cohorte :
TEG 1ière session : 40, 34, 31, 29, 7,
23, 5 cfr tableau n°6
TEG 2ième session : 23, 33, 29, 29, 7,
23, 5 cfr tableau n°6
Nous constatons dans notre analyse que les participations aux
examens de premier session est grande par rapport aux examens de
deuxième sessions .ceci peut se justifier par les échecs obtenue
en premier session ou le fautes de paiement des frais académique pour
passe la seconde session.
III.4.ANALYSE
Pour ce qui est de notre analyse, nous avons bon jugée
de concevoir un tableau comportant 10lignes et 12colonnes, ce tableau est
composé du taux de réussite par sexe (soit le sexe masculin et
féminin), du taux d'échec par sexe, du taux d'abandon par sexe et
enfin l'effectif total de la désignation des promotions. La
dernière ligne dans le tableau reprend la moyenne de pourcentage total
par sexe du taux de réussite globale, le taux d'échec global
ainsi que le taux d'abandon global.
Tableau n° 7 : Synthétique
des flux pour la première promotion des diplômés en
sciences économiques et de gestion (cohorte 1997-1998)
Cohorte (1997-1998)
|
Taux de réussite/sexe
|
T.R.G
|
Taux d'Echec/sexe
|
T.E.G
|
Abandon/sexe
|
T.A
|
Total Effectif
|
Promotion
|
Années
|
M
|
F
|
M
|
F
|
M
|
F
|
G1
|
1998-1999
|
39,21%
|
17,64%
|
56,85%
|
21,56%
|
9,80%
|
31,36%
|
3,92%
|
7,84%
|
11,76%
|
100,00%
|
G2
|
1999-2000
|
53,57%
|
17,85%
|
71,42%
|
14,28%
|
14,28%
|
28,56%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
100,00%
|
G3
|
2000-2001
|
76,19%
|
23,80%
|
99,99%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
100,00%
|
L1ECORUR
|
2001-2OO2
|
40,00%
|
40,00%
|
80,00%
|
20,00%
|
0,00%
|
20,00%
|
0,00%
|
0 ,00%
|
0,00%
|
100,00%
|
L1GEFIN
|
81,81%
|
18,18%
|
99,99%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
100,00%
|
L2ECORUR
|
2OO2-2003
|
50,00%
|
50,00%
|
100,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
100,00%
|
L2GEFIN
|
72,72%
|
18,18%
|
90,9%
|
9,09%
|
0,00%
|
9,09%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
100,00%
|
TOTAUX
|
MOYENNE
|
59,07%
|
26,52%
|
85,59%
|
9,27%
|
3,44%
|
12,71%
|
0,56%
|
1,12%
|
1,68%
|
100,00%
|
Tableau n°8 : Synthétique des flux
pour la deuxième promotion des diplômés en sciences
économiques et de gestion (cohorte 1998-1999)
Cohorte (1997-1998)
|
Taux de réussite/sexe
|
T.R.G
|
Taux d'Echec/sexe
|
T.E.G
|
Abandon/sexe
|
T.A
|
Total Effectif
|
Promotion
|
Années
|
M
|
F
|
M
|
F
|
M
|
F
|
G1
|
1997-1998
|
27,5%
|
37,5%
|
65,00%
|
12,5%
|
22,5%
|
35,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
100,00%
|
G2
|
1998-1999
|
38,46%
|
61,53%
|
99,99%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
100,00%
|
G3
|
1999-2000
|
35,00%
|
60,00%
|
95,00%
|
0,00%
|
5,00%
|
5,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
100,00%
|
L1ECORUR
|
2000-2OO1
|
28,57%
|
42,85%
|
71,42%
|
9,52%
|
19,04%
|
28,56%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
100,00%
|
L1GEFIN
|
0,00%
|
50,00%
|
50,00%
|
50,00%
|
0,00%
|
50,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
100,00%
|
L2ECORUR
|
2OO1-2002
|
40,00%
|
60,00%
|
100,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
100,00%
|
L2GEFIN
|
0,00%
|
100,00%
|
100,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
100,00%
|
TOTAUX
|
MOYENNE
|
24,21%
|
58,84%
|
83,05%
|
10,28%
|
6,64%
|
16,93%
|
0,00%
|
0,00%
|
0,00%
|
100,00%
|
Analyse, explication et comparaison de nos deux
tableaux (cohorte)
1) Taux de Réussite Global(T.R.G)
Le taux de réussite a pour formule suivante :
TRG= ×100
Cette formule nous a était
énormément utile lors des calculs du taux de réussite
global en ce qui concerne nos deux cohorte que nous analysons.
Nous constatons un pourcentage élevé du taux de
réussite globale pour ce qui est de nos deux cohortes soit un taux
de réussite global de 85,59% pour ce qui est de la première
cohorte et 83,05% pour la seconde cohorte.
Ainsi la raison explicative de cette hausse en
pourcentage de réussite s'explique par l'effectif total de
réussite. D'où ne pas perdre de vues devant le résultat
obtenue par la formule haut du taux de réussite globale en allant en
besogne dans des conclusions vide.de ce fait, il faut d'abord comprendre que le
taux de réussite globale des effectifs de chaque cohorte s'agissant du
critère genre, dépend des effectifs que des performances
réelles de la cohorte ou des étudiants.
2) Taux d'Echec Global(T.E.G)
C'est la même logique que le taux de réussite
globale mais cette fois ci sans le sens d'échec.
Il est de ce fait de constaté que l'influence des
effectifs se manifeste au niveau de l'échec car les plus grands
effectifs ont aussi accusés plus d'échec.
Ce taux d'échec a pour formule :
T.E.G= ×100
3) Taux d'Abandon Global(T.A.G)
Le taux d'abandon global nous montre le pourcentage
des étudiants qui ont abandonné au fil du temps sans tenir compte
des causes. D'où nous avons effectué une répartition par
sexe qui nous a permit de comprendre de près le comportement de ce taux
au fil du temps.
Ainsi en ce qui concerne nos deux cohortes, nous avons un taux
moyen d'abandon global de 1,68% pour la première cohorte et 0,00%pour la
deuxième cohorte.vu de près, nous constatons que la
deuxième cohorte à un taux nul soit de zéro pourcent ceci
peut être justifié par le fait que bien qu'ils aient
échoué, les étudiants n'abandonnent pas pour autant les
études.
4) Taux de Refus
L'ancien règlement académique
prévoyait de refuser les étudiants qui ont atteint un score
minimum à celui fixé de minimum normal. Mais il est à
noter que ces étudiants n'ont pas étaient victimes des tels
traitements tout au long de leur formation.
Ce taux n'a pas été significatif pour nos
analyses.
5) Taux de Réussite/Sexe
Ce taux est plus comparatif car il vient
résoudre les limites manifestées par le taux de réussite,
et nous permet de déceler la vraie performance de la cohorte en
étude. C'est à dire la performance réelle de la cohorte
au fil du temps.
Pour ce qui est de ce taux, elle nous montre la
réussite de chaque cohorte et se calcul de la manière
suivante : TR/S=
De ce fait, notre première cohorte présente en
G1 un taux de réussite de 39,21% pour les garçons et 17,64% pour
les filles. Ainsi partant de ce taux nous constatons que les garçons
sont plus performantes que les filles contrairement en ce qui est de la
deuxième cohorte les filles ont un taux de réussite
élevé que les garçons.
6) Taux d'Echec/Sexe
Ce taux nous permet avec une plus grande
précision de savoir les véritables échecs(le poids
d'échecs) que nous retrouvons dans chaque cohortes c'est-à-dire
sur un total de X participants qui constitue la cohorte combien ont
échoué ?
Ainsi la formule utilise pour la détermination de ce
taux est la suivante : TES/S=
7) Taux de Réussite/Total Réussite
L'objectif recherché dans le calcul de ce
taux est d'analyser le poids de réussite que comporte chaque cohorte
dans la réussite totale.
D'où la formule suivante : TR/total
réussite=
8) Taux d'Echec/Total Echec
En ce qui concerne le calcul de taux c'est la
même logique que le calcul du taux de réussite mais d'une
manière différente C'est-à-dire qu'ici nous recherchons
à comprendre la part de chaque cohorte dans le total échec.
La formule utiliser est : TE/total échec=
III.5. ANALYSE DES DONNEES LIEES AUX CARACTERISTIQUE A
L'ENTREE
v PERFORMANCE PAR SEXE
1. Cohorte 1997 (soit l'année académique
1997-1998)
Tableau n°9 : Performance par sexe pour la
première cohorte
SEXE
|
Inscription
|
G1
|
G2
|
G3
|
L1ECOR
|
L1GEFIN
|
L2ECOR
|
L2GEFIN
|
Masculin
|
32
|
32
|
19
|
16
|
3
|
9
|
2
|
9
|
Féminin
|
19
|
19
|
9
|
5
|
2
|
2
|
2
|
2
|
TOTAL
|
51
|
51
|
28
|
21
|
5
|
11
|
4
|
11
|
Source : grille de
délibération/faculté de médecine
Partant de ce tableau nous constatons que l'effectif total
estudiantin au commencement était de 51étudiants dont 32garcons
et 19filles et l'effectif total de fin est de 15étudiants toutes les
options confondues dont 4filles et 11garcons.
2. Cohorte 2001 (soit l'année académique
1997-1998)
Tableau n°10 : Performance par sexe pour la
deuxième cohorte
SEXE
|
Inscription
|
G1
|
G2
|
G3
|
L1ECOR
|
L1GEFIN
|
L2ECOR
|
L2GEFIN
|
Masculin
|
15
|
15
|
10
|
7
|
1
|
8
|
0
|
6
|
Féminin
|
25
|
25
|
16
|
13
|
1
|
13
|
1
|
9
|
TOTAL
|
40
|
40
|
26
|
20
|
2
|
21
|
1
|
15
|
Source : grille de
délibération/faculté de médecine
Ce tableau fait apparaitre clairement que lors de
l'inscription l'effectif total était de 40étudiants dans cette
cohorte soit un effectif de 15étudiants de sexe masculin et
25étudiants de sexe féminin.
A la fin de la première année de graduat, seuls
15garcons et 25filles sont passé de promotion et qu'à la fin de
la deuxième année de graduat, seul 10garcons et 16filles sont
passé en troisième année de graduat et qu'enfin de compte
seuls 6garcons et 10filles ont terminé avec succès le cursus
universitaire.
En combinant les 2 cohortes ensemble nous remarquons que la
première cohorte est plus performante que la deuxième cohorte.
v AGE ET POINT OBTENUS AUX EXAMENS D'ETAT
1. Cohorte 1997 (soit l'année académique
1997-1998)
Tableau n°11 : Age et points obtenus aux
examens d'Etat pour la première cohorte
Pourcentage
|
18ans
|
19ans
|
20 ans
|
21 ans
|
22 ans
|
23 ans
|
24 ans
|
25 ans
|
26 ans et plus
|
50-54
|
-
|
1
|
10
|
4
|
6
|
4
|
-
|
2
|
1
|
55-59
|
-
|
-
|
1
|
3
|
1
|
-
|
-
|
1
|
1
|
60-64
|
-
|
1
|
2
|
2
|
1
|
2
|
2
|
-
|
-
|
65-69
|
-
|
1
|
-
|
1
|
-
|
2
|
-
|
-
|
-
|
70-74
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
75-79
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
1
|
-
|
-
|
-
|
80 et plus
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
TOTAL
|
|
3
|
13
|
10
|
8
|
10
|
2
|
3
|
2
|
Source :Donnée tiré de
l'apparitorat central de l'UCB
2. Cohorte 1997 (soit l'année académique
1997-1998)
Tableau n°12 : Age et points obtenus aux
examens d'Etat pour la deuxième cohorte
Pourcentage
|
18ans
|
19ans
|
20 ans
|
21 ans
|
22 ans
|
23 ans
|
24 ans
|
25 ans
|
26 ans et plus
|
50-54
|
1
|
5
|
8
|
1
|
5
|
1
|
2
|
-
|
-
|
55-59
|
1
|
4
|
5
|
1
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
60-64
|
-
|
1
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
65-69
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
70-74
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
75-79
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
80 et plus
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
-
|
TOTAL
|
2
|
10
|
13
|
2
|
5
|
1
|
2
|
-
|
-
|
Source :Donnée tiré de
l'apparitorat central de l'UCB
Nous procéderons par une analyse de la performance, la
quelle est concerné par chaque étudiant qui a abordé
l'université. Cette analyse est possible grâce à
l'étude des résultats obtenus par chaque candidat aux
épreuves des examens d'état.
a. La Fréquence absolue
(ni) : est le nombre de fois qu'une observation apparait
dans une série statistique ou dans une série de
données.
b. La Fréquence
relative(Fr) : pour le cas des variables regroupées
en classe, on peut associer un nombre qui représente le pourcentage
d'observation correspondant à la valeur ou à la classe
considérée.
Elle se calcul comme suit : Fr=
Avec N la taille de l'échantillon et ?Fr=1
c. Le mode(M) : est la valeur
de la variable de la fréquence la plus grande observée. On parle
de la classe modale pour les données groupées en classe
M=Ni le plus grand.
d. La moyenne
arithmétique(X) : considérons une statistique
x1, x2, x3,..., xn : on définit la moyenne arithmétique
par : X=
Pour les données en classe, la moyenne
arithmétique est calculée de cette manière :
X=
Pour les données groupées en classe, le calcul
de la moyenne arithmétique est :
Xc= avec Xs : borne
supérieure de la classe et
Xi : borne
inférieure de la classe
e. L'étendue de
variation(EV) : l'étendue de variation est la
distance qui va de la première à la dernière borne,
lorsque la statistique est présentée en tableau.
EV=xs-xi
f. La variance (s2) :
la variance est la moyenne arithmétique des carrés
des écarts par rapport à la moyenne de la distribution
étudiée.
S2
=
Pour la statistique regroupée en classes :
S2 =
g. L'écart-type(S) : est
donnée par la racine carrée de la variance. Elle est
trouvée par la formule suivante : S= v
S2
Sur base de cette littérature developpé ci haut,
nous pouvons arriver à tracer le tableau suivant.
v Calcul de la moyenne pour la première
cohorte:
= =56,4 %
v Calcul de la moyenne pour la deuxième
cohorte:
= =53,85%
Tableau n°13 : Tableau des
fréquences pour la première cohorte
Classe
|
Centre
|
Ni
|
Fr
|
Xc-X
|
(Xc-X) 2
|
Ni(Xc-X) 2
|
50-54
55-59
60-64
65-69
70-74
75-79
80et plus
|
52
57
62
67
72
77
82
|
28
7
10
4
0
1
0
|
55
14
20
9
0
2
0
|
-4,4
0,6
5,6
10,6
15,6
20,6
25,6
|
19,36
0,36
31,36
112,36
243,36
424,36
655,36
|
542,08
2,52
313,6
449,44
0
424,36
0
|
Source : Nos propres
calculs
En analysant le tableau ci haut nous constatons que sur 50
étudiants que comporte cette première cohorte, 28étudiants
seulement ont obténue un pourcentage compris entre 50 et 54% aux
epreuves des examens d'Etat et 7 étudiants ont obténus un
pourcentage compris entre 55et 59% et les autres étudiants ont
obténus un pourcentage au-delà de 59% seul 1étudiants
avaient eu plus de 74% aux epreuves des examens d'Etat.
Tableau n°14 : Tableau des
fréquences pour la deuxième cohorte
Classe
|
Centre
|
Ni
|
Fr
|
Xc-X
|
(Xc-X) 2
|
Ni(Xc-X) 2
|
50-54
55-59
60-64
65-69
70-74
75-79
80et plus
|
52
57
62
67
72
77
82
|
23
11
1
0
0
0
0
|
66
31
3
0
0
0
0
|
-1,85
3,15
8,15
13,15
18,15
23,15
28,15
|
3,42
9,92
66,42
172,92
329,42
535,92
792,42
|
78,66
109,12
66,42
0
0
0
0
|
Source : Nos propres
calculs
Pour ce qui est de la deuxième cohorte, comme nous le
constatons sur un effectif de 40 étudiants seul 23étudiants ont
obtenus un pourcentage compris entre 50 et 54%, 11étudiants ont obtenus
un pourcentage comprise entre 55 et 59% et seul un étudiant a obtenus
un pourcentage compris entre 60 et 64%.aucun étudiants dans cette
cohorte n'a obténus plus de 65%.
NB : En ce qui concerne notre
deuxième cohorte on a pas trouvé plus de renseignement pour la
totalité des étudiants qui constitue la cohorte ; on a
trouvé que les renseignements qui concerne 35 étudiants et ce sur
base de ce 35 étudiants qu'on a pu dessiner le tableau de frequence de
la deuxième cohorte.
v ECOLE D'ORIGINE DES FINALISTES ET PROBABILITE DE
REUSSITE D'UNE COHORTE
La probabilité de réussite d'une cohorte est
trouvée en faisant le rapport entre les étudiants qui sont
arrivés en dernière année et des étudiants qui sont
inscrits en première année.
- Pour ce qui est de la première cohorte toute les
options soit la Gestion financière ou l'Economie Rural (cohorte
1997-1998)
Tableau n°15 : Tableau finaliste Gestion
financière pour la première cohorte
N°
|
Nom
|
Sexe
|
Ecole d'Origine
|
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
|
Balikubirhi Baleka
Bushenyula Ntasongerwa
Buzigwa Machafu
Miruho Mushang
Musole Mwanamupenzi
Bisimwa Cirimwami
Kayumba Muzaliwa
Mbombo Kabamba
Mweze Muhashirwa
Nfundiko Kusinza
Ombeni Muhongo
|
M
M
F
M
M
M
M
F
M
F
M
|
Collège ALFAJIRI
Inst. BWINDI
Collège ALFAJIRI
EDAP/ISP
Collège ALFAJIRI
Collège ALFAJIRI
Inst. MIBAKE
TSHILENGE
Inst. IBANDA
Lycée WIMA
Inst. BWINDI
|
Source :Donnée tiré de
l'apparitorat central de l'UCB
Sur base de ce tableau qui concerne la première cohorte
et plus précisément la faculté d'économie l'option
Gestion financière, nous constatons que 36,36% des étudiants
venant du collège alfajiri on terminé avec succès le
cursus universitaire et que 18,18% des finalistes qui ont terminé leurs
cursus universitaire nous viennent de l'institut Bwindi et que 54,54% des
finalistes restant sont repartit entre le Lycée Wima,Institut d'IBANDA,
Tshilenge, Institut Mibake, et l'EDAP. En conclusion nous pouvons ressortir que
les étudiants qui viennent du collège alfajiri ont
été plus performants que ceux des autres institutions car ces
étudiants qui ont terminé leurs cursus universitaire, la
majorité nous viennent du collège Alfajiri.
Tableau n°16 : Tableau finaliste
Economie rural pour la première cohorte
N°
|
Nom
|
Sexe
|
Ecole d'Origine
|
1
2
3
4
|
Kulimushi Mugisho
Magambo Budundwa
Mufungizi Nabintu
Muke Zawadi
|
M
M
F
F
|
Inst. BWINDI
Inst. BWINDI
Lycée NYAKAVOGO
Collège ALFAJIRI
|
Source :Donnée tiré de
l'apparitorat central de l'UCB
Pour ce qui est de la faculté d'économie rurale,
nous constatons que les étudiants venus de l'institut Bwindi qui
constitue 50% de l'effectif estudiantins de la faculté d'Economie Rural
ont été plus performants que ceux venus du lycée Nyakavogo
et du collège alfajiri.
- Pour ce qui est de la deuxième cohorte toute les
options soit la Gestion financière ou l'Ecorur (cohorte
1998-1999)
Tableau n°17 : Tableau finaliste Gestion
Financière pour la deuxième cohorte
N°
|
Nom
|
Sexe
|
Ecole d'Origine
|
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
|
Bunvage Rugendabanga
Bwihagane Chubaka
Byamungu Ruhambya
Cikomola Imani
Ilunga Kabamba
Kambaza Kagero
Luganda Cikuru
Lukuli Petmoya
Matara Basimike
Matata Sitala
Moza Nafisa
Mulanga Mbamba
Paluku Mutokabali
Uwamwiza Sereine
Zigabe Balume
|
F
M
M
F
F
M
M
M
F
F
F
F
M
F
|
Lycée Cirezi
Collège Mwanga
ITCB/S-K
Lycée Wima
Lycée Cirezi
C.S. Delemba
Inst Kitumaini
ITFM
Lycée Wima
Inst. Lwanzururu
Inst. Lwanzururu
Lycée Wima
Lumbya
C.S. Espoir
|
Source :Donnée tiré de
l'apparitorat central de l'UCB
Sur base de ce tableau, il ressort que 20% d'étudiants
qui ont terminé leur cursus académique dans cette cohorte
viennent Lycée Wima,13,3%viennent du Lycée Cirezi,13,3%
d'étudiants viennent aussi de l'institut Lwanga et que le 53,4% restant
sont répartis entre les étudiants qui sont venus de 7 autres
instituts à savoir l'institut Mwanga,C.S. Espoir,Lumbya,l'ITFM,
l'institut Tumaini, C.S. Delemba et l'ITCB.
Tableau n°18 : Tableau finaliste
Economie rural pour la deuxième cohorte
N°
|
Nom
|
Sexe
|
Ecole d'Origine
|
1
|
Mushekuru Binja
|
F
|
Lycée Nyakavogo
|
Source :Donnée tiré de
l'apparitorat central de l'UCB
Contrairement à la première cohorte plus
précisément dans l'option Economie rurale nous constatons que la
deuxième cohorte dans la faculté d'économie rural(Economie
rural deuxième cohorte) les étudiants venus du Lycée
Nyakavogo sont le plus performants soit avec une probabilité de
réussite garantie de 100%.
La probabilité de réussite est trouvée
par le rapport entre le nombre des finalistes et le nombre d'étudiants
inscrits en première année de graduat soit pour ce qui est de
notre deuxième cohorte toutes les facultés confondus
(faculté de Gestion financière et d'Economie rural) :
Probabilité réussite deuxième cohorte
=0,4 soit une probabilité de 40% ce qui est de loin
inférieure à la moyenne.
NB : il est pratiquement impossible pour
une cohorte de terminer son cursus universitaire avec une probabilité de
réussite de 100% car durant le parcours universitaire les
étudiants se heurtent sur plusieurs difficultés notamment les
grèves observées au sein de l'université, les manques de
paiement de certains étudiants, l'arrêt des cours au milieu de
l'année académique(soit lorsque les étudiants constate que
les cours leurs deviennent difficile et se décident d'abandonnée
les études), soit lorsque les étudiants décident de
laisses les cours quand ils obtiennent leurs diplôme de grade et se
jettent dans le monde du travail,....
v POINT OBTENUS A L'EXAMEN D'ETAT ET POINTS OBTENUS A
L'UNIVERSITE
Les tableaux suivants nous permettent de constate
l'évolution des points des étudiants finalistes obtenus à
l'université depuis leurs première année de graduats
jusqu'en dernière année (c'est-à-dire en licence L2) et
faire ainsi leurs moyennes pour enfin comparer cette moyenne des points aux
points obtenus à l'examen d'état et en ressortir quelques
conclusions par rapport aux résultats obtenus.
Tableau n°19 : Tableau des
étudiants finalistes mettant en relation les points obtenus à
l'examen d'Etat et l'évolution des points académiques des
étudiants pour la première cohorte toutes les facultés
comprises(Gestion financière et Economie rural)
N°
|
NOMS
|
Sexe
|
EXETAT
|
G1
|
G2
|
G3
|
L1
|
L2
|
MOYENNE
|
1
|
Balikubirhi Baleka
|
M
|
63%
|
59%
|
65,8%
|
67,6%
|
66,9%
|
68,8%
|
65,6%
|
2
|
Bushenyula Ntasongerwa
|
M
|
56%
|
58%
|
61%
|
65,5%
|
69%
|
67,9%
|
64,2%
|
3
|
Buzigwa Machafu
|
F
|
59%
|
63%
|
60,7%
|
58,2%
|
65,4%
|
69,5%
|
63,3%
|
4
|
Miruho Mushang
|
M
|
75%
|
71%
|
69,6%
|
75,9%
|
73,4%
|
80,5%
|
74%
|
5
|
Musole Mwanamupenzi
|
M
|
67%
|
66%
|
60,6%
|
63,09%
|
67,5%
|
69%
|
65,2%
|
6
|
Bisimwa Cirimwami
|
M
|
66%
|
63%
|
61,3%
|
65,6%
|
58,1%
|
58%
|
61,2%
|
7
|
Kayumba Muzaliwa
|
M
|
54%
|
60%
|
56,5%
|
65,4%
|
59,5%
|
58,1%
|
59,9%
|
8
|
Mbombo Kabamba
|
F
|
51%
|
66%
|
63,3%
|
62,8%
|
63,2%
|
61,8%
|
63,4%
|
9
|
Mweze Muhashirwa
|
M
|
52%
|
62%
|
59,5%
|
61,4%
|
61,9%
|
70,4%
|
63%
|
10
|
Nfundiko Kusinza
|
F
|
62%
|
63%
|
61%
|
66%
|
69,5%
|
72,6%
|
66,4%
|
11
|
Ombeni Muhongo
|
M
|
64%
|
64%
|
63,5%
|
66,1%
|
62,5%
|
ABD
|
51,2%
|
12
|
Kulimushi Mugisho
|
M
|
59%
|
65%
|
67,3%
|
68,9%
|
66,06%
|
72%
|
67,8%
|
13
|
Magambo Budundwa
|
M
|
60%
|
60%
|
59,5%
|
56,8%
|
58,65%
|
69,4%
|
60,8%
|
14
|
Mufungizi Nabintu
|
F
|
51%
|
68%
|
71,2%
|
75,1%
|
67,6%
|
72,4%
|
70,8%
|
15
|
Muke Zawadi
|
F
|
63%
|
66%
|
67,8%
|
64,03%
|
67,88%
|
61,3%
|
65,4%
|
Source :Donnée tiré de
l'apparitorat central de l'UCB
Tableau n°20 : Tableau des
étudiants finalistes mettant en relation les points obtenus à
l'examen d'Etat et l'évolution des points académiques des
étudiants pour la deuxième cohorte toutes les facultés
comprises (Gestion financière et Economie rural)
N°
|
NOMS
|
Sexe
|
EXETAT
|
G1
|
G2
|
G3
|
L1
|
L2
|
MOYENNE
|
1
|
Bunvage Rugendabanga
|
F
|
57%
|
59,5%
|
60,4%
|
62,6%
|
59,1%
|
72,%
|
62,7%
|
2
|
Bwihangane Chubaka
|
M
|
55%
|
62,3%
|
63,3%
|
63,3%
|
58,1%
|
72,2%
|
63,8%
|
3
|
Byamungu Ruhambya
|
M
|
50%
|
64,7%
|
62,5%
|
65,6%
|
56,6%
|
66,6%
|
63,2%
|
4
|
Cikomola Imani
|
F
|
56%
|
58,8%
|
62,9%
|
60%
|
59,2%
|
64%
|
60,9%
|
5
|
Ilunga Kabamba
|
F
|
53%
|
64,4%
|
59,6%
|
61%
|
57%
|
65,1%
|
61,4%
|
6
|
Kabamza Kagero
|
M
|
59%
|
68,5%
|
62,1%
|
64,7%
|
66,4%
|
71,9%
|
66,7%
|
7
|
Luganda Cukuru
|
M
|
55%
|
65,3%
|
70%
|
64,6%
|
70,8%
|
67%
|
67,5%
|
8
|
Lukuli Petemoya
|
M
|
68%
|
78,7%
|
80%
|
73,6%
|
74,1%
|
85,2%
|
78,3%
|
9
|
Matara Basimike
|
F
|
54%
|
64,8%
|
57,6%
|
61,4%
|
55,9%
|
67,4%
|
61,4%
|
10
|
Matata Sitala
|
F
|
53%
|
68,7%
|
69,6%
|
62,7%
|
67,3%
|
74,2%
|
68,5%
|
11
|
Moza Nafisa
|
F
|
53%
|
62,8%
|
63,3%
|
60,5%
|
58,5%
|
67,3%
|
62,4%
|
12
|
Mulanga Mbamba
|
F
|
55%
|
60,4%
|
62,2%
|
65%
|
60,3%
|
68,1%
|
63,2%
|
13
|
Paluku Mutokabali
|
M
|
59%
|
69,1%
|
70,4%
|
68,4%
|
66,1%
|
75%
|
69,8%
|
14
|
Uwamwiza Sereine
|
F
|
58%
|
64,1%
|
75,1%
|
69%
|
66%
|
73,7%
|
69,5%
|
15
|
Zigabe Balume
|
F
|
52%
|
57,3%
|
63,1%
|
59,4%
|
60,2%
|
66,7%
|
61,3%
|
16
|
Mushekuru Binja
|
F
|
50%
|
69,6%
|
62,4%
|
59,6%
|
56,2%
|
65,7%
|
62,7%
|
Source :Donnée tiré de
l'apparitorat central de l'UCB
Nous remarquons de par ces 2 tableaux ci haut qui regroupe les
étudiants finalistes mettent en relation les points obtenus aux
épreuves des examens d'Etat et la moyenne des points obtenus à
l'université que la performance des cohortes se justifie par les
caractéristiques des données contenues dans le dossier d'un
étudiant lors de son inscription. Nous remarquons également de
part ses analyses que si un étudiant est né intelligent il reste
intelligent tout au long de son parcours universitaire ceci se voit en
comparant les points obtenus à l'examen d'Etat et la moyenne des points
obtenus à l'université pendant toutes la durée du parcours
de l'étudiant dans la faculté d'Economie. Mais aussi par le
courage que peut effectuer un étudiant tout au long de son parcours
scolaire peut justifier sa performance.
On remarque aussi que les garçons sont plus performant
que les filles soit 16garcons sur 15filles pour ce qui est de nos deux cohorte
confondus et que le collège mwanga est l'institution la plus performance
de 17institution que comporte nos deux cohortes car la majorité des
finalistes viennent de cette institution suivi en second lieu de l'institut
bwindi et du lycée wima.
Tableau n°21 : Tableau effectif
estudiantins de la facultés des sciences économiques et de
gestion de tout les étudiants que comporte la première cohorte
depuis le début de l'année classement selon les critères
sexe, âge, pourcentage a l'examen d'Etat, section d'origine, année
d'obtention du diplôme et école d'origine(cohorte 1997-1998)
N°
|
Sexe
|
Âge
|
Section d'origine
|
% Examen d'Etat
|
Année d'obtention
|
Ecole d'origine
|
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
32
33
34
35
36
37
38
39
40
41
42
43
44
45
46
47
48
49
50
|
M
M
M
F
F
M
M
M
F
M
F
F
M
M
F
M
F
M
F
F
M
M
M
F
M
M
M
F
M
M
F
M
M
F
M
M
F
M
M
M
F
M
F
M
M
F
F
M
M
F
|
24 ans
25 ans
21 ans
21 ans
20 ans
23 ans
21 ans
22 ans
21 ans
21 ans
20 ans
23 ans
21 ans
20 ans
23 ans
20 ans
22 ans
21 ans
22 ans
22 ans
20 ans
19 ans
21 ans
23 ans
20 ans
25 ans
23 ans
23 ans
23 ans
20 ans
20 ans
22 ans
20 ans
23 ans
22 ans
20 ans
23 ans
19 ans
23 ans
21 ans
30 ans
20 ans
21 ans
22 ans
21 ans
20 ans
25 ans
30 ans
19 ans
22 ans
|
Math physique
Commerciale
Math physique
Pédagogie
Biochimie
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Math physique
Commerciale
Pédagogie
Commerciale
Pédagogie
Commerciale
Biochimie
Commerciale
Pédagogie
Pédagogie
Commerciale
Commerciale
Littéraire
Biochimie
Commerciale
Pédagogie
Commerciale
Commerciale
Math physique
Biochimie
Commerciale
Commerciale
Pédagogie
Biochimie
Biochimie
Math physique
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Pédagogie
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Technique
|
60%
52%
63%
53%
52%
52%
66%
51%
56%
59%
51%
67%
50%
53%
60%
52%
64%
50%
52%
54%
59%
61%
56%
60%
51%
56%
51%
75%
51%
51%
53%
58%
63%
61%
51%
50%
67%
67%
52%
62%
57%
50%
64%
50%
51%
52%
50%
52%
51%
51%
|
1997
1996
1998
1996
1997
1995
1998
1996
1997
1997
1996
1998
1997
1997
1998
1998
1998
1997
1997
1997
1997
1998
1997
1998
1997
1997
1997
1998
1998
1997
1997
1997
1996
1997
1997
1997
1998
1998
1997
1998
1996
1997
1997
1995
1997
1997
1997
1998
1997
1997
|
Inst. KITUMAINI
Inst. D'IBANDA
Collège ALFAJIRI
L. MAHIDIO
Collège ALFAJIRI
Collège ALFAJIRI
Collège ALFAJIRI
Inst. BADIADINGI
Inst. BWINDI
Collège ALFAJIRI
Lycée WIMA
Inst. MAENDELEO
Inst. HERI/ITURI
Lycée CIREZI
Inst. LUMUMBA
C.S. KILIBA
Collège ALFAJIRI
Inst. FADHILI
Lycée CIREZI
Inst. MIBAKE
Inst. BWINDI
Collège ALFAJIRI
Collège ALFAJIRI
Inst. BWINDI
EDAC
Inst. BWINDI
G.S.BUJA
EDAP/ISP
C.S GOMBELE
Lycée NYAKAVOGO
Collège ALFAJIRI
Inst. MSAADA
Collège ALFAJIRI
Inst. MATOLEO
Inst. NYALUKEMBA
Inst. NYAKAVOGO
Inst. MWANGA
Collège ALFAJIRI
Athénée d'IBANDA
Lycée WIMA
Inst. LOWA
Inst. NYAKAVOGO
Inst. BWINDI
Inst. MIBAKE
C.S. ZAIROISE
Lycée WIMA
IRAMBO
CIDASA
EDAP/ISP
Inst. BWINDI
|
Source : Donnée tiré de
l'apparitorat central de l'UCB
Tableau n°22 : Tableau effectif
estudiantins de la facultés des sciences économiques et de
gestion de tout les étudiants que comporte la deuxième cohorte
depuis le début de l'année classement selon les critères
sexe, âge, pourcentage a l'examen d'Etat, section d'origine, année
d'obtention du diplôme et école d'origine(cohorte 1998-1999)
N°
|
Sexe
|
Âge
|
Section d'origine
|
% Examen d'Etat
|
Année d'obtention
|
Ecole d'origine
|
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
32
33
34
35
36
37
38
39
40
|
M
M
F
M
M
F
F
M
M
M
F
F
M
M
F
M
M
M
F
F
F
F
F
F
M
F
F
F
M
F
F
F
M
F
F
|
20 ans
20 ans
17 ans
20 ans
20 ans
20 ans
20 ans
20 ans
22 ans
22 ans
20 ans
20 ans
19 ans
22 ans
19 ans
19 ans
18 ans
19 ans
21 ans
20 ans
20 ans
24 ans
23 ans
19 ans
22 ans
19 ans
19 ans
19 ans
20 ans
19 ans
22 ans
19 ans
24 ans
21 ans
20 ans
|
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Pédagogie
Commerciale
Hôtesse
Pédagogie
Littéraire
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Pédagogie
Commerciale
Commerciale
Pédagogie
Math physique
Math physique
Techn.elect
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Pédagogie
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Commerciale
Hôtesse
Commerciale
Commerciale
Pédagogie
Commerciale
|
53%
51%
52%
57%
53%
57%
55%
50%
52%
56%
52%
52%
53%
53%
59%
55%
68%
53%
54%
53%
53%
53%
55%
53%
50%
58%
50%
59%
53%
52%
55%
52%
58%
52%
|
1997
1997
1997
1997
1997
1997
1997
1997
1998
1997
1997
1997
1997
1997
1996
1997
1997
1986
1997
1997
1997
1997
1996
1998
1997
1996
1997
1996
1997
1997
1997
1997
1997
1996
1997
|
Ujiowa HERI
Inst. KASALI
Lycée NYAKAVOGO
AUTODIDACTE
Collège ALFAJIRI
Collège NYAKAVOGO
Lycée CIREZI
Collège MWANGA
ITCB/S-K
C.S. SUCKI
Lycée WIMA
Lycée CIREZI
Inst. BWINDI
Lycée de GOMA
Lycée CIREZI
C.S. DELEMBA/KIN
Inst. KITUMAINI/S-K
ITFM/S-K
Lycée NYAKAVOGO
Lycée WIMA
Inst. LWA NZURURU
Inst. De BUKAVU
Inst. LWANZURURU
Lycée WIMA
ITCB/BUKAVU
Lycée NYAKAVOGO
EDAC/ISGA
Lycée NYAKAVOGO
LUMBYA/N-K
Lycée NYAKAVOGO
Lycée NYAKAVOGO
Lycée NYAKAVOGO
Inst. FARAJA
EDAC/ISGA
C.S. ESPOIR
|
Source : Donnée tiré de
l'apparitorat central de l'UCB
CONCLUSION
Notre travail avait le but de faire une analyse de la
scolarité à l'université catholique de Bukavu, le cas de
la faculté d'économie et de gestion.
Plusieurs questions ont guidé notre étude. La
première question était de savoir les
caractéristiques(biologique telles que l'âge, le sexe, les points
obtenus aux examens d'état, école, section et option d'origine)
contenus dans les dossiers que l'université possède sur
l'étudiant lors de son inscription, la deuxième était
formulée de manière à savoir la performance des cohortes
d'étudiant à l'université, la probabilité de
réussite que garantie une cohorte des étudiants s'inscrivant en
première année de graduat de terminer leurs études
universitaires après 5ans étant données leurs
caractéristiques à l'entrée.
A ces questions nous avons fait correspondre trois
hypothèses suivantes :
- La construction des outils d'analyse s'avère d'une
grande pertinence pour la compréhension du comportement des cohortes et
la prise des grandes décisions les concernant.
- La section et l'option d'origine au secondaire constitue un
pré requis de grande taille pour la cohorte dans l'apprentissage et la
réussite aux certains cours stratégiques à
l'université.
- La performance d'une cohorte des étudiants à
l'UCB dépend de sa prise de conscience individuelle et non de la
caractéristique de la cohorte à l'entrée.
En grande partie, cette étude a été
réalisée au niveau de l'apparitorat centrale, où nous
avons récoltes maintes données qui nous permis de rédiger
notre travail de fin de cycle
En outre, pour compléter les informations recueillis,
des entretiens avec les responsables et personnels de l'université ont
été menés.
L'objectif global de la présente étude est celui
de faire une analyse de la scolarisation au sein de l'université
catholique de Bukavu envue de comprendre les caractéristique qui qui
fait la performance d'un étudiants de terminé son cursus
académique.
Au cours de ce travail, il a été question de
développer trois chapitres commencés par une introduction
générale et terminés par une conclusion
générale.
Le premier chapitre traitait de la revue de la
littérature sur l'économie de l'éducation, là
où nous avons pu clarifier quelques concepts clés utilisés
dans ce travail, Le but du deuxième chapitre consisté à la
présentation du milieu d'application de notre étude. il à
était question de présenter d'abord les différents
graphiques caractéristiques de la scolarité à l'U.C.B qui
nous ont facilités la saisie de la tendance des effectifs d'abord pour
toute l'université et ensuite pour chaque faculté cela en nous
inspirant de nos tableaux d'effectifs conçus sur base des données
puiser à l'apparitorat central ceci dé 1990 à 2010, il
à était constater que la faculté de médecine
constitue a elle seule 36,8% des effectifs estudiantins de l'U.C.B suivi de la
faculté d'économie avec30,9% en effectif estudiantins ensuite la
faculté de droit avec 22,6% et enfin la faculté d'agronomie avec
9,6%
Nous Après cela nous somme passé au
troisième chapitre qui a parlé sur l'analyse et
l'interprétation des données recueillies, ou nous avons
dessiné quelques tableaux contenant les principaux taux qui nous a servi
de comprendre au fil du temps la performance des étudiants qui constitue
nos différents cohortes.
Ensuite nous avons exposés clairement les
caractéristiques contenues dans les dossiers des différents
étudiants finalistes à leur sortie de l'Université, ou
nous avons ressortis la conclusion que l'âge moyen d'obtention des
diplômes d'état pour ce qui est de la première cohorte est
de 27ans et 25ans pour la deuxième cohorte. A observé cette
constant nous partons conclure que la deuxième cohorte est plus
performante que la première cohorte.
La première cohorte comme la deuxième cohorte
sont mixte de ce fait qu'ils ont un nombre considérable des
étudiants masculin comme féminin de ce fait nous somme
amené à dire que les filles possèdent un quotient
intellectuel très élevé par rapport aux garçons car
en analysant leurs âge moyen d'entrer à l'université est
relativement inferieur à celui des filles soit pour les garçons
21,2%et21, 1% pour les filles.
Partant des écoles d'origine nous remarquons que le
collège ALFAJIRI était l'institution la plus dominante en ce qui
concerne nos deux cohorte par rapport à d'autres institutions car elle a
11finalistes de diplômes, soit 10étudiants en première
cohorte et 1étudiants dans la deuxième cohorte.
Cependant, nous ne pouvons pas affirmer avoir
épuisé l'immense champ de la question ayant trait à la
scolarisation plus précisément à l'université
catholique de Bukavu, toutefois nous pensons que les chercheurs
ultérieurs pourront nous compléter.
Enfin nous proposons aux futurs chercheurs
intéressés par le domaine de la scolarisation plus
précisément au sein de l'université catholique de Bukavu
de se focaliser notamment sur : le taux de diplômassions de l'U.C.B, le
déterminant de l'orientation des étudiants dans divers
facultés qu'elle organise. Tout en présentant mes excuses pour
d'éventuelles erreurs dans ce travail, je tiens a rappelé a tous
mes lecteurs que l'oeuvre humaine n'a jamais atteint sa perfection, nous
travaillons toujours sur des conjectures, des vérités
réfutables alors aux générations futurs d'affirmer ou
d'infirmer.
BIBLIOGRAPHIE
I.OUVRAGE :
1. GRAVOT P., Economie de l'éducation,
Economica, 1993
2. VAIZEY J., Economie de l'éducation,
collection Economie humanisme, Editions ouvrières, Paris, 1964
3. BEITONE Alain, LAZORLA Antoine, DOLLO Christine, DRAI
Anne-Marie, Dictionnaire des sciences Economiques, Armand
Collin, Paris, 2001.
4. Micro Robert(1998), Larousse illustré, Ed. Larousse,
Paris
5. PAGE A., l'Economie de l'éducation,
P.U.F, Paris, 1971
II.ARTICLES :
1. J.-J. DROESBERKE, C. VERMANDELE,
la statistique au service d'un observatoire de l'enseignement
supérieur, Revue de statistique appliquée, 2005,
LIII(3), 5-34
2. BARNES R. (2004), Analyzing Service Quality :
The case of Post-graduate Chinese students, Ed. LUBSU, United
Kingdom
3. GRAMMAR M.J., NADIA N., Quels facteurs influencent
les poursuites d'études dans l'enseignement supérieur ?
, Août 2010
4. DENYSE L. D., analyse de la performance
d'étudiants au baccalauréat en administration en fonction de
leurs caractéristiques à l'entrée,
actualité économique, vol. 1986, p.185-209
III.TFC :
1. AGANZE CIBEMBE Juste, Analyse de la scolarité
à l'U.C.B : cas de la faculté d'agronomie,
inédit/2009-2010
2. LIKIRYE SIFA M., analyse de la rentabilité
des facultés de l'U.C.B : cas des facultés de Médecine et
d'agronomie, inédit/2005-2006
3. NDOMBA KABEYA : les déterminants de la
demande d'éducation : cas des choix des Institutions supérieures
et universitaires à BUKAVU, inédit/2003-2004
4. BULANGALIRE S., analyse de la satisfaction des
étudiants à l'U.C.B, inédit/2007-2008
5. AGANZE B., recherche du premier emploi
efficacité du diplôme d'Université privée ou
d'université publique, inédit
IV. SOURCES ELECTRONIQUES
1. BLAISE HAMENI (2005), Les méthodes actives dans
le système éducatif camerounais : le cas de la NAP dans
l'enseignement de la philosophie en classes de terminale à
Yaoundé.
2. MEKONNE TOLROM(2007), Rendement Interne du
Collège Charles Lwanga de Sarh (Tchad) : Cas de la cohorte
1987-1994
V. SYLLABUS et NOTE DE COURS
1. NTAGOMA J.B(2010), Notes de
cours de Statistiques descriptive, U.C.B
2. ANONYME, Economie de l'Education,
Editions Martouf
TABLE DES MATIERES
EPIGRAPHE................................................................................................I
DEDICACE................................................................................................II
REMERCIEMENT.......................................................................................III
LISTE DE GRAPHIQUES ET
TABLEAUX........................................................IV
0.
INTRODUCTION.....................................................................................6
0.
I.PROBLEMATIQUE............................................................................6
0. II.HYPOTHESES DU
TRAVAIL...............................................................8
0. III.CHOIX ET INTERET DU
SUJET.......................................................... 8
1. A l'université catholique de
Bukavu..................................................... 8
2. Au monde
scientifique......................................................................8
0. IV.DELIMITATION DU
SUJET...............................................................9
0. V.METHODE ET TECHNIQUE DU
TRAVAIL..............................................9
V.1.Méthodes.....................................................................................9
a) Méthode
comparative.................................................................9
b) Méthode
historique.....................................................................9
c) Méthode
statistique....................................................................10
V.2.
Techniques.................................................................................10
a) Technique
documentaire.............................................................10
b) Technique
d'interview...............................................................10
0. VI.SUBDIVISION DU
TRAVAIL............................................................10
CHAP I : REVUE DE LA
LITTERATURE........................................................11
I.APPROCHE
THEORIQUE................................................................11
I.1. DEFINITIONS DES
CONCEPTS...............................................11
a) La
Scolarité..................................................................11
b)
Scolarisation..................................................................11
c)
Cohorte........................................................................11
d) Taux de
scolarité............................................................12
e) Taux de
scolarisation........................................................12
f) Taux de
cohorte..............................................................12
g) Analyse
statique.............................................................12
h) La
sélection...................................................................13
i) taux
d'alphabétisation.......................................................13
I.2. GENERALITES SUR
L'EDUCATION........................................14
a)
L'éducation..................................................................14
a) a. Concept
d'éducation..............................................14
b) L'éducation dans
l'histoire de la pensée économique...................15
c) Importance de
l'éducation...................................................17
II.APPROCHE
EMPIRIQUE..............................................................18
CHAP II. PRESENTATION DU MILIEU
D'ETUDE............................................20
II.1. HISTORIQUE DE
L'U.C.B..........................................................20
II.2. NATURE, MISSION ET OBJECTIFS DE
L.UCB...............................20
II.2.1.Nature.....................................................................20
II.2.2.Mission.....................................................................21
II.2.3.Objectifs...................................................................21
II.3.STRUCTURE DE
L'U.C.B...........................................................22
II.3.1Fonctionnement des
services de l.UCB................................22
II.4. ORGANIGRAMME UNIVERSITE CATHOLIQUE DE
BUKAVU............24
II.5 EVOLUTION DES EFFECTIFS ESTUDIANTINS DE L'AN
1990-2010...25
II.5.1 Effectifs estudiantins
par année académique.........................25
II.5.2. Evolution des effectifs
par faculté...................................27
II.5.3. Graphiques des
tendances centrales par faculté.....................30
CHAP III. ANALYSE DE LA COHORTE (1997-
1998,1998-1999).........................35
III.1.
INTRODUCTION.....................................................................35
III.2.METHODOLOGIE....................................................................35
Spécification des
variables......................................................36
II.1. Méthode
statistique........................................................38
a) La moyenne
arithmétique...........................................38
b) Différents
taux.......................................................38
III.3.ECHANTILLONNAGE.............................................................38
a) Effectif
total.........................................................40
III.4.ANALYSE............................................................................42
1) Taux de
Réussite Global(T.R.G)...................................43
2) Taux d'Echec
Global(T.E.G).......................................44
3) Taux d'Abandon
Global(T.A.G)..................................44
4) Taux de
Refus........................................................44
5) Taux de
Réussite/Sexe..............................................44
6) Taux
d'Echec/Sexe..................................................45
7) Taux de
Réussite/Total Réussite..................................45
8) Taux d'Echec/Total
Echec.........................................45
III.5. ANALYSE DES DONNEES LIEES AUX CARACTERISTIQUE
A
L'ENTREE...........................................................................................46
III.5.1 PERFORMANCE PAR
SEXE.............................................46
III.5.2 AGE ET POINT OBTENUS AUX EXAMENS
D'ETAT..............46
III.5.3 ECOLE D'ORIGINE DES FINALISTES ET
PROBABILITE DE REUSSITE D'UNE
COHORTE..................................................................50
III.5.4 POINT OBTENUS A L'EXAMEN D'ETAT ET
POINTS OBTENUS A
L'UNIVERSITE..................................................................53
CONCLUSION.....................................................................................60
BIBLIOGRAPHIE.................................................................................63
TABLE DES
MATIERES.........................................................................65
* 1 GRAVOT P économie
de l'éducation, édition Economica, p.5.
* 2 SOS enfants,
scolarisation des enfants en RDC : construction et
réhabilitation des écoles au Nord-Kivu, 2002, p.15
* 3 Conférence
Mondiale sur l'enseignement supérieur (CMES), paris 1998
* 4 Taladidia,
Tiombiano, (Novembre1990),
* 5 Jeanne Lamour
RONTOPOULOU(1994) l'université africaine à la
croisée des chemins in Afrique contemporaine. Crises de
l'éducation en Afrique, numéro spécial
octobre-Décembre, Paris.
* 6
DJADJI Conférence internationale sur l'enseignement
supérieur pour une université au service du
développement in sud Quotidien 31 octobre 2003
* 7 Madeleine GRAVITZ,
Méthode des sciences sociales,9ième Edition, Paris,
1993, p.23
* 8 VERHAEGEN B.
« Méthode et problèmes de l'histoire
immédiate » in Cahiers économiques et sociaux, n°
3, septembre 1970, p.472.
* 9 Fernand OTYAT,
Dictionnaire encyclopédique de pédagogie Moderne,
Editions Labor, 1973 p.278.
* 10 BORTOLO et al, La
démographie appliquée à la gestion publique et des
entreprises, Bruxelles, De Boeck, s.d, p.102.
* 11 AGANZE MUDERWA Eloi,
Analyse de la scolarité à l'UCB, cas de la cohorte
(1991-1992 ; 1992-1993) en faculté des sciences économiques
et des gestions 2009-2010 p.13 Inédit.
* 12 Gérard BONHOURE et
Michel HAGNERELLE, Rapport à monsieur le ministre de la jeunesse, de
l'éducation nationale et de la recherche, N°2003 014,
Avril2003.
* 13 AGANZE MUDERWA Eloi,
Analyse de la scolarité à l'UCB, cas de la cohorte
(1991-1992,1992-1993) en faculté des sciences économiques et des
gestions, 2009-2010 p.13, Inédit.
* 14 Victorien TCHOUDJA, Analyse de la situation de
l'éducation des enfants de 6 à 15 ans: cas de la commune de San
Pedro, Brésil, 2007, p.87.
* 15 Pierre CASPARD, DELAMOTTE
Eric, Une introduction à la pensée économique en
éducation, Histoire de l'éducation, mis en ligne le 12
octobre 2008, Consulté le 26 février
2011.URL :http:/histoire-education.revues.org /index419.html
* 16
www.google.fr/wikipediat,jeudi
le 16juin2011à 16h30
* 17 Journal official de
la République Démocratique du Congo, UCB, p.25-29.
* 18
www.google.fr/wikipediat,
lundi le 08/08/2011 à 19h00'
* 19
www.google.fr/wikipediat,
Jeudi le 11/08/2011 à 21h16'
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