2-le risque
d'immobilisation :
Ce type de risque concerne essentiellement
les crédits par caisse en blanc, talque les découverts, qui ne
peuvent pas être refinancé par la banque auprès du marche
monétaire et de l'institut d'émission. Cela est engendre par des
déficeler de trésorerie temporaire, ou à des
éléments indépendants de sa volonté, comme le refus
de remboursement d'un concours accorder a un établissement publique ou a
une collectivité locale.
3-le risque de taux :
Le risque de taux est la situation ou le
préteur ou l'emprunteur est soumis à une variation du taux
d'intérêt. Pour le banquier le risque est plus au moins persiste
dans les deux cas.
- Si le taux d'intérêt augmente, le client qui a
emprunté des fonds aura des frais financiers supplémentaires
à supporter, ce qui va diminuer le résultat de son
activité et donc la diminution de ses capacités de remboursement,
surtout si le client à contracté des emprunts dans d'autres
banques.
- Dans le deuxième cas, si le taux
d'intérêt diminue, cela implique une rémunération
moins importante que celle souhaitée par le banquier. Pour y
échapper, le banquier anticipe sur l'évolution du marché,
leurs emplois à leurs ressource en taux et en durée mais
également en fonction des conditions dont ils sont assortis (taux fixe
et ou variable).
4-le risque de change :
C'est un risque lié à des
crédits destinés au financement des équipements ou des
matières premières importées.
Le risque de change provient de
l'évolution du cours de la devise par rapport à la monnaie
nationale : à une hausse de cours correspond à un profit de
change, à une baisse une perte.
5-le risque juridique :
Le risque juridique intervient, lorsque la
banque interrompt le concours d'un de ses clients pour des raisons quelconques.
Ainsi, le bénéficiaire concerné peut mener une action en
réclament des engagements de la banque, surtout si celui-ci n'a parvenu
le client de cette interruption.
Le risque juridique peut aussi survenir de la
confiance qu'inspire le crédit entre le client et ses créanciers
qui voient en l'engagement de la banque une assurance de solvabilité, en
cas de défaillance du client ceux-ci peuvent se retourner contre la
banque.
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