Section 2.5 : Les principales activités du
projet
Pour lever les contraintes liées aux conditions de vie
des communautés, le projet avait soutenu dix (10) grandes
catégories d'activités. Les neufs premières étaient
destinées à réaliser l'objectif intermédiaire
N°1. Quant à la dernière, consacrée à la
formation, elle était destinée à concrétiser
l'objectif intermédiaire N°2.
Sous-section 2.5.1 Les activités d'appui aux
aménagements durables
Cette catégorie d'activités devait concourir
à l'amélioration de l'environnement biophysique des exploitations
agricoles et était constituée de cinq (5) types
d'activités suivantes:
- l'aménagement des aires de pâturages ;
- la protection de la régénération naturelle
;
- le traitement des berges de Koris ;
- l'aménagement des couloirs de passage des animaux ;
- la récupération des terres de glacis.
Les activités d'aménagement durable
étaient organisées par les villageois en collaboration avec le
projet. La recherche d'un développement participatif villageois
était au centre du processus, avec l'assemblée villageoise comme
acteur principal. Dans ce genre d'action, les autorités
coutumières et parfois administratives devaient jouer un grand
rôle pour les tracés des couloirs de passage des animaux, le
transfert des aires de pâturage et pour la légalisation des actes
en tant que responsables directes de la gestion des espaces inter
communautaires.
Sous-section 2.5.2 : Les activités de mises en
contact pour l'approvisionnement
14
Ces activités devaient renforcer le capital
d'exploitation. Elles concernaient la mise en contact
et la facilitation pour l'achat d'intrants,
d'équipements agricoles et d'équipements
communautaires comme le moulin.
Cette catégorie avait regroupé cinq (5) types
d'activités destinées à la mise en contact
pour l'achat:
- des produits phytosanitaires ;
- des produits zoovétérinaires ;
- des semences améliorées ;
- d'équipements ;
- et de moulin.
Sous-section 2.5.3 : Les activités de mises en
contact pour l'obtention du crédit
Ces activités étaient destinées à
renforcer le capital d'exploitation à travers le renforcement des moyens
de financement des travaux d'exploitation. Les crédits pour lesquels ces
activités devaient être conduites étaient nombreux et
variés. Nous pouvons les classer en cinq (5) catégories: il
s'agissait (1) du crédit agricole destiné à l'achat
d'équipements agricoles, d'intrants et à la consommation, (2) du
crédit pour la commercialisation, (3) du crédit pour l'embouche,
(4) du crédit pour le fonds de roulement et (5) du crédit pour
l'élevage.
Les ménages avaient principalement accès au
crédit par le biais de l'Ong Kokari (CLUSA) avec un taux
d'intérêt de 15%. Les conditions d'adhésion et d'obtention
du crédit étaient les suivantes :
- Reconnaissance juridique de l'organisation paysanne ;
- Apport individuel de 25% de la somme demandée ;
- 2% à payer à l'Ong Kokari pour le suivi des
dossiers.
Sous-section 2.5.4 : Les activités de mise en
contact pour l'hydraulique
Ces activités devaient concourir à
l'amélioration de la santé humaine par la disponibilité et
la suffisance d'eau potable. Elles avaient consisté en la mise en
contact et la facilitation pour aménager des mares, curer, foncer ou
réhabiliter des puits ou des forages.
Sous-section 2.5.5 : Les activités d'appui
à l'émergence d'organisations socioéconomiques
paysannes
Il s'agissait essentiellement des appuis à la
création et à la légalisation des organisations paysannes.
Ces organisations devaient jouer un important rôle dans l'approche du
projet.
15
Sous-section 2.5.6 Les petites activités
génératrices de revenus
Ces activités pratiquées exclusivement par les
femmes, étaient destinées à améliorer les revenus
des ménages afin d'agir sur tous les facteurs de production dont la
terre, le travail et le capital d'exploitation. Elles étaient surtout
destinées à la transformation et à la vente des produits
agricoles, aux petits commerces et à l'embouche.
Sous-section 2.5.7 Les activités d'appui aux
productions végétales
Ces activités devaient agir sur le capital d'exploitation
(approvisionnement en intrants) et le
travail en facilitant l'approvisionnement alimentaire pendant les
périodes de soudure. Ceci
éviterait aux ménages les plus vulnérables
de vendre leur main d'oeuvre afin de se consacrer à
leurs propres travaux agricoles.
Ces activités avaient concerné :
- le champ collectif des femmes ;
- le champ collectif des hommes ;
- le champ collectif des jeunes ;
- le champ collectif mixte ;
- le champ d'essai en milieu paysan portant sur des pratiques et
techniques culturales ;
- le champ de multiplication des semences;
- le champ d'essai en milieu paysan portant sur la
variété, la résistance, la productivité.
Les champs collectifs étaient également des
terrains où le projet pouvait appuyer les
producteurs en matière de transfert de technologie dans
les domaines des techniques
culturales et de l'application de la fumure.
Sous-section 2.5.8 : Les services d'appui villageois de
type 1
Ils étaient au nombre de neuf (9) et avaient
concerné la création et la viabilisation de:
- banques céréalières ;
- banques d'engrais
- banques de semences ;
- banques de souchets ;
- centres d'alphabétisation ;
- dépôts de produits phytosanitaires ;
- dépôts de produits zoovétérinaires
;
- pépinières villageoises ;
- boutiques villageoises.
16
Les banques de céréales et de semences avaient
pour objet de contribuer de façon significative à stabiliser les
prix des productions agricoles dès la récolte selon l'importance
de l'approvisionnement. Elles étaient également destinées
à protéger les ménages très vulnérables de
la vente de leurs main d'oeuvre afin de se consacrer pleinement à la
conduite de leur calendrier agricole.
a) Mise en oeuvre et cycle de fonctionnement des banques
céréalières
Les magasins servant de banques étaient construits par
les membres des communautés qui apportaient tous les
éléments nécessaires à l'exception des portes, des
fenêtres et des charpentes qui étaient à la charge du
projet.
Le cycle de fonctionnement des banques
céréalières se présentait
généralement comme suit :
- collecte des céréales pendant la
récolte et/ou récupération et reconstitution du stock de
céréales prêtées ;
- vente des céréales à crédit
dont le remboursement se faisait avec un intérêt dont le montant
était arrêté par la communauté;
- reconstitution du stock à travers le remboursement
des emprunts (en nature ou en espèce avec intérêt),
nouvelle collecte des céréales auprès des ménages
ou au niveau des champs collectifs.
b) Mise en oeuvre et cycle de fonctionnement des banques
de semences d'arachide
La mise en oeuvre et le cycle de fonctionnement des banques
de semences étaient identiques à ceux des banques
céréalières. Mais compte tenu de l'insuffisance des
semences pour couvrir les besoins des communautés, celles-ci avaient
recours au crédit avec l'appui du projet.
c) Mise en oeuvre et cycle de fonctionnement des banques
d'engrais et de sécurisation des souchets
Elles présentaient le même mode de mise en
oeuvre et de fonctionnement que les banques précédentes.
d) Les pépinières villageoises
Elles avaient pour objet de produire des plants pour la
satisfaction des besoins de la communauté et de ses membres
individuellement. L'organisation de l'activité reposait sur la
désignation d'un pépiniériste par les membres
d'organisations paysannes auxquelles celui-ci rendait compte de
l'évolution des activités. Le cycle de fonctionnement de cette
activité etaient le suivant :
- recherche et mise en place des équipements (pelles,
semences et pots) ;
- désignation et formation du pépiniériste
;
- processus de production ;
17
- distribution des plants collectifs et individuels.
e) Les centres d'alphabétisation
Tout comme les pépinières villageoises, les
centres d'alphabétisation étaient initiés par les
villageois avec l'appui du projet et des services de l'alphabétisation.
Leur cycle de fonctionnement couvrait quatre (4) à cinq (5) semaines
dans l'année. Ils touchaient un auditoire exclusivement composé
des membres des organisations villageoises.
f) Les dépôts des produits phytosanitaires
et zoovétérinaires
Ces services d'appui étaient nés des
difficultés rencontrées par les communautés pour disposer
des produits de traitement après une attaque des cultures par les
animaux (criquets, vers de terre, gerboises etc.). Leur cycle était
calé sur celui d'une campagne agricole et comprenait les étapes
suivantes :
- constitution de fonds pour l'achat des produits par
cotisation des membres de la communauté ; - approvisionnement ;
- gestion du produit selon la procédure
arrêtée par les membres de la communauté (vente au
comptant, à crédit ou troc) ;
- reconstitution des fonds et approvisionnement.
Sous-section 2.5.9: Les services d'appui villageois de
type 2 constitués par des groupements d'épargne et de
crédit
Ces services destinés aux femmes, étaient
perçus par le projet comme un des moyens qui pouvait lui permettre
d'impliquer davantage celles-ci dans le processus de développement. Les
groupements d'épargne et de crédit étaient basés
sur la mobilisation des ressources financières du village afin de
favoriser une autonomie financière des femmes.
Il s'agissait essentiellement d'une forme d'organisation
initiée par les femmes dans l'optique de mobiliser des ressources
financières locales pour développer des activités
économiques (le petit commerce ou l'embouche) ou répondre
à certains besoins sociaux tels que les mariages et les
baptêmes.
Les groupements d'épargne avaient fonctionné sur
le principe de la tontine améliorée qui consistait en des
cotisations hebdomadaires (de 50 à 500 Fcfa) en fonction de
l'économie du village. L'épargne constituée devait
permettre aux participantes de contracter de petits crédits (en cas de
besoin) remboursables avec un intérêt de 5 à 10%, selon une
périodicité bien définie.
On distinguait quatre (4) types de services d'appui de type 2 qui
sont:
- les groupements d'épargne et de crédit pour
femmes
18
- les groupements d'épargne et de crédit pour
hommes - les groupements d'épargne et de crédit pour jeunes - les
groupements mixtes d'épargne et de crédit
Sous-section 2.5.10 : Les activités de
formation
Ces activités étaient destinées à
améliorer les connaissances, aptitudes et comportements des producteurs
et à renforcer leur technicité.
C'était la catégorie qui avait regroupé le
plus grand nombre d'activités (28).
Au sein du projet PASSPA, les activités de formation
étaient coordonnées par la cellule audiovisuelle (CAV) dont le
rôle était de réunir les conditions d'atteintes des
objectifs suivants : (i) accroître la disponibilité des
informations relatives aux activités et aux systèmes de
productions et exploitations agricoles ; (ii) disposer et diffuser des
informations techniques de qualité.
Ces formations destinées à renforcer les
capacités des bénéficiaires étaient les
suivantes:
formation des paysans en alimentation du bétail formation
des paysans en dosage des engrais
formation d'animatrices et animateurs villageois formation des
paysans en « compostage »
formation d'auxiliaires paravétérinaires formation
d'enquêtrices et enquêteurs villageois
formation des membres des comités de gestion du initiation
à la méthode active de la recherche participative
service d'appui villageois de type 1 et 2 (MARP)
le planning familial l'éducation nutritionnelle
formation de brigadiers phytosanitaires journées
d'animation
formation des gérants des dépôts des produits
phytosanitaires
|
formation des instructeurs villageois de centres
d'alphabétisation
|
formation en protection de la régénération
naturelle formation en protection des cultures et récoltes
visites de terrain dans la région du projet PASSPA
formation en techniques de reboisement
formation des paysans en multiplication de semences voyages
d'étude
formation en foyers améliorés formation en
défense et restauration des sols
formation des agents de santé formation des auxiliaires de
santé
formation de pépiniéristes villageois formation en
construction sans bois
Toutes ces formations étaient dispensées, d'une
part, par le projet seul quand il en avait la compétence et d'autre
part, grâce à l'appui des partenaires extérieurs suivants
:
- l'Union Nationale des coopératives (UNC) qui avait
assuré la formation des comités de gestion et des gérants
des dépôts des produits phytosanitaires et
zoovétérinaires;
- l'ONG Karkara qui avait identifié et formé les
animateurs villageois ;
19
- la SIM6 qui s'était chargée de
l'alphabétisation et de la formation des pépiniéristes
- le Service de l'élevage qui avait formé les
auxiliaires paravétérinaires et les brigadiers
phytosanitaires7.
Ces formations étaient reparties en deux grands groupes
: les formations de type stratégique et celles de type
programmatique.
Le premier groupe de formations relevait beaucoup plus de la
stratégie d'intervention du projet. Il avait regroupé quatre
types de formation à savoir (1) la formation d'animatrices et animateurs
villageois, (2) la formation d'enquêtrices et enquêteurs
villageois, (3) l'organisation des journées d'animation, (4)
l'initiation des villageois à la MARP. Ces activités avaient
permis au projet de progresser dans la création d'un cadre de
développement villageois participatif et de partenariat dynamique.
Quant au second groupe, il était constitué
d'activités conduites à la demande des communautés et
avait regroupé les vingt-quatre formations restantes.
Dans son souci de pérenniser certaines
activités, le projet avait formé des paysans dits de
référence. Etait considéré comme paysan de
référence, tout producteur ou toute productrice ayant reçu
une ou plusieurs formations techniques et spécifiques lui permettant
à travers son comportement, ses pratiques et son appui-conseil,
d'influencer positivement les autres producteurs ou productrices de son milieu
de vie. Cette influence devait surtout s'orienter vers l'amélioration de
la performance des exploitations agricoles et celle de la qualité de vie
des ménages. C'est ainsi qu'étaient considérées
comme paysans de référence toutes les personnes résidant
au village et ayant reçu au moins une formation dans un ou plusieurs
domaines ci-dessous :
Agent de santé Alimentation du bétail Dosage des
engrais
Auxiliaire de santé Animation villageoise Compostage
Membre de comité de gestion Education nutritionnelle
Foyers améliorés
Pépiniéristes villageois Protection des cultures et
récoltes Multiplication de semences
Brigadier phytosanitaire Planning familial Reboisement
Les méthodes de formation généralement
utilisées par le projet ou ses partenaires étaient les suivantes
: (1) formation sur place par groupe d'intérêt, (2) voyage
d'études, (3) visites commentées, (4) visites inter villages, (5)
ateliers, (6) conférences, (7) projection de film vidéo,
6 Soudan Interior Mission
7 Rapport de l'évaluation de la cellule
audiovisuelle du projet, Boucar G et Seye, 1997.
20
(8) projection de diapositives, (9) écoute collective,
(10) diffusion de messages éducatifs dans les brochures, les affiches et
les radios locales.
Tableau 2.1 Relations entre les activités du PASSPA et les
facteurs de production visés
Catégorie d'activités soutenues par le
PASSPA
|
Principaux facteurs de production visés par les
activités
|
1. Aménagements des parcours pastoraux,
récupération des terres de glacis, traitement des berges de
koris.
|
Terres ;
Environnement biophysique des exploitations agricoles ;
|
2. Production végétales sur champs collectifs
;
|
Capital d'exploitation (par l'accroissement collectif de la
production et des revenus à travers des champs collectifs)
|
3. Formation, visites, voyages, services villageois d'appui
à la formation des adultes.
|
Travail (meilleure technicité des producteurs par
l'amélioration des connaissances, aptitudes et comportements)
|
4. services villageois d'appui à la production agricole
;
|
Capital d'exploitation (approvisionnement en intrants et
produits zoovétérinaires)
~ Travail (en facilitant l'approvisionnement alimentaire pendant
la soudure. Les banques de céréales rendent facultatifs le
salariat agricole pour les plus vulnérables qui peuvent ainsi se
consacrer à la conduite de leur calendrier agricole)
|
5. Services villageois d'appui au financement du micro
crédit par le biais de l'épargne locale
|
capital d'exploitation (financement de la
trésorerie).
|
6. Mise en contact et facilitation pour l'approvisionnement en
intrants et produits phytosanitaires.
|
Capital d'exploitation
|
7. Mise en contact et facilitation pour l'amélioration
de l'approvisionnement en eau
|
Travail (impact sur la santé à travers
l'amélioration de la qualité et de la quantité d'eau de
boisson) ;
~ Terre (effets des aménagements sur la relation
sol-eau)
|
8. Mise en contact et facilitation pour l'obtention du
crédit rural.
|
Capital d'exploitation (amélioration des moyens de
financement des exploitations)
|
9. Développement des petites activités
génératrices de revenus
|
terre, travail, capital (l'amélioration des revenus
offre la possibilité d'agir sur tous les autres facteurs de
production)
|
10. Appui à l'émergence des organisations
socioéconomiques paysannes
|
Environnement socioorganisationnel des ménages
|
|
21
A travers la multitude d'activités soutenues, le projet
PASSPA est censé produire des impacts positifs sur l'état
nutritionnel, alimentaire, sanitaire, économique, éducationnel,
environnemental et social de la communauté cible. (voir tableau
suivant)
Tableau 2.2 Catégorie d'activités et changements
attendus au niveau des bénéficiaires
Groupe d'activités
|
Changements attendus au niveau des ménades
|
Changements attendus au niveau de la femme
|
Impact sur
|
- Services d'appui de type 1 (banques de
céréalières, d'engrais et de semences, les
pépinières villageoises etc.) - Activités de mise
en contact pour approvisionnement
|
Disponibilité des céréales et d'intrants
|
Diminution des conflits intra ménages (moins de conflits
liés à l'utilisation de l'épargne de la femme).
|
La sécurité alimentaire
|
- Services d'appui de type 2 Groupements
d'épargnes et de crédit et les
- Petites activités
génératrices de revenus
|
- Augmentation du revenu des ménages,
- Accroissement du cheptel, - Réduction de la durée
de la période de soudure.
- Cohésion au sein du ménage, - Réponse
à certains besoins sociaux (alimentation, soins de santé,
éducation des enfants etc.)
|
- Autonomie de la femme par rapport à certaines
dépenses.
- Amélioration de la position stratégique de la
femme au sein du ménage.
- Diversification des activités génératrices
de revenus
- Diminution de la vente des petits ruminants qui font partie des
principaux biens de la femme. -
|
La sécurité économique et sociale.
|
- Activités d'aménagements
durables
- Activités de productions
végétales
|
- Disponibilité en bois,
- Augmentation du revenu des ménages
- Augmentation de la
production et de la productivité des ressources
naturelles, - Baisse de tension dans l'utilisation des parcours pastoraux.
-Disponibilité d'un moyen de contribution aux actions de
développement communautaires sans ponction dans les biens du
ménage.
|
Gain de temps chez les femmes Disponibilité d'un moyen de
contribution aux actions de développement communautaires sans ponction
dans les biens et l'épargne de la femme.
Accès des femmes aux terres (champ collectif)
|
La sécurité économique, environnementale et
sociale (diminution des conflits intercommunautaires et des conflits entre
agriculteurs et éleveurs).
|
- Activités de formation
|
- Renforcement du savoir.
- Renforcement de la cohésion sociale
- Amélioration de la santé humaine et animale,
-Amélioration des pratiques nutritionnelles,
- Hausse du rendement agricole.
- Augmentation du taux d'alphabétisation
|
Maîtrise de nouvelles techniques ; Esprit d'organisation et
de gestion Changement de comportement Homme/Femme
Changement de mentalité au niveau de la prise de
décision, de la prise de la parole, de l'hygiène et de
l'alimentation des enfants. Ouverture d'esprit suite aux voyages d'étude
et aux fora d'échange.
|
La sécurité sanitaire, nutritionnelle,
économique, sociale et éducationnelle
|
- Activités de mise en contact pour
hydraulique
|
-Disponibilité en eau potable, - Baisse de la
mortalité infantile due à l'absorption d'eau non potable.
|
Gain de temps
|
La sécurité sanitaire
|
- Activités d'appui à l'émergence
d'organisations socioéconomiques paysannes
|
Disponibilité d'un cadre de concertation
|
Accès des femmes à la responsabilité
communautaire,
Participation des femmes à la prise de décision
au sein du ménage.
|
La sécurité sociale et économique
|
22
|