DEDICACE
A Dieu tout puissant,
A mes très chers parents,
A mes chers parrains,
A tous mes enseignants, professeurs et
instructeurs,
A mes chers frères et soeurs,
A mes cousin(e)s
A ma fiancée,
A tous les membres de ma famille,
A tous mes collègues
(De travail, de l'école primaire, secondaire et
université)
A tous mes ami(e)s,
A tous ceux que j'aime et ceux ou celles qui
m'aiment,
Je dédie ce travail.
MAJORO Jean Paul.
REMERCIEMENTS
La réalisation de ce travail n'est pas seulement le
fruit de nos propres efforts, mais aussi les efforts de bien de personnes
à qui nous exprimons nos vifs remerciements.
Nous exprimons nos remerciements à tous les professeurs
de SFB qui ont contribué à notre formation plus
spécialement le chargé des cours associés Monsieur
NTABALA Hilaire, qui a accepté de diriger ce travail et nous promulguer
des critiques et conseils constructifs.
Nous présentons nos sincères remerciements au
Directeur Générale de la CORAR, Monsieur MUGENGA Joseph et les
employés de la CORAR, qui ont accepté de nous fournir les
données qui m'ont guidée à bien mener ma recherche.
Nous remercions aussi beaucoup mes parrains de l'ADPM à
partir de CLADHO qui nous a soutenus financièrement et en nous donnant
des conseils au cours de notre voyage de nos études effectuées
Notre reconnaissance va également à notre
famille plus particulièrement notre regretté père et ma
chère mère qui nous ont éduqué et qui nous ont tant
soutenu au cours de toutes nos étude.
Nous ne pouvons pas aussi clôturer sans toutes fois
oublier à remercier la famille Vleeschouwers qui m'a beaucoup
aidé à réaliser toutes les années
académiques que nous avons effectuée au cours de nos
études
Que toutes personnes qui, de près ou de loin auraient
contribué à la réalisation de travail, trouve ici de notre
profonde gratitude.
MAJORO Jean Paul.
DECLARATION
Moi, MAJORO Jean Paul, je jure par la
présente que le mémoire intitulé : «
Influence de la motivation des employés sur la
productivité et la performance des entreprises privées du
Rwanda: cas de la CORAR S.A de 2007 à
2009 », est un travail original qui n'a jamais
été transmis au SFB ni ailleurs sous une forme ou une forme ou
une autre.
Les documents consultés sont appropriés au sujet
traité et ont été indiqués dans les
références.
Je déclare que ce travail est original et personnel.
Le 27/10/2011
MAJORO Jean Paul.
ATTESTATION
Je soussigné CCA NTABALA Hilaire,
certifie par la présente que le mémoire intitulé :
« Influence de la motivation des employés sur la
productivité et la performance des entreprises privées : cas
de la CORAR S.A de 2007 à 2009 »
est un travail original qui n'a jamais été transmis au
SFB ni ailleurs sous une forme ou une forme ou une autre.
Les documents consultés sont appropriés au sujet
traité et ont été indiqués dans les
références.
Le 27/10/2011
CCA NTABALA Hilaire.
SIGLES ET ABREVIATIONS
CORAR : Compagnie Rwandaise d'Assurance et de
Réassurance
S.A : Société Anonyme
ADPM : Association de parrainage Mondiaux
CLADHO : Collecte de Ligues de Droit de l'Homme
O : Opinions
CCA : Chargé des Cours Assiciés
% : Pourcentage
AGIL : Adaptation, Goal, Intégration, Lattent
PTP: Prime Total Payé
S: Sinistre
Càd : C'est-à-dire
SORAS : Societé Rwandaise d'Assurance
COGEAR : Compagine Generale d'Assurance et de
Reassurance
RURA: Rwanda Utilities for Regulation Agency
EWASA: Energy Water Salutation Autority
S.F.B: School of Finance and Baking
GRH: Gestion des Ressources Humaines
PME : Petite et Moyen Entreprise
LISTE DES TABLEAUX
Tableau 1: Presentation des enquetés selon
le sexe
46
Tableau 2: Présentation des personnes
enquetées selon leur age
47
Tableau 3: Presentation des enquetés selon
leur niveau d'etude
47
Tableau 4: Présentation des enquêtes
selon leur catégorie professionnelle
48
Tableau 5: Opinions des répondants sur la
satisfaction au travail
49
Tableau 6: Les niveaux de satisfaction dans CORAR
S.A
49
Tableau 7: Opinions des répondants sur
l'importance des facteurs incitatifs ou Stimulants
51
Tableau 8: Opinions des répondants sur les
facteurs humains et organisationnels
52
Tableau 9: Opinions des répondants sur les
facteurs humains et psychosociaux
53
Tableau 10: Indices quantitatifs de performance
54
Tableau 11: Indices quantitatifs de performance
55
Tableau 12: Opinions des répondants sur la
qualité des services donnes par la CORAR s.a
56
Tableau 13: Opinions des répondants sur
l'environnement physique dans lequel ils travaillent
57
Tableau 14: Opinions des répondants sur
l'environnement socioprofessionnel du travail
58
Tableau 15: Opinions des répondants sur leur
capacités de satisfaction des besoins primaires grâce a leur
salaire
58
Tableau 16 : Opinions des répondants sur les
besoins primaires qu'il parviennent a satisfaire grâce a leur
salaire.
59
Tableau 17: opinions des agents de la CORAR sur la
securité d'emploi
60
Tableau 18: Opinions des répondants sur la
CORAR comme famille professionnelle.
60
Tableau 19: Opinions de repondants comme
possesseurs d'une certaine autonomie professionnelle et d'autogestion dans leur
poste
61
Tableau 20: Satisfaction des employés
61
Tableau 21: Réalisation des objectifs
personnels grace à l'emploi.
62
Tableau 22: Opinions des repondants sur la
réalaisatin par individu de son identité réelle et deses
potentialités professionnelles grace à l'emploi
62
Tableau 23: opinion des repondants sur la
contribution de la satisfaction personnelle à l'atteinte des objectifs
de la CORAR.
63
Tableau 24: L'evolution de Chiffre d'affaire de la
CORAR SA de 2007 à 2009
64
Tableau 25: Investissement de la CORAR de 2001
à 2001.
65
Tableau 26: de l'évolution comparative
à des primes perçues par rapport au sinistre Année 2007
-2009
65
Tableau 27: Evolution comparative à des
primes perçues par rapport aux frais Année 2007 -2009,
66
Tableau 28: Evolution des effectifs de Ressources
humaine de la CORAR par année 2007-2009,
66
TABLE DES MATIERES
DEDICACE
i
REMERCIEMENTS
ii
DECLARATION
iii
ATTESTATION
iv
SIGLES ET ABREVIATIONS
v
LISTE DES TABLEAUX
vi
TABLE DES MATIERES
viii
CHAPITRE 1 : INRODUCTION GENERALE.
1
1.1. Problématique.
1
1.2. Hypothèse de recherche.
3
1.3. Objectif du travail.
4
1.3.1. Objectif Principal
4
1.3.2. Objectifs specifiques
4
1.4. Choix et interet du sujet
5
1.4.1. Interet personnnel
5
1.4.2. Interet Scientifique
5
1.4.3. Intéret académique
5
1.4.4. Intérêt
Socio-économique
6
1.5. Délimitation du sujet
6
1.5. Choix de techniques et de methodologies.
6
1.5.1 La technique documentaire
7
1.5.2. La technique d'observation
7
1.5.3. La technique d'interview
7
1.5.4. Technique d'enquete par questionnaire
7
1.5.5. Technique d'enquete par
échantillon
7
1.5.6. La méthode analytique
8
1.5.7. La méthode synthétique
8
1.5.8. La méthode structuro
fonctionnelle
8
1.5.9. La méthode comparative
8
1.6. Subdivision du travail
8
CHAPITRE 2: REVUE ET LITTERATURE
10
2.1. Définition des concepts cles du
travail
10
2.1.1. Influence
10
2.1.2. Employés
10
2.1.3. Motivation des emloiyés
10
2.1.4. Politique
10
2.1.5. Renforcement des capacités
11
2.1.6. Capital social
12
2.1.7. Gestion
12
2.1.6. Ressources humaines
12
2.1.7. Gestion des ressources humaines
13
2.1.8. La Motivation.
14
2.1.9. Productivité.
15
2.1.10. Entreprise privé
18
2. 1.11. Secteur privé
20
2.1.12. Développement social
20
2.1.13. Conditions d'emploi
22
2.1.14. Déontologie
22
21.15. Organisation du travail
24
2.1.16. La satisfaction
25
2.1.17. Besoin
26
Les quatorze besoins fondamentaux
27
Description du modèle
27
Classification des besoins
28
2.2. La théorie de la motivation et des
besoins, et son application au monde de l'entreprise
30
2.2.1. Pyramide des besoins de Maslow
32
1. Besoins physiologiques
33
2. Besoin de sécurité
33
3) Besoin affectif d'appartenance
33
4) Besoin d'estime personnelle
34
5) Besoin d'épanouissement personnel
34
6) Distinction entre « besoin »
et « désir »
34
2.3. La performance
35
2.3.1Comment mesurer la performance
générale d'une entreprise ?
36
2.3.2. Performance des employés
36
2.3.3. La performance globale d'une entreprise:
36
CHAPITRE 3 : CHOIX DES METHODES ET TECHNIQUES
DE RECHERCHE.
38
3.1. Methodologie de la recherche
38
3.1.1 Les techniques
38
3.1.1.1 La technique documentaire
38
3.1.1.2. La technique d'observation
38
3.1.1.3. La technique d'interview
39
3.1.1.4. Technique d'enquete par questionnaire
39
3.1.1.5. Technique d'enquete par
échantillon
39
3.2. Les méthodes
40
3.2.1. La méthode analytique
40
3.2.2. La méthode synthétique
40
3.2.3. La méthode structuro
fonctionnelle
40
3.2.4 La méthode comparative
41
3.3. Présentation de la CORAR s.a
41
3.3.1. Aperçu historique de la CORAR
S.A
41
3.3.2. Mission et objectifs de la CORAR S.A
42
3.3.3. Contribuer au développement global du
pays
43
3.3.4. Dispenser des services de qualité
43
3.3.4.1. Contribuer aux finalités sociales
et caritatives de l'Eglise Catholique
43
3.3.4.2. Organisation administrative de la CORAR
S.A
43
3.3.5. Organigramme de la CORAR S.A (Voir sur
l'annexe de ce travail)
44
CHAPITRE 4. ANALYSE ET INTERPRETATION DES
DONNEES
46
4.1. Analyse et interpretation des donnees.
46
4.1.1. Caracteristiques sociodemographiques
46
4.1.2. Description des enquetés selon le
sexe
46
4.1.3. Répartition des personnes
enquetées selon l'age
46
4.1.4. Description des enquetes selon le niveau
d'rtude
47
4.2.1. Description des enquetes selon le categorie
professionnelle
48
4.3. Impact de la motivation du personnel de CORAR
s.a sur sa productivite et sa performance.
49
Leurs indices sont repartis de la manière
suivante :
49
4.3.1. Satisfaction au travail
49
4.3.2. Le niveau de satisfaction dans CORAR S.A
49
4.3.3. Les facteurs incitatifs stimuli
inexistants ou insuffisants dans CORAR S.A (plans de
rémunération et avantages sociaux correspondants).
51
4.3.4. Les facteurs humains et organisationnels
52
4.3.5. Les facteurs humains et psychosociaux
53
4.3.6. Opinion des répondants sur les
indices quantitatifs de performance
54
4.3.7. Opinions des répondants sur les
indices qualitatifs de performance
55
4.3.8. Appréciation des services
donnés par la CORAR S.A
56
4.4. Strategies de motivation du personnel de la
CORAR s.a
56
4.4.1. Intégration des facteurs humains et
socioprofessionnels dans la gestion de CORAR:
57
4.4.1.1. L'environnement physique du travail
57
4.4.1.2. L'environnement socioprofessionnel du
travail
57
4.4.1.3. Capacités des employés de la
CORAR S.A de satisfaire les besoins primaires par le salaire.
58
4.4.1.4. Les besoins primaires satisfaits par le
salaire
59
4.5. La securité d'emploi
60
4.6. CORAR comme famille socio professionnelles de
ses agents
60
4.7. Autonomie professionnelle et d'autogestion
dans un poste donné
61
4.10. Contribution de la satisfaction personnelle
à l'atteinte des objectifs.
62
4.5.1. La performance de la corar sa pour 2007 -
2009.
64
Evolution (performance) par année de sante
des etats financiers de la CORAR S.A.
67
· Conclusion partielle et verification
de l'hypothèse
67
CHAPITRE 5. CONCLUSION GENERALE ET
RECOMMANDATIONS.
70
5.1. Interprétation et la Synthèse du
travail
70
5.2. Recommandations
73
BIBLIOGRAPHIE:
76
Annexes
79
CHAPITRE 1 :
INRODUCTION GENERALE.
Dans cette introduction générale, nous allons
présenter tour à tour les points suivant: la problématique
recherche, les réponses provisoires du problématique en question
du travail, l'intérêt du sujet, la délimitation du sujet et
ses subdivisons.
1.1. Problématique.
La plus part des firmes reussissent et d'autres
échouent. Le succès tout comme l'echec de celles-ci est
causés par differents facteurs et ceux-ci sont liés aux aspects
financiers, matériels, humains et managériaux. Bien souvent les
responsables ou chefs d'entreprises ont toujours tendance à attribuer
leur réussite, ou leur échec en se basant surtout au facteur
financier et administratif seulement.
La plus part d'elles semblent ignorer la part réel et
role capital que contribue le facteur humain dans la croissement de la
productivité de leurs entreprises.
Pour mieux combien ce facteur contribue beaucoup dans
l'amélioration de rendement de celles-ci, considérons cette
observation faite par les spécialistes en matière d'emploi au
Canada :
« L'on se doit de miser sur dialogue, et non sur les
formules administratives à remplir. Des attentes qui sont
établies mais non mesurées ne sont généralement pas
réalisées et sont vues comme étan sans importance.
Lorsqu'une attente est déterminée, il faut donc définir la
manière dont elle sera mésurée».1(*)
Ce là veut dire que meme les employeurs des pays
dévelopés connaissent eux aussi ce problème de non
considération du facteur humain, bien à un niveau pas
élevé qu'en Arique.
Lors d'une conference qui s'est tenu 17 juin 2009 à
Dakar au Sénegal sur la problématique de la gestion des
ressources humaines, les participants ont fait remarquer que cette
problématique reste la principale préoccupation du Réseau
des hopitaux d'Afrique.
A ce propos, un responsable nigérien participant dans
ce colloque a rélevé que « les ressources humaines
constituent à n'en point douter la pierre angulaire qui conditionne une
gouvernance performante de nos hopitaux, relevant aussi bien du secteur
publique que privé lucratif ou non lucratif, a-t-il souligne.
L'utilisation, à pleine capacité de cet outil précieux
que constituent les ressources humaines, appelle indéniablement une
redefinition harmonieuse des stratégies de management existantes qui ont
largement montre leur limite »2(*).
Entre outre, à l'heure qu'il est, il a
été posé à maintes reprises le problème de
non productivité de certaines entreprises privées que puliques,
surtout dans les pays communément appelés « Pays en
développement ».
Parmi les causes qui ont été recesées
figure l'insuffisance de motivation des ressources humianes. Ce qu'il convient
de noter, c'est ce que ces études sont très
générales et par conséquent, loin d'etre utiles pour
l'application aux quelques cas particuliers.
Les prolèmes qui relèvent de la gestion des
ressources humaines que nous venons d'exposer de façon brève se
rencontrent dans les pays aussi bien développés que non
développés mais de stade differentes. Ceci nous amène
à nous poser la question suivante : Est-ce qu'il existe des
stratégies de motivation des emloiyés qui sont prise pour rendre
des etreprises privées rwandaises plus performantes et
rentables ?
C'est pour cette raison que nous avons
préféré de memer une recherche sur l'influence de la
motivation des employés sur la productivité de l'entreprise au
niveau du Rwanda, avec la CORAR S.A, prise comme cas d'etude.
Cette étude présente, en effet, un double
intérêt : scientifique et pratique.
Sur le plan scientifique, il est
extrêmement difficile de mesurer les effets de la motivation des
employés sur la productivité. C'est pourquoi notre étude
ne se concentre pas sur le « combien », mais plutôt sur le
« comment », et sur les processus grâce auxquels de nouvelles
pratiques en milieu de travail peuvent faire une différence et
améliorer la productivité.
Cette étude explique l'évolution de la
production de ces dernières années de la CORAR S.A par rapport
à l'implication des employés dans ce processus en faisant la
distinction entre la division technique et la division sociale du travail et en
proposant une approche bien adaptée à la production sur le plan
de l'efficacité.
Sur le plan pratique, cette recherche que
nous allons faire avec la CORAR comme cas de référence servira
aux employés de prendre des dispositions entant qu'agent
économique et non de sujets passifs. Ils saisiront le sens de leur
influence pour un développement intégral de leur
société. D'autre part, les dirigeants à travers cette
étude, retrouveront la portée indispensable de s'approcher des
salariés pour trouver un compromis susceptible d'améliorer les
conditions de travail et d'accroître d'avantage la productivité de
l'entreprise.
Eu égard a ce qui précède, nos questions
fondamentales sont formulées de la manière suivante:
§ Existe-t-il à la CORAR une pratique
motivationnelle pour les employés en vue de promouvoir la
productivité et la performance de cette institution?
§ La motivation des employés a-t-elle un impact
sur la productivité et la performance de la CORAR ?
1.2. Hypothèse de recherche.
La science, dit-on, n'a rien à faire avec des faits
sans liens, les faits par conséquent ne sont rien du point de vue
scientifique sans hypothèse qui suggère leur relation3(*).
Selon Laramée Alain et Vallée Bernard,
« l'hypothèse est une présomption, c'est la
réponse présumée à la question de recherche dont on
ne sait pas encore si elle est fondée ou contestable, mais au sujet de
laquelle on croit que les faits pourront établir soit la vraisemblance,
soit l'incertitude4(*).
D'après GRAWITZ et PINTO, l'hypothèse est une
réponse anticipée qui, pour être évaluée,
doit être vérifiée. C'est aussi une proposition de
réponse à la question posée5(*).
A la lumière de ce qui précède, nous
formulons notre hypothèse de la manière suivante :
§ Il existe une pratique motivationnelle des
employés de la CORAR basé sur la consideration sociale, la
renumération, la formation professionnelle, etc.
§ La motivation des employés a joué un role
capital à l'amelioration de la productivité et la performance de
la CORAR pour ls période de 2007-2009.
1.3. Objectif du
travail.
1.3.1. Objectif Principal
Exposer l'influence de la motivation des empoiyés sur
la productivité de l'entreprise CORAR S.A
1.3.2. Objectifs
specifiques
§ Analyser l'influence de la motivation des
employés de la CORAR SA sur sa productivité et sa performance
pour la periode de 2007 à 2009.
§ Clarifier les mecanismes et les facteurs de la
motivation des ressources humaines de la CORAR.
§ Dégager les facteurs de productivité et
la performance de la CORAR S.A.
§ Déclarer les effets sur la productivité
de celle-ci.
§ Proposer des stratégies au niveau managerial en
ce qui concerne la gestion des ressources humaines en vue de promouvoir les
dimensions humaines et socioprofessionnelles considérées comme
des principauc pilliers et des facteurs moteurs de la reussite d'une firme
1.4. Choix et interet du
sujet
1.4.1. Interet personnnel
Nous sommes des managers de petites et moyennes entreprises et
nous avons toujours un souci d'accroitre et de rendre celle-ci plus
performante. Ce ci est possible grace à la satisfaction des ressources
humaines (employés). Celles-ci nous préoccupe beaucoup de telle
manière que nous avons pris l'initiative de mener une étude sur
les employés pour voir à quel degré, ce principe de la
géstion d'entreprise peut etre valorisé dans la mesure de
contribuer efficacement à la reussite de notre firmes.
1.4.2. Interet Scientifique
C'est pour nous un intérêt capital de traiter un
sujet de l'étude de la productivité d'une entreprise qui
s'explique par plusieurs facteurs, notamment Temps, Matières
premières, etc. Mais nous nous baserons sur le facteur de "Main
d'oeuvre", dont l'influence des employés sur la productivité, qui
est un facteur important quant on le motive (satisfaction), car il est bien
géré et quand on respecte les droits et meilleurs conditions de
travail de celui-ci, il pourra jouer un grand rôle en contribuant dans
l'accroissement de la productivité et la rentabilité de
l'entreprise en générale. Cette étude nous permettra de
maitriser des stratégies et mécanismes y relatives
particulièrement la Gestion de Ressources Humaines ainsi que les
implications de celles-ci sur la productivité et sur la survie de d'une
entreprise en général.
A partir de ce sujet nous aurons une opportunité
d'approfondir l'étude sur la motivation du personnel en vue de
contribuer efficacement à la reussité de l'entreprise.
1.4.3. Intéret
académique
Notre travail sera une étude de recherche qui sera
orienté sur la productivité et la performance d'une entreprise en
se basant surtout sur la main d'oeuvre ; il sera consacré à
la gestion des ressources humaines motivées, qui contribue beaucoup dans
l'accroissement de celle-ci. Ce travail constituera un document qui mettra en
évidence des données exactes, qualitatives et vérifiables
qui pourront servir à mes futurs collègues qui pourront
aussi mener d'autres recherches ultérieures, plus
particulièrement ceux de SFB qui s'intéresseront de ce
domaine.
1.4.4. Intérêt
Socio-économique
L'intérêt capital au niveau sociale que
économique de notre étude est d'exhausser à la fin de
cette étude, l'importance et le role que joue la motivation des
employés sur la performance des entreprises. Nous voulons clarifier
comment la considération des objectifs aussi bien des entreprises que
des personnes oeuvrant pour ces entreprises peut beaucoup contribuer d'une
façon indiscutable pour la reussité de celles-ci.
1.5. Délimitation du
sujet
Normalement tout travail est limité dans le temps, dans
l'espace et dans le domaine:
Pour le domaine, notre sujet se limitera sur l'influence de la
motivation des employés sur la productivité des entreprises
privées ; celle-ci comme étant une source capitale de son
accroissement et sa pérformance tel qu'il sera expliqué dans le
fond du sujet.
En ce qui concerne la délimitation dans le temps :
Elle portera sur une période de 3 ans de 2007 à 2009.
Dans l'espace, elle consistera à cibler le terrain de
recherche. Ainsi notre étude sera orientée sur la CORAR SA
«Compagnie Rwandaise d'Assurance et de Réassurance au Rwanda»,
choisi comme cas d'étude de référence, elle vend des
services d'assurance notamment : la prévoyance, la couverture des
risques de biens/services, etc. Pour plus de fiabilité de nos resultats
nous nous sommes limités à la direction générale ce
celle-ci qui nous permettra de se soucier, de découvrir et de
connaître l'influence de la motivation de ceux-ci sur la sa
productivité de l'entreprise.
1.5. Choix de techniques et
de methodologies.
Avant de parler des techniques de recherche que nous
utiliserons dans notre travail, nous aimerions donner d'abord leur
définition.
« Dans les travaux de recherche scientifiques, les
techniques sont définies comme l'ensemble des moyens et des
procédés qui permettent au chercheur de rassembler des
données et des informations sur son sujet de recherche6(*)».
Ainsi dans notre travail de recherche, nous allons utiliser
les techniques suivantes:
1.5.1 La technique documentaire
Elle nous nous permettra de fouiller systématiquement
les documents en rapport avec notre sujet de recherche; ainsi les ouvrages, les
journaux, les mémoires, les publications, etc. (seront d'une importance
sans précédent.)
1.5.2. La technique
d'observation
Nous allons organiser une descente sur terrain pour pouvoir
observer de nos propres yeux ce que les emloyés de la CORAR S.A
travaillent et leur mode de vie de leur travail et voir les risques auxquels
ils sont exposés en plus voir leur contribution sur la
productivité de celle -ci;
1.5.3. La technique
d'interview
Nous allons mener un entretien avec les responsables de
quelques branches de la CORAR S.A et avec quelques membres de leur personnel
pour ecouter leur emotion bouche à oreil pour approuver l'implication de
ceux -ci.
1.5.4. Technique d'enquete
par questionnaire
La technique d'enquête par questionnaire va nous
permettre de récolter les données inhérentes à
notre travail en vue de concrétiser le sondage.
1.5.5. Technique d'enquete par
échantillon
Un échantillon occasionnel a été
tiré parmi les employés de la CORAR dans le pays pour
étudier quelques cas son ensemble dont des groupes humains
concernés par l'enquête.
La méthode est définie comme l'ensemble
ordonné de principes, des règles et des opérations
intellectuelles permettant de faire l'analyse en vue d'atteindre un
résultat7(*).
Pour notre travail de recherche, nous aurons jugé bon
de recourir aux méthodes suivantes:
1.5.6. La méthode
analytique
Elle nous permettra de faire une analyse minutieuse de toutes
les données et les informations récoltées ;
1.5.7. La méthode
synthétique
Par cette méthode, nous allons
pouvoir synthétiser et globaliser les éléments de
réponses en un ensemble cohérent ;
1.5.8. La méthode
structuro fonctionnelle
Cette méthode nous a permis de considérer la
réalité sociale étudiée comme une catégorie
analytique posée à priori, lequel doit être
conceptualisé dans son ensemble.
1.5.9. La méthode
comparative
Elle nous aidera à faire une
comparaison de la production de l'entreprise par anné à l'aide
des états financiers et chiffre d'affaire présentés en
année afin d'en apprecier la performance de la société.
1.6. Subdivision du
travail
Notre travail est subdivisée en cinq chapitres dont:
Le premire chapitre comprend l'introduction
generale : il traitera tour à tour la problematique de la
recherche, les hypothèses de de travail, les objectifs de la recherche,
le motif du choix et l'interet du sujet, la delimitation du sujet, les
techniques et methodologie de la recherche, et en suite sa subdivision.
Le dexième chapitre porte sur
Considérations Générales dont cadre conceptuel et
théorique qui donne les définitions des concepts clés de
notre travail, la revue et la litérature.
La Troisième chapitre parle aux
méthodologies et théchniques de recherche scientifique qui nous
ont aidé à collecter les données et nous ont permit de
faire l'analyse de celles-ci envue d'en sortir les résultats.
Le quatrième chapitre sera consacré
à la presentation de la CORAR S.A choisi comme cas d'étude de
refference: sa creation, son fonctionnement, sa structure organisationnelle,
ses activités et sa gestion de ressources humaines, aspect de
motivation. Il sera aussi axé sur la motivation des employés et
la productivité. C'est également dans ce chapitre que nous allons
presenter et analyser les resultats de l'etude.
Le cinquième chapitre sera consacré
à la conclusion et recommandations.
CHAPITRE 2: REVUE ET
LITTERATURE
Avant d'entrer dans le vif du sujet, pour que nous soyons sur
la meme hauteur d'ondes à fin de mieux comprendre ce travail, nous avons
jugé opportun de passer en revue les outils d'analyser tels que
signalées au niveau des objectifs specifiques de notre travail.
Chapitre est subdivisé en deux sections. La
première porte sur la définition des concepts et la
deuxième explicite le fondement de la participation des
employés :
2.1. Définition des
concepts cles du travail
2.1.1. Influence
Action qu'une personne exerce sur une autre ; c'une
conviction delirente d'etre soumis à une force éxterieure qui
commande les pensées et les actes8(*).
2.1.2. Employés
Ensemble des individus faisant partie d'une entreprise qui
apporte leur travail dans le cadre d'un contrat de travail en contrepartie
d'une rémunération versée par l'emploiyeur. Parmi les
emloyés, on trouve differents catégories ou statuts dont les
cadres, les non cadres, les ouvriers, etc.
2.1.3. Motivation des
emloiyés
D'après BATTEN JD, selon lui, il a definit la
«motivation d'emplioyé comme une action qui permet au personnel de
réaliser un motif». Il a ajouté que les entreprises
dépassent ordinairement beaucoup d'argent pour l'action mais très
peu pour le motif.
2.1.4. Politique
Le mot politique vient de la
racine grecque
polis, « la
cité ». De nombreuses approches définissent la
politique comme l'organisation du pouvoir dans l'État. Mais le lien
entre politique et État n'est pas si évident, cette acception est
relativement récente.
La politique au sens plus large est donc la structure et le
fonctionnement (méthodique, théorique et pratique) d'une
communauté,
d'une
société.
La politique concerne les actions, l'équilibre, le développement
interne ou externe de cette société, ses rapports internes et ses
rapports à d'autres ensembles9(*). La politique est donc
principalement ce qui a trait au collectif, à une somme
d'individualités et/ou de multiplicités.
Par ailleurs, dans un sens beaucoup plus restreint, le terme
politique renvoie à des luttes de pouvoirs et de
représentativité entre hommes et femmes de pouvoir et les
différents
partis politiques
auxquels ils appartiennent. En science de gestion, la politique est aussi
considérée comme l'ensemble des règles servant à
orienter l'action. C `est aussi une ligne de conduite10(*).
2.1.5.
Renforcement des capacités
Renforcer la capacité, c'est développer la
qualité de celui qui est apte à faire une chose, à la
comprendre. C'est donner une connaissance, des aptitudes en plus à un
individu pour mieux exécuter une tâche, une fonction.
Selon le PNUD, le renforcement des capacités est
« le processus par lequel les particuliers, les organisations, les
institutions et les sociétés développent leurs
aptitudes (individuelles et collectives) à exercer des fonctions,
résoudre des problèmes, fixer et atteindre des
objectifs. »11(*)
Le renforcement des capacités est enfin un processus
continu et réciproque d'ajustement des aptitudes, des valeurs et des
pratiques organisationnelles12(*) Malgré les nombreuses interprétations
des mots « renforcement »
et « capacité », le terme renforcement des
capacités est utilisé de manières différentes,
souvent contradictoires. Il peut se référer aux choses les plus
diverses, allant de la formation d'individus à des vastes reformes
institutionnelles. Les bailleurs des fonds utilisent le plus souvent ce terme
quand ils parlent d'harmonisation des bailleurs d'approches sectorielles, ou
bien pour justifier l'introduction des « bonnes »
stratégies et des « bons » cadres institutionnels.
La société civile l'utilise comme l'équivalent
d'autonomisation des acteurs locaux, de développement de bas en haut des
organisations et des réseaux locaux, et de transformation sociale. Pour
certains, le renforcement des capacités est une philosophie et une
attitude, presque synonyme du terme même de développement. Pour
d'autres, c'est une pratique professionnelle sous-tendue par des
méthodologies particulières, ancrée dans le
développement organisationnel et la facilitation de processus. Nous
manquons donc d'une définition qui soit exhaustive et fasse
l'objet d'un consensus. Cela dit, il est difficile de ne pas donner
crédit à la définition ci-après nous
proposée par le PNUD : « Le renforcement des
capacités est le processus par lequel les particuliers, les
organisations, les institutions et les sociétés
développent leurs aptitudes (individuellement et collectivement)
à exercer des fonctions, résoudre des problèmes, fixer et
atteindre des objectifs. »13(*)
2.1.6. Capital social
Le capital social, appelé souvent plus
simplement le capital, désigne, en
comptabilité,
un ensemble de ressources (un «
capital »)
apporté à une
organisation
(entreprise, association...). L'expression « capital
social » permet donc de donner au
capital un sens juridique,
comptable et économique (capital d'une
société
par actions par exemple)14(*).
En ce qui nous concerne, est une fonction qui découle
de la prévalence des liens de confiance au sein d'une
société ou dans certaines couches d'une société et
qui influence grandement la réussite relative des économies
nationales.
2.1.7. Gestion
L'acte fondamental de Gestion vise à garantir la
pérennité de l'entreprise par le recours à des moyens
spécifiques permettant de concilier les exigences contradictoires de
court terme et de long terme.
Une définition plus complète de la gestion
serait : Gérer, c'est planifier, organiser, diriger,
contrôler. C'est aussi inspirer, former, communiquer, récompenser.
C'est aussi écouter, décoder, comprendre, guider, orienter,
motiver, mobiliser, influencer, responsabiliser. En somme, c'est un ensemble
d'activités qui visent à atteindre les
objectifs
d'une
entreprise ou d'une
organisation15(*).
2.1.6.
Ressources humaines
Jadis dans une entreprise à la place de ce terme on
parlait du « Personnel », c'est-à-dire tout
être humain qui travaille au sein de l'institution moyennant un contrat.
Aujourd'hui, le champ de définition est élargi. Les Ressources
humaines sont, non seulement le staff contractuel mais aussi les
décideurs et tout individu en relation avec l'entreprise et dont le
contact apporte un plus à la vie de ladite entreprise.
Les ressources mises à la disposition d'une entreprise
sont généralement catégorisé en quatre classes
à savoir : les ressorces matérielles, les ressources
financières, les ressources informationnelles et en fin les ressources
hummaines qui nous intéressent beaucoup pour notre travail.
Avec LAY GUES (1976 :2335), cité par NKUNDABANGA
A. (2007 :26), la tendance actuelle est que la caleur d'une entreprise
dépend moins de l'importance des autres ressources que de la
manière dont elle emploie les hommes. Ces sont donc les hommes et les
femmes d'une organisation qui sont envisagés comme des ressources
humaines.
2.1.7. Gestion des ressources
humaines
La gestion des ressources humaines (la GRH)
est un ensemble de
pratiques du
management ayant pour
objectif de mobiliser et développer les ressources humaines pour une
plus grande
performance de l'
organisation.
C'est une activité qui doit tendre à
améliorer une communication transversale, tout en faisant respecter l'
organigramme
de l'entreprise.
La gestion des ressources humaines peut se diviser
arbitrairement en deux grandes categories :
· d'un côté l'administration des ressources
humaines (
gestion de la
paie,
droit du travail,
contrat de
travail etc.).
· et de l'autre, le développement des ressources
humaines (
gestion
des carrières,
gestion
des compétences (GPEC),
recrutement
(sélection),
formation etc.).
La gestion des ressources humaines est enfin co-responsable de
la
production et du
management de qualité16(*).
2.1.8. La Motivation.
Selon KANGALI M (2002:45) cité par NKUNDABANGA A,
(2007:6), il a definit la motivation comme etant «quelque chose qui
stimule ou suscite un comportement, ce qui dirige les conduites et nourrit la
tendance à perceverer ; ce qui declenche l'activité de
l'individu, le pousse à atteindre un but, à prolonger l'action
quand le but n'est pas atteint».
La motivation est, dans un
organisme vivant,
la composante ou le processus qui règle son engagement pour une
activité précise. Elle en détermine le
déclenchement dans une certaine direction avec l'intensité
souhaitée et en assure la prolongation jusqu'à l'aboutissement ou
l'interruption. Cette notion se distingue du dynamisme, de l'énergie ou
du fait d'être actif. La motivation prend de nos jours une place de
premier plan dans une organisation. Elle est déterminante de
la productivité chez les
employés17(*).
Se manifestant habituellement par le déploiement d'une
énergie (sous
divers aspects telle que l'enthousiasme, l'assiduité, la
persévérance), la motivation est trivialement assimilée
à une « réserve d'énergie ».
Mais plus qu'une forme « d'énergie
potentielle », la motivation est une instance d'intégration et
de régulation d'une multitude de paramètres relatifs aux
opportunités d'un
environnement et aux
sollicitations d'une situation. Aussi le rôle de la motivation est-il
proportionné aux degrés d'ambiguïté et
ambivalence d'une
situation : elle doit dissiper la complexité voire la confusion des
données et leur
conférer différentes valeurs avant d'en tirer une conclusion en
termes de comportement : le choix et l'investissement dans la direction
préférée.
« Rien n'est plus insondable que le système
de motivations derrière nos actions.18(*)
L'interrogation portant sur la motivation, émerge
principalement dans les situations où son rôle de
délibération interne est requis prioritairement ;
c'est-à-dire avant tout quand l'organisme est face à une
dimension quelconque de
concurrence, une
priorité ou hiérarchie devant émerger pour permettre
l'action. De ce point de vue, bien que les problématiques ne soient pas
équivalentes, deux types de concurrence sont identifiables :
· la « concurrence
psychologique »
des attentes individuelles, par exemple, choisir entre l'
action et le repos ;
· les situations collectives où -- face aux
mêmes exigences -- les motivations individuelles sont le facteur de
différenciation des conduites :
apprentissage,
compétitions,
activités
collectives, etc.
2.1.9.
Productivité.
En
économie, la
productivité est le rapport du produit aux facteurs de production
(quantité d'énergie, temps de travail, etc. Les
économistes
classiques
retiennent trois facteurs, formalisés par
Adam Smith : la
terre, le
capital et le
travail.
Par la suite les
néoclassiques
ne retiendront que le capital et le travail. Ces trois constituants classiques
ressortent toutefois d'une approche traditionnelle en cours d'évolution
et de complexification : Le facteur «
terre et
sous-sol » (d'ailleurs de plus en plus en plus aménagé
par la main de l'homme) est aujourd'hui plutôt
considéré :
- soit comme une composante d'un facteur naturel plus large,
les
ressources
naturelles incluant la
biodiversité
(la notion de
capital naturel
posant des questions sur le type de
durabilité),
- Soit comme la composante
foncière du capital
(propriété foncière).
La notion de capital physique (investissement matériel)
ou financier (sources de financement) s'est enrichie dans l'
économie
du savoir par certains aspects du
capital-savoir,
qui caractérise de plus en plus la production des
pays
développés. On parle aussi de
capital humain
(Ressources Humaines), de
capital social, etc,
comme variable explicative de l'amélioration de la
productivité
ne résultant pas des autres facteurs.
Tout comme le
capital
physique, le capital humain
s'acquiert (éducation), se préserve (formation continue,
médecine de prévention) et donne des dividendes, sous la forme
d'une augmentation de la productivité et sans doute du bien-être
de son détenteur. Contrairement au capital physique, il n'est pas
séparable de son détenteur et prend très souvent un aspect
de bien public.19(*) Il a par ailleurs une fonction de
production
particulière et d'importantes externalités sur le reste de
l'économie. De ce fait, il s'agit d'un concept central de l'
économie
du développement, de l'économie de l'
éducation et
plus largement de l'
Économie
du savoir (capital-savoir).
Pour simplifier, les quatre principaux facteurs de production
apparaissent de nos jours être les suivants :
- Le
capital naturel, le
capital physique, le
travail
matériel, Le
capital
immatériel (savoir-faire, organisation,
actifs
incorporels s'ils sont comptabilisés), le travail immatériel,
le
savoir.
Ahmed Bounfour estime que le
capital
immatériel représente au moins entre 60 et 70 % de la valeur
des entreprises20(*).
Certains mettent la connotation de ce quatrième facteur dans le concept
Management. L'
investissement permet
d'augmenter le volume des facteurs de productivité.
Pour mieux comprendre ce que c'est la productivité nous
avons voulus ajouter ceux-ci
La productivité permet de mesurer
l'efficacité du système productif, d'une entreprise par exemple.
Mais l'efficacité pour une entreprise, c'est quoi ? L'activité
d'une entreprise, c'est de produire. Son efficacité sera d'autant plus
grande qu'elle produira une quantité donnée avec moins de
facteurs de production (capital et travail). La productivité est donc
toujours une comparaison entre la production réalisée et les
quantités de facteurs de production utilisés pour réaliser
cette production.21(*)
La productivité du travail compare la production
réalisée à la quantité de travail
utilisée. On a donc le rapport :
Productivité du travail = quantité produite /
quantité de travail utilisée.
La quantité de travail utilisée peut être
mesurée simplement par le nombre de travailleurs (ou nombre d'emplois) ;
on obtient alors la productivité par tête (ou productivité
moyenne). Mais la durée du travail peut être très
différente d'un pays à un autre. La quantité de
travail est donc plus précisément mesurée quand elle est
mesurée en heures, en faisant le produit "durée moyenne du
travail (en heures par an) x nombre de travailleurs". On obtient alors la
productivité horaire.
Par exemple, si le travail est mesuré en nombre
d'heures travaillées, la productivité sera égale au
ratio entre la
quantité produite sur une période temporelle (un jour, une
semaine, une année) et le nombre total d'heures travaillées par
les employés pendant cette période.
Outre la productivité du travail, on peut calculer
d'autres sortes de productivité :
· la productivité du capital : elle compare la
production réalisée à la quantité de capital
utilisée. On a donc le rapport : productivité du capital =
quantité produite / quantité de capital utilisée.
· la productivité globale des facteurs : elle compare
la production réalisée à la quantité de
capital et de travail utilisée. On a donc le rapport
: productivité globale des facteurs = quantité produite /
quantité de travail et de capital utilisée.
Il faut noter qu'on ne précise pas de
quelle productivité on parle, il s'agit pratiquement toujours et de
manière implicite, de la productivité du travail.
Les économistes néo-classiques
considèrent que la productivité joue un rôle essentiel dans
la détermination de la demande de travail : la demande de travail (des
entreprises) dépend de la comparaison entre le salaire (qui se
détermine sur le marché du travail) et la
productivité marginale du travail
(schématiquement, la productivité du dernier travailleur
embauché). L'entreprise embauche tant que le salaire est
inférieur à la productivité marginale du
travail.22(*)
La notion de productivité est au coeur des
mécanismes économiques. Tous les systèmes
économiques, toutes les entreprises, mais aussi tous les individus
rationnels, cherchent à être le plus efficaces possible,
c'est-à -dire à produire le plus possible compte tenu
des facteurs de production (capital et travail) dont ils disposent. Non
seulement on va chercher à avoir une productivité
élevée, mais on va vouloir continuellement augmenter cette
productivité. C'est la recherche de ce que l'on appelle les
"gains de productivité".23(*)
Un gain de productivité est, pour une
quantité de
travail
et/ou d'outils de travail identique, une amélioration de la production
d'une unité de production, ou d'une
entreprise
Le gain de productivité se mesure comme la
différence entre deux productivités à deux dates
données. Ce gain peut être évalué en valeur absolue
(gain absolu par travailleur) ou en valeur relative (taux de variation
exprimé en pourcentage). Le gain de productivité est un surplus
qui peut être distribué aux salariés (hausse des salaires,
prime, promotion, baisse de la durée du travail...), à
l'entreprise (augmentation des fonds propres, financement des investissements),
aux actionnaires (hausse des dividendes) ou aux consommateurs (baisse des
prix). La hausse de la productivité est due à plusieurs
facteurs : l'organisation du travail, la motivation, la performance du
matériel, l'environnement de l'entreprise, le climat social,
l'expérience et la qualification, la responsabilité et la
confiance...Pour les économistes, le terme "technologie" est souvent
utilisé, dans un sens large, pour englober tout ce qui détermine
la productivité. (Rapport pour l'Agence de promotion économique
du Canada atlantique, 1998)24(*).
2.1.10. Entreprise
privé
Une entreprise est une structure économique et sociale
qui regroupe des moyens humains, matériels, immatériels (service)
et financiers, qui sont combinés de manière organisée pour
fournir des
biens ou
des
services
à des
clients
dans un environnement concurrentiel (le
marché) ou non
concurrentiel (le
monopole) avec un objectif
de
rentabilité.
Une entreprise privée est généralement une structure
légale : une
société
-
anonyme,
par
actions,
à
responsabilité limitée,
coopérative,
dont la capital le capital provient d'un ou de differents actionnaire,
etc.25(*)
De façon plus générale, le terme
entreprise s'utilise aussi pour des projets uniques mais d'apparence
risquée ou difficile (par ex: un grand voyage, une recherche
scientifique, ...) car il y a un effort entrepris (cf. étymologie
ci-dessus). Pour exister dans un environnement concurrentiel, une entreprise
doit satisfaire ses clients et générer un
profit (ou
bénéfice),
c'est-à-dire réaliser un
chiffre
d'affaires supérieur à la somme de ses
coûts (
salaires et charges, achats,
frais de fonctionnement,
amortissements
des
investissements,
impôts et
taxes, etc.)
Étymologiquement, le terme dérive de
"entreprendre", daté d'environ 1430-1440 avec le sens de
« prendre entre ses mains ». Aux environs de 1480, il prit
l'
acception actuelle de
« prendre un risque, relever un défi, oser un
objectif ».
Types d'entreprises privées existant dans le
pays :
- les entreprises privées à but lucratif
(ex :
TPE,
PMI, Grands
Groupes/sociètés
dont CORAR S.A, SORAS, COGEAR, etc),
- les entreprises privées à but non lucratif
(relevant de l'
économie
sociale),
- les entreprises publiques (ex : EWASA, RURA, etc).
Une entreprise privée est donc une entreprise dont le
capital est détenu majoritairement par plusieurs personnes
(actionnaires)26(*).
«Une entreprise privée est
une personne morale de droit privée disposant d'une certaine autonomie
administrative et financière afin de remplir une mission de fournir de
biens et services envue de gagner des beniefices'intérêt
général, précisément définie, sous le
contrôle de son conseil d'administration par l'État en cas de
régulation et la législation.
Chaque entreprise privée est rattachée à
une administration qui le contrôle et des entreprises privée
locales rattachées à une personne (proprietaire). Mais
l'identité de l'administration de rattachement ne détermine pas
la zone géographique d'action de l'entreprise privée. Ainsi une
entreprise privée locale peut avoir un champ d'action à
l'échelle nationale regionale qu'internationale. Les domaines
d'intervention des entreprises privées sont variés mais la
plupart remplissent une mission de nature économique.
D'après Ngumbi Casimir27(*), une entreprise publique ou
privée est un organisme doté de :
- Statut juridique (droits et obligations à faire
valoir auprès des tiers)
- Autonomie financière (patrimoine, budget)
- Autonomie organique (Conseil d'administration, Comité
de gestion, Collège des commissaires aux comptes)
- Régime financier (émarge des budgets annexes
et non du budget général de l'Etat)
- Régime fiscal (paiement des impôts et taxes en
matière économique)
- Statut du personnel (mandat de gestion, contrat de droit
commun)
- Régime du contentieux (régime de droit
administratif)
Ces conditions sont remplies par la CORAR S.A qui est une
entreprise à caractère productive et commercial dotée de
la personnalité juridique, elle a été enregistrée
au registre de commerce en date 08/09/2000 sous le No 1681/KIG. Les
statuts qui régissent la Société ont été
publiés au Journal Officiel de la République du Rwanda
No 19 du 1er octobre 2000. La Compagnie a obtenu
l'autorisation gouvernementale d'exploiter officiellement les assurances le 11
avril 2002 par l'Arrêté Présidentiel n° 25/01 du 04
décembre 2002.
2. 1.11. Secteur
privé
En
économie, on
parle généralement de secteur privé pour
décrire la partie d'une économie où l'État
n'intervient pas ou peu. On l'oppose au
secteur public qui
est principalement dirigé par l'État28(*).
On trouve dans le secteur privé :
· les entreprises privées
· les banques à capitaux privés
· l'
économie
sociale, dont les
mutuelles, les
coopératives
et les
associations
· Les
organisations
non gouvernementales.
2.1.12. Développement
social
Le développement social renvoie au courant socio -
technique, qui trouve son origine dans les travaux de Tavistock
intitulé, repris et prolongés par les Scandinaves avec
l'expérimentation de formes d'organisations plus autonomes. Ce courant
est porteur d'une critique du courant des relations humaines, lequel, en
privilégiant la dimension affective et la communication, néglige
les déterminants organisationnels et s'avère faire figure
d'allié du taylorisme. L'intitulé développement social
abrite des préoccupations qui vont selon les problèmes critiques
du moment concernant les conditions de travail, les alternances
organisationnelles liées à l'introduction des nouvelles
technologies et à l'automatisation, la mise en place de cellules de
production plus autonomes ou le déploiement de la qualité
totale.
Le lecteur devinera sans trop d'efforts que ce changement de
vocabulaire recouvre une évolution bien réelle : la prise de
conscience de l'importance de l'homme dans l'entreprise. Aussi, les
intitulés peuvent être considérés comme des
indicateurs d'une inspiration théorique, d'une vision dominante de
l'homme au travail. Enfin, les dénominations étant versatiles,
nombreux préfèrent utiliser celle de gestion de la main -
d'oeuvre pour les englober toutes et pour qualifier cette fonction qui a pris
tantôt l'intitulé d'administration du personnel, tantôt
celui de gestion de relations humaines et sociales ou de gestion des ressources
humaines. Le terme « main - d'oeuvre » est neutre et
recouvre toutes les catégories de personnel, y compris les cadres les
plus supérieurs29(*).
Le développement social de
l'entreprise est un concept qui s'est rependu à travers le
monde30(*).
Le développement social est un concept qui chevauche
fréquemment des approches similaires telles que la durabilité de
l'entreprise, le développement durable de l'entreprise, la
responsabilité sociale et la présence sociale de l'entreprise.
Bien qu'il n'existe pas de définition universelle du
développement social, plusieurs la perçoivent comme
une façon pour l'entreprise tant privée que publique
de s'occuper des impératifs économiques, sociaux et
environnementaux des activités. À vrai dire, le
développement social ressemble de près aux concepts de
développement durable et de « triple indice de rentabilité
» auxquels adhèrent les entreprises. En plus de s'intégrer
aux structures et aux processus de l'entreprise, le développement social
comprend aussi fréquemment la création de solutions novatrices et
proactives face aux défis sociétaux et environnementaux, de
même qu'une collaboration avec les intervenants internes et externes pour
améliorer la performance de l'entreprise. La notion de
développement social est apparue à titre de parallélisme
avec la notion de
développement
économique. Elle considère que le bien-être social ne
se résume pas à l'économie et aux revenus.
2.1.13. Conditions d'emploi
L'efficacité des organisations tant privées que
publiques s'exprime implicitement dans les jugements tendant à se
concentrer sur les modes de gestion des ressources humaines. En particulier, le
rôle de l'employeur, qui détermine les conditions d'emploi, se
retrouve au coeur du débat pour constituer une gestion dynamique des
ressources humaines. Celui-ci ferait figure de catalyseur, déterminant
tout à la fois la définition d'objectifs et de stratégies,
l'adéquation des profils aux emplois, l'évaluation des agents et
leur adhésion au cadre commun, autant d'éléments
constitutifs d'une gestion des ressources humaines efficace.
Les conditions d'emploi trouvent leur justification
première dans la volonté de l'employeur d'assurer le bon
fonctionnement des services de l'entreprise. Bien plus, un recours accrû
à ces instruments ne permettrait à la fois de mieux appliquer ces
principes et d'améliorer l'efficacité de l'entreprise par la
participation des employés.
Une gestion des ressources humaines dynamique pourrait
être un élément essentiel d'une plus grande
efficacité de la participation des employés:
«développer une gestion des ressources humaines qui aille
au-delà d'une simple administration du personnel pour mieux
répondre aux besoins des services, favoriser l'initiative et la prise de
responsabilité et aussi mieux répondre aux aspirations des
agents31(*) ».
2.1.14. Déontologie
La performance des entreprises publiques que privées
dépend étroitement de la confiance dont
bénéficient, au quotidien, les agents dans l'exercice de leurs
fonctions. Cette confiance constitue un indicateur de performance dans la
mesure où elle vient récompenser un fonctionnement
irréprochable du service privé que public. Elle est aussi un
facteur de participation des fonctionnaires, la mise en oeuvre des politiques
publiques exigeant chaque jour davantage l'implication de partenaires
extérieurs à la sphère publique aux côtés des
administrations32(*).
Cette confiance résulte en partie du respect par chaque
agent d'un corps de règles devant encadrer sa pratique professionnelle :
la déontologie. Elle se définit à partir de
différentes sources. Aux règles écrites s'ajoutent celles
que sécrète au cours du temps la pratique administrative pour
pallier les incertitudes ou combler les silences de la réglementation,
voire les réponses purement personnelles apportées par un agent
à une situation délicate, en se fondant sur son système de
valeurs, son éthique personnelle ou ses références
morales.
La diversité des métiers qu'exercent les agents
publics ne doit pas faire obstacle à une approche commune de leur
déontologie, quelle que soit leur fonction publique d'origine (d'Etat,
territoriale ou hospitalière), le statut particulier qui, le cas
échéant, s'applique à eux (militaires, magistrats,
personnels à statut des entreprises publiques...), leur situation
juridique (titulaire, contractuel, voire personnel de droit privé
participant à l'exercice d'une mission de service public) ou leur niveau
hiérarchique.
Par ailleurs, la déontologie de l'agent public,
d'essence individuelle, n'est pas celle du service public ou de l'action
administrative, même si elles ne sont pas sans incidence l'une sur
l'autre : la première concerne l'individu qui met en oeuvre une
politique publique ou participe à un processus de décision,
l'autre intéresse la décision publique elle-même, les
finalités de l'action publique ou le fonctionnement d'ensemble d'un
service.
L'interaction constante entre performance, confiance et
déontologie devrait conduire à faire de la promotion de la
participation des agents l'un des tous premiers devoirs de la gestion des
ressources humaines (GRH) dans les entreprises publiques. L'ensemble des
instruments de la gestion des ressources humaines (recrutement, formation,
évaluation, gestion des carrières, organisation du travail,
politique de rémunération, politique disciplinaire, relations
sociales...) seraient dès lors sollicités au service de deux
objectifs : renforcer la culture et l'identité professionnelle des
agents, facteur de motivation et de cohésion ; garantir
l'exemplarité de l'action publique, facteur de confiance.
A observer le développement des démarches
déontologiques au sein des différentes administrations, on mesure
que cette approche restrictive de la déontologie des agents publics
montre ses limites. Les nombreuses initiatives menées dans les
administrations étrangères, voire dans des entreprises,
conduisent, elles aussi, à reconsidérer les fondements de
l'approche congolaise.
Après avoir constaté que les mutations de
l'action publique remettent en question l'approche traditionnelle de la
déontologie de l'agent public (I), l'analyse de la pratique
administrative montrera que le respect de la déontologie n'est
favorisé ni par une gestion des ressources humaines appropriée ni
par une organisation administrative adaptée (II). A cette situation doit
répondre une démarche équilibrée, positive et
concertée seule susceptible d'inscrire la préoccupation
déontologique au coeur de la gestion des ressources humaines (III).33(*)
21.15. Organisation du
travail
Conformément à l'article 15 de la
déclaration des droits de l'homme et du citoyen, selon lequel « la
société a le droit de demander compte à tout agent public
de son administration »34(*), l'efficience de l'action
publique constitue un des fondements de la démocratie. Dès lors,
dans la mesure où le citoyen est confronté quotidiennement
à la complexité administrative, l'organisation du travail n'est
pas seulement une question d'intendance, mais une priorité
éminemment politique.
L'organisation du travail peut être
définie, dans le prolongement des travaux de Mintzberg35(*) , comme "la somme totale des
moyens employés pour diviser le travail en tâches distinctes et
pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ces tâches".
Elle "se caractérise par la présence d'un système
d'autorité et d'administration personnifié par un ou plusieurs
managers dans une hiérarchie plus ou moins structurée et dont la
tâche est d'unir les efforts de tous dans un but donné".
La réflexion sur l'organisation du travail et la participation
des employés dans le service public, est essentiellement
focalisée sur la recherche de cohérence : cohérence des
structures avec les aspirations, cohérence des moyens avec les missions,
cohérence entre la gestion de l'urgence et la vision de long terme,
cohérence enfin entre l'unité de l'action publique et la
liberté des acteurs.
Dans le cadre du modèle défini au début
du siècle par Taylor, Fayol et Weber36(*) et reposant sur une structure
pyramidale, l'application de règles impersonnelles et la
séparation des fonctions de conception et d'exécution sont
demeurés longtemps incontestées en termes de rationalité,
de neutralité et de légitimité. Elles connaissent
néanmoins depuis une vingtaine d'années une remise en question
à la fois relayée et portée par la sphère
politique.
2.1.16. La satisfaction
Est le nom donné à l'état d'âme
et/ou du corps qui accompagne l'assouvissement d'un
désir : on le
distingue du simple contentement qui ne marque que l'achèvement
d'un
besoin.
Dans ce sens la satisfaction constitue un
sentiment plus qu'une
simple
sensation
d'apaisement ; elle s'oppose à l'état de
frustration, parfois
plus ou moins coloré d'espérance, vécu lorsque la
psyché est en
état de désir ou de besoin. La satisfaction est ainsi dissipation
de déplaisir, de peine psychologique. (La tension du désir ou du
besoin s'accompagne d'un état de déplaisir psychologique).
La satisfaction se distingue du
plaisir en ce que ce dernier
ne marque qu'une
sensation
agréable : impression physique (plaisir de la chair...), impression
culturelle (plaisir de voir quelque chose de beau, de voir une théorie
convaincante...), impression sociale (plaisir de la chaleur humaine, de
l'amour...), impression psychologique (plaisir de se sentir plein de
puissance...), impression spirituelle (plaisir de considérer quelque
chose qui nous dépasse...)...
L'attente de plaisir (de l'impression plaisante) crée
un désir, plus ou moins demandeur, donc une insatisfaction tant que le
plaisir souhaité n'est pas obtenu, et une satisfaction, en plus du
plaisir, lorsque le plaisir escompté est obtenu. Le poète
Léo
Ferré résumera le premier de ces états d'une
expression : "ce mal qui vous fait du bien".
En sexologie, la satisfaction est un état proche de l'
orgasme.
En théologie, Dieu doit être "satisfait" :
la satisfaction est un synonyme de réparation : ce que l'on est
obligé de faire pour réparer les péchés que l'on a
commis
2.1.17. Besoin
La notion de besoin recouvre l'ensemble de tout ce qui est
nécessaire à un être, que cette nécessité
soit consciente ou non, à la différence du
désir qui exprime
la fixation contingente (non nécessaire) de la conscience sur un objet.
Ainsi respirer (de l'air chargé en oxygène) est un besoin, alors
que respirer un air pur, un air parfumé ou de la fumée de tabac
sont des désirs.
Quand le besoin est frustré, il
correspond à une sensation de manque, d'inconfort ou de privation, qui
est accompagné par l'envie de la faire disparaitre par un comportement
menant à un mieux-être à travers un désir. Quand le
besoin est satisfait, il engendre un sentiment de bien-être, de plaisir
et de joie, accompagné d'un désir de faire durer cette
satisfaction.
Classiquement on distingue depuis les philosophes grecs des
"vrais" et des "faux" besoins, les premiers correspondant à la
vérité de ce qui est réellement nécessaire pour
satisfaire notre nature et les seconds à l'opinion fondée sur
l'imagination. Ainsi pour Epicure avoir un abri et des amis sont des vrais
besoins alors que posséder une grande richesse et être
célèbre sont de faux besoins. La différence entre vrai et
faux besoin est que le premier peut être comblé alors que le
second ne peut pas l'être. Une grande partie de l'éthique consiste
dès lors à distinguer vrais et faux besoins pour se
libérer des seconds et vivre dans la liberté pour être
satisfait et heureux.
Les besoins se situent à la jonction
entre le biologique et le culturel, entre le corps et l'esprit, et mettent en
jeu l'
interaction entre l'
individu et l'
environnement. Il est
souvent fait un classement des besoins humains en trois grandes
catégories : les besoins primaires, les besoins secondaires et les
besoins fondamentaux.
· Les
besoins
primaires, également appelés besoins
élémentaires ou physiologiques, sont les besoins
indispensables à l'Homme et à sa survie : se nourrir,
respirer, se reproduire, ...
· Les besoins secondaires,
également appelés besoins matériels, sont
des besoins dont la satisfaction n'est pas vitale. Parmi eux on trouve le
besoin de mobilité, de se vêtir, d'aller au cinéma, de
rencontrer du monde.
· Les besoins fondamentaux correspondent
aux besoins proprement humains tels que aimer (amitié), donner
du sens (
philosopher),
être heureux, etc.
Diverses classifications des besoins existent et parfois une
même dénomination peut désigner deux catégories de
besoins totalement différentes. Il est par exemple ici fait
référence aux besoins fondamentaux comme étant des besoins
d'ordre philosophique, tandis que d'autres dénominations
définissent les besoins fondamentaux comment étant des besoins
primaires (voir Les
Quatorze
besoins fondamentaux selon Virginia Henderson).
Les quatorze besoins
fondamentaux représentent un modèle conceptuel en
sciences humaines
et notamment en
soins infirmiers. Ils
font partie des
courants
de pensée infirmière et sont proposés par
Virginia
Henderson depuis 1947. La vision de l'interdépendance des besoins
humains et de leurs satisfactions, issue de la pratique de Virginia Henderson,
est fortement marquée par le courant
behavioriste.
Enseigné durant les
études
en soins infirmiers, le concept des quatorze besoins fondamentaux se base
notamment sur l'expérimentation personnelle37(*).
Description du modèle
Selon le modèle de
Virginia
Henderson, les besoins fondamentaux de l'être humain
peuvent être classés selon une liste ordonnée que les
professionnels
de santé utilisent lors des soins d'une personne
malade ou en bonne
santé.
Virginia Henderson établit son classement se basant sur
une
vision paradigmatique, par
une approche à la fois biologique et physiologique (les
besoins primaires,
homéostasie),
psychologique et sociale (les
besoins
secondaires), et même spirituelle (
bien-être,
besoin
tertiaire et
développement
personnel).
Le modèle présenté inclut la notion de
satisfaction du besoin, c'est-à-dire la
capacité et la
motivation de combler une
perte, de maintenir ou d'améliorer un état. Selon le
modèle, un besoin ne peut être atteint que si les besoins en amont
sont déjà satisfaits.
Cette vision schématique du fonctionnement et des
besoins humains est un guide
pour le soignant. La grille des quatorze besoins est aussi utilisée pour
établir l'
anamnèse
d'une personne ou un
recueil
de données infirmier, lorsqu'elle est demandeuse de
soins, notamment
de
soins
infirmiers38(*).
Classification des besoins39(*)
1. Respirer,
Boire et
manger.
Capacité d'une personne à maintenir un niveau
d'échanges gazeux suffisant et une bonne oxygénation.
Capacité d'une personne à pouvoir boire ou manger, à
mâcher et à déglutir. Également à avoir faim
et absorber suffisamment de nutriments pour capitaliser l'énergie
nécessaire à son activité.
2. Éliminer,
Se
mouvoir, et maintenir une bonne posture et maintenir une
circulation
sanguine adéquate. Capacité d'une personne à
être autonome pour éliminer selles et urine et d'assurer son
hygiène intime. Également d'éliminer les déchets du
fonctionnement de l'organisme.
Capacité d'une personne de se déplacer seule ou
avec des moyens mécaniques, d'aménager son domicile de
façon adéquate et de ressentir un confort. Également de
connaître les limites de son corps.
3. Dormir, se
reposer, Se vêtir et se
dévêtir.
Capacité d'une personne à dormir et à se
sentir reposée. Également de gérer sa fatigue et son
potentiel d'énergie.
Capacité d'une personne de pouvoir s'habiller et se
déshabiller, à acheter des vêtements. Également de
construire son identité physique et mentale.
4. Maintenir sa température corporelle dans la limite
de la normale, Être propre, soigné et protéger ses
téguments.
Capacité d'une personne à s'équiper en fonction de son
environnement et d'en apprécier les limites. Capacité d'une
personne à se laver, à maintenir son niveau d'hygiène,
à prendre soin d'elle et à se servir de produits pour entretenir
sa peau, à ressentir un bien-être et de se sentir belle.
Également à se percevoir au travers du regard d'autrui.
5. Éviter les
dangers,
Communiquer avec ses
semblables.
Capacité d'une personne à maintenir et
promouvoir son intégrité physique et mentale, en connaissance des
dangers potentiels de son environnement.
Capacité d'une personne à être comprise et
comprendre grâce à l'attitude, la parole, ou un code.
Également à s'insérer dans un groupe social, à
vivre pleinement ses relations affectives et sa sexualité.
6. Agir selon ses
croyances et ses valeurs,
S'occuper en vue de se réaliser.
Capacité d'une personne à connaître et
promouvoir ses propres principes, croyances et valeurs. Également
à les impliquer dans le sens qu'elle souhaite donner à sa vie.
Capacité d'une personne à avoir des
activités ludiques ou créatrices, des loisirs, à les
impliquer dans son auto-réalisation et conserver son
estime de soi.
Également de tenir un rôle dans une organisation sociale.
7. Se divertir, se
récréer et Apprendre.
Capacité d'une personne à se détendre et
à se cultiver. Également à s'investir dans une
activité qui ne se centre pas sur une problématique personnelle
et d'en éprouver une satisfaction personnelle.
Capacité d'une personne à apprendre d'autrui ou
d'un événement et d'être en mesure d'évoluer.
Également à s'adapter à un changement, à entrer en
résilience
et à pouvoir transmettre un savoir.
En tout état de cause, ces distinctions sont
essentiellement subjectives et dépendent des individus et du contexte
social. Par exemple, un logement chauffé et muni de l'eau courante est
considéré comme un besoin fondamental dans les
sociétés occidentales développées, alors que ce
n'est même pas considéré comme un besoin secondaire par les
tribus nomades d'Afrique ou d'Asie.
Le psychologue américain
Abraham Maslow a
émis une théorie classant les besoins de manière
hiérarchique qui peuvent être représentés sous la
forme d'une
pyramide. Selon
cette théorie nous chercherons d'abord à satisfaire chaque besoin
d'un niveau donné avant de penser aux besoins situés au niveau
immédiatement supérieur de la pyramide40(*).
2.2. La théorie de
la motivation et des besoins, et son application au monde de l'entreprise
Au cours de sa carrière, Maslow s'est
intéressé principalement aux
motivations
« supérieures » de l'homme dans sa hiérarchie
(l'accomplissement de soi) et aux états de plénitude
(expériences paroxystiques), ainsi qu'aux fondements de la santé
psychique.
Sa hiérarchie des besoins signifie que l'homme
n'atteint le plein développement de son psychisme que s'il est satisfait
sur tous les plans : physiologie, sécurité, amour
(appartenance), estime (reconnaissance) et accomplissement de soi (
créativité)
Cette hiérarchie est généralement
représentée sous la forme d'une pyramide qui, de la base au
sommet, distingue cinq niveaux de besoins :
v À la base, les besoins physiologiques (tels que la
faim, la soif) ;
v Ensuite, les besoins de sécurité et de
protection (tels que le désir d'un toit ou d'une bonne
assurance) ;
v Puis viennent les besoins d'appartenance, besoins sociaux
qui reflètent la volonté de faire partie d'une famille, d'un
groupe, d'une tribu ;
v Ensuite arrivent les besoins d'estime de soi (qui permettent
de se regarder dans le miroir le matin) ;
v Enfin, apparaissent au sommet de la hiérarchie, les
besoins d'auto-accomplissement (qui renvoient au désir de se
réaliser soi-même à travers une oeuvre, un engagement).
La pyramide qui a été attribuée à
Maslow représente mal la richesse de son analyse, et surtout trahit la
vision dynamique qu'il avait des besoins dans la construction de la
personnalité41(*).
De plus, si Maslow est très connu dans le domaine du
management, ses recherches concernaient la psychologie générale,
et ce sont ses successeurs qui ont appliqué ses conclusions à la
sphère de l'entreprise. Lui-même n'a écrit que des notes
à ce sujet, où il est peu question de motivation, mais beaucoup
plus de la société adéquate et de l'Eupsychie (ou
santé psychologique).
Maslow estime que les besoins élémentaires
(physiologiques et de sécurité) étant satisfaits, la
personne cherche ensuite à satisfaire les autres besoins d'ordre
supérieur de façon à alimenter sans cesse les motivations.
Un besoin d'ordre supérieur ne peut être satisfait que si les
précédents le sont. Ainsi, pour appliquer ce modèle au
monde professionnel, rien ne sert de vouloir motiver les salariés au
niveau de l'estime et de l'accomplissement, si des menaces de licenciements
portent atteinte à la sécurité et si les salaires ne sont
pas suffisants pour satisfaire pleinement les besoins physiologiques.
Maslow tient finalement un discours optimiste dans la mesure
où il considère qu'il est possible que les salariés
puissent, dans leur travail, s'accomplir, se réaliser, pourvu que le
management soit participatif (cf. théorie de
Douglas
McGregor).
Maslow propose une étude sociologique de la
spiritualité
dans laquelle il classifie avec beaucoup de finesse les différentes
manifestations paroxystiques, telle que la
révélation.
Sa démarche est celle d'un scientifique qui approche globalement une
dimension du fait religieux de manière macroscopique, soit comme un
sociologue ou même comme un ethnologue, et qui use ensuite d'une analyse
psychologique pour aborder l'échelle microscopique de
l'expérience paroxystique. Cette démarche n'est pas sans rappeler
celle de
Stanley Milgram.
Un propos souvent cité et qui lui est attribué
est: « If the only tool you have is a hammer, you tend to see
every problem as a nail 42(*)»
Littéralement « Si le seul outil que vous
avez est un marteau, vous tendez à voir tout problème comme un
clou », souvent traduit par « Tout ressemble à un
clou pour qui ne possède qu'un marteau ». Ce propos
stigmatisant la déformation professionnelle est aussi
attribué à
Paul Watzlawick.
2.2.1. Pyramide des besoins de
Maslow
Bien qu'il soit question de pyramide dans cet
article, il est a noter que jamais Maslow n'a mentionné que son
modèle constituait une pyramide. En effet, Maslow parlait plutôt
de hiérarchie des besoins.
La pyramide des besoins schématise une
théorie élaborée à partir des
observations
réalisées dans les années
1940 par le
psychologue
Abraham Maslow sur la
motivation. L'article
où Maslow expose sa théorie de la motivation, A Theory of
Human Motivation, est paru en
1943. Il ne représente
pas cette hiérarchie sous la forme d'une pyramide, mais cette
représentation s'est imposée dans le domaine de la
psychologie du
travail, pour sa commodité. Maslow parle, quant à lui, de
hiérarchie,
et il en a une vision dynamique.
La
pyramide est
constituée de cinq niveaux principaux. Selon Maslow, nous devrions
rechercher d'abord à satisfaire chaque
besoin d'un niveau
donné avant de penser aux besoins situés au niveau
immédiatement supérieur de la pyramide. Par exemple, il est
préférable de rechercher à satisfaire les besoins
physiologiques avant les besoins de sécurité : c'est pour
cela que, dans une situation où notre survie serait en jeu, nous serions
prêts à prendre des risques.
Source:
http://www.marketing-strateque.com/pyramide
-de-Maslow.htm
1. Besoins physiologiques
On nomme
besoins
physiologiques ceux liés au maintien de l'
homéostasie
de l'
organisme
(respirer, boire, faire ses besoins, manger, dormir, se
réchauffer) : la régulation des grands équilibres
biologiques
nécessaires au maintien d'un état de
santé physique.
Nécessaires à la survie de la personne, ils sont impérieux
(
faim, soif43(*)) et peuvent l'emporter sur la
conscience s'ils ne sont
pas satisfaits.
La présence à ce niveau du besoin de
procréer est sujette à discussion. Celui-ci, utile pour l'
espèce, ne semble
pas nécessairement présent chez tout
individu, ce qui fait que
les interprétations divergent.
2. Besoin de
sécurité
Les besoins de sécurité sont ceux qui sont
liés à l'aspiration de chacun d'entre nous à être
assuré du lendemain physiquement comme moralement. Ils recouvrent le
besoin d'un abri (
logement, maison), la
sécurité des revenus et des ressources, la sécurité
physique contre la violence (
délinquance,
agressions, etc.), la sécurité morale et psychologique, la
stabilité familiale ou, du moins, une certaine sécurité
affective et la
sécurité
sociale (santé).
On remarquera que la satisfaction des aspirations à la
sécurité comme à la satisfaction des besoins
physiologiques sont inscrits dans les
droits de
l'homme; Cela ne signifie pas pour autant que tout État soit
déjà en mesure de faire respecter totalement ces droits. Ils
orientent cependant en principe les politiques à moyen terme, et sont
inscrits dans les
Constitutions de
certains d'entre eux.
3) Besoin affectif
d'appartenance
Parfois qualifié de « besoin de
reconnaissance sociale », le besoin d'appartenance à une
famille ou à un
groupe social
[1]
se traduit par la recherche de
communication et
d'expression. Ce besoin d'
intégration
dans le lien social va de pair avec le besoin de reconnaissance et de
considération. Le besoin d'amour doit pouvoir être pris en
considération. Il passe par l'identité propre (nom,
prénom), le besoin d'
aimer et d'être
aimé, d'avoir des relations intimes avec un conjoint (former un couple),
d'avoir des
amis, de faire partie
intégrante d'un groupe cohésif, de se sentir accepté et,
conséquence logique, de ne pas se sentir seul ou rejeté.
Ce besoin se manifeste par le comportement parfois
atavique ou
grégaire de
l'être humain. La très grande majorité des individus ne
pourrait pas vivre sans autrui, les expériences de solitudes montrent
bien les désordres psycho-affectifs, comportementaux auxquels on expose
un individu esseulé trop longtemps. La privation d'autrui chez
l'être humain est du même ordre que la privation de sommeil trop
longtemps, elle tend à faire devenir folle la personne qui s'y trouve
plongée. Les peines d'isolements, mitard ou autre, font partie des
peines les plus dures qui soient, et sans doute les plus dangereuses pour un
individu.
4) Besoin d'estime personnelle
L'
Homme a besoin de
développer une
estime de soi et de se
faire respecter par les autres (estime des autres)44(*)
. Il
a besoin de s'occuper pour être reconnu, avoir une activité
valorisante qu'elle soit dans le domaine du travail, ou dans celui des loisirs.
Il s'agit en particulier du besoin de se réaliser, de se valoriser
(à ses propres yeux et aux yeux des autres) à travers une
activité. L'être humain a aussi besoin de faire des projets,
d'avoir des objectifs, des opinions, de pouvoir exprimer ses idées.
5) Besoin d'épanouissement
personnel
Le besoin d'accomplissement d'une oeuvre ou d'un engagement
consiste à permettre à sa
personnalité
de s'épanouir et à se montrer capable d'accomplir tout son
potentiel : « Ce qu'un homme peut être, il doit le
devenir »45(*).
Mais pour parvenir à ce « besoin de
réalisation », il convient de bien maîtriser l'ensemble
des besoins précédents.
6) Distinction entre
« besoin » et « désir »
Le besoin est exprimé par le
cerveau inconscient sous
forme d'une
émotion qui en
signale la présence et la satisfaction ou la non satisfaction, tandis
que le désir est exprimé par le cerveau conscient sous forme de
mots ou d'actes libres. Par exemple, tout individu a
besoin de survivre en cas
d'attaque, par la contre attaque ou la fuite (actions inconscientes ou
instinctives). En revanche, vouloir posséder une moto est un
désir.
La vente utilise des techniques différentes pour
combler le besoin ou le désir. Le besoin est un sentiment de manque ou
de privation accompagné d'un désir de le voir disparaitre.
Certains auteurs préconisent donc une nouvelle
hiérarchie, non pas basée sur le
besoin mais sur le
désir, et donc
parler de demande46(*).
2.3. La performance
La performance de l'entreprise est fondée sur le couple
valeur-coût. Les deux termes sont indissociables car il ne s'agit, ni de
minimiser les coûts, ni de maximiser la valeur produite (réponse
aux besoins d'un client ou d'un groupe social), mais d'optimiser le rapport
entre les deux.
On peut définir la performance dans l'entreprise comme
étant tout ce qui, et seulement ce qui, contribue à
améliorer le couple valeur-coût, c'est-à-dire à
améliorer la création nette de valeur. Par contre, l'action qui
contribue à diminuer le coût ou à augmenter la valeur,
isolement, n'est pas forcement une performance sauf si cela améliore le
ratio valeur/coût ou le solde valeur -coût47(*). Cependant, le couple
valeur-coût n'apparaît que lorsque des produits et des services
sont mis en vente. Il apparaît donc trop tard pour aider à piloter
les activités de l'entreprise. Alors, pour contribuer à
l'amélioration du couple valeur-coût, il faut d'abord traduire ce
couple en éléments d'appréciation plus tangibles
c'est-à-dire décrire en termes globaux comment l'entreprise dans
son ensemble crée et créera de la valeur en offrant quels
produits et services, à quels clients, en assumant quelles
activités en interne ...
Il faut donc traduire le couple valeur-coût en
objectif stratégiques plus concrets et d'en concevoir les
évolutions futures. C'est à partir de ces objectifs
stratégiques qu'on tentera de définir des règles d'action
concrètes dans les diverses activités de l'entreprise.
2.3.1Comment mesurer la
performance générale d'une entreprise48(*) ?
La performance se mesure par le fait qu'à l'issue du
processus de production, l'entreprise soit rentable
· Productivité et ratios généraux
d'estimation de la rentabilité
· Le compte de résultat
La performance de l'entreprise se traduit alors dans le
résultat boursier
· Le bilan
· Analyse directe de la performance à travers
l'évolution boursière
Face à l'incomplétude des indicateurs
quantitatifs de la performance émergent de nouveaux critères
qualitatifs
· Imperfection du calcul financier de la performance
· La performance se mesure également à
l'aune d'autres agents que les dirigeants ou les actionnaires.
2.3.2. Performance des
employés
La performance des empoiyes sera de 25% à 40%
superieure, si la motivation des empoiyés est superieure. La competence
d'un emploiyé est en fonction de l'individue (personnalité,
habilités et éducation) de son environnement de travail (climat
de travail) et de l'encadrement dont il dispose (système de gestion et
superieure imédiat).
Force nous est de constater que performance d'empoyé
dépend de plusieurs facteurs non seulement de l'individu. D'où
cette formule49(*) :
Performance = Motivation X Compétence + Outils
|
2.3.3. La performance globale
d'une entreprise:
La performance globale est definie « comme une
visée (ou un but) multidimensionnelle, économique, sociale et
sociétale, financière et environnementale, qui concerne aussi
bien les entreprises que les sociétés humaines, autant les
salariés que les citoyens 50(*)»
La performance a longtemps été réduite
à sa dimension financière. Cette performance consistaità
réalisé la rentabilité souhaitée par les
actionnaires avec le chiffre d'affaires et la part de marché qui
préservaient la pérennité de l'entreprise. Mais depuis
quelques années, on est schématiquement passé d'une
représentation financière de la performance à des
approches plus globales incluant des dimensions sociale et environnementale.
D'autres acteurs (appelés parties prenantes) ont fait leur apparition et
la notion de performance a connu un regain d'usage. A présent, la
pérennité des entreprises ne dépend plus uniquement de
l'aspect financier de leurs activités, mais également de la
manière dont elles se conduisent. Dès lors, la
responsabilité des entreprises s'élargit, elle ne se limite plus
aux seuls actionnaires, mais intègre d'autres parties prenantes
(associations, ONG, syndicats, clients, fournisseurs, ...). Ces nouveaux
acteurs exigent d'être entendus et cette écoute devient une cible
vitale pour la performance et la pérennité des entreprises. C'est
dans ce contexte qu'apparaît le concept de performance globale.
La performance a longtemps été réduite
à sa dimension financière. Cette performance consistait à
réaliser la rentabilité souhaitée par les actionnaires
avec le chiffre d'affaires et la part de marché qui préservaient
la pérennité de l'entreprise. Mais depuis quelques années,
on est schématiquement passé d'une représentation
financière de la performance à des approches plus globales
incluant des dimensions sociale et environnementale. D'autres acteurs
(appelés parties prenantes) ont fait leur apparition et la notion de
performance a connu un regain d'usage. A présent, la
pérennité des entreprises ne dépend plus uniquement de
l'aspect financier de leurs activités, mais également de la
manière dont elles se conduisent. Dès lors, la
responsabilité des entreprises s'élargit, elle ne se limite plus
aux seuls actionnaires, mais intègre d'autres parties prenantes
(associations, ONG, syndicats, clients, fournisseurs, ...). Ces nouveaux
acteurs exigent d'être entendus et cette écoute devient une cible
vitale pour la performance et la pérennit51(*).
CHAPITRE 3 : CHOIX DES
METHODES ET TECHNIQUES DE RECHERCHE.
3.1. Methodologie de la
recherche
Une étude n'est scientifique que dans la mesure
où elle adopte une démarche méthodologique
appropriée pour parvenir à ses fins. C'est ce qui fait dire
à Loshar et Chevalier : « Les méthodes sont les
différents procédés d'analyse susceptible de conduire
à une explication des phénomènes
observés ».52(*)
3.1.1 Les techniques
Pour avoir les données de recherche, nous avons fait
recours à quelques techniques qui nous ont été utiles.
Certains auteurs notamment Pinto et Grawitz défissent les techniques
comme étant les outils mis à la disposition de la recherche et
organisés par la méthode dans ce but53(*).
3.1.1.1 La technique
documentaire
Le recours à la technique documentaire (observation
indirecte), nous à permis d'exploiter la documentation écrite qui
a paru sur le problème ou sur les problèmes
connexes à notre objet d'étude: Bélanger, Jacques, et
Christian Thuderoz. « La recodification de la relation d'emploi »,
Bourque, Reynald. « Coopération patronale-syndicale et
réorganisation du travail », Lévesque, Christian, et Gregor
Murray. « La régulation paritaire du changement à
l'épreuve de la mondialisation, les revues, mémoires, Travail de
Fin de Cycle, etc. Quant à l'utilisation de la documentation disponible
sur Internet, il est à noter que l'essentiel a été fait
pour enrichir les réflexions se rapportant à notre question
spécifique.
3.1.1.2. La technique
d'observation
Nous avons organisé une descente sur terrain pour
pouvoir observer de nos propres yeux ce que les emloyés de la CORAR S.A
travaillent et leur mode de vie pour leur milieu de travail et voir le niveau
de participation et son degré de motivation auquel ils vivent et en plus
voir leur contribution sur la productivité.
3.1.1.3. La technique
d'interview
Nous avons mené un entretien avec les responsables de
quelques branches de la CORAR S.A et avec quelques membres de leur personnel
pour ecouter leur emotion bouche à oreil pour approuver la
realté.
La méthode est définie comme l'ensemble
ordonné de principes, des règles et des opérations
intellectuelles permettant de faire l'analyse en vue d'atteindre un
résultat.54(*)
3.1.1.4. Technique d'enquete
par questionnaire
D'après Mucchieli, « un questionnaire est une
suite de propositions ayant une certaine forme et un certain ordre, sur
lesquelles on sollicite l'avis ou le jugement d'un sujet
interrogé. »55(*)
La technique d'enquête par questionnaire dont nous avons
fait recours, nous a permis de récolter les données
inhérentes à notre travail en vue de concrétiser le
sondage.
3.1.1.5. Technique d'enquete
par échantillon
Un échantillon occasionnel a été
tiré parmi les employés de la CORAR dans le pays pour
étudier quelques cas son ensemble dont des groupes humains
concernés par l'enquête.Ainsi, notre population d'étude est
constituée des employés de la siège de de quelque branches
de CORAR S.A. dans la ville de Kigali. Nous avons pris 40/70 employés
comme échantillon, mais notre échantillon n'est pas pris au
hasard, il y a un technique qui nous aidé pour son détermination
dont la formule : N= B/Cq, B : budget en disposition d'enqueteur,
C : cout du quesionnaire, N : nombre d'échantillon inconnu
Activités
|
Dépenses en FRW
|
Transport
|
10000
|
Cout du questionnaire
|
1250
|
Frais de communication
|
1000
|
tretement de memoir
|
15000
|
Autres
|
12750
|
Imprevus
|
10000
|
Total
|
50000
|
En observant ce tableau comprenant les activités et
leurs prix qui sont reparties suivant notre budget total de 50.00 Frw, donc
suivant la formule demontée làdessus, dont E = B/Cq, avec nos
depenses nous avons : B = 50. 000, et Cq = 1250, E = 50.000 / 1.250 =
40.
3.2. Les
méthodes
Nous concevons la méthode dans son sens strict qui est,
selon Georges Lapassade et René Lourou : « l'ensemble des
procédés d'interprétation des données, des
procédés d'intervention qui influent aussi sur la collecte des
données »56(*)
Pour notre travail de recherche, nous aurons jugé bon
de recourir aux méthodes suivantes:
3.2.1. La méthode
analytique
Elle nous a permit de faire une analyse minutieuse
systématique de toutes les données et les informations
récoltées. Elle insiste sur chaque cas et considère les
choses dans les choses dans leurs détails plus tôt que dans son
ensemble57(*).
3.2.2. La méthode
synthétique
Par cette méthode, nous avons pu
synthétiser et globaliser les éléments de réponses
en un ensemble cohérent ; Pour mieux expliquer l'objet de notre
étude, nous nous sommes aussi appuyé beaucoup sur :
3.2.3. La méthode
structuro fonctionnelle
Imaginée entre autre par le sociologue américain
Talcott PARSON, cette méthode vise à imprimer dans l'esprit du
chercheur les quatre impératifs fonctionnels indispensables au maintien
de tout système : il s'agit d'AGIL, c'est à dire :
A : adaptation (à l'environnement), G : goal
atteignement (réalisation des objectifs), I : intégration , L :
lattent maintenance and tension management (résolution des tentions).
Cette méthode nous a permis de considérer la
réalité sociale étudiée comme une catégorie
analytique posée à priori, lequel doit être
conceptualisé dans son ensemble.
Selon le schéma parsonien. Cette méthode nous a
permis de considérer la réalité sociale
étudiée comme une catégorie analytique posée
à priori, lequel doit être conceptualisé dans son ensemble.
Ainsi nous avons pensé que la hausse de la productivité à
la CORAR s'explique par l'amelioration de motivation lié à une
gratification des actions posées par les employés par les
dirigeants de cette entreprise. Cette méthode nous a aidé
à comprendre aussi que la réalité sociale que nous
étudions est un ensemble de relations interpersonnelles définies
et médiatisée par un système de symboles communs,
structurés culturellement. En fin cette méthode nous a permis de
discerner les facteurs qui entretiennent l'adaptation à l'environnement,
la réalisation des objectifs, l'intégration et ceux qui
entretiennent le maintien de la cohérence du système de valeurs
et la résolution des tensions.
3.2.4 La méthode
comparative
Selon GRAWITZ.M, la méthode comparative est
«l'operation par laquelle on relie plusieurs objets dans un même
acte de penser pour en dégager les ressemblances et les
differences.»58(*)
Elle nous a aidé de comparer la production de
l'entreprise à l'aide des états financiers et chiffre d'affaire
présentés en terme d'année afin d'en apprecier la
performance de la société.
3.3. Présentation de
la CORAR s.a
3.3.1. Aperçu
historique de la CORAR S.A
La Compagnie Rwandaise d'Assurances et de Réassurance
CORAR S.A, est une société anonyme qui a été
créée à l'initiative de tous les diocèses et
quelques congrégations de l'Eglise Catholique au Rwanda. C'est lors de
l'Assemblée Générale constituante du 25 août 2000
qu'elle a officiellement vu le jour. Elle a été
enregistrée au registre de commerce en date 08/09/2000 sous le
No 1681/KIG. Les statuts qui régissent la
Société ont été publiés au Journal Officiel
de la République du Rwanda No 19 du 1er octobre
2000. La Compagnie a obtenu l'autorisation gouvernementale d'exploiter
officiellement les assurances le 11 avril 2002 par l'Arrêté
Présidentiel n° 25/01 du 04 décembre 2002.
Le capital social de la CORAR S.A est de 412.000.000 frw
entièrement libéré et représenté par
4 120 actions nominatives d'une valeur de 100 000 FRW chacune. La
CORAR S.A a 29 actionnaires que sont :
1. Conférence Episcopale du Rwanda Caritas Rwanda
Diocèse de KabgayiDiocèse de Butare, Diocèse de
Gikongoro ; Diocèse de Cyangugu, Diocèse de Nyundo,
Diocèse de Ruhengeri, Diocèse de Byumba , Archidiocèse de
Kigali, Diocèse de Kibungo, Congrégation des Frères
Maristes, Association des Religieux de la Compagnie de Jésus au Rwanda,
Société de l'Apostolat Catholique- SAC (Pères Pallottins),
Association « Missionnaires d'Afrique », Abizeramariya, Petites
Soeurs de Jésus, Soeurs Bernardines Cisterciennes d'Oudenouarde,
Pères du Sacré Coeur de Jésus et Marie de Kiziguro,
Association des Frères Joséphistes, Soeurs de la Vierge Marie du
Mont Carmel, Soeurs de Sainte Chrétienne, Association « Soeurs
Benebikira», Soeurs Hospitalières de Ste Marthe, Soeurs
Dominicaines de l'Annonciation, Soeurs d'Opbrakel (Soeurs de St François
d'Assise), Soeurs Missionnaires d'Apostolat catholique (Soeurs Pallottines),
Congrégation des Religieuses de l'Assomption, Vita et Pax in Christo
Jesu asbl.
Le siège social de la CORAR S.A se trouve
géographiquement dans la Ville de Kigali, District de Nyarugenge,
Secteur de Nyarugenge dans l'immeuble communément appelé
ØCentenary HouseØ, place de la Constitution.
3.3.2. Mission et objectifs de
la CORAR S.A
La CORAR S.A a une double mission qui lui a été
assignée par ses fondateurs lors de sa création en août
2000, à savoir promouvoir le marché des assurances et aider
l'Eglise Catholique dans son apostolat59(*).
Pour réaliser ces missions la CORAR S.A doit effectuer
sur le territoire national et en tout autre pays :
· Toutes opérations présentes et à
venir d'assurances et de réassurance que les sociétés
d'assurances sont ou seront autorisées à effectuer ;
· Toutes opérations financières,
mobilières, tous apports en sociétés, souscriptions,
achats de titres ou de parts d'intérêts, toutes constitutions de
sociétés, toutes gestions ou représentations, toutes
autres opérations commerciales ou industrielles se rattachant
directement ou indirectement aux activités d'assurances et susceptibles
d'en faciliter la réalisation et le développement.
A travers sa mission, trois objectifs ont été
formulés pour cette compagnie d'assurance. Il s'agit de :
- Contribuer au développement global du pays ;
- Offrir des services d'assurances de qualité et
- Contribuer aux finalités sociales et caritatives de
l'Eglise Catholique.
3.3.3. Contribuer au
développement global du pays
La CORAR S.A, en tant qu'oeuvre de l'Eglise Catholique, s'est
lancée dans des activités d'exploitation de l'industrie
d'assurances pour pouvoir participer activement à l'essor
économique de notre pays, notamment par le payement équitable et
exemplaire des impôts. C'est à ce titre que par en 2006, le RRA
lui a décerné un prix du meilleur contribuable60(*).
3.3.4. Dispenser des services
de qualité
La CORAR S.A s'efforce de dispenser un service de meilleure
qualité surtout en procédant à l'indemnisation rapide et
équitable des sinistres dans la ligne de sa devise (qualité,
rapidité, équité) et selon l'éthique
chrétienne de son propriétaire.
3.3.4.1. Contribuer aux
finalités sociales et caritatives de l'Eglise Catholique
Les bénéfices éventuels
dégagés. Au bout de l'exercice, dans la mobilisation des capitaux
fait à travers la commercialisation des produits d'assurances par la
CORAR S.A, contribuer au refinancement des oeuvres caritatives de l'Eglise
Catholiques notamment l'entretien ou la construction des hôpitaux et des
centres de santé, le développement de l'éducation et
l'appui aux nécessiteux à travers la CARITAS RWANDA qui participe
activement à la réduction de la pauvreté en soutenant
matériellement les gens démunis, en payant les études des
enfants et en faisant soigner les malades dépourvus de moyens financiers
suffisants.
3.3.4.2. Organisation
administrative de la CORAR S.A
Conformément aux statuts régissant la
société, la CORAR S.A est Administrée par un conseil
d'administration composé de 12 membres nommés par
l'Assemblée Générale des actionnaires pour un mandant de 3
ans renouvelables. Un collège de 2 commissaires aux comptes
nommés également par l'Assemblée Générale et
chargé de surveiller les opérations de la société
pour un mandant de 3 ans renouvelables61(*).
Le conseil d'administration, responsable de la gestion
quotidienne de la société, délègue une partie de
ses pouvoirs à la Direction Générale ; celle-ci
assure la gestion administrative, financière et technique de la
société ; elle met en exécution les décisions
du conseil d'administration et elle lui propose le recrutement du personnel aux
postes vacants et y participe. La Direction Générale est
assistée par 3 Directions dirigées chacune par un Directeur. Il
s'agit de la Direction Administrative et Financière la Direction
Technique et la Direction Commerciale. A cette Direction Générale
sont également rattachés le Secrétariat de Direction, le
Service juridique, le Service de l'Audit Interne, le Service Vie, le Service
Informatique et Compliance Office.
La Direction Administrative et Financières se subdivise
en trois services à savoir le Service Comptabilité, le Service
Budget et Trésorerie et le Service Administratif chargé de la
gestion des ressources humaines et de la logistique.
La Direction Commerciale se subdivise en quatre services qui
sont le Service Production, le Service Marketing, le Service Maladie et le
Service Coordination des Agences
3.3.5. Organigramme de la
CORAR S.A (Voir sur l'annexe de ce travail)
CHAPITRE 4. ANALYSE ET
INTERPRETATION DES DONNEES
4.1. Analyse et
interpretation des donnees.
4.1.1. Caracteristiques
sociodemographiques
Nos enquetes presentesnt des caracteristiques
sociodémographiques variées.
Les tableaux suivants récapitulent et
synthétisent ces caracteristiques qui sont les suivantes : le sexe,
l'age, le niveau d'etude, le statut matrimonial, l'experience de travail, et la
catégorie professionnelle.
Ces ces caractéristiques differentes nous ont
aidées à analyser, à comprendre et à expliquer les
differentes motivations et ses effets sur la productivité de la
CORAR.
4.1.2. Description des
enquetés selon le sexe
Les hommes et les femmes presentent des caracteristiques
phsiologiques et psychologiques naturellement differentes. Ces differences font
que leurs perceptions et leurs comportements vis-à-vis du travail sont
aussi différents.
Tableau 1:
Répartition des enquetés selon le sexe
Sexe
|
Effectifs
|
Pourcentage
|
Masculin
|
24
|
60%
|
Féminin
|
16
|
40%
|
TOTAL
|
40
|
100%
|
Source : Par nous même,
enqueté en Juin 2011.
Il ressort du tableau ci-haut que les employés de sexe
masculin representent les effectifs de 24 sur 40, soit 60% du sexe masculin,
tandis que de sexe feminin sont au nombre de 16, soit 40%. Nous remarquons que
l'effectif des hommes est plus élevé que ce lui des femmes.
4.1.3. Répartition des
personnes enquetées selon l'age
L'age est un facteur important qu'il faut beaucoup tenir en
compte dans une recherche axée sur le travail. La motivation
étant une dimension essentiellement psychologique du travail, la
consideration du facteur age s'avère indispensable dans l'explication de
la relation existant entre la motivation des employés et la
productivité.
Tableau 2:
Répartition des personnes enquetées selon leur age
Ecart d'age/ en années
|
Effectifs
|
pourcentage
|
20-35
|
22
|
55%
|
36-45
|
10
|
25%
|
46-55
|
8
|
20%
|
Total
|
40
|
100
|
Source : Notre enquete,
Juin2011.
En lisant le tableau ci-déssus, nous constatons que les
employés se repartissent dans les tranchess d'age de manière
suivante :
§ Entre 20 et 35 ans, nous avons 22 employés sur
40, soit 55%,
§ Entre 36 et 45 ans, nous avons 10 enployés sur
40, soit 25% ;
§ Entre 46 et 55 ans, 8 sur 40 emloyés, soit
20%.
Ces chiffres s'expliquent comme suit : les effectifs les
plus élevés trouvables dans les tranches d'age jeunes sont dus au
fait que la plus part de la population rwandaise est jeune, en suite les
entrepreneurs ont tendance à recruter le sang neuf dans le cadre de
renforcer la pérennité de leurs entreprises.
4.1.4. Description des
enquetes selon le niveau d'rtude
Le niveau d'étude est un facteur incontournable dans
l'analyse et la description des comportements humains en milieu de travail au
quel ceux-ci oprent. Les opinions, les tendances, et les perceptions sur la
motivation varient en fonction de leurs niveaux d'etude. Le tableau suivant
nous montre les niveaux d'etude académique suivant : A2, A1, A0, et
la maitrise.
Tableau 3:
Répartition des enquetés selon leur niveau d'etude
Niveau d'etude
|
Effectifs
|
En pourcentage (%)
|
Maitrise
|
3
|
7.5
|
A0
|
15
|
37.5
|
A1
|
13
|
32.5
|
A2
|
9
|
22.5
|
Total
|
40
|
100%
|
Source : Par nous meme dans notre
enquete Juin 2011.
En considerant le tableau cité la-déssus, nous
constatons que les employés ayant un niveau universitaire (A0, A1 et
maitrise) sont au nombre de 28, Soit 70% ; les producteurs subalternes
d'assurance A2 sont au nombre de 9 soit 22%.
Suivant les observations faites là-déssus
à partir de ces chiffres, nous pouvons dire que la CORAR est entrain de
se professionnaliser grace notamment l`informatisation de ses services par
l'utilisation des logiciels appropriés grace à la nouvelle
téchnologie mis emplance dans le système utilisé. Les
producteurs des primes d'assurances qui ont maitrisé ces logiciels
restent toujours irremplaçables.
4.2.1. Description des
enquetes selon le categorie professionnelle
La considération des catégories professionnelles
est aussi nécessaire dans l'analyse de la motivation dans ses relation
avec la productivité et la performance d'une entreprise, surtout que les
employés se trouvant dans une même catégorie ont tendance a
adopter des attitude presque similaires comparativement a ceux des
employés d'autres catégories.
Les catégories suivantes ont été
enquêtées :les cadres de direction, les subalternes.
Tableau 4:
Répartition des enquêtes selon leur catégorie
professionnelle
Catégorie professionnelle
|
Effectifs
|
Pourcentage (%)
|
Cadres de direction
|
12
|
30
|
subalternes
|
28
|
70
|
Total
|
40
|
100
|
SOURCE: Notre enquêtés,
Juin 2011
Il ressort du tableau ci-dessus que les subalternes sont au
nombre de 28 sur 40, soit 70% alors que les cadres de direction sont au nombre
de 12, soit 30%.
Comme dans toutes les entreprises, l'organisation est telle
que les cadres de direction sont un effectif réduit par rapport aux
producteurs subalternes. Notre échantillon comporte cependant un
effectif élevé de subalternes car nous voulions mettre l'accent
sur la motivation des emloyés subalterns (producteurs).
4.3. Impact de la
motivation du personnel de CORAR s.a sur sa productivite et sa performance.
Leurs indices sont repartis de
la manière suivante :
4.3.1. Satisfaction au
travail
Tableau 5: Opinions des
répondants sur la satisfaction au travail
Opinions
|
Effectif d'employes
|
Pourcentage (%)
|
Oui
|
24
|
60
|
Non
|
16
|
40
|
Total
|
40
|
100
|
Source: Notre enquête, Juin, 2011.
Le tableau ci-dessus nous montre que sur 40 personnes
enquêtées ,24 soit 60% déclarant être satisfaites par
leur travail, tandis que 16 soit 40% affirment ne pas être
satisfaites.
Si la satisfaction est une condition pour qu'il y ait
motivation, et si la motivation est une condition pour qu'il y ait
productivité et rendement, on peut alors se demander ce qu'il faut pour
que les 40%soient aussi satisfaites, donc plus motivées pour plus de
rendement.
Il est clair que lorsque la motivation est faible,
l'application au travail, l'enthousiasme et l'assiduité seront aussi
faibles. Par conséquent, la productivité, le rendement et la
performance vont aussi en souffrir.
4.3.2. Le niveau de
satisfaction dans CORAR S.A
Les indices de niveau de satisfaction sont repartis de la
manière suivante :
Tableau 6: Les niveaux de
satisfaction dans CORAR S.A
Niveau de Satisfaction
|
Effectif d'employes
|
Pourcentage (%)
|
De 1 a 3 (Tres bas)
|
6
|
15
|
De 4 a 6 (Moyen)
|
13
|
32.5
|
De 7 a 10 (Eleve)
|
21
|
52.5
|
Total
|
40
|
100
|
Source : Notre enquête sur
le terrain, juin 2011
Le tableau ci-dessus nous montre ce qui suit : Sur 40
personnes enquêtées, 21 soit 52.5% ont un niveau de satisfaction
comprise entre 7 et 10. Sur ces 40 personnes enquêtées, 13 soit
32.5%ont un niveau de satisfaction compris entre 4et 6 ; tandis que 6 soit
15% ont un niveau de satisfaction compris entre 1 et 3.
Les chiffres nous montrent que un peu plus de la moitie ont un
niveau de satisfaction d'une valeur estimable (entre 7 et 10).Cette
portion des ressources humaines ont une large part dans le bon rendement de la
CORAR S.A, et nous verrons dans les sections a venir les facteurs qui
déterminent cette satisfaction. Notre enquête nous a
révélé que les cadres de direction, les cadres moyens et
les producteurs représentent les catégories les plus satisfaites,
donc en principe les plus motivées.
Ce qui est un a tout non négligeable dans la gestion
des ressources humaines dans la mesure où ce sont les cadre de direction
et les cadres moyens qui pensent, conçoivent, planifient, organisent
exécutent et font exécutent les services, contrôlent
l'exécution des services et précédent a
l'évaluation du rendement et de la performance des services. Les
producteurs et les agents commerciaux sont quant eux les premiers
exécutants des services qui justifient même l'existence de la
CORAR S.A : les producteurs de contrats d'assurance, des produits, la
collecte de prime d'assurance.
Les employés dont le niveau de satisfaction se situe
entre 4 et 6, c'est-a-dire qui sont quasiment satisfaits se retrouvant
principalement dans la catégorie de subalternes et représentent
un taux non négligeable de 32.5%.
L'explication de ce taux tient du fait que les subalternes
dans l'entreprise CORAR S.A ont salaire qui ne leur permet pas de joindre les
deux bouts du mois et certains d'entre eux sont tentes par les
détournements du matériel CORAR S.A, ce qui visiblement a un
impact négatif sur le rendement et la performance de l'entreprise.
L'analyse des divers facteurs déterminants de la satisfaction au travail
va nous indiquer quelles sont les causes de cette quasi satisfaction qui, sans
doute est à la base de peu de performance et de peu de rendement.
4.3.3. Les facteurs
incitatifs stimuli inexistants ou insuffisants dans CORAR S.A (plans de
rémunération et avantages sociaux correspondants).
Les indices chiffrés explicant ceux-ci sont
intrepretés de la facon suivante :
Tableau 7: Opinions des
répondants sur l'importance des facteurs incitatifs ou
Stimulants
Facteurs incitatifs
|
Effectifs d'employés
|
Pourcentage ( % )
|
Facteurs matériels
|
7
|
17.5
|
Facteurs financiers
|
13
|
32.5
|
Facteurs humaines
|
20
|
50
|
Total
|
40
|
100
|
Source : Notre enquête sur le
terrain, Juin, 2011.
En faisant la lecture de ce tableau, nous constatons ce qui
suit : Sur 40 employés enquêtés, la moitié de
100% affirment que les facteurs humains ont une importance capitale dans
l'incitation et la stimulation des employés au travail.
Les facteurs matériels et financiers ont aussi une
importance non négligeable de 50% restante.
Parmi les réponses fournies par nos répondant
concernant les facteurs matériels et financiers ; nous avons
constate que les équipements dont l'entreprise CORAR S.A dispose sont
généralement du dernier cri a cause des processus de
privatisation et de mondialisation qui sont en cours. Cela motive le personnel
qui les utilise dans la mesure où les ressources humaines se voient
entrer et participer pleinement et activement dans l'ère de la
compétition technologique qui gagne partout du terrain.
Les facteurs financiers jouent aussi un rôle non
négligeable dans la mesure ou les salaires sont déterminés
en fonction des taches accomplies, et ou les valeurs comme l'efficience, la
responsabilité, la rationalité, la transparence et l'excellence
sont les premiers soucis de la direction générale.
4.3.4. Les facteurs humains et
organisationnels
Examinons les indices de ceux-ci à partir de tableau
suivant :
Tableau 8: Opinions des
répondants sur les facteurs humains et organisationnels
Facteurs
|
Effectif d'employes
|
Pourcentage (%)
|
Tenir en compte le statut et le contenu de l'emploi
|
30
|
75
|
Bon management de la direction generale
|
40
|
100
|
Objectifs clairs
|
34
|
85
|
Bonne definition des fonction
|
36
|
90
|
Atteinte des resultats
|
40
|
100
|
Bonne organisation
|
32
|
80
|
Qualite des services
|
40
|
100
|
Qualite des services
|
36
|
90
|
Rapidite des services
|
34
|
85
|
Source : Notre enquete sur le
terrain, juin 2011.
A la lecture de ce tableau, nous constatons que le bon
management de la Direction Générale, l'atteinte des
résultats ainsi que la qualité des services constituent aux yeux
de tous les répondants (100%), les premiers facteurs de motivation et
de satisfaction du personnel dans la catégorie des facteurs
organisationnels. La bonne définition des fonctions dans les divers
départements suit avec un taux de 85%. Viennent enfin le statut et le
contenu de l'emploi ainsi que la bonne organisation (structure) avec un taux de
75%.
Toutes les personnes enquêtées, soit 100% ont
été d'avis qu'un bon management assure par la direction
générale contribue grandement a la motivation des ressources
humaines. Parmi l'explication donnée par les intéressés
figurent notamment une bonne définition des fonctions et des taches
ainsi que leur bonne et judicieuse répartition.
Les services offerts par la CORAR S.A figurent aussi parmi les
éléments renforçateurs de motivation (les produits
d'assurances qui sont presque semblables à ceux fournies par d'autres
compagnies d'assurance, ils se different généralement aux normes
des qualités (efficacité, rapidité et l'equité
comme le slogan objectif de la Corar l'indique) exigées par la direction
générale de l'entreprise et sa clientèle. Le respect des
normes de qualité, quand il est double de l'atteinte de
résultats, les employés en constantt que le chiffre d'affaire de
celle-ci ne fait qu'accroitre du jour au jour, Ce facteur ne fait que renforcer
la motivation des ressources humaines.
4.3.5. Les facteurs humains et
psychosociaux
Ces facteurs sont interpretés à partir de de ces
indices donnes dans le tableau suivant :
Tableau 9: Opinions des
répondants sur les facteurs humains et psychosociaux
Facteurs
|
Effectif d'employes
|
Pourcentage
|
Prise en compte des aspects affectifs
|
36
|
90%
|
Developpement des performances
|
40
|
100%
|
Participation dans le processus de prise de decision
|
38
|
95%
|
Paroles d'encouragement
|
36
|
90%
|
Satisfaction des besoins fondamentaux
|
38
|
95%
|
Communication horizontale et verticale
|
36
|
90%
|
Diminution des facteurs stressants
|
40
|
100%
|
Récompenses et primes
|
38
|
95%
|
N.B: L'efffectif total d'employes est de 40
|
|
|
Source : Notre enquête sur
le terrain, Juin 2011.
L'observation du tableau ci-dessus nous montre que le
développement des performances et la réduction des facteurs
stressant constituent les facteurs des plus déterminants de motivation
et de satisfaction du personnel dans l'entreprise la CORAR S.A. en effet, 40
employés sur les 40 enquêtées, soit 100%, sont toutes
d'avis que ces deux facteurs on une très grande importance dans la
motivation et la satisfaction du personnel.
L'explication de ces attitudes qui penchent vers le
développement des performances et les réductions des facteurs
stressants reposent sur deux faits essentiels suivants : primo, les
personnels dont les connaissances professionnelles sont renouvellées
continuellement à l'assurance de l'exactitude de ce qu'il fait et il
est décomplexé dans le milieu professionnel. Ceci a des effets
palpables et significatifs sur la productivité. Serugo, le personnel qui
est protégé des facteurs stressants est a l'abri des maladies
consécutives au stress, notamment les troubles gastriques, intestinaux
et autres ; son rendement s'accroit en fonction de son moral au
travail.
La participation dans le processus de prise de
décision, la satisfaction des besoins fondamentaux ainsi que les
récompenses et primes viennent en second lieu avec un taux de 95% comme
facteurs motivants, donc comme source de satisfaction du personnel. La prise
en compte des aspects affectifs, les paroles d'encouragement, ainsi que la
communication horizontale et verticale viennent en troisième lieu comme
facteurs motivants avec un taux de 90%, ce qui n'est pas peu non plus.
Cependant, notre enquête nous a
révélé que la participation dans le processus de prise
des décisions est un droit qui est revendique par un bon nombre des
cadres moyens et des techniciens.
Les récompenses et les primes ne figurent pas non plus
parmi les moyens de motivation du personnel de CORAR S.A, même s'ils
bénéficient du pécule de congé quand les contrats
de performance le justifient. Les aspects affectifs non plus ne sont pas
considérés par la Direction General comme des stratégies
de motivation de première importance. De même que les paroles
d'encouragement et la communication horizontale et verticale.
4.3.6. Opinion des
répondants sur les indices quantitatifs de performance
Elles sont expliquées à partir de ce
tableau :
Tableau 10: Indices
quantitatifs de performance
Indices
|
Effectif des enployés equetés
|
pourcentage
|
Réclamations des clients
|
40
|
100
|
Taux de productivité/rentabilité
|
40
|
100
|
Réclamation pour défectuosités
|
26
|
65
|
Non respect de délais
|
30
|
75
|
Rotation du personnel
|
34
|
85
|
Importance des doléances ou réclamations
|
40
|
100
|
Nombre de sanctions disciplinaires
|
34
|
85
|
Source : Notre enquête sur
le terrain, Juin 2011.
En observant le tableau ci- dessus, nous constatons ce qui
suit : La totalité des répondants, soit 100%,
considèrent la réclamation des clients, le taux de
productivité, ainsi que l'importance des doléances ou
réclamations comme les principaux facteurs de motivation ou
démotivation. Le non respect des délais est mentionne par 75% de
répondants.
Notre enquête nous a révélé que
beaucoup de réclamations de la part de la clientèle
démotivent tous les personnel, que la diminution de la
productivité a des effets démotivants surtout chez les cadres
des directions et les cadres moyen, que les rotation du personnel sans l'accord
de tous les concernes démotivent le personnel, que les sanctions
disciplinaires sans fondement juste démotivent aussi le personnel
Les techniciens déplorent presque tous que les
petites fautes sont dramatisees.
4.3.7. Opinions des
répondants sur les indices qualitatifs de performance
Ces indices sont expliqués par les effectifs et en % de la
manière suivante :
Tableau 11: Indices
quantitatifs de performance
Indices
|
Effectif
|
Pourcentage
|
Leadership et climat de bons échanges et état
d'ésprit positif
|
36
|
90
|
Bonnes réalisations des subordonnes
|
40
|
100
|
Innovations
|
32
|
80
|
Conception par les intéressés de programmes de
développement personnel
|
40
|
100
|
Cohésion et cohérence
|
40
|
100
|
Source : Notre enquête sur
le terrain, Juin 2011.
L'observation du tableau ci-dessus nous
montre que les bonnes réalisations des subordonnes, la cohésion
et la cohérence, ainsi que la conception par les intéressé
de (100%) comme facteurs déterminants de motivation dans la
catégorie des indices qualitatifs de performance.
La leadership, le climat de bons échanges et
l'état d'éprit positif viennent en second lieu comme facteurs
motivants avec un taux de 90%, tandis que les innovations viennent en troisieme
position avec un taux de 80%.
Le fait que la totalité des répondants sont pour
les bonnes réalisations des subordonnes comme facteur motivants tient du
fait qu'un travail bien accompli a des effets suivants sur celui qui a
fait : il se sent fier, content et mieux considéré par son
employeur. En plus un travail bien accompli est un facteur socialisant par
excellence.
Plus les employés sont compétents habiles dans
l'exécution de leurs taches, plus la conception par les
intéressés de programmes de développement personnel est
valorisée par la Direction Générale et plus la motivation
des ressources humaines et leur incidence sur le rendement /performance d'une
entreprise publique, cas de la CORAR S.A, plus la cohésion des groupes
et la cohérence des décisions sont élevées.
4.3.8. Appréciation
des services donnés par la CORAR S.A
Tableau 12: Opinions des
répondants sur la qualité des services donnes par la CORAR
s.a
Facteurs
|
Effectif des employés
|
Pourcentage
|
Productivité
|
40
|
100
|
Capacité d'innovation
|
34
|
85
|
Ressources matérielles et financieres
|
34
|
85
|
Marketing
|
32
|
80
|
Efficacite et developement (du manager)
|
37
|
92.5
|
Performance et attitude (de l'employe)
|
40
|
100
|
Responsabilite à l' egard du public/clientele
|
40
|
100
|
Rentabilité
|
37
|
92.5
|
Source : Notre enquête sur le
terrain, Juin 2011
A la lecture du tableau ci-dessus, nous observons que, la
responsabilité a l'égard du public /clientèle, la
performance et l'attitude de l'employé, ainsi que la productivité
viennent en tête avec un taux de 100% comme facteurs
déterminants de motivation dans la catégorie de
l'énoncé des objectifs. L'efficacité et le
développement du manager et la productivité sont
mentionnées par 92.5% des répondants comme facteurs de
motivation.
La capacités d'innovation et les ressources
matérielles et financières sont désignées comme
facteurs de motivation a concurrence de 85%, tandis que le marketing l'est a
concurrence de 80%.
L'explication que nous faisons de ses chiffres et la
suivante : les répondants estiment que le fait pour les
employés de se sentir responsables vis-à-vis de la
clientèle joue un rôle déterminant dans leur motivation au
travail, de même que leur performance et leur attitude. Il est
évident que tant que les employés comprendront qu'il est de leur
devoir de rendre compte aux clients, ils se plieront à leur
volonté et accompliront efficacement leurs taches respectives.
4.4. Strategies de
motivation du personnel de la CORAR s.a
Elles sont possible grace à une pratique motivationnelle
expliquée par :
4.4.1. Intégration des
facteurs humains et socioprofessionnels dans la gestion de CORAR:
Ces facteurs sont donnés et interpretés à
l'aide des indices chiffrés donnés dans les tableaux
suivants :
4.4.1.1. L'environnement
physique du travail
Ce facteur est etudié à partir de ces indices
cités ci-déssous
Tableau 13: Opinions des
répondants sur l'environnement physique dans lequel ils travaillent
Opinions
|
Effectif
|
Pourcentage (%)
|
Tres propice au travail
|
22
|
55
|
Propice au travail
|
8
|
20
|
Peu propice au travail
|
6
|
15
|
Pas propice du tout
|
4
|
10
|
Total
|
40
|
100
|
Source : Notre enquête sur
le terrain, Juin 2011.
Au regard du tableau précédent, nous remarquons
que tout de même l'environnement physique du milieu de travail est
très propice au travail et un peu plus de la moitie des
répondants a 22 personnes sur 40 enquêtées.
Celles qui trouvent que l'environnement est propice son au
nombre de 8 sur 40, soit 15%. Celles qui ne la trouvent le milieu peu propice
sont au nombre de 4, soit 10% seulement.
Tant que le milieu du travail comporte des
éléments qui gênent ou ralentissent l'accroissement du
rendement. Les chiffres ci-dessus sont éloquents. On imagine ce que
serait le rendement de la CORAR S.A si le milieu du travail était
apprécié par 90% du personnel.
4.4.1.2. L'environnement
socioprofessionnel du travail
Il est etudié à partir des indices signalés
dans le tableau suivant :
Tableau 14: Opinions des
répondants sur l'environnement socioprofessionnel du
travail
Opinions
|
Effectif
|
Pourcentage (%)
|
Très motivant
|
17
|
42.5
|
Motivant
|
10
|
25
|
Peu motivant
|
8
|
20
|
Pas motivant du tout
|
5
|
12
|
Total
|
40
|
100
|
Source : Notre enquête sur
le terrain, Juin 2011
Il ressort du tableau ci-haut que : sur un total de 40
personnes enquêtées, 17 soit 42.5% considèrent que
l'environnement socio- professionnel est très motivant, 10 soit 25% le
trouvent motivant, 8 soit de ce tableau 20% le trouvant peu motivant, alors
que 5 seulement ne le trouvent pas motivant du tout.
L'explication de ce tableau suit la même logique que
celle du tableau précédent.
4.4.1.3. Capacités des
employés de la CORAR S.A de satisfaire les besoins primaires par le
salaire.
Ils sont interpreté à partir des indices
signalés dans le tableau suivant :
Tableau 15: Opinions des
répondants sur leur capacités de satisfaction des besoins
primaires grâce a leur salaire
Opinions
|
Effectif d'employes
|
Pourcentage (%)
|
Oui
|
31
|
77.5
|
Non
|
9
|
22.5
|
Total
|
40
|
100%
|
Source : Notre
enquête sur le terrain, Juin 2011
En lisant le tableau ci-haut, nous constatons que 31 personnes
enquêtées soit 77.5% parviennent a satisfaire leurs besoins
primaires grâce a leur salaire, alors que 9 personnes sur 40 soit 22.5%
ne parviennent pas à satisfaire leurs besoins primaires grâce a
leur salaire.
4.4.1.4. Les besoins
primaires satisfaits par le salaire
Il s sontt etudiés à partir des indices
indiqés dans le tableau suivant :
Tableau 16 :
Opinions des répondants sur les besoins primaires qu'ils parviennent
à satisfaire grâce a leur salaire.
Besoins satisfaits par le salaire
|
Effectifs
|
En pourcentage (%)
|
Je me suis construit un logement
|
16
|
40
|
Je paie le loyer mensuel sans difficultés
|
10
|
25
|
Je paie difficilement le loyer mensuel
|
14
|
35
|
Je nourris ma famille sans difficultés
|
33
|
82
|
J'habille ma famille sans difficultés
|
7
|
0.17
|
Je nourris difficilement ma famille
|
32
|
80
|
Je paie le minerval des enfants sans difficultés
|
32
|
80
|
Je paie difficilement le minerval des enfants
|
18
|
45
|
Je paie les soins de sante de ma famille sans
difficultés
|
36
|
90
|
Source : Notre enquête sur
le terrain, Juin 2011
Le tableau ci- haut nous montre les besoins qui sont
satisfaits grace au salaire et ils sont repartis de la manière
suivante : 36 répondants sur 40, soit 90% affirment qu'ils
parviennent a payer sans difficultés les soins de sante de leurs
familles respectives grâce au salaire.
Sur 40 personnes enquêtées, 33 soit 82.5%
parviennent a nourrir leurs familles sans difficultés, 32 personnes soit
80% parviennent a habiller leur familles respectives sans
difficultés ; 22 personnes soit 55% parviennent a payer le minerval
de leurs enfants sans difficultés ; 10 personnes soit 25%
parviennent a payer le loyer sans difficultés ; 14 personnes soit
35% payent difficilement le loyer, tandis que 16 personnes sur 40, soit 40% se
sont construit un logement grâce au salaire.
Sur 40 employés enquetes, 33 soit 82.5 parviennent
àmourir leurs familles sans difficultés, soit 32 employés
soit 80% parviennent à habiller leurs familles respectivement sans
difficultes ; 22 employessoit 55% parviennent à payer le minerval
de leurs enfants sans difficultes ; 10 employés soit 25% parvienner
à payer leur loyer sans difficultes, 14 employés soit 35% payent
difficilement le loyer, tandis que 16 personnes sur 40, soit 40% se sont
construit un logement grace au salaire pour ce qui est de la sante, les
repondants ont evoque la grande part des assurances maladies, notament MEDISANA
et la mutuelle de santé dans la facilitation de l'acquisition des soins
de santé. Les effets de ces rapports sur le rendement de la CORAR sont
faciles à prevoir.
4.5. La securité
d'emploi
Tableau 17: opinions des
agents de la CORAR sur la securité d'emploi
Le rendement et la performance de la CORAR dependent de
l'accroissement des numérateurs pour chaque indicateur de performance de
rendement.
Source : Par nous meme sur terrain Juin
2011
En analysant ce tableau ci-haut, nous constatons que 25
personnes sur 40 enquetées, soit 62.5% se sentent se
sécurité dans le poste d'emploi qu'ils occupent, alors que 15
personnes sur 40, soit 37.5% ne se sentent pas en sécurité dans
leur poste d'emploi. Ces chiffres nous rélevent que la
sécurité d'emploi n'est pas assurée comme il faut dans la
CORAR, cela signifie que les emloyés vivent avec l'inquietude soit,
d'etre muté, soit de changer de departement. Ces inquiétudes
influent absolument sur le rendement et la performance de la CORAR.
4.6. CORAR comme famille
socio professionnelles de ses agents
Voyons des reponses d'enquêtés à partir des
indices suivants :
Tableau 18: Opinions des
répondants sur la CORAR comme famille professionnelle.
Opinions sur la securité d'emploi
|
Effectif
|
Pourcentage (%)
|
Oui
|
25
|
62.5
|
Non
|
15
|
37.5
|
Total
|
40
|
100
|
Source : notre enquete sur terrain, Juin
2011
La lecture de ce tableau nous montre que 32 persones sur 40
soir 80% prennent l'entreprise CORAR comme leur famille, socioprofessionnelle,
au moment où 8 suelemt sur 40 ne la trouve pas comme leur famille
socioprofessionnelle.
L'attitude des employés de considérer la CORAR
comme famille socicioprofessionnelle influe aussi de manière
significativve sur sa productivité et sa performance dans la messure
où tout membre d'une familleoeuvre toujours en pricipepour la promotion
de cette famille.
4.7. Autonomie
professionnelle et d'autogestion dans un poste donné
Elle est interpreté grace aux réponses des
répondants enquetés comme le tableau ci-apres nous le
montre :
Tableau 19: Opinions de
repondants comme possesseurs d'une certaine autonomie professionnelle et
d'autogestion dans leur poste
Opinions des repondants
|
Effectifs
|
En %
|
Oui
|
17
|
42.5
|
Non
|
23
|
57.5
|
Total
|
40
|
100
|
Source : sur terrain Juin
2011.
En lisant le tableau ci-haut, nous constatons que 23 personnes
sur 40, soit 27.5 estiment qu'ellea n'ont pas d'autonomie professionnelle et
d'autogestion dans le poste d'emploi qu'elles occupent, alors que 17 personnes
sur 40, soit 42.5 estiment qu'elles sont en possession de l'autonomie
professionnelle et d'autogestion dans le poste d'emploi qu'elles occupent.
Tableau 20: Satisfaction
des employés
Opinions
|
Effectifs
|
Pourcentage
|
Tres satsfaisant
|
23
|
57.5
|
satisfaisant
|
8
|
20
|
Unpeu satsfaisant
|
6
|
15
|
Pas du tou satisgaisant
|
3
|
7.5
|
Total
|
40
|
100
|
Source : Sur terrain, Juin
2011.
En observant le tableau ci-haut, nous remarquons ce qui
suit : sur 40 personnes enquetées, 23soit 57.5% se sentent
estimés à un niveau satisfaisant sur leur lieu de travail,
personnes sur 40, soit 20% ne se sentent pas satisfait su tou.
L'estime dont bénéficie un employé sur
son milieu de travail le motive beaucoup dans la mesure où il est
rarement frustré par des situations frustrantes. Quand une
emloyé est par exemple solicité par ses superieurs poour
participer à une réunion de prise de décisions, il se
sent estimé et cela a une influence notoire sur le rendement et
productivité de l'entreprise. Par contre, lorsqu'est souvent
frustré par des situations qui ne le frusteraient pas s'il était
bien apprécié par ses colleugues ou par ses supérieurs.
Tableau 21:
Réalisation des objectifs personnels grace à
l'emploi.
Opinions
|
Effectifs
|
En %
|
OUI
|
28
|
70
|
Nom
|
12
|
30
|
Total
|
40
|
100
|
Source : sur terrain Juin,
2011
L'observation du tableau ci- dessus nous fait constater que 28
personnes su 40, soit 70% realisent leur objectifs personnel grace à
leur emploi, tandis que 12 personnes sur 40, soit 30% trouvent qu'elles ne
réalisent pas leurs objectifspersonnels grace à leur emploi.
4.9. Réalisation par l'individu de son
identité réelle et ses potentialités professjonnelles
grace à l'empoi.
Tableau 22: Opinions des
repondants sur la réalaisatin par individu de son identité
réelle et deses potentialités professionnelles grace à
l'emploi
Opinios
|
Effectifs
|
En %
|
Oui
|
30
|
75
|
Non
|
10
|
25
|
Total
|
40
|
100
|
Source : sur terrain en Juin
2011.
En observant le tableau ci- déssus, nous constatons que
30 personnes sur 10, soit 75%, estiment qu'elles parviennent à
réaliser leur identité réelle et leurs
potentialités professionnelles grace à keur emploi, alors 10
personnes sur 40, soit 25% de parviennent pas à réaliser leur
identité réelle et leurs potentialités professionnelles
grace à leur emploi.
4.10. Contribution de la
satisfaction personnelle à l'atteinte des objectifs.
Cet aspect est éxpliqué et interpreté
à partir des indices chifrés dans le tableau ci-bas:
Tableau 23: opinion des
repondants sur la contribution de la satisfaction personnelle à
l'atteinte des objectifs de la CORAR.
Opinions
|
Effectifs
|
En %
|
Oui
|
30
|
75
|
Non
|
10
|
25
|
Total
|
40
|
100
|
Source : notre enquete sur le
terrain Juin
En lisant le tableau ci-dessus nous fait consterque : sur
40 personnes enquetées, 23 soit 57.5% sont convaincues qu'elles
contribuent à l'atteinte des objectis la CORAR S.A. ainsi qu'àsa
performance grace à leur niveau de satisfaction personnelle, alors que
17 personnes soit 42.5 % croient que leur niveau de satisfaction personnelle
ne cotribue pas à l'atteinte des objectifs de la CORAR ainsi qu'a sa
performance.
Conclusion partielle
Dans ce chapitre, nous devions faire le point des
stratégies de motivation du personnel de la CORAR.
L'enquete que nous avons ménée a
révélé les faits suivants :
L'intégration des facteurs humains et
socioprofessionnels dans la gestion de la CORAR constitue aux yeux de la plus
part des repondants la stratégie le mieux indiquée pour
promouvoir la productivté, le rentabilité et la performance de
la CORAR.
Les indicateurs ci- après sont la manifstation
réelle de cette intégration.
L'environnement physique du milieu de travail est très
propice au travail selon un peu plus de la moitié des répondants,
soit 55% correspondants à 22 personnes sur 40
enquêtiée.Parmi les objectifs que les répondants affirment
avoir réalisé grace à leur emploi figurent notamment la
construction de leurs prpres maisons, l'achat d'un moyen de déplacement,
le payement de frais scolarité des enfants, l'accès au soins de
santé grace l'affiliation aux mutuelles de santé,
lacapacité de nourrir leurs famille et de les habiller. 75%, estiment
qu'elles parviennent à réaliser leur identite réelle et
leurs potentialitésprofessionnelles.
57.5% sont convaincues qu'elles contribuent à
l'atteinte de de objectifs de la CORAR ainsi qu'a saperformance grace à
leur niveau de satisfactionpersonnelle, alors que 42.5% croient que leur niveau
de satisfaction personnelle ne contribue pas à l'atteinte des objectifs
de la Corar ainsi qu'à sa performance : car disent-elles, elles ne
sont pas satisfait par les conditions socioprofessionnelles du travail.
Ainsi, l'hypothèse selon laquelle «Il faudrait
implanter les facteurs humains et socioprofessionnels dans le management de la
CORAR en vue de sa rentabilité et de sa performance, à savoir le
renforcement.des capacitésdes employés en octroyant les
formations professionnelles, les stages de perfectionnement, les voyages
d'etude, mettre un accès particulier de relations humaines trasversales
et gestion participative de toutes ressources de la CORAR S.A»
4.5.1. La performance de la
corar sa pour 2007 - 2009.
Tableau 24: L'evolution de
Chiffre d'affaire de la CORAR SA de 2007 à 2009
Année
|
Chiffre d'affaire en millions de FRW
|
2007
|
2 129 144
|
2008
|
3 532 442
|
2009
|
4 611 606
|
Source : Nous meme a partir de
rapport annuel de la CORAR 2009, pg8
En observant, cette tableau, nous constatons qu'à
partir de 2007 jusqu'à 2009, les chiffres se sont augmentés. Soit
2. 129 144 en, 2007, soit 3, 532 442 en 2008 et 4 611 606
pour l'année 2009.
C'est-à-dire que de 2007 à 200, il y a eu une
augmentation de 1 403 298 et de 2008 à 2009, il y a une
augmentation de 1 079 164 en millions Franc rwandais.
Conclusion : la CORAR a connue une performance
progressive de l'année 2007 à 2009.
Tableau 25: Investissement
de la CORAR de 2001 à 2001.
Année
|
Chiffre d'affaire en millions de FRW
|
2007
|
873 960
|
2008
|
957 986
|
2009
|
910 703
|
Source : Nous même a
partir de rapport annuel de la CORAR 2009, pg8
En observant, cette tableau, nous
constatons qu'à partir de 2007 jusqu'à 2009, les montants
d'investissement se sont augmentés. Soit 873 960 en 2007, soit
957 986 en 2008 et 910 703 pour l'année 2009.
C'est-à-dire que de 2007 à 200, il y a eu une
augmentation de 84 026 et de 2008 à 2009, il y a une
réduction de 47 283 en millions Franc rwandais.
Conclusion : la CORAR a connue une performance
d`investissement même si au niveau de l'année 2009 le taux
d'investissement a un peu diminué pour des raisons de protection du
capital.
Tableau 26: de
l'évolution comparative à des primes perçues par rapport
au sinistre Année 2007 -2009
Année
|
Primes perçues (en millions)
|
Sinistre payé (en millions)
|
2007
|
2 129 144
|
741 962
|
2008
|
3 532 441
|
1 333 495
|
2009
|
4 611 606
|
1 585 657
|
Source : Nous même à
partir de rapport annuel de la CORAR 2009, pg9
En considérant S : sinistre,
PP : prime payé.
Exemple pour l'année 2009 4 611 606 /
4 611 606 = 0.34% < à 1. (Bon pour l'entreprise).
Commentaires : Les montants de sinistre payés
restent mois élevés par rapport à la prime perçue,
donc le taux de sinistralité est bon, qui veut dire que l'entreprise est
performante.
Tableau 27: Evolution
comparative à des primes perçues par rapport aux frais
généraux pour les années 2007, 2008 et
2009 :
Année
|
Primes perçues (en millions)
|
Frais généraux
|
2007
|
2 129 144
|
664 025
|
2008
|
3 532 442
|
1 079 268
|
2009
|
4 611 606
|
1 190 150
|
Source : Nous même à partir
de rapport annuel de la CORAR 2009, pg9.
En faisant une lecture de ce tableau, à l'aide de ces
chiffres donnés là-dessus nous constatons qu'au fur et à
mesure que les activités de l'entreprise augmentent en volume, les frais
généraux augmentent aussi mais restent raisonnables par rapport
aux primes perçues. Le ratio de frais généraux est
maitrisé.
Tableau 28: Evolution des
effectifs de Ressources humaine de la CORAR par année 2007-2009,
Intitulé
|
2007
|
2008
|
2009
|
Effectif
|
79
|
103
|
106
|
Frais du personnel en millions
|
329 665
|
455 251
|
594 274
|
Source : Nous même à
partir de rapport annuel de la CORAR 2009, pg10.
A la lecture de ce tableau, nous constatons que les
effectifs s'étaient augmenté de l'année eà
l'année comme il est aussi indiqué dans ce rapport annuel de la
CORAR : qu'au 31/12/2009, Les effectifs ont été eleves
jusqu'à 106 employés.
Quant à la répartition, on comptait 82
employés au siège repartis dans différents services. Et 24
employés dans les agences opérant à l'intérieur du
pays à savoir Nyabugogo, Remera, Gitarama, Butare, Cyangugu, Ruhengeri,
Byumba, Gatuna et Kibungo.
En vue du renforcement des capacités, quelques
formations ont été organises à l'intention du personnel
des agences.
Ainsi, la CORAR attachera une importance particulière
à la motivation, rétention et stabilisation de toutes les couches
du personnel. Les priorités à court terme : renforcement de
compétence du personnel, son utilisation rationnelle ainsi que
l'amélioration constante de bien-être social.
Evolution (performance)
par année de sante des etats financiers de la CORAR S.A.
Ces etats financiers de celle-ci qui vont etre cités ci
déssous justifient aussi sa performance
§ Etat du bilan de l'exercice 2007, 2008 et 2009 se
trouve sur l'annexe du travail (voir le rapport annuel de santé de la
CORAR 2007, 2008 et 2009)
§ Compte de Résultats pour l'exercice clos :
2007. 2008 et 2009 se trouve sur l'annexe du travail. (voir aussi le rapport
annuel de santé de la CORAR 2007, 2008 et 2009)
En lisant les chiffres de ces états financiers pour
l'entreprise de la CORAR, on trouve que au fur des années dès
l'année 2007 jusqu'à 2009, ils ne faisaient que progresser
grâce à l'augmentation de ses produits/ services de qualité
et de rapidité en matière d'assurance, le degré de la
confidence que la clientèle de celle-ci en contiennent et la
l'amélioration de la productivité prenant source aux
employés vivant dans un milieu quelque part motivé. Ainsi ces
facteurs et l'analyse de données étudiés sur l'annexe
explique la performance de l'entreprise.
· Conclusion partielle et verification de
l'hypothèse
Dans ce chapitre, il était question de voir dans
quelle mesure la motivation du personnel de laCORAR S.A influe sur la
productivté et la performance de cette entreprise.
Pour y arriver, nous devions procéder a la
vérification des indicateurs de la motivation et avons relevé ce
qui suit : 52% des répondants ont un niveau de satisfaction
compris entre 7 et 10 (10 étant le maximum, tandis que 1 étant le
minimum). Sur ces 40 personnes enquêtées, 13 soit 32.5% on un
niveau de satisfaction compris entre 4et 6 ; tandis que 6 soit 15% on un
niveau de satisfaction compris entre 1 et 3.
100% affirment que les facteurs humains ont une importance
capitale dans l'incitation et la stimulation des employés au travail.
Les facteurs matériels et financiers ont aussi une importance no
moindre de 85%.
Le bon management de la que la bonne Direction General,
l'atteinte des résultats ainsi que la qualité des services
constituent aux yeux de tous les répondants (100%), les premiers
facteurs de motivation et de satisfaction du personnel dans la
catégorie des facteurs organisationnels. La bonne définition des
fonctions dans les divers départements a un taux de 85%
d'adhésion de 90%. Les objectifs clairs et la rapidité des
services suivent avec un taux de 85%. Viennent enfin le statut et le contenu
de l'emploi ainsi que la bonne organisation (structure) avec un taux de
75%.
Le développement des performances et la
réduction des facteurs stressants constitueraient les facteurs les plus
déterminants de motivation et de satisfaction du personnel dans
l'entreprise CORAR S.A s'ils entaient pratiques. En effet ,100%, sont toutes
d'avis que ces deux facteurs ont une très grande importance dans la
motivation et la satisfaction du personnel.
La totalité du répondant, soit 100%, c
considèrent les réclamations des clients, le taux de
rentabilité, ainsi que l'importance des doléances ou
réclamations comme les principaux facteurs de motivation ou de
démotivation. La rotation du personnel ainsi que le nombre de sanctions
disciplinaires sont présentés par 85% de répondants comme
facteur de motivation ou de démotivation. Les réclamations pour
défectuosités et pannes sont également mentionnes par 65%
des répondants.
Les bonnes réalisations des subordonnes, la
cohésion et la cohérence, ainsi que la conception par les
intéressés de programmes de développement personnel sont
considérés par la totalité des répondants (100%)
comme facteurs déterminants de motivation dans la catégorie des
indices qualitatifs de performance.
Le leadership, le climat de bons échanges et
l'état d'esprit positif viennent en second lieu comme facteurs motivants
avec un taux de 90%, tandis que les innovations viennent en troisième
position avec un taux de 80%. La responsabilité a l'égard du
public/clientèle, la performance et l'attitude de l'employé,
ainsi que la productivité viennent en tête avec un taux de 100%
comme facteurs déterminants de motivation dans la catégorie de
l'énoncé des objectifs. L'efficacité et le
développement du manager et la productivité sont
mentionnées par 92.5% des répondants comme facteurs de
motivation.
La capacités d'innovation et les ressources
matérielles et financières sont désignées comme
facteurs de motivation a concurrence de 85%, tandis que le marketing l'est a
concurrence de 80%.
Ainsi, l'hypothèse selon laquelle la motivation du
personnel de CORAR S.A influe positivement sur la performance de cette
entreprise compte tenu des observations par les parites prenantes dont les
employés, elle est aussi confirmée par l'amelioration
demontrée par les entrées et les sorties de la CORAR comme il est
indiqué sur leurs etats financier au cours de la periode 2007-2009.
CHAPITRE 5. CONCLUSION
GENERALE ET RECOMMANDATIONS.
5.1. Interprétation
et la Synthèse du travail
Notre sujet en ce qui concerne le travail de mémoire
effectué était cité comme suit : L'influence de la
motivation des employés sur la productivité et la performance des
entreprises privées, cas de la CORAR S.A, pour la période de
trois ans dès 2007 à 2009.
Au commencement de ce travail de recherche, il est né
de la problématique qui s'est articulée sur quelques questions
posées comme suites :
§ Existe-t-il à la CORAR une pratique
motivationnelle pour les employés en vue de promouvoir la
productivité et la performance de cette institution?
§ La motivation des employés a-t-elle un impact
sur la productivité et la performance de la CORAR ?
Sur terrain notre travail de recherche consistait à
examiner les hypothèses suivantes :
§ L'aspect motivationnel du personnel joue un rôle
majeur sur la productivité et la performance de la CORAR.
§ La mis en place des facteurs humains et
socioprofessionnels dans la gestion de la CORAR en vue de sa
productivité et sa performance, à savoir renforcement des
capacités du personnel par les formations professionnelles, renforcement
de l'aspect de gestion des ressources humaines, les stratégies de
perfectionnement, les voyages d'études la prise en compte des relations
humaines transversales et la gestion participative de toutes les ressources de
la CORAR en général.
Le renforcement des capacités des employés par
les stages de perfectionnement, les formations professionnelles, les voyages
d'étude, la prise ne compte des relations humaines étroites et le
fait de gérer d'une façon participative de toutes les ressources
appartenant à la CORAR.
En extrapolant cette étude, nous avons
été dirigé par quelques objectifs
spécifiques :
§ D'analyser l'influence de la motivation des
employés de la CORAR SA sur sa productivité et sa performance
pour la période de 2007 à 2009.
§ Dégager les facteurs de productivité et
la performance de la CORAR S.A.
§ Clarifier les mécanismes et les facteurs de la
motivation des ressources humaines de la CORAR.
§ Proposer des stratégies au niveau
managérial en ce qui concerne la gestion des ressources humaines en vue
de promouvoir les dimensions humaines et socioprofessionnelles
considérées comme des principaux piliers et des facteurs moteurs
de la réussite d'une firme
Pour en être capable, il nous a été
très utile de recourir aux quelques techniques et méthodes de
recherche suivantes :
Les méthodes utilisées :
la méthode analytique, la méthode synthétique, La
méthode structuro fonctionnelle et la méthode comparative,
La technique : documentaire,
d'observation, d'interview, Technique d'enquête par questionnaire et la
technique d'enquête par échantillon
Voici alors les résultats aux quels nous avons fait
face :
Dans la première chapitre, il était question de
vérifier dans quelle mesure et stratégie motivationnelle des
employés de la CORAR influe sur la productivité et la performance
de cette firme.
Pour y accéder, nous devrions procéder à
la vérification de quelques indicateurs de motivation dans leurs
relations avec la productivité et la performance de la CORAR.SA. Et
avons signalé ce qui suit :
52.5% des employés répondants ont un niveau de
satisfaction des répondants ont un niveau de satisfaction compris entre
7 et 10, 10 étant le maximum, tandis que 7 étant le minimum. Ce
ci veut dire que les employés de la CORAR influe positivement sur la
productivité et la performance de la CORAR, quoique à un niveau
moyen.
Le bon management de la Direction Générale,
l'atteinte des résultats ainsi que la qualité des services
constituent aux yeux de tous les répondants càd à
100% ; les premiers facteurs de motivation et de satisfaction du
personnels.
Le développent des performances et de réductions
des facteurs stressants constitueraient les facteurs les plus
déterminants de motivation et de pratiques. En effet, 100% de
répondants sont toutes d'avis que ces deux facteurs ont une très
grande importance dans la motivation et la satisfaction du personnel. 100% des
répondants considèrent les réclamations des clients, le
taux de rentabilité et de productivité, ainsi que l'importance
des doléances ou réclamations comme les principaux facteurs de
motivation ou de démotivation.
Les bonnes réalisations des subordonnés, la
cohésion et la cohérence, ainsi que la conception par les
intéresses de programmes de développent personnel sont
considérées par la totalité des répondants 100%
comme facteurs déterminants de motivation dans la catégorie des
indices qualificatifs de performance.
La responsabilité à l'égard de la
clientèle, la performance et l'attitude de l'employé, ainsi que
la productivité viennent en tête avec un taux de 100% comme
facteurs déterminants de motivation dans la catégorie de
l'énoncé des objectifs.
Dans la IVème chapitre, nous devions faire
le point des stratégies de motivation du personnel susceptibles de
promouvoir la productivité et la performance de la CORAR.
Il faudrait intégrer les facteurs humains et
socioprofessionnel dans la gestion de la CORAR en vue de sa rentabilité
et de sa performance, à savoir le renforcement des capacités du
personnel par formation professionnelles, les stages de perfectionnement, les
voyages d'étude, la prise en compte des relations humaines
transversales, la gestion participative de toutes les ressources de la CORAR
ainsi que les conditions à améliorer.
77% parviennent à satisfaire leurs besoins primaires
grâce à leur salaire. Ce qui montre que les facteurs
matériels et financiers sont plus considérés que les
facteurs humains. Ce qui revient à dire que considérer les deux
au même degré contribuerait beaucoup plus à
améliorer la productive et la performance de la CORAR.
80% considèrent l'entreprise CORAR comme leur famille
socioprofessionnelle, ceci signifie que les employés de la CORAR
fourniraient beaucoup d'efforts au travail, si son employeur, donc la CORAR,
mettait plus d'accent sur les facteurs humains dans la gestion des
employés
70% relisent leurs objectifs personnels Grace à leur
travail. Donc la tendance générale est que les employés de
la CORAR, se sent de plus en plus motivé au fur et à mesure que
la CORAR atteint ses buts.
5.2. Recommandations
1) Aux dirigeants de la gestion administrative de la
CORAR
§ Doivent tenir compte de l'environnement concurrentiel
actuel et placer les employés à la première place de la
productivité et de la performance ;
§ Considérer l'aspect de la motivation des
employés comme un facteur capital de la réussite de la CORAR.
§ Adapter une culture de communication entre les
employés dans le cadre de facilitation de la réalisation de la
mission que s'est donnée la CORAR.
§ Adapter un langage tenu aux employés à
partir des contraintes, des défis, des enjeux et des attentes de plus en
plus exigeantes des employés
§ Faire de rotation des employés en fonction de
leur taches pour rendre ceux-ci plus motivant et le rendre polyvalent et plus
professionnel en matière des services d'assurance.
§ Renforcer la politique de motivation surtout sur
l'aspect de «promotion» qui n'est presque pas
considéré ;
§ Mettre un accent particulier sur la mise en place des
facteurs humains et socioprofessionnels dans la gestion de la CORAR, en se
basant surtout sur le renforcement des capacités des employés par
les stages en vue de la perfectionnement du travail, octroi de
différentes formations professionnelles, les voyages d'étude pour
gagner beaucoup d'expérience, la prise en compte des relations humaines
transversales, la gestion participative de toutes les ressources de la
CORAR ; ainsi que leurs conditions de milieu de travail.
§ Changer le style de management, en mettant en
application des principes de la gestion participative, en favorisant la
délégation, en renforçant l'esprit d'équipe, et en
rendant les employés plus fidele de la société.
§ Prévoir une place des réunions
régulières pour donner aux employés l'opportunité
d'évoquer ses idées, ses conseils, ses observations pour
favoriser ceux-ci dans le processus de la prise de décisions
stratégiques avantageuse pour les deux camps et pour la
société en particulier.
§ Renforcer leurs efforts en communication interne, en
mettant en place des mesures stratégiques pour valoriser les
employés et la CORAR.
§ Eradiquer une culture d'entreprise afin de
développer la cohésion entre les employés et la CORAR.
§ Eviter le plus possible minimum des effets et facteurs
stressants aux employés.
2) Aux employés de la CORAR.
§ Intégration de leurs objectifs personnels
à ceux de la CORAR.
§ Faire partie et avoir une place dans le processus de la
prise de décisions dans la gestion de la CORAR.
§ Partager et participer les mêmes risques,
considérer la société comme le leurs
§ S'avoir vite d'adapter aux changements multiples
très remarquables dans un contexte économique qui ne cesse
d'accroitre actuellement.
§ Avoir un amour de l'entreprise la considérer
comme la leur.
§ Octroyer des services d'une façon rapide et
d'une façon qualitative.
3) A la clientèle de La CORAR.
§ Se conformer aux règlements et aux contrats
effectués ente l'assuré et la CORAR (l'assureur) en
matière de prestation et de payement de primes d'assurance.
§ Eviter la fraude pour quelques assurés qui
abusent volontairement.
§ Exiger à la CORAR d'accéder d'avantage
les services, les dossiers d'indemnisation et de payement.
4) Aux futurs chercheurs
§ Faire autres études en rapport avec : Mode
de recrutement, l'environnement et conditions de travail prépuce,
Influence de la participation des employés dans le processus de la prise
de décision, tous considérés comme facteurs de
l'accroissement de la productivité ,rentabilité et performance de
l'entreprise.
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·
http://www.guichetemplois.gc.ca
·
http://www.sante.gouv.sn
·
http://www.ena.fr/participation_employé ,
·
http://fr.wikipedia.org/
· http://strategis.ic.gc
· http :
//www.ena.fr/administration/déontologie,
·
http://www.ena.fr/participation_employé
·
http://www.ena.fr/participation_employé
· Autres
Annexes
* 1
http://www.guichetemplois.gc.ca,
consuté le 25 Mai 2011.
* 2
http://www.sante.gouv.sn, Mai
2011
* 3 Mudekereza Nsami,
« La politique de renforcement des capacités de gestion
des ressources humaines de PLD-Bukavu de 2003 à 2005 »
T.F.E., inédit, UNIC, 2005-2006.
* 4 LARAMEE, A. et VALLEE, B.,
`'cadre théorique'' disponible sur www.umce.ca//utano
recherche/.../, consulté le 02/05/2011.
* 5 GRAWITZ, M. et PINTO,
Méthodes de recherche en sciences sociales, 4ème Edition,
Paris, Dalloz, 1977.
* 6 RWIGAMBA, B. et AMAHORO, S.,
A., Méthodologie de recherche, Notes de cours, Kigali, ULK, 2009,
p.19, (inédites)
* 7 Idem, P. 30.
* 8 Voir Petit larousse grand
format 2006, pg 580, consulté 20 mai 2011.
* 9
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gestion,
le 10 Mai 2011.
* 10 Mudekereza Nsami,
« La politique de renforcement des capacités de gestion
des ressources humaines de PLD-Bukavu de 2003 à 2005 »
T.F.E., inédit, UNIC, 2005-2006
* 11 Brian Levy, Quelques
définitions,
www.capacity.org, 21 Mai 2011
* 12 Sources : Interview
avec un agent de CARE International., 25 Avril 2011.
* 13 Brian Levy, Op cit
* 14
http://fr.wikipedia.org/wiki/Capital_social,
consulté le 20 Mail 2011.
* 15
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gestion,
12 Mai 2011
* 16
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gestion_des_ressources_humaines,
consulté 21 Avril, 2011.
* 17
http://fr.wikipedia.org/wiki/Motivation,
consulté 15 Mai 2011.
* 18
Georg
Christoph Lichtenberg, Le Miroir de l'âme, Corti, 1997 (
ISBN
2-7143-0610-1
* 19Capital_humain,
http://fr.wikipedia.org, 14 Mai
2011
* 20 Capital immatériel,
connaissance et performance,
www.wikipedia.org, 27 Mai 2011
* 21Notion. de
Productivite-travail/croissance-economique/revenus/prix/efficacite-travail sur
http://brises.org, consulté le 12
Mai 2011.
* 22 Notion de
Productivite-travail, http://brises.org, consulté le 02 Mai 2011.
* 23 Idem
* 24
http://dictionnaire.sensagent.com
consulté le 01 Mai 2011.
* 25
http://fr.wikipedia.org,
consulté le 10 Mai 2011.
* 26
Idem
* 27 Ngumbi Casimir,
Grands Services Public/Privés, Cours inédit en G3
SPA, FSSPA, CUEK, 2004 -2005
* 28
http://fr.wikipedia.org/sect_priv/,
21 Juillet 2011.
* 29 Loïc Cadin et cie,
op cit
* 30
http://strategis.ic.gc. du 1 Mai
2010.
* 31
http://www.ena.fr/participation_employé
, 20 Mai 2011
* 32 http :
//www.ena.fr/administration/déontologie, 15 mai 2011.
* 33 http :
//www.ena.fr/agent public/déontologie, 23 avrl 2011
* 34
http://www.ena.fr/participation_employé7
mai 2011
* 35 Mintzberg,
www.ena.fr, 17 mai 2011
* 36 Taylor, Fayol et Weber,
cité par Misenga, Cours de Théories Générales de
Management, en L1 SPA, CUEK, 2005-2006, inédit
* 37 (en)
Journal of Advanced Nursing, février 1994, vol. 19 - issue 2,
p. 315-319,
* 38 BOITTIN, LAGOUTTE, LANTZ,
«
VIRGINIA
HENDERSON: 1897-1996 - BIOGRAPHIE ET ANALYSE DE SON OEUVRE
* 39 BOITTIN, LAGOUTTE, LANTZ,
Recherche en soins infirmiers N°68 sur ARSI.fr sur la Banque
de données de santé publique, ARSI, mars 2002, p. 12.
Consulté le
14
juin
2008
* 40
http://fr.wikipedia.org/wiki/Besoin
* 41 Maslow on
management (ou Eupsychian Management, 1962, en collaboration avec
Deborah C. Shephens et Gary Heil), New York, Chichester, 1998, XXIII-312 p.
Trad. Eric de Rochefort, 2002 : Maslow : le management
* 42 Abraham Maslow,
Gardner Murphy, Carl Rogers (de Willard B. Frick), Bristol (Ind.), Wyndham
Hall Press, 1989, XII-186 p.
* 43 La psychologie
humaniste : clinique de l'épanouissement par
Jean-François Marmion,
Sciences
Humaines (hors série n°7 La grande histoire de la
psychologie), septembre-octobre 2008, page 62.
* 44 Maslow, Abraham.
Motivation and personality. Harper and Row New York, New York 1954 pg 91
* 45 Idem
* 46
Patrick
Viveret : "Passer de la notion de besoin à la notion de
demande"
* 47
http://www.performancezoom.com/perfromance-entreprise.php
* 48
http://www.oboulo.com/mesurer-performance-entreprise-53925.html,
du 18 Mai 2011.
* 49 Expert-conseil PME
514 381-6502 /www.expertconseilpme.com, consulté 20 Mai 2011.
* 50 Etymologie du mot
performance, selon Bourguignon (1995, p.62)
* 51 Idem
* 52 Loshar et Chevalier,
Cité par Mandwala, Vers la théorie et pratique de la
Révolution et Correspondance Administrative, TFC en SPA, FSSA,
UNILU, 1986, p.4
* 53 Pinto et Grawitz
cité par Mandwala, Op.cit, p.6
* 54 Loshar et Chevalier,
Cité par Mandwala, Vers la théorie et pratique de la
Révolution et Correspondance Administrative, TFC en SPA, FSSA,
UNILU, 1986, p.4
* 55 Mucchieli, cité par
Mudekereza Nsami, «La Politique de renforcement des gestions des
ressources humaines de PLV-Bukavu», TFC en OST, inédit,
UNIC-IGEA, 2005-2006
* 56 Georges Lapassade et
René Lourou, Cité par Malango Kitungano,
«L'administration publique locale face à la
sécurité des personnes et de leurs biens dans la province du Sud
Kivu en RDC : Cas du territoire de Fizi», TFC en SPA, FSSA, CUB,
2001
* 57 GRAWITZ.M Op.cit.,
1991, p353
* 58 GRAWITZ.M Op.cit.,
1991, p.101.
* 59 Voir le statut de la CORAR
S.A, mise en place au 25 août 2000.
* 60 Voir le rapport annuel d
la CORAR de 2006.
* 61 Voir le statut de la CORAR
S.A, mise en place au 25 août 2000.
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