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Conditions de travail des operateurs de photocopie sur le campus de l'universite de Cocody

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par Gnoka Modeste BOUABRE
Universite de Cocody - DESS de Psychologie du travail, Ergonomie et NTIC 2008
  

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CHAPITRE II : ANALYSE DES RESULTATS :

L`enjeu et l'intérêt de l'étude relative aux conditions de travail des opérateurs de photocopie sur le campus de l'université de Cocody nous a conduit vers des pistes de recherche bien précises. Les conditions de travail sont l'ensemble des facteurs physiques, matériel psychologiques et sociaux, internes et même externes à l'environnement de travail, qui influence le procès de travail. Les conditions de travail sont donc perçues comme l'état de travail, la nature qui conditionne la qualité du travail. C'est en somme, l'environnement physique, technique, psychologique et sociologique, de l'activité de photocopie. Cette activité recourt à la photocopieuse, dispositif technique qui met en oeuvre les procédés de reprographie en vue d'obtenir un phototype, un document appelé copie du document reprographié.

En recourant au modèle d'analyse de Moraes et Mont'Alvão (2000), nous avons distingué quatre étapes pour analyser les conditions de travail des opérateurs de photocopie sur le campus de l'université de Cocody d`Abidjan) :

- Premièrement, l'observation ergonomique. Cette phase a consisté à examiner, la compétence des opérateurs de photocvopie, l'état des machine qu'ils utilisent, leurs espaces de travail en observant l'environnement et en se questionnant sur le statut des opérateurs (employés et employeurs). Cette phase s'est terminée par l'opinion ergonomique, qui comprend la présentation des problèmes (le niveau d'instruction des opérateurs de photocopie, leur formation professionnelle, les caractéristiques des machines utilisées, le Système-Opérateur-Photocpieuse : S-O-P)

- Deuxièmement, le diagnostic ergonomique:c'est-à-dire l'approfondissement du problème. Dans cette phase, nous avons considéré l'environnement physique et l'organisation de la tâche. Les observations systématiques des activités et le comportement des opérateurs de photocopie .

Ainsi l'examen des conditions de travail de l'opérateur de photocopie portera d'abords sur les caractéristiques intrinsèques de l'opérateur, ensuite sur le Système Opérateur-Photocopieuse (S.O.P), enfin sur le Système Opérateur-Espace de travail (S.O.E.).

L'opérateur de photocopie

L'activité de photocopie et ses tâches :

Guillevic, C., (1991) distingue classiquement trois niveaux d'analyse : travail formel, travail mental et travail réel. Le travail formel se traduit sous forme de prescriptions qui fixent les buts et les moyens assignés à l'opérateur pour fournir une production donnée. La tâche prescrite, à ce niveau, correspond à l'ensemble des consignes, règlements, notes de service qui définissent des procédures à respecter pour atteindre les objectifs théoriquement définis. Le travail du reprographe ou de l'opérateur de photocopie pourrait, être utilement l'objet d'une analyse à chaque niveau.

tâches prescrites :

Premier ordre de questions : quelles sont les tâches prescrites?

Le travail de photocopie suggère, sinon, impose des tâches prédéfinies, ou si on veut prescrites à exécuter telles, s'informer auprès du client sur le type de tirage (recto, recto verso, réduction, agrandissement, format), prendre le document à photocopier de la main du client, choisir le papier à utiliser, charger le bac à papier : (mettre le papier dans le bac à papier), vérifier le niveau d'encre, soulever le capot de la machine, y poser et cadrer le document à reprographier, refermer le capot , appuyer sur la touche « copy » , attendre que la machine effectue complètement la commande (tirage), Soulever à nouveau le capot de la machine, y reprendre le document original , refermer le capot, faire le décompte du nombre de pages tirées, remettre le document orignal au client, faire la facturation de l'opération, remettre les copies au client, l'encaisser, paiement par ce dernier de la somme due...

Qui prescrit ces tâches ? Est-ce le concepteur de l'appareil ou le propriétaire de la machine ? Est-ce le service ? Est-ce le bénéficiaire ou le client ? Qui définit, de facto, les objectifs d'une intervention?

La réponse à ces interrogations nous amène à nous référer à l'Organisation Scientifique du travail (O.S.T) de Frederick Taylor et à l'automatisme, où d'une part dans le Système Homme-Machine (S.H.M) en général et dans les système expert ou encoure dans un Système Producteur Utilisateur (S.P.U), l'opérateur de photocopie joue le rôle d'exécutant et les fabricants de la photocopieuse celui de concepteurs. En effet, cette méthode repose sur la rationalisation des tâches, consistant dans la division entre les tâches des concepteurs, qui assurent la mise au point des produits, le suivi des méthodes de travail et les tâches des exécutants, chargés d'appliquer les consignes des concepteurs. Ainsi nous pouvons répondre que dans tout Système Homme-Machine, en l'occurrence le Système Opérateur-Photocopieuse (S.O.P) les concepteurs prescrivent automatiquement souvent une bonne partie des tâches à faire bien définies. Mais dans certains cas les propriétaires peuvent réorganiser les tâches selon leurs visions de travail par exemple fixer un certain nombre de copie à tirer par jour, conserver tout rebut pour le point de la journée, en cas de panne faire appel à un réparateur unique et désigné d'avance. Et dans le cas de la photocopie certaines requête ou exigences du client peuvent se muer en tâches prescrites.

En définitive, dans la pratique de la photocopie, il y a trois sources de tâches prescrites à savoir les concepteurs de la machine, le propriétaire de l'unité de photocopie, et les clients.

tâches induites ou tâches mentales :

Deuxième ordre de questions: que savons-nous de son activité mentale, c'est-à-dire de l'ensemble des habiletés, des compétences, des savoirs mis en oeuvre pour effectuer les tâches confiées au reprographe ou à l'opérateur de photocopie?

En accomplissant la tâche à l'aide des moyens disponibles et dans les conditions définies, l'opérateur de photocopie développe une activité ; il se déplace, exécute des gestes, regarde, écoute ; il organise son travail, planifie ses actions, raisonne. Et la difficulté sera lourde pour évaluer le travail mental de l'opérateur de photocopie. En pratique, l'évaluation du travail mental ne peut se faire que par une inférence à partir des écarts observés entre ce que l'opérateur « doit » faire, et ce qui fait réellement. En effet, aucun opérateur n'exécute mécaniquement des prescriptions ; il procède, par un travail mental plus ou moins important, à des ajustements, à des adaptations telles, dans le cas de la photocopie, la recherche de client, l'identification d'une cible potentiel, l'approche de la cible, aborder un client  potentiel, contacter verbalement le client potentiel (contact verbal par le collaborateur ou le démarcheur de l'opérateur), contacter physiquement le client potentiel (contact physique par le collaborateur ou le démarcheur de l'opérateur), Proposer ses services au client potentiel et le persuader... C'est ainsi que nous entendons désignifier les tâches mentales des opérateurs de photocopie. Qu'en est-il de ses tâches réelles ?

tâches réelles :

Troisième ordre de questions : quelles sont les tâches réelles de l'opérateur de photocopie ? Que fait réellement, dans les situations où il agit, le reprographe ou l'opérateur de photocopie?

S'il est relativement aisé d'identifier les tâches prescrites (ce que l'on me demande de faire), il devient difficile d'évaluer la tâche réelle. En fonction de ces adaptations, il va réaliser le travail, c'est-à-dire produire les réponses motrices, posturales, verbales qui constituent les tâches réelles telles, aborder un client  potentiel, contacter verbalement le client potentiel (contact verbal par le collaborateur ou le démarcheur de l'opérateur), prendre le document à photocopier de la main du client, soulever le capot de la machine, y poser et cadrer le document à reprographier, appuyer sur la touche « copy » , attendre que la machine effectue complètement la commande (tirage), Soulever à nouveau le capot de la machine , y reprendre le document original, refermer le capot, faire le décompte du nombre de pages tirées, remettre le document orignal au client, faire la facturation de l'opération, remettre les copies au client, l'encaisser, paiement par ce dernier de la somme due. C'est en ces termes que nous percevons les tâches réelles de l'opérateur de photocopie sur le campus de l'université.

La formation

Parlant de formation, nous pouvons distinguer la formation initiale de la formation professionnelle.

formation initiale

L'analyse révèle que le niveau de formation initiale a une incidence apparente sur la qualité des tirages ; (voir tableau T23 et graphiques G4, G5). En effet le taux de mauvaises copies (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées) varie selon les niveau d'étude des opérateurs de photocopie de copie :

Ø les opérateurs de photocopie de niveau secondaire premier cycle (6ème à la 3ème) produisent moins de copies de mauvaise qualité que ceux de niveau primaire (CP1 au CM2), en d'autres termes la qualité des tirages des opérateurs de photocopie de niveau secondaire premier cycle (6ème à la 3ème) est plus bonne que celle de ceux qui ont le niveau primaire (CP1 au CM2) ;

Ø les opérateurs de photocopie de niveau secondaire deuxième cycle (2nd à la Tle) produisent moins de copies de mauvaise qualité que ceux de niveau primaire (CP1 au CM2). La qualité des tirages des opérateurs de photocopie de niveau secondaire deuxième cycle (2nd à la Tle ) est plus bonne que celle de ceux qui ont le niveau primaire (CP1 au CM2).

Ø les opérateurs de photocopie de niveau supérieur, produisent moins de copies de mauvaise qualité que ceux de niveau primaire (CP1 au CM2), la qualité des tirages des opérateurs de photocopie de niveau supérieur est plus bonne que celle de ceux qui ont le niveau primaire (CP1 au CM2).

Ø les opérateurs de photocopie de niveau secondaire deuxième cycle (2nd à la Tle ) produisent moins de copies de mauvaise qualité que ceux de niveau secondaire premier cycle (6ème à la 3ème), la qualité des tirages des opérateurs de photocopie de niveau secondaire deuxième cycle (2nd à la Tle ) est plus bonne que celle de ceux qui ont le niveau secondaire premier cycle (6ème à la 3ème).

Ø les opérateurs de photocopie de niveau supérieur produisent moins de copie de mauvaise qualité que ceux de niveau secondaire premier cycle (6ème à la 3ème), la qualité des tirages des opérateurs de photocopie de niveau supérieur est plus bonne que celle de ceux qui ont le niveau secondaire premier cycle (6ème à la 3ème).

Ø les opérateurs de photocopie de niveau supérieur produisent moins de copie de mauvaise qualité que ceux de niveau secondaire deuxième cycle (2nd à la Tle ), la qualité des tirages des opérateurs de photocopie de niveau supérieur est plus bonne que celle de ceux qui ont le niveau secondaire deuxième cycle (2nd à la Tle ).

Le taux de mauvaises qualité (peu lisible, tacheté et mal cadrée) décroît quand croit le niveau d'étude (formation initiale) des opérateurs. (Voir tableau T23 et graphiques G4 et G3). Cette remarque nous amène à l'analyse de la variable formation qualifiante (formation professionnelle)

0

0,1

0,2

0,3

0,4

0,5

0,6

0,7

fréquence

Graphique G4: proportion des opérateurs de photocopie selon

leur niveau initiale de formation (niveau d'instruction)

Niveau primaire

(CP1 au CM2)

Niveau secondaire

1er cycle (6ème en

3ème)

Niveau secondaire

2er cycle (2de en Tle)

niveau supérieur

0,00%

10,00%

20,00%

30,00%

40,00%

50,00%

60,00%

70,00%

80,00%

90,00%

100,00%

Niveau

primaire

(CP1 au

CM2)

Niveau

secondaire

1er cycle

(6ème en

3ème)

Niveau

secondaire

2éme cycle

(2de en

Tle)

niveau

supérieur

Graphique G5: la qualité des tirages selon le niveau de formation initiale

(niveau d'étude) des opérateurs de photocopie

bonne qualité

Mauvaise qualité

formation qualifiante : qualité de tirage et rebuts

qualité de tirage

Les constats (voir tableau T24 et graphiques G6, G7) montrent qu'en matière de formation qualifiante, sur 117 opérateurs de photocopie 36 soit 30,77% affirment avoir suivis une formation qualifiante avant d'exercer l'activité de photocopie comme activité professionnelle.

L'analyse des données révèlent que sur 324 copies tirées par les opérateurs de photocopie ayant suivi une formation qualifiante, 88 soit 27,16% des copies sont mauvaises c'est-à-dire peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées; alors que sur 729 copies tirées par les opérateurs de photocopie ayant suivi aucune formation qualifiante, 253 soit 34,70% des copies sont mauvaises c'est-à-dire peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées. Mais, la formation des opérateurs de photocopie aurait-elle une incidence significative sur la qualité des tirages ?

0

0,1

0,2

0,3

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0,5

0,6

0,7

0,8

formation

qualifiante

aucune

formation

qualifiante

Graphique G7

:

la qualité des copies en fonction de la formation

professionnelle des opérateurs de photocopie

Bonnes copies (en %)

Mauvaises copies (en

%)

Il existe une différence apparente entre la fréquence de production de copies de mauvaise qualité des opérateurs de photocopie qui ont suivi une formation qualifiante et ceux qui n'ont pas suivi de formation qualifiante. La formation qualifiante des opérateurs de photocopie a une incidence apparente sur la qualité des tirages. L'opérateur de photocopie qui a suivi une formation qualifiante semble être plus performant que celui qui n'a pas suivi de formation qualifiante. Ceci montre la nécessité de formation professionnelle dans ce corps de métier désigner comme faisant partie des activités du secteur informel. Cependant, nous répondrons plus amplement à cette question dans le chapitre interprétation des résultats

Rebuts

L'analyse des données (voir tableau T24b et graphiques G8, G9) révèlent que sur 4826 copies rebuts produit (par 117 opérateurs interrogés) pendant trois journées de travail, les opérateurs de photocopie qui ont suivi une formation qualifiante ont produit 540 soit 11,19,% ; alors que les opérateurs de photocopie qui n'ont pas suivi de formation qualifiante, en ont produit 4286 soit 88,81% des rebut. La formation qualifiante des opérateurs de photocopie aurait-elle une incidence sur le taux de rebuts lors des tirages ?

Graphique G9 : évolution comparée de production de rebuts selon la formation qualifiante des opérateurs de photocopie

Il existe une différence apparente entre la fréquence de production de rebuts des opérateurs de photocopie qui ont suivi une formation qualifiante et ceux qui n'ont pas suivi de formation qualifiante. La production de rebuts semble varier selon la formation qualifiante des opérateurs de photocopie. L'opérateur de photocopie qui a suivi une formation qualifiante semble être est plus compétent que celui qui n'a pas suivi de formation qualifiante. Ceci laisse apparaître la nécessité de formation profession dans ce corps de métier. Mais, la formation qualifiante des opérateurs de photocopie aurait-elle une incidence significative sur le taux de rebuts lors des tirages ?

Position au travail et santé des opérateurs de photocopie :

Position au travail

L'analyse des données (voir tableau T14 et graphiques G10) révèlent qu'aux questions «Dans quelle position travaillez-vous ? Avez-vous une chaise ? », sur 117 opérateurs de photocopie, 82 affirment travailler debout soit 69,82% dont 26 affirment disposer d'une chaise de travail soit 45,45% de ceux qui affirment posséder une chaise ;35 affirment travailler assis soit 30,18% dont 31 affirment disposer d'une chaise de travail soit 54,55% de ceux qui affirment posséder une chaise .

0,00%

10,00%

20,00%

30,00%

40,00%

50,00%

60,00%

70,00%

80,00%

90,00%

100,00%

oui

non

avez une chaise pour votre travail

Graphique G10: position de travail des opérateurs de photocopie

debout (%)

assis (%)

Les conditions de travail entre autre la position de travail des opérateurs de photocopie auraient-elles une incidence significative sur le développement par les opérateurs de photocopie de certaines maladies?

Santé au travail des opérateurs de photocopie :

L'analyse des données (voir tableau T15 et graphiques G11) révèle qu'à la question «De quel mal souffrez-vous parmi les maux suivants? », 93 personnes sur 117 soit 79,49% opérateurs de photocopie reconnaissent souffrir de mal d'yeux ; 83 personnes sur 117 soit 70,94% opérateurs de photocopie reconnaissent souffrir de mal de dos ; 63 personnes sur 117 soit 53,85% opérateurs de photocopie reconnaissent souffrir de problème respiratoire ; cinq (5) personnes sur 117 soit 4,27% opérateurs de photocopie reconnaissent souffrir de problème cardio-vasculaire ; 15 personnes sur 117 soit 12,82% opérateurs de photocopie reconnaissent souffrir de problème de peau.

Ces maladies pourraient-elles être reconnues comme des maladies professionnelles ?

0,00%

10,00%

20,00%

30,00%

40,00%

50,00%

60,00%

70,00%

80,00%

90,00%

100,00%

mal d'yeux

mal de dos

problème

respiratoire

problème

cardio-

vasculaire

problème de

peau

Graphique G11: La question de maladies liées au métier d'opérateurs de photocopie

avez-vous le

mal suivant?

oui (%)

avez-vous le

mal suivant?

non (%)

La machine : Les caractéristiques physiques et techniques

des photocopieuses 

les caractéristiques techniques des photocopieuses :

Les caractéristiques techniques des photocopieuses se rapportent au précédé technique qui peut être analogique ou numérique ; au forma du papier utilisé qui peut varier de 11X17 cm, aux formats A4 et A3 ; aux cassettes ou tiroirs dont le nombre peut varier de deux à quatre et dont la capacité peut varier de 250 à 1500 feuilles par cassette ; à l'impression recto-verso qui peut être interne (automatique) ou externe (manuel) ; à la trieuse qui peut ne pas exister ou exister avec un nombre de cases variant de 10 à 20 pour une capacité chacune pouvant aller de 10 à 90 copies ; à la possibilité de ne pas ou d'agrafer automatiquement avec des points d'agrafage pouvant évoluer de 1 à 30 ; à la vitesse d'impression pouvant varier de 24 à 65 pages par minute pour le format A4 et de 24 à 32 pages par minute pour le format A3 ; au compteur pouvant être unique ou double selon les séries, pouvant aller de 0 à 3 076 095 copies selon l'état d'achat ou selon l'âge d'achat.

L'état d'achat des photocopieuses:

Cent un (101) opérateurs de photocopie ont répondu, « seconde main » soit 86,21%, qui cependant, sur 882 copie tirées, 555 soit 62,97% sont de bonne qualité et 326 soit 37,03% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

L'état de fonctionnement des photocopieuses des opérateurs de photocopie aurait-elle une incidence significative sur la qualité des tirages ?

Il existe une différence apparemment significative entre la fréquence de production de copies de mauvaise qualité par les photocopieuses neuves et celles de seconde main. L'état d'achat des photocopieuses utilisées par les opérateurs de photocopie aurait une incidence significative sur la qualité des tirages. L'opérateur de photocopie qui utilise une photocopieuse neuve est plus compétent que celui qui utilise une photocopieuse de seconde main (d'occasion). Ceci laisse voir la nécessité de disposer dans ce secteur de plus d'appareil neuf même si c'est un secteur informel.

0,00%

10,00%

20,00%

30,00%

40,00%

50,00%

60,00%

70,00%

80,00%

90,00%

neuves

Seconde main

(à l'occasion) 

Quel était l'état à l'achat de

votre photocopieuse

Graphique G16: l'état d'achat des photocopieuses

(%)

 les opérateurs de

photocopie

0,00%

10,00%

20,00%

30,00%

40,00%

50,00%

60,00%

70,00%

80,00%

90,00%

100,00%

neuve

seconde main

Quel état l'état à l'achat de votre

photocopieuse

Graphique G16 a: qualité des tirages selon l'état d'achat des

phototcpieuses

bonnes copies (%)

mauvaises copies (%)

L'âge des photocopieuses: durée d'utilisation

0,00%

5,00%

10,00%

15,00%

20,00%

25,00%

30,00%

35,00%

40,00%

un mois au

plus

six mois au

plus

un an au

plus

cinq ans

plus

Graphique G17: répartition de la durée d'utilisation des

photocopieuses

fréquence

0,00%

10,00%

20,00%

30,00%

40,00%

50,00%

60,00%

70,00%

80,00%

90,00%

un mois

au plus

six mois

au plus

un an au

plus

cinq ans

plus

Graphique G18: représentation de la durée d'utilisation des

photocopieuses et la qualité des tirages

bonne

qualité de

copie

mauvaise

qualité de

copie

L'analyse des données (voir tableaux T18, T19 et graphiques G17, G18) révèlent qu'à la question « Depuis combien de temps travaillez-vous avec cette photocopieuses ? », sur 117 opérateurs de photocopie, 21 ont répondu un mois au plus soit 18,12% ; qui pourtant, sur 326 copies tirées, 292 soit 89,55% sont de bonne qualité et 34 soit 10,45% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Trente cinq (35) opérateurs de photocopie ont répondu, « six mois au plus » soit 30,20%, qui cependant, sur 246 copie tirées, 128 soit 52,03% sont de bonne qualité et 118 soit 47,97% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Quarante six (46) opérateurs de photocopie ont répondu « un an au plus » soit 39,60%, qui en revanche sur 380 copie tirées, 237 soit 62,47% sont de bonne qualité et 47 soit 46,92% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Quatorze (14) ont répondu «cinq ans au plus » soit 12,08%, qui par contre sur 101 copie tirées, 55 soit 54,08% sont de bonne qualité et 47 soit 45,92% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

L'état de fonctionnement des photocopieuses des opérateurs de photocopie aurait-elle une incidence significative sur la qualité des tirages ?

Les modèles : marques et séries de fabrication des

photocopieuses utilisées:

L'analyse des données (voir tableaux T20, T21 et graphiques G19, G20) révèlent qu'à la question « Quelles marque et série de photocopieuse utilisez-vous ? », sur 76 photocopieuse pour 117 opérateurs de photocopie, trois (3) photocopieuses étaient de marque et de série Canon 62 soit 3,95% des photocopieuses. Huit (8) photocopieuses étaient de marque et de série Canon GP 405 soit 10,53% des photocopieuses. Sept (7) photocopieuses étaient de marque et de série Canon GP 505 soit 9,21% des photocopieuses. Une (1) photocopieuse était de marque et de série Canon NP 5040 soit 1,32% des photocopieuses. Cinq (5) photocopieuses étaient de marque et de série Canon 8000 soit 6,58% des photocopieuses. Douze (12) photocopieuses étaient de marque et de série AGEFAX 820 soit 15,79% des photocopieuses. Cinq (5) photocopieuses étaient de marque et de série AGEFAX 800 soit 5,58% des photocopieuses. Dix (10) photocopieuses étaient de marque et de série AGEFAX 6060 soit 13,16% des photocopieuses. Deux (2) photocopieuses étaient de marque et de série Riso GP soit 2,63% des photocopieuses.

Sept (7) photocopieuses étaient de marque et de série Canon GP 605 soit 9,21% des photocopieuses, qui sur 60 copies tirées, 16 soit 26,67% sont de bonne qualité et 60 soit 73,33% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Quinze (15) photocopieuses étaient de marque et de série Canon 5060 soit 19,74% des photocopieuses, qui en revanche sur 133 copie tirées, 116 soit 87,22% sont de bonne qualité et 17 soit 12,782% des copies sont (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Une (1) photocopieuse était de marque et de série Canon 6045 soit 1,32% des photocopieuses, qui, sur 46 copies tirées, 34 soit 73,91% sont de bonne qualité et 12 soit 26,09% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Cinq (5) photocopieuses étaient de marque et de série Canon NP 6050 soit 6,58% des photocopieuses, qui sur 70 copies tirées, 62 soit 88,57% sont de bonne qualité et 8 soit 11,43% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Dix-sept (17) photocopieuses étaient de marque et de série Canon NP 6060 soit 22,37% des photocopieuses, qui pourtant, sur 290 copies tirées, 162 soit 55,86% sont de bonne qualité et 128 soit 44,14% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Sept (7) photocopieuses étaient de marque et de série Canon NP 6085 soit 9,21% des photocopieuses, qui sur 215 copie tirées, 175 soit 81,40% sont de bonne qualité et 40 soit 18,60% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Neuf (9) photocopieuses étaient de marque et de série Canon NP 8530 soit 11,84% des photocopieuses, qui sur 191 copies tirées, 142 soit 74,35% sont de bonne qualité et 49 soit 25,65% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

0,00%

5,00%

10,00%

15,00%

20,00%

25,00%

fréquences

Graphique G19: Les marques des photocopieuses et leur fréquence usuelle

Canon 62

Canon GP 405

Canon GP 505

Canon GP 605

Canon NP 5040

Canon 5060

Canon 6045

Canon NP 6050

Canon NP 6060

Canon NP 6085

Canon 8000

Canon NP 8530

AGEFAX 820

AGEFAX 800

AGEFAX 6060

JP-IR

kodak

Riso GP

Deux (2) photocopieuses étaient de marque et de série JP-IR soit 2,63% des photocopieuses, qui sur 5 copies tirées, 1 soit 20% sont de bonne qualité et 4 soit 80% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Une (1) photocopieuse était de marque et de série kodak soit 1,32% des photocopieuses, qui sur 43 copie tirées, 4 soit 9,30% sont de bonne qualité et 39 soit 90,70% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées). L'état de fonctionnement des photocopieuses des opérateurs de photocopie aurait-elle une incidence significative sur la qualité des tirages ?

L'environnement de travail de l'opérateur de photocopie

L'environnement de travail peut s'éclater en Trois types d'emplacement de travail à savoir aux alentours de l'ancien parking de l'université, les enceintes des locaux de l'université, les résidences universitaires du campus de Cocody. Ces emplacements de travail peuvent se subdiviser en sept espaces de travail notamment à l'intérieur de magasins ; à la devanture de magasins ; dans des locaux réservés à l'activité de reprographie des services de l'université, dans des couloirs des locaux de certains départements de l'université, dans des kiosques à café, dans des cybercafés, ou autres endroits aménagés.

Les caractéristiques physiques de l'environnement de l'opérateur de photocopie : les conditions d'ambiance physique

L'environnement de travail nous permet de relever certaines caractéristiques des conditions de travail des opérateurs de photocopie à l'occurrence, les conditions d'ambiance physique qui concernent les conditions d'ambiance thermique, visuelle, sonore, de vibration, d'hygiène atmosphérique.

Les conditions d'ambiance thermiques

S'agissant des conditions d'ambiance thermiques, il faut relever que la photocopie, comme toute machine chauffe dans certains de ses compartiments qui à terme produisent de la chaleur. A l'instar de cette production thermique commune à toute machine, la photocopieuse comporte en son sein un four dont le rôle est de chauffer les feuilles, permettant ainsi l'action de reprographie (voir le principe de fonctionnement de la photocopieuse pp 15-17). C'est une partie de la photocopieuse, outre les autres compartiments, produit de la chaleur qui à terme peut élever la température de l'espace de travail rendant ainsi insupportable les conditions d'ambiance thermiques de travail. C'est ce qui explique en partie, le fait que la majorité des opérateurs de photocopie (voir tableau T15) utilisent plus la devanture de leurs magasin comme espace de travail plutôt que l'intérieure du magasin qui souvent est affecté à d'autre activités comme la photographie numérique ou le traitement de texte à l'ordinateur. D'autre encore préfère s'habiller en tee-shirt ou en chemise pagne, en tout cas en habit légers sans manche ou en manche courte (voir tableau T9).

Les conditions d'ambiance visuelle

En ce qui concerne les conditions d'ambiance visuelle, c'est la lumière du jour qui est la plus utilisé (dans la journée, entre 6h30 minutes et 17h45 minutes) et l'éclairage artificiel à la tombée de la nuit, pour ceux qui travaillent à la devanture de leurs magasins. Les autres, ceux qui travaillent à l'intérieur de leur magasin, d'un cybercafé, à l'intérieur des locaux de l'université, recourent à l'éclairage artificiel dans la journée tout comme à la tombée de la nuit. L'éclairage est donc normal pour ceux qui travaillent à la devanture de leur magasin et relativement faible pour les autres (voir tableau T15). La majorité des opérateurs de photocopie ne suivent pas correctement les consignes. Par exemple refermer le capot lorsque la touche copy de la photocopieuse est actionnée. Plusieurs opérateurs, lorsqu'ils ont beaucoup de copie à tirer répugnent de refermer à chaque fois le capot. Ce qui fait qu'ils reçoivent les éclats vifs de la lampe de la photocopieuse dans les yeux non protégés (voir tableau T15). Comme conséquence, plusieurs opérateurs souffrent de maux d'yeux (voir tableau T35c et graphique G11).

Les conditions d'ambiance d'hygiène atmosphérique :

Pour ce qui est des conditions d'ambiance d'hygiène atmosphérique, il est à noter que les photocopieuses, dans leur principe de fonctionnement utilisent de l'encre en poudre. Cette encre est, pendant l'opération de photocopie, pulvérisée (voir le principe de transfert de charge dans le fonctionnement de la photocopieuse pp 15-17). Ce qui va entraîner une suspension d'encre dans l'atmosphère de l'espace de travail des opérateurs de photocopie qui en plus ne portent pas de masque dans leur activité. Ces encres en suspension seront-elles progressivement absorbées par les opérateurs de photocopie. Conséquence, un bon nombre d'entre eux affirment souffrir de problème respiratoire et cardio-vasculaire (voir tableau T35c et graphique G11).

Les conditions d'ambiance sonore et de vibration

Concernant les conditions d'ambiance sonore et de vibration, il faut noter que la photocopie, comme toute machine émet du bruit et des vibrations. A l''instar de ces productions sonores et de vibration communes à toute machine, les machines vieillissantes produisent plus de bruit et de vibration quelque fois selon leur âge et leur état de fonctionnement. Or la majorité des opérateurs travaillent sur des photocopieuses d'occasion qui fonctionnent pour la plupart en mode dégradé. Ces machines vont donc produire plus de bruit et de vibration. Ces conditions d'ambiance sonore et de vibration exposent à terme lesx opérateurs à des problèmes auditifs et bien d'autres méfaits sur leur santé.

Les caractéristiques psycho-sociologiques de l'environnement de l'opérateur de photocopie :

Par caractéristiques sociologiques nous entendons ici l'espace de travail de l'opérateur de photocopie socialement construit, fortement marquée au niveau émotionnel, l'espace qui repartit des places plus ou moins valorisées définissant le cadre des enjeux professionnels.

La satisfaction par les opérateurs de photocopie de leur cadre de travail

L'analyse des données (voir tableaux T31, T32 et graphiques G25, G26) révèlent qu'à la question «êtes-vous satisfait de votre de cadre de travail? », sur 117 opérateurs de photocopie, 19 ont répondu « non, je ne suis pas satisfait » soit 16,36% ; qui pourtant, sur 172 copies tirées, 116 soit 67,59% sont de bonne qualité et 56 soit 32,56% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Vingt-neuf (29) opérateurs de photocopie ont répondu, « oui, passablement satisfait » soit 24,77%, qui cependant, sur 295 copies tirées, 240 soit 81,11% sont de bonne qualité et 56 soit 16,36% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Vingt-cinq (25) opérateurs de photocopie ont répondu « oui assez bien satisfait soit 21,03%, qui en revanche sur 188 copies tirées, 89 soit 47,29% sont de bonne qualité et 99 soit 29,09% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Quinze (15) ont répondu « oui très bien satisfait» soit 13,08%, qui par contre sur 132 copies tirées, 50 soit 14,55% sont de bonne qualité et 117 soit 35,57% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Vingt-neuf (29) ont répondu « oui, un peu satisfait », satisfait soit 24,77% ; qui pourtant, sur 265 copies tirées, 185 soit 69,64% sont de bonne qualité et 81 soit 23,64% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

La qualité du cadre de travail des opérateurs de photocopie aurait-elle une incidence significative sur la qualité des tirages ?

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non, pas

satisfait

oui, un peu

satisfait

oui,

passablement

satisfait

oui, assez

bien satisfait

oui, très bien

satisfait

Graphique G25: cadre de travail et la qualité des tirages

bonne qualité de copie

mauvaise qualité de copie

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5,00%

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non

oui un peu

oui

passablement

oui assez bien

oui très bien

Graphique G26: cadre de travail (%)

opérateurs de photocopie (%)

La sécurité sociale de l'opérateur de photocopie : La déclaration des opérateurs de photocopie à la Caisse Nationale de prévoyance sociale (C.N.P.S.)

L'analyse des données (voir tableaux T47, T48 et graphiques G37, G38) révèlent qu'à la question «êtes-vous déclaré à la CNPS? », sur 117 opérateurs de photocopie, cinq (5) ont répondu « oui » soit 4,08% ; qui, sur 31 copies tirées, sept (7) soit 23,34% sont de bonne qualité et 24 soit 76,66% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

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50,00%

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100,00%

oui

non

Êtes-vous déclaré à la CNPS

Graphique G37: fréquences des opérateurs de photocopie déclarés

à la Caisse Nationale de Prévoyance (CNPS) Sociale

fréquence

0,00%

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20,00%

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40,00%

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60,00%

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80,00%

oui

non

Êtes-vous déclaré à la CNPS

Graphique G38: La qualité des copies et taux de déclaration à la CNPS

des opérateurs de photocopie

bonnes copies

mauvaises copies

Cent douze (112) ont répondu « non » soit 95,92% ; qui, sur 1022 copies tirées, 705 soit 68,98% sont de bonne qualité et 317 soit 31,02% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

La déclaration à la CNPS des opérateurs de photocopie aurait-elle une incidence significative sur la qualité des tirages ?

Le rapport avec l'université de Cocody

L'analyse des données (voir tableaux T43, T44 et graphiques G27, G28) révèlent qu'à la question «êtes-vous satisfait des relations avec l'université? », sur 117 opérateurs de photocopie, un a répondu « non, je ne suis pas satisfait » soit 0,88% ; qui pourtant, sur 58 copies tirées, 55 soit 94,82% sont de bonne qualité et trois (3) soit 5,18% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Cinq (5) ont répondu « oui un peu satisfait » soit 4,17% ; qui, sur 292 copies tirées, 134 soit 45,78% sont de bonne qualité et 159 soit 54,22% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Trente-sept (37) opérateurs de photocopie ont répondu, oui, passablement satisfait soit 31,25%, qui, sur 360 copies tirées, 268 soit 74,28% sont de bonne qualité et 93 soit 25,72% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Graphique G27: Qualité de tirage et qualité de relation des opérateurs de photocopie avec l'université

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non

oui un peu

oui

passablement

oui assez bien

oui très bien

Opérateurs de

photocopie

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10,00%

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40,00%

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non

oui un peu

oui

passablement

oui assez bien

oui très bien

Graphique G28: Qualité de copies et qualité des relations des opérateurs de photocopie avec

l'université

bonnes copies

mauvaises copies

Trente-sept (37) opérateurs de photocopie ont répondu « oui assez bien satisfait soit 31,25%, qui, sur 176 copie tirées, 122 soit 69,33% sont de bonne qualité et 54 soit 30,67% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et mal cadrées)

Vingt (20) ont répondu « oui très bien satisfait» soit 17,50%, qui par contre sur 222 copie tirées, 189 soit 85,15% sont de bonne qualité et 33 soit 14,85% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées). La qualité du rapport des opérateurs de photocopie avec l'université aurait-elle une incidence significative sur la qualité des tirages ?

Le rapport avec la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d'Ivoire : FESCI

L'analyse des données (voir tableaux T45, T46 et graphiques G29, G30) révèlent qu'à la question «êtes-vous satisfait des relations avec la FESCI? », sur 117 opérateurs de photocopie, 45 ont répondu « non, je ne suis pas satisfait » soit 38,46% ; qui, sur 391 copies tirées, 251 soit 64,19% sont de bonne qualité et 140 soit 35,70% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

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10,00%

15,00%

20,00%

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35,00%

non

oui un peu

oui

passablement

oui assez bien

oui très bien

Graphique G29: Relation des opérateurs de photocopie avec FESCI

Opérateurs de

photocopie

0,00%

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non

oui un peu

oui

passablement

oui assez bien

oui très bien

Graphique G30: Qualité de copie et qualité des relations des opérateurs de photocopie avec la FESCI

bonnes copies

mauvaises copies

Trente-quatre (34) ont répondu « oui, un peu satisfait » soit 29,25% ; qui, sur 320 copies tirées, 230 soit 71,45% sont de bonne qualité et 90 soit 28,07% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Dix-neuf (19) opérateurs de photocopie ont répondu, « oui, passablement satisfait » soit 16,51%, qui, sur 178 copies tirées, 126 soit 70,45% sont de bonne qualité et 53 soit 29,55% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Quatre (4) opérateurs de photocopie ont répondu « oui assez bien satisfait » soit 31,25%, qui en revanche sur 45 copie tirées, 42 soit 93,11% sont de bonne qualité et 3 soit 6,89% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Quinze (15) ont répondu « oui très bien satisfait» soit 12,74%, qui par contre sur 119 copie tirées, 63 soit 52,96% sont de bonne qualité et 56 soit 47,04% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

La qualité des relations des opérateurs de photocopie avec la FESCI aurait-elle une incidence significative sur la qualité des tirages ?

Le syndicalisme

L'analyse des données (voir tableaux T41, T42 et graphiques G31, G32) révèlent qu'à la question «êtes-vous membre d'un syndicat? », sur 117 opérateurs de photocopie, 50 ont répondu « oui » soit 42,65% ; qui, sur 509 copies tirées, 408 soit 80,15% sont de bonne qualité et 101 soit 19,85% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

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10,00%

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oui

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Êtes-vous membre d'un syndicat

Graphique G31: fréquences des opérateurs de photocopie membre

d'un syndicat

fréquence

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oui

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Êtes-vous membre d'un syndicat

Graphique G32: Qualité de triage et syndicalisme des opérateurs de photocopie

bonnes copies (%)

mauvaises copies (%)

Soixante-sept (67) ont répondu « non » soit 57,35% ; qui pourtant, sur 544 copies tirées, 304 soit 55,89% sont de bonne qualité et 240 soit 44,11% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Le militantisme dans un syndicat des opérateurs de photocopie aurait-elle une incidence significative sur la qualité des tirages ?

Les caractéristiques professionnelles de l'environnement de l'opérateur de photocopie

Les relations professionnelle : rapport opérateur-clients :

L'analyse des données (voir tableaux T39, T40 et graphiques G33, G34) révèlent qu'à la question «êtes-vous satisfait des relations avec les clients? », sur 117 opérateurs de photocopie, dix (10) ont répondu « oui un peu satisfait soit 8,53% ; qui, sur 83 copies tirées, 49 soit 58,68% sont de bonne qualité et 34 soit 41,32% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

0

0,1

0,2

0,3

0,4

0,5

0,6

Oui, un peu

satisfait

Oui,

passablement

satisfait

Oui, assez

bien satisfait

Oui, très bien

satisfait

Graphique G33: qualité de triage et qualité des rapports des opérateurs de photocopie avec les clients (en %)

fréquence

(en %)

Quinze (15) opérateurs de photocopie ont répondu, oui, passablement satisfait soit 12,80%, qui cependant, sur 123 copies tirées, 70 soit 56,76% sont de bonne qualité et 53 soit 43,24% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Graphique G34: Qualité des triages et qualité des relations des opérateurs de photocopies avec les clients

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Oui, un peu

satisfait

Oui,

passablement

satisfait

Oui, assez

bien satisfait

Oui, très bien

satisfait

bonne qualité

de copie (en

%)

mauvaise

qualité de

copie (en%)

Vingt-neuf (29) opérateurs de photocopie ont répondu « oui assez bien satisfait soit 24,64%, qui, sur 247 copies tirées, 154 soit 62,07% sont de bonne qualité et 94 soit 37,93% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et mal cadrées)

Soixante-trois (63) ont répondu « oui très bien satisfait» soit 38,74%, qui par contre sur 599 copies tirées, 440 soit 73,38% sont de bonne qualité et 117 soit 35,57% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

La qualité des relations des opérateurs de photocopie avec les clients aurait-elle une incidence significative sur la qualité des tirages ?

Les relations interprofessionnelles : opérateur- opérateurs

L'analyse des données (voir tableaux T41, T42 et graphiques G35, G36) révèlent qu'à la question «êtes-vous satisfait des relations avec les autres opérateurs de photocopie? », sur 117 opérateurs de photocopie, neuf (9) ont répondu « oui un peu », satisfait soit 7,51% ; qui pourtant, sur 51 copies tirées, 6 soit 11,76% sont de bonne qualité et 45 soit 88,24% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Huit (8) opérateurs de photocopie ont répondu, oui, passablement satisfait soit 7,11%, qui cependant, sur 52 copies tirées, 12 soit 23,08% sont de bonne qualité et 40 soit 76,92% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

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50,00%

Oui, un peu

satisfait

Oui,

passablement

satisfait

Oui, assez

bien satisfait

Oui, très bien

satisfait

Graphique G35: relation des opérateurs de photocopie et leurs "collègues" (les

autres opérateurs de photocopie)

fréquence

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Oui, un peu

satisfait

Oui,

passablement

satisfait

Oui, assez bien

satisfait

Oui, très bien

satisfait

Graphique G36:qualité des copies et qualité des relations opérateur-opérateurs

 Bonnes copies

 Mauvaises copies

Cinquante cinq (55) opérateurs de photocopie ont répondu « oui assez bien satisfait soit 46,64%, qui, sur 379 copies tirées, 227 soit 59,89% sont de bonne qualité et 152 soit 40,11% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

Quarante-cinq (45) ont répondu « oui très bien satisfait» soit 38,74%, qui par contre sur 132 copies tirées, 50 soit 14,55% sont de bonne qualité et 117 soit 35,57% des copies sont mauvaises (peu lisibles, tachetées et/ou mal cadrées).

La qualité des relations des opérateurs de photocopie avec les autres opérateurs de photocopie aurait-elle une incidence significative sur la qualité des tirages ?

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