2.3.2 Enseignement
L'enseignement est la transmission des
connaissances par une aide à la compréhension et à
l'assimilation.
Exemple :
- enseignement assisté par ordinateur
- enseignement à distance
- un centre d'enseignement à distance
L'enseignement est encore une institution
englobant l'ensemble des activités et des organismes participant
à l'éducation scolaire. Il peut être
défini comme étant la division correspondant
à un niveau de l'organisation scolaire (un instituteur de l'enseignement
primaire) ou comme un domaine d'activité des
enseignants (travailler dans l'enseignement).
2.3.3 Enseignement primaire
L'organisation actuelle de l'enseignement primaire remonte
à plus d'un demi-siècle : des écoles réunies en
circonscriptions, sous l'autorité d'une inspectrice ou d'un inspecteur,
relevant d'une direction.
A partir de 1970, le fonctionnement de l'enseignement primaire
a été l'objet de maintes réflexions à l'interne.
Cependant, la priorité a été longtemps accordée aux
cahiers des charges et aux contenus d'enseignement plutôt qu'aux
structures.
www.geneve.ch/primaire/historique.html
2.3.4. Enseignement primaire au
Rwanda
i. Accès
Au Rwanda le taux brut d'inscription au niveau de
l'enseignement primaire, qui est passé de 89% en 1998 à 103,7% en
2002 et à 134,1% en 2004 (MINEDUC, 2004), est considérablement au
dessus de la moyenne de 75%, enregistrée dans la région de
l'Afrique sub-saharienne. Cependant, ce taux peut varier sensiblement d'une
région à l'autre. Il y a eu également augmentation du taux
net d'inscription au Rwanda, qui est passé de 74,1% en 2001 à
96,4% à l'heure actuelle (2003/4) (MINEDUC, 2004). Ce chiffre va de pair
avec les taux caractéristiques de la sous-région, et il est plus
élevé par rapport au taux de 71% enregistré en 1990.
Cependant, tous ces chiffres indiquent qu'il y a toujours un nombre important
d'enfants en âge de scolarisation qui ne fréquentent pas
l'école. Ces taux ne révèlent pas également le
profil de ceux qui ne fréquentent pas l'école. Au Rwanda, le
nombre important des populations défavorisées et des groupes
nouvellement vulnérables (dont les femmes et les ménages tenus
par les enfants, les orphelins et les enfants de la rue) exige l'adoption de
mesures particulières, afin d'assurer un accès équitable
aux différentes opportunités de scolarisation.
ii. Retention
Alors que les taux nets d'inscription nous donnent quelques
indications relatives à l'accès à l'éducation au
niveau mondial, ils ne reflètent cependant pas de façon
adéquate la participation réelle qui ne peut être bien
mesurée que par des données sur la fréquentation scolaire.
Le taux de réussite dans l'enseignement primaire au Rwanda, selon les
estimations faites par le MINEDUC, nous fournit le taux de promotion (P1-P6)
qui est de 18,0% en 2002, avec seulement 16,2% de filles terminant le niveau P6
par rapport à 19,8% de garçons. Ce chiffre est beaucoup moins
élevé par rapport à celui de 23% enregistré en
1997/1998, sans mentionner celui de 36% en 1990. Alors que la chute des taux de
réussite statistiquement implicite en 1997/1998 pourrait être
expliquée par des changements importants de la population rwandaise
entre 1994 et 1997, les autorités relèvent et combattent les
causes de la baisse des taux enregistrés en 2001/2002. Nonobstant, il
est toujours évident que les taux de réussite sont faibles,
particulièrement chez les filles.
iii. Qualité/efficacité
Bien qu'il y ait des améliorations sensibles dans le
recrutement/accès, la qualité de l'enseignement primaire demeure
un sujet de grande préoccupation pour le Gouvernement du Rwanda (GR).
Dans le but d'atteindre l'objectif de l'Enseignement primaire universel (EPU)
en 2010, le gouvernement se charge de la question de la qualité.
La qualité de l'enseignement primaire au Rwanda depuis
la période qui a suivi le génocide s'est
révélée jusque là problématique. Cela est
principalement dû au manque notoire d'enseignants qualifiés,
à un vaste programme de 12 disciplines et à une carence
prononcée en matériels didactiques appropriés.
De grands efforts ont été entrepris, en vue
d'accroître l'effectif d'enseignants dûment qualifiés. La
proportion des enseignants qualifiés est passée de 46% en 1998
à 85,2% en 2001/2002 sur le plan national. La qualité de
l'enseignement primaire a été davantage compromise par la
qualité du programme qui a été tout dernièrement
révisé en 1996 et en 1997. Cependant, un plan de révision
du programme d'enseignement s'étendant sur 6 années est
déjà mis en oeuvre. Le principal objectif est de réviser
les différents programmes de l'enseignement primaire et secondaire en
cours depuis 2003 (MINEDUC- NCDC, mars 2003). L'objectif principal visé
est d'aboutir à l'élaboration d'un programme qui n'aura pas
à répondre seulement aux besoins de l'élève et de
la nation, mais aussi aux besoins de qualité. La révision du
programme devra être guidée par la politique d'élaboration
des programmes de l'enseignement primaire et secondaire actuellement en
vigueur. La politique donne des directives sur les institutions qui devraient
être impliquées dans le processus de réforme, les principes
à suivre, le contenu
de programme, le mode de livraison et d'évaluation du
programme. Les domaines explorés en vue d'améliorer la
qualité de l'enseignement comprennent le contenu et le mode de livraison
du programme, la qualité des résultats obtenus et l'environnement
de l'apprentissage.
2.4. Système
d'enseignement au sein de l'ESCAF
Historique et aspect organisationnel de
l'ESCAF
L'ESCAF est une école primaire des parents fonde en
1995.
L'ESCAF est une école primaire des parents. En
tête il y a l'ensemble général qui se tient
régulièrement pour les problèmes majeures et juridiques
qui dépassent la responsabilité de la direction.
En second lieu il vient la direction de l'école en
troisième lieu il vient le corps de l'écoles ;
c'est-à-dire les enseignant, le personnel administratif et les
élèves.
2.4. Les activités du système actuel de
gestion de l'ESCAF
L'ESCAF est une organisation qui opère dans le
système éducatif dans le niveau près scolaire et primaire.
L'ESCAF reste une école dont le secteur d'activité est
privé. La tendance technologique dans l'évolution des
écoles reste un point culminant pour toutes les écoles du monde,
car un petit nombre des écoles ont des systèmes
informatisés qui leurs facilitent la transmission d'informations d'une
façon plus facile et plus rapide.
Du point de vue technique, les logiciels utilisés
restent ceux de traitement de texte et de tableurs. Le réseau interne
n'existe pas et la base des données centralisées n'existe pas.
- Inscrire les élèves pour le recueil et le
stockage des renseignements
- Identifier les différents types de Bourses (ADRA et
autres)
- Repérer les élèves qui se trouvent dans
une tranche d'âges donnée.
- Voir les élèves qui ont déjà
payé ou pas le Minerval.
- Visualiser tous les renseignements sur un
élève, y comprise sa photo.
- Lister tous les élèves inscrits dans une
classe.
- Lister les cours (et les enseignants respectifs)
programmés pour une classe
- Voir la charge horaire hebdomadaire d'un enseignant.
- Apercevoir le palmarès (Fiche de
délibération) pour chaque classe, c'est-à-dire (Noms
de l'élève, classement, pourcentage, nombre d'échecs,
liste des cours avec échecs)
Du point de vue de la faisabilité de la mise en place
du nouveau système d'information, le projet reste intact car l'outil
informatique nécessaire à la communication est disponible
à l'ESCAF, ce qui reste c'est de l'exploiter.
2.5. Problèmes identifiés dans le
système
Comme vu plus haut, la gestion actuelle des informations
à l'ESCAF présente beaucoup des problèmes. Sans
être exhaustif, nous avons identifié les problèmes
suivants :
Tous les activités cite si haut sont manuel
d'où le lenteur dans tous les activités de traitement des
données. ;
recherche d'un dossier archivé prend beaucoup de
temps ;
diffusion de résultats d'une façon rapide et
directe aux destinataires;
garder l'historique et/ou palmarès des
élèves
2.6. Solutions envisagées et
proposées
-Inscrire les élèves pour le recueil et le
stockage des renseignements dans une base des données.
-Identifier les différents types de bailleurs de fond
(ADRA et autres) facilement.
-Repérer les élèves qui se trouvent dans
une tranche d'âges donnés.
-Voir les élèves qui ont déjà
payé ou pas le Minerval
-Visualiser tous les renseignements sur un
élève, y compris sa photo.
-Lister tous les élèves inscrits dans une
classe.
-Lister les cours (et les enseignants respectifs)
programmés pour une classe
-Apercevoir le palmarès (Fiche de
délibération) pour chaque classe, c'est-à-dire (Noms
de l'élève, classement, pourcentage, nombre d'échecs,
liste des cours avec échecs)
-Visualiser/Imprimer/Archiver tous les bulletins d'une classe
en un seul clic
(Alternativement voir un seul bulletin, surtout utile au
moment des réclamations et pertes individuelles)
L'application aidera à la direction chargée de
gestion dans :
Classement de meilleurs élèves .A chaque fin
d'année, l'ESCAF discerne les prix à l'élève qui a
distingué plus que les autres.
|