VI-2-1-Les quotas d'eau :
Le tableau N°28, que nous obtenu à partir du
tableau N° , regroupe les volumes d'eau moyens réellement
alloués aux volumes prévus .il montre que dans les quotas
distribués que l'agriculture prend le plus fort (27,25
hm3, soit 28,68%) cependant, malgré cela, elle accuse un
déficit de 34,75 hm3, déficit que nous constatons
être le plus important car celui de l'industrie n'est que de 13,8
hm3 la ville est carrément excédentaire.
Tableau N°28 : quotas d'eau distribués et
les quotas prévus.
Secteurs
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Volume moyen consommé
1979-2015
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Taux(%)
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Volume prévu(Hm3)
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Déficit(Hm3)
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Agriculture
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27,25
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28,68
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62
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-34,75
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Industrie
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11,89
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12,51
|
15
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-3,11
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AEP
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31,60
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33,26
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18
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+13,8
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Total
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70,42
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74 ,45
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95
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-24,26(25,54%)
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VI-2-2-Le secteur agricole :
D'après la fig. N°22, nous remarquons que
trois(03) années attestent des valeurs de la consommation réelle
largement inférieures par rapport à la consommation annuelle.
· Année 1988-1989 : 6,58%
· Année 1989-1990 : 2,47%
· Année 2001-2002 : 12,80%
Ce sont trois années pendant les quelles l'agriculture
n'a presque pas bénéficié d'eau. La situation globale
étant que ce secteur n'a jamais en son quota prévu ( 62
hm3), en moyenne en effet la couverture du besoin n'a
été que de 43,95% sur la douzaine d'années
considérée .Nous notons même que la plus forte dotation
(1992-1993) n'était que de 78,84 % de ce qui était
prévu.
Ces quantités trop faibles ont
généré une défaillance dans l'irrigation du
périmètre. Nous -nous rendons compte en effet que les superficies
n'ont jamais atteint les14800 ha. Même que pour les années
(1988-1989 et 1989-1990 et 2001-2002), ces superficies n'ont été
que de et.
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