Il est indispensable qu'un système de santé
où qu'il soit ne manque pas des faiblesses internent qui chevauchent la
qualité d'offre des soins ; ainsi de façon
générale, c'est-à-dire (public-privé), la
République démographique du Congo (RDC) étant un pays en
voie de développement et pays à moyen (intermédiaire)
revenu selon les cinq dernières années sur le plan de la
croissance économiques et de la stabilité économiques, les
points à améliorer dentifiés dans ces systèmes
mixtes sont notamment à plusieurs niveau :
? Au niveau des prestations des services et des soins de
santé Nous observons à :
- Une faible qualité des services et soins offerts aux
patients suit au paiement insuffisant à l'acte et mauvaise façon
d'accueillir les patients pour la consultation.
- Une faible résilience des structures de santé
face aux éventuelles épidémies.
? Au niveau des infrastructures et
équipements
- Déficit de réhabilitation des structures
sanitaires et moins équipées conformément aux normes
standard ;
- Vieillissement des matériels des réanimations
et faible capacité
d'assurer la maintenance des infrastructures acquis (PNDS,
2020).
? Au niveau des ressources humaines de la
santé
- Déséquilibre de répartition
inéquitable des RHS, faible incitation et
fidélisation du personnel de santé entraîner
par un faible paiement.
- Développement des compétences d'autres
personnels limité en attende des ordres même dans certains cas
urgents.
- Corruption entre le personnel pour l'attribution des
tâches.
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? Au niveau du financement de la
santé
- Manque d'utilisation rationnelle de revenus perçu
par les patients (un partenaire) ;
- Faible allocation des ressources publiques au secteur de la
santé ;
- Insuffisance des mécanismes de partage des risques
et de financement de la santé, Inefficience et faible application des
procédures de gestion financière et insuffisance parfois
inexistence de système d'autofinancement pour le secteur privé
(PNDS, 2020).
? Au niveau de la gouvernance et du pilotage du
secteur de la santé
- Prise des décisions sans concerter autres parties
prenantes impliqué dans la gestion du secteur de santé ;
- Régulation du secteur insuffisante, faible
normalisation du secteur insuffisante et peu efficace ;
- Faible niveau d'exécution dans la mise en place des
réformes structurelles, Collaboration intra sectorielle difficile et non
optimale (PNDS, 2020).
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