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ÉPIGRAPHE
Une entité qui se veut rentable doit savoir faire le
choix sur les moyens qu'elle va mettre en oeuvre en fonction des objectifs
fixés afin de générer un bénéfice pouvant
lui permettre de maximiser sa valeur et préserver son
indépendance financière.
Peter DRUCKER
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DEDICACE
A ma très chère épouse Jeannette
TSHIALA MUSUMBU, l'os de mes os et la chaire de ma chaire. Quand je
t'ai connu, j'ai trouvé la femme de ma vie, mon âme soeur et la
lumière de mon chemin. Ma vie à tes cotés est remplie de
belles surprises. Tes sacrifices, ton soutien moral et matériel, ta
gentillesse sans égal, ton profond attachement m'ont permis de
réussir mes études. Sans ton aide, tes conseils et tes
encouragements ce travail n'aurait vu le jour. Que Dieu réunisse nos
chemins pour un long commun serein et que ce travail soit un témoignage
de ma reconnaissance et de mon amour sincère et fidèle.
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IN MEMORIAM
A toi mon cher père François MULENDA BEYA, que
la terre de nos ancêtres a arraché sitôt, tes souvenirs
innombrables marquants ne m'ont pas laissé indifférent, de
là où vous êtes, sachez que votre semence a porté
des fruits. Je ne saurai t'oublier papa.
Que ton âme repose en paix!
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AVANT PROPOS
La réalisation de cette oeuvre n'aura pas
été possible sans le concours de plusieurs personnes et
organismes qui ont contribué techniquement, moralement et
matériellement à l'accomplissement de notre travail social dont
il ne m'est pas possible de les citer tous nommément. Je voudrais
toutefois reconnaitre ici les apports et contributions des personnes et
structures ci-après :
Je voudrais exprimer ma reconnaissance au chef de travaux
François MUKENGESHAYI et à l'assistant
Théophile SHAMBA MBOSHAMBA, respectivement Directeur et
codirecteur de ce mémoire, pour leur disponibilité, leurs
conseils et orientations qui ont été essentiels à la
conduite du présent travail. Je voudrais les dire merci pour tout le
temps et la patience qu'ils ont pris en lisant les multiples moutures qui ont
été présentées et en m'apportant chaque fois
l'appui méthodologique nécessaire au développement d'un
raisonnement scientifique et critique.
A travers eux nous reconnaissons l'effort combien louable de
tout le corps académique et scientifique de l'ISES/KGA qui a
accepté d'assurer notre formation.
Nous remercions également les responsables de la
Société Vodacom du Kasaï Central pour avoir mis en notre
disposition tous les éléments nécessaires pour
l'élaboration de ce travail.
A ma mère Marie BIABU Luiza pour ton amour, ton soutien
et tes précieux conseils que tu ne cesses de m'apporter ;
A mon beau père Josué MUSUMBU TSHISABUNGI et ma
belle mère Christine MBOMBO MPUTU pour vos prière, votre amour,
vos conseils et vos soutiens morales durant ces dernières années
de formation ;
A mes frères et soeurs : Peter KAZADI MULENDA, Adolphe
BAKAJIKA MULENDA, Gaston MPONGO MULENDA, Angel LUPETU MULENDA, Sophie NSOMBA
MANYA, pour vos conseils pleins d'amour ;
Nos sentiments de gratitude s'adressent à vous oncle
paternel et maternelle il s'agit de : Florent BAJANA, Alphonse TSHIANDA, Louis
MUZEMBE, Léon LUMINGU, José KANYINDA pour vos conseils et
encouragements tout au début de notre cursus académique.
A mes amis et compagnons de lutte il s'agit de : Constatin
MUKENDI KABENGA, François NGINDU NGINDU, Jean-Claude NKINDA NKINDA,
Annie BAKADIA KANKU, pour votre assistance et vos soutiens morals, physiques et
matériels.
En fin à tous ceux qui, de près ou de loin ont
témoigné leur soutien, mais dont les noms ne sont pas repris sur
cette page, trouvent ici l'expression de notre profonde gratitude.
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LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS
+ Vodacom : voice data communication
+ UKA : Université Notre Dame du Kasayi
+ UNIKAN : Université de Kananga
+ ISES : Institut Supérieur d'Etudes Sociales.
+ P.N.B : Produit National Brut
+ P.M.E : Petites et Moyennes Entreprises
+ O.C.C : Office Congolais de Contrôle
+ SNEL : Société Nationale de
l'Electricité
+ REGIDESO : Régie des distributions d'eau
+ SA : Société par Action
+ SARL : Société par Action à
Responsabilité limitée
+ RDC : République Démocratique du Congo
+ GSM : Global System for Mobil
+ CDF : Francs Congolais
+ = : Egal
+ X : Multiplication
+ / : Division
+ - : Soustraction
+ + : Addition
+ $ : Dollars
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LISTE DES TABLEAUX ET GRAPHIQUES
LISTE DES TABLEAUX
Tableau N°1 : les comptes des M-pesa
Tableau N°2 : La réalisation des transferts
Tableau N°3 : Les retraits des comptes M-pesa
Tableau N°4 : Retrait d'argent Bis
Tableau N°5 : Retrait par un agent non
enregistré
Tableau N°6 : transfert d'argent par compte
Tableau N°7 : Recharge crédit par M'pesa
Tableau N°8 : Dépôt d'argent CDF
Tableau N°9 : Transfert d'argent M-pesa en CDF
Tableau N°10 : Retrait d'argent en CDF
Tableau N°11 : Les Supports mercatiques promotionnels
Tableau N°12 : Bilan 2017
Tableau N°13 : Bilan 2018
Tableau N°14 : Bilan 2019
Tableau N°15 : Bilan 2020
Tableau N°16 : Compte de résultat 2017
Tableau N°17 : Compte de résultat 2018
Tableau N°18 : Compte de Résultat 2019
Tableau N°19 : Compte de résultat 2020
Tableau N°20 : Bilan condensé de Vodacom en
valeurs Absolues
Tableau N°21 : Bilan condensé de Vodacom en Valeur
relatives
Tableau N°22 : Bilan systématique en valeurs
Absolues
Tableau N°23 : Bilan systématique en valeur
relatives
Tableau N°24 : Détermination du fond de roulement
net
Tableau N°25 : Détermination du fond de roulement
propre
Tableau N°26: Détermination du fond de roulement
Etranger
Tableau N°27 : Détermination du Ratio de Fonds de
roulement minimum
nécessaires
Tableau N°28 : Détermination du besoin en fonds de
roulement
Tableau N°29 : Détermination de la
trésorerie nette
Tableau N°30 : La Détermination de Ratio de
liquidité
Tableau N°31 : Détermination des ratios de
solvabilité, d'indépendance
financière et d'endettement
Tableau N°32 : La Détermination de ratios de
rentabilité et le levier
d'endettement.
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LISTE DES GRAPHIQUES
Graphique N°1 : Evolution des activités de 2017
à 2020.
Graphique N°2 : Evolution du mouvement de l'actif circulant
de 2017 à 2020. Graphique N° 3 : Evolution des dettes à
court terme.
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INTRODUCTION GENERALE
L'objectif primordial de toute entité est la recherche
de profit. Ainsi, dès le départ, elle se fixe des objectifs
précis à atteindre et ces derniers ne peuvent être atteints
que lorsqu'elle dégage une rentabilité suffisante,
c'est-à-dire son aptitude à sécréter un
bénéfice.
Une entité qui se veut rentable doit savoir faire le
choix sur les moyens qu'elle va mettre en oeuvre en fonction des objectifs
fixés afin de générer un bénéfice pouvant
lui permettre de maximiser sa valeur et préserver son
indépendance financière.
Par contre, nous avons remarqué que la plupart des
entités évoluant sur le territoire congolais et en particulier
l'entité Vodacom regorgent au sein d'elles des problèmes qui ne
leurs permettent pas de parvenir à optimiser leur rentabilité ;
entre autres : la mauvaise gestion, le manque d'innovation et d'autonomie, un
personnel non qualifié et incompétent etc. C'est la raison pour
laquelle notre sujet est intitulé ~ De la mercatique à la
Rentabilisation de l'exploitation de l'entité vodacom.
MUEPU Tshiamba Claude: Dans son mémoire qui
s'étale sur «les effets du marketing mix sur la rentabilité
d'une entité publique » il est arrivé à constater
que
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0.1. PRESENTATION DU SUJET
En effet, l'objectif principal du consommateur est de
satisfaire un besoin par acte d'achat du produit qu'il choisit. Avant le stade
de décision, il est soumis à l'influence des variables multiple
qui induisent ses motivations et ses freins, c'est ainsi que la mercatique
vient susciter chez le consommateur une réelle perception du produit et
les motivations qui vont le pousser à aller vers le produit qui est
présenté.
Ainsi, la mercatique joue deux rôles
complémentaires, celui de construire l'image de marque du produit et
celui de mettre en exergue les avantages de ce dernier par rapport aux produit
de la concurrence.
L'usage des stratégies mercatique est devenu courant en
République Démocratique du Congo.
Plusieurs maisons commerciales ventent la qualité de
leurs produits à longueur des journées pour arriver à
réaliser les bonnes affaires. À longueur des journées, les
spots mercatiques sont diffusées à la télévision et
sur des panneaux publicitaires implantés le long des artères de
la ville.
La mercatique a donc pris une ampleur telle qu'aucune
entité sérieuse, soucieuse de la promotion de ses
activités, produits ou services ne peut s'en passé.
0.2 L'ETAT DE LA QUESTION
Etant donné que le champ d'investigations scientifiques
est illimité et évolutif dans son contenu et dans ses formes,
Toutes questions qui se poseraient pour y apporter solution apparaissent comme
une goûte d'eau dans l'immensité d'eau de vérité
scientifique.
l'État de la question s'engage dans une démarche
à deux dimensions consistant d'une part, à prendre connaissance
des travaux qui ont été réalisés sur le
thème spécifique qui fait l'objet de sa recherche et d'autre
part, à se forcer de mettre la main sur des ouvrages de synthèse
qui font le point sur les grandes questions qui encadrent l'état de la
question retenue (JP FRANGIER, 1986,p.17).
Quelques travaux sur les entités de
télécommunication ont capté notre attention par leur
rapprochement à notre sujet d'investigation :
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le manque d'une organisation bien tracée du marketing
mix dans l'entité tend à la confondre a d'autre fonction comme la
vente. Cela a comme conséquence de se confronter à des
difficultés pour le planning et la mise en oeuvre des stratégies
marketing mix ;(,2017).
Nous sommes convaincus néanmoins qu'il existe des
imperfections et que l'on peut faire mieux ;
Il est indispensable d'enlever les défaillances
rencontrées dans les politiques et stratégies marketing-mix
pratiquées plus précisément en ce qui concerne la
disponibilisation des produits, la standardisation des prix sur toute
l'étendue de la territoire (le développement du réseau de
distribution ainsi que le rabattement des prix des produits en tenant compte
pouvoir d'achat des clients serait une bonne chose. Concernant le produit et la
promotion ; l'amélioration de la qualité des produits en se
référant surtout aux désirs du marché, non
seulement au contenu mais aussi au contenant avec l'utilisation des emballages
à usage unique.
TUBALEJE Ambroise : Dans son mémoire
portant sur « La mercatique comme facteur de compétitivité
des établissements de Microfinance , il est arrivé à
affirmer que la mercatique peut constituer un important facteur de
compétitivité pour les entités de micro finance, il peut
être intégrer même dans la gestion de structure à
petits capitaux et que la gestion du personnel a une influence réelle
sur la compétitivité des entités de micro finance. (20
18)
MUJINGA NKANGA Patricia : Dans son article
« les conditions mercatique pour développer un site Web rentable
pour l'entité. Il a apporté la lumière sur la mercatique
relationnelle de l'entité et comment ça favorise le
développement des nouvelles technologies. La mercatique du
troisième millénaire continue d'évoluer au système
de nouvelles technologies de l'information. (2013)
Le sujet de notre travail se distingue à ce qu'il
cherche à voir en profondeur les stratégies mercatique que
l'entité Vodacom utilise pour arriver à une bonne
rentabilisation.
0.3 CHOIX ET INTERET DU SUJET
0.3.1 CHOIX DU SUJET
Il est obligatoire qu'à la fin de chaque cycle,
l'étudiant finaliste présente un travail scientifique en rapport
avec les connaissances acquises.
Cependant, nous avons porté notre choix sur le sujet
que nous avons intitulé « de la mercatique à la
rentabilisation de l'exploitation de l'entité Vodacom », dans le
souci d'enrichir notre faculté intellectuelle et surtout de mieux
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comprendre comment l'entité de prestation des services
peut réussir ou échouer à travers les stratégies
conçues par le manager.
O.3.2 INTÉRÊT DU SUJET
Le présent travail a trois centres
d'intérêt, à savoir : intérêt personnel,
scientifique ainsi que l'intérêt pratique.
Sur le plan pratique : : Ce mémoire
sera comme un guide pour nos entités et autres visionnaires de bien
tenir compte des certains éléments de l'environnement
économique pour l'élaboration des bonnes stratégies
mercatique. Nous pouvons affirmer que la conclusion et les différentes
analyses de la rentabilisation éclaireront les responsables de
Vodacom/Kasaï Central d'améliorer les futurs résultats
relatifs à la rentabilisation et ça pourra impacter le
développement socio-économique de la province.
Sur le plan scientifique : Il pourra
constituer une documentation pour tout chercheur qui entreprendrait les
études sur la mercatique en exploitant les théories de
référence qui nous ont permis d'expliquer ces
phénomènes sous études.
Sur le plan personnel : Etant un futur
Gestionnaire des ressources financières, ceci constituera pour nous une
ouverture dans le monde financier dans lequel notre regard est focalisé.
En plus, l'étude nous permettra de comprendre et expliquer les
phénomènes sous études.
0.4 PROBLEMATIQUE
Il est demandé dans chaque travail scientifique
qu'avant d'entrer dans le vif du thème, de définir le mot «
problématique » afin d'éviter toutes
difficultés.
Pour le petit Robert elle est un ensemble des
questions que se posent les chercheurs dans un domaine bien
précis.(Paris 1997).
Pour MUKADI LUABA NKAMBA ; elle est un ensemble des
préoccupations et des questions que se pose un chercheur tout au
début de son étude et auxquelles il trouvera des solutions dans
la mesure du possible.(2015)
Pour nous, la problématique est un ensemble des
préoccupations, des problèmes ou d'interrogations majeures que se
pose un chercheur à propos d'une recherche scientifique donnée et
bien précise.
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La commercialisation des produits et services devient de plus
en plus complexe suite à l'intensification de la concurrence et à
la globalisation des marchés. Les entités ne doivent douter de
cet état des choses. L'entité doit s'adapter à son
environnement et à sa clientèle. Pour vendre, il ne suffit pas
que l'offre crée sa propre demande par des prix attractifs. Pour
être efficace dans la vente, il faut une stratégie Mercatique qui
implique le développement d'un programme ou plan dont les objectifs
seront de faire connaitre et valoriser son offre.
Nous assistons aujourd'hui à une situation où
les consommateurs se trouvent confrontés à une diversité
des services des entités de télécommunication à tel
point que la cible ou clientèle se trouve dans un embarras de choix.
Nous ne pouvons pas ignorer que les entités de
télécommunication exercent leurs activités dans un
environnement concurrentiel.
Cependant, les consommateurs sont exposés à des
pratiques Mercatique dont l'objectif et de les attirer, les inciter et les
fidéliser à la marque.
Ainsi, plusieurs entités de
télécommunication se trouvent face à forte demande de la
part des abonnés. L'entité vodacom est censée être
innovatrice et inventive pour faire face à la concurrence.
Eu égard à ce qui précède,
l'application des stratégies mercatiques est d'une importance capitale
parce qu'elles permettent à l'entité de répondre aux
exigences des abonnés.
C'est pourquoi nous nous posons les questions suivantes :
Sur base de quelle stratégie mercatique l'entité
Vodacom arrive-t-elle à gagner la part importante du marché ?
Comment à partir de la mercatique l'entité vodacom
parvient- elle à rentabiliser son exploitation ?
C'est au tour de ces deux questions que nous allons essayer
d'orienter notre discussion et y apporter, si c'est possible notre
contribution.
0.5 HYPOTHESES
Comme la problématique, l'hypothèse est un
concept très encombré par plusieurs définitions. Ici nous
gardons la définition de P. RONGER et M. GRAWITZ qui définissent
l'hypothèse comme « une tentative de réponse que le
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chercheur donne à la problématique,
réponse qu'il affirme ou infirme après investigation. (PINTO R.
et GRAWITZ M., 1976, p12 ).
Pour notre part, l'hypothèse renvoi à des
réponses anticipatives et provisoires à la question de recherche
soulevée par l'objet d'étude susceptibles d'être
validées ou invalidées à la longue.
Au regard de la problématique posée, nous
avançons les hypothèses suivantes :
? L'entité Vodacom gagnerait une part importante de
marché en utilisant les stratégies promotionnelles
orientées vers la publicité, la promotion des ventes, les
sponsorings, les relations publiques et la force de la vente.
? L'entité Vodacom parviendraient à rentabiliser
son exploitation en réduisant quelques prix des produits et cela
reflètera également la progression du nombre d'abonnés.
0.6 METHODOLOGIE DU TRAVAIL
Une étude n'est scientifique que dans la mesure
où elle adopte une démarche méthodologique
appropriée pour parvenir à ses fins. C'est ce qui fait dire
à Loshar et Chevalier : « Les méthodes sont les
différents procédés d'analyse susceptible de conduire
à une explication des phénomènes observés
».(Loshar et Chevalier, 1986, p.4).
0.6.1 METHODE
Nous concevons la méthode dans son sens strict qui est,
selon Georges Lapassade et René Lourou : « l'ensemble des
procédés d'interprétation des données, des
procédés d'intervention qui influent aussi sur la collecte des
données »(Georges Lapassade et René Lourou, 2001).
Pour notre travail de recherche, nous aurons jugé bon
de recourir aux méthodes suivantes:
1. Statistique : La méthode
statistique consiste à récolter les données
chiffrées d'une recherche pour en faciliter l'interprétation
(GAWITZ M.,1986 :16). Elle nous a aidé à récolter les
données chiffrées de notre questionnaire d'enquête, de
faire les interprétations et de les présenter sous forme des
tableaux en vue d'une bonne compréhension.
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2. Analytique : Elle permet d'analyser
systématiquement les informations ainsi que les données
récoltées. Elle insiste sur chaque cas et considère les
choses dans leurs détails plus tôt que dans leur ensemble.
(GRAWITZ, M.,opcit:702). Pour atteindre les résultats souhaités,
cette méthode nous a permit d'analyser les données
d'enquêtes collectées sur terrain par l'interview et par le
questionnaire.
3.Structuro-fonctionnelle: Selon PIAGET
cité par KAMPIRE M. Thérèse, cette méthode est
définit comme « un système de transformation qui comporte
des lois en tant que système et qui conserve ou s'enrichit, par le jeu
même de ses transformations sans que celles-ci aboutissent en dehors de
ses frontières ou fassent appel à des éléments
extérieurs ( KAMPIRE M. Thérèse, 2004)».
Elle a été utilisée pour décrire
le fonctionnement de l'entité VODACOM en général et son
système logistique en particulier.
0.6.2 TECHNIQUES
Contrairement à la méthode qui est une
conception intellectuelle permettant au chercheur d'atteindre un but, la
technique à son tour se présente comme étape des
opérations à des éléments concrets et
adaptés à un but défini.
Venant du « techné », la technique est un
moyen d'atteindre un but situé au niveau des faits, des étapes
pratiques, la technique implique donc l'utilisation d'outils, des machines, des
gestes ou d'étapes comportant des procédés
opératoires. Elle s'applique aussi comme étant un moyen
permettant au chercheur de disposer des données dont il a besoin afin
d'examiner pour comprendre l'outil mis à sa disposition.
Nous avons utilisé les techniques ci-après :
1.Observation directe : Ici nous serons
posés sur le terrain avec une grille d'observations, nous notons,
décrivons les comportements, des actes au moment où ils se
produisent et ce bien, cette technique qui nous aidera à descendre sur
le lieu de recherche qui est Vodacom Kananga, observer les comportements des
enquêtés.
2.Documentaire : Ici nous avons
fouillé tous ce qui est écrit ayant liaison avec notre domaine de
recherche. Il s'agit des ouvrages, des mémoires, des travaux de fin de
cycle, des rapports de stages, des articles, et des notes des cours.
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0.7 DELIMITATION SPATIO-TEMPORELLE
Une délimitation est une action de circonscrire,
délimiter pour atteindre un résultat escompté.
0.7.1 DANS L'ESPACE
Nous parlons de la mercatique à la rentabilisation de
l'exploitation de l'entité Vodacom Kananga qui est notre champ
d'enquête en vue d'analyser la mise en place de la mercatique pour
réaliser une bonne rentabilisation.
0.7.2 DANS LE TEMPS
Nous avons jugé utile de mener notre étude pour
une période allant de 2017-2020.Ces années se justifient par le
souci d'avoir les données fiables et plus récentes.
0.8 SUBDIVISION DU TRAVAIL
Ce travail est subdivisé en quatre chapitres :
? Le premier porte sur les généralités ,
dans lequel nous mettrons l'accent sur les définitions des concepts et
les grandes notions de l'entité.
? Le deuxième est axé sur les théories de
la mercatique et de la rentabilité
d'une entité dans lesquels nous montrerons de long en
large leurs utilités . ? Le troisième traite sur la
présentation de l'entité Vodacom entres autres son
historique et sa situation géographique ; et son
fonctionnement ;
? Le quatrième traite de la mercatique à la
rentabilisation des activités de l'entité VODACOM. Nous
montrerons de long en large les états financiers de cette
dernière.
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CHAPITRE I : LES GENERALITES
Après une brève introduction, nous abordons dans
ce présent chapitre les définitions de concepts de base et les
notions sur l'entité afin de donner les limites de notre
compréhension.
SECTION1: DEFINITIONS DES CONCEPTS DE BASE
Dans tout travail, il y a des concepts-clés qui
reviennent très souvent et dont la définition constitue un point
de départ pour la bonne compréhension de ce dernier. Il est donc
important, dans le cas de notre étude, de commencer par définir
les concepts-clés qui reviendront tout au long de notre travail. Nous
allons donc définir successivement les concepts: Mercatique,
Rentabilisation, Exploitation, et Entité.
I.1.1 LA MERCATIQUE
La mercatique est la discipline commerciale destinée
à établir les besoins d'une entité en matière de
stratégie, puis de les traduire en plan d'actions, en
développement de produit, pour optimiser ses résultats.
(WWW.L'internaute. fr. dictionnaire. Consulté le 20/03/2021)
Selon nous, la mercatique est une substance du terme anglais
marketing qui peut-être définie comme l'ensemble d'actions ayant
pour objectifs d'étudier et d'influencer les besoins et comportement des
consommateurs et de réaliser en contenu les adaptations de la production
et de l'appareil commercial en fonctions des besoins et des comportements
préalablement identifiés.
I.1.2.RENTABILISATION
La rentabilité est généralement
considérée comme l'une des références fondamentales
qui orientent les décisions et les comportements des entités.
Elle est définie par le rapport entre le résultat obtenu et les
moyens mis en oeuvre.
Selon nous, la rentabilisation est l'action de rendre rentable
une entité, une opération, un processus, une exploitation. Dans
le cas d'espèce, quand nous parlons plus de la rentabilisation de l
»exploitation ; c'est le fait de rendre rentable l'ensemble des moyens
engagés dans un processus nécessaire et suffisant de production,
de vente, de prestation de service, pour obtenir un bénéfice
nécessaire et suffisant.
suivante.
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I.1.3. L'EXPLOITATION
C'est l'activité économique de l'entité.
En d'autres mots. C'est la mise en oeuvre des moyens propres pour atteindre le
but social de l'entité. Par ces moyens, elle se procure des revenus qui
sont destinés à la rémunération des facteurs de
production et à la réalisation du profit.
Triple aspects de cette activité économique qu'est
l'exploitation :
ASPECT FINACIER : La recherche des capitaux
nécessaire et l'affectation de ces capitaux aspects qui est
étudiés dans la partie de l'étude de la fonction
financière ;
ASPECT TECHNIQUE : L'organisation des
opérateurs de l'exploitation ; examiné principalement dans
l'étude de la fonction technique ;
ASPECT ECONOMIQUE : Les relations de
l'entité avec les marchés des matières, des crédits
des ventes étudié surtout dans la partie qui traite de la
fonction commerciale.
I.1.4. L'ENTITE
L'entité peut être définie de plusieurs
façons, d'après l'aspect que l'on veut mettre en évidence
; l'aspect économique, l'aspect juridique, l'aspect d'organisation,
l'aspect social... une seule définition universelle est difficile
à imaginer.
On pourrait définir l'entité ainsi ;
L'entité est une cellule économique où
sont combinés, à l'initiative et sous la responsabilité de
l'entrepreneur, les facteurs nature, travail et capital, en vue de la
production de biens et de services dans un but de lucre ou encore.(BRENNEMANN,
R. et SEPARI, S.,2001, P3)
Dans une économie, la valeur ajoutée se
crée uniquement à l'occasion de la vente des produits
fabriqués et de la vente des services vendus. Le « out put »
d'une entité peut devenir le « in put » d'une entité
suivante. L'économie du marché doit ainsi être
considérée comme un grand réseau d'entités
où la totalité des valeurs ajoutées de toutes ces
entités constitue le produit national brut (le P.N.B) d'un pays. Le
niveau du P.N.B d'un pays est un thermomètre qui permet de mesures le
degré de prospérité (ou le degré d'appauvrissement
du pays.
Pour clore, nous définissons l'entité comme
étant une unité économique regroupant des moyens
financiers, techniques et humains. En vue de produire et de vendre des biens et
services sur un marché à d'autres agents économiques.
De ce qui précède, développons cette
notion dans la section
Page | 11
SECTION 2 : NOTIONS SUR L'ENTITE
Ainsi, entité désigne « indifféremment
une personne morale ou
physique.
Pour satisfaire ses besoins, l'homme consomme des biens et des
services . Le rôle de l'entité est de produire ces biens et
services pour les vendre aux consommateurs.
I.2.1. RÔLE ET IMPORTANCE
L'entité joue un rôle important- dans le milieu
où elle est installée.
Elle participe au développement économique du pays
par :
? La création des richesses ;
? La distribution des revenus ;
? L'amélioration du bien-être social ;
? La création de l'emplois.
I.2.2. FONCTION DE L'ENTITE
Une entité économique renferme un certain nombre
des fonctions qui lui permettent d'atteindre ses objectifs ou mieux d'assurer
son fonctionnement. Les fonctions sont des parties interdépendantes,
jouant chacune le rôle qui lui est réservé dans la
structure globale. Elles varient d'une entité à une autre selon
la nature, la taille, les activités exercées et les objectifs
suivis par celle-ci.
Cependant, quelle que soit la taille de l'entité, on
dénombre avec FAYOL, six fonctions essentielles que l'entité soit
simple ou complexe, petite ou grande, ces sept fonctions s'y retrouvent
toujours. Ce sont :
1. FONCTION FINANCIERE
Rien ne se fait sans l'intervention de cette fonction.
Beaucoup d'entités qui auraient pu être prospères meurent
par manque d'argent ou capitaux. FAYOL conclut que la condition essentielle du
succès et d'avoir une gestion financière saine. En d'autres
termes, l'entité a besoin de capitaux pour se constituer, pour
fonctionner et pour se développer. C'est à la direction de
l'entité qu'incombe la charge de résoudre les problèmes de
financement ; elle doit donc lui procurer les fonds qui lui sont
nécessaires, soit à court terme, soit à long terme. Et
elle doit aussi s'assurer que ces capitaux sont utilisés dans les
meilleures conditions de rentabilité.
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2. FONCTION ADMINISTRATIVE
C'est elle qui doit diriger et coordonner les autres
fonctions. Le rôle de la fonction administrative croit
parallèlement à l'importance de l'entité. Plus une
entité est grande, plus les chefs doivent posséder des
qualités d'administrateurs. Dans une petite entité, le chef peut
être technicien ; il peut être moins administratif. Mais dans une
grande entité il doit être avant tout administratif.
La fonction administrative se définit comme suit :
« administrer » c'est prévoir, organiser, commander,
coordonner et contrôler. Si cette définition traduit la nature de
la fonction, elle ne doit pas laisser croire cependant qu'il s'agit d'actes
totalement indépendants ; on ne peut pas organiser sans prévoir
en même temps, et l'organisation contient une part de coordination et de
contrôle (le commandement suppose aussi le contrôle de
l'exécution).( A. VERHULST, p. 35).
3. FONCTION COMPTABILITE
La fonction comptable, en est le système nerveux en
tant que celui-ci, présent toujours et partout, renseigne le cerveau sur
le fonctionnement des organes et l'action des membres. En d'autres termes,
c'est l'organe de vision de l'entité, qui permet de savoir à tout
moment où l'on est et où l'on va. Elle est chargée de la
saisie des informations produites au sin de l'entité, afin de
déterminer le résultat et d'informer la direction
générale pour la prise de décision.
4. FONCTION COMMERCIALE
Pour FAYOL, la prospérité d'une entité
dépend souvent de la fonction commerciale. Car si le produit ne
s'écoule pas, c'est la ruine, savoir acheter et vendre est aussi
important que savoir fabriquer. Cette fonction est chargée de
l'écoulement des produits fabriqués par l'entité en vue de
gérer des recettes qui seront à la base de la
prospérité de l'entité.
5. FONCTION TECHNIQUE
Elle s'articule autour de l'organisation sur le plan
productif, c'est-à-dire l'organisation de la main-d'oeuvre et de
l'utilisation du matériel mis à la disposition de l'entité
ainsi que l'organisation proprement dite du travail. Elle englobe la
production, la fabrication, la transformation des produits dans les
entités.
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6. FONCTION SECURITE
Celle-ci est chargée de la protection des personnes et
de la sauvegarde du patrimoine de l'entité, elle organise la bonne
application et l'observance des règles d'hygiène dans
l'entité.
Pour FAYOL, la sécurité est l'oeil du
maître et le chien de garde de l'entité, c'est la police, c'est
l'armée dans un Etat.
7. FONCTION INFORMATIQUE
Cette fonction est nouvelle, mais très importante
actuellement dans tous les secteurs et surtout dans la vie économique;
elle joue un rôle de traitement automatique de l'information par l'outil
informatique qui est l'ordinateur. En fait cette fonction est indispensable
dans toutes les entités quel que soit sa taille ou nature
d'activités.
I.2.3. CARACTERISTIQUES DE L'ENTITE
Toute entité exige une accumulation préalable
des ressources de financement et l'organisation d'une capacité
productive, plaçant ainsi l'activité au coeur de la circulation
d'un ensemble de flux.
Toute entité du secteur privé ou public, et
toute entité d'économie mixte a un objectif principal
privilégié, c'est la maximisation de profit.
Nous énumérons entre autres quelques
caractéristiques communes à toutes entités :
y' Il y a un besoin initial de capital ;
y' L'entité fonctionne à l'initiative de sous la
responsabilité de l'entrepreneur
;
y' Il y a la recherche du profit ;
y' L'entité doit nécessairement exercer la
fonction de « produire ». produire ne veut pas nécessairement
dire fabriquer, en effet, le chauffeur de taxi est un producteur, le coiffeur
est un producteur... bien que ces personnes ne produisent pas un produit fini
tel que nous avons l'habitude de le concevoir ;
y' Le produit (bien ou service) est destiné à
l'échange ;
y' La répartition du profit se fait sous forme de
salaires (augmentés d'autres avantages comme primes , allocations,
indemnités,...) loyers ,intérêts,
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importants réinvestissements, répartition entre
associés, et également sous forme de profit pour l'entité
elle-même.
I.2.4. TYPOLOGIE D'ENTITES
La typologie des entités dans un environnement
économique donné dépend des actions politico-sociales
mises en place par le gouvernement du pays, il faut penser plus
particulièrement au système économique adapté. Pour
cela, il existe plusieurs critères pour classifier l'entité.
D'après leurs Production
? Les entités de production de biens ;
? les entités extractives, de transformation, de
construction ;
? Les entités de production de services ;
? les entités commerciales, de transport, d'assurances,
? les institutions financières.
D'après l'utilité Produite
Utilité élémentaire ; ces
entités produisent un élément qui servira de
matière
première ou de matière de consommation dans
l'industrie.
Exemple : Les entités agricoles et extractives (mines)
pêche, extraction d'hydrocarbures,...), d'élevage etc.
Utilité de forme : ces entités
donnent forme à des produits (out put) qui deviennent produits semi
ouvrés, matières consommables ou produits finis achetés
par d'autres entités (in put) ou par les consommateurs.
Exemple : Les entités industrielles
Utilité de lieu : les entités
de transport de personnes, de transport de biens, les entités de
distribution, les entités d'exportation ou d'importation.
Exemple : On n'est pas obligé de se rendre en France
pour se procurer des costumes elles sont importées par une entité
productrice d'utilité de lieu ;
Utilité de moment : les entités de
spectacle, hôtels restaurants tout comme les institutions
financières banques caisses d'épargne, assurances, entités
de crédit. D'après le secteur
La classification de l'économie en quatre secteurs
principaux selon la nature de l'activité résulte des travaux de
l'économiste anglais colin clark, repris par le théoricien
français Jean FOURASTE.
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Le groupement des activités économiques de
production se fonde sur la notion de secteurs d'activité. Un secteur
d'activité regroupe des entités de fabrication de commerce ou de
service qui ont la même activité principale dans une nomenclature
d'activité économique donnée. A la différence de la
branche d'activité, qui regroupe des unités de production
homogènes, un secteur regroupe des entités classées selon
leur activité principale.
Les entités du secteur primaire: elles
regroupent l'ensemble d'activités dont la finalité consiste en
une exploitation des ressources naturelles.
Exemple : Agriculture ; pêche, forêts, mines
gisements.
Toutefois, selon le point de vue, les industries extractives
peuvent aussi être classes dans le secteur secondaire.
Les entités du secteur secondaire :
celles qui au départ de matières premières et grâce
à un processus de transformation, livrent un produit fini à la
clientèle. Le terme « industrie » s'applique
particulièrement à ces entités.
Exemple : Industries manufacturières, construction.
Les entités du secteur tertiaire : Ex
: commerce, transports, activités financières, services rendus
aux entités, services rendus aux particuliers,
hébergement-restauration, immobilier, information-communication) ;
(Du tertiaire principalement non marchand
Exemple: administration publique, enseignement, santé
humaine, action spéciale.
les entités du secteur quartenaire :
c'est le plus récent dans les
classifications. il comprend un
ensemble hétérogène d'entités ou d'activités
qui ne peuvent être classées dans l'industrie (l'essentiel de ce
qu'ils vendent est intangible) ni dans les services ;
L'industrie culturelle qui désigne l'ensemble des
entités produisent selon des méthodes industrielles des biens
dont l'essentiel de la valeur tient dans leur contenu symbolique ;
Exemple : Edition de livres, production de musique, production
audiovisuelle, cinéma, télévision, radio, loisirs, jeux
vidéo, etc.
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L'industrie des télécommunications et de
l'information
Exemple : les nouveaux moyens de télécommunication
tels que : les satellites,
l'informatique internet.
D'après la taille
Les petites et moyennes entités (les P.M.E) ;
Les grandes entités ;
Les multinationales.
D'après le régime
? Les entités privées, dont le propriétaire
est une personne privée, ou
dont les associés sont des personnes privées
(personnes physiques
ou personne morales) ;
? Les entités mixtes qui appartiennent en partie à
l'État et en partie à
des personnes privées ;
? Les entités publiques qui appartiennent en
totalité à l'État (tous ces
organismes nationaux ; OCC, SNEL, REGIDESO etc.
D'après la forme juridique
o Les entités individuelles ou familiales ;
o Les entités sociétaires (SA, SPRL, SARL) et
autres.
I.2.5. CREATION DE L'ENTITE
Même si la démarche création
présente des caractéristiques universelles, les risques
dépendent en grande partie du type d'entité envisagé et de
notre propre profil entrepreneurial, et c'est la raison pour laquelle nous
devons analyser sérieusement notre profil, pour réduire les
risques qui pourraient surgir en raison de nos points faibles et utiliser au
mieux nos atouts en fonction de notre opportunité.
La création d'entités présentes, comme
toute oeuvre humaine, des risques, de sacrifices, mais aussi des satisfactions.
La réussite, elle, présente une démarche volontaire et
consciente, qui privilégié l'essentiel et se base sur le
fondement solide des entités performante ! La qualité des hommes
et des relations humaines dans l'entité afin d'offrir aux clients du
produit service de qualité. Toute démarche de la création
réussie, doit converger vers ce même but.
La réussite de la création d'une entité
exige une démarche rigoureuse et consciente, elle suppose de la part du
futur entrepreneur des qualités et des capacités
entrepreneuriales pour conduire de matière progressive et efficiente les
différentes étapes du processus de création ; cherche une
bonne
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idée de création d'entité vérifier
si cette idée constitue réellement une opportunité
exploitable, transformer cette opportunité en une entité viable
qui, dès son démarrage maximise son potentiel de
rentabilité et de croissance tel est le but de tout créateur
d'entité.
Le parcours du créateur d'entité suit une
progression en étapes présentées dans la figure
suivante.
ETAPES DE LA CREATION DE L'ENTITE
Adéquation entrepreneur
Stratégies personnelle
risations, banques,
tenaires négociat
Stratégie
d'entité
Mobilisation des moyens de l'entité
F lité
s
Réalisation du financement
Élaboration du plan des affaires
Bâtiments, matériels, moyens,
Mise à d humains.
Mise en place d'un système de gestion,
organisation
Idée opportunité
Besoin, idée, concept, étude de
l'opportunité prix produit, marché, clients
forces-faibles
Le créateur
Motivation profil
entreprenariat forces et faiblesses
Réalisation
Démarrage
Monte en capacité
Croissance et développement
Ce parcours consiste à :
v identifier une idée potentielle, opportunité
exploitable (éventuelle entité viable et saine),
v rechercher une cohérence du projet à travers
une étude de taille, de faisabilité ;
v Evaluation des différents éléments
susceptibles d'affecter son activité ;
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v lancer en suite les différentes opérations du
projet, et enfin ;
v démarrer d'une manière effective
l'activité et essayer d'atteindre la vitesse de croisière.
I.2.6. L'ENTITE ET SON ENVIRONNEMENT
On distingue généralement plusieurs variables
qui permettent de définir l'environnement de l'entité. Elles ont
une incidence plus ou moins forte sur le fonctionnement de l'entité.
ENVIRONNEMENT DEMOGRAPHIQUE
ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE
ENVIRONNEMENT
POLITIQUE
ENVIRONNEMENT
SOCIO-CULTUREL
ENTITE
ENVIRONNEMENT
ENVIRONNEMENT
TECHNOLOGIQUE
ENVIRONNEMENT
GEOGRAPHIQUE
LEGAL ET
INSTRUMENTAL
ENVIRONNEMENT INTERNATIONAL
L'environnement de l'entité est constitué de
l'ensemble des forces extérieures à l'entité qui agissent
et réagissent au profit ou à l'encontre de cette
dernière.
Un environnement Politique : Les
décisions politiques sur les thèmes de la fiscalité ou du
social par exemple vont se répercuter sur le comportement des acteurs de
l'entité.
Un environnement Economique : On retrouve ici
les grandes tendances liées à la conjoncture économique
comme la croissance, l'inflation, le chômage ou encore la politique
monétaire qui vont se répercutées sur l'activité de
l'entité.
Un environnement Socioculturel : Les facteurs
démographiques, culturels, morales ou l'évolution des modes de
vie peuvent en partie expliquer le comportement de l'entité et de son
marché.
Un environnement Technologique : Il comprend
les nouvelles avancées technologiques, les dépenses de recherche
et développement publics ou privées qui augmenteront la
productivité des entités.
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Un environnement Ecologique : Il
reflète à la fois l'évolution des règlementations
liées à la protection de l'environnement et celle des nouvelles
attentes des clients sur la dimension éthique des entités. On
peut aussi y intégrer les ressources naturelles que va utiliser
l'entité.
Un environnement Légal : Toutes les
sociétés devront respecter les lois, règlement et autres
décrets qui vont régir l'exercice de l'activité
économique.
ACTION DE L'ENTITE SUR L'ENVIRONNEMENT
? Par leurs décisions, les entités ont un impact
sur leur environnement. Par exemple, l'Implantation d'une entité dans
une ville peut avoir des effets positifs (Création d'emplois,
impôts payés aux collectivités locales) et des effets
négatifs (concurrence pour les activités déjà
installées, dégradation de l'environnement naturel...)
? Les entités tiennent à négocier avec
certaines parties prenantes, par exemple l'Etat, les concurrents ou à
créer un groupe appelé lobly représentant un
intérêt particulier, en règlementation qui lui est
favorable ou supprimer une réglementation défavorable .
CONCLUSION PARTIELLE
Dans ce chapitre reparti en deux sections il a
été question de définir tous les concepts de base afin de
bien comprendre le vrai sens de ce sujet. Dans la deuxième section axe
sur l'entité nous avons bien compris que pour assurer le
développement économique d'une région ou d'un pays, la
création de l'entité doit être accompagnée d'une
création de valeur.
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CHAPITRE II : THEORIES SUR LA MERCATIQUE ET LA
RENTABILiTE DE L'ENTITE
La rentabilité peut être définir comme la
capacité d'une entité à réaliser les
bénéfices sur une période donnée. La
rentabilité d'une action mercatique se traduit normalement par le fait
que le supplément de marge nette occasionnée par l'action soit
supérieur à l'investissement mercatique réalisé.
Nous allons dans ce chapitre repartir en deux sections voire les grandes
théories sur la mercatique et la rentabilité dans l'entité
Vodacom.
SECTION1 : LES FONDAMENTAUX DE LA MERCATIQUE
II.1.1. OBJECTIF DE LA MERCATIQUE
La mercatique répond à quatre principaux objectifs
qui sont : L'ETUDE DU MARCHE
La mercatique permet à l'entité Vodacom de
s'informer sur le marché grâce à un échantillon des
consommateurs qui donne leur choix avant le lancement d'un produit d'une offre
commerciale ou d'un nouveau concept.
L'INFORMATIQUE
La mercatique directe a pour objectif d'informer la
clientèle de tout évènement la concernant. Elle informera
la clientèle qu'il s'agisse de la mise en disposition d'un nouveau
tarif, d'une offre promotionnelle dont elle peut bénéficier (avec
le plus souvent un code promotionnel pour mesurer le retour), du lancement d'un
nouveau produit.
La mercatique directe sert également l'entité
Vodacom à informer régulièrement les actionnaires mais
aussi à stimuler la force de vente.
LA VENTE
La mercatique directe a pour objectif de réaliser un
chiffre d'affaire à distance soit à part entière
(entités qui vendent explicitement par correspondance ou par internet),
soit en complément des points de ventes ou de la force de vente, donc en
complément de surcuit de vente traditionnel.
Pour arriver à ces fins, l'entité Vodacom a
créé une relation avec le client pour lui vendre ses produits. Si
la relation commerciale existe déjà, qu'il renouvelle son acte
d'achat, en particulier si les ventes ont faiblit pour ses clients. Des moyens
sont alors mis en oeuvre pour capturer ou fidéliser
(réductions,
Ce qui est important, ce que cette conscience
créé dans une certaine mesure, le besoin.
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cadeaux, ...). Si l'achat ne se fait à distance,
l'objectif est de créer un trafic sur les lieux de vente pour essayer de
vendre.
LA FIDELISATION
L'objectif est de créer une relation de
proximité avec le client, de maintenir le contact. D'autre part, une
fois un nombre conséquent des clients acquis, la fidélisation
permet de réduire les couts commerciaux en développant le chiffre
d'affaire avec les clients acquis.
II.1.2. LE ROLE DE LA MERCATIQUE DANS L'ENTITE
ETUDIER LE PUBLIC CIBLE
L'étude du marché de destination d'un produit
est une phase indispensable quand on veut se lancer dans une aventure
d'entrepreneur. Lorsque cela n'est pas fait, on peut avoir des surprises
désagréables. En étudiant le public ciblé de
façon sincère nous pouvons comprendre leurs besoins et leurs
motivations. C'est sur cette base que l'entité prétend mieux les
servir.
LA RECHERCHE D'UNE IDENTITE
La mercatique pousse à la recherche d'inspiration et de
la créativité ces éléments sont deux
capacités qui ont fort à jouer dans les succès de
l'entité.
C'est à la créativité qu'il sera possible
que l'entité Vodacom se positionne sur des marchés aussi
saturés que l'immobilière, la téléphonie mobile ou
d'autres secteurs dans lesquels elle intervient
C'est lui qui permet d'aller à la rencontre des clients
et de les comprendre afin d'adapter le message à passer, il s'agit de
l'approche mercatique.
LES BESOINS DES CONSOMMATEURS
Comme nous l'avions abordé dans les points
précédents, la mercatique englobe non seulement les besoins des
consommateurs, mais contribue également à les créer, Cela
commence vraiment par la maitrise des consommateurs potentiels. Il est vrai que
la mercatique ne peut créer un besoin, mais des nombreuses campagnes de
la mercatique repose sur la sensibilisation à un produit une image et
sur l'opportunité de le posséder.
Nous ne disons pas non plus que la mercatique est une garantie
de succès, mais qu'elle facilite la vie de l'entité et
réduit des risques d'erreurs.
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II.1.3. IMPORTANCE DE LA MERCATIQUE DANS UNE ENTITE
AUJOURD'HUI
Les concepts clés de la mercatique incluent les
activités allant de la création du produit et du client. C'est
pourquoi il est aussi important de comprendre la durée de vie d'un
produit.
Tout cela fait bien évidemment l'objet de la mercatique
en entité.
La pratique de la mercatique prend également
l'initiative : « déployer », le nouveau produit au service sur
le marché, en préparant les communications nécessaires en
ciblant des marchés et des clients spécifiques.
Les leaders mesurent le succès en calculant le temps
par rapport au seuil de rentabilité et les unités vendus par
rapport aux provisions. La célébration de mercatique commerciale
lors que le point de croissement est atteint, c'est-à-dire que tous les
couts de conception sont consommés et la frontière de profit est
franchie.
Mais la participation et l'influence de l'équipe
mercatique ne finisse là. Leur responsabilité consiste en suite
à nourrir le produit, à le promouvoir et à communiquer
avec la clientèle. La servir d'ambassadeur de la marque à l'appui
de l'équipe de vente. Fournir des renseignements contenus sur le terrain
pour permettre l'adaptation à la conception initiale afin de prolonger
la chronologie du cycle de vie du produit.
Aujourd'hui c'est à cause de la concurrence sur le
marché que la mercatique est si important pour les entités,
améliorer la relation, analyser le comportement, étudier les
concurrences, surveiller la marque, optimiser la conversion, rechercher des
tendances, planifier des actions, sont quelques-unes des choses que la
mercatique peut faire pour l'entité.
Malheureusement des nombreuses entités voient toujours
la mercatique d'une manière très simpliste et pensent que cela se
résume à la distribution de dépliants, à la
publicité, à la création d'un site web, de vidéo et
à l'envoi d'Emails. Cela peut sembler exagéré, mais voir
la mercatique de cette manière, en plus de gaspiller des ressources, au
fil du temps, peut aboutir à l'échec d'une entité.
Page | 23
Comme mentionner précédemment, facilité
la compréhension du marché et la mise en oeuvre des actions
augmente les ventes et la rentabilité et identifier les tendances pour
une adaptation rapide.
Si nous sommes dans un nouveau marché nous devons
songer avant de faire des études et aussi des études mercatique
pour connaitre mieux la démarche mercatique et la facette de la
mercatique et ses stratégies ainsi que ses outils mercatique.
Si nous voulons lancer un business, nous devons avant tout
définir un plan mercatique, sans oublier de définir une
stratégie et le projet mercatique; car tout cela va définir
l'image de la marque. Avant de servir un client et de l'influencer, nous devons
le comprendre. La mercatique est pour ça. N'oublions pas que le
succès de l'entité est défini par ceux qui achètent
le produit et non par ceux qui le fabriquent.
II.1.4. LA STRATEGIE DE LA MERCATIQUE CHEZ VODACOM
Certaines stratégies courantes de la mercatique
permettent de créer une notoriété du produit et lui donner
un conteste qui stimule le désir de le posséder. En voici
quelques-unes, dont la démonstration de la rareté, le
développement d'un lien entre les consommateurs et le produit,
d'interroger avec les médias sociaux comme média mercatique,
Email mercatique et la détermination du besoin d'un produit, de modifier
des produits existants ou créer de nouveaux produits, de
déterminer le meilleur moyen d'atteindre les clients potentiels, par des
campagnes mercatiques et de confirmer des relations avec la
clientèle.
II.1.5. L'EVOLUTION DE LA MERCATIQUE ET SA DIMENSION
INTERNATIONALE
OBJECTIFS
Présenté l'évolution de la mercatique,
montre en quoi la mercatique à une dimension internationale.
Comment a évolué la mercatique ? Quelles sont les
tendances actuelles ? Comment la mercatique intègre-t-elle une dimension
internationale ? C'est autour de ces questions que nous débattrons ce
point.
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L'EVOLUTION DE LA MERCATIQUE QUELQUES DATES
> 1852 : Création du grand magasin au bon marché
par Mr Boucicaut qui
a mis en place les principales techniques de distribution.
> 1880 : Invention de Coca Cola qui va devenir la marque la
plus
puissante ;
> 1905 : Premier cours de la mercatique aux Etats Unis. En
France, il faudra
attendre 1965 ;
> 1940 : Eduard Leclerc ouvre son premier magasin à
Landerneau
(Bretagne) ;
> 1959 : Création du centre d'étude des sports
publicitaire ;
> 1978 : Loi Gorivener pour une meilleur défense des
consommateurs ;
> 1992 : Loi Neverty autorisant la publicité
comparative ;
> 1995 : Premier catalogue de vente par correspondance sur
internet par
les trois suisses ;
> 1996 : Loi Galland sur la grande distribution ;
> 1998 : Début du commerce.
b) LA MERCATIQUE DE MASSE
Elle apparait avec les produits de consommations de masse.
Les entités proposent aux consommateurs des produits
indifférenciés en grande quantité. Elle s'appuie sur:
y' Les études de marché ; avec principalement les
sondages qui permettent
de récolter l'avis et les attentes de consommateur ; y'
Les masses médias ; tels que la télévision, la presse, le
cinéma, la radio et
l'affichage qui permettent de toucher tout le public ; y' La
grande distribution ; qui voit ses débuts avec l'apparition des grand
magasins dès la fin de 19e siècle.
c) LA MERCATIQUE SEGMENTEE
Face à l'intensification de la concurrence et la
diversification des attentes des consommateurs, les entités segmentent
leurs marchés pour mieux satisfaire les exigences d'un client plus
exigeant. Les entités repartissent leur clientèle en petits
groupes pour lesquels elles adoptent une distribution et une communication
personnalisée. C'est ainsi qu'apparaissent dans les années 80,
les grandes surfaces spécialisées.
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d) LA MERCATIQUE INDIVIDUALISEE
Le consommateur souhaite de plus en plus acheter un produit
unique. Cet aspect de la mercatique est privilégié grâce au
développement des services qui nécessitent un contact
personnalisé avec la clientèle, au développement de
nouvelles technologies de l'information qui permettent la création de
fichier facilitant la fidélisation de la communication
intégrative par le biais d'internet.
LES TENDANCES ACTUELLES
On retrouve le client au centre de toutes les
préoccupations de l'entité. On parle la micro-mercatique. Elle
regroupe plusieurs formes de mercatique :
La mercatique relationnelle : qui a pour
objectif de créer ou de renforcer les liens entre le fournisseur et le
client grâce à une communication personnalisée et des
offres sur mesure.
La mercatique situationnelle : qui met en
avance le comportement du consommateur en fonction de ses besoins à un
moment donné dans une situation précise.
La géo mercatique : s'appuie sur des
critères géographiques tels que le lieu d'habitation de clients,
leur proximité avec l'unité commerciale. Cela permet d'optimiser
l'implantation de nouveau point de vente.
La mercatique évènementielle :
qui repose sur l'utilisation d'événements de la vue de
l'entité et de celle du client.
La mercatique olfactive : qui
privilégie le parfum d'ambiance souhaité par le client. Par
exemple l'odeur du pain.
La mercatique éthologique : qui prend
appuis sur l'observation du comportement de client dans les points de vente.
LA DIMENSION INTERNATIONALE DE LA MERCATIQUE
Pendant longtemps, la mercatique a été
délaissée à l'international. Les entités se
contentent d'exporter leurs produits et les variables mercatique telles que la
communication ou encore le prix était laissé à la charge
de l'entité importatrice. Aujourd'hui, les entités ne se
contentent pas de vendre leurs produits à l'étranger, mais elles
s'y installent avec leurs marques, leur politique de communication, leur
équipe, en bref, tout leur savoir-faire.
La démarche mercatique des entités peut être
:
Soit une démarche globale ;
Soit une démarche locale, adapté au pays
d'implantation.
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- LA MERCATIQUE GLOBALE : désigne une
politique identique sur tous les marchés du produit et de la marque.
Cette politique est possible pour des produits indifférenciés
culturellement. C'est le cas de l'essence, par exemple. Les clients ont les
mêmes besoins.
- LA MERCATICQUE LOCALE : Permet d'adapter
son produit et sa politique à chaque pays. Les entités prennent
en compte de données culturelles, économiques, etc. On peut
prendre comme exemple la poupée Barbie de Mattel qui, à son
lancement, en France, était blonde, cheveux longs, yeux bleus,
élancées. Dans les pays asiatique, la poupée Barbie est
brune, petite aux yeux bridés.
L'ESSENTIEL
Les débuts de la mercatique sont tournés vers
:
La distribution (les premiers grands magasins, les
premières grandes surfaces dominante alimentaire...). L'objectif est de
mettre un maximum des produits à la disposition des clients : C'est la
mercatique de masse.
Puis, les entités privilégient des produits
répondant au besoin d'une clientèle ciblée. Les
marchés des entités sont segmentés et on parle d'une
mercatique segmentée.
Actuellement, les entités recherchent une plus grande
satisfaction de leur clientèle en créant une relation
privilégiée grâce à la mercatique one to one. Les
évolutions restantes, de la mercatique voient émerger la
mercatique relationnelle, la mercatique olfactive, la mercatique
éthologique...
Les entités, face au contexte à la
mondialisation ne peuvent tester insensibles à la dimension
internationale de la mercatique. Elle peut arbitrer entre deux
stratégies : une mercatique globale qui leur permet d'attendre leurs
offres sans opérer des modifications et une mercatique locale qui adapte
l'offre existante aux contraintes du pays convoité.
II.1.6. TYPES DES MERCATIQUES AUJOURD'HUI
Il existe plusieurs types de mercatique qui répondent
tous aux mêmes objectifs : vendre son produit ou service,
fidéliser sa clientèle, identifier des nouveaux consommateurs aux
clients comme :
LA MERCATIQUE DIRECTE
C'est un type de mercatique des relations publics qui contacte
directement le client avec des biais de communication différents canaux
tels que les Emails, le téléphone, les réseaux sociaux
ainsi que tous les blogs de
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communication. Cette méthode est parfaite pour la
relation client et pour la communication mercatique qui est efficace afin de
déterminer les besoins exacts des clients avec le produit qui leur
correspond.
2. LA MERCATIQUE RELATIONNELLE
C'est la plus sollicitée. Elle est basée sur la
relation avec les clients et leur fidélité, ceci donc se traduit
par la communication continue avec les consommateurs et le maintien des
relations entre les deux parties. Il s'agit de la mercatique et
communication.
LA MERCATIQUE INTERACTIVE
Elle se base sur l'utilisation des divers moyens
technologiques et électroniques de communication et de multicanal
existant afin de pousser vers le plus de ventes possible de produit et
proposition de services. Ces différents moyens électroniques sont
les messages, les Smartphones, les ordinateurs, etc...
LA MERCATIQUE STRATEGIQUE
Elle analyse l'environnement, analyse du marché, le SEC
(segmentation, ciblage, positionnement de l'entité) et le SWOT
(méthode ou outil d'analyse stratégique de l'entité
pouvant être utilisé dans le domaine de mercatique pour une
entité). De plus, c'est une sorte de mercatique visant vers le
développement des moyens de vente et de commerce. Ceci en effectuant des
recherches sur les futurs envies et besoins des clients et en appliquant des
stratégies qui vont permettre de toucher plus de potentiels clients dans
le futur.
LA MERCATIQUE PRODUIT
Elle permet de vendre les produits qui sont au
préalable définis et préparés ou même
crées. Le but est de donner envie aux consommateurs d'utiliser ou
acheter le produit concerné.
LA MERCATIQUE OPERATIONNELLE
C'est l'action des 4F (produit, prix, place et promotion), de
contrôle et faire en feed-back (acte de retour). Mais aussi c'est la
complémentation des stratégies mercatique qui permet de mettre en
pratique les objectifs préalablement fixés durant la phase de
mercatique stratégiques, il fixe des actions et des moyens pour
atteindre les buts. C'est donc dans cette partie de la
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mercatique que comme la création et l'opération,
et ceci en mettant en oeuvres différents moyens comme par exemple des
affiches, des campagnes, du blog mercatique, du blog communication etc... Il
s'agit aussi de La stratégie de communication.
LA MERCATIQUE MELANGEE
Elle se définit comme l'ensemble des outils dont
l'entité dispose pour atteindre ses objectifs auprès du
marché-cible, regroupe l'ensemble des décisions et actions
mercatiques prises pour assurer le succès d'un produit, service marque
ou enseigne sur son marché. On considère traditionnellement que
les décisions et actions de la mercatique mélangée sont
prises essentiellement dans les quatre grands domaines qui sont : La politique
produit, la politique de prix, la politique de communication et la politique de
distribution.
II.1.7. LES PRINCIPALES TECHNIQUE DE LA MERCATIQUES
Quand on évoque la campagne mercatique, on pense tout
de suite à un immense plan d'action qui coûte une fortune et qui
passe principalement par les réseaux sociaux. Pourtant, avant de penser
à l'infinitif à faire une campagne qui révolutionne
l'exercice, il faut déjà maitriser les bonnes vieilles astuces
mercatiques, qui ont toujours le vent en poupe.
Il y a des méthodes pour faire parler de son produit
qui ont été utilisées et réutilisées mais
qui pourtant ne se demandent pas. Elles doivent venir en premier lorsque nous
nous lançons dans une campagne mercatique. Et combinées aux
nouvelles technologies, elle nous donne toutes les chances de succès !
bien sûr l'employé de notre campagne influera sur les outils que
nous devons utiliser.
1. BOUCHE A OREILLE
Et oui, rien de révolutionnaire, mais quoi de plus
efficace pour faire connaitre un événement que la bouche à
l'oreille !, les gens font confiance aux amis qui leur disent, tel
événement ou tel produit vaut le détour. Cette confiance
immédiate ne pourra jamais être obtenue par les
réseaux-sociaux. Pour profiter de cela, n'hésitons pas à
récompenser les clients plus fidèles pour qu'il vous rapporte
d'autres clients, en parlant autour d'eux du produit, service, ou
évènement. Pour ce faire, mettons par exemple en place un
système de parrainage qui les incite à aller dans le sens.
Encourageons également nos équipes à parler de notre offre
autour d'eux.
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LES RELATIONS PERSONNELLES
Ce deuxième point découle naturellement du
premier. Au lieu de chercher dès le début à déduire
en masse des inconnus, nous devons faire en sorte de connaitre et
séduire les personnes qui nous connaissent. Les gens en ont marre de
recevoir sans cesse des offres commerciales non personnalisées.
Essayons donc de nous construire petit à petit un
cercle de personne potentiellement par un de nos produits, prenons le temps
d'améliorer notre relation avec chacun d'eux, pour pouvoir ensuite le
convertir un client.
Et surtout, n'oublions pas, tout n'est pas gagné
lorsqu'ils ont acheté pour la première fois. Il est
nécessaire de leur demander leur avis, de leur faire des offres
spéciales, de faire sentir qu'ils ne sont pas de simple clients mais
qu'il existe au contraire, une relation forte entre nous. Maximisons le contact
humain autant que possible même la connexion la plus petite faire la
différence.
LES RENCONTRE DIRECTES OU PAR VIDÉOS
CONFÉRENCE
Et oui, internet est un outil formidable mais il a encore feu
de temps personne n'envisageait que les rencontres se fassent par le biais d'un
écran. Mais le confinement a commencé à tisser sa taille
et nous apprendre à communiquer autrement. Certes, elle ne peut
remplacer une vraie rencontre mais en attendant il vaut mieux utiliser ce moyen
plutôt que d'attendre la fin de cette pandémie du corona virus et
ne pas laisser les concurrents prendre notre place. Nous pourrons créer
une connexion forte avec nos prospect plus rapidement si nous nous le
rencontrons vraiment Cela prend plus du temps mais nul doute que le gain
l'arrivée est on signe Cela vaut de faire un effort
supplémentaire.
LE COURIER
Bien sûr, il ne s'agit pas ici d'envoyer massivement des
cartes par la poste à des inconnus. Il ne s'agit plutôt d'un envoi
personnalisé à un client, pour le remercier d'un achat, lui
fêter son anniversaire, lui proposer une offre spéciale,
l'informer sur un nouvel évènement qui devait
l'intéresser. Le plus important est que le message soit
personnalisé client sent que nous faisons un effort en ne passant pas
par un simple moule. Il s'agit d'un courrier, envoyé par une
entité à ses clients, avec objectif de créer avec ce
dernier une relation de maximiser. Il propose à ses clients pour les
remercier de leur fidélité des cadeaux, de bons
d'achat, des promotions le courrier de fidélisation
permet à l'entité de se
différencier en créant
un lien spécifique avec le client et l'encourage par ce biais à
rester fidèle a la marque. De plus, le courrier publicitaire ne
s'aventure pas n'importe quel jour de la semaine dans les boites aux lettres
.Il a établi un rythme comme celui par exemple démaquer sa
présence des promotions afin que le
Page | 30
client, guidé par les dates, se précipite dans les
magasins pour profiter de la réduction.
II. 1.8. LA MERCATIQUE ET SON ENVIRONNEMENT
L'environnement mercatique d'une entité est un
système ouvert avec une forte interaction avec son entourage. La
planification stratégique requiert l'analyse du milieu externe. Ses
variations conditionnent les activités des entités.
Les environnements ou principaux aspects à
considération d'un environnement mercatique sont :
- Démographie : Population : changement des lois,
jurisprudences, traités, garanties légales et groupe de
pouvoir.
- Technologies : inventions et innovations, leur diffusion, les
enquêtes et le développement.
- Milieux ambiants : restrictions, assignations de recours et
dégradation du milieu. Les entités se voient affecter par les
changements de milieu dans le but de connaître les interrelations des
variables, leur influence sur le marché de l'organisation, afin de
profiter des opportunités ou des tendances positives et éviter
les possibles menaces.
Dans un environnement hostile, changeant et difficile à
contrôler il devient nécessaire d'anticiper les problèmes
en prévoyant le futur.
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SECTION 2 : ETUDE DE LA RENTABILITE
Toute action économique met en oeuvre des moyens en vue
d'obtenir des résultats. Ainsi, une action est dite rentable lorsque les
résultats obtenus sont supérieurs aux moyens qui ont
été mis en oeuvre pour leur production, c'est à- dire
qu'il y a création d'un surplus monétaire.
La rentabilité est donc un revenu. C'est un indicateur
de l'efficacité de l'action de l'entreprise. Chercher la
rentabilité d'une opération, d'une activité, d'une
entité, c'est toujours ramener le profit ou la satisfaction que l'on
tire de cette activité à l'effort que l'on a dû consentir
pour la mettre en oeuvre.
Les managers, les actionnaires, les salariés, les
banquiers, s'intéressent à la performance des entités car
de cette performance dépendent leurs revenus. La performance d'une
entité peut s'apprécier de différentes façons. Elle
peut s'exprimer par le taux de croissance du chiffre d'affaires, par les parts
de marché, par sa position concurrentielle, etc. Derrière tous
ces éléments se trouve l'idée que l'entité doit
être rentable.
II.2.1. DEFINITION DE LA RENTABILITE
Selon COLAISSE B., le terme rentabilité est
défini comme l'aptitude de l'entité à secréter un
résultat exprimé en unité
monétaire.la rentabilité
peut-être définie comme l'aptitude d'une entité comme son
aptitude d'une entité pour sécréter un
bénéfice. (COLAISSE B, 1993, P.299),
Selon nous, la notion de la rentabilité est liée
à celle de bénéfice et d'une manière
générale on peut définir à produire un
bénéfice.
La rentabilité d'une entité s'apprécie
donc en comparant un résultat et la valeur des moyens mis en oeuvre pour
l'obtenir. Cette définition fait référence à deux
autres notions :
- l'efficacité ;
- l'efficience.
1. L'EFFICACITE
C'est la capacité d'une entité à
atteindre ses objectifs selon PHILIPPES CANUS, une action est efficace si les
objectifs sont atteints par exemple produire la quantité
demandée. (Philippe CAMUS,
D'après ALAIN MIKOL et ALS L'efficacité d'une
entité a longtemps été perçue comme concept
unis-dimensionnel et mesure pour un seul indicateur en particulier financier :
Chiffres d'affaire, profits, rentabilité. (ALAIN MIKOL et ALS, 1989,
P16)
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D'après note étude, nous avons compris par le
terme efficacité que l'entité vise à atteindre les
objectifs qu'elle s'est fixée quel que soit le niveau du cout
engagé ou les ressources utilisées. Donc la mesure de
l'efficacité d'une entité n'est que sa façon d'atteindre
ses objectifs.
L'EFFICIENCE
C'est l'aptitude d'une entité à atteindre ses
ressources. En dehors de ces termes, l'efficience se définit comme la
consommation des ressources pour atteindre l'objectif de la façon
optimale.
Selon Isabelle CALME et ALS, l'efficience implique en plus la
notion de rendement, il faut être efficace en combinant ou mieux les
moyens alloués, produire la quantité demandée en
optimisant le cout, elle tient compte de la façon dont les ressources
disponibles sont utilisées et compare les résultats
(prévus ou réalisés) aux moyens (prévus ou
réalisés).( Isabelle CALME et ALS, 2003, P 298)
En ce qui concerne l'efficience, nous avons compris que
l'entité ne vise seulement pas à atteindre aux moindres couts.
C'est-à-dire elle peut utilises afin d'atteindre les objectifs lui
assignés tout en dépassant des restaurées moins
élevées.
L'efficacité et l'efficience sont des termes
liés et complémentaires pour une entité. L'atteinte de ses
objectifs est l'un des succès au niveau de sa gestion par rapport aux
autres entités, et utilisations maximum de ses ressources dans sa
perspective d'atteindre ses objectifs, clarifie également
l'entité comme celle qui applique une bonne gestion.
II.2.2. ROLE DE LA RENTABILITE
La rentabilité dans une entité assure une
fonction fondamentale. Elle est le noyau, le centre de la structure
(entité, société, institution, industrie...). Elle assure
la pérennité de l'entité, lui permet de préserver
son autonomie financière.
II.2.3. EN JEUX DE LA RENTABILITE
La rentabilité représente l'évaluation de
la performance de ressources investies des apporteurs de capitaux. C'est donc
l'outil d'évaluation privilégié par l'analyse
financière.
La rentabilité rétrospective permet de calculer
un taux d'actualisation par le cout moyen pondéré du capital. La
rentabilité rétrospective est un outil difficilement utilisable
directement (à partir du résultat d'exploitation ou du
résultat net) pour évaluer les entités car elle est
biaisée par les décalages temporels de l'entité (dus aux
délais de paiement par exemple).
La rentabilité prévisionnelle permet d'utiliser
les flux de trésorerie pour assurer une évaluation prenant en
compte les décalages temporels de l'entité.
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II.2.4. CATEGORIES DE RENTABILITE
Dans le cadre de calcul de la rentabilité on distingue
trois catégories de
rentabilité, il s'agit de :
La rentabilité économique ;
La rentabilité financière ;
La rentabilité commerciale.
1. LA RENTABILITE ECONOMIQUE
Appelé aussi « rentabilité nette de
l'investissement » elle correspond à ce que les américains
et britanniques appellent « Return ou investissement » R.O.I. en
sigle. Elle mesure la rentabilité des capitaux investis et est
déterminé uniquement avant impôts, les capitaux investis
représentent les moyens mis en oeuvre par l'entité pour assurer
son activité. Ce sont les immobilisations et le besoin en fonds
déroulement d'exploitation.
Selon Annies PLANCHON, la rentabilité
économique mesure la capacité de l'entité à
s'enrichir. ( Annies PLANCHON, 1999, P131)
Selon nous, la rentabilité économique mais en
cause le rapport entre une mesure du résultat et les actifs
avancés afin de l'obtenir.
L'entité a besoin de l'ensemble de ses actifs pour
gérer ses bénéfices. Il est donc important de mesurer la
rentabilité quelle génère sur ses investissements.
Formule = la rentabilité économique
Une entité peut améliorer sa rentabilité
économique de deux manières
:
- Soit, à volume de ventes constantes, en augmentant
la marge réalisée sur chaque produit ;
- Soit, à marge initiateur constante, en augmentant le
montant de ventes, c'est-à-dire, la rotation.
2. LA RENTABILITE FINANCIERE
La finalité de l'entité est d'offrir une bonne
rentabilité à ses actionnaires ; il convient d'évaluer
cette rentabilité par rapport aux capitaux propres investis.
Les capitaux propres représentent l'ensemble des
ressources risquées par les associés à la création
de l'entité. Le résultat est la rémunération qu'il
tire de ce montant.
D'après GINGLIGER.E.; La rentabilité
financière mesure la rentabilité de l'entité du point de
vue de chaque pourvoyeur de fond, que ce soit des
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actionnaires ou de préteurs. En ce qui concerne la
rentabilité du point de vue des actionnaires, il s'agit d'estimer les
taux de rémunération du capital financier. (GINGLIGER.E, 1991,
P29)
C'est-à-dire la rentabilité d'investissement
réalisé par les propriétaires de l'entité
Selon nous, la rentabilité financière met en jeu
le rapport entre le résultat global de l'exercice revenant de
propriétaires et les montants de capitaux propres qu'ils ont investi
dans l'entité.
Formule : rentabilité financière=
résultat net sur capitaux propres.
Une entité peut améliorer la rentabilité
financière de deux manières.
- Soit en améliorant la rentabilité
économique dégagé par l'utilisation de l'actif ;
- Soit en modifiant la composition du passif, dans le sens du
recours plus grand à des moyens financiers empruntés et une
limitation relative des ressources risquées par les associés.
3. LA RENTABILITE COMMERCIALE
Elle a trait à la politique de prix de l'entité
et à la marge brute qu'elle prélève sur le prix de revient
des produits vendus.
La rentabilité est le résultat de la politique
générale d'une entité.
En d'autres termes, elle cherche à savoir combien gagne
une entité sur la vente de ses produits.
II.2.5. NOTIONS A NE PAS CONFONDRE A LA RENTABILITE
1. LE RENDEMENT
Est une notion utilisée plutôt par les
épargnants et investisseurs concernant les revenus directs de leurs
placements (dividendes, intérêts), notamment à taux
fixes.
S'il y ajoute les variations de valeur du capital pour obtenir
la rentabilité (parfois appelée « performance ») total
du placement, le secteur de l'immobilier utilise très fréquemment
le terme rentabilité afin de qualifier le ratio de flux, capital (loyer)
prix du bien immobilière.
LA PRODUCTIVITE (OU RENDEMENT PHYSIQUE)
Est le rapport d'un élément quantitatif à
un élément financière ou le rapport de deux
éléments quantitatif.
Par exemple ; on rapportera le chiffre d'affaires d'une
entité aux effectifs de cette entité pour exprimer la
productivité apparente d'un salarier. Ou
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alors on rapportera le nombre de véhicule par heure
travaillée pour exprimer la productivité du travail.
LA PROFITABILITE (OU TAUX DE MARGE)
Elle diffère aussi de la rentabilité. Ce dernier
est le rapport entre le résultat net et le chiffre d'affaire, et exprime
la capacité du chiffre d'affaires à créer un certain de
bénéfice.
CONCLUSION PARTIELLE
Dans ce chapitre nous avons bien compris que la mercatique
n'est pas là pour décorer, mais bien pour générer
un retour sur investissement claire pour notre entité.
Et aussi la rentabilité c'est un rapport entre ce que
l'entité perçoit comme revenu et ce que ça lui a
couté d'engendrer ses revenus. Cette notion s'applique notamment aux
entités, mais aussi à tout autre investissement.
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CHAPITRE III : PRESENTATION DE L'ENTITE VODACOM
Ce chapitre sera consacré en deux sections, dont la
première Parlera de la présentation de l'entité Vodacom
Congo et la seconde sera consacrée sur le fonctionnement du service
M-pesa.
III. 1 : DE L'ENTITE VODACOM CONGO
Cette partie traitera sur les points suivants :
l'identification, l'objet social, aperçu historique, les ambitions, la
structure organique, et les produits mis sur les marchés
déjà.
III.1.1 CADRE GÉOGRAPHIQUE
Vodacom Kananga se trouve sur le boulevard Lumumba ,quartier
malandji
,commune de Kananga et dans la ville qui porte le même
nom
Il est borné à :
L'Est : par le bâtiment grand hôtel
L'Ouest : par le Guest bouse EKAF&FILS
Au Nord : par le plus grand bâtiment de la ville immoloir
du Kasaï
Au Sud: par le bâtiment administratif
III.1.2. APERÇU HISTORIQUE
Vodacom Congo est une société sud africaine
créée par Monsieur
Alan K Nottgraig, chef exécutif officier de vodacom
group (PTY) Ltd-il eut la vision de lancer le réseau cellulaire en
Afrique du sud quand il travaillait chez TelcomCompany.
Le réseau vodacom fut lancé officiellement le
1er juin 1994, mais le système GSM à réellement pris un
envol quand vodacom à introduit le
système holding constitué des
sociétés suivantes :
? Vodacom Lesotho ; ? Vodacom Tanzanie ; ? Et Vodacom Congo.
Vodacom fut intéressée par le Congo car, selon
les analyses, la RDC ne disposait que de 100.000 téléphones pour
plus de 60 millions d'habitants. Ce qui représente un marché
potentiel non négligeables en dépit de l'environnement
économique qui y prévaut.
Page | 37
Voilà pourquoi vodacom a tenu à investir au
Congo. Sans précédent dans l'histoire des
télécommunications en RDC, son réseau cellulaire a
démarré officiellement le 1er mai 2002, courant
simultanément les villes de Kinshasa, Lubumbashi et Mbuji-Mayi, avec un
effectif de 62 personnes. En avril 2005, avec l'expansion du réseau,
vodacom couvre 130 villes et grandes agglomérations du pays.
L'entité compte un effectif de plus de 500 personnes dont :
420 agents permanents locaux ;
17 agents expatriés
135 agents temporaires et contractants de la maison Negroplis
A peine trois ans d'activités, historique de vodacom
est marquée par différentes dates de création, des
révolutions tarifaires alternées de progrès et d'expansion
qui caractérisent cette société.
Le 1er mai 2002 : lancement du réseau
simultanément à Kinshasa, Lubumbashi et Mbuji-Mayi sous la
direction d'Aliaune DIENG, chef exécutif officié et Henry
Stephan, chef opération officié.
Le 1er aout 2002 : début de la révolution des
tarifs de communication et lancement de la campagne « très,
très, très fort » grâce à laquelle le
coût de la minute de communication est passée de 18$ à
0,50$ pour les appels internationaux subdivisé en trois zones, à
raison de 0,40$ la minute pour la zone A constituée des pays vers
lesquels les congolais orientent l'essentiel de leurs appels, de 0,28$ la
minute pour tous les pays frontaliers et de 0,70$ pour le reste du monde.
Le 21 janvier 2007 : vodacom réalise, sous la direction
de Dietlof Mare, managing director et Gilbert NKULI, deputy managing director
le record d'être la première société cellulaire de
la RDC à franchir le cap de 1.000.000 d'abonnés, puis deux ans
après 2.000.000. Au mois de mars 2009, vodacom a totalisé
4.000.000 d'abonnés.
III.1.3. OBJET SOCIAL ET ACTIVITÉS
L'objet social de vodacom est principalement l'exploitation de
la télécommunication cellulaire sur toute l'étendue de la
RDC. Cet objet social consiste à installer, exploiter et entretenir un
réseau de télécommunication GSM sur tout le territoire
national. Le tout est fait aux fins de fournir des services de
télécommunications sur base commerciales variables.
Activités : vodacom croit en ce qu'il est son pouvoir
d'améliorer la vie des gens et leur offrir plus d'opportunités en
rendant possible, pour toutes les personnes d'Afrique, l'accès aux
télécommunications mobiles
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Cette entité à la volonté et les moyens
de le faire et s'efforce de le mettre en pratique de manière judiciaire
pour démocratiser les télécommunications.
La communication mobile est rendue possible grâce
à la technologie la plus innovatrice au monde : la
téléphonie cellulaire option GSM. Cette dernière continue
à développer et rendre possible les choses dont nous ne pouvons
même pas rêver aujourd'hui. L'entité Vodacom s'attache
à rester la plus compétente et la plus innovatrice dans cette
technologie, non seulement pour que chaque rêve se réalise mais
aussi pour inventer les rêves. Elle utilise sa passion et son bon sens
pour faire l'impossible. En vérité, Vodacom cherche à
faire l'impossible. Après quatre ans d'activités, vodacom Congo
constitue la fierté du pays on voit de ses impressionnantes
réalisations accomplies en si peu de temps : 35 Entretien avec un agent
de vodacom, Service Marketing, le01/02/2013.
Une croissance fulgurante du nombre d'abonnés (plus
d'un million d'abonnés en moins de trois ans d'exploitation) ;
Une participation active à la création d'emploi
tant direct (plus de 500 travailleurs permanent et temporaire) qui indirects
(des milliers d'emplois indirect à travers la sous traitante de certains
services et travaux tels que le nettoyer, la sécurité, la
maintenance et la construction des sites sans compter l'effet d'entrainement
économique crée par une activité (affrontement d'avion
pour les équipements, marché publicitaires utilisateur ou
utilisation de consommables etc.)
Une construction substantielle en budget de l'Etat à
travers la fiscalité et la parafiscalité, faisait de cette jeune
société l'un des plus grands contractuels.
III.1.5. STRUCTURES ORGANIQUES ET FONCTIONNELLES
Au niveau de son organisation effective et
régulière, vodacom Congo SARL est pourvue d'une double structure,
organique et fonctionnelle, qui permet des servir ses abonnés comme il
se doit. Elle assure à ses actionnaires la satisfaction et la
fierté de leur investissement dans Vodacom.
? Structure organique : la structure organique de l'entreprise
Vodacom est dotée d'un conseil d'Administration, et d'une direction
générale.
1. Le conseil d'administration
Il est dirigé par un président du conseil qui fait
rapport à l'assemblée des associés.
Elle a pour missions d'organiser la communication des produits
Vodacom, superviser aussi la promotion de tous ses produits.
Page | 39
2. La Direction
générale
Elle est dirigée par un directeur qui s'occupe de la
gestion de l'entreprise. Celui-ci présente les intérêts des
associés majoritaires de Vodacom international (PTY) Ltd.
III.1.5. STRUCTURE FONCTIONNELLE
La structure fonctionnelle de l'entité Vodacom est
dotée de la Direction des ressources humaines, la direction de la
facturation et de l'information, la direction technique, la direction des
ventes, direction du Marketing, la direction financière, et la direction
judiciaire.
1. Le directeur général
adjoint
Elle épaule la direction générale dans la
gestion quotidienne de l'entité. Elle représente les
intérêts des associés minoritaires de congolais (congolese)
wirilen Network.
2. Le directeur des ressources
humaines
Elle s'occupe de la gestion administrative et sociale des agents
de Vodacom Congo. Elle se consacre aussi ou recrutement des nouvelles
unités, à la formation et au recyclage du personnel de
Vodacom.
3. Le directeur de la facturation et de
l'information
Elle a pour mission d'assurer la facturation des produits vendus
(appareils téléphoniques, cartes sim et cartes
prépayées), de centraliser les données de l'entité
tout en amont qu'en aval.
4. Le directeur technique
Elle est chargée de la maintenance des
équipements, du charriot automobile de l'entité. Elle s'occupe
également de la gestion technique de toutes les villes et
localités couvertes par Vodacom Congo SARL.
5. Le directeur des ventes
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6. Le directeur mercatique
Dans le souci de rendre service efficace aux consommateurs ou
abonnés, plus que les concurrents, Le directeur mercatique
développe des stratégies
mercatique.
7. Le directeur financier
Elle s'occupe de la gestion financière de l'entreprise
ainsi que de
la coordination des différents services placés sous
sa tutelle il s'agit :
Service de contrôle de gestion ;
Service de comptabilité ;
Service de trésorerie
8.Le directeur juridique
Elle est chargée du traitement de tous les aspects
juridiques de Vodacom Congo.
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ORGANIGRAMME DE L'ENTITE VODACOM
ASSISTANT PERSONNEL D.G
ASSISTANT PERSONNEL DU
D.G.A
DIRECTEUR GENERAL ADJOINT
DIRECTEUR DE RESOURCES HUMAINES
DIRECTEUR GENERAL
ORGANIGRAMME
DIRECTEUR FACTURATION ET
TECHNIIQUE
DIRECTEUR JURIDIQUE
DIRECTEUR DES VENTES
DIRECTEUR FINANCIER
DIRECTEUR MARKETING
DIRECTEUR DE REGION
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III.1.6 OBJECTIFS ET AMBITIONS DE VODACOM
Les objectifs : la vision de Vodacom est que
les téléphones ne doivent pas être seulement l'apanage de
quelques privilégiés habitant certaines villes
particulières. Tous les congolais sont égaux et doivent avoir
droit au même traitement, accès aux mêmes services et ce,
à de prix uniformes ou qu'ils soient le pays Vodacom veut absolument
démocratiser les téléphones et cette
démocratisation signifie :
+ Etendre autant que possible la couverture du réseau
à travers le pays ;
+ Offrir une tarification réaliste et uniforme en
choisissant toutes les discriminations constatées dans le système
de tarification auprès d'entre opérateurs (tarif intra
réseau en local, intra réseau en national inter connexion en
local, inter connexion en national) ;
+ Mettre sur le marché des appareils de communication
d'excellente qualité à des prix abordables à la bourse de
toutes les couches de la population ;
+ Développement de grand réseau des cabines
publiques (Vodacabine) par ceux qui ne peuvent pas s'offrir un
téléphone personnel ;
+ Fixe le prix de la communication à des niveaux
acceptables. Avant Vodacom, une minute de communication coûtait 0,50$
pour un appel local et 1$ pour un appel international ;
+ En gros, accroître la télé
densité en courant la population vivant dans les zones les plus
reculées pour leur permettre de communiquer et d'échanger autant
que possible en élimant toutes les barrières liées
à la tarification et aux coûts des appareils de communication.
Ayant prévu sa véracité le slogan «
vodacom, leader dans le monde cellulaire » a conduit dès son
introduction, à des mutations notable du marché congolais de la
téléphonie cellulaire mobile.
Par le sérieux de son investissement et de son savoir
faire, Vodacom Congo a démontré qu'elle est bel et bien une
société dont le leadership a transformé le vécu de
congolais pour l'accès aux télécommunications jusque dans
les cours les plus reculés de la République.
Comme toute entité commerciale pour promouvoir l'image
de l'entité, elle doit lancée de la publicité à la
télévision ou à la radio, depuis sa
III.1.7. QUELQUES PRODUITS DEJA MIS MARCHE
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création où son installation en RDC. Vodacom
Congo à réaliser plusieurs à la télévision
tant qu'à la radio parmi les publicités que Vodacom Congo a
déjà produit voici quelques-unes citées ci-dessus :
La publicité de 2G à 4G (internet)
La publicité de Vodacom Kata Danse (concours de danse) La
publicité de Vodacom Super Star (concours de chantre) ; La
publicité de la force des fans ;
La publicité de Vodacom pour un Congo uni et fort ;
La publicité de M'PESA (porte monnaie mobile)
Parmi les publicités citées ci-haut voici la
publicité qui fera l'objet de notre étude c'est la
publicité de Vodacom M'PESA, facilitons nous la vie.
III.2. : FONCTIONNEMENT DU SERVICE « M-Pesa
facilitons nous la vie ))
III.2.1. Appréhension de l'action « M-pesa
facilitons nous la vie ))
M-pesa est un service de transaction financière qui
existe dans Presque trois pays d'Afrique entre autre : Kenya, Tanzanie et la
République Démocratique du Congo, C'est au mois de février
qu'Il a été conçu et il démarre au mois de
septembre et Il a déjà atteint les 35% de la population. M-pesa,
selon un agent marketing de Vodacom Congo. Il est composé en 2 parties
:
? Le M qui signifie mobile
? Pesa est un mot swahili qui signifie l'argent
Le M comme Mobile est un coefficient qui caractérise
l'alignement d'un corps munis à une traction ou mesure servant à
établir les rapports de propos entre les parties d'un indice,
unité de base, élément simple caractéristique d'une
structure répétitive. Le Pesa comme argent signifie
monnaie faite avec ce métal.
M-pesa est un service qui facilite les transactions
financières par téléphone d'envoyer et de recevoir de
l'argent instantanément. Ou c'est une solution de transaction
financière par téléphone qui nous permet d'envoyer et de
recevoir de l'argent instantanément. L'adhésion vodacom à
M-pesa peut :
? Transfert de l'argent en 2 personnes avec un compte M-pesa ;
? Transférer de l'argent d'un compte M-pesa à un
compte non abonné à ? Vodacom ;
? Recharger un compte ou un crédit d'appel grâce
à son propre compte ? M-pesa ;
Page | 44
? Faire des achats des biens et services chez tous les agents
M-pesa que l'on
retrouve aux supers marchés chez les vendeurs ambulants,
taxis, etc.
Le service M-pesa composé de deux sortes de compte :
? Un compte standard ;
? Un compte premium ;
? Un compte standard est un compte limité à 100$
par mois et par jour. Il a des limites toutefois ce compte peut s'effectuer
même à la maison. Il ne dépend pas de (mineur et adultes)
peuvent l'avoir.
Le compte premium c'est un compte logue pour en n'avoir ça
demande de bien s'identifier, il faut avoir : (la carte d'électeur,
passeport et permis de conduire) parmi les trois pièces
d'identité on n'admet pas les autres cartes de services vous pouvez
effectuer des transactions jusqu'à 3000 dollars par mois et 500$ par
jour.
III.2.2. Analyse des transferts réalisés par
Vodacom
Voici les treize tableaux d'analyse de transfert d'argent pour
une meilleure compréhension. Ces tableaux représentent chaque cas
pour la réalisation de service M-Pesa.
LES COMPTES DE M-PESA
TABLEAU N°1
Dépôt d'argent
Client M-pesa cash pour obtenir monnaie électronique
|
Compte
|
MIN montant
|
Max montant
|
Frais ($)
|
Standard
|
$1
|
$100
|
$0.00
|
Premium
|
$1
|
$3000
|
$0.00
|
Source : Vodacom M-pesa
Page | 45
LA REALISATION DES TRANSFERTS
Tableau N°2
Transfert d'argent
Compte M-pesa/compte M-pesa
|
Min Montant
|
Max Montant
|
Frais ($)
|
$1
|
$10
|
$0.10
|
$11
|
$20
|
$0.15
|
$21
|
$50
|
$0.20
|
$51
|
$100
|
$0.35
|
$101
|
$200
|
$0.55
|
$201
|
$300
|
$0.85
|
$301
|
$400
|
$1.25
|
$401
|
$500
|
$1.90
|
Source : Vodacom.
LES RETRAITS DES COMPTES M-PESA
Tableau N°3
Retrait d'argent
(par un client M-pesa enregistré)
|
Min Montant
|
Max Montant
|
Frais ($)
|
$1
|
$10
|
$0.30
|
$11
|
$20
|
$0.40
|
$21
|
$50
|
$0.60
|
$51
|
$100
|
$1.10
|
$101
|
$200
|
$1.70
|
$201
|
$300
|
$2.55
|
$301
|
$400
|
$3.85
|
$401
|
$500
|
$5.75
|
Source : Vodacom
Page | 46
Retrait d'argent bis Tableau N°4
Retrait d'argent
(par un client M-pesa non enregistré)
|
Min Montant
|
Max Montant
|
Frais ($)
|
$1
|
$10
|
$0.45
|
$11
|
$20
|
$0.60
|
$21
|
$50
|
$0.86
|
$51
|
$100
|
$1.55
|
$101
|
$200
|
$2.40
|
$201
|
$300
|
$3.60
|
$301
|
$400
|
$5.36
|
$401
|
$500
|
$8.00
|
Source : Vodacom
Vérification du solde/Mini relevé
Les 10 premières demandes du mois en cours sont
gratuites
A partir de la 11ème demande, on facture $0.50 par
vérification Modification/réinitialisation PIN elle est
gratuite.
RETRAIT PAR UN AGENT NON ENGISTRE Tableau
N°5
Retrait d'argent /jeton cash
(par un client M-pesa non enregistré/destination du
jeton
|
Min Montant
|
Max Montant
|
Frais ($)
|
$1
|
$500
|
000
|
Source : Vodacom.
Page | 47
TRANSFERT D'ARGENT PAR COMPTE
Tableau n°6
Transfert d'argent
|
Compte
|
Max/Jour
|
Max/mois
|
Standard
|
$100
|
$100
|
Premium
|
$500
|
$32500
|
Source : Vodacom M-pesa
RECHARGE CREDIT PAR M-pesa
Tableau n°7
Recharge crédit
|
Min
|
Max
|
Frais
|
0.20$
|
$100
|
0$
|
Source : Vodacom M-pesa
DEPOT D'ARGENT CDF
Tableau n°8 Tableau n°6
Dépôt d'argent
Client M-pesa dépose pour obtenir monnaie
électronique
|
Compte
|
Min Montant
|
Max Montant
|
Frais (CDF)
|
Standard
|
1,000fc
|
100,000fc
|
0.000fc
|
Premium
|
1,000fc
|
3000,000fc
|
0.000fc
|
Source : Vodacom M-pesa
Page | 48
TRANSFERT D'ARGENT M-pesa en CDF Tableau
n°9
Transfert d'argent
Compte M-pesa/compte M-pesa
|
Min Montant
|
Max Montant
|
Frais ($)
|
1,000fc
|
1,000fc
|
300fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
350c
|
1,000fc
|
1,000fc
|
550fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
1,500fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
2,300fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
3,500fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
5,200fc
|
Source : Vodacom M-pesa
RETRAIT D'ARGENT EN CDF
Tableau n°10
Transfert d'argent
|
Min Montant
|
Max Montant
|
Frais ($)
|
21,000fc
|
1,000fc
|
300fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
350c
|
1,000fc
|
1,000fc
|
550fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
1,500fc
|
1,000fc R
|
1,000fc
|
2,300fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
3,500fc
|
1,000fc
|
1,000fc
|
5,200fc
|
Source : Vodacom M-pes
Page | 49
CONCLUSION PARTIELLE
Dans ce troisième Chapitre, nous avons
présenté l'entité Vodacom Congo du fonctionnement t du
service M-pesa facilitons-nous la vie de Vodacom Congo. En disant que le
service M-pesa est l'un de service innovateur de Vodacom Congo qui consiste
à réaliser les transferts entre les différents clients de
cette entité.
Il s'agit là d'un service qui par les achats
réguliers de cartes ou des unités fait voir à la
société sa compétitivité face au concurrence. Toute
fois étant communicateur, nous avons décèle plusieurs
anomalies dans certains services ce qui fera l'objet de notre quatrième
Chapitre intitulé de la mercatique à la rentabilisation de
l'entité Vodacom.
? Lecture de la Bible : pour lire la Bible on
compose un sms avec le mot clé « Bible » suivi du livre, du
chapitre et du verset et en l'envoyant au 4000.
Page | 50
CHAPITRE IV: DE LA MERCATIQUE A LA RENTABILISATION DES
ACTIVITES DE L'ENTITE VODACOM
4.1. ORGANISATION DU SERVICE MERCATIQUE CHEZ
VODACOM
1. LE CHEF DU SERVICE MERCATIQUE
Le responsable marketing est chargé d'élaborer et
de proposer à sa direction les grandes lignes de la stratégie
commerciale de l'entreprise. Pour cela, il recueillie les informations sur les
attentes des clients et sur la concurrence.
2. CHEF DU SERVICE COMMERCIAL
Le responsable commercial est le chef d'orchestre de la
stratégie de vente de son périmètre. En lien avec la
direction, il est garant de son chiffre d'affaires et de sa marge commerciale.
Ses missions sont à mi-chemin entre l'encadrement des équipes
commerciales et la vente.
3. CHEF DU SERVICE APRÈS VENTE
Le responsable SAV (service après-vente encadre
l'équipe chargée de réparer les articles vendus. Il
élabore le planning, gère les absences et organise
régulièrement des réunions avec les personnels d'accueil
et de maintenance pour améliorer le fonctionnement du service.
4. LE CHEF DU SERVICE CLIENT
Le responsable service clients organise et met en oeuvre les
modalités de traitement des demandes des clients et des consommateurs,
à savoir les suggestions, les réclamations et les besoins, en
lien avec les services concernés comme la mercatique, le commercial et
la communication.
A. LES SERVICES MERCATIQUES
En dehors des services ordinaires de réception d'appels
et d'émission d'appels, Vodacom Congo offre d'autres services dont
près de la moitié constitue des innovations Vodacom.
Avec Vodacom qui est le « leader dans le monde cellulaire
», le téléphone a cessé d'être un simple
instrument d'émission des appels vocaux. Il remplit désormais
certaines fonctions au développement de nouvelles applications tels que
:
? Fax et Data : permet de nombreuses
applications telles que l'envoi et la
réception des Fax et l'utilisation du web avec toutes ses
applications.
Page | 51
> Internet : permet de réaliser une
connexion à l'Internet via un téléphone portable Gsm
contenant une SIM Vodacom.
> Blague du jour : consiste pour
l'abonné à recueillir sur son téléphone blague pour
égayez sa journée.
> Taux de change : Pour accéder au
taux de change du jour, selon la place ou le lieu de change de votre choix.
Faites « Taux listes », puis envoyer au 4000. Ensuite, faites par
exemple taux BCC.
> Sms vers E-mail : Pour l'envoi des sms
à une adresse électronique. Composez un Sms avec en premier lieu
l'adresse e-mail de votre correspondant, puis espacez, composez votre message
et l'envoyez-le au 4000.
> E-mail vers sms : Service qui vous
permet de recevoir ou de lire sur votre téléphone mobile des
e-mails directement à votre numéro de téléphone.
> Consultation Résultats Exétat par
Sms : Application mise au point par Vodacom Congo pour permettre
à ses abonnés de consulter ou obtenir des résultats des
examens d'Etat par sms.
> Prière du jour : Permet d'avoir
accès à la pensée du jour par une église ou un
pasteur, etc...
Comme il est pratiquement impossible que tout le monde puisse
se doter d'un téléphone personnel, Vodacom a
développé à travers l'ensemble de la République des
cabines publiques modernes permettant à toutes les couches sociales de
communiquer.
4.2. LES ACTIONS MERCATIQUE UTILISÉES PAR
VODACOM LES ACTIONS MERCATIQUES
1. SPONSORING
Le sponsoring est l'ensemble des actions de soutien
menées par une entité sponsor auprès de la
société vodacom. Sous forme matérielle ou
financière, le sponsoring consiste à fournir une aide à
une personne ou un organisme, en échange de contreparties publicitaires
favorisant l'image de l'entité.
Page | 52
2. LE MECENAT
Le mécénat se définit comme "le soutien
matériel apporté, sans contrepartie directe de la part du
bénéficiaire, à une oeuvre ou à une personne pour
l'exercice d'activités présentant un intérêt
général."
La mercatique stratégique est la démarche
d'analyse et de réflexion pour réaliser l'adéquation
offre-demande. Il s'agit d'un travail de long terme. Les actions de la
mercatique stratégique peuvent se diviser en trois catégories,
présentées conceptuellement comme des phases successives, mais
pas forcément consécutives dans la pratique.
Les actions de segmentation: Il s'agit d'identifier sur le
marché des groupes de consommateurs ayant les mêmes attentes
vis-à-vis du produit et devant donc réagir de la même
manière à une même stimulation marketing.
Différentes méthodes de segmentation peuvent être
utilisées de manière non exclusive. Citons la segmentation
géographique, la segmentation démographique (Selon le sexe,
l'âge, les catégories de revenus ou socioprofessionnelles...), la
segmentation comportementale (mode d'utilisation du produit, fréquence
d'utilisation du produit), etc.
Les actions de ciblage : Il s'agit, parmi les segments
définis à l'étape précédente d'en choisir un
ou plusieurs que l'entreprise va tenter de satisfaire. Le choix se fait en
tenant compte après une analyse interne (capacités de
l'entreprise : moyens humains et financiers, image de marque) et une analyse
externe (ressources requises par chaque segment, rentabilité de chaque
segment, force de la concurrence, législation...).
Enfin vient le Positionnement : les produits de l'entreprise
doivent être conçus en fonction des segments dont il vise à
satisfaire les attentes.
4.3. LES SUPPORTS MERCATIQUES PROMOTIONNELS CHEZ
VODACOM
Par définition, les supports mercatique sont des outils
de communication destinés à promouvoir à l'entite, de
diffuser le message et renforcer son identité de marque. Ils permettent
de fournir des informations clés au public cible.
VODACOM utilise ses supports mercatiques ci-après :
Page | 53
Tableau n°11 : LES SUPPORTS MERCATIQUES
PROMOTIONNNELS UTILISES CHEZ VODACOM AVEC LES AVANTAGES ET INCONVÉNIENTS
DE CHAQUE SUPPORT
SUPPORTS MERCATIQUES
|
AVANTAGES
|
INCONVÉNIENTS
|
AFFICHE
|
V Faible coût
V Facilité de diffusion
|
V Interactivité faible
V Classique, scolaire
|
|
V Peut atteindre un large public
|
V Ciblé sur l'information
|
|
|
V Passivité du public
|
LE DÉPLIANT
|
> Faible coût
|
V Interactivité faible
|
|
> Facilité de diffusion
|
V Classique, scolaire
|
|
> Support matériel concret
|
V Ciblé sur l'information
|
|
> Peu encombrant
|
V Peu adapté aux publics maîtrisant mal
l'écrit ou la
|
|
> Duplicable
|
langue
|
|
(photocopiable et
|
|
|
téléchargeable)
|
V Passivité du public
|
|
> Peut accompagner un
|
V Utilisé dans tous les
|
|
mailing et un courrier
|
secteurs (assurances,
banques, poste,
mutuelles etc.)
|
Page | 54
LIVRE
|
? Coût variable (coût de conception à amortir
sur le nombre d'exemplaires)
|
? Peu d'interactivité
? Classique, scolaire
|
|
? Facilité de diffusion
|
? Peu adapté aux publics maîtrisant mal
l'écrit ou
|
|
? Support matériel
concret
|
la langue
|
|
|
? Passivité du public
|
|
? - Peu encombrant
|
|
|
|
? Utilisation individuelle
|
|
|
?
|
BROCHURE
|
? Coût variable (coût de conception à amortir
sur
|
? Interactivité faible
|
|
le nombre d'exemplaires)
|
? Classique, scolaire
|
|
? Facilité de diffusion
|
? Peu adapté aux publics maîtrisant mal
l'écrit ou
|
|
? Support matériel, concret et peu encombrant
|
la langue
|
|
|
? Passivité du public
|
|
? Duplicable
|
|
|
|
? Utilisation individuelle
|
|
(photocopiable et
téléchargeable)
|
|
SITE WEB
|
? Attractivité
|
- Déshumanisation
|
|
? Rapidité (pour autant
que la connexion le
|
- Fluctuation des sites
|
|
permette)
|
- Support logistique
coûteux
|
|
? Actualisable facilement
|
|
|
|
- Coût lors de chaque
|
|
? Visibilité mondiale !
|
utilisation
|
|
o Accessibilité privée
|
- Coût de réalisation
|
|
possible
|
élevé pour une qualité professionnelle
|
|
|
- Utilisation individuelle
|
Page | 55
FICHE
|
+ Simple d'accès + Bon marché + Diffusion facile
+ Téléchargeable sur
Internet
|
> Peu attractif
> Scolaire
|
|
+ Opérationnel/centré sur l'action
|
|
ANIMATION
|
? Interactivité,
|
+ Compétences
|
|
construction de sens
pour chacun des
|
relationnelles,
organisationnelles et
|
|
participants
|
thématiques nécessaires
|
|
? Permet le travail sur les
représentations
|
|
|
? Permet l'expression
personnelle et le débat
|
|
|
? - Favorise l'implication
individuelle et collective
|
|
THÉÂTRE
|
? Attractivité
|
+ Salle adaptée
|
|
? Ludicité
|
+ Coûts de réalisation et de diffusion
élevés
|
|
? Permet d'atteindre les
|
|
|
représentations, de
|
+ Disponibilité limitée liée
|
|
mobiliser l'affectivité, la
|
aux subventions des
|
|
personne dans sa
globalité
|
comédiens
|
|
|
+ Nécessite une mise en
|
|
? Permet de mobiliser les
ressources de
l'imaginaire
|
place coordonnée
|
|
? Permet de mettre les
jeunes en projet
|
|
Page | 56
|
? Permet d'introduire ou
de clôturer un projet autour de la thématique
santé étudiée
|
|
EXPOSITION
|
? Attractivité
|
? Coût de réalisation
élevé
|
|
? Permet une
|
|
|
scénographie originale
|
? Local
|
|
liée à la thématique
|
adapté/matériel
|
|
étudiée
|
adéquat
|
|
|
? Transport de matériel
|
|
|
? Disponibilité faible
|
|
|
? Accompagnement pédagogique nécessaire
|
Source : Service mercatique de Vodacom
Page | 57
4.4. PRESENTATION DES ETATS FINANCIERS DE VODACOM ET
LEURS ANALYSES
Le souci majeur dans la présentation de ces
états financiers, est de montrer comment la VODACOM a pu rentabiliser
ses exploitation (activités commerciales) à base d'une pratique
mercatique appropriée. C'est ainsi que nous allons nous servir, comme
type de données, avec les bilans et comptes de résultats de
l'exercice 2017-2020 précisément dans la partie des exploitation,
pour voir comment, à partir d'une pratique mercatique appropriée,
la VODACOM arrive à récupérer le capital investis.
Sur ce, les ratios de gestion ou d'activité, de
rendement ou de rentabilité, nous aiderons d'avantage tout au long de
notre analyse.
Page | 58
TABLEAU N°12 : BILAN DE VODACOM, EXERCICE 2017, EN FRANCS
CONGOLAIS
ACTIF
|
PASSIF
|
COMPTES
|
INTITULE DES COMPTES
|
MONTANT BRUT
|
AMORT. & PROV.
|
MONTANT NET
|
COMPTES
|
INTITULE DES COMPTES
|
MONTANT NET
|
|
1. ACTIF IMMOBILISÉ
|
|
|
|
|
5. RESSOURCES
|
|
|
|
|
|
|
|
STABLE
|
|
|
*IMM INCORPORELLE
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*Capitaux propres
|
|
21.2
|
Brevets, licence, logiciels
|
3.545.754.545
|
-
|
3.545.754.545
|
10
|
Capital
|
|
|
|
|
|
|
12
|
|
54.819.584.342
|
|
* IMM. CORPORELLE
|
|
|
|
|
Report à nouveaux
|
|
|
|
|
|
|
13
|
|
19.895.878.634
|
|
Terrains
|
|
|
|
|
Résultat net de
|
|
22
|
|
62.315.618.718
|
-
|
62.315.618.718
|
|
l'exercice
|
-6.146.392.668
|
|
Bâtiments.
|
|
|
|
|
|
|
23
|
|
50.416.614.888
|
460.112.145
|
49.956.502.743
|
|
|
|
|
Matériel et Mobilier
|
|
|
|
|
|
|
24.4
|
|
435.749.782
|
120.640.185
|
315.109.597
|
|
|
|
|
Matériel de
|
|
|
|
|
|
|
24.5
|
transport
|
860.416.612
|
236.495.202
|
623.921.410
|
|
|
|
|
*IMM.FINANCIÈRE
|
|
|
|
|
|
|
26
|
Titre de participation
|
19.088.209.722
|
-
|
19.088.209.722
|
|
|
|
27
|
Autres
|
19.462.870.243
|
-
|
19.462.870.243
|
|
|
|
|
Imm.financière
|
|
|
|
|
|
|
|
TOTAL ACTIF IMMOBILISE
|
156.125.234.510
|
817.247.532
|
155.307.986.978
|
|
|
Total capitaux propres
|
68.569.070.308
|
|
|
2. ACTIF CIRCULANT
|
|
|
|
|
? Dettes
|
|
|
? Stock
|
|
|
|
16
|
financières
|
|
32
|
Mat.premier et
|
232.714.718
|
-
|
232.714.718
|
|
Emprunt et dettes
|
15.420.426.523
|
38.7
|
fourni.liés
|
303.562.215
|
-
|
303.562.215
|
|
assim.
|
|
Page | 59
|
Stock en consignation
|
|
|
|
|
|
|
|
Total stock
|
536.276.933
|
-
|
536.276.933
|
|
Total dettes financières
|
15.420.426.523
|
41.1
42.2
|
? Créances
Créance sur cession d'im.
Pers.avance et acompte
|
14.922.862.276
27.185.614.717
|
-
-
|
14.922.862.276
27.185.614.717
|
|
TOTAL RESSOURCES STABLES
|
83.989.496.831
|
40.1
47.12
|
6. PASSIF CIRCULANT Fournisseurs
Créditeurs divers
|
53.449.053.675
53.149.000.000
|
|
Total créances
|
42.108.476.993
|
-
|
42.108.476.993
|
|
TOTAL PASSIF CIRCULANT
|
106.598.053.675
|
|
TOTAL ACTIF CIRCULANT
|
42.644.753.926
|
-
|
42.644.753.926
|
56
|
7. TRESORERIE-PASSIF
Banques Crédit de trésorerie et d'acompte
|
10.490.028.427
|
50
51
52
|
3. TRESORERIE-ACTIF Titre des placements Valeurs
à encaisser Banque
|
101.135.704
91.749.750
2.931.952.575
|
-
-
-
|
101.135.704
91.749.750
2.931.952.575
|
|
TOTAL TRESORERIE- ACTIF
|
3.124.838.029
|
-
|
3.124.838.029
|
|
TOTAL TRESORERIE- PASSIF
|
10.490.028.427
|
|
4. ECART DE CONVERSION-ACTIF
|
- -
|
-
|
-
|
|
8. ECART DE CONVERSION-PASSIF
|
-
|
|
TOTAL GENERAL
(1+2+3+4)
|
201.894.826.465
|
817.247.532
|
201.077.578.933
|
|
TOTAL GENERAL
(5+6+7+8)
|
201.077.578.933
|
Source: Service de comptabilité Vodacom
Page | 60
TABLEAU N°13 : BILAN DE VODACOM, EXERCICE 2018, EN FRANCS
CONGOLAIS
ACTIF
|
PASSIF
|
COMPTES
|
INTITULE DES COMPTES
|
MONTANT BRUT
|
AMORT. & PROV.
|
MONTANT NET
|
COMPTES
|
INTITULE DES COMPTES
|
MONTANT NET
|
|
1. ACTIF IMMOBILISÉ
|
|
|
|
|
5. RESSOURCES
|
|
|
|
|
|
|
|
STABLE
|
|
|
*IMM INCORPORELLE
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*Capitaux propres
|
|
21.2
|
Brevets, licence, logiciels
|
3.584.413.841
|
-
|
3.584.413.841
|
10
|
Capital
|
|
|
|
|
|
|
12
|
|
54.819.584.342
|
|
* IMM. CORPORELLE
|
|
|
|
|
Report à nouveaux
|
|
22
|
|
73.614.125.420
|
-
|
73.614.125.420
|
13
|
|
-25.299.772.342
|
|
Terrains
|
|
|
|
|
Résultat net de
|
|
23
|
|
33.124.620.112
|
1.425.125.445
|
31.699.494.667
|
|
l'exercice
|
-483.769.621
|
|
Bâtiments.
|
|
|
|
|
|
|
24.4
|
|
435.749.782
|
120.640.185
|
414.478.780
|
|
|
|
|
Matériel et Mobilier
|
|
|
|
|
|
|
24.5
|
|
860.416.612
|
236.495.202
|
51.275.453
|
|
|
|
|
Matériel de transport
|
|
|
|
|
|
|
26
|
*IMM.FINANCIÈRE
|
19.460.823.978
|
-
|
19.460.823.978
|
|
|
|
27
|
Titre de participation
|
41.060.901.293
|
-
|
41.060.901.293
|
|
|
|
|
Autres
|
|
|
|
|
|
|
|
Imm.financière
|
|
|
|
|
|
|
|
TOTAL ACTIF IMMOBILISE
|
172.605.023.052
|
2.716.509.620
|
169.888.513.432
|
|
|
Total capitaux propres
|
29.036.042.139
|
|
|
2. ACTIF CIRCULANT
|
|
|
|
|
? Dettes
financières
|
|
32
|
? Stock
Mat.premier et fourni.liés
|
126.840.670
|
-
|
126.840.670
|
16
|
Emprunt et dettes assim.
|
39.64.485.680
|
Page | 61
38.7
|
Stock en consignation
|
235.581.805
|
-
|
235.581.805
|
|
|
|
|
Total stock
|
362.422.475
|
-
|
362.422.475
|
|
Total dettes financières
|
39.64.485.680
|
41.1
42.2
|
? Créances
Créance sur cession d'im.
Pers.avance et acompte
|
21.614.612.614
34.900.286.245
|
-
-
|
21.614.612.614
34.900.286.245
|
|
TOTAL RESSOURCES STABLES
|
68.676.527.819
|
40.1
47.12
|
6. PASSIF CIRCULANT Fournisseurs
Créditeurs divers
|
85.431.166.353
53.784.173.007
|
|
Total créances
|
56.514.898.859
|
-
|
56.514.898.859
|
|
TOTAL PASSIF CIRCULANT
|
139.220.339.360
|
|
TOTAL ACTIF CIRCULANT
|
56.877.321.334
|
-
|
56.877.321.334
|
56
|
7. TRESORERIE-PASSIF Banques Crédit de
trésorerie et d'acompte
|
27.436.555.779
|
50
51
52
|
3. TRESORERIE-ACTIF Titre des placements Valeurs
à encaisser Banque
|
101.135.704
77.436.127
8.389.016.361
|
-
-
-
|
101.135.704
77.436.127
8.389.016.361
|
|
TOTAL TRESORERIE- ACTIF
|
8.567.588.192
|
-
|
8.567.588.192
|
|
TOTAL TRESORERIE- PASSIF
|
27.436.555.779
|
|
4. ECART DE CONVERSION-ACTIF
|
- -
|
-
|
-
|
|
8. ECART DE CONVERSION-PASSIF
|
-
|
|
TOTAL GENERAL
(1+2+3+4)
|
238.049.939.578
|
2.716.509.620
|
235.333.422.958
|
|
TOTAL GENERAL
(5+6+7+8)
|
235.333.422.958
|
Source: Service de comptabilité Vodacom
Page | 62
TABLEAU N°14 : BILAN DE VODACOM, EXERCICE 2019, EN FRANCS
CONGOLAIS
ACTIF
|
PASSIF
|
COMPTES
|
INTITULE DES COMPTES
|
MONTANT BRUT
|
AMORT. & PROV.
|
MONTANT NET
|
COMPTES
|
INTITULE DES COMPTES
|
MONTANT NET
|
|
1. ACTIF IMMOBILISÉ
|
|
|
|
|
5. RESSOURCES
|
|
|
|
|
|
|
|
STABLE
|
|
|
*IMM INCORPORELLE
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*Capitaux propres
|
|
21.2
|
Brevets, licence, logiciels
|
4.120.112.155
|
-
|
4.120.112.155
|
10
|
Capital
|
|
|
|
|
|
|
12
|
|
54.819.584.342
|
|
* IMM. CORPORELLE
|
|
|
|
|
Report à nouveaux
|
|
22
|
|
78.614.626.460
|
-
|
78.614.626.460
|
13
|
|
21.645.620.745
|
|
Terrains
|
|
|
|
|
Résultat net de
|
|
23
|
|
39.125.612.460
|
1.686.136.125
|
37.439.476.335
|
|
l'exercice
|
-340.120.645
|
|
Bâtiments.
|
|
|
|
|
|
|
24.4
|
|
950.627.425
|
746.643.450
|
203.983.975
|
|
|
|
|
Matériel et Mobilier
|
|
|
|
|
|
|
24.5
|
|
870.626.460
|
773.680.760
|
96.945.700
|
|
|
|
|
Matériel de transport
|
|
|
|
|
|
|
26
|
*IMM.FINANCIÈRE
|
23.643.640.585
|
-
|
23.643.640.585
|
|
|
|
27
|
Titre de participation
|
56.460.663.460
|
-
|
56.460.663.460
|
|
|
|
|
Autres
|
|
|
|
|
|
|
|
Imm.financière
|
|
|
|
|
|
|
|
TOTAL ACTIF IMMOBILISE
|
203.785.909.005
|
3.206.460.335
|
200.579.448.670
|
|
|
Total capitaux propres
|
76.125.084.442
|
|
|
2. ACTIF CIRCULANT
|
|
|
|
|
? Dettes
financières
|
|
32
|
? Stock
Mat.premier et fourni.liés
|
236.470.660
|
-
|
236.470.660
|
16
|
Emprunt et dettes assim.
|
31.126.346.675
|
Page | 63
38.7
|
Stock en consignation
|
335.680.470
|
-
|
335.680.470
|
|
|
|
|
Total stock
|
572.151.130
|
-
|
572.151.130
|
|
Total dettes financières
|
31.126.346.675
|
41.1
42.2
|
? Créances
Créance sur cession d'im.
Pers.avance et acompte
|
28.470.656.740
40.626.746.643
|
-
-
|
28.470.656.740
40.626.746.643
|
|
TOTAL RESSOURCES STABLES
|
107.251.431.117
|
40.1
47.12
|
6. PASSIF CIRCULANT Fournisseurs
Créditeurs divers
|
32.640.475.665
69.720.165.005
|
|
Total créances
|
69.097.403.383
|
-
|
69.097.403.383
|
|
TOTAL PASSIF CIRCULANT
|
152.360.640.670
|
|
TOTAL ACTIF CIRCULANT
|
69.669.554.513
|
-
|
69.669.554.513
|
56
|
7. TRESORERIE-PASSIF Banques Crédit de
trésorerie et d'acompte
|
22.530.633.957
|
50
51
52
|
3. TRESORERIE-ACTIF Titre des placements Valeurs
à encaisser Banque
|
156.645.780
96.640.765
11.893.702.516
|
-
-
-
|
156.645.780
96.640.765
11.893.702.516
|
|
TOTAL TRESORERIE- ACTIF
|
11.893.702.561
|
-
|
11.893.702.561
|
|
TOTAL TRESORERIE- PASSIF
|
22.530.633.957
|
|
4. ECART DE CONVERSION-ACTIF
|
- -
|
-
|
-
|
|
8. ECART DE CONVERSION-PASSIF
|
-
|
|
TOTAL GENERAL
(1+2+3+4)
|
285.349.166.079
|
3.206.460.336
|
282.142.705.744
|
|
TOTAL GENERAL
(5+6+7+8)
|
282.142.705.744
|
Source: Service de comptabilité Vodacom
Page | 64
TABLEAU N°15 : BILAN DE VODACOM, EXERCICE 2020, EN FRANCS
CONGOLAIS
ACTIF
|
PASSIF
|
COMPTES
|
INTITULE DES COMPTES
|
MONTANT BRUT
|
AMORT. & PROV.
|
MONTANT NET
|
COMPTES
|
INTITULE DES COMPTES
|
MONTANT NET
|
|
1. ACTIF IMMOBILISÉ
|
|
|
|
|
5. RESSOURCES
|
|
|
|
|
|
|
|
STABLE
|
|
|
*IMM INCORPORELLE
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
*Capitaux propres
|
|
21.2
|
Brevets, licence, logiciels
|
5.165.645.160
|
-
|
5.165.645.160
|
10
|
Capital
|
|
|
|
|
|
|
12
|
|
54.819.584.342
|
|
* IMM. CORPORELLE
|
|
|
|
|
Report à nouveaux
|
|
22
|
|
82.645.618.660
|
-
|
82.645.618.660
|
13
|
|
25.645.465.418
|
|
Terrains
|
|
|
|
|
Résultat net de
|
|
23
|
|
43.660.680.460
|
1.796.460.130
|
41.864.220.330
|
|
l'exercice
|
-130.720.860
|
|
Bâtiments.
|
|
|
|
|
|
|
24.4
|
|
973.425.685
|
950.121.143
|
23.304.542
|
|
|
|
|
Matériel et Mobilier
|
|
|
|
|
|
|
24.5
|
|
874.848.180
|
787.181.112
|
87.667.068
|
|
|
|
|
Matériel de transport
|
|
|
|
|
|
|
26
|
*IMM.FINANCIÈRE
|
27.663.445.775
|
-
|
27.663.445.775
|
|
|
|
27
|
Titre de participation
|
62.464.518.612
|
-
|
62.464.518.612
|
|
|
|
|
Autres
|
|
|
|
|
|
|
|
Imm.financière
|
|
|
|
|
|
|
|
TOTAL ACTIF IMMOBILISE
|
223.448.182.532
|
3.533.762.385
|
219.914.420.147
|
|
|
Total capitaux propres
|
80.334.328.900
|
|
|
2. ACTIF CIRCULANT
|
|
|
|
|
? Dettes
financières
|
|
32
|
? Stock
Mat.premier et fourni.liés
|
258.470.685
|
-
|
258.470.685
|
16
|
Emprunt et dettes assim.
|
46.988.789.720
|
Page | 65
38.7
|
Stock en consignation
|
375.475.676
|
-
|
375.475.676
|
|
|
|
|
Total stock
|
633.946.361
|
-
|
633.946.361
|
|
Total dettes financières
|
46.988.789.720
|
41.1
42.2
|
? Créances
Créance sur cession d'im.
Pers.avance et acompte
|
32.640.760.400
48.112.143.153
|
-
-
|
32.640.760.400
48.112.143.153
|
|
TOTAL RESSOURCES STABLES
|
127.323.118.620
|
40.1
47.12
|
6. PASSIF CIRCULANT Fournisseurs
Créditeurs divers
|
85.765.478.880
72.915.286.990
|
|
Total créances
|
80.752.903.553
|
-
|
80.752.903.553
|
|
TOTAL PASSIF CIRCULANT
|
158.680.765.870
|
|
TOTAL ACTIF CIRCULANT
|
81.386.849.914
|
-
|
81.386.849.914
|
56
|
7. TRESORERIE-PASSIF Banques Crédit de
trésorerie et d'acompte
|
34.316.625.914
|
50
51
52
|
3. TRESORERIE-ACTIF Titre des placements Valeurs
à encaisser Banque
|
156.946.960
101.612.762
18.760.680.612
|
-
-
-
|
156.946.960
101.612.762
18.760.680.612
|
|
TOTAL TRESORERIE- ACTIF
|
19.019.240.343
|
-
|
19.019.240.343
|
|
TOTAL TRESORERIE- PASSIF
|
34.316.625.914
|
|
4. ECART DE CONVERSION-ACTIF
|
- -
|
-
|
-
|
|
8. ECART DE CONVERSION-PASSIF
|
-
|
|
TOTAL GENERAL
(1+2+3+4)
|
323.854.272.789
|
3.533.762.385
|
320.320.510.404
|
|
TOTAL GENERAL
(5+6+7+8)
|
320.320.510.404
|
Source: Service de comptabilité Vodacom
Page | 66
TABLEAU N°16 : COMPTE DE RESULTAT 2017
COMPT ES
|
INTITULES DES COMPTES
|
PRODUITS
|
CHARGES
|
SOLDES
SIGNIFICATIFS
|
70.1
|
Vente des Marchandises
|
61.400.269.733
|
|
|
60.2
|
Achat mat.première et fourn.
|
|
38.349.720.040
|
|
60.32
|
Variation de stock de
mat.première et fourniture
|
|
1.000.270.400
|
|
|
|
|
|
|
13.21
|
Marge commerciale
|
61.400.269.733
|
39.349.990.440
|
22.050.279.293
|
13.2
|
Marge commerciale
|
22.050.279.293
|
|
|
70.7
|
Produit accessoires
|
12.119.587.635
|
|
|
60.5
|
Autres achats
|
|
424.820.550,00
|
|
|
|
|
|
|
60.5
|
Autres Achats
|
|
2.230.040
|
|
61
|
Transport
|
|
18.420.800
|
|
62
|
Services extérieurs
|
|
2.340.660.480
|
|
63
|
Autres Services extérieurs
|
|
2.120.140.460
|
|
64
65
|
Impôt & taxes Autres charges
|
|
7.650.420.640
34.211.500
|
|
13.3
|
Valeur ajouté
|
34.169.866.928
|
12.166.083.920
|
22.003.783.008
|
13.3
|
Valeur ajouté
|
22.003.783.008
|
|
|
66
|
Charge du personnel
|
|
20.039.331.871
|
|
13.4
|
Excédent brut d'exploitation
|
22.003.783.008
|
20.039.331.871
|
1.964.451.137
|
13.4
|
Excédent brut d'exploitation
|
1.964.451.137
|
|
|
78.1
|
Transfert charge d'exploitation
|
4.640.645.635
|
|
|
68.1
|
Dotation aux amortissements
|
|
2.716.500.620
|
|
13.5
|
Résultat d'exploitation
|
6.605.096.772
|
2.716.500.620
|
3.888.596.152
|
77
|
Revenus financiers
|
11.039.195.714
|
|
|
Page | 67
|
|
|
|
|
67.6
|
Pertes de charge financières
|
|
2.418.715.000
|
|
13.6
|
Résultat financier
|
11.039.195.714
|
2.418.715.000
|
8.620.480.714
|
13.5
|
Résultat d'exploitation
|
3.888.596.152
|
|
|
13.6
|
Résultat Financier
|
8.620.480.714
|
|
|
13.7
|
Résultat des activités ordinaire
|
12.509.076.866
|
-
|
12.509.076.866
|
|
|
|
|
|
13.8
|
Résultat des activités
ordinaire
|
0
|
0
|
0
|
13.7
|
Résultat des activités ordinaires
|
12.509.076.866
|
|
|
13.8
|
Résultat hors activités ordinaires
|
0
|
|
|
87
|
Participation des travailleurs
|
|
10.465.612.465
|
|
89
|
Impôt sur le bénéfice
|
|
8.189.857.069
|
|
13.1
|
RESULTAT NET
|
12.509.076.866
|
18.655.469.534
|
-6.146.392.668
|
Source: Service de comptabilité Vodacom TABLEAU N°17
: COMPTE DE RESULTAT 2018
COMPT ES
|
INTITULES DES COMPTES
|
PRODUITS
|
CHARGES
|
SOLDES
SIGNIFICATIFS
|
70.1
|
Vente des Marchandises
|
64.859.262.863
|
|
|
60.2
|
Achat mat.première et fourn.
|
|
39.349.657.800
|
|
60.32
|
Variation de stock de
mat.première et fourniture
|
|
2.180.000.000
|
|
|
|
|
|
|
13.21
|
Marge commerciale
|
64.859.262.863
|
41.529.657.800
|
23.329.605.063
|
13.2
|
Marge commerciale
|
23.329.605.063
|
|
|
70.7
|
Produit accessoires
|
15.685.465.895
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Page | 68
60.5
|
Autres Achats
|
|
428.614.000
|
|
61
|
Transport
|
|
2.824.045.050
|
|
62
|
Services extérieurs
|
|
2.465.985.625
|
|
63
|
Autres Services extérieurs
|
|
23.660.985
|
|
64
65
|
Impôt & taxes Autres charges
|
|
7.985.613.985
36.685.960
|
|
13.3
|
Valeur ajouté
|
39.015.070.958
|
13.764.605.605
|
25.250.465.353
|
13.3
|
Valeur ajouté
|
25.250.465.353
|
|
|
66
|
Charge du personnel
|
|
21.050.612.425
|
|
13.4
|
Excédent brut d'exploitation
|
25.250.465.353
|
21.050.612.425
|
4.199.852.928
|
13.4
|
Excédent brut d'exploitation
|
4.199.852.928
|
|
|
78.1
|
Transfert charge d'exploitation
|
7.670.945.858
|
|
|
68.1
|
Dotation aux amortissements
|
|
7.000.000.000
|
|
13.5
|
Résultat d'exploitation
|
11.870.798.786
|
7.000.000.000
|
4.870.798.786
|
77
|
Revenus financiers
|
11.279.560
|
|
|
67.6
|
Pertes de charge financières
|
|
3.470.810
|
|
13.6
|
Résultat financier
|
11.279.560
|
3.470.810
|
7.808.750
|
13.5
|
Résultat d'exploitation
|
4.870.798.786
|
|
|
13.6
|
Résultat Financier
|
7.808.750
|
|
|
13.7
|
Résultat des activités ordinaire
|
4.878.607.536
|
-
|
4.878.607.536
|
|
|
|
|
|
13.8
|
Résultat des activités
ordinaire
|
0
|
0
|
0
|
13.7
|
Résultat des activités ordinaires
|
4.878.607.536
|
|
|
13.8
|
Résultat hors activités ordinaires
|
0
|
|
|
87
|
Participation des travailleurs
|
|
3.126.115.135
|
|
89
|
Impôt sur le bénéfice
|
|
2.236.262.022
|
|
13.1
|
RESULTAT NET (Perte
|
4.878.607.536
|
5.362.377.157
|
-483.769.621
|
Source: Service de comptabilité Vodacom
Page | 69
TABLEAU N°18 : COMPTE DE RESULTAT 2019
COMPT ES
|
INTITULES DES COMPTES
|
PRODUITS
|
CHARGES
|
SOLDES
SIGNIFICATIFS
|
70.1
|
Vente des Marchandises
|
73.618.465.766
|
|
|
60.2
|
Achat mat.première et fourn.
|
|
40.125.643.460
|
|
60.32
|
Variation de stock de
mat.première et fourniture
|
|
4.680.360.115
|
|
|
|
|
|
|
13.21
|
Marge commerciale
|
73.618.465.766
|
44.806.003.575
|
28.812.462.191
|
13.2
|
Marge commerciale
|
28.812.462.191
|
|
|
70.7
|
Produit accessoires
|
18.670.465.595
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
60.5
|
Autres Achats
|
|
4.612.427
|
|
61
|
Transport
|
|
21.420.685
|
|
62
|
Services extérieurs
|
|
4.640.460.587
|
|
63
|
Autres Services extérieurs
|
|
5.946.125.450
|
|
64
65
|
Impôt & taxes Autres charges
|
|
9.645.713.145
36.465.670
|
|
13.3
|
Valeur ajouté
|
47.482.927.786
|
20.294.797.964
|
27.188.129.822
|
13.3
|
Valeur ajouté
|
27.188.129.822
|
|
|
66
|
Charge du personnel
|
|
22.689.470.680
|
|
13.4
|
Excédent brut d'exploitation
|
27.188.129.822
|
22.689.470.680
|
4.498.659.142
|
13.4
|
Excédent brut d'exploitation
|
4.498.659.142
|
|
|
78.1
|
Transfert charge d'exploitation
|
7.645.675.692
|
|
|
68.1
|
Dotation aux amortissements
|
|
4.760.645.465
|
|
13.5
|
Résultat d'exploitation
|
12.144.334.834
|
4.760.645.465
|
7.383.689.369
|
77
|
Revenus financiers
|
14.665.645.460
|
|
|
67.6
|
Pertes de charge financières
|
|
3.465.685.965
|
|
13.6
|
Résultat financier
|
14.665.645.460
|
3.465.685.965
|
11.199.959.495
|
13.5
|
Résultat d'exploitation
|
7.383.689.369
|
|
|
13.6
|
Résultat Financier
|
11.199.959.495
|
|
|
13.7
|
Résultat des activités ordinaire
|
18.583.648.864
|
-
|
18.583.648.864
|
|
|
|
|
|
13.8
|
Résultat des activités
ordinaire
|
0
|
0
|
0
|
13.7
|
Résultat des activités ordinaires
|
18.583.648.864
|
|
|
13.8
|
Résultat hors activités ordinaires
|
0
|
|
|
Page | 70
87
|
Participation des travailleurs
|
|
11.670.460.125
|
|
89
|
Impôt sur le bénéfice
|
|
7.253.309.384
|
|
13.1
|
RESULTAT NET (Perte
|
18.583.648.864
|
18.923.769.509
|
-340.120.645
|
Source: Service de comptabilité Vodacom TABLEAU N°19
: COMPTE DE RESULTAT 2020
COMPT ES
|
INTITULES DES COMPTES
|
PRODUITS
|
CHARGES
|
SOLDES
SIGNIFICATIFS
|
70.1
|
Vente des Marchandises
|
80.640.740.680
|
|
|
60.2
|
Achat mat.première et fourn.
|
|
43.185.660.425
|
|
60.32
|
Variation de stock de
mat.première et fourniture
|
|
7.680.685.155
|
|
|
|
|
|
|
13.21
|
Marge commerciale
|
80.640.740.680
|
50.866.685.155
|
29.774.395.100
|
13.2
|
Marge commerciale
|
29.774.395.100
|
|
|
70.7
|
Produit accessoires
|
19.623.465.640
|
|
|
|
|
|
|
|
60.5
|
Autres Achats
|
|
5.612.527
|
|
61
|
Transport
|
|
22.680.465
|
|
62
|
Services extérieurs
|
|
6.460.145.687
|
|
63
|
Autres Services extérieurs
|
|
4.665.470.698
|
|
64
65
|
Impôt & taxes Autres charges
|
|
10.675.788.688
38.685.470
|
|
13.3
|
Valeur ajouté
|
49.397.860.740
|
21.868.383.535
|
27.529.477.205
|
13.3
|
Valeur ajouté
|
27.529.477.205
|
|
|
66
|
Charge du personnel
|
|
22.185.380.575
|
|
13.4
|
Excédent brut d'exploitation
|
27.529.477.205
|
22.185.380.575
|
5.344.096.630
|
13.4
|
Excédent brut d'exploitation
|
5.344.096.630
|
|
|
78.1
|
Transfert charge d'exploitation
|
9.945.656.670
|
|
|
68.1
|
Dotation aux amortissements
|
|
5.670.756.860
|
|
13.5
|
Résultat d'exploitation
|
15.289.753.300
|
5.670.756.860
|
9.618.987.440
|
77
|
Revenus financier
|
18.760.680.560
|
|
|
67.6
|
Pertes de charge financières
|
|
6.648.470.875
|
|
13.6
|
Résultat financier
|
18.760.680.560
|
6.648.470.875
|
12.112.209.685
|
13.5
|
Résultat d'exploitation
|
9.618.987.440
|
|
|
13.6
|
Résultat Financier
|
12.112.209.685
|
|
|
13.7
|
Résultat des activités ordinaire
|
21.731.197.125
|
-
|
21.731.197.125
|
|
|
|
|
|
13.8
|
Résultat des activités
ordinaire
|
0
|
0
|
0
|
Page | 71
13.7
|
Résultat des activités ordinaires
|
21.731.197.125
|
|
|
13.8
|
Résultat hors activités ordinaires
|
0
|
|
|
87
|
Participation des travailleurs
|
|
12.686.465.764
|
|
89
|
Impôt sur le bénéfice
|
|
9.027.903.960
|
|
13.1
|
RESULTAT NET (Perte
|
21.731.197.125
|
21.714.369.724
|
-130.720.860
|
Source: Service de comptabilité Vodacom
TABLEAU N°20 BILAN CONDENSE DE VODACOM EN VALEUR
ABSOLUE
ANNEES
RUBRIQUES
|
2017
|
2018
|
2019
|
2020
|
ACTIF
IMMOBILISE
|
155.307.976 978
|
169.888.513.432
|
200.579.448.670
|
219.914.420.147
|
STOCKS
|
536.276.933
|
362.422.475
|
572.151.130
|
633.946.361
|
CREANCES
|
42.108.476.993
|
56.514.898.859
|
69.097.403.383
|
80.752.903.553
|
TRESORERIE- ACTIF
|
3.124.838.029
|
8.567.588.192
|
11.893.702.561
|
19.019.240.343
|
TOTAL ACTIF
|
201.077.578.933
|
235.333.422.958
|
282.142.705.744
|
320.320.510.404
|
CAPITAUX PROPRES
|
68.569.070.308
|
29.036.042.139
|
76.125.084.442
|
80.334.328.900
|
DETTES
FINANCIERES
|
15.420.426.523
|
39.640.485.680
|
31.126.346.675
|
46.988.789.720
|
PASSIF
CIRCULANT
|
106.598.053.675
|
139.220.339.360
|
152.360.640.670
|
158.680.765.870
|
TRESORERIE PASSIF
|
10.490.028.427
|
27.436.555.779
|
22.530.633.957
|
34.316.625.914
|
TOTAL PASSIF
|
201.077.578.933
|
235.333.422.958
|
282.142.705.744
|
320.320.510.404
|
Sources : nous mêmes à partir des bilans 2017, 2018,
2019, 2020 de la société Vodacom.
40%
60%
50%
30%
20%
10%
0%
.2017 .2018 .2019 .2020
53%
,20%
59,20%
11,60%
54%
8%
49,50%
10,70%
TRESORERIE-ACTIF
CREANCES
STOCKS
Page | 72
TABLEAU N° 21 : BILAN CONDENSE EN VALEURS
RELATIVES
ANNEES
RUBRIQUES
|
2017
|
2018
|
2019
|
2020
|
ACTIF IMMOBILISE
|
77,2%
|
72,2%
|
71,1%
|
68,7%
|
STOCKS
|
0,3%
|
0,2%
|
0,2%
|
0,2%
|
CREANCES
|
20,9%
|
24%
|
24,5%
|
25,2%
|
TRESORERIE-ACTIF
|
1,6%
|
3,6%
|
4,2%
|
5,9%
|
TOTAL ACTIF
|
100%
|
100%
|
100%
|
100%
|
CAPITAUX PROPRES
|
34,1%
|
12,3%
|
26,9%
|
25%
|
DETTES FINANCIERES
|
7,7%
|
16,8%
|
11%
|
14,7%
|
PASSIF CIRCULANT
|
53%
|
59,2%
|
54%
|
49,5%
|
TRESORERIE PASSIF
|
5,2%
|
11,7%
|
7,9%
|
10,7%
|
TOTAL PASSIF
|
100%
|
100%
|
100%
|
100%
|
Sources : nous même à partir des données des
bilans précédents.
COMMENTAIRE : Dans ce tableau nous montrons
le montant de masse bilantaire et sous-masses bilantaires en valeurs relatives
c'est-à-dire les montants exprimés en pourcentage
GRAPHIQUE N°1. EVOLUTION DES ACTIVITES DE 2017 à
2020
Page | 73
Source : Nous-mêmes à partir du tableau n°21
Ce graphique explique bien l'évolution des actifs
circulants entre les 4 ans d'étude.
Les stocks ont été de 536 276 933fc soit 0,3%,
362 422 475 fc soit 0,2 % 572 151 130fc soit 0,2% et 633 946 859fc soit 0,2%
respectivement entre les années 2019, 2018, 2019 et 2020. Les
créances ont été de 42. 108 476 993 Fc en 2017, soit
20,9%, 56 514 898 859 Fc soit 24% en 2018, 69 097 403 383 Fc soit 24,5% en 2019
et enfin 80 752 903 553 Fc soit 25,5%. Nous constatons que, malgré la
pratique mercatique utilisée, cela n'arrive pas à une
rentabilisation des actifs circulant de la VODACOM le taux est toujours faibles
entre les années sous étude, nécessitant une
révision de la politique commerciale de ladite entité.
TABLEAU N°22 BILAN SYNTHETIQUE EN VALEURS
ABSOLUES
ANNEES
RUBRIQUES
|
2017
|
2018
|
2019
|
2020
|
ACTIF
|
155.307.978 978
|
169.888.513.4
|
200.579.448.670
|
219.914.420.147
|
IMMOBILISE
|
|
32
|
|
|
ACTIF CIRC
|
42 644 753 926
|
56 877 312
|
69 669 554 513
|
81 386 849 914
|
|
|
334
|
|
|
TRESORERIE-
|
3 124 838 029
|
8 567 588 192
|
11 893 702 561
|
19 019 240 343
|
ACTIF
|
|
|
|
|
TOTAL ACTIF
|
201 077 578 983
|
235 333 422
|
282 142 702 561
|
320 320 510 404
|
|
|
958
|
|
|
RESSOURCE
|
83 989 496 837
|
68 676 527
|
107 251 431 117
|
127 323 118 620
|
STABLES
|
|
819
|
|
|
PASSIF
|
106 598 053 675
|
139 220 339
|
152 360 640 670
|
158 680 765 870
|
CIRCULANT
|
|
360
|
|
|
TRESORERIE
|
10 490 028 427
|
27 436 555
|
22 530 633 957
|
34 316 625 914
|
PASSIF
|
|
779
|
|
|
TOTAL PASSIF
|
201 077 578 933
|
235 333 422
|
282 142 705 744
|
320 320 510 404
|
|
|
958
|
|
|
Sources : nous même à partir des données du
tableau N°20
Page | 74
TABLEAU N°23 BILAN SYNTHETIQUE EN VALEURS
RELATIVES
ANNEES
RUBRIQUES
|
2017
|
2018
|
2019
|
2020
|
ACTIF
IMMOBILISE
|
77,2%
|
72,2%
|
71,1%
|
68,7%
|
ACTIF CIRC
|
21,21%
|
24,2%
|
24,7%
|
25,4%
|
TRESORERIE- ACTIF
|
1,55%
|
3,6%
|
4,2%
|
5,9%
|
TOTAL ACTIF
|
100%
|
100%
|
100%
|
100%
|
RESSOURCES STABLES
|
41,8%
|
29,2%
|
38%
|
39,7%
|
PASSIF
CIRCULANT
|
53%
|
59,2%
|
54%
|
49,5%
|
TRÉSORERIE PASSIF
|
5,2%
|
11,6%
|
8%
|
10,7%
|
TOTAL PASSIF
|
100%
|
100%
|
100%
|
100%
|
Sources : nous même à partir des données
du tableau N°21
Il revient à constater qu'en appliquant le principe de
l'orthodoxie financière, l'actif circulant cumulé de la
Trésorerie de l'actif n'arrive guère à couvrir le passif
circulant cumulé de la trésorerie-passif. Cela prouve en
suffisance que la pratique mercatique utilisée à la
société VODACOM pendant les 4 ans sous études n'a pas
permis à la rentabilisation. D'où la difficulté de
récupérer le capital investi.
Page | 75
GRAPHIQUE N° 2 : EVOLUTION DU MOUVEMENT DE L'ACTIF CIRCULANT
DE 2017 à
2020.
48%
46%
44%
60%
58%
56%
54%
52%
50%
.2017 .2018 .2019 .2020
53%
59,20%
54%
49,50%
Source : Nous-mêmes à partir du tableau n°23
GRAPHIQUE N° 3 : EVOLUTION DES DETTES A COURT TERME DE 2017
à 2020.
.2017 .2018 .2019 .2020
5,20%
53%
59,20%
11,60%
Série1 Série2
54%
8%
49,50%
10,70%
Source : Nous-mêmes à partir du tableau
n°23.
Page | 76
Commentaire :
Se référant au principe de l'orthodoxie
financière, par le bas du bilan, nous constatons que les actifs
générateurs de profit de l'entreprise n'arrivent pas à
couvrir les DCT. D'où, il faut que la VODACOM applique d'autre
stratégies mercatiques permettant la rentabilisation de ses
exploitations.
IV.4. LES INDICATEURS DE L'EQUILIBRE FINANCIER
TABLEAU N°24 LE FONDS DE ROULEMENT
NET(FRN)
ANNEES
RUBRIQUES
|
2017
|
2018
|
2019
|
|
2020
|
RESSOURCES DURABLES(1)
|
83 989 496 831
|
68 676 527 819
|
107 251
|
431
|
117
|
127 323 118 620
|
ACTIF
IMMOBILISE( 2)
|
155 307 986 978
|
169 888 513 432
|
200 579
|
448
|
670
|
219 914 420 147
|
ACTIF CIRC+ TRESORERIE-ACTIF(3)
|
45 769 591 955
|
65 444 909 526
|
81 563 257 074
|
100 406 090 257
|
PASSIF CIRCULANT+ TRESORERIE PASSIF(4)
|
117 088 082
|
102
|
166 656 895 139
|
174 891
|
274
|
627
|
192 997 397 784
|
FRN1=(1)-(2)
|
-71 318 490
|
147
|
-101 211 985 613
|
-93 328
|
017
|
553
|
-92 591 301 527
|
FRN2=(3)-(4)
|
-71 318 490
|
147
|
-101 211 985 613
|
-93 328
|
017
|
553
|
-92 591 301 527
|
Sources : nous même à partir des données du
tableau N°20
Commentaire : Dans le tableau n°24, nous constatons que
le fonds de roulement est négatif durant les 4 années sous
études. C'est-à-dire les Ressources stables n'arrivent pas
à financer les actifs immobilisés.
Page | 77
TABLEAU N°25 LE FONDS DE ROULEMENT PROPRES
ANNEES
RUBRIQUES
|
2017
|
2018
|
2019
|
2020
|
CAPITAUX PROPRES (1)
|
68 569 070 308
|
29 036 042 139
|
76 125 084 442
|
80 334 328 900
|
ACTIF IMMO
(2)
|
155 307 986 978
|
169 888 513 439
|
200 579 448 670
|
219 914 420 147
|
FRP=(1)-(4)
|
-86 738 916 670
|
-140 852 471 293
|
-124 454 364 228
|
-139 580 091 247
|
Source : Nous même à partir des données du
tableau n°22
Commentaire : Dans le tableau n°25, nous constatons que le
fonds de roulement propres est négatif pendant toutes les années
sous études, cela signifie que les capitaux propres ne sont pas en
mesure de financer les actifs immobilisées.
TABLEAU N°26 LE FONDS DE ROULEMENT ETRANGERS (FRE)
ANNEES
RUBRIQUES
|
2017
|
2018
|
2019
|
2020
|
A.C +
TRESORERIE
|
45 769 591 955
|
65 444 909 526
|
81 563 257 074
|
100 406 090 257
|
FRP= (2)
|
-86 738 916 670
|
-140 852 471 293
|
-124 454 364 228
|
-139 580 091 247
|
FRE=(1)-(2)
|
-40 969 324 715
|
-75 407 561 767
|
-42 891 107 154
|
-39 174 000 990
|
Source : Nous même à partir des données du
tableau n°20
Commentaire : Dans ce tableau n°26, nous constatons que
le fonds de roulement étranger est négatif pendant toutes les
années sous études. Les capitaux étrangers sont
inférieurs à l'actif circulant.
Page | 78
TABLEAU N°27 LE RATIO DE FONDS DE ROULEMENT MINIMUM
NECESSAIRE
ANNEES
RUBRIQUES
|
|
2017
|
|
|
2018
|
|
2019
|
|
2020
|
R. STABLES (1)
|
83
|
989
|
496
|
831
|
68
|
676
|
527 819
|
107
|
251
|
431 117
|
127
|
323
|
118 620
|
ACTIF IMMO
(2)
|
155
|
307
|
986
|
978
|
169
|
888
|
513 432
|
200
|
579
|
448 670
|
219
|
914
|
420 147
|
STOCKS (3)
|
|
536
|
276
|
933
|
|
362
|
422 475
|
|
572
|
151 130
|
|
633
|
946 361
|
A.I+STOCK (4)
|
155
|
844
|
263
|
911
|
170
|
250
|
935 907
|
201
|
151
|
599 800
|
220
|
548
|
366 508
|
FRN (5)
|
-77
|
318
|
490
|
147
|
-101
|
211
|
985 613
|
93
|
328
|
017 553
|
-92
|
591
|
301 527
|
FRM.N =
(1)/(4)
|
-2,2= -,,nh220%
|
|
-1,7
|
= -170%
|
|
-2,2
|
= -220%
|
|
-2,4
|
= -240%
|
Source : Nous même à partir des données du
tableau n°24 et N° 25
Commentaire : Dans ce tableau N°27, nous constatons que
pendant toutes les années d'études le fonds de roulement minimum
nécessaire est inférieurs à 1 ce qui signifie que
l'entité est en mauvaise situation de gestion de ses ressources.
TABLEAU N°28 LE BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT
ANNEES
RUBRIQUES
|
|
2017
|
|
|
2018
|
|
|
2019
|
|
|
2020
|
|
STOCK (1)
|
|
536
|
276
|
933
|
|
362
|
422
|
475
|
|
572
|
151
|
130
|
|
633
|
946
|
361
|
CREANCES (2)
|
42
|
108
|
476
|
993
|
56
|
514
|
898
|
859
|
69
|
097
|
403
|
383
|
80
|
752
|
903
|
553
|
A.C (3)+(2)
|
42
|
644
|
753
|
926
|
56
|
877
|
321
|
334
|
69
|
669
|
554
|
513
|
81
|
386
|
849
|
914
|
P.C (4)
|
106
|
598
|
053
|
675
|
139
|
220
|
339
|
360
|
152
|
360
|
640
|
670
|
158
|
680
|
765
|
870
|
BFR = (3)-(4)
|
-63
|
953
|
299
|
749
|
-82
|
343
|
018
|
026
|
-82
|
691
|
086
|
157
|
-77
|
293
|
915
|
956
|
Source : Nous même à partir des données du
tableau n°20
Page | 79
Commentaire : Dans ce tableau n°28, nous constatons que
durant toutes les années d'études les besoins en fonds de
roulement est négatif ce qui signifie que l'actif circulant est
inférieurs au passif circulant. Dans ce cas, la société
Vodacom peut payer les dettes à court terme à partir de l'actif
circulant.
TABLEAU N°29 LA TRESORERIE NETTE
ANNEES RUBRIQUES
|
|
2017
|
|
|
2018
|
|
|
2019
|
|
|
2020
|
|
FRN (1)
|
-71
|
318
|
490
|
147
|
-101
|
211
|
985
|
613
|
-93
|
328
|
017
|
553
|
-92
|
591
|
301
|
527
|
BFR (2)
|
-63
|
953
|
299
|
949
|
-82
|
343
|
018
|
026
|
-82
|
691
|
086
|
157
|
-77
|
293
|
915
|
956
|
T.N= (1)-(2)
|
-135
|
271
|
790
|
096
|
-183
|
555
|
003
|
639
|
-176
|
019
|
103
|
710
|
-169
|
885
|
217
|
483
|
Source : Nous même à partir des données du
tableau n°24 et n°28
Commentaire : Dans ce tableau n°29, nous constatons que
la trésorerie nette de la société Vodacom est
négative durant toutes les années sous études, ce qui veut
dire que sa trésorerie est malsaine, c'est-à-dire que la
trésorerie-actif est inférieure à la
trésorerie-passif (manque d'autonomie financière pour ces 4
ans.
Page | 80
TABLEAU N°30 LES RATTOS DE LIQUIDITE
ANNEES
RUBRIQUES
|
|
2017
|
|
2018
|
|
2019
|
|
2020
|
ACTIF IMMO
(1)
|
155
|
305 986 978
|
169
|
888 513 432
|
200
|
579 448 670
|
219
|
914 420 147
|
STOCK (2)
|
|
536 276 933
|
|
362 422 475
|
|
572 151 130
|
|
633 946 361
|
CREANCES (3)
|
42
|
108 753 926
|
56
|
514 898 859
|
69
|
097 403 383
|
80
|
752 903 553
|
TRESO -ACTIF (4)
|
3
|
124 838 029
|
8
|
567 588 192
|
11
|
893 702 561
|
19
|
019 240 343
|
C+TRESO+AC TIF (5)
|
45
|
233 591 955
|
65
|
082 487 051
|
80
|
991 105 944
|
99
|
772 143 896
|
S+C+TRESO NT (6)
|
45
|
769 868 888
|
65
|
644 909 526
|
81
|
563 257 074
|
100
|
406 090 257
|
PC+TRESO PASS (7)
|
117
|
088 082 102
|
166
|
656 895 139
|
174
|
891 274 627
|
192
|
997 391 784
|
RLG= (6
7)
|
|
0,4 =40%
|
|
0,4 = 40%
|
|
0,5 = 50%
|
|
0,5 = 50%
|
RLR = (5 7)
|
|
0,4 =40%
|
|
0,4 = 40%
|
|
0,5 = 50%
|
|
0,5 = 50%
|
RLI= (4
7)
|
|
0,03= 3%
|
|
0,05 = 5%
|
|
0,07 = 7%
|
|
0,09 = 9%
|
Source : Nous même à partir des données du
tableau n°20
Commentaire : Dans ce tableau n°30, nous constatons que
durant toutes les 4 années le ration de liquidité
générale est inférieurs à 1, ce qui veut dire que
l'actif circulant et trésorerie actif de la société
vodacom est incapable d'honorer les dettes à court terme. La même
chose pour les ratios de liquidité est inférieurs à 1 ce
qui veut dire que l'entité de la société vodacom est
incapable de payer ses dettes à court terme. tandis que le ratio de
liquidité immédiate est inférieurs à 1,
c'est-à-dire l'entité est incapable de payer ses dettes à
court terme.
Page | 81
TABLEAU N°31 : LES RATIOS DE SOLVABILITE, D'INDEPENDANCE
FINANCIERE ET D'ENDETTEMENT
ANNEES
RUBRIQUES
|
|
2017
|
|
2018
|
|
|
2019
|
|
2020
|
TOTAL ACTIF (1)
|
201
|
077 578 933
|
235
|
333 422
|
958
|
282
|
142 705 744
|
320
|
320 510 404
|
DETTES TOTAL (2)
|
132
|
508 508 635
|
206
|
297 380
|
819
|
206
|
017 621 302
|
239
|
986 181 504
|
CAPITAUX PROPRES (3)
|
68
|
569 070 308
|
29
|
036 042
|
139
|
76
|
125 084 442
|
80
|
334 328 900
|
TOTAL PASSIF (4)
|
201
|
077 578 933
|
235
|
333 422
|
958
|
282
|
142 705 744
|
320
|
320 510 404
|
RATIO DE SOL
= (1)
|
|
1,5 = 150%
|
|
1,1 = 110%
|
|
1,7 = 170%
|
|
1,3 = 130%
|
(2)
|
RATIO I.
FIN=(3)
|
|
0,3 = 30%
|
|
0,1 =
|
10%
|
|
0,3 = 30%
|
|
0,3 = 30%
|
(4)
|
RATIO
D'ENDE= (2)
|
|
0,7=70%
|
|
0,9=
|
90%
|
|
0,7 = 70%
|
|
0,7 = 70%
|
(1)
|
Source : Nous même à partir des données du
tableau n°20
Page | 82
TABLEAU N°32 LA DETERMINATION DES RATIOS DE
RENTABILITE ET LE LEVIER D'ENDETTEMENT
ANNEES
RUBRIQUES
|
|
2017
|
2018
|
|
2019
|
|
|
2020
|
|
Résultat net (1)
|
-6
|
146 392 668
|
-483 769
|
621
|
-340 120
|
645
|
- 130 720
|
860
|
Capitaux propres (2)
|
68
|
569 070 308
|
29 036 042
|
139
|
76 125 084
|
442
|
80
|
334 328
|
900
|
Ventes (3)
|
61
|
400 269 733
|
64 859 262
|
863
|
73 618 465
|
766
|
80
|
640 740
|
680
|
Total Actif (4)
|
201
|
077 578 933
|
235 333 422
|
958
|
282 142 705
|
744
|
320
|
320 510
|
404
|
Rentabilité financière
(1)
|
|
-0,09 = -9%
|
-0,01 =
|
-1%
|
-0,04 =
|
-4%
|
|
0,01 =
|
-1%
|
=(2)
|
Rentabilité
=(1)
commerciale
|
|
-0,1 = -10%
|
-0,07 =
|
7%
|
-0,05 =
|
-5%
|
|
-0,01 =
|
-1%
|
(3)
|
Rentabilité
Economique (1)
|
|
-0,03 = 3%
|
-0,02 =
|
-2%
|
-0,01 =
|
1%
|
|
-0,04 =
|
-4%
|
(4)
|
Levier
d'endettement=(4)
|
|
2,9 = 290%
|
8,1 = 810%
|
3,7 = 370%
|
|
3,9 = 390%
|
(2)
|
Source : Nous même à partir des données
des bilans et comptes de résultat 2017, 2018 ,2019 et 2020
Commentaire : Dans ce tableau, nous constatons que pendant
toutes les années sous études, les ratios de rentabilité
financières sont inférieurs à 25%, ce qui veut dire que la
société vodacom n'est pas dans une situation saine de
rentabilisation des activité d'exploitation.
Page | 83
CRITIQUES ET SUGGESTIONS
a) CRITIQUES
Apres analyse et traitement des données de la
Société VODACOM nous formulons des critiques ci-après :
? La société Vodacom durant la période de
notre étude a fait recours au stratégie mercatique suivante pour
gagner la part importante du marché : stratégie sur un
marché émergeant et nouveau, les stratégies sur un
marché en maturité ou stagnant et saturé, les
stratégies sur un marché en maturité ou stagnant non
saturé ;
? Les supports promotions les plus utilisés chez
Vodacom sont entre autres : l'affiches, les dépliants, les livres, les
brochures, site web, fiches, animation, théatre, exposition ;
? Cependant, du point de vue mercatique, la
société Vodacom manque : la distribution gratuite, la
réduction et la vente avec remise.
Pour ce qui est de la rentabilisation de l'exploitation de
Vodacom, notre étude révèle que:
La société ne jouit pas d'une autonomie
financière.
b) SUGGESTIONS
Dans le souci de voir la Société VODACOM aboutir
à l'amélioration de leur fonctionnement, nous suggérons ce
qui suit :
Nous recours au stratégie mercatique suivante pour
gagner la part importante du marché : stratégie sur un
marché émergeant et nouveau, les stratégie sur un
marché en maturité ou stagnant et saturé, les
stratégie sur un marché en maturité ou stagnant non
saturé ;
Les supports promotions les plus utilisés chez Vodacom
sont entre autres : l'affiches, les dépliants, les livres, les
brochures, site web, fiches, animation, théatre, exposition ;
Cependant, du point de vue mercatique, la
société Vodacom doit faire tout son possible pour avoir : la
distribution gratuite, la réduction et la vente avec remise.
Pour ce qui est de la rentabilisation de l'exploitation de
Vodacom, notre étude révèle que:
La société ne jouit pas d'une autonomie
financière.
Page | 84
CONCLUSION GENERALE
Le choix du thème « de la mercatique à la
rentabilisation et l'exploitation de l'entité vodacom n'a pas
été un fait du hasard, il cadre avec l'enseignement reçue
à l'Institut Supérieure d'Etudes Sociales de Kananga dans la
filière de Gestion des Ressources Financières présente un
intérêt à la fois pratique, scientifique, sociale et
personnel.
Notre préoccupation majeure a gravité au tour de
deux questions à
savoir :
Sur base de quel stratégie mercatique l'entité
vodacom arrive-t-elle à gagner la part importante du marché ?
Comment à partir de la mercatique l'entité
vodacom parvient-elle à rentabiliser son exploitation ?
Pour répondre à ces questions, nous avons
émis des hypothèses
telles que :
? L'entité vodacom gagnerait une part importante du
marché en utilisant les stratégies promotionnelles
orientées vers la publicité, la promotion de vente, les
sponsorings, les relations publiques et la force de vente ;
? L'entité vodacom parviendrait à
rentabilité son exploitation en réduisant quelque prix de
produits et cela reflétera également la progression du nombre
d'abonné.
Pour vérifier nos hypothèses, nous avons recouru
à la méthode statistique qui nous a permis de vérifier les
données afin de dresser les tableaux et de faire une analyse comparative
de résultat
Pour mener notre investigation, notre travail était
regroupé en quatre chapitres hormis l'introduction et la conclusion.
? Le premier chapitre expose les
généralités sur les notions fondamentales dans lesquelles
on a parlé sur la définition des concepts de base et les notions
théoriques de l'entité.
? Le deuxième chapitre porte sur les théories de
la mercatique et la rentabilité d'une entité dans lesquelles nous
avons montré de long à large leurs utilités.
? Le troisième chapitre porte sur la
présentation de la Société Vodacom et nous avons
donné l'historique, le cadre géographique et les autres
informations sur cette société.
Page | 85
? Le quatrième chapitre analyse de la pratique de la
mercatique dans la rentabilisation de l'exploitation de l'entité
vodacom. Nous avons montré de long à large les états
financiers de cette dernière.
Après analyse et traitement des données
recueillies nous sommes parvenus aux conclusions suivantes : la
société vodacom ne dispose pas des ressources suffisantes pour
faire face à ses besoins. Sa situation financière est
déficitaire et elle doit absolument faire recours à des modes de
financement pour pallier cette situation.
Ces résultats nous ont permis de nuancer nos
hypothèses de recherche malgré quelques amendements
vis-à-vis des indicateurs comme la rentabilité durant toutes les
années sous-étude. La rentabilité financière pour
toutes les années est de : -9%, -1%, -4% -1%, la rentabilité
commerciale est de : - 10%, -7%, -5% -1%, la rentabilité
économique est de -3%, -2%, -1%, -4%.
Nous ne pourrons en aucun cas prétendre avoir
abordé toutes les matières parlant de la rentabilisation, mais
nous avons tout de même de notre part contrairement aux moyens
matérielles et financiers à notre disposition épingler
quelques éléments essentiels pouvant éclairer l'opinion
publique.
La perfection appartenant à Dieu seul, notre oeuvre ne
s'épargne pas de l'imperfection humaine, il est évident qu'il
puisse renfermer quelques erreurs, nous vous prions de ne pas nous en tenir
rigueur.
Page | 86
BIBLIOGRAPHIE
A. OUVRAGES
1. Alain MIKOL et Als : Comptabilité analytique et
contrôle de gestion édition Dunod, Paris 1989.
2. Alphonse VERHULS T. Comptabilité analytique
d'exploitation, CPR, Kin, 1994.
3. BRENNEMAMN B. et SAPARTS, Economie d'entreprise,
édition Dunod, Paris 2001.
4. COLAISSE B. La gestion financière d'une
entreprise, édition. PUF. Paris 1991.
5. Gingliger E. Gestion financière de l'entreprise
édition. Dalloz, Paris, 1986.
6. GRAWTZ M. Méthodes en sciences sociales, Dalloz,
Paris, 6ème édition, 1986.
7. ISABELLE CALME et Als ; Introduction à la gestion
éd. Dunod, Paris 2003.
8. JP FRANGIER. Comment reussir un mémoire, Dunod,
Paris, 1986.
9. KAMPIRE M. Thérèse, Initiation au travail
scientifique ITC, A & B, FSESB, UNR - BUTARS, 2004.
10. COSHAR ET CHEUALIER, Cite par MANDWALA , vers la
théorie et pratique de la révolution Paris. 1986.
11. Pinto et GRAWITZ, Méthodes des sciences sociales,
Paris Ed. Dollaz, 1976.
12. PHILIPPE CAMUS, le contrôle de gestion pour
améliorer la performance de l'entreprise, éd. D'organisation,
Paris 2000.
13. PLANCHON AMIENS, Introduction à l'analyse
financière, éd. Foucher, Paris. 1999.
B. TFC ET MEMOIRES ET ARTICLES
1. Georges lapassand et René Lourou, cite par
malangu KITUNGANU, « l'administration Publique face à la
sécurité des personnes et de leurs biens dans la province du Sud
Kivu en RDC, cas du territoire de Fuz »TFC en SPA, 2021.
2. MUEPU TSHIAMBA Claude, Les effets du marketing mix sur
la rentabilité d'une entité publique, inédit, L2
économie, UKA, 2017.
3. MUJINGA NKANGA Patricia, les conditions mercatiques
pour développer un site Web rentable pour l'entité 2013.
4. TUBALEJE AMBROISE, la mercatique comme facteur de
compétitivité des établissements des micro- finance,
Inédit L2, économie (UNIKAN 2018).
Page | 87
C. NOTES DES COURS
1. MUKADILUABA NKAMBA, Notes de cours d'initiation à
la recherche scientifique, Inédit, G1, GRF, ISES, 2015.
C. DICTIONNARES
1. Petit robert, Paris 1997.
D. WEBOGRAPHIE
1. www. Lenternante. Fr. Dictionnaire consulté le
20/03/2021.
Page | 88
TABLE DES MATIERES
ÉPIGRAPHE I
DEDICACE II
IN MEMORIAM III
AVANT PROPOS IV
LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS V
LISTE DES TABLEAUX ET GRAPHIQUES VI
LISTE DES TABLEAUX VI
LISTE DES GRAPHIQUES VII
INTRODUCTION GENERALE 1
0.1. PRESENTATION DU SUJET 2
0.2 L'ETAT DE LA QUESTION 2
0.2 CHOIX ET INTERET DU SUJET 3
0.2.1 CHOIX DU SUJET 3
O.2.2 INTÉRÊT DU SUJET 4
0.3 PROBLEMATIQUE 4
0.4 HYPOTHESES 5
0.5 METHODOLOGIE DU TRAVAIL 6
0.5.1 METHODE 6
0.5.2 TECHNIQUES 7
0.6 DELIMITATION SPATIO-TEMPORELLE 8
0.6.1 DANS L'ESPACE 8
0.6.2 DANS LE TEMPS 8
0.7 SUBDIVISION DU TRAVAIL 8
CHAPITRE I : LES GENERALITES 9
SECTION1: DEFINITIONS DES CONCEPTS DE BASE 9
I.1.1 LA MERCATIQUE 9
I.1.2.RENTABILISATION 9
I.1.3. L'EXPLOITATION 10
SECTION 2 : NOTIONS SUR L'ENTITE 11
I.2.1. RÔLE ET IMPORTANCE 11
I.2.2. FONCTION DE L'ENTITE 11
1. FONCTION FINANCIERE 11
Page | 89
2. FONCTION ADMINISTRATIVE 12
3. FONCTION COMPTABILITE 12
4. FONCTION COMMERCIALE 12
5. FONCTION TECHNIQUE 12
6. FONCTION SECURITE 13
7. FONCTION INFORMATIQUE 13
I.2.3. CARACTERISTIQUES DE L'ENTITE 13
I.2.4. TYPOLOGIE D'ENTITES 14
I.2.5. CREATION DE L'ENTITE 16
ETAPES DE LA CREATION DE L'ENTITE 17
I.2.6. L'ENTITE ET SON ENVIRONNEMENT 18
ACTION DE L'ENTITE SUR L'ENVIRONNEMENT 19
CONCLUSION PARTIELLE 19
CHAPITRE II : THEORIES SUR LA MERCATIQUE ET LA
RENTABILTE DE L'ENTITE 20
SECTION1 : LES FONDAMENTAUX DE LA MERCATIQUE 20
II.1.1. OBJECTIF DE LA MERCATIQUE 20
L'ETUDE DU MARCHE 20
L'INFORMATIQUE 20
LA VENTE 20
LA FIDELISATION 21
II.1.2. LE ROLE DE LA MERCATIQUE DANS L'ENTITE 21
ETUDIER LE PUBLIC CIBLE 21
LA RECHERCHE D'UNE IDENTITE 21
LES BESOINS DES CONSOMMATEURS 21
II.1.3. IMPORTANCE DE LA MERCATIQUE DANS UNE ENTITE
AUJOURD'HUI 22
II.1.4. LA STRATEGIE DE LA MERCATIQUE CHEZ VODACOM 23
II.1.5. L'EVOLUTION DE LA MERCATIQUE ET SA DIMENSION
INTERNATIONALE 23
OBJECTIFS 23
L'EVOLUTION DE LA MERCATIQUE 24
b) LA MERCATIQUE DE MASSE 24
c) LA MERCATIQUE SEGMENTEE 24
d) LA MERCATIQUE INDIVIDUALISEE 25
LES TENDANCES ACTUELLES 25
LA DIMENSION INTERNATIONALE DE LA MERCATIQUE 25
Page | 90
L'ESSENTIEL 26
II.1.6. TYPES DES MERCATIQUES AUJOURD'HUI 26
LA MERCATIQUE DIRECTE 26
2. LA MERCATIQUE RELATIONNELLE 27
LA MERCATIQUE INTERACTIVE 27
LA MERCATIQUE STRATEGIQUE 27
LA MERCATIQUE PRODUIT 27
LA MERCATIQUE OPERATIONNELLE 27
LA MERCATIQUE MELANGEE 28
II.1.7. LES PRINCIPALES TECHNIQUE DE LA MERCATIQUES 28
1. BOUCHE A OREILLE 28
LES RELATIONS PERSONNELLES 29
LES RENCONTRE DIRECTES OU PAR VIDÉOS CONFÉRENCE
29
LE COURIER 29
II. 1.8. LA MERCATIQUE ET SON ENVIRONNEMENT 30
SECTION 2 : ETUDE DE LA RENTABILITE 31
II.2.1. DEFINITION DE LA RENTABILITE 31
1. L'EFFICACITE 31
L'EFFICIENCE 32
II.2.2. ROLE DE LA RENTABILITE 32
II.2.3. EN JEUX DE LA RENTABILITE 32
II.2.4. CATEGORIES DE RENTABILITE 33
1. LA RENTABILITE ECONOMIQUE 33
2. LA RENTABILITE FINANCIERE 33
3. LA RENTABILITE COMMERCIALE 34
II.2. NOTIONS A NE PAS CONFONDRE A LA RENTABILITE 34
1. LE RENDEMENT 34
LA PROFITABILITE (OU TAUX DE MARGE) 35
CONCLUSION PARTIELLE 35
CHAPITRE III : PRESENTATION DE L'ENTITE VODACOM
36
III. 1 : DE L'ENTITE VODACOM CONGO 36
III.1.1 CADRE GÉOGRAPHIQUE 36
III.1.2. APERÇU HISTORIQUE 36
III.1.3. OBJET SOCIAL ET ACTIVITÉS 37
Page | 91
III.1.5. STRUCTURES ORGANIQUES ET FONCTIONNELLES 38
III.1.5. STRUCTURE FONCTIONNELLE 39
ORGANIGRAMME DE L'ENTITE VODACOM 41
III.1.6 OBJECTIFS ET AMBITIONS DE VODACOM 42
III.1.7. QUELQUES PRODUITS DEJA MIS AU MARCHE 42
III.2. : FONCTIONNEMENT DU SERVICE « M-Pesa facilitons
nous la vie » 43
III.2.1. Appréhension de l'action « M-pesa
facilitons nous la vie » 43
III.2.3. Analyse des transferts réalisés par
Vodacom 44
CHAPITRE IV: DE LA MERCATIQUE A LA RENTABILISATION DES
ACTIVITES DE L'ENTITE
VODACOM 50
4.1. ORGANISATION DU SERVICE MERCATIQUE CHEZ VODACOM
50
1. LE CHEF DU SERVICE MERCATIQUE 50
2. CHEF DU SERVICE COMMERCIAL 50
3. CHEF DU SERVICE APRÈS VENTE 50
4. LE CHEF DU SERVICE CLIENT 50
A. LES SERVICES MERCATIQUES 50
4.2. LES ACTIONS MERCATIQUE UTILISÉES PAR
VODACOM 51
LES ACTIONS MERCATIQUES 51
1. SPONSORING 51
2. LE MECENAT 52
4.3. LES SUPPORTS MERCATIQUES PROMOTIONNELS CHEZ
VODACOM 52
4.4. PRESENTATION DES ETATS FINANCIERS DE VODACOM ET
LEURS ANALYSES 57
TABLEAU N°20 BILAN CONDENSE DE VODACOM EN VALEUR
ABSOLUE 71
TABLEAU N° 21 : BILAN CONDENSE EN VALEURS
RELATIVES 72
Source : Nous-mêmes à partir du tableau n°21
73
TABLEAU N°22 BILAN SYNTHETIQUE EN VALEURS
ABSOLUES 73
TABLEAU N°23 BILAN SYNTHETIQUE EN VALEURS
RELATIVES 74
II.3. LES INDICATEURS DE L'EQUILIBRE FINANCIER
76
TABLEAU N°24 LE FONDS DE ROULEMENT NET(FRN)
76
TABLEAU N°32 LA DETERMINATION DES RATIOS DE
RENTABILITE ET LE LEVIER D'ENDETTEMENT 82
CRITIQUES ET SUGGESTIONS 83
a) CRITIQUES 83
B. SUGGESTIONS 83
CONCLUSION GENERALE 84
BIBLIOGRAPHIE 86
A. OUVRAGES 86
B. TFC ET MEMOIRES ET ARTICLES 86
C. NOTES DES COURS 87