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Mise en place d'une application informatique pour la gestion des palmarès des étudiants de l'université Saint Laurent de Kananga


par Sébastien BASUA
Université Saint Laurent de Kananga  - Graduat 2021
  

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A. LE MODELE DE BASE DE DONNEES RELATIONNEL

Le modèle relationnel est le plus courant et le plus apprécié. Dans ce modèle, la structuration de données est effectuée dans des lignes de tableaux avec l'avantage d'établir des relations entre les différentes lignes et de pouvoir les présenter dans des colonnes. Aussi, dans ce modèle, les données sont représentées sous forme des tables, il est plus simple, facile à comprendre et à manipuler.

En concevant le modèle relationnel en 1970, E.F. CODD lui a attribué la première volonté qui est d'être un modèle ensembliste facile qui a pour objectif de (d') :

- Traiter les données de façons formelles en s'appuyant sur les données mathématiques de CODD (algèbre relationnelle) ;

- Assurer une indépendance entre la structure de stockage des données et le programme afin de pouvoir faire les uns parallèlement aux autres ;

- Augmenter la productivité de programmeurs en leur fournissant des outils et langages rendant plus facile la manipulation des données.

Quelques années après l'apparition du modèle relationnel, une théorie solide a été élaborée pour permettre aujourd'hui de construire et d'exploiter de bases de données d'une manière très efficace. Cette dernière avait proposé ce qui suit :

ü Une structure relationnelle de stockage de données ;

ü La disparition de la représentation en graphe de données (représentation de BACHMAN) ;

ü La suppression des « ficelles » physiques liant les données entre elles ;

ü La facilitation de l'accès aux données pour les utilisateurs non informaticiens.

Ici, le rapprochement des données est possible grâce à l'existence de domaines communs dans l'ensemble des relations (tables) de la base de données. Les recherches et mises à jour sont effectuées à l'aide d'un langage non procédural et non navigationnel, permettant de spécifier les données que l'on veut obtenir dans dire comment y accéder, ainsi que des traitements ensemblistes. C'est donc, le moteur de recherche du SGBD qui doit déterminer le meilleur plan d'accès aux données.41(*)

Figure 1 : EXEMPLE DU MODELE RELATIONNEL

B. LE MODELE DE BASES DE DONNEES HIERARCHIQUE

Dans ce modèle, les données sont représentées suivant des hiérarchies, donc dans une arborescence. Comme le monde réel apparaît au travers des hiérarchies et que les BDD sont appelés à modéliser les informations de celui-ci, il est normal que le modèle hiérarchie soit l'un de modèles les plus rependus.

Le modèle sous-examen ici peut être vu comme un cas particulier du modèle réseau, l'ensemble des lignes entre les types d'articles devant former des graphes hiérarchiques. Cependant, les articles ne peuvent pas avoir des données répétitives. Comme les données sont enregistrées selon une arborescence, chaque noeud (entité) de l'arbre correspond à une classe d'entité du monde réel et le chemin entre les noeuds représente les liens existant entre les entités.

Le SGBD le plus connu dans cette catégorie est IMS produit ancien d'IBM, très répandu dans les applications de production. Les concepts de base du modèle sont les champs, plus petites unités de données possédant chacune un nom et l'article.

· L'article est une suite de champs, portant un nom et constituant l'unité d'échange entre la base de données et les applications. Les articles sont reliés entre eux par les liens hiérarchiques : a un article père possède N articles fils.

La notion de type d'article qui désigne le schéma d'un article (description contenant) se distingue ici de celle d'occurrences d'articles qui représentent les différentes valeurs stockées de la base.

Dans ce modèle, nous pouvons retenir que :

- Il y a un seul type d'article racine ;

- La racine peut avoir un nombre quelconque de types d'articles d'enfants ;

- Chaque type d'article enfant de la racine peut avoir un nombre quelconque d'enfants et ainsi de suite ;

- A une occurrence d'un type d'article donné, peut correspondre 0,1 ou N occurrence de chaque type d'article d'enfants ;

- Une occurrence d'article enfant ne peut exister sans l'occurrence d'un père.

NB : Détruire une occurrence d'article père, détruit également par conséquent les occurrences de ses enfants.

Figure 2: EXEMPLE DU MODELE HIERARCHIQUE

* 41 GEORGES GARDARIN, Op.cit., p136

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