La responsabilité de protéger.( Télécharger le fichier original )par Cheikh Gaye Sahel - Master en Relations Internationales 2014 |
CONCLUSION PARTIELLELa responsabilité de protéger entant que mécanisme de protection des populations en situation de détresse extrême est une très belle invention diplomatique. Résultat de l'apparition de la notion de sécurité humaine conjugué a celui de la nécessité de trouver un nouveaux moyens d'intervention humanitaire, conséquence des problème soulever depuis des décennie par le droit ou devoir d'ingérence en passant par l'intervention d'humanité. La responsabilité de protéger solution des recherches de la CIISE mais aussi le fruit d'un vaste programme de recherche résultant de différents rapports traitant certains aspect de son contenu et pour sa bonne mise en oeuvre. Pour ce qui est de ces fondements, elle peut se tarder d'avoir un ensemble non négligeables d'assises juridiques partent de la charte des Nations Unies, en passant par certains conventions comme celui contre le génocide, mais aussi sur certaine traité régional a l'image de l'acte constitutif de l'union Africaine. Toujours dans cette logique d'être une réponse a une demande internationale la solution trouver devais aussi prendre en compte l'aspect mise en oeuvre de se principe. La aussi les prometteur du principe on eu la bonne vision de débité d'abord, la mise en l'oeuvre de la responsabilité de protéger a l'Etat pour ne pas trop lui attirer les critiques de ces dernier et réserver celui de la communauté internationale en second en cas de défaillance du premier. Pour ce qui est des ces moyens de mise en oeuvre, il faut juste noter qu'elle mai l'accent sur l'utilisation des moyens pacifiques comme ceux prévus par la charte des Nations Unies a son article 33 avant de recourir a des moyens plus coercitifs en cas d'échecs des premier . Ainsi jamais la sécurité des personnes ou des civil n'a été aussi prit au premier plan de l'action de la communauté international même s'il faut noter que dans sa mise en oeuvre la population n'en est pas le seul bénéficiaire mais l'Etat aussi dans certains cas.
DEUXIEME PARTIE : UNE RESPONSABILITE A PORTE PRATIQUE REDUITE
Lors du 60ème sommet mondial des Nations Unies, à l'automne 2005, l'Assemblée générale a adopté le principe de la Responsabilité de protéger, sous le titre « Devoir de protéger des populations contre le génocide, les crimes de guerre, le nettoyage ethnique et les crimes contre l'humanité ». En plus de l'action énergique de certains États, c'est l'évolution des normes et des missions de l'ONU sur le terrain, mais aussi une réflexion large basée sur les notions de droit d'ingérence ou d'intervention humanitaire, qui ont contribué à la reconnaissance de ce principe par les Nations Unies. Or, depuis sa consécration en 2005, la responsabilité de protéger n'a pas fait l'objet d'une véritable mise en oeuvre jusqu'en 2011. C'est l'intervention en Libye qui va faire passer la notion de responsabilité de protéger de la théorie à la pratique128(*). Cette mise en pratique est l'oeuvre du Conseil de Sécurité des Nations Unies à travers ces résolutions 1970 et 1973. Il convient dés lors de voir les obstacles à la mise en oeuvre de la responsabilité de protéger (chapitre 1), et quelles sont les risques instrumentalisation dont elle peut faire l'objet (chapitre 2). * 128 Sandra Szerek, 2011, la Responsabilité de protéger : Mauvaises Querelles et Vraies Questions Annario Colombiano de Derocho international N : 4, Pages : 47-69 ACDI, Bogota-ISSN2027-1131, ISSNE : 2145-4493 |
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