ABSTRACT
This study thus focuses on the livelihoods of the populations
in the interzone. The objective is to establish the degree
compatibility-incompatibility between these livelihoods and the goals of
conservation.
This work used a hypothetico-deductive approach, where
secondary source data were collected in libraries, internet websites; and
primary data collected on the field. Here, field enquiries were effected in 9
localities on about 140 persons residing in the zone. This field enquiry ended
up with interviews on resource person as well as direct field observations. The
data obtained were treated and analysed in accordance with the objectives and
hypotheses envisaged.
The results obtained enable us to establish the main
activities of the population which were agriculture (52%), followed by hunting
(16%). Monthly income obtained from the sales of agricultural products were
estimated at 75 970 FCFA while that of hunting stood at 83 730 FCFA. Mostly,
the local populations practice the slash and turn method of agriculture and
also subsistence hunting throughout the year. Agriculture is dominated by the
conservation of trees in the fields (96 %), however, hunting uses the rifle
which is not compatible with the conservation. The technical used by these
populations are traditional and material is rudimentary and primitive. Low
population density (about 1, 04 inhbt/km2) does not actually have an
impact on conservation.
The advent of conservation projects has orchestrated diverse
reactions in this buffer zone; about 73 % of the local population adhere to the
conservation of the forest in this zone while 21 % are against, the rest is
neither for nor against. The conservation projects of the Dja reserve-Nki
National Park buffer zone were put in place without prior discussion with the
local populations. Yet, these populations entirely depend on this forest for
their livelihoods as they carry out many activities there. Nevertheless, the
majority of the local population agree to the conservation of this zone. Other
projects are also formed in the area (mining industry, transport infrastructure
...). There is thus some sort of dynamism of the area as negative effects on
conservation can already be seen in the future.
At the end of this study, the results show that the activities
of the populations in the buffer zone are compatible with the conservation
project because their impact is insignificant. Sensitization has to continue so
far as these activities remain compatible with the project.
Keywords: Interzone, Conservation, Compatibility, Living,
Populations.
v
REMERCIEMENTS
Plusieurs personnes ont aidé de près ou de loin
à la réalisation de ce mémoire. Tout d'abord, un
remerciement spécial au professeur Ngoufo Roger, pour sa rigueur au
travail, son sens de l'écoute, sa disponibilité, son
dévouement et sa passion envers la gestion des ressources et les
réserves de biosphère. En sa qualité de directeur de
mémoire, il a su m'encadrer et me guider à travers le laborieux
processus qui a mené à la réalisation et au
dépôt de ce mémoire.
Je désire exprimer ma gratitude envers tous les
enseignants et autres ainés du département de géographie
qui m'ont aidé à l'une ou l'autre des étapes du
travail.
Une reconnaissance particulière est
dédiée à toute la famille Tagne pour sa patience, son
appui, sa confiance et ses prières pour la réalisation et
l'aboutissement de ce travail. Elle a su m'encourager dans les moments
difficiles et m'apporter un recul précieux face à mon travail.
J'exprime ma profonde gratitude à mon
grand-frère Tchummamo François et son épouse Yvette
Clarisse pour leurs encouragements permanents, leur dévouement, leurs
conseils et leur soucis de me voir réussir.
Mes remerciements vont également aux dirigeants des
organismes, aux autorités ainsi qu'aux guides pour avoir accepté
de collaborer à cette étude, ainsi que pour m'avoir transmis
leurs connaissances sur les moyens d'existence des populations de cette
magnifique région qu'est l'interzone Réserve de Biosphère
du Dja-parc national de Nki.
Ils sont nombreux, mes amis, ma famille et tous les hommes et
femmes de bonne volonté qui, de Bandjoun à Djadom, m'ont soutenu,
encouragé et/ou contribué à la réussite de ce
travail de recherche. Je ne nommerai personne au risque d'en oublier. Que
toutes ces personnes trouvent ici l'expression de ma profonde gratitude pour
les multiples soutiens qu'ils m'ont apportés lors des différentes
phases de mes recherches.
Merci !
En attendant la thèse, ce mémoire de Master
est le premier fruit visible de leurs efforts. Je leur en sais gré.
Puisse Dieu récompenser les uns et les autres au centuple de leurs
bienfaits.
vi
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