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Conception et réalisation d'une base de donnée pour la gestion des formateurs. Cas de l'institut national de préparation professionnelle (INPP/Kisangani RD Congo).

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par DOMINIQUEA AWARA
ISP-Kisangani - Graduat 2014
  

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    0.0. INTRODUCTION

    L'informatique, touche aujourd'hui tous les domaines d'activités au sein de la société. Elle contribue considérablement au développement à travers le monde grâce à l'ordinateur qui est son outil doué d'une intelligence par procuration.

    Ainsi, nous dirons qu'il est l'outil le mieux indiqué pour prendre en charge les travaux qui requièrent des opérations répétitives et complexes ainsi que le stockage des masses importantes des données. Bref, le traitement automatique des données par l'ordinateur est entrain de supplanter le traitement manuel de l'information dans le monde entier.

    L'informatique constitue un outil d'une importance capitale car, c'est à partir d'elle que les hommes se servent pour les différentes activités dont : la gestion, et la télécommunication informatique... Elle permet ensuite les divers échanges culturels, sociaux, voire des informations de plusieurs natures.

    Le traitement automatique de l'information et précisément en matière de gestion des données par l'approche de Base des Données permet de se libérer des tâches répétitives qui se produisent devant l'informaticien.

    C'est en vertu de cet avantage entre autres que l'informatique étant une science de traitement automatique de l'information, s'est vite développée jusqu'à être utilisée aujourd'hui dans le domaine de la gestion d'éléments complexes qui rendraient le travail fastidieux à une méthode manuelle.

    Notre travail se situe dans ce contexte, il tente de trouver une solution pratique au service de l'INPP en lui proposant un modèle destiné au traitement automatique des données relatives à la gestion des formateurs.

    O.1. PROBLEMATIQUE

    Selon le dictionnaire universel Francophone la problématique est l'ensemble des problèmes concernant un sujet.1(*)

    Selon le cours de l'initiation à la recherche scientifique(IRS) enseigné par le Professeur VITAMARA, la problématique est l'ensemble des questions qu'un chercheur peut se poser sur un sujet d'étude.2(*)

    De notre part, la problématique est l'ensemble de questions posées par un chercheur pour trouver une solution à un problème.

    En effet, l'Institut National de Préparation Professionnelle (INPP) est une grande entreprise de la place et pour cela, il nous revient à soulever dans le processus de gestion de leurs formateurs les préoccupations majeurs pouvant être considérées comme obstacles au déroulement normal d'une bonne gestion des données.C'est pourquoi, notre problématique peut se résumer de la manière suivante :

    Ø Est-il possible de créer une application qui peut gérer les formateurs de l'INPP ?

    Ø Est-ce que il y a facilité de recueillir toute les informations concernant les formateurs de l'INPP ?

    0.2. HYPOTHESES

    Par définition l'hypothèse est une réponse provisoire à la question posée ou une réponse anticipative. Compte tenu de nos deux questions posées dans notre problématique, nous avons formulé de la manière suivante nos hypothèses :

    ü La création d'une application pour la gestion de formateurs à l'INPP serait possible ;

    ü La récolte des informations concernant les formateurs à l'INPP serait facile.

    0.3. OBJECTIFS

    Dans notre recherche concernant la gestion de formateurs de l'INPP, notre désir se résume de deux façons :

    Ø De retrouver les vrais problèmes constatés dans la gestion de formateurs à l'INPP et d'en proposer des solutions.

    Ø De produire une application pouvant résoudre tous ces problèmes concernant la gestion de formateurs au sein de l'INPP.

    0.4. CHOIX ET INTERET DU SUJET

    Notre sujet s'intitule : «  Conception et mise en oeuvre d'un système d'Information Informatisé pour la gestion des formateurs. Cas de l'INPP-Kisangani ».

    En général, le but de ce travail est de reculer les frontières des savoirs, et de faire acquérir, à toute personne qui le lira, de nouvelles connaissances dans le domaine de gestion des formateurs.Il se justifie par le fait que la gestion des formateurs se fait manuellement, pour cela notre souhait est que le service de la Division Technique de l'INPP soit doté d'une base des données efficace pour stocker lesinformations claires et fiables sur les formateurs d'une manière automatique.

    L'intérêt de ce travail concerne deux aspects :

    Ø L'intérêt humain : il est à situer par rapport à l'Institut National de Préparation Professionnelle. une fois le travail terminé l'Institut National Préparation Professionnelle(INPP) bénéficiera d'un nouveau système qui lui permettra de bien gérer les informations en rapport avec les formateurs.

    Ø L'intérêt scientifique : Ce travail nous a permis d'appliquer les connaissances en analyse et programmation accumulées durant trois ans de notre formation à l'ISP-Kisangani. En plus, il constitue un outil de référence à tout celui qui fera sa recherche dans le même domaine de la gestion des bases des données.

    0.5. DELIMITATION DU SUJET

    Tout travail doit être délimité dans le temps et dans l'espace.

    Dans le temps, notre travail couvre la période allant du 28/12/ 2014 au 12/04/2015.

    Dans l'espace, ce travail s'intéresse à la gestion de formateurs de l'Institut National de Préparation Professionnel(INPP-Kisangani).

    0.6. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES

    0.6.1. LES METHODES

    Selon le cours de l'Initiation à la Recherche scientifique(IRS), une méthode est l'ensemble d'opinions intellectuelles par les quelles une discipline cherche à atteindre les vérités qu'elle poursuit, les démontre et les vérifie.

    En effet, une méthode est une démarche intellectuelle utilisée par un chercheur pour mener une étude afin d'atteindre son objectif, c'est-à-dire une démarche raisonnée, ordonnée, employée par un chercheur en vue d'atteindre l'explication d'un phénomène qu'il étudie. (VITAMARA).3(*)

    Dans le cadre de la présente étude, nous nous sommes servis des méthodes suivantes :

    Ø La méthode Historique : qui nous a permis l'utilisation des documents d'archives de l'Institut National de la Préparation Professionnelle(IINPP) en vue de connaitre les systèmes en faisant l'analyse du passé pour exploiter au présent afin de préparer le futur.

    Ø La méthode Merise: est une Méthode d'Etude et de Réalisation Informatiques pour le Système d'Entreprise (D'origine française,) cette méthode a comme objectif d'introduire la notion de système d'information. Elle nous a permis de développer les différents modèles appliqués dans le système d'information pour la bonne réalisation de notre travail.

    Ø La méthode analytique :c'est une méthode permettant à faire l'analyse d'un ensemble des informations. Elle nous a aidés de faire la décomposition de tous les éléments du système pour en tirer toutes les informations possibles servant d'aboutir au service concerné par notre étude et entamer le fonctionnement de l'existant.

    0.6.2. LES TECHNIQUES

    Les techniques se définissent comme un outil ou instrument de travail qui permet la collecte des données ou un ensemble de moyens et procédés permettant au chercheur de rassembler les informations claires sur un sujet donné afin d'atteindre son objectif.

    Etant donnée une technique est un moyen, nous avons fait recours au techniques suivantes :

    0.6.2.1. Technique de l'observation 

    Observer selon le petit ROBERT, c'est regarder avec attention, porter un intérêt sur un objet donné et comme la technique a pour but de connaître et de prédire des faits, l'observation nous a aidé à observer avec beaucoup d'attention les postes et service de chaque travail et comment les informations circulent au sein de l'Institut National de la Préparation Professionnelle(INPP).

    0.6.2.2. Technique d'entretien ou interview

    Par définition la technique d'entretien ou d'interview est une situation d'interaction essentiellement verbale entre deux personnes en contact direct avec objectif préalablement posé.

    Pour cela, la technique d'entretien ou d'interview nous a servi à obtenir, à partir d'un questionnaire préparé d'avance, des informations et données nécessaires pour la réalisation du travail à travers un jeu de question-réponse avec les responsables de service de la division technique (AT).

    0.6.2.3. La technique documentaire :C'est un ensemble des recherches et analyse des informations disponibles sur un thème donné nous a permis de regrouper, lire et sélectionner les notes, les articles et les ouvrages qui se rapportent à notre sujet.

    0.7. DIFFICULTES RENCONTREES

    Au cours de notre recherche, nous avons connu quelques difficultés qui ne nousont pas permis de bien récolter notre donnée.

    Nous avons reçus des difficultés à la récolte des données car pour avoir des données il faut payer un montant de cinq mille franc Congolais, parfois on trouvait le chef de service trop occupés ce qui nous faisait fatigué, d'autre part, les difficultés se posé par rapport au cours de Méthodologie et Analyse Informatique qui est programmé avec un grand retard, alors que, c'est un cours qui contient la base de notre recherche.

    0.8. SUBDIVISION DU TRAVAIL

    Ce travail est constitué de quatre chapitres hormis l'introduction et la conclusion :

    ü Chapitre premier parle de clarification de concepts

    ü Chapitre deuxième concerne l'analyse préalable

    ü Chapitre troisième s'intituleconception de la base de données en merise

    ü Chapitre quatrième résume laréalisation de l'application

    CHAPITRE PREMIER : CLARIFICATION DES CONCEPTS

    1.1. SYSTEME D'INFORMATION

    1.1.1. Définition et Objectifs

    Un système informatique est un ensemble de moyens informatiques et de télécommunications ayant pour finalité d'élaborer, de traiter, de stocker, d'acheminer, de présenter ou de détruire des données.Lesobjectifsdusystèmed'information sont multiples et se résument en six points essentiels, à savoir:

    1° Identifier, collecter et diffuser les besoins d'informations des différentes activités ;

    2° Réduire les coûts de la collecte et du traitement des informations ;

    3° Actualiser les bases de données de l'entreprise ;

    4° Partager les informations entre les services et le personnel ;

    5° Rechercher et développer de nouvelles idées produits,

    6° Connaître les clients d'un secteur d'activité donné, ainsi que les réglementations en cours.

    1.1.2. Fonction du Système d'information

    Un Système d'information remplit deux fonctions principales : la production d'informations et la mise en oeuvre d'outil de gestion.

    a) La production d'information

    · Collecter des informations

    · Traiter et transmettre des informations

    · Mémoriser des informations

    b) La mise en oeuvre d'outil de gestion

    · Fonction techniques (matériels, logiciels, méthodes, savoir-faire,...)

    · Fonction économique

    · Fonction sociale

    1.2.0.L'INFORMATION

    1.2.1. Définition

    Dans toute organisation, l'information revêt une importance capitale. L'information est un facteur positif de développement et d'amélioration des performances des entreprises. Elle est à la base de toute décision et est, de ce fait, vitale dans le fonctionnement de toute société car, elle constitue un outil de communication externe, un outil de communication interne et un facteur de cohésion sociale.

    Par définition, une information peut être définie comme un message, un renseignement susceptible d'être communiqué entre les hommes et qui est suffisamment explicite pour pouvoir déclencher une action ou une réaction auprès de destinateur.

    Elle est aussi un renseignement qui permet de représenter de façon intelligible une réalité (une chose, un phénomène).

    Du point de vue informatique, dans le sens strict, lorsque l'information se trouve en amont, elle est une donnée. Elle peut alors être édifiée, quantifiable et qualifiable. Ainsi, une donnée est la représentation conventionnelle d'une information sous forme convenant à son traitement par ordinateur. Lorsqu'elle se trouve en aval, l'information devient un résultat ou un état de sortie. Le traitement de l'information désigne, en fait, l'ensemble des techniques de l' « informatique »

    1.2.2. Qualités d'une information

    a) La pertinence : c'est le fait pour une information d'être utile à celui qui va l'utiliser. Nous vivons une époque de surabondance de l'information et le problème est souvent de trouver la bonne information.

    b) La fiabilité : c'est le fait pour une information d'être complète, mise à jour, précise, exacte. La fiabilité dépend beaucoup de la source de l'information.

    c) La disponibilité : une information est disponible lorsqu'elle a la capacité d'être accessible en temps utile. L'information n'est parfois disponible qu'après un délai, voir un traitement.

    1.3.0. INFORMATIQUE

    De « information » et « automatique », l'informatique est la science du traitement automatique et rationnel de l'information au moyen d'un automate ou machine conçue par l'homme, l'ordinateur.

    Ainsi, l'informatisation consiste à remplacer des méthodes manuelles par des méthodes utilisant des moyens informatiques.

    1.4.O. DONNEES

    Une donnée est une suite de caractère représentant une information et qui peut se prêter à un traitement par la machine. La donnée à un caractère abstrait et elle est aussi considérée comme information cédée.

    1.4.1. BASE DE DONNEES

    1.4.1.1. Définition et Structure.

    Une base de données (BD) ou databaseen anglais (DB) est une entité dans laquelle il est possible de stocker des données de façon structurée et avec le moins de redondance possible. Autrement dit, Une base de données est un ensemble d'informations structurées, qui concerne un domaine précis.

    Ces données doivent pouvoir être utilisées par des programmes, par des utilisateurs différents. Ainsi, la notion de base de données est généralement couplée à celle de réseau, afin de pouvoir mettre en commun ces informations, d'où le nom de base. On parle généralement de système d'information pour désigner toute la structure regroupant les moyens mis en place pour pouvoir partager des données4(*).

    Figure1. Une base de données

    1.4.1.2. Utilité d'une base de données

    Une base de données permet de mettre des données à la disposition d'utilisateurs pour une consultation, une saisie ou bien une mise à jour, tout en s'assurant des droits accordés à ces derniers. Cela est d'autant plus utile que les données informatiques sont de plus en plus nombreuses.

    Une base de données peut être locale, c'est-à-dire utilisable sur une machine par un utilisateur, ou bien répartie, c'est-à-dire que les informations sont stockées sur des machines distantes et accessibles par réseau.

    L'avantage majeur de l'utilisation de bases de données est la possibilité de pouvoir être accédées par plusieurs utilisateurs simultanément.

    1.4.1.3. Objectifs des bases de données (BD)

    · Stockage permanent de données ;

    · Description des données ;

    · Consultation, sélection, modification des données ;

    · Recherche de l'information par le contenu ;

    · Accès multiples simultanés (concurrents) ;

    · Intégrité des données (les données ne peuvent pas être facilement manipulées);

    · Sécurité (protection contre tout accès non autorisé ou mal intentionné.) ;

    · Confidentialité (tout ce qui se passe comme opération).

    1.5.0. LA GESTION DES BASES DE DONNEES

    Afin de pouvoir contrôler les données ainsi que les utilisateurs, le besoin d'unSystème de gestion s'est vite fait ressentir. La gestion de la base de données se fait grâce à un système appelé SGBD (système de gestion de bases de données) ou en anglais DBMS (Database Management System). Le SGBD est un ensemble de services (applications logicielles) permettant de gérer les bases de données, c'est-à-dire :

    ü Permettre l'accès aux données de façon simple

    ü Autoriser un accès aux informations à de multiples utilisateurs

    ü Manipuler les données présentes dans la base de données (insertion, suppression, modification)

    1.5.1. Système de gestion de base de données(SGBD)

    1.5.1.1. Notion

    Ø Un Système de Gestion de Bases de Données (SGBD) est un ensemble d'outils logiciels permettant la manipulation de base de donnée (BD) ;

    Ø Facilite la manipulation des données pour des non-informaticiens ;

    Ø Fournit des fonctionnalités d'administration de la base.

    1.5.1.2. Les principes fondamentaux de SGBD

    Ø Fidélité

    § image fidèle de la réalité qu'elle modélise

    Ø Unicité

    § pas de redondance d'information dans la BD

    Ø Indépendance

    § indépendant du modèle de stockage

    Ø Concurrence

    § Gestion d'accès simultanés à une même donnée.

    Ø Performance

    § temps d'exécution raisonnable

    Ø Confidentialité

    § Accessibilité des données dépendant de l'utilisateur

    Ø Intégrité

    § garanties de fiabilité et de cohérence.

    Ø Robustesse

    § tolérant aux problèmes matériels, logiciels ou humains

    1.5.1.3. Différents modèles de bases de données

    Il existe cinq modèles de SGBD, différenciés selon la représentation des données qu'elle contient :

    a. Le modèle hiérarchique : les données sont classées hiérarchiquement, selon une arborescence descendante. Ce modèle utilise des pointeurs entre les différents enregistrements. Il s'agit du premier modèle de SGBD5(*)

    Figure 2. Modèle hiérarchique

    b. Le modèle réseau : comme le modèle hiérarchique ce modèle utilise des pointeurs vers des enregistrements. Toutefois la structure n'est plus forcément arborescente dans le sens descendant6(*)

    Figure 3. Modèle réseau

    c. Le modèle relationnel (SGBDR, Système de gestion de bases de données relationnelles) : les données sont enregistrées dans des tableaux à deux dimensions (lignes et colonnes). La manipulation de ces données se fait selon la théorie mathématique des relations

    Figure 4. Modèle relationnel

    d. Le modèle déductif : les données sont représentées sous forme de table, mais leur manipulation se fait par calcul de prédicats

    e. Le modèle objet (Système de gestion de bases de données objet « SGBDO ») : dans ce modèle, les données sont stockées sous forme d'objets, c'est-à-dire de structures appelées classes présentant des données membres. Les champs sont des instances de ces classes7(*)

    1.6.0. PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT

    Les problèmes sont de stocker et de manipuler des données.

    a) Gestion du stockage : faire face à des tailles énormes de données.

    b) Persistance: Les données «survivent» aux programmes qui les créent.

    c) Fiabilité : Mécanismes de reprise sur pannes (logiciel ou matériel)

    d) Sécurité - Confidentialité : Droits d'accès aux données

    c) Cohérence : Contraintes d'intégrité contrôle de concurrence: Conflits d'accès. Répercussions sur la cohérence

    d) Interfaces homme - machine : Convivialité + différents types d'utilisateurs

    e) Distribution : Données stockées sur différents sites

    f) Optimisation : Transferts MC-MS8(*).

    1.7.0. OBJECTIFS DES SYSTEMES DE GESTION DE BASES DE DONNEES

    Les bases de données et les systèmes de gestion de bases de données ont été créés pour répondre à un certain nombre de besoins et pour résoudre un certain nombre de problèmes.

    Des objectifs principaux ont été fixés aux systèmes de gestion de bases de données dès l'origine de ceux-ci et ce, afin de résoudre les problèmes causés par la démarche classique.

    Ces objectifs sont les suivants :

    a. Indépendance physique

    La façon dont les données sont définies doit être indépendante des structures de stockages utilisées.

    b. Indépendance logique

    Un même ensemble de données peut être vu différemment par desutilisateurs différents. Toutes ces visions personnelles des données doivent être intégrées dans une vision globale.

    c. Manipulations des données par des non informaticiens

    Il faut pouvoir accéder aux données sans savoir programmer. Ce qui signifie des langages ``quasi naturels''.

    d. Efficacité des accès aux données

    Ces langages doivent permettre d'obtenir des réponses aux interrogations enun temps ``raisonnable''. Ils doivent donc être optimisés et, entre autres, il faut un mécanisme permettant de minimiser le nombre d'accès disques. Tout ceci, bien sûr, de façon complètement transparente pour l'utilisateur.

    e. Administration centralisée des données

    Des visions différentes des données (entre autres) se résolvent plus facilement si les données sont administrées de façon centralisée.

    f. Non redondance des données

    Afin d'éviter les problèmes lors des mises à jour, chaque donnée ne doit être présente qu'une seule fois dans la base.

    g. Cohérence des données

    Les données sont soumises à un certain nombre de contraintes d'intégrité qui définissent un état cohérent de la base. Elles doivent pouvoir être exprimées simplement et vérifiées automatiquement à chaque insertion, modification ou suppression des données.

    h. Partageabilité des données

    Il s'agit de permettre à plusieurs utilisateurs d'accéder aux mêmes données au même moment. Si ce problème est simple à résoudre quand il s'agit uniquement d'interrogations et quand on est dans un contexte mono-utilisateur, cela n'est plus le cas quand il s'agit de modifications dans un contexte multiutilisateurs. Il s'agit alors de pouvoir :

    · permettre à deux (ou plus) utilisateurs de modifier la même donnée ``en même temps'' ;

    · assurer un résultat d'interrogation cohérent pour un utilisateur consultant une table pendant qu'un autre la modifie.

    i. Sécurité des données

    Les données doivent pouvoir être protégées contre les accès non autorisés. Pour cela, il faut pouvoir associer à chaque utilisateur des droits d'accès aux données.

    j. Résistance aux pannes

    Que se passe-t-il si une panne survient au milieu d'une modification, si certains fichiers contenant les données deviennent illisibles? Les pannes, bien qu'étant assez rares, se produisent quand même de temps en temps. Il faut pouvoir, lorsque l'une d'elles arrive, récupérer une base dans un état ``sain''. Ainsi, après une panne intervenant au milieu d'une modification deux solutions sont possibles : soit récupérer les données dans l'état dans lequel elles étaient avant la même base.

    1.8.0. MERISE

    MERISE est une abréviation qui signifie (Méthode d'Analyse et de Réalisation Informatique de Système d'Entreprise).C'est une méthode de développement des projets informatiques de gestion.Il peut se définir aussi comme une méthode qui permet de construire un système d'information automatisé qui soit efficace, flexible et adapté à l'entreprise.

    1.3.1. Les composantes de Merise

    Comme toute méthode d'analyse et de conception de Système Informatique, Merise regroupe :

    ü Des modèles (concepts, règles de représentation)

    ü Un langage (vocabulaire, règles de syntaxe)

    ü Une démarche

    ü Des outils (des logiciels)

    Elle permet de représenter les composantes d'un SIG

    ü Les acteurs

    ü Les données

    ü Les traitements

    ü Les procédures

    ü Les postes de travail, etc.

    Elle tire son nom du MERISIER qui est un arbre porte-greffe. De façon analogue,MERISE est le résultat de la greffe de plusieurs méthodes. Une deuxième explication vient du fait que le mot MERISE se trouvait en haut à gauche d'un dictionnaire ouvert à la lettre M.

    Elle s'adresse à toutes les applications sur micro, mini-ordinateur ou grands systèmesinformatiques. Par commodité, l'organisme à informatiser sur lequel s'applique la méthode est appelée ici entreprise.

    Merise est actuellement la méthode la plus répandue en France. Historiquement, lapremière version officielle de Merise date des travaux coordonnés par le Ministère de l'industrie en 1979 ; le groupe de projet comprenait, outre une équipe de recherche dirigée par M. H. TARDIEU, plusieurs sociétés de service. Depuis, plusieurs versions ont été développées. Voici venu le temps des MERISES. L'ouvrage de référence de la méthode est celui de MM H. TARDIEU, ROCHFELD et COLETTI.9(*)

    1.3.2. La démarche Merise : 3 découpages sur 4 niveaux.

    1.3.2.1 Trois découpages

    Pour étudier et développer l'informatique d'une entreprise ou de tout type d'organisme, il est nécessaire de connaître ses échangesinternes et avec l'extérieur. Il s'agit de comprendre comment elle réagit à une sollicitation externe et quelle est la structuredesinformationsqu'elle utilise.

    La méthode MERISE décrit cette connaissance sous forme de trois découpages : communication, traitement et données.

    a. Communication

    Il s'agit des échanges ou la communicationsont des flux entre les systèmes, notamment des flux d'informations ou messages, comment les informations circule au sein de différent service de l'entreprise.

    b. Traitement.

    Letraitementdes informations, décrit les tâches à effectuer à la réception ou pour l'émission d'un flux d'informations, c'est-à-dire comment l'entreprise réagit à une commande ou demande du client.

    c. Données.

    La structure de mémorisation des informationsest représentée sous une forme qui permet un passage aisé vers les "enregistrements informatiques", c'est-à-dire les informations qui sont stocké dans une base de données.

    Par exemple la quantité de marchandise restante au dépôt.

    1.3.2.2 Quatre niveaux : conceptuel, organisationnel, logique et physique.

    L'informatique consiste à mettre à la disposition de l'utilisateur des moyens ou des outils de gestion informatique. Avant de spécifier les moyens informatiques, il est nécessaire de définir le travail de cet ou de ces utilisateurs finals, de définir l'organisation du travail au sein de l'entreprise. Afin de déterminer cette organisation, l'analyse des objectifs et des fonctions majeures de l'entreprise doit être menée.

    Ainsi, l'informatisation est conçue enfonction de l'organisation et l'organisation en fonction des objectifs à atteindre.

    L'enchaînement de l'informatique, de l'organisation et de la fonction nécessite un découpage en niveaux de la démarche d'informatisation. Ces niveaux sont nommés conceptuelpour l'étude des fonctions et organisationnelpour l'étude de l'organisation.

    Le niveau définissant l'informatique est séparé en deux : un niveau décrivant l'informatique sans choix de matériel ou de logiciel précis, le niveau logique, et un niveau décrivant le résultat de la méthode ou l'informatisation finale, le niveau physique. Si les choix de matériel ou de logiciel sont effectués, certaines phases du niveau physique sont abordables directement.

    L'adoption de la méthode entraîne la définition des fonctions générales de l'entreprise avantla définition de l'organisation et avantla définition des outils informatiques.

    L'informatique n'est abordée qu'au troisième niveau, si ce type de solution est retenu. Il suffit, pour remonter ou descendre d'un niveau, de poser les questions :

    ü Pourquoi ? Alors, je remonte vers l'invariant.

    ü Comment ? Alors, je descends vers le plus mobile.

    CONCEPTUEL

    PHYSIQUE

    ORGANISATIONNEL

    LOGIQUE

    FONCTION

    ORGANISATION

    INFORMATIQUE

    a. le niveau conceptuel : objectif de l'entreprise :

    Le plus invariant, le niveau conceptuel, définit les fonctions réalisées dans l'organisme. Il répond à la question QUE FAIT L'ORGANISME ? Il est déterminé par son activité. L'étape précédente, l'interrogation du pourquoi de l'activité, cette remise en question de l'entreprise, n'est pas abordée par Merise.

    b. le niveau organisationnel : poste de travail de l'entreprise :

    Pourquoi une organisation ? Pour réaliser les fonctions de l'entreprise décrites dans la première partie. Cela répond à la question QUI FAIT QUOI ?

    Dans le cas de développement sur micro-informatique ou dans le cas où l'application ne concerne qu'une seule personne, le niveauorganisationnel se ramène à sa plus simple expression, un seul poste de travail.

    Les niveaux Conceptuel et organisationnel représentent toute l'entreprise. Les deux niveaux suivants ne prennent en compte que la solution informatique retenue.

    c. le niveau logique ou externe :informatique universelle :

    Puis, plus variable, est la formeque doit prendre l'outil informatique pour être adapté à l'utilisateur, à son poste de travail. C'est le niveau logique, la maquette des enchaînements d'écran et la réponse à la question AVEC QUOI ? Ou plus exactement AVEC L'AIR DE QUOI ? Le logique est indépendant de l'informatique spécifique, des langages de programmation ou de gestion des données.

    d. le niveau physique ou interne : informatique spécifique :

    Le dernier niveau, le plus variable, est l'outil informatique lui-même, les fichiers, les programmes. AVEC QUOI ? Ce niveau est appelé niveau physique.

    Ce niveau dépend à 100% du système informatique retenu, du type de la base de données et des outils de développement. MERISE est d'un secours précieux dans le cadre des données. La structure "physique" informatique des données tend à être normalisée. Le passage, à l'aide de règles, à ces représentations normalisées est facile. C'est à cet instant que la méthode justifie son utilisation dans le cadre de développement sur micro-ordinateurs. Le modèle conceptuel de données engendre le modèle physique de données.

    L'existence de quatre niveaux permet un suivi méthodique. Cette étude se conduit sans retour entre chaque niveau.9(*)

    CHAPITRE DEUXIEME : ANALYSE PREALABLE

    Par définition L'analyse préalable, est aussi appelée étude préalable. C'est l'étude qui permet à un informaticien de préparer la décision relative à la nécessité d'informatiser ou de ne pas informatiser le traitement de l'information, le changement d'ordinateurs ou encore l'achat des nouveaux matériels.

    Le but de cette étude est de recueillir les données qui vont servir à l'élaboration du diagnostic en vue de la recherche et de choix de solution pour améliorer les performances, les qualités ainsi que la capacité8.

    Elle permet de prendre une connaissance générale et suffisante de l'entreprise afin d'en faire la synthèse et de concevoir la solution.

    Dans notre cas, nous allons analyser les activités du système de gestion des formateurs dans le domaine de formation à l'INPP Kisangani.

    2. 1. PRESENTATION DE L'INPP

    2.1.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE

    L'institut National de Préparation Professionnelle/INPP Province Orientale se trouve à Kisangani, chef-lieu de la province et se situe sur l'avenue générale MULAMBA N° 39 dans la commune de la MAKISO.

    Il est entouré :

    Ø Au Nord par l'Ex- bureau des sciences de l'éducation ;

    Ø Au Sud par le BEACH BACK/la Radiotélévision canal Orient ;

    Ø A l'Est par l'église 13ème communauté Baptiste du fleuve Congo ;

    Ø A l'Ouest par le Bureau de l'église Néon-apostolique.

    2.1.2. APERCU HISTORIQUE

    Nous rappelant l'histoire de notre Pays en matière d'instruction, la politique coloniale belge se limitait à la formation des cadres auxiliaires et des employés subalternes capables d'épauler les techniciens belges à l'exploitation du terrain. Au lendemain de l'indépendance de notre Pays, le Congo a souffert d'une carence des cadres supérieurs et qualifiés capables d'assurer la relève des techniciens belges. Alors face à cette difficulté, le gouvernement a amorcé deux démarches :

    1) Envoyer les congolais pour suivre les formations accélérées à l'étranger (Europe, Amérique), malheureusement cette tentative s'est avérée inefficace car elle coûtait trop chère.

    2) Le gouvernement congolais a entrepris une deuxième démarche qui consistait à accepter l'assistance technique étrangère au Pays. Cette démarche s'est aussi avérée inefficace. C'est pourquoi le Congo étant membre de l'ONU a demandé à celle-ci de lui trouver une structure, un système national capable de former les nationaux sur place. L'ONU a chargé l'OIT (organisation internationale du travail) de trouver un système national, c'est ainsi par l'ordonnance loi n°206/06/1964 que fut créé l'INPP.

    L'INPP a ses différentes succursales ouvertes au fil de des années de la manière suivante :

    1966 : démarrage de la Direction provinciale à Kinshasa

    1969 : démarrage de la Direction provinciale de BAS- CONGO

    1971 : démarrage de la Direction provinciale de KATANGA

    1973 : démarrage de la Direction provinciale de Kisangani

    1981 : démarrage de la Direction provinciale du SUD-KIVU

    1990 : intégration à l'école PIGIER-ESFORCA

    1990 : création de l'antenne de GBADOLITE

    1990 : création de l'antenne de KIKWIT

    1999: création de l'antenne de KANANGA

    2001: démarrage de la Direction provinciale du Nord-Kivu

    2001 : démarrage du bureau de liaison de BUTEMBO

    2002 : création de l'antenne de MBUJIMAI

    2002 : démarrage de l'antenne de MBANDAKA

    2007 : démarrage du bureau de liaison de MATADI

    2008 : démarrage du bureau de liaison de KOLWEZI, LIKASI et KALEMIE

    2008 : création de l'antenne de KINDU

    2009 : démarrage du bureau de liaison de BUNIA

    2009 : démarrage du bureau de liaison de GEMENA

    2010 : démarrage du bureau de liaison de MBANZANGUNGU

    2011 : démarrage du bureau de liaison d'ISIRO

    2013 : démarrage du bureau de liaison d'ARU

    L'INPP organise des formations professionnelles très variées. Il s'agit des domaines ci-après :

    Ø Mécanique générale

    Ø Tôlerie et soudure

    Ø Mécanique automobile

    Ø Froid et climatisation

    Ø Bâtiment et génie civil

    Ø Comptabilité, secrétariat, commerce et administration

    Ø Gestion des petites et moyennes entreprises

    Ø Formation de maitrise et des cadres

    Ø Pédagogie de la formation et formation des formateurs

    Ø Informatique

    Ø Coupe et couture

    Ø Analyse, description et classification des emplois

    Ø Prévention du risque professionnel.

    2.1.3. ORGANIGRAMME DE L'INPP/KISANGANI

    BEC

    DIPRO

    AUDI

    DAF

    DT

    IT

    DAF

    RECOUV

    DIRESEC

    DISPENC

    IPP

    CBC

    RELPUBAPROV

    MAINTENANCE

    GARDE

    OSP

    PF

    FCA

    MECGEN

    MA

    ELECTR

    ELECTRO

    BGC

    LEGENDE

    AUDIT : AUDIT INTERNE

    DIPRO: DIRECTEUR PROVINCIAL

    DT : DIVISION TECHNIQUE

    DAF   : DIVISION ADMINISTRATIVE ET FINANCIERE

    IT   : INSPECTION TECHNIQUE

    RECOUV  : RECOUVREMENT

    DISPEN  : DISPENSAIRE

    C.B.C   : COMPTABILITE

    DIRESEC  : SECRETARIAT DE DIRECTION

    BEC   : BUREAU D'ETUDES ET CONSEILS

    OSP  : ORIENTATION ET SELECTION PROFESSIONNELLE

    IPP   : INVENTAIRE PHYSIQUE ET PERSONNEL

    FCA   : FORMATION EN COMMERCE ET ADMINISTRATION

    M.G  : MECANIQUE GENERALE

    MA  : MECANIQUE AUTOMOBILE

    ELECTOETEC  : ELECTROTECHNIQUE

    GBC  : BATIMENT ET GENIE CIVILE

    ELCT   : ELECTRICITE

    REL.PUB   : RELATION PUBLIQUE ET

    APRO   : APPROVISIONNEMENT

    Notre analyse ne concerne pas l'ensemble de domaine de l'Institut National de Préparation Professionnelle (INPP) mais plutôt un sous-domaine qui est en charge de la formation (enseignement). Ci-dessous l'organigramme de la Division Technique (DT).

    2.1.4. ORGANIGRAMME SPECIFIQUE

    LA DIVISION TECHNIQUE

    DT

    ELECT

    MOT

    GC

    FCA

    PF

    OSP

    MG

    LEGENDE :

    DT : Division Technique ;

    OSP : Service d'Orientation et

    PF : Service de Pédagogie et Formation ;

    FCA : Service Formation Commerciale et Administration ;

    MG : Service Mécanique Général ;

    MO : Service Motorisation ;

    GC : Service Génie Civil ;

    ELEC : Service Electricité.

    2.1.4. Etude des documents

    Cette étude nous a permis de voir comment l'Adjoint Technique gère les formateurs (enseignants) et de proposer des solutions pour remédier à cette situation. Les documents utilises pour cette gestion sont les suivante :

    1. La fiche de préparation qui se présente comme suit :

    Nom du formateur :

    Service :

    Spécialité :

    Date :

    Sujet de la leçon :

    Durée:

    Matériels, outils :

    MATIERE

    METHODES ET PROCEDES

    INTRODUCTION

     
     

    2. Tableau programme :le tableau de programme comprend les éléments suivant :

    SUJET D'EXERCICE

    HEURE

    TECHNOLOGIE

    SECURITE

    CALCUL

    OBS.

     
     
     
     
     
     
     

    2. 2. ANALYSE DE L'EXISTANT

    2.2.1. Définition et But

    L'analyse de l'existant est une étape qui consiste à décortiquer l'entreprise concerné ainsi que la manière dont elle fonctionne à un moment précis.

    Le but de cette étude est d'analyser les activités et le fonctionnement de l'établissement ou l'entreprise concernée.

    2.2.2. Recrutement de formateur

    La procédure d'engagement de formateur à l'Institut National de Préparation Professionnelle ( INPP) consiste à ce que la Direction lance une offre d'emploi par voie d'affichag, le candidat formateur depose son dossier complet à la réception qui à son tour sera orienté au service de division technique qui, s'occupe des formateurs. Le dossier déposé sera examiné son dossier chez de de ce servce de division technique qui est l'Adjoint Technique (AT) qui va consulté le dossier, après la consultation de dossier, il va l'envoyé chez le Directeur Général de l'Institut National de Préparatin professionnelle (INPP) pour la confirmation de nouveau engagé, après la confirmation, il va l'envoyé au service de gestion du personnel et inventaire physique pour l'enrégistré dans la liste des agents. Ainsi le nouvel engagé sera invité à :

    ü Signer un contrat de travail avec l'INPP ;

    ü Affecté ; compte tenu de son expertise ou ça qualification dans le domaine de sa formation où il commencera à former les candidats inscrit à l'INPP ;

    ü Etre affecté dans un service de formation ;

    ü Etre initié en méthodologie de formation (pédagogie), et

    ü Il va commencé à former sous l'encadrement d'un chef de service.

    2.2.3.RECENSEMENT D'ACTEURS

    ACTEURS

    TYPES

    FONCTIONS (TACHES)

    Formateur

    Interne

    ü Se renseigner, s'il ya de nouveaux candidats

    ü Former les candidats en formations

    Adjoint Technique

    Interne

    ü Assurer le contact avec la direction des entreprises

    ü Procéder à l'inventaire des besoins humains

    ü Déterminer la cellule malade en dégageant les besoins généraux en formation et peut appeler le service d'orientation professionnelle pour la passation de tests psychotechniques

    ü Faire également appel au service d'instruction intéressé pour l'étude des besoins spécifiques

    ü Aider les entreprises à organiser leur activité de formation, proposer à cet effet la période d'organisation de la formation de l'entreprise dans le cadre de l'éducation ouvrière, et collaborer avec le syndicat en organisant l'information sur l'INPP.

    Ø L'A.T est appelé à remplacer les provinces c'est-à-dire est appelé à faire l'intérim du directeur provincial dans le cadre ci-après :

    · Service motorisation

    · Service électronique

    · Service pédagogique et information

    · Service orientation et sélection professionnelle

    · Service de formation en commerce et administrations

    · Service de la formation et d'accompagnement de gouvernement

    · Service de bâtiment et génie civile

    Gestionnaire du personnel

    Interne

    ü Accueillir les nouveaux engagés et visiteurs

    ü Etablir les prévisions budgétaires

    ü Rédiger le rapport mensuel des activités

    ü Faire respecter la discipline.

    Directeur Général (D.G)

    Interne

    ü Assure et veuille à une saine gestion administrative et financière ;

    ü il coordonne les actions de formation dans l'entreprise et détermine les programmes ;

    ü Approuve les programme d'examen de fin de stage ouvre et clôture le cycle de stage ;

    ü  Décide de l'admission de stagiaire, discute de leur progrès et recommande les mesurer qu'il juge souhaitables ;

    ü Contrôle et examine le travail des chefs de Division rattachés à l'entité ;

    ü Etablit et maintient les relations avec les institutions politico- administrative ainsi que les organisations des employeurs et des travailleurs, les directeurs d'entreprises et des établissements de formation professionnelle voire l'école dans la province où est installée l'entité ;

    ü Dirige les réunions avec les personnels de l'entité ;

    ü Etablit le rapport à l'intention de l'ADG sur l'activité de l'entité ;

    ü Recueille et exploite toutes les informations concernant le développement de la formation professionnelle dans la province ;

    ü Propose le recrutement, la promotion, le licenciement ou la mise en retraite du personnel de l'entité ;

    ü Note périodiquement le personnel placé directement sous ses ordres et vérifie les annotions données par le détenteur de la hiérarchie de l'entité.

    2.2.4. MODELE CONCEPTUEL DE COMMUNICATION (MCC)

    Ce modèle conceptuel de communication représente les échanges de flux de produits, d'énergie, de personne, de valeur ou d'information entre systèmes. Ces systèmes fonctionnels appelés intervenants sont,

    ü soit externes à l'entreprise (partenaires),

    ü soit internes (domaine, sous-domaine). Un domaine de l'entreprise a un système d'information propre à tous ses sous-domaines.

    Adjoint Technique

    Formateur

    D.G

    1 2

    Chargé du Personnel

    3

     

    LEGENDE

    1. Renseignement sur le nouveau candidat à la formation ;

    2. Les renseignements fournis ;

    3. Rédaction rapport mensuel des activités ;

    4. Analyse rapport;

    5. Envoyer le brevet pour la signature ;

    6. Signature brevet.

    2.2.5. MODELE CONCEPTUEL TRAITEMENT (MCT)

    Ce modèle conceptuel de traitement part du modèle conceptuel de communication en examinant les opérations effectuées par domaine dans le cas général et par sous domaine dans le cas détaillé.

    RECENSEMENT DES OPERATIONS CONCEPTUELLES

    1. formation

    2. test des candidats

    3. la signature de brevet par D.G

    4. livraison de brevet.

    Candidat présent

    Formateur

    Disponible

    ET

    OP.1

    Formation

    Catégories de formations

    Enregistrement les coordonnées du candidat

    Toujours

    A

    Formation débutée

    Candidat présent

    AT dispo

    ET

    Candidats testés

    OP.2

    Test des candidats

    Suivre la formation

    Enregistrer le candidat

    Toujours

    A

    D.G disponible

    AT présent

    ET

    Brevet signé

    AT disponible

    Candidat présent

    ET

    Brevet livré

    OP.3

    La signature de brevet

    Enregistrer le brevet

    Enregistrer le candidat

    Toujours

    OP.4

    Livraison brevet

    Enregistrer le brevet

    Toujours

    CHAPITRE TROISIEME : CONCEPTION DE LA BASE DE DONNEES EN MERISE

    3.1. MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES

    3.1.1. Définition des concepts.

    Dans ce modèle nous allons utiliser les concepts ci-dessous :

    a) Entité : c'est un ensemble d'information qui se rapporte à un même sujet.

    b) Relation : c'est le lien existant entre deux entités, lors d'une narration.

    c) Propriété : est un élément de détail d'une entité.

    d) Identifiant : est une propriété qui remplit les caractéristiques suivantes :

    Le non redondance ;

    La désignation d'un élément de l'entité de manière claire et unique ;

    e) Cardinalité : c'est le nombre de fois qu'une entité peut participer à une relation.

    3.1.2. Règles de gestion

    1. L'Adjoint Technique présente le contrat de travail au formateur;

    2. Le formateur doit signer un contrat de travail ; 

    3. Le formateur doit être affecté à un service de formation.

    Formateur

    Numformateur

    Nomformateur

    Postnomformateur

    Genre

    Adresse

    Etatcivil

    numerotéléphone

    Contrat de travail

    Numcontrat

    Typescontrats

    Datecontrat

    3.1.3. Conception de Modèle Conceptuel de Donnée

    Signer

    1,n 1,1

    1,1

    Présenter

    Affecter

    1,1

    1,n

    Service

    Numservice

    Typesservices

    Adjoint Technique

    NumAT

    nomAT

    PostnomAT

    GenreAT

    EtatcivilAT

    NumerotéléphoneAT

    Faire signer

    1,n

    1,1

    1,1

    3.1.4. Le mcd valide

    Le MCD utilise deux éléments essentiels à savoir :

    ü Suppression de tous les champs calculés ;

    ü Suppression de toutes les relations transitives.

    Contrat de travail

    Numcontrat

    Typescontrats

    Datecontrat

    Formateur

    Numformateur

    Nomformateur

    Postnomformateur

    Genre

    Adresse

    Etatcivil

    numerotéléphone

    1,n

    Affecter

    1,1

    Présenter

    1,n

    Faire signer

    1,1 1,n

    1,1

    Adjoint Technique

    NumAT

    nomAT

    PostnomAT

    GenreAT

    EtatcivilAT

    NumerotéléphoneAT

    Service

    Codeservice

    Typesservices

    3.2. DICTIONNAIRE DES DONNEES

    Nom codifié

    Signification

    types

    Taille

    Nature

    Règle (formule)

    E, CO, CA

    M, SIG, SIT

    Numformateur

    Numéro de formateur

    AN

    6

    E

    SIG

    ?0000

    Nomformateur

    Nom de formateur

    A

    12

    E

    SIG

    Toujours MAJ.

    Nomformateur

    Nom de formateur

    A

    14

    E

    SIG

    Toujours MAJ.

    Genreform

    Genre de formateur

    A

    13

    E

    SIG

    Liste («M»,»F»)

    Adresseform

    Adresse de formateur

    A

    12

    CO

    M

    A créer

    Etatcivilform

    Etat civil de formation

    A

    16

    E

    M

    Liste («Marié»,» Célibataire, «veuve»,» Veuf»)

    Numtelform

    numéro téléphone formateur

    N

    13

    E

    M

    Numéro téléphone

    (International)

    Numser

    Numéro de service

    AN

    3

    E

    SIG

    ?0000

    Typesser

    types de service

    A

    6

    E

    SIG

    A créer

    Numcontrat

    Numéro de contrat

    AN

    7

    E

    SIG

    ?0000

    Typescontrat

    Types de contrat

    A

    17

    E

    SIG

    Liste (`'contrat à durée déterminer'','' contrat à durée indéterminé'')

    Datecontrat

    Date du contrat

    AN

    10

    CO

    SIG

    A créer

    NumAT

    Numéro adjoint technique

    AN

    12

    E

    SIG

    ?0000

    NumAT

    Nom adjoint technique

    A

    15

    E

    SIC

    Toujours MAJ.

    PostnomAT

    Post nom adjoint technique

    A

    16

    E

    SIG

    Toujours MAJ.

    GenreAT

    Genre adjoint technique

    A

    12

    E

    SIG

    Liste («M»,»F»)

    AdresseAT

    Adresse adjoint technique

    A

    18

    CO

    M

    A créer

    EtatcivilAT

    Etat civil adjoint technique

    A

    17

    CO

    M

    Liste («Marié»,» Célibataire, «veuve»,» Veuf»)

    NumtelAT

    Numéro téléphone adjoint technique

    N

    13

    E

    M

    Numéro téléphone

    (International)

    LISTE DES DOCUMENTS UTILISES

    ü Fiche de renseignement du stagiaire ;

    ü Fiche de préparation ;

    ü Identification des candidats ;

    ü Tableau programme ;

    ü Calendrier de l'action de formation ;

    ü Fiche des présences.

    3.3. LE NIVEAU ORGANISATIONNEL

    Après avoir défini les fonctions principales de l'entreprise et ses domainesd'information, les conceptset la transformation des messages, le cadre de l'application est stabilisé. Le propos de ce chapitre est la définition de l'organisation des postes de travail, des sites de traitement des données. La définition des outils de gestion informatiques viendra à l'étape suivante, au niveau logique.

    Les modèles organisationnels de traitement(MOT) définissent ce que fait chaque poste de travail, (QUI FAIT QUOI ?) Préalablement à ces modèles, l'organisation des postes de travail, (QUI) est définie.

    Le passage des modèles conceptuels de traitement (opérations effectuées par des intervenants) aux modèles organisationnels de traitement (opérations effectuées par une structure organisée) n'est pas automatique. La construction de la structure des postes de travail apporte une dimension nouvelle qu'il faut assimiler. Les fonctions de l'entreprise sont "projetées" sur les postes de travail. Toute opération conceptuelle devra être exécutée de manière organisée par un poste de travail.

    Les modèles organisationnels de données(MOD) ajoutent la géographie des données aux concepts. Chaque modèle organisationnel est un sous-ensemble du modèle conceptuel adapté à un site de données. Le lien entre MCD et MOD est donc fort.

    MCD correspond à un domaine. L'étude des MOD se conduit par domaine afin de faire ressortir les cohérences et les consolidations entre sites.

    Les MOD s'enrichissent, par rapport au MCD, de nouveaux individus liés à l'organisation tels que "autorisation", "document", "historique".

    Les modèles organisationnels de communication(MOC) représentent les communications entre sites de traitement, attachés à un poste de travail, et un site de données.

    L'ordre des trois modèles du niveau organisationnel (traitements, données et communications) est différent de celui du niveau conceptuel.

    3.3.1.MODELE ORGANISATIONNEL DE DONNEES

    Le MOD répond à la question « QUI ? » Traite quoi ? Où ? Comment ? Contrairement au MOT, le MOD s'occupe à analyser comment les données (la base de données) sont manipulées au sein du système.

    Il s'agit donc de découper le MCD en poste de travail et de délimiter les droits d'accès.

    Par exemple un système d'information de la banque qui utilise 5 Guichets, un service de comptabilité et un service de la caisse. 2 Guichets sont réservés inclusivement pour les dépôts et 3 pour le retrait. Tous les Guichetiers doivent faire les rapports journaliers d'opération à la caisse.

    voici la manière dont se présente notre MOD

    Potes 1 : Division Technique

    Formateur

    Numformateur

    Nomformateur

    Postnom

    Genre

    Adresse

    Etatcivil

    numerotéléphone

    A

    C

    Service

    C

    A

    S

    M

    Codeservice

    Typesservices

    Affecter

    3.3.2. MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENT (MOT)

    La définition de ce modèle repose sur la recherche de l'unité de temps, de lieu et de l'action. L'unité de traitement représentée dans le modèle organisationnel de traitement (MOT) s'appelle « procédure fonctionnelle (PF) ». L'opération conceptuelle est l'unité de traitement dans le modèle conceptuel de traitement (MCT).

    Le modèle organisationnel de traitement symbolise l'activité de l'organisation incluse dans les champs de l'étude. Il exprime la façon dont les règles de gestion sont appliquées dans l'organisation et indique l'utilisation des ressources mise en oeuvre lors de cette application.

    3.2.2.1. Quelques concepts utilisés

    Le modèle décrit l'organisation du système d'information, les circuits (chemin de transmission), postes de travail, degré d'automatisation des traitements, leurs enchaînements dans le temps et dans l'espace, la répartition des tâches entre l'homme et la machine, sécurité ergonomie, etc.

    a. Automatisation : c'est la réduction de l'intervention de l'homme dans le traitement d'informations. Il y a des applications.

    b. Informatisation : c'est l'équipement de l'entreprise en matériel informatique, temps et dans l'espace, la répartition des tâches entre l'homme et la machine, la sécurité et l'intégrité des données, l'ergonomie.

    c. La sécurité des données : c'est la protection des données face aux accès non contrôlés.

    d. L'intégrité des données : c'est la protection des données face aux manipulations arbitraires.

    e. L'ergonomie : c'est la manière de traiter les interfaces utilisateurs pour la bonne manipulation de l'application.

    ü Un poste de travail : Un poste de travail est un centre d'activité élémentaire et opérationnelle de l'organisme comprenant tout ce qui est nécessaire (homme, machine, espace, outillage) à une exécution définie des traitements automatisés ou non.

    ü Procédure : Une procédure est un ensemble des tâches exécutées de manière ininterrompue et en respectant la règle de trois unités à savoir : même lieu de traitement; même type de traitement, et même période de traitement. c'est une unité de traitement représentée dans un modèle organisationnel de traitement.

    ü Tâche : La tâche est un travail déterminé à réaliser par le système .Elle utilise à cette fin un ensemble des données du système, soit en consultation, soit en mise à jour (modification, actualisation).s

    ü Durée : est l'espace de temps nécessaire réservé à une procédure fonctionnelle. Cette durée est toujours exprimée en intervalle.

    ü Processus : est un ensemble d'éléments superposés inclus dans un même domaine d'activités.

    3.2.2.2. Étapes du modèle organisationnel de traitement (MOT)

    1.Recensement des règles d'organisation (RO)

    On appelle règle d'organisation (RO) un ensemble des principes et de normes qui guident l'organisation du travail au sein d'une entreprise.

    RO1 : le candidat à la formation se présente selon l'horaire de formation de 08h00 à 10h00, de10h00 à 12h00 et de 13h00 à 15h00.

    RO2 : la formation s'organise journalièrement.

    RO3 : le rapport se fait circonstanciel par les formateurs de 15h01' à 17h00'.

    RO4 : l'analyse rapport s'effectue le même jour.

    2. Recensement des processus et leurs éléments

    Il s'agitd'un ensemble d'éléments superposés inclus dans un même domaine d'activités.

    Dans notre recherche, nous avons élaboré sept processus suivants :

    Début de la formation ;

    Test les candidats formés ;

    Résultat de la formation ;

    Signature des brevets ;

    Livraison des brevets aux candidats ;

    Rapport circonstanciel ;

    Analyse rapport.

    Processus « début de la formation » a comme procédures :

    ü Enregistrement de l'identité du candidat ;

    ü Paiement (des frais) de la moitié des frais ;

    ü Début de la formation.

    Processus « test des candidats formés »

    ü Avoir suivi la formation ;

    ü Test des candidats formés.

    Processus « résultat de la formation »

    ü Evaluation des candidats ;

    ü Correction du teste ;

    ü Résultat de la formation.

    Processus « signature des brevets »

    ü Vérification des régularités du candidat ;

    ü Signature des brevets.

    Processus « livraison du brevet au candidat »

    ü Présentation du brevet payé ;

    ü Vérification ;

    ü Enregistrement ;

    ü Marquage du brevet.

    Processus «  rapport circonstanciel »

    ü Enregistrement des brevets marqué ;

    ü Rapport circonstanciel.

    Processus « analyse rapport »

    ü Vérification de la conformité du rapport ;

    ü Analyse rapport.

    Elaboration du tableau de procédure fonctionnelle.

    PF

    DUREE

    ACTION

    NATRE

    POSTE DE TRAVAIL

    LIEU

    RESPONSABLE

    RESSOURCE

    « début de la formation »

    PF1

    08h00'<=t<=15h00'

    Enregistrement

    M

    DT

    candidat

    DT

    PF2

    08h00'<=t<=15h00'

    paiement

    M

    DT

    candidat

    DT

    PF3

    08h00'<=t<=15h00'

    formation

    M

    DT

    DT

    Candidat

    « teste »

    PF4

    08h00'<=t<=15h00'

    Suivi de formateur

    M

    DT

    candidat

    DT

    PF5

    08h00'<=t<=15h00'

    Test

    M

    DT

    formateurs

    Candidat

    « résultat »

    PF6

    08h00'<=t<=15h00'

    Evaluation

    M

    DT

    formateurs

    Candidat

    PF7

    08h00'<=t<=15h00'

    Correction

    M

    DT

    formateurs

    Candidat

    PF8

    08h00'<=t<=15h00'

    Résultat formation

    M

    DT

    formateurs

    Candidat

    « signature brevets »

    PF9

    08h00'<=t<=15h00'

    Vérification de régularité du candidat

    M

    DT

    DT

    Candidat

    PF10

    08h00'<=t<=15h00'

    Signature brevets

    M

    DT

    DT

    Candidat

    « livraison »

    PF11

    08h00'<=t<=15h00'

    Présentation du brevet payé

    M

    DT

    DT

    Candidat

    PF12

    08h00'<=t<=15h00'

    vérification

    M

    DT

    DT

    Candidat

    PF13

    08h00'<=t<=15h00'

    Enregistrement

    M

    DT

    DT

    Candidat

    PF14

    08h00'<=t<=15h00'

    Marquage brevet

    M

    DT

    DT

    Candidat

    « rapport circonstanciel »

    PF15

    15h00'<=t<=17h00'

    Enregistrement brevets marqué

    M

    DT

    DT

    Candidat

    PF16

    15h00'<=t<=17h00'

    Rapport circonstanciel

    M

    DT

    formateurs

    DT

    « analyse rapport »

    PF17

    17h00'<=t<=23h59'

    Vérification de conformité du rapport

    M

    DT

    DT

    Formateur

    PF18

    17h00'<=t<=23h59'

    Analyse rapport

    M

    DT

    Formateurs

    DT

    3.2.2.3. Diagramme d'enchainement

    DUREE

    ACTION

    NATURE

    POSTE DE TRAVAIL

    DT disponible

    Candidat présent

    PF1

    Enregistrement du candidat

    toujours

    ET

    Enregistrement effectué

    DT disponible

    PF2

    Paiement de la moitié

    toujours

    ET

    Paiement effectué

    DT présent

    ET

    PF3

    Formation

    toujours

    Début de formation

    A

     

    M

    DT

    Candidat

    DT

     

    08h00'<=t<=15h00'

     

    M

    DT

    Candidat

    DT

    08h00'<=t<=15h00'

     

    M

    DT

    Candidat

    DT

    DT présent

    PF4

    Suivi de la formation

    toujours

    ET

    Formation en cours

    A

    Formateur présent

    PF5

    Teste

    toujours

    ET

    Teste observé

    Formateur, DT pré

    ET

    PF6

    Evaluation

    toujours

    Début de formation

    B

     

    M

    DT

    DT

    candidat

     

    08h00'<=t<=15h00'

     

    M

    DT

    Formateur

    Candidat

    08h00'<=t<=15h00'

     

    M

    DT

    Formateur

    Candidat

    DT, formateur présent

    PF7

    Correction

    toujours

    ET

    Correction faite

    B

    Formateur, DT présent

    PF8

    Résultat formation

    toujours

    ET

    Résultat publié

    DT présent

    ET

    PF9

    Vérification de la régularité du candidat

    toujours

    Vérification faite

    C

     

    M

    DT

    Formateur

    Candidat

     

    08h00'<=t<=15h00'

     
     

    DT

    Formateur

    Candidat

    08h00'<=t<=15h00'

     

    M

    DT

    DT

    Candidat

    DT, présent

    PF10

    Signature brevets

    toujours

    ET

    Brevets signé

    C

    DT présent

    PF11

    Présentation du brevet payé

    toujours

    Brevet payé présenté

    ET

    ET

    Vérification

    toujours

    Vérification effectué

    D

    DT présent

    PF12

     

    M

    DT

    DT

    candidat

     

    08h00'<=t<=15h00'

     

    M

    DT

    DT

    Candidat

    08h00'<=t<=15h00'

     

    M

    DT

    DT

    Candidat

    DT, présent

    PF13

    Enregistrement

    toujours

    ET

    Enregistrement effectué

    D

    DT présent

    PF14

    Marquage brevet

    toujours

    Brevet marqué

    ET

    ET

    Enregistrement de brevet marqué

    toujours

    Brevet marqué enregistré

    E

    DT disponible

    PF15

     

    M

    DT

    DT

    candidat

     

    08h00'<=t<=15h00'

     

    M

    DT

    DT

    Candidat

    15h00'<=t<=17h00'

     

    M

    DT

    DT formateur

    DT présent

    PF16

    Rapport circonstanciel

    toujours

    ET

    Rapport établi

    D

    DT disponible

    PF17

    Vérification de la conformité du rapport

    toujours

    Brevet marqué

    ET

    DT disponible

    PF18

    Analyse rapport

    toujours

    Candidat libérer

    ET

    FIN PROCESSUS

     

    M

    DT

    Formateur

    DT

     

    17h00'<=t<=23h59'

     

    M

    DT

    DT

    Formateur

    17h00'<=t<=23h59'

     

    M

    DT

    DT

    Formateur

    3.4. NIVEAU LOGIQUE

    L'objectif du niveau logique est la définition de moyens informatiques qui sont mis à la disposition de postes de travail ou des utilisateurs.Cette définition passe par la description de :

    l'aspect externe de ces moyens informatiques sous forme de masques d'écran et de leur succession.

    les actions de ces moyens informatiques sur la structure logique des données.

    Et la structure logique des données (MLD) indépendamment de tout choix de matériel ou de logiciel de développement informatique.

    3.4.1. MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD)

    Le MLD décrit les structures de données indépendamment de la gestion physique de Bases de données. Il est une étape intellectuellement très satisfaisante vers le modèle physique de données.

    Modèle définissant comment les données du MCD sont organisées si l'organisation des données est relationnelle (si elles sont "liées" entre elles), alors le MLD est Relationnel et devient le MLDR, ou Modèle Logique de Donnée Relationnel. Pour la petite histoire, le MLDR10(*) a été inventé par Codd en 1970, et repose sur la Théorie Ensembliste...

    Il comprend des enregistrementsd'informations et des cheminsd'accès aux informations.

    1. enregistrement :

    Un enregistrement est l'unité de données du niveau logique.

    2. chemin d'accès :

    Un chemin permet la lecture d'informations à partir d'autres informationssituéesdans les enregistrements.

    Notre modèle logique des données (MLD) se présente comme suit :

    Formateur(NumFormateur,Nomformateur,Postnomformateur,Genreformateur,AdrsseFormateur,Etatcivil,Numtelephone) ;

    AdjointTechnique(NumAdjointTechnique,NomAT,PostnomAT,GenreAT,Etatcivil,Numtelephone,#NumFormateur) ;

    Service (codeservice,typeservice) ;

    Affectation (codeaffectation,#formateur,#codeservice) ;

    Contratdetravail (Numcontrat,typecontrat,datecontrat,#Numadjointtechnique)

    3.4.2. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES (MPD)

    Le modèle physique des données est un modèle directement lié à la basa des données11(*). Sans lequel, il n'y a pas de base des données.

    ü Il utilise les concepts suivants :

    - Table ; à la place de l'entité dans le Niveau conceptuel.

    - Champ ou attributs ; à la place de propriété ;

    - Clé primaire ; à la place de l'identifiant,

    - Lien ; à la place de la relation.

    ü Les concepts nouveaux sont :

    - Clé étrangère : représente l'identifiant,

    - Concurrence : représente une donnée que peut stocker un champ.

    - Enregistrement : représente l'ensemble des données qui se rapportent sur la totalité de champs.

    Le modèle physique se présente comme suit :

    CHAPITRE QUATRIEME :REALISATION DE L'APPLICATION

    DEVELOPPEMENT DE L'APPLICATION

    Une application mini d'une base de données est un programme qui permet de créer une interface par laquelle le client accède à une base de données. Plus précisément, c'est un programme qui envoie des requêtes à une base de données et qui récupère les informations relatives à ces requêtes.

    Une base de données est une entité dans laquelle il est possible de stocker des données de façon structurée.12(*)

    Voici la page d'accueil de notre application

    Pour accéder à notre Menu principale, vous devez mettre le Nom d'utilisateur et le Mot de passe au niveau de notre page d'accueil.

    Notre Menu Principal

    Les principaux objets d'une base de données qui seront utilisé dans cette application sont : les tables, les requêtes, les formulaires, les états et les macros.

    4.1.1. Les Tables

    Les tables constituent les éléments essentiels. Elles sont la charpente de la base.

    Chaque table représente un ensemble homogène de données.

    4.1.2. Les Requêtes

    Dans le langage courant, faire une requête consiste à demander quelque chose, solliciter une faveur, réclamer.

    Dans une base de données, on réalise principalement des requêtes pour interroger la base afin de sélectionner et d'obtenir les informations souhaitées (requêtes de sélection).

    Exemple : dans la base de données d'affectation des personnels dans une entreprise, on peut effectuer une requête afin d'obtenir la liste des personnels affectés l'année en cours.

    4.1.3. Les formulaires

    S'il affiche des données de la base, la fonction principale d'un formulaire consiste à faciliter la saisie des données.

    4.1.3.1. Formulaire formateur

    4.1.3.2. Formulaire contrat de travail

    4.1.3.3. Formulaire service

    4.1.3.4. Formulaire affectation

    4.1.4. Les états

    Un état sert de document récapitulatif de données. Il peut contenir également des résultats, tels que totaux ou moyennes.

    Ce document est généralement réalisé pour être imprimé.

    4.1.4.1. Etat formateur

    4.1.4.2. Etat contrat de travail

    4.1.4.3. Etat

    4.1.5. Macros

    On effectue une macro pour automatiser simplement une ou plusieurs actions basiques.

    Exemple : réalisation d'une macro permettant, par un clic sur un bouton, de fermer un formulaire ou retourner la page précédente.

    En utilisateur quelque code VB, nous nous sommes parvenu à créer un Menu de recherche qui nous facilite de faire notre recherche sur les formateurs.

    Voici notre Menu de recherche.

    CONCLUSION

    Enfin, notre travail est porté sur : « Conception et mise en oeuvre d'un système d'Information Informatisé pour la gestion desformateurs. Cas de l'INPP-Kisangani de2014 à 2015».

    Ainsi cette étude consiste à l'automatisation de l'un des postes de cette entreprise, en mettant en place un système automatique qui va aider le chef de ce service à résoudre les différents problèmes de la gestion de formateurs (enseignants), d'une manière générale rendre apte cette gestion.

    Pour atteindre notre objectif, nous avons dégagé les problématiques suivantes :

    Ø Est-il possible de créer une application qui peut gérer les formateurs de l'INPP ?

    Ø Est-ce que il y a facilité de recueillir toutes les informations concernant les formateurs de l'INPP ?

    Et pour porter un jugement à ces questions posées à la problématique nous avons produit les hypothèses ci-dessous état donné qu'elle est une réponse provisoire à la question posée :

    ü La création d'une application pour la gestion de formateurs à l'INPP serait possible ;

    ü La récolte des informations concernant les formateurs à l'INPP serait facile.

    Pour examiner ces hypothèses nous avons utilisé la méthode d'analyse, merise et historique appuyé par les techniques documentaires pour confectionner notre texte sur base de la documentation disponible sur le sujet de notre préoccupation ; la technique d'entretien ou interview, d'observation pour permettre d'observer avec beaucoup d'attention les postes et services sur le sujet d'étude.

    Outre l'introduction et la conclusion, ce travail s'est articulé autour de quatre chapitres : le premier est consacré sur clarification de concepts, le second est basé sur l'analyse préalable, le troisième concerne la conception de la base de données en merise et enfin le quatrième porte sur la réalisation de l'application.

    Eu égard de ce qui précède, nous pouvons dire que nos hypothèses ont été confirmées. Ce qui nous amène à formuler la recommandation suivante :

    Nous demandons au chef de service de l'enseignement de l'INPP de mettre en oeuvre cette application automatisée pour la gestion de formateurs, cela serait une véritable solution dans la mesure où l'accès aux informations et sa mise en jours seront gérées sans beaucoup de souffrance.

    Nous souhaitons que de tels travaux soient réalisés dans l'ensemble de notre pays envue d'avoir une vision élargie de cette institution de formation.

    Nous ne prétendons pas avoir terminé tous les concours de ce sujet. Les autres chercheurs peuvent nous compléter en abordant d'autres aspects qui ne sont pas exploités dans cette étude.

    REFERENCES

    I. BIBLIOGRAPHIE

    A. ouvrages

    DOMINIQUE DIONISI, 1990, l'essentiel pour merise, Editions Eyrolles;

    Michel DIVINE, Parlez-vous progiciel? Editions du phénomène ;

    CODDE, de l'autre côté de Merise II, Modèle Logique de Donnée Relationnel, Editions d'organisation, 1970.

    B. Cours

    Paul VITAMARA MASIMANGO,  Initiation à la recherche scientifique  2013-2014 G2 IG ISP-Kisangani. Cours Inédit. p.20

    Joseph KIKUNI, Support du cours de Méthodologie d'Analyse Informatique II. Cours Inédit pp. 4,5

    KUYUNSA MUYA Alain, cours de base des données, cours Inédit, 2013-2014,p. 16

    C. DICTIONNAIRE

    Dictionnaire Universel Francophone. Page 274.

    II. webographie

    http//WWW.commentçamarche.com, modèle de système d'information consulté le 13/02/2015, 10 h23'

    TABLE DES MATIERES

    0.0. INTRODUCTION Erreur ! Signet non défini.

    O.1. PROBLEMATIQUE 1

    0.2. HYPOTHESES 2

    0.3. OBJECTIFS 2

    0.4. CHOIX ET INTERET DU SUJET 2

    0.5. DELIMITATION DU SUJET 3

    0.6. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES 3

    0.6.1. LES METHODES 3

    0.6.2. LES TECHNIQUES 4

    0.7. DIFFICULTES RENCONTREES 5

    0.8. SUBDIVISION DU TRAVAIL 5

    CHAPITRE PREMIER : CLARIFICATION DES CONCEPTS 6

    1.1. SYSTEME D'INFORMATION 6

    1.1.1. Définition et Objectifs 6

    1.1.2. Fonction du Système d'information 6

    1.2.0. L'INFORMATION 7

    1.2.1. Définition 7

    1.2.2. Qualités d'une information 7

    1.3.0. INFORMATIQUE 7

    1.4.O. DONNEES 8

    1.4.1. BASE DE DONNEES 8

    1.5.0. LA GESTION DES BASES DE DONNEES 9

    1.5.1. Système de gestion de base de données(SGBD) 10

    1.6.0. PRINCIPES DE FONCTIONNEMENT 12

    1.7.0. OBJECTIFS DES SYSTEMES DE GESTION DE BASES DE DONNEES 13

    1.8.0. MERISE 14

    1.3.1. Les composantes de Merise 14

    1.3.2. La démarche Merise : 3 découpages sur 4 niveaux. 15

    CHAPITRE DEUXIEME : ANALYSE PREALABLE 19

    2. 1. PRESENTATION DE L'INPP 19

    2.1.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE 19

    2.1.2. APERCU HISTORIQUE 19

    2.1.3. ORGANIGRAMME DE L'INPP/KISANGANI 22

    2.1.4. ORGANIGRAMME SPECIFIQUE 23

    2. 2. ANALYSE DE L'EXISTANT 25

    2.2.1. Définition et But 25

    2.2.2. Recrutement de formateur 25

    2.2.3. RECENSEMENT D'ACTEURS 25

    2.2.4. MODELE CONCEPTUEL DE COMMUNICATION (MCC) 28

    2.2.5. MODELE CONCEPTUEL TRAITEMENT (MCT) 29

    CHAPITRE TROISIEME : CONCEPTION DE LA BASE DE DONNEES EN MERISE 31

    3.1. MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES 31

    3.1.1. Définition des concepts. 31

    3.1.2. Règles de gestion 31

    3.1.3. Conception de Modèle Conceptuel de Donnée 31

    1,1 3.1.4. le mcd valide 31

    3.2. DICTIONNAIRE DES DONNEES 33

    3.3. LE NIVEAU ORGANISATIONNEL 34

    3.3.1. MODELE ORGANISATIONNEL DE DONNEES 35

    3.3.2. MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENT (MOT) 35

    3.4. NIVEAU LOGIQUE 45

    3.4.1. MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD) 46

    3.4.2. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES (MPD) 47

    CHAPITRE QUATRIEME :REALISATION DE L'APPLICATION 48

    DEVELOPPEMENT DE L'APPLICATION 48

    4.1.1. Les Tables 49

    4.1.2. Les Requêtes 50

    4.1.3. Les formulaires 50

    4.1.4. Les états 52

    4.1.5. Macros 53

    CONCLUSION 55

    REFERENCES 57

    I. BIBLIOGRAPHIE 57

    II. webographie 57

    * 1Dictionnaire Universel Francophone Page 274.

    * 2 VITAMARA MASIMANGO, « Initiation à la recherche scientifique » 2013-2014 G2 IG ISP-Kisangani. P.20

    * 3 VITAMARA MASIMANGO, « Initiation à la recherche scientifique» G2 IG ISP-Kisangani 2013-2014, P.17

    * 4http//WWW.commentçamarche.com, modèle de système d'information février 13/02/2015, 10 h23'

    * 5http//WWW.commentçamarche.com, modèle de système d'information février 13/02/2015, 10 h23'

    * 6http//WWW.commentçamarche.com, modèle de système d'information février 13/02/2015, 10 h23'

    * 7idem

    * 8 KUYUNSA MUYA Alain, cours de base des données, 2013-2014. P. 16

    * 8 Support du cours de Méthodologie d'Analyse Informatique donné par Ass. KIKUNI JOSEPH

    Page 4

    * 9 Ass2. KIKUNI Joseph, Support du cours de Méthodologie d'Analyse Informatique Page 4,5

    * 10Codde, de l'autre côté de Merise II, Modèle Logique de Donnée Relationnel, les éditions d'organisation, 1970

    * 11DOMINIQUE DIONISI, l'essentiel pour merise, Editions, 1990 ;

    * 12Michel DIVINE, Parlez -vous progiciel ? Editions du phénomène






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"Et il n'est rien de plus beau que l'instant qui précède le voyage, l'instant ou l'horizon de demain vient nous rendre visite et nous dire ses promesses"   Milan Kundera