Conclusion
Dans ce travail, nous avons analysé « la
caricature de la presse écrite et la liberté d'expression
à Kinshasa. Certaines expressions devraient être
déballées pour nous permettre de comprendre la substance de la
thématique, ainsi le premier chapitre avait les soins de définir
le cadre conceptuel et théorique liés à l'étude.
Le deuxième chapitre était centré
à l'analyse de deux piliers de la thématique, la caricature ainsi
que la liberté d'expression, les deux points ont été
développés nous ont fait savoir ce que représente
réellement la caricature, qui tout en utilisant certaines expressions
pour faire rire passe un message à la communauté, nous avons
aussi compris que la caricature ne devrait pas se confondre au dessin de
presse ; quant à liberté d'expression conventionnellement
reconnue à chaque individu donc c'est un droit inhérent à
la nature humaine, dans un Etat de droit, on ne peut limiter la liberté
d'une personne d'émettre son opinion par rapport à des questions
de l'heure, cependant chaque personne devra savoir la liberté n'est pas
libertinage ainsi là où sa liberté se limite commence
celle de l'autre.
Le troisième chapitre a fait l'analyse des organes de
la presse écrite à Kinshasa qui recourent à la
caricature ; la douleur est que la recherche scientifique est
négligée à Kinshasa, les mêmes professionnels qui se
plaignent partout aux médias, qu'ils n'ont pas accès aux
informations, ce sont eux qui nous bloquent la route et refusent de nous
fournir les informations qui nous sont utiles pour réaliser nos
études ; cela étant, nous n'avons pas pu accéder aux
banques des données de certains organes, mais le potentiel est le seul
qui nous a fait comprendre, ce que c'est que le journal, comment il est
structuré.
Le dernier chapitre est une synthèse explicative des
différentes caricature exploitées par la presse écrite
à Kinshasa, le caricaturiste ne peut être regardé comme
ennemi de certaines personnes, il n'a pas de bouche, il a sa main, son crayon
et son art, il parle à travers de ceux-là, il doit dire et passer
le message, il ne fait pas exprès de faire rire les gens, mais c'est
l'art caricaturesque qui le d'amande. Ainsi les caricatures
interprétées ne sont pas toutes en train de fustiger, mais elles
dénoncent, encouragent et renseignent.
C'est donc à ce mot que nous avons clos notre
étude, ainsi un travail perfectible, ce que nous n'étions pas en
mesure de présenter dans ce travail, nous aurons à le faire dans
la proche étude au deuxième sigle.
|