Entreprise de production et commercialisation des semences agricoles dénommée "Al- Wakil "( Télécharger le fichier original )par Ibrahim Djibert AHMAD Institut supérieur de commerce, d'administration des affaires et de management Tchad - Licence 2009 |
Conclusion générale«Al-wakil» est une petite et moyenne entreprise (PME) de 56 employés, qui exerce l'activité de production et commercialisation des semences agricoles dans la ville de N'Djamena et ses provinces son coût global est de 40.000.000fcfa ainsi reparti : ü Capitaux propres : 30.000.000 soit 75% ; ü Dettes financières : 10.000.000 soit 25% ;
Au regard des indicateurs suivants : ü VAN =4.717.336 ; ü TRI= 14,10 ; ü SR= 74.397.769,68 ; ü MS= 11.802.230,32; ü IS=13,69% ü IP =1,12 ü DRCI= 4ans et 1mois ; ü PM =10,36 c'est-à-dire le 11novembre de l'année N Qui présentent la performance de ce projet, il est admis que celui-ci est intéressant. Ce résultat permet de déduire que la rentabilité de ce projet est évidente .nous invitons donc tout investisseur (bailleur) à se pencher dessus. Du fait que sa réalisation n'engage qu'un coût modeste moyennement acceptable. Il n'y a pas de gros investissements à faire et la durabilité de l'entreprise est également est également assurée. Mais son importance sociale n'est point a douter pour l'épanouissement de la population, surtout en matière des semences agricoles, ce qui est important dans ce projet c'est son action de génératrice des ressources qui contribuerons à l'augmentation de la valeur ajoutée de la nation. BIBLIOGRAPHIE : -Auteur : A.BOUCHEZ : S.PIHIER et J.CLAIRE .le marketing, édition Nathan ; Paris ; Avril 2005 ; -Auteur : IRENE CARNEIRO. Organisation et gestion des entreprise ; la conception moderne du management ; -Fiche technique de production des semences améliorées certifiées : Afrique Vert Processus de production : I. PRINCIPE DE BASE DE LA PRODUCTION SEMENCIERE DANS LE SYSTEME FORMEL 1.1. Qu'est ce qu'une semence? Pour mieux comprendre ce qu'est une semence, il faut analyser ses trois composantes : ? La composante technologique porte sur les aspects de sélection des variétés ; ? La composante économique s'applique à la production et à la commercialisation ; ? La composante juridique concerne les règles et les réglementations qui régissent les aspects précédents. 1.2. Comment se fait la production de semence dans le système formel? La production de semences revient à apporter au producteur un produit conservant les qualités génétiques de la variété sélectionnée. Il s'agit avant tout d'éviter autant que possible toute pollution par d'autres variétés (variétés de la même espèce et/ou genre et/ou autres espèces). La production de semences se fait sur plusieurs générations et nécessite une période plus longue de travail de sélection. Chaque génération est produite à partir de la génération précédente (figure 1). Chaque génération suit des règles de production et des contrôles sont effectués afin de vérifier que la semence satisfait aux critères de qualité donnés et qu'elle pourra être utilisée pour les générations suivantes. Figure1 Pour une meilleure production de semences respectant les normes de qualités, la connaissance de certains critères de mesure de la qualité est obligatoire voir (Figure 2). DÉFINITIONS ? Pureté variétale : Il s'agit de mesurer, au sein du lot de graines, le taux de graines s'écartant de la plante modèle de la variété. On peut la mesurer au champ en effectuant des observations sur le port des plantes, au moment de l'épiaison ou de la floraison. Pour les semences certifiées la pureté variétale est de l'ordre de 99,7%. ? Pureté spécifique : Il s'agit de mesurer dans les lots la présence de graines d'autres espèces, en général adventices. Pour les semences certifiées la pureté spécifique est de l'ordre de 93%. ? Faculté germinative : C'est le nombre de germes viables dans un délai de « n » jours (différent selon les espèces) et dans des conditions de température et d'hygrométrie optimales. Pour les céréales, la faculté germinative est d'ordre de 85% à 8jours. Figure 2 : Quelques critères de qualité et lieu de contrôle II. REGLES GENERALES DE CONDUITE DES CULTURES DE SEMENCES L'objet des règles de production de semences, légalement définies ou fortement conseillées, est d'éviter autant que possible toutes les pollutions de parcelles de semences par des graines ou du pollen d'autres variétés et/ou espèces et de s'assurer d'une production de qualité. 2.1. Règles préliminaires ? L'agriculteur multiplicateur devra avoir un contrat de multiplication en bonne et due forme avec un établissement semencier agrée (SSN : Service semencier national) ; ? L'agriculteur multiplicateur devra permettre aux agents de contrôle de visiter à tout moment ses parcelles, il devra être présent lors des différentes visites et s'engagera à respecter les éventuelles préconisations techniques qui lui seront faites. Au Tchad, les agents chargés du contrôle aux champs effectuent 4 passages par parcelle aux périodes suivantes : ? A l'installation des champs : caractéristique du champ, ? Avant la floraison : pour contrôler l'isolement, l'absence de repousse, les densités de semis, la disposition et le nombre de lignes par parent, l'implantation des lignes de bordures (selon qu'il s'agisse de variété hybride ou à pollinisation libre). ? Pendant la floraison : pour contrôler l'isolement, le nombre de géniteurs mâles indésirables, le nombre de tiges ou d'épis ou de panicules hors types et d'autres facteurs. ? A la maturation avant récolte : pour vérifier les caractéristiques des plantes et de leurs graines, relever les épis ou panicules malades ou hors types. 2.2. Le choix de la semence mère La semence mère doit obligatoirement être d'une génération antérieure à celle de la génération en cours de production. Cette semence doit avoir été certifiée et autorisée par le Bureau National des Plants/Direction de la Production et des Statistiques Agricoles (BNSP/DPSA et être utilisée comme semence de reproduction pour la génération en cours. L'agriculteur multiplicateur devra conserver précieusement les certificats de la semence mère pour pouvoir les présenter aux agents du Centre de Contrôle et devra être capable, en fonction de la superficie ensemencée, de donner la quantité exacte de semences utilisées. Figure 3 : Les besoins en semences mères
Remarque : Pour la R2, il est conseillé d'utiliser de la semence de base comme semence mère. Cela permet d'avoir moins de travaux d'épuration en culture et d'éviter un refus pour cause de pureté variétale de la culture. En effet, l'utilisation de semences mères de très bonne qualité (semence de type base) permettra de limiter fortement les travaux d'épuration et même, avec une bonne conduite culturale, de les rendre inutiles. La génération R2 représente les plus grandes superficies et donc la majeure partie du travail d'épuration à réaliser. En parallèle l'utilisation de semences R1 risque d'entraîner des besoins d'épuration très contraignants pour que la culture réponde aux normes. Figure 4 : les antécédents culturaux autorisés et non autorisés
2.3. Choix des parcelles de production de semence a. Antécédent cultural Les antécédents culturaux autorisés sont définis par les règlements techniques en vigueur. Leur non respect entraînera automatiquement le refus de la culture. b. Autres règles dans le choix des parcelles de semence ? La parcelle ne doit pas être semée avec un précédent cultural de la même espèce, à moins que ce ne soit la même variété correspondant à une catégorie de semence améliorée égale ou supérieure à celle de la culture à exécuter. Il est préférable d'utiliser une jachère nue ou ayant porté une culture nettoyante. ? Une parcelle de faible salinisation. En effet une salinisation excessive des sols aura un impact important sur la qualité de la semence produite, en particulier sur son pouvoir germinatif ? Une parcelle bien plane qui permettra d'assurer un suivi correct des irrigations ? Une parcelle pouvant être facilement drainée ? Une parcelle d'un seul tenant pour éviter tout risque de pollution en culture et de mélange lors de la récolte ? Éliminer les parcelles sur lesquelles des problèmes sanitaires sont apparus les années précédentes III. PRODUCTION DES SEMENCES CERTIFIEES DE RIZ 3.1. Semis Le semis peut être réalisé directement sur la parcelle, à la volée ; l'agriculteur peut également réaliser un semis en pépinière suivi d'un repiquage. Le mode de semis direct n'est autorisé que pour la production de R2. Pour la confection des pépinières (R1 et éventuellement R2), certaines règles doivent absolument être suivies : ? Antécédent : éviter tout site où une production de riz, quelle que soit la variété, a été réalisée précédemment. Dans le cas contraire, la culture sera refusée. ? Réaliser les pépinières pour qu'elles puissent être irriguées individuellement et sans aucun contact, ni avec une autre pépinière, ni avec une culture de riz (semences ou paddy) ? Installer les pépinières le plus près possible des parcelles à repiquer. Il est conseillé de les installer directement dans les parcelles à repiquer. ? Suivre scrupuleusement les règles de conduite des pépinières (voir dossier de mise en place des cultures) 3.2. Isolement cultural Chaque parcelle est isolée de tout champ d'une autre variété de la même espèce par une distance d'au moins 3 mètres et de tout champ de la même variété par une distance d'au moins 1 mètre. 3.3. Épurations Les épurations consistent à passer méthodiquement dans les parcelles de semences pour éliminer les hors types (plantes d'autres variétés, hybrides naturels et mutants) ainsi que les plants de riz sauvage. Les hors types peuvent être reconnaissables par des caractères morphologiques différents de la variété cultivée (taille de la plante, port de la feuille paniculaire, port de la panicule, couleur du limbe, forme du grain), une épiaison plus précoce ou plus tardive que la variété cultivée. 3.3.1. Mode opératoire : ? Générations sur lesquelles doivent porter les épurations : les générations destinées à être reproduites demandent des épurations très poussées car elles permettent de disposer les années suivantes de semence-mère de grande qualité. ? Date : les travaux d'épuration doivent débuter environ 1 semaine avant la date prévisionnelle d'épiaison de la culture de façon à mettre en évidence les hors types ayant une épiaison plus précoce que la variété cultivée. Ils devraient s'achever lorsque la forme des grains est bien visible (différence entre variétés à grains longs et courts). ? Période de la journée la plus favorable : II est conseillé de réaliser les épurations en début (avant l0 h) ou fin de journée (après 5 h) lorsque la lumière est rasante. Les hors types et le riz sauvage sont alors plus visibles. 3.3.2. Conditions nécessaires à une bonne épuration : ? Les parcelles de semence doivent être propres. Une bonne épuration dans des parcelles très enherbées est pratiquement impossible. ? Les épurateurs doivent être habitués à ce type de travail, ils reconnaissent rapidement les hors types. C'est une question de pratique. 3.3.3. Réalisation pratique : ? L'épuration consiste à se déplacer sur l'ensemble de la parcelle afin d'éliminer les plantes hors types et riz sauvage. ? En fonction de la taille de la parcelle, il peut être envisagé de la jalonner (environ tous les 4 mètres) pour s'assurer de passer partout. ? Lors de son déplacement, l'épurateur observera attentivement les plantes proches pour identifier celles qui doivent être arrachées. 3.4. Récoltes Dans le cas de la production de semence, il est nécessaire de s'assurer que les grains ont atteint leur totale maturité physiologique. La totalité du rachis des panicules doit avoir pris une couleur paille. Une récolte trop précoce aura un impact négatif sur la faculté germinative des semences. En pratique, il est conseillé, selon le cycle de la culture, de débuter la récolte environ 1 semaine plus tard. Pour la production de semence de R1 destinée à une nouvelle reproduction, il est très fortement conseillé de faire une récolte manuelle, de façon à éviter tout risque de mélange par l'utilisation d'une moissonneuse batteuse non nettoyée. De même, pour ces générations, le battage devra être réalisé directement dans la parcelle. IV. PRODUCTIONS DES SEMENCES CERTIFIEES DE MIL ET SORGHO 4.1. Semis Pour la production de semences de base d'une lignée mâle stérile, le semis des deux parents est réalisé suivant le schéma de production défini par l'obtenteur ou le mainteneur (Structure de recherche : IER). La parcelle de culture est bordée dans le sens des lignes par au moins quatre rangées pour le mil ou deux rangées supplémentaires du parent mâle pour le sorgho. Les lignées du parent mâle sont marquées, sauf si les parents sont morphologiquement très différents en végétation. 4.2. Isolement cultural Les isolements culturaux autorisés sont définis par les règlements techniques en vigueur. Leur non respect entraînera le refus partiel ou total de la culture. Chaque parcelle de multiplication doit être isolée de tout champ d'autres variétés ou de même variété, mais de générations différentes. ? Le mil : La distance d'isolement entre une parcelle de production de semences certifiées d'une variété hybride ou à pollinisation libre et celle de la culture d'une autre variété est au moins de 300 mètres. Cette distance est réduite à 25 mètres lorsque les cultures de mil voisines sont des productions de la même variété ou utilisant le même parent mâle. ? Le sorgho : La distance entre une parcelle de production de semence certifiée d'une variété hybride et de toute autre variété de sorgho est au minium de 200 m. Dans le cas d'une production de semence de variété à pollinisation libre, la distance d'isolement est d'au moins 100 mètres. La distance d'isolement est au moins de 25 mètres si les parcelles de culture voisines de la parcelle de la variété hybride portent le même parent mâle. 4.3. Épuration Toute plante aberrante ou douteuse, ou tout mutant, sont éliminés, taille comprise, dès détection avant la floraison. Dans le cas d'une production de semence de base d'une lignée mâle-stérile, toute plante mâle-fertile du type de la lignée est éliminée dès l'apparition des anthères sur les épis ou les panicules. Les plantes chétives, tardives, ou atteintes de maladies transmissibles par la semence, les épis ou panicules malades et les mauvaises herbes sont également éliminées. 4.4. Récoltes Lorsqu'il s'agit d'une production de semences certifiées d'une variété hybride, le parent mâle et le parent femelle sont récoltés séparément. Le parent mâle doit être livré à la consommation. V. OPERATIONS POST-RECOLTE 5.1. Le séchage Il doit se faire sur une aire de séchage conçue à cet effet. Le taux d'humidité acceptable permettant une bonne conservation des semences ou des graines de consommation est de 12%. Après le séchage, mettre les produits à l'abri des pluies tardives pour éviter une détérioration des graines. 5.2. Le titrage Cette opération consiste à enlever les épis ou panicules particuliers non conformes à la variété. Elle peut être conduite soit sur une aire de séchage, soit sur une bâche. C'est la suite de l'épuration sur le terrain. 5.3. Le battage Il peut se faire de manière traditionnelle sur une aire de battage ou dans des mortiers, et de manière mécanisée avec une batteuse. Cette opération doit être entourée de la plus grande précaution pour éviter le mélange. 5.4. Le criblage Les semences récoltées contiennent beaucoup de mauvaises herbes, des matières inertes, d'impuretés, de graines d'autres espèces qui doivent être enlevées par nettoyage. Pour le calibrage des graines, le traitement et l'ensachage, l'agent chargé du conditionnement doit connaître les caractéristiques physiques des graines ainsi que l'utilisation de l'équipement. 5.5. Le stockage (Grenier amélioré). Pour un meilleur stockage des semences il faut : ? Maintenir des températures stables à l'intérieur des greniers ? Réduire la surface des grains exposés à l'air ambiant ? Réduire les reprises d'humidité par les grains après une pluie ou durant les nuits. 5.6. L'échantillonnage L'échantillonnage de l'analyse des semences au laboratoire constitue l'élément de base du contrôle de la qualité. L'échantillon doit être représentatif du lot de semences soumis à l'analyse de qualité. Pour constituer l'échantillon soumis, de petites quantités de semences sont prélevées au hasard sur les différents points du lot de semences. Ces quantités sont mélangées pour former l'échantillon transmis. A- Etape de la multiplication La production des semences est réalisée à travers plusieurs étapes sous une série de différents contrôles. Les premières générations pour le cas des céréales d'automne G1, G2, G3, sont réalisées sous la responsabilité de l'obtenteur qui est l'Institut Tchadien de recherche Agronomique pour le développement (ITRAD) est sous le contrôle de la Direction de la Protection des Végétaux des Contrôles techniques et de la répression des Fraudes (DPVCTRF). Les normes pour ces 3 générations sont très sévères, pour les respecter il faut une grande technicité et des hommes de terrain de grande expérience. Les générations suivantes, G4et R1, sont réalisées sous la responsabilité des sociétés grainières chez des agriculteurs multiplicateurs professionnels. Chaque génération exige des interventions particulières depuis l'installation au champ jusqu'à la commercialisation une durée de 100jours. I. Multiplication des semences Après l'inscription de la variété au catalogue officiel, le processus de multiplication démarre. Quelques épis de la variété inscrite sont remis par le chercheur obtenteur au service des semences (DPVC). Ces épis sont appelés génération d'origine (GO). Cette génération, semée à raison d'1 épi par 1,5m linéaire (d'où l'appellation épis-ligne), donnera une génération G1 et ainsi de suite jusqu'à R1 ou R2. II. Multiplication végétative. La multiplication végétative est une voie de multiplication présente dans la nature chez de nombreux végétaux. C'est notamment le cas des tubercules (pomme de terre), des bulbes (oignons, tulipes) ou des stolons (fraisiers). Dès l'antiquité, l'homme l'a étendu à d'autres plantes, notamment la vigne et les arbres fruitiers. Plus récemment ont été développées des techniques artificielles de multiplication végétative. On exploite la totipotence cellulaire présente chez les végétaux dans le bourgeon apical pour reproduire à l'identique le plant que l'on a sélectionné. Pour les espèces cultivées, on parle de clones. Cette technique a été développée pour les plantes allogames dont la fécondation croisée entraînait un brassage génétique qui accroissait l'hétérogénéité générations après générations. Il s'agit de mesurer dans les lots la présence de graines de plantes d'autres espèces en général adventices (spécifique = de l'espèce) 1. Prélèvement d'échantillons représentatifs de l'ensemble du lot de semence. 2. Dénombrement et identification des graines d'espèces étrangères (autres espèces cultivées, mauvaises herbes...). Cette étape est difficile à réaliser si les graines se ressemblent. 3. Les résultats sont exprimés en pourcentage du poids des semences pures dans l'espèce indiquée d'un lot concerné. Ils sont comparés avec les normes officielles. Par exemple, on ne doit pas trouver plus de 10 graines étrangères aux 500g dans le cas des céréales à paille. 4. Refus ou acceptation des lots pour la certification de la semence. Par exemple, le blé de prébase et base doit avoir 99% de pureté et le blé certifié 98%. Matériel de départ G0 -> Semence de prébase G1 G2 G3 -> Semence de base G 4 -> Semence certifiée R 1 -> Agriculteur
IV. La pureté variétaleIl s'agit de mesurer au sein du lot de graines le taux de graines s'écartant de la plante modèle de la variété. Elle ne peut être réalisée en observant directement les semences au moins dans les cas où il n'y a pas de différences phénotypique (d'aspect) entre les graines. On peut la mesurer en observant les résultats d'un semis au bout d'un an, en regardant dans le champ à l'épiaison (moment ou l'épi se forme) ou à la floraison, en observant à la fois le port de la plante et son épi ou son inflorescence ou encore en effectuant l'électrophorèse des gliadines (protéines de réserve de la graine) pour une plante comme le blé.
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