4.3 Exigences de l'agriculture écologique
Les exigences de la politique agricole commune des
années 2000 ont profondément modifié le soutien à
l'agriculture. Les agriculteurs sont désormais tennis de respecter
certaines normes environnementales de base pour pouvoir
bénéficier des aides publiques. Ils sont également soumis
à respecter des principes de pollueur -payeur. Au delà des normes
de base, ceux qui mettent en oeuvre des techniques plus favorables à
l'environnement et à respecter la nature. Comme l'agriculture
écologique peut recevoir une aide supplémentaire, mais cela n'a
rien d'automatique. Ce sont les mesures agro-environnementales qui proposent de
rémunérer les agriculteurs souscrivant à des engagements
allant en delà des bonnes pratiques agricoles. Ces exigences
sont :
· L'amélioration de la production agricole
par la création d'un écosystème favorable
à l'agriculture composé des essences fixatrices d'azote par le
rhizobium ;
· Permet de promouvoir des techniques de conservation des
sols qui se réfère à un ensemble des pratiques de gestion
des sols qui altèrent au minimum sa composition, sa structure et sa
biodiversité naturelle et le préservant de l'érosion et de
la dégradation. Ces méthodes regroupent des techniques de travail
superficiels, tels que : le semis sous malch, le semis direct et la non
incorporation des résidus de culture et les couverts
végétaux.
Ces techniques doivent êtres accompagnées d'un
labour adapté qui à notamment pour objectif de désherber
une parcelle avant l'implantation de la culture suivante. A l'origine, le
labour était superficiel, mais actuellement le labour est devenu plus
profond avec l'avènement de la mécanisation dans les
années 50 (Mathieu calame, manifeste pour une agriculture
biologique ; Op.cit).
Les agriculteurs pratiquent des techniques culturales
simplifiées étant confrontés à des problèmes
de désherbage, notamment en France dès 1990 s'est vue d'une
intensifié des techniques durables.
· Les bénéfices de conservation de
sols : les techniques agro écologique doivent permettre d'obtenir
des récoltes à une durée courte et éradiquer les
causes profondes de la dégradation des sols pour atténuer les
impactes qui peuvent en surgir telles que l'érosion qui est une perte de
sol qui sont estimer en moyennes 17tonnes par hectares et pour que la
reconstitution naturelle du sol est à 1 tonne par hectare et par an. Les
bénéfices des techniques de conservation des sols
permettent :
- de lutter contre le transport des produits phytosanitaires
et des engrais vers des eaux de surface pour diminution du ruissellement ;
l'augmentation de la fixation des produits par la végétation et
par les colloïdes du sol et l'augmentation de leur
dégradation ;
- économie d'énergie fossile par la
réduction de la consommation du carburant,
- l'augmentation de la biodiversité et de la faune en
développant le premier niveau de la chaîne alimentaire
(autotrophes) qui sont les premiers maillons de la chaîne alimentaire.
- La lutte contre l'effet de serre ; les
végétaux constituent des puits à oxygènes
grâce à la séquestration du carbone.
II.2.5 Impact des pratiques agricoles sur la production
agricole
L'agriculture écologique loin d'être un retour
au passé, permet d'expérimenter des pratiques qui jadis
étaient des pratiques rentables protectrices et non destructrices de
l'environnement ; actuellement, certaines pratiques sont mise en
application dans des contextes économique, écologiques et
environnementales sans autant tenir compte des répercutions qu'offrent
ces pratiques sur le sol qui est une ressource pourvoyeur des ressource et de
production ; et sur l'environnement elle-même par des pollutions et
sur l'homme lui-même qui est la finalité de manipulation des
dernières productions provenant de ses services tels que la
contamination par la manipulation des pesticides, l'altération des
aliments produits,.....
Bref : la vitalité des derniers
services fournis.
Cela n'étant pas durable c'est -à-dire sans
tenir compte des besoins des générations présentes et
avenir sans compromettre ses bases de production qui est le sol.
L'agriculture écologique constitue un maillon
favorable pour la production et la maximisation de cette même production
mais en cas des mauvaises applications et associations, elle présente et
manifeste des impacts et pertes irrémédiables pour les
récoltes et pour sa base de survie de production qui est le sol.
Une fois les pratiques agro écologiques sont mal
appliqués, les impacts peuvent en résulte sont :
· Il peut y avoir compétition entre les essences
et les cultures cultivées pour les substances nutritives et
l'eau ;
· L'exploitation des arbres peut endommager les
récoltes,
· Lorsque la densité n'est pas respecter,
l'humidité peut être augmente ; ce qui favorise le
parasitisme par des champignons et bactéries,
· Les écosystèmes écologiques
empiriques exigeants des complexités entre espèce moins facile
à expérimenter et à analyser que dans la monoculture.
Les essences à privilèges dans des
écosystèmes écologiques sont surtout des types
légumineux fixateurs d'azote par le rhizobium avec enracinement profond
et résistant dans un sol pauvre.
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