Propos du Forum social Africain d'Adis AbebaMEMORIUM
« Ce que le seigneur vous a donné, le seigneur
l'a repris ». Que le seigneur soit beni.
Nous voulons rendre par ce mot, un vibrant hommage à
nos parents et à tous nos proches qui ont tiré leur
révérence avant l'élaboration de ce travail. Nous pesons
singulièrement à PAPA PALUKU KATAMWEYA
Gédéon, maman KAVIRA
KUHIMBA, nos très chers géniteurs ; Aux
oncles et tentes ; petits et fils ; et toute autres personnes
d'honneurs mémorables et inoubliable.
Au grand-père KAKULE LUVAGHO Sylvain,
personne d'honneurs mémoires.
Que les âmes de ces fidèles défunts
reposent en paix et que la terre de nos ancêtres leurs soit
légère.
KAMBALE LUVAGHO
Justin
DEDICACE
A vous tous qui avez fait preuve
d'affection envers nous, vous et moi, que Dieu nous accorde
longévité et prospérité.
A la famille KATAMWEYA et LUVAGHO ;
A toute personne, amis, amies et connaissances qui ont
participé à la correction des manuscrits ; trouvera dans
l'existence de ce travail un motif de satisfaction, que l'on éprouve
pour une tache accomplie.
A tous les lecteurs.
KAMBALE LUVAGHO
Justin
REMERCIEMENT
La vie sur la terre est une école de
perpétuel apprentissage où l'homme se fait et se refait avec le
concours de son entourage.
Néanmoins, la conscience humaine n'est pas la
réussite suprême de l'évolution, plutôt au dire du
philosophe F.NIETLSCIX « la vie entière serait possible dans
la conscience où elle se réfléchit comme dans un
miroir ». Cette conscience se traduit par le bon sens qui pour
René DESCARTE « c'est la chose la mieux partagée aux
monde ».
Ainsi l'homme se définie par sa
globalité, il est à la fois tout entiers corps et tout entier
conscience. De ce fait, l'homme est un être relationnel ; c'est
cette idée qui à laissée déclarer par des termes
quasi semblables à l'Allemand MARTIN HEIDEGGER que « l'homme
est un moi avec d'autre au monde » et bien d'autre auteurs ont
suggérer même que « nul n'est un
île ». A célà s'ajoute les dires de John Donne
que « aucun homme n'est une île Complet en soi
même ; chaque humain est une partie du continent, une partie du
tout ». C'est dans cette perspective que naît le sentiment de
reconnaissance pour un bienfait obtenu d'un autre.
A cet égard, nos pauvres mots de
remerciement seront exprimer à tous ceux qui de prêt ou de loin
ont contribué à la réalisation de ce travail.
De prime abord, saluons la bienveillance du
créateur Dieu tout-puissant ; maître de la vie et de
l'histoire de qui nous tirons tout souffle de vie.
Nos remerciements valent tout droit aussi aux
autorités académiques et administratives, ainsi qu'au corps
professoral de l'institut supérieur de développement rural des
grands lacs pour les enseignements nous fournis jusqu'ici.
Nous dressons singulièrement nos
sentiment de gratitude à nos très chers oncles KAKULE KATAMWEYA
Zédekias et KAKULE KATAMWEYA Maisha nos tuteurs ; pour le sacrifice
qu'ils endurent en vue de nous scolariser et nous redonner ainsi le chaleur
paternelle. Notre mot de reconnaissance à nos grands frères,
soeurs et petits pour leurs aimables accompagnements, soutiens et conseils. Que
tous reçoivent simplement l'expression renouvelée de notre
péluante gratitude.
En fin, nous aurons pus énumérer
les Noms de tous nos bienfaiteurs, mais la modestie nous contraint de le taire
sans totalement les oubliés. Leurs apports resteront à jamais
graver en lettre d'or dans notre coeur.
Somme toute, s'il y avait d'autres mots plus
appropriés et très significatifs pour mieux exprimer notre
reconnaissance ; nous l'aurions faits, toute fois, le vocable qui traduit
Concrètement le devoir impérieux qui nous incombe, c'est
« MERE ».
KAMBALE LUVAGHO Justin
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