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Stratégie des placements boursiers

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par Yoann Duflos
Université de Limoges  - Licence assurance banque finance 2009
  

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Evaluation d'une action par la méthode du Price Earning Ratio (PER)

La méthode du Price-Earnings Ratio est probablement la plus connue. Il s'agit simplement d'évaluer une action au travers d'un ratio : PER = cours / Bénéfice par action. Il s'agit d'une sorte de calcul du retour sur investissement du titre acheté, puisqu'il exprime le nombre d'années de bénéfices nécessaires pour reconstituer le capital placé.


Le PER est très souvent utilisé pour comparer des entreprises du même secteur. En effet, si deux sociétés concurrentes dégagent des bénéfices similaires, leurs PER respectifs devraient êtres égaux. S'ils ne le sont pas, c'est que l'une de ces entreprises est surévaluée (ou au contraire que l'autre est sous-évaluée).
Certaines sociétés présentent des PER extrêmement élevés : c'est-à-dire un cours de bourse très haut pour un bénéfice attendu faible. Ceci est courant pour les valeurs de la nouvelle économie qui espèrent une très forte croissance de leurs bénéfices dans quelques années. Il devient alors difficile de comparer ces sociétés uniquement à l'aide du PER.
D'où la limite suivante : le PER intègre mal les anticipations de bénéfices.

2.1.2.2. L'analyse technique

L'analyse technique consiste à prévoir les tendances futures du marché grâce essentiellement à l'étude de graphiques.

 

Contrairement à l'analyse fondamentale qui s'intéresse aux causes possibles des fluctuations sur un marché, l'analyse technique recherche des configurations graphiques ou utilise des indicateurs statistiques. Le but poursuivi est, dans tous les cas, la prévision. Il ne s'agit pas d'opposer l'analyse fondamentale à l'analyse technique : l'analyse fondamentale permet de répondre à la question : « faut il acheter ou vendre ? » alors que l'analyse technique ambitionne de répondre à la question : « quand acheter ou vendre ? ».

La justification essentielle de l'analyse technique repose sur la psychologie des acteurs de marchés. Ces derniers doivent prendre des décisions en état d'incertitude. Cela donne lieu à des phénomènes d'anticipation. Un acteur ne va donc pas agir uniquement en fonction de critères objectifs mais en fonction de ce qu'il pense que les autres acteurs vont faire. L'incertitude conduit également à l'imitation. Un raisonnement possible en état d'incertitude consiste à dire : si l'autre agit de cette manière, c'est qu'il a peut-être des informations que je n'ai pas, je vais faire comme lui.

Lorsque l'analyse est fondée sur des graphiques, la compréhension du mode de représentation est essentielle.

Le graphe de points

En théorie cela consiste pour le cours d'une action par exemple à placer un point à chaque cotation de cette action. En pratique cela est concevable pour un graphique sur une seule journée (intraday), mais devient inexploitable sur un historique de plusieurs années. Le problème du choix de la valeur qui représentera le cours se pose. Si l'on choisit une unité de temps hebdomadaire par exemple, on peut prendre le cours donné par la première ou la dernière cotation hebdomadaire, selon un choix arbitraire. Relier alors ces différents points entre eux pour obtenir une courbe continue est une préoccupation purement esthétique et n'a pas de sens. Par ailleurs on ne visualise pas aisément des paramètres significatifs pour l'analyse graphique comme l'amplitude des variations, d'où l'idée du « bar charts ».

Le bar charts
Le mode de représentation sous forme de bâtonnets fournit comme indication le cours d'ouverture, de fermeture et l'amplitude de la variation du cours.

2.1.3. La fiscalité

2.1.3.1. Le compte titres

La fiscalité des plus-values mobilières
Elle est calculée sur la plus-value des ventes réalisées au cours de l'année civile pour tous les comptes-titres détenus et tous les établissements financiers confondus.

Pour être imposable, il faut que le total des cessions de l'année dépasse un certain seuil (25730 € selon le Projet de Loi de Finance 2009). Si ce seuil n'est pas dépassé, il n'y a ni imposition ni prélèvements sociaux.

En cas de dépassement de ce seuil, la totalité des plus-values est soumise à un taux d'imposition fixe de 18% ainsi qu'à 12,1% de prélèvements sociaux soit un total de 30,1%.

Lorsque le seuil annuel de cessions est dépassé, les moins-values réalisées sur les ventes sont imputables sur les ventes réalisées la même année et sur les dix années suivantes.

A noter : à compter du 1er janvier 2006, les années de détention d'une action pourront permettre de bénéficier d'un futur abattement sur les plus-values. Cet abattement sera de 1/3 par année pleine de détention au-delà de la cinquième année, ce qui correspond à une exonération totale au bout de 8 ans. Cette mesure ne produira ses premiers effets qu'à compter de 2012 pour les exonérations partielles, et, de 2014 pour les exonérations complètes.

La fiscalité des revenus mobiliers
Les revenus d'obligations et des titres de créances français et européen

Deux choix sont possibles pour ces revenus : soit l'intégration dans les revenus qui seront soumis à l'Imposition sur le Revenu (IR), soit l'option pour le prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) de 18%. A cela se rajoutent les 12,1% de prélèvements sociaux. Dans le cas de l'intégration dans les revenus, une partie des prélèvements sociaux, la CSG, est déductible des revenus imposables de l'année suivante : 5,8%.

Les revenus d'actions et de parts sociales (dividendes)

Il existe pour ces revenus deux choix d'imposition :

Soit, sur option (à exercer avant chaque paiement) au prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) de 18% auquel on ajoute les cotisations sociales de 12,1%. Cette option n'est pas possible sur un PEA.

Soit, faire une déclaration à l'impôt sur le revenu (maintien du régime existant), le fisc appliquant automatiquement les abattements suivants :

Un premier abattement de 40% de ces revenus est appliqué.

Intervient ensuite un second abattement de 1 525 € pour une personne célibataire, veuve ou divorcé ou 3 050 € pour un couple (marié, pacsé ou soumis à l'imposition commune).

Les cotisations sociales de 12,1% sont dues sur les revenus avant abattements.

Il est possible d'obtenir un crédit d'impôt déductible de l'IR qui est attribué à hauteur de 50% des revenus avant abattement, plafonné à 115 € pour une personne célibataire et 230 € pour un couple.

2.1.3.2. Le Plan Epargne Actions

Les fonds investis sur un PEA sont toujours disponibles. Tout retrait effectué avant 8 ans entraîne obligatoirement la clôture du PEA et la vente de la totalité des valeurs inscrites sur celui-ci. Après 8 ans, le produit est très souple et permet plusieurs options.

Clôture du PEA avant 5 ans

Les plus-values sont imposables selon le régime des plus-values mobilières (supra compte titres).

Entre 2 et 5 ans, si les revenus dépassent le seuil de 25 730 €, alors la totalité des revenus est soumise à une imposition à un taux d'imposition fixe de 18% ainsi qu'à 12,1% de prélèvements sociaux soit un total de 30,1%. Si le seuil de 25 730 € n'est pas dépassé, il n'y a ni imposition, ni prélèvement sociaux.

Avant 2 ans, le taux d'imposition est un taux majoré qui est fixé à 22,5%. Il faut toujours ajouter 12,1% de prélèvements sociaux.

Certaines situations permettent néanmoins d'échapper à l'imposition : décès du titulaire ; rattachement à un autre foyer fiscal possédant déjà des PEA ; départ du contribuable à l'étranger ; création ou reprise d'une entreprise dans les 3 mois suivant la clôture du PEA.

Si le PEA génère une moins-value, celle-ci peut être imputée sur les gains imposables de la catégorie des plus-values mobilières, réalisés au cours de la même année ou des 10 années suivantes.

Clôture du PEA entre 5 et 8 ans.

Les plus-values ne sont pas imposables et subiront seulement les 12,1% de prélèvements sociaux.

Le PEA après 8 ans

Après 8 ans, les possibilités sont nombreuses. Il est possible de :

· Continuer à faire vivre le PEA et effectuer des versements complémentaires.

· Faire des retraits partiels. Cela entraîne seulement l'impossibilité d'effectuer de nouveaux versements. Seule la part des plus-values comprise dans le retrait sera soumise aux prélèvements sociaux ;

· Faire un retrait total et clôturer ainsi le PEA. La plus-value sera soumise aux prélèvements sociaux ;

· Demander à transformer le capital atteint en une rente viagère. La rente issue du PEA est défiscalisée et ne sera soumise qu'aux prélèvements sociaux.

Le sort des dividendes

Les dividendes d'actions sont versés sur le compte espèces dédié du PEA où ils pourront alors être réinvestis et ne sont pas soumis (en tant que tels) à l'imposition comme sur un compte titres classique. Ils seront fiscalisés indirectement avec la plus-value globale du PEA.

Il faudra néanmoins les déclarer, chaque année, aux services fiscaux car ils ouvrent droit, comme pour le compte titre, à un crédit d'impôt équivalent à 50% de leur montant, mais plafonnés à 115 € pour une personne seule et 230 € pour un couple.

2.1.3.3. Les SICAV monétaires

Le régime de fiscalité est différent suivant le type des OPCVM.
Si ce sont des OPCVM de capitalisation, alors il faut appliquer la fiscalité des plus-values mobilières. Si ce sont des OPCVM de distribution, alors il faut appliquer la fiscalité des revenus mobiliers.

2.1.4. Le devoir d'information et de conseil du banquier en    matière de placements boursiers

La crise financière qui frappe en ce moment l'ensemble des places boursières mondiales nous donne l'occasion de revenir sur la responsabilité des banques à l'égard de leurs clients investisseurs.

Compte-tenu du contexte actuel, on risque en effet malheureusement de rencontrer de nombreux particuliers qui, ayant cru investir dans des placements présentés comme « sûrs » par leur banquier, se retrouvent aujourd'hui avec d'importantes pertes de capital.

2.1.4.1. Le devoir d'information

Le banquier a une obligation d'information à l'égard de son client, particulièrement lorsque ce dernier s'avoue novice dans le domaine des placements boursiers. Il doit plus particulièrement attirer l'attention sur le caractère risqué des produits financiers qui lui sont proposés.

2.1.4.2. Le devoir de conseil

Le devoir de conseil est plus exigeant que celui d'information et oblige la banque à quitter sa position pour se placer activement aux côtés de son cocontractant afin de lui présenter son propre intérêt.

Cette référence à l'obligation de conseils et d'information s'adresse aussi bien aux particuliers qu'aux entreprises.

Ainsi, les banques se doivent d'informer leurs clients non avertis des risques encourus dans des opérations spéculatives qu'ils peuvent être amenés à effectuer sur les marchés à terme (Cour cas. Avril 2002 n°97 130-93). Ce devoir de conseil des banques est renforcé par l'arrêt de la cour de cassation n°740 de juin 2008 et la loi MURCEF de décembre 2001.

A défaut, le banquier engage sa responsabilité vis-à-vis de son client et s'expose à devoir l'indemniser de ses pertes de capital.

Cette solution jurisprudentielle est conforme aux nouvelles règles posées par l'article L.533-12 du Code Monétaire et Financier, qui impose aux banques de communiquer à leurs clients
«... les informations leur permettant raisonnablement de comprendre la nature du service d'investissement et du type spécifique d'instrument financier proposé ainsi que les risques y afférents, afin que les clients soient en mesure de prendre leurs décisions d'investissement en connaissance de cause ».

Aussi, la directive MIF (directive n° 2004/ 49/CE réglementant les marchés des instruments financiers) est entrée en vigueur en France depuis le 1er novembre 2007. Cette directive a été transposée dans le Code monétaire et financier et dans le "règlement général" de l'Autorité des marchés financiers.

Elle harmonise au niveau européen la commercialisation des placements financiers, en particulier celle des actions et des obligations, en direct ou via des SICAV ou des Fonds Communs de Placement (FCP).

La directive MIF réglemente, dans le cadre dit du "service de conseil en investissement", l'ensemble du processus de vente, depuis l'information du client jusqu'à la souscription du produit, en passant par le conseil proprement dit. Objectif : protéger le consommateur client en mettant tout en oeuvre pour qu'il souscrive des produits parfaitement adaptés à sa situation.

Cette directive protège l'ensemble des particuliers, car ils sont définis comme "non professionnels". Autant dire que la très grande majorité des Français se reconnaissent dans cette catégorie. Dans ce cadre, les clients des banques doivent faire l'objet d'un conseil personnalisé afin que le placement recommandé réponde parfaitement à leurs besoins. D'où la nécessité, pour les conseiller, de mieux les connaître.

2.2. Stratégies et fiscalité des placements et devoir de conseil du banquier

2.2.1. Stratégies et analyses des placements

Afin de concrétiser notre étude théorique nous vous proposons de la mettre en pratique dans un portefeuille fictif de 15000 €.

Au préalable, il convient de définir notre objectif afin de déterminer notre stratégie, le but étant de conserver notre capital et de le faire fructifier.

Nous avons donc opté pour une stratégie de placement neutre en fonction du contexte actuel et de la durée de placement qui est de 3 mois : ainsi la composition du portefeuille6(*) est pour 44% en SICAV monétaire et pour 56% en actions sur des secteurs diversifiés et peu touchés par la crise financière. Nous avons ainsi réparti les risques7(*). L'analyse qui a été faite est essentiellement une analyse fondamentale.

Nos deux SICAV monétaires sont :

· SGAM Fund Money-Market Euros A : son objectif est de procurer une performance nette régulière proche de celle de son indice de comparaison EURIBOR8(*) 3 mois ;

· Fortis Trésorerie jour: l'objectif de la SICAV vise à obtenir sur la durée de placement recommandée qui est de 3 mois une performance supérieure à l'indice EONIA9(*).

2.2.2. Présentation et motivation d'achat de nos actions

2.2.3. Frais liés à la gestion de notre portefeuille

2.2.3.1. Choix des comptes supports

Nous choisissons d'ouvrir un Plan Epargne en Actions dans la banque en ligne Boursorama puisqu'elle propose les frais les moins chers du marché compte-tenu de notre investissement sur 3 mois. Nous avons opté pour un courtage « Euronext Paris classique » car nos ordres sont inférieurs à 3500 €. Les frais de courtage sont de 5,50 € par transaction jusqu'à 1000 €, au-delà, les frais sont de 0,48% sur le montant total de l'ordre, avec un minimum de 8,95 €. Les droits de garde sont gratuits. Les frais sur les marchés étrangers sont les suivants :

· les frais de courtage par ordre inférieur à 25 000 euros sont de 23,85 euros ;

· les frais de change : taux interbancaire J+1 ajouté à 0,8%o du montant global de la transaction.

Nous avons choisi deux OPCVM partenaires Boursorama, ce qui nous permettra d'ouvrir le PEA OPCVM 0% de droits d'entrée, de sortie et de garde. Ces droits sont donc gratuits ; seuls les frais de gestion sont à appliquer.

2.2.3.2. Détail des frais appliqués aux ordres

Opération

Titres

Date

Quantité

Prix unitaire

Coût global

Frais

 

PLAN EPARGNE ACTIONS

 

Achat

BNP Paribas

13/10/08

16

61,72 €

987,52 €

5,50 €

EDF

13/10/08

25

40,60 €

1015,00 €

8,95 €

Essilor International

13/10/08

32

30,99 €

991,68 €

5,50 €

Groupe Danone

13/10/08

23

42,51 €

977,73 €

5,50 €

Coca Cola Co.

13/10/08

33

41,50 $

1369,50 $

26,31 €

Cisco Sys.

13/10/08

79

17,23 $

1361,17 $

26,30 €

LVMH Moet Vuitton

13/10/08

18

54,29 €

977,22 €

5,50 €

France Telecom

14/10/08

50

19,47 €

973,50 €

5,50 €

Vinci

17/10/08

10

24,02 €

240,20 €

5,50 €

 
 
 
 
 
 
 

Vente

Cisco Sys.

20/10/08

79

18,96 $

1497,84 $

26,98 €

Groupe Danone

22/10/08

23

44,37 €

1020,51 €

8,95 €

LVMH Moet Vuitton

22/10/08

18

55,56 €

1000,08 €

8,95 €

Vinci

22/10/08

10

26,95 €

269,50 €

5,50 €

 
 
 
 
 
 
 

Achat

LVMH Moet Vuitton

23/10/08

19

51,00 €

969,00 €

5,50 €

Groupe Danone

23/10/08

24

41,16 €

987,84 €

5,50 €

Air Liquide

23/10/08

16

62,19 €

995,04 €

5,50 €

BNP Paribas

28/10/08

21

47,32 €

993,72 €

5,50 €

 
 
 
 
 
 
 

Vente

BNP Paribas

31/10/08

37

54,59 €

2019,83 €

9,70 €

 
 
 
 
 
 
 

Achat

Vinci

31/10/08

37

26,89 €

994,93 €

5,50 €

 
 
 
 
 
 
 

Clôture

EDF

16/01/09

25

39,20 €

980,00 €

5,50 €

France Telecom

16/01/09

50

19,375 €

968,75 €

5,50 €

Essilor International

16/01/09

32

32,32 €

1034,24 €

8,95 €

Vinci

16/01/09

37

29,64 €

1096,68 €

8,95 €

Groupe Danone

16/01/09

24

42,71 €

1025,04 €

8,95 €

Air Liquide

16/01/09

16

61,02 €

976,32 €

5,50 €

LVMH Moet Vuitton

16/01/09

19

42,43 €

806,17 €

5,50 €

Coco Cola Co.

16/01/09

33

44,48 $

1467,84 $

26,04 €

 

PLAN EPARGNE ACTIONS OPCVM

 

Achat

Fortis Trésorerie Jour

14/10/08

1

4024,68 €

4024,68 €

0,00 €

SGAM Fund Money Market Euro A

14/10/08

100

26,88 €

2688,00 €

0,00 €

 
 
 
 
 
 
 

Clôture

Fortis Trésorerie Jour

16/01/09

1

4063,08 €

4063,08 €

7,31 €

SGAM Fund Money Market Euro A

16/01/09

100

27,16 €

2716,00 €

8,15 €

 
 
 
 
 
 
 

TOTAL

 
 
 
 
 

272,49 €

2.2.4. Clôture du portefeuille

2.2.4.1. Sa valorisation

Ce premier tableau illustre notre investissement à la date du 23 octobre ainsi que la valeur atteinte lors de la clôture des PEA le 16 janvier 2009.

PORTEFEUILLE AU 23/10

VALEUR A LA CLOTURE

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Libellé

Quantité

Prix d'achat

Capital

Date

Qté.

Prix de vente

Capital

Date

PRU *

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

PLAN EPARGNE ACTIONS

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Vinci

10

24,02 €

240,20 €

17/10

37

29,64 €

1096,68 €

16/01

26,82 €

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

EDF

25

40,60 €

1015,00 €

13/10

25

39,20 €

980,00 €

16/01

41,18 €

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

France Telecom

50

19,47 €

973,50 €

14/10

50

19,375 €

968,75 €

16/01

19,69 €

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Essilor International

32

30,99 €

991,68 €

13/10

32

32,32 €

1034,24 €

16/01

31,44 €

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

LVMH Moet Vuitton

18

54,29 €

977,22 €

13/10

19

42,43 €

806,17 €

16/01

53,29 €

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Groupe Danone

23

42,51 €

977,73 €

13/10

24

42,71 €

1025,04 €

16/01

42,44 €

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Air Liquide

16

62,19 €

995,04 €

23/10

16

61,02 €

976,32 €

16/01

62,88 €

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Coca Cola Co.

33

27,11 €

894,56 €

13/10

33

33,464 €

1104,30 €

16/01

28,69 €

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

BNP Paribas

16

61,72 €

987,52 €

13/10

Action vendue le 31/10

54,11 €

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Cisco Sys.

79

12,79 €

1010,67 €

13/10

Action vendue le 20/10

13,47 €

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Liquidités

219,24 €

567,60 €

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Valeur du PEA Actions

8287,32 €

8601,96 €

 
 
 
 
 
 
 
 
 

PLAN EPARGNE ACTIONS OPCVM

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Fortis Trésorerie Jour

1

4024,68 €

4024,68 €

14/10

1

4063,08 €

4063,08 €

16/01

4024,68 €

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

SGAM Fund Money Market Euro A

100

26,88 €

2688,00 €

14/10

100

27,16 €

2716,00 €

16/01

2688,00 €

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Liquidités

0,00 €

0,00 €

 
 
 
 
 
 
 
 

Valeur du PEA OPCVM

6712,68 €

6779,08 €

 
 
 
 
 
 
 
 

Valeur du portefeuille

15000,00 €

15338,18 €

 

* Le PRU est le prix de revient unitaire de l'action que nous avons achetée, il prend en compte les frais d'achat et de vente. Si le cours de l'action est supérieur au PRU, on est en plus-value. Si le cours de l'action est inférieur au PRU, on est en moins-value.

EVOLUTION DU PORTEFEUILLE

 
 
 

Investissement initial

14780,76 €

 
 
 

Liquidités

219,24 €

 
 
 

Valeur du portefeuille

15000, 00 €

 
 
 

Clôture du portefeuille

14770,58 €

 
 
 

Liquidités

567,60 €

 
 
 

Valeur du portefeuille

15338,18 €

 
 
 

Total des +/- values

338,18 €

Ce second tableau quant à lui illustre la performance10(*) de notre investissement grâce aux plus ou moins values.

Titres

Plus values

Moins values

 
 
 

PLAN EPARGNE ACTIONS

 
 
 

Vinci

131,05 €

 
 
 
 

EDF

 

35,00 €

 
 
 

France Telecom

 

4,75 €

 
 
 

Essilor International

42,56 €

 
 
 
 

LVMH Moet Vuitton

22,86 €

162,83 €

 
 
 

Groupe Danone

79,98 €

 
 
 
 

Air Liquide

 

18,72 €

 
 
 

Coca Cola Co.

73,98 €

 
 
 
 

BNP Paribas

38,59 €

 
 
 
 

Cisco Sys.

104,06 €

 
 
 
 

Total + ou - values

493,08 €

221,30 €

 
 
 

Résultat

 

271,78 €

 
 
 

PLAN EPARGNE ACTIONS OPCVM

 
 
 

Fortis Trésorerie Jour

38,40 €

 
 
 
 

SGAM Fund Money Market Euro A

28,00 €

 
 
 
 

Total + ou - values

66,40 €

0,00 €

 
 
 

Résultat

 

66,40 €

2.2.4.2. Sa fiscalité

Nous avons un portefeuille composé d'un PEA et d'un PEA OPCVM. Les deux PEA ont été clôturés avant 5 ans, donc les plus-values sont imposables selon le régime fiscal des plus-values mobilières. Le PEA OPCVM étant composé de deux Sicav monétaires de capitalisation, c'est aussi le régime fiscal des plus-values mobilières qui doit être appliqué. Lors d'une clôture avant 2 ans (dans notre cas, il s'agit d'une clôture à 3 mois), si le total des cessions dépasse le seuil de 25 730 €, elles seront alors imposables au taux majoré de 22,5% auquel il faut rajouter 12,1% de prélèvements sociaux.

Or, notre seuil de cessions s'élève à 15 338,18 €, ce qui est inférieur au seuil prévu pour être imposable, donc nous n'aurons ni imposition ni prélèvements sociaux à appliquer conformément à la fiscalité des plus-values mobilières.

* 6 _ Cf. Annexe 6 page 30

* 7 _ Cf. Annexe 7 page 31

* 8 _ EURIBOR : Euro Interbank Offered Rate - c'est un taux de référence du marché monétaire de la zone euro qui couvre des durées de 1 semaine à 1 an.

* 9 _ EONIA : Euro Overnight Index Average correspond à la moyenne des taux au jour le jour de la zone euro. Il représente le taux sans risque européen.

* 10 _ Graphique de l'évolution de la valeur du portefeuille en Annexe 8 à la page 31

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"Ceux qui vivent sont ceux qui luttent"   Victor Hugo