2. REVUE DE LA LITTERATURE (ETAT DE LA QUESTION)
La dynamique communautaire figure parmi les cinq piliers de la
stratégie de croissance et de réduction de la pauvreté en
RDC. Elle est entendue comme l'organisation d'une population en association en
vue de se prendre en charge et résoudre les problèmes vitaux de
la vie quotidienne. Elle mobilise la population à participer à
l'amélioration de la qualité de la vie dans un processus de
responsabilisation et de solidarité pour un développement
durable21.
19 BULONDO et All, Particom aux programmes de SSP dans la ZSU
Goma , Cahier de CERUKI 2008 N036 P 121,126
20 Rapport d'état de lieux de ZS du district sanitaire du
Sud
21 Op cit 13
20
En 1990 après une période d'intervention de huit
mois, la particom au programme de SSP a augmenté grâce à
une motivation des OAC dans la ZS de Kole au Kasaï Oc , dans la ZS de
Drodro par contre , la particom au service de CPS ,CPN et maternité a
augmenté en moyenne de 26% après six mois d'intervention
auprès des OAC alors que dans la ZS de Kaziba et Uvira les
activités de COSA se sont améliorées à 86% et
celles des OAC à 76 % après une bonne allocation de tâche
et clarification de rôles des OAC te membre de COSA 22
En 1998 à Dakar, AWA TIAM NGOM, dans
ses recherches sur la particom à l'effort de santé au CHU de FANN
prouve que l'analphabétisme et l'ignorance sont des freins à la
réalisation des objectifs de la particom. Ils sont autant de facteurs
limitant pour l'appréciation juste dans tous les paramètres du
domaine de la santé attendue par les
bénéficiaires23.
La population n'est pas encore mûre pour comprendre son
rôle et l'importance de son action sur le développement sanitaire.
Surtout que celle-ci avait toujours pensé que la santé
était gratuite. Elle est consciente de sa contribution mais n'en
comprend ni le sens, ni l'enjeu pour elle et pour le pays. L'éducation,
l'information et la sensibilisation font défaut car les collecteurs ont
des
difficultés certaines à amener les usagers à
acheter le ticket de consultation. L'enjeu est important étant
donné que cette contribution permet de relever la qualité des
soins. Mais, le degré d'implication est encore loin d'être
atteint, les COSA sont considérés comme les «chevilles
ouvrières» de la particom.
Grâce à leur participation à l'effort de
santé, l'hôpital se trouve peu à peu enrichi de
matériel médical, d'un personnel communautaire, de
médicaments etc. Ainsi le budget de l'Etat n'est plus
épuisé grâce à l'apport de la Particom.
Expérience de l'OED, Une approche intégrée
de développement urbain a été mise en place depuis 1999
dans les Bidonvilles (favelas) de Ribeira Azul à Salvador Au
Brésil, et s'est intéressée à la possibilité
d'inclure les habitants des bidonvilles dans la conception, l'opération
et la maintenance du système d'eau et d'assainissement à
construire.
Finalement, le projet a été un point de
départ pour le développement de la communauté et de ses
membres dont la particom a été un élément
clé du succès du projet, aussi bien pour sa mise en oeuvre que
pour son impact durable 24
22 MASUMBUKO B dans évaluation de la particom dans la ZSR
de Kirotche, Goma 1987 Page 87
23 AWA Tiam N dans : Particom à l'effort de santé
au CHU de FANN/Dakar 1998
24 Op cit 3
En juillet 1999, Dr AMHAMED ANAS Belghali
dans son mémoire qui a travaillé sur l'analyse du processus de la
particom au projet minimum de développement, Cette étude a fait
ressortir qu'il s'agit d'une participation étroite pour la direction et
la gestion des activités et d'une participation limitée pour
l'appréciation des besoins, l'organisation communautaire et la
mobilisation des ressources.
La participation par rapport à chacun de ces facteurs
semble être influencée par la façon dont ont
été implantées les différentes composantes du
projet.
L'adhésion de la communauté et son engagement
restent faibles. En effet, seules les coopératives sont
étroitement suivies. Les accoucheuses traditionnelles formées ne
sont pas supervisées, la borne fontaine réalisée dans le
cadre de l'adduction de l'eau potable n'est pas fonctionnelle et le
terrassement des pistes n'est pas encore réalisé.
Quoique la valeur positive de la particom soit largement
reconnue, il reste beaucoup à faire en pratique. Pour aboutir à
des projets communautaires réalisables, il est de plus en plus
nécessaire d'avoir des personnes convaincues de cette valeur. Il serait
temps d'envisager la particom dans le cadre d'une politique globale du pays.
L'institutionnalisation éventuelle d'une telle démarche est
nécessaire parmi d'autres préalables.
En 1999, BARBARA MONAHAN & Al en Zambie,
dans leur article intitulé accepter la participation dans le
développement « en Zambie la Mentalité de la Deuxième
République (MDR) était considérée comme un obstacle
majeur dans la mobilisation des gens pour prendre en main le
développement de leur propre communauté car elle se
réfère à la préférence des gens par rapport
à leur dépendance des dons25.
En 2002, Dr ABEL BICABA avait traité sur
le protocole de recherche pour la particom, il a enfin résolu que sur le
plan de la mobilisation sociale il y a une faible implication des populations
dans les différentes stratégies développées pour le
PEV et ceci malgré la mise en place des COGE au niveau des
différents CS.26
En 2003, LANGLY.J - ESCALON au Burkina-Faso,
dans ses recherches sur l'impact de la particom sur la qualité des
services semblent parfaitement montrer que les populations ne sont encore que
très rarement parties prenantes des décisions. La particom est
réduite à la partie congrue. Par exemple, au cours d'une
supervision à la wilaya du Trarza en 2001 quelques usagers
prétendent que très peu de personnes connaissaient l'existence
des COGE. La grande majorité
25 Barbara Monahan & Al : accepter la particom dans le
développement, Octobre 1999
26 Dr Abel Bicaba, MD.MPH protocole de recherche sur la particom,
mini santé Burkina-Faso Aout 2002
des personnes interrogées (78%) à Bababé
(wilaya du Brakna) en 2001 ont affirmé ne pas avoir été ni
associées et ni être tenus au courant de la prise des
décisions par les COGE »27
En septembre 2003 au Mali, MAMADOU KANI Konaté
& Al ont mené de recherches sur la politique de sacom et
viabilité économique et sociale de CS communautaire (CSCOM) ont
aboutit aux résultats tels que le fonctionnement réel et leur
capacité de mobilisation et d'organisation des populations à la
base rencontrent des difficultés.
Certaines lacunes telles que l'absence d'évaluation de
base et de suivi dans le processus de création et de gestion des CSCOM
ressortent de plus en plus28.
En juillet 2008, DR BINETA SENE SEMBENE dans son
mémoire qui traite sur l'évaluation de la particom au processus
de planification dans un système de santé prouve que
l'évaluation du processus de la participation communautaire aux
activités de SPP est faite sur base de cinq facteurs dont :
l'appréciation des besoins de la population, la direction des
activités, l'organisation communautaire, la mobilisation des ressources
et la gestion des activités
Elle conclut en disant qu'assurer un développement de la
particom nécessite un certain nombre de conditions qui vont de
l'identification des secteurs d'activités concernés
jusqu'à l'instauration d'une instance de régulation de l'action
communautaire, en passant par les professionnels des différents secteurs
et l'identification des rôles et taches de tous les représentants
de la communauté dans les actions à entreprendre. Une
planification coordonnée au niveau communautaire permettra d'articuler
étroitement les soins de santé primaires avec les autres secteurs
dans des actions conjuguées29.
J BENOIT FALISSE avait mené une
étude au Burundi auprès de Comités de Santé et les
Associations Locales dans les provinces, les résultats ont montré
que le PBF semble améliorer la particom car il implique une
clarification des rôles de chacun, propose une forme de supervision
(même minimale) et il fournit des incitations aux
bénévoles.
En outre, la capacité de l'ensemble doit encore être
renforcée ; Pour 40% des Associations Locales, 30% des CODESA et 30% du
personnel de santé, la population n'est pas encore capable d'une bonne
gestion de CS30 .
27 Langly.J - Escalon et al. 2003 in « impact de la
participation communautaire sur la qualité des services ».
28 Mamadou K Konaté & Al dans politique de sacom et
viabilité économique et sociale de CS communautaire au Mali,
Septembre 2003, UNRIDS
29 DR BINETA SENE SEMBENE, évaluation de la particom au
processus de planification dans un système de santé juillet 2008
Inédit.
30 Jean-Benoît Falisse. Consultant Cordaid -
29.02.2010 in La participation communautaire dans les Centres de Santé
et le Financement Basé sur la Performance (FBP)
22
Expérience de l'UNICEF , Au Soudan, le gouvernement en
partenariat avec l'Unicef ont lancé l'initiative communautaire en faveur
des enfants qui aboutit à la création de 378 communautés
dans neuf provinces plus défavorisées du pays et a
démontré l'exemple en bâtissant les écoles, en
aidant les enseignants et en encadrant les activités scolaires ; ces
communautés participent en outre à la construction de latrines et
installation sanitaire dans les écoles où le programme
d'étude traite de question de base de santé et hygiène
à ceci s'ajout de club de santé qui rappel également aux
enfants l'importance de la vaccination et ont commencé à proposer
de séances de sensibilisation au VIH/Sida 31
En RD Congo,Les expériences développées dans
les zones de santé de Yangala et Mikope dans la Province du Kasaï -
Occidental ont permis de constater que la population est capable de financer
les interventions à une certaine hauteur ; la faiblesse dans la collecte
et le traitement de données ; des expériences de financement
communautaire fait penser que la pauvreté de la majorité de la
population est un frein à l'accessibilité de la population aux
services disponibles, pourtant celle-ci à continuer à contribuer
au financement de services de santé malgré la guerre 32
3. HYPOTHESE
Les Questions sus évoquées nous ont donné
le souci de formuler nos réponses provisoires en ce terme :
1 la participation communautaire est à la base de
l'amélioration de services de santés offerts à la
population dans les zones de santés du district sud
1 la motivation de relais communautaire aux activités de
SSP peut amener ces derniers (RECO) à s'impliquer activement aux
activités de SSP
1 L'insuffisance de l'implication des collectivités
locales (RECO) aux activités de SSP est liée
à l'absence de mesures d'accompagnement de communauté par la
politique nationale de santé.
4. CHOIX ET INTERET DU SUJET
Tout au long de ces dernières années, la RD Congo a
vécu dans un contexte marqué par le désengagement de
l'Etat; singulièrement en matière d'encadrement sanitaire et de
prise en charge des populations.
Ce retrait se combine à des difficultés
financières pour les individus d'accéder aux soins et aux
médicaments ; dans ces conditions où le gouvernement ne dispose
ni de ressources financières
31 Op cit 6
32 Op cit 8
propres, suffisantes, ni d'outils technologiques pour
répondre aux besoins sanitaires croissants ; la participation
communautaire s'est offert comme une alternative incontournable aux yeux des
responsables des pouvoirs publics.
Ainsi, notre étude a pour souci de vouloir
évaluer le processus de la participation de
communauté de district sud aux activités de SPP en
fin de vouloir aider ces communautés à contribuer efficacement
à l'amélioration de système de santé dans le
district sud avec comme intérêt scientifique de constituer un
terme de référence pour les autres chercheurs qui auront le souci
d'approfondir le sujet relatif à cette étude.
En tant que membre de cette population nous sommes autant
concernés par les problèmes de santé qui se posent
à notre pays.
5. OBJECTIFS DU TRAVAIL
L'objectif global est d'évaluer l'implication de la
communauté aux activités de soins de santé primaires
à haut impacts telles que la vaccination, la surveillance
épidémiologique, la santé de la reproduction et la
planification familiale, lutte contre Paludisme, Tuberculose et VIH,
aménagement de conditions d'eau, hygiène et assainissement ainsi
que la PCIME en fin de contribuer à l'atteinte des objectifs mondiaux de
millénaires.
Les objectifs spécifiques sont tels que :
1 identifier les expériences de participation efficaces
de la communauté dans le DSS
1 déterminer les facteurs favorisants (de succès)
et les barrières (facteurs échecs) à l'implication de la
communauté dans l'ensemble des activités de SSP.
1 identifier les mécanismes pour une réplication
des expériences positives dans d'autres ZS de la province du Sud Kivu en
particulier et au niveau pays en général
1 déterminer les degrés d'implication de la
communauté (RECO) dans le processus de la réalisation des
activités communautaire en faveur de la santé.
6. MATERIEL ET METHODES
a) Type d'étude
Pour nous permettre d'atteindre les objectifs assignés,
Nous aurons à mener une étude descriptive transversale
24
b) Echantillonnage
La population totale de notre milieu d'étude est de
316989 habitants sur les 724682 habitants que compte ces ZS
soit 43,7% de population ont la probabilité
d'être enquêtée (pour les 31 AS), en considérant la
taille moyenne de ménage telle qu'admis par l'OMS (7 personnes par
ménage) soit 45280 ménages repartis dans 31
AS.
Nos cibles d'étude sont les
responsables de Ménages, les responsables des structures de santé
de base et les représentants de communautés ciblées dont
les présidents de CODESA.
Le type de l'échantiion à
utiliser ici est l'échantillonnage aléatoire
simple sur base d'une liste disponible.
Choix des zones de santé : Nous
avons décidé d'enquêter dans la partie Sud de la province
de Sud Kivu, précisément dans le DSS, parce qu'il est, en
majorité, habités par les populations homogènes avec les
mêmes caractéristiques socio économiques.
Les zones de santé ci-après : Lemera, Nundu, Ruzizi
& Uvira ont été retenues après un tirage
aléatoire sur les 9 zones de santé que comprend le DSS (Fizi,
Itombwe, Minembwe, Kimbi-Lulenge, HPU/Bijombo, Lemera, Nundu, Ruzizi &
Uvira) ; Ce tirage aléatoire se faisait dans une boite avec des bouts de
papier portant le nom de l'objet à sélectionner comme les boules
dans une urne in discernement au touché.
Choix de l'aire de santé(AS) :
Sur base de la liste obtenue dans ces 4 zones de santé, on
a tiré au hasard 7 à 8 AS dans chacune au vu de contraintes de
temps et celle de l'exhaustivité de la population à
enquêter. Dans le cadre du présent travail le premier tirage a
consisté à tirer les Zones de santé, le second a
porté sur le choix des aires de santé par Zone puis au
troisième degré nous avons fait le chois des cibles
Tableau N° 1 :
répartition des aires santé enquêtées par
ZS
Zone de santé
|
Nombre d'AS
|
AS Enquêtées
|
Pourcentage
|
Lemera
|
24
|
8
|
33,3
|
Nundu
|
21
|
8
|
38,1
|
Ruzizi
|
16
|
7
|
43,7
|
Uvira
|
21
|
8
|
39,1
|
Total
|
82
|
31
|
37,8
|
Commentaire : Dans l'ensemble 37,8% d'AS seront
enquêtées ce qui représente un échantillonnage
acceptable et correspond par ce fait même à un échantillon
susceptible d'être abordé par la loi de grand nombre pour
analyser, interpréter et tirer la conclusion sur l'objet de
l'étude.
Toute fois, les AS visitées par ZS sont : à
Lemera (Katogota, Luvungi I, Bwegera, Ndolera, Kibungu,
Narunanga, Lemera & Katala ) et couvrent 56142 habitants sur 139169
habitant que couvre la zone de santé soit 40,3%, à
Nundu (Lweba, Mukolwe, Kaboke, Mboko, Kabumbe, Ake, Swima
& Iamba,) et couvrent 93252 habitants sur 192658 habitant soit 47,8% ;
Ruzizi (Luberizi, Nazareno, Sange Etat, Ndunda, Runingu,
Kagando & Hongero) et couvrent 64731 habitants sur 142188 habitant soit
45,5 % et Uvira (Kilomoni, Kiyaya, Kasenga Etat, Mitumba,
Saint Paul, Kabindula, Kalundu Etat & Kabimba) et couvrent 102864 habitants
sur 250667 habitant soit 41,03% de la population totale.
La Taille de l'échantiion : la
population de ménage étant exhaustive, pour nous
imprégner du cadre de cette étude nous partirons par un taux
de sondage de 10 pour mille (10/1000) sachant
n
que le Taux de sondage t est donné par t = avec n
la taille de l'échantillon et N celui de la
N
population ce qui suppose que la taille d'échantillon
n = txN dans le cas qui nous concerne nous
10
avons donc la taille d'échantillon n telle que n
= x45284 452,8 453
= ménages
1000
Partant de nos cibles d'étude, nous avons répartis
comme suit notre échantillon Tableau N° 2 :
répartition des Echantillons selon les cibles d'étude
Cibles
|
effectifs
|
Pourcentage
|
Responsable de FOSA
|
31
|
6,8
|
Représentant de CODESA
|
31
|
6,8
|
Responsable de Ménages
|
391
|
86,4
|
Total
|
453
|
100
|
Commentaire : il ressort de ce tableau que plus les responsables
de ménages seront interviewés que les autres cibles, ceci se
justifie par le fait que c'est la communauté bénéficiaire
qui peut donner la bonne appréciation de la particom dans l'AS.
c)
26
Méthodologie de recherche
En fin d'atteindre les résultats attendus,
différentes méthodes ont été utilisées
à savoir
1' La méthode statique : nous a permis d'analyser et
d'interpréter les différentes données et à comparer
les résultats en vue d'établir si ceux-ci différent
significativement
1' La méthode comparative : nous a permis de comparer les
résultats obtenus par zones de santé d'étude mais aussi
par rapport aux différentes études menées par d'autres
chercheurs.
d) Technique de collecte des données
En fin de finaliser notre étude, deux techniques de
collecte de données ont été admises
1' La technique documentaire : par l'analyse des documents
réglementaires de processus de mise en place de RECO ou les organes de
structures communautaires disponibles au niveau du Ministère de SP et
des différentes ONG et agences de nations unies ainsi que les
différents rapports sur les expériences vécues des outres
mers ou du niveau local.
1' La technique d'enquête par questionnaire : cette
technique nous a permis à travers un guide d'entretien d'interviewer nos
cibles et collecter ainsi les données nécessaires pour notre
travail.
e) Plan de collectes de données
Moyennant un guide d'entretien, les enquêteurs ont
déployés sur terrains pour collecter les informations
nécessaires, au premier plan chez les responsables de ménages
afin d'éviter les influences de résultats par les agents de
santés, suivi des enquêtes auprès de CODESA et terminer par
les responsables de FOSA.
f) Outils de collecte et de traitement de
données
L'outil utilisé pour la collecte d'information est le
guide d'entretien (fiche d'enquête) et dont tous les résultats ont
été collectés, analysé et traité dans le
logiciel EPI info qui nous a facilité les calculs statistiques et le
Word pour le traitement de textes .
7. DELIMITATION DU SUJET
Les comités de santé, les responsable des
centres de santé ainsi que les chefs de ménages dans les AS
ciblées de zones de Lemera, Nundu, Ruzizi et Uvira dans le district
sanitaire du Sud en province de Sud Kivu, République démocratique
du Congo sont les groupes cibles de notre étude.
Nos investigations couvrent une période de Huit mois
allant du 05 Novembre 2011 jusqu'au 05 juin 2012.
8.
SUBDIVISION DE TRAVAIL
D'emblée, le travail est globalement constitué de
trois grands chapitres dont les généralités sur la
particom, la présentation de milieu d'étude et la
présentation de résultats.
Mais signalons qu'une introduction générale qui
aborde les objectifs, les méthodologies ainsi que la
problématique de notre étude est au début de ce travail et
à la fin une conclusion et des suggestions ont été
données en rapport avec les résultats obtenus sur les
terrains.
Signalons également qu'à la fin de ce travail un
projet est proposé en guise de solution au problème de particom
dans tout le DSS.
9. DIFFICULTES RENCONTREES
Comme toute oeuvre humaine, nous avons connu des
difficultés non moins négligeables telles que :
1 Le temps matériel de discussion profonde avec le
directeur n'a pas été facile de gérer du faite que nous
habitons à distances.
1 Il n'a pas été facile de collecter les
données chez nos cibles d'étude car par endroit certains sous
attend qu'il faut de l'argent par ailleurs d'autres pensaient aux
enregistrements pour les donations humanitaires (semences, kit NFI,
aliments,...) après interview
1 Le coût financier suffisamment élevé car
inclus les frais de transports, les recherches sur l'internet, multiplication
des outils et beaucoup d'autres.
1 Analyse de données n'a pas été facile car
nous n'avons pas eu accès au logiciel SPSS qui allait nous
facilité la tâche.
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