Analyse de la tresorerie dans une entreprise paraetatique, cas de la RVA/aéroport international de Goma de 2005 à 2010( Télécharger le fichier original )par Soleil KUMUNGASA MOTATO Institut supérieur de commerce - Graduat 2011 |
SIGLES ET ABBREVIATIONS$ : Dollar américain ; AC : Administration Centrale ; AIG : Aéroport International de Goma ; B : Bureau ; BNA : Bureau de navigation aérienne ; CCC : Collège des Commissaires aux Comptes ; CR : Caisse Recette ; DCO : Division Commerciale ; DIFIN : Division Financière ; DIVAD : Division Administrative ; RDC : République Démocratique du Congo ; RVA : Régie des Voies Aériennes ; Servi. : Service ; VTA : Vérificateur de Trafic Aérien ; YA : Commandant Adjoint; YD : Commandant. 0. INTRODUCTION0.1. ETAT DE LA QUESTIONNotre travail porte sur l'analyse de la trésorerie d'une entreprise paraétatique : cas de la RVA/AIG de 2005 à 2010 Au moment où l'on vient de préciser l'objet de notre recherche, nous étions obligés de consulter quelques travaux antérieurs qui, de même ont retenus notre attention et ayant trait à notre thème de recherche. A cet effet, nous précisons que nous ne sommes pas le premier à aborder ce thème ; il existe bien d'autres chercheurs antérieurs qui l'ont déjà abordé. Parmi eux nous citons : Henri KATINA MUHINDO : « analyse de gestion de la trésorerie d'une association sans but lucratif, Cas de la l'AMS de 2008 à 2010 ».1(*) Dans son travail, l'étudiant s'était posé la question suivante : quelle est la structure des recettes encaissables de l'AMS ? Au bout de ses investigations, il a conclu que les ressources encaissables de l'AMS sont constituées des recettes propres (ou fonds propres) et des recettes provenant des bailleurs de fonds. Il se réalise par ailleurs que les recettes propres ont contribué à la hauteur de 44,92% ; de 45,03% et de 41,76% à la formation des recettes de l'AMS respectivement en 2008, 2009 et 2010. Le reste et une grande partie sont les dons et subventions. Les bailleurs de fonds (VICOMERO) quant à eux ont contribué à la hauteur de 44,57% ; 46,75% et de 44,47% respectivement 2008, 2009 et 2010 et les autres bailleurs de fonds ont contribué à 10,51% ; 8,22% et 13,77% à la formation des recettes de l'année respectivement 2008, 2009 et 2010. NSENGIYUMVA HARERA Claude : « Analyse de la trésorerie dans une ASBL. Cas de la SOPROP/GOMA de 2008 à 2010 ».2(*) Dans son étude, le chercheur s'est posé une série des questions résumées de la manière suivante : quelle est l'allure générale des encaissements et des décaissements ? En conclusion de son analyse, l'auteur découvre que les encaissements ont évolué à la baisse durant toute la période de l'étude avec une diminution moyenne de 15,48$US ; soit la droite des recettes d'exploitation Y= - 15,48x + 10007,9$. Les décaissements ont évolué à la baisse, soit une diminution moyenne de 16,60$US, soit la droite des dépenses d'exploitation Y= - 16,60x + 8753,21$. Quant aux flux fin trimestres, ces derniers ont évolué à la hausse durant la période en étude, soit une augmentation moyenne de 516,30$. D'où l'équation de la droite Y= 516,30x + 507,61$. Quant à nous en abordant ce thème, nous voulons nous rendre compte du comportement de la trésorerie dans une entreprise publique, étudier les mesures adoptées par la RVA-GOMA en cas de la trésorerie excédentaire et le comportement des dirigeants en cas de la trésorerie serrée. * 1 Henri KATINA M., analyse de gestion de la trésorerie d'une association sans but lucratif. Cas de l'AMS de 2008 à 2010, TFC, ISC/GOMA, 2010-2011. * 2 NSENGIYUMVA HARERA Cl., analyse de la trésorerie dans une ASBL. Cas de SOPROP/GOMA de 2008 à 2010, TFC, ISC/GOMA, 2010-2011. |
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