II. Description des activités
1. Les relations de presse : communiqués,
dossiers, fichiers, conférence et revues de presse
Le suivi des relations de presse m'a occupé pendant la
majeure partie de ce stage. Ce travail peut se diviser en plusieurs
activités :
a. Edition et suivi du fichier de presse : l'Institut
dispose d'un fichier d'adresses informatisé, comportant deux rubriques
dédiées à la presse : « journalistes
marocains » et « journalistes étrangers ».
A mon arrivée il m'a fallu prendre connaissance de ce fichier, ce qui
m'a amené dans le même temps à apprendre le fonctionnement
de la base de données informatique afin de pouvoir
régulièrement imprimer des étiquettes pour les
publipostages (dossiers de presse, programme de l'Institut, invitations, etc.),
ou des listes d'adresses de personnes, sélectionnées selon des
critères pré-programmés dans la base de données et
permettant de cibler les envois. La maîtrise du fichier d'adresses, et
plus précisément du fichier de presse, est également
indispensable pour remettre à jour ce fichier au fur et à mesure
des modifications. D'une part la composition des rédactions change assez
régulièrement (caractéristique professionnelle du milieu
de la presse), d'autre part Nadine Descendre m'a demandé de revoir et
d'enrichir le fichier de presse des journalistes français (de quotidiens
et hebdomadaires les plus diffusés et reçus à la
médiathèque de l'Institut) les plus susceptibles de couvrir la
politique culturelle et artistique de l'Institut. Cette réactualisation
du fichier a aussi été valable pour la presse marocaine, car au
cours de mon stage de nouveaux journalistes ont manifesté leur
intérêt pour la programmation de l'Institut, comme par exemple
Kenza Alaoui, responsable de la page culturelle du quotidien L'Economiste,
pour ne citer qu'elle. Par ailleurs, j'ai essayé
d'enrichir le fichier de données récentes telles que les adresses
électroniques de certains journalistes, permettant l'envoi de documents
visuels ou même écrits dans les meilleurs délais.
b. Elaboration et envoi des communiqués et dossiers de
presse : afin de sensibiliser la presse, je préparais, sous la
direction de Mounia et Jean-Paul, des communiqués présentant de
manière synthétique et informative (date, lieu, synopsis, etc.)
les événements et manifestations programmés par
l'Institut, et invitant les journalistes à y assister et à les
couvrir. Ces documents sont diffusés par télécopie aux
rédactions des principaux organes de presse marocains.
Lorsque l'ampleur d'un événement le justifie,
des dossiers de presse sont envoyés à une sélection de
journalistes. Le dossier de presse reprend le communiqué, auquel sont
ajoutés des compléments d'information et des documents visuels,
ainsi qu'une revue de presse synthétique de l'événement.
Le dossier comprend également une lettre personnalisée et
signée par le directeur de l'Institut. Des dossiers ont
été élaborés pour, entre autres, les manifestations
organisées autour du Constructivisme et de l'oeuvre de Malévitch,
l'exposition « Pierre Paulin, designer », la double
exposition de photographies, ou encore les spectacles de Josef Nadj et des
Arts Sauts.
L'aspect visuel des documents envoyés est primordial.
Dans ce but, l'Institut français de Rabat dispose d'une charte graphique
applicable à l'ensemble des supports de communication (courriers,
tracts, affiches, chemises cartonnées, etc.) Cette charte graphique a
été élaborée lors de la résidence à
Rabat de Bernard Baissait, graphiste français, résidence au cours
de laquelle il a travaillé avec des étudiants marocains d'Ecoles
des Beaux-Arts. Ainsi l'Institut français de Rabat acquiert une
lisibilité visuelle auprès de ses partenaires et de son public,
élément important pour la cohérence et les
retombées de la politique générale de communication.
c. Un autre travail important concernant les relations avec
la presse a été l'organisation d'une conférence de presse
pour la tournée de la compagnie Les Arts Sauts dans les
Instituts français au Maroc. Cette tournée a été un
moment clé de la programmation du réseau culturel français
au Maroc pour le premier trimestre 2001. A ce titre, la tournée a
bénéficié de subventions conséquentes de la part de
l'AFAA et du SCAC, à hauteur de 950 000 FF. Un tel
événement nécessite une campagne de communication
conséquente, d'autant plus que le spectacle est présenté
cinq soirs d'affilée à Rabat. Une conférence de presse a
donc été organisée le vendredi 26 janvier 2001 par et
à l'Institut français de Rabat, et j'ai assisté le Service
de la programmation sur ce projet. Il s'agissait dans un premier temps
d'envoyer des courriers invitant les journalistes à la
conférence, en y joignant pour certains d'entre eux un dossier de
présentation (dossiers élaborés et diffusés par
l'Institut français de Marrakech, pilote de la tournée des
Arts Sauts au Maroc). Ensuite il a fallu procéder à la
relance téléphonique des journalistes invités. Il est
à noter que, de nombreux organes de presse ayant leur rédaction
principale située à Casablanca (capitale économique du
Maroc), nous avons organisé le transport aller-retour des journalistes
de Casablanca à Rabat. Outre cet élément logistique dont
il fallait les prévenir (par télécopie,
téléphone, voire par courrier électronique), il fallait
également sensibiliser les journalistes à la nature
exceptionnelle de cette tournée, par la qualité artistique du
spectacle présenté, les moyens mis en oeuvre et
l'opération de mécénat et d'aide sociale engagée
(cf.2.c.) Tous ces points ont d'ailleurs été
développés par Nadine Descendre et Didier Deschamps lors de la
conférence.
Ces différents enjeux de la conférence de presse
ont par conséquent rendu ce travail très intéressant et
formateur.
d. Réalisation de la revue de presse : la revue
de presse est doublement importante. D'une part elle permet un véritable
suivi des relations avec la presse, d'autre part c'est un document promotionnel
et de communication auprès de partenaires effectifs ou potentiels.
Concernant l'Institut français de Rabat, on peut penser au Service de
coopération et d'action culturelle de l'Ambassade de France au Maroc,
aux sponsors et mécènes avec qui l'Institut entretient des
relations, à l'AFAA, etc.
Ce travail s'organise en deux temps :
· collecte/enregistrement des émissions (presse
audiovisuelle) et articles (presse écrite) pertinents, classement
chronologique par organe de presse.
· Conception, réalisation et diffusion de la revue
de presse sous sa forme finale.
A l'Institut français de Rabat il s'est agi de
réaliser deux revues de presse distinctes. La première consiste
en une revue d'information culturelle générale qui rende compte
des relations culturelles franco-marocaines et internationales, ainsi que de
l'activité de l'ensemble du réseau culturel français au
Maroc. L'autre revue a été spécialement consacrée
à l'Institut français de Rabat, programmation et autre
activité. La taille de cette dernière revue témoigne de la
forte couverture médiatique dont a bénéficié
l'Institut, sans compter la presse audiovisuelle qui, pour des raisons de temps
et de commodité, n'a pu être que brièvement
évoquée dans la revue (pour l'exposition « Pierre
Paulin, designer », événement phare du dernier
trimestre 2000) malgré une couverture non négligeable (notamment
l'émission Intermatin sur la radio RTM). Là encore la
présentation visuelle de la revue est un
élément-clé qu'il a fallu absolument prendre en compte,
pour faire de ce document un outil de travail et de relations publiques utile,
efficace et agréable.
2. Autres aspects du travail de
communication
a. Les supports de communication :
Les affiches des événements et manifestations
programmés par l'Institut peuvent être réalisés soit
par des services extérieurs (imprimeurs et graphistes), soit au sein de
l'Institut. En effet la charte graphique de l'Institut est programmée
sur logiciel informatique QuarkXPress, ce qui permet d'élaborer
et d'imprimer des affiches d'annonce et de présentation des
événements. Il est également possible d'imprimer des
tracts au format A5, à mettre à la disposition du public dans
l'Institut et dans des lieux de diffusion pertinents. Par exemple s'il s'agit
d'un spectacle de danse (Josef Nadj), les tracts et affiches seront
distribués auprès des professionnels de cette discipline, dans
les cours et conservatoires, afin de sensibiliser un public a priori fortement
concerné. J'ai ainsi été amené à
réaliser des affiches et des tracts, concernant par exemple le
séminaire de philosophie programmé de façon hebdomadaire
par l'Institut en partenariat avec le CERPHI (Centre d'études et de
recherches en philosophie) ou, dans le même ordre d'idées, le
programme de lectures poétiques hebdomadaires organisé par
l'Institut en partenariat avec l'Union des Ecrivains du Maroc. Une fois les
affiches et tracts imprimés, il faut en organiser la diffusion, comme
décrit ci-dessus.
b. La communication interne :
La répartition des différents services de
l'Institut en des lieux éloignés géographiquement ne
signifie pas que ces services ne travaillent pas ensemble. Sur certaines
opérations un travail conjoint est nécessaire, comme par exemple
lorsqu'il s'agit de diffuser des affiches ou des tracts auprès du public
et des partenaires de l'Institut, alors que ces documents sont la plupart du
temps élaborés par le Service de la programmation à la
« centrale » de l'Institut (on peut également penser
aux dossiers et revues de presse). Dans ce cas, c'est au Service de la
programmation de veiller à ce que chaque antenne de l'Institut
reçoive les documents à être diffusés, ce dont j'ai
été chargé à plusieurs reprises. Heureusement le
lien entre les antennes est assuré par un personnel (chauffeurs et
courtiers) habitué à cette démarche, ce qui facilite
grandement la tâche.
c. Relations avec les partenaires de l'Institut :
Une des caractéristiques de la politique actuelle de
l'Institut est de travailler en collaboration étroite avec des
partenaires marocains, acteurs de la vie culturelle et artistique du
pays : ministères, milieu universitaire et intellectuel, sponsors
et mécènes, etc. L'Institut mène également une
politique de rayonnement extérieur, qui se traduit par l'organisation
d'expositions (Pierre Paulin, Malévitch, Alain Fleischer, etc.) dans des
lieux extérieurs et facilement accessibles aux populations
locales : Dar M'rini, maison traditionnelle marocaine
(ryad) rénovée par la Wilaya (préfecture) de
Rabat-Salé, Bab El Kébir, galerie d'octroi datant du
XIVème siècle, ou encore l'espace Fath, un hangar appartenant au
Ministère de l'Artisanat marocain. Afin de pouvoir disposer des lieux,
l'Institut doit prendre contact avec les propriétaires (la plupart du
temps des institutions), et les convaincre de l'intérêt de
l'opération. C'est au Service de la programmation qu'il revient
d'entretenir les relations publiques de l'Institut, en concertation avec le
directeur. Ainsi, pendant mon stage j'ai pu travailler sur le suivi des
relations publiques avec les partenaires des projets : rédaction et
envoi de lettres de remerciement, distribution des invitations et affiches
(exposition « Pierre Paulin, designer », prêt
d'annuaires téléphoniques du monde entier pour l'installation de
Christian Boltanski « Les Abonnés du
téléphone », etc.) A chaque fois il faut bien s'assurer
qu'aucun des acteurs ou collaborateurs du projet n'ait pas été
oublié, car ce travail a un impact certain sur la continuité des
rapports que l'Institut entretient avec l'extérieur.
Parallèlement, la communication externe concerne aussi
la recherche de sponsors et mécènes pour soutenir la
programmation. C'est une préoccupation constante, car certains projets
demande un budget que l'Institut seul peut difficilement couvrir. De plus il
est important de sensibiliser les acteurs de la vie économique à
l'intérêt général que représentent les
manifestations culturelles et artistiques. Lors de mon stage une grande
opération a été mise en place sur la venue de la compagnie
de cirque interdisciplinaire Les Arts Sauts à Rabat dans le
cadre de leur tournée dans les Instituts français au Maroc. Nous
avons proposé à la plupart des entreprises de la région
(entreprises locales, filiales de multinationales) d'acquérir des places
de spectacle à tarif préférentiel à partir de 50
places achetées, et d'offrir, aux mêmes conditions, des places
à des enfants démunis ou en situation précaire. Cette
opération a été organisée en suivant la
démarche habituelle : rédaction et envoi de courriers
(publipostage à une centaine d'adresses), relances
téléphoniques et organisation de rendez-vous pour définir
les modalités du partenariat, organisation de la billetterie. Des
courriers types ont également été remis aux autres
antennes de l'Institut afin qu'ils démarchent de leur côté.
Ainsi de nombreuses places ont pu être offertes à des enfants qui
n'ont que peu d'occasions d'assister à un tel spectacle, et des
entreprises (Peugeot Citroën, Aiquebelle, etc.) ont souhaité
soutenir le spectacle financièrement et ont pu à ce titre
participer à la communication envers le public : mise en place de
stands de présentation de leurs produits aux abords du lieu du
spectacle, citations et remerciements sur les tracts, affiches, invitations,
ainsi que dans le programme.
Il est à noter que la recherche de sponsors et
mécènes fait partie intégrante de la politique de
communication de l'Institut, et qu'un tel travail est mené sur de
nombreuses manifestations, comme par exemple le festival de musique Les
Estivales organisé chaque année en juin, ou lorsque
l'ampleur d'un événement le nécessite et le justifie. Par
un tel travail de contact renouvelé, l'Institut est à même
de pérenniser ses relations auprès des entreprises, ce qui lui
permet de développer et d'enrichir, dans tous les sens du terme, sa
programmation artistique et culturelle.
3. Suivi de la programmation
Comme je l'ai indiqué en I. 2., ce stage a
été l'occasion d'assister le Service de la programmation (avec
Marie-Christine Eyéné, plus particulièrement
chargée de l'organisation des expositions) sur la mise en oeuvre globale
de projets et d'événements, en plus de l'aspect communication et
relations de presse.
a. Manifestations organisées autour du Constructivisme
et de l'oeuvre de Kasimir Malevitch
(14 au 26 octobre 2000) :
A l'occasion de la sortie de l'étude monographique
d'Andréi Nakov, historien de l'art spécialiste de la
première moitié du XXe siècle, consacrée à
l'oeuvre théorique et plastique de Kasimir Malevitch, l'Institut
français de Rabat l'a invité à donner une série de
conférences sur le sujet, conférences qui, pour reprendre les
termes du programme, « [ont] constitu[é] autant
d'extrapolations de sa réflexion principale sur Malevitch ».
Parallèlement, une petite exposition sur Malevitch et les
suprématistes, intitulée « L'Imagerie
suprématiste », a été organisée, ainsi
qu'un récital de piano (programme Sergueï Prokofiev) par
Sergueï Milsten.
A mon arrivée à Rabat j'ai donc
été chargé de contacter plusieurs musées et
galeries susceptibles de prêter des oeuvres pour l'exposition. La plupart
des prêteurs potentiels se trouvant soit en Allemagne, soit à
Londres, le contact s'est effectué en Anglais. Une galerie londonienne a
accepté d'envoyer un portfolio de lithographies de Malevitch, dont il a
fallu organiser la réception et le renvoi. Par ailleurs, l'exposition a
été constituée d'éditions appartenant
essentiellement à Andréi Nakov. Suivre le projet implique aussi
un travail sur le terrain, pour le montage et démontage de l'exposition
et l'assistance technique pendant les conférences.
b. Exposition « Pierre Paulin, designer »
(17 novembre au 13 décembre 2000) :
Cette rétrospective de l'oeuvre de Pierre Paulin a
sans conteste été l'événement phare du dernier
trimestre 2000 à l'Institut. L'exposition Pierre Paulin est
destinée à tourner dans le réseau culturel français
à l'étranger (Barcelone, Tokyo-Osaka, etc.), mais l'Institut
français de Rabat reste initiateur et commissaire de l'exposition. Avec
l'appui de l'AFAA, l'Institut français de Rabat a pu réunir de
nombreuses pièces représentatives des différentes facettes
de la démarche créative de ce designer hors pair. Pour cela un
travail de recherche de prêteurs a été mené par le
Service de la programmation, travail auquel j'ai participé dès
mon arrivée à l'Institut, en parallèle avec l'organisation
de l'exposition « L'Imagerie suprématiste ». J'ai
été chargé, avec Marie-Christine Eyéné,
d'établir la liste des prêteurs potentiels (particuliers,
institutions et entreprises avec et pour qui Pierre Paulin a travaillé,
ainsi que le designer lui-même), liste dont l'importance correspond
à la durée et à la richesse du parcours de Pierre Paulin.
Ensuite il s'est agi de contacter tous ces prêteurs par courriers,
télécopies, relances téléphoniques.
La date du vernissage approchant, nous avons commencé
à organiser le prêt de façon concrète, ce qui
implique toute une démarche logistique et administrative concernant les
feuilles de prêt (réception, contrôle des conditions de
prêt, signature et classement), les assurances, le transport ( recherche
d'un transporteur viable à un tarif abordable, organisation de la
collecte des pièces, formalités douanières relatives
à la procédure d'importation temporaire). Une des étapes
principales de ce travail a été l'élaboration d'un dossier
de prêt récapitulatif, présentant les différentes
réponses des personnes contactées ainsi que des visuels des
pièces proposées, et ce afin d'une part de faciliter le choix
final pour la composition de l'exposition, d'autre part de disposer d'un
document de référence comportant les informations utiles à
la bonne marche du projet (coordonnées, liste des pièces, etc.)
Le dossier de prêt nous a aussi permis de transmettre toutes les
informations nécessaires aux partenaires souhaitant accueillir
l'exposition après Rabat : Institut français de Barcelone
(Philippe Reliquet), Service culturel de l'Ambassade de France au Japon
(Emmanuelle de Montgazon), etc.
Ayant suivi le projet depuis mon arrivée, j'ai
été appelé à participer au montage et
démontage de l'exposition, notamment pour l'inventaire des pièces
lors du déballage des caisses, la mise en place de la
signalétique, ou encore l'accueil et l'encadrement des visiteurs lors
des nocturnes organisées pendant le Ramadan. A la suite de l'exposition
à Rabat, il a fallu organiser le déplacement des pièces
vers l'Institut français de Barcelone où l'exposition doit
être présentée pendant la Biennale du design.
L'exposition « Pierre Paulin, designer »,
qui s'est tenue du 17 novembre au 13 décembre 2000 et a attiré
5000 spectateurs, a donc été un temps fort de la programmation,
en même temps qu'un des projets principaux suivis pendant mon stage.
c. Suivi d'autres projets :
Travailler au sein du Service de la programmation m'a permis
de suivre, d'une manière ou d'une autre, le côté
organisationnel et logistique de la plupart des manifestations
programmées par l'Institut.
Il peut s'agir de plusieurs choses, comme par exemple :
aider au démontage de l'installation de Christian Boltanski
« Les Abonnés du téléphone », assister
Isabelle Cécile Le Mée, commissaire, lors du montage de
l'exposition « D'une rive à l'autre de la
Méditerranée. Visages de la France et du Maghreb, photographies
1925-1927 », organiser les rencontres de Pascale Houbin et
Jean-Jacques Palix avec des professionnels de la danse lors de leur visite de
repérage en décembre, participer à la présentation
des lectures poétiques franco-arabes Le Pouvoir du verbe,
accueillir et accompagner les artistes lors de leur venue à Rabat pour
donner des représentations théâtrales (Tout mon
possible d'Emmanuel Bourdieu, L'Amante anglaise de Marguerite
Duras), etc.
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