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Vivre la ville à  la campagne: crise urbaine et exurbanisation à  Kinshasa. Cas de la cité de Kasangulu


par Camille MUNDELE VALIDA
Université Pédagogique Nationale ( UPN) - Graduat en Géographie Sciences de l'environnement  2019
  

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III.1.5. Problème environnementaux

Tableau n° 36 Topographie de la parcelle

Quartiers

Pente Forte

Pente faible

Terrain plat

Fréquences

1

Luzamba

-

1

1

 

2

Ngandi

2

-

1

3

3

Mampuya

-

1

1

2

4

Manoka

-

3

-

3

5

Résidentiel

-

2

1

3

6

Mawete

-

3

-

3

7

Mvulanene

1

3

-

4

 

Total

3

13

4

20

 

Pourcentage

15

65

20

100

Source : Enquête personnelle 2019

Figure29 :Topographie de la parcelle

Nous sommes dans la cité de Kasangulu généralement un terrain en pente faible comme l'indique le tableau soit 65 %, contrairement 20 % en terrain plat puis 15 % terrain en pente forte. Ce genre des terrains conduit à des érosions tantôt éboulement qui par la suite provoque des ravins qui n'est pas bon pour l'environnement.

Tableau n° 37 Gestion des eaux usées

Quartiers

Collecteur

Fosse aménagé

Jet dans la parcelle ou rue

Fréquences

1

Luzamba

-

-

2

 

2

Ngandi

-

1

2

3

3

Mampuya

-

-

2

2

4

Manoka

-

1

2

3

5

Résidentiel

-

-

3

3

6

Mawete

-

-

3

3

7

Mvulanene

-

1

3

4

 

Total

-

3

17

20

 

Pourcentage

-

15

85

100

Source : Enquête personnelle 2019

Figure 30 :Gestion des eaux usées

La gestion des eaux usées dans la cité de Kasangulu, 85 % des ménages préfèrent jeter leurs eaux usées Dans la parcelle ou Dans la rue, puis 15 % fosse aménagé comme on peut le constater, l'éducation mésologique pose encore problème dans notre pays d'où il faut des efforts de sensibilisation pour éradiquer ce phénomène.

Tableau n° 38 Pollution Sonore

Quartiers

Sans bruit

Beaucoup de bruit

Fréquences

1

Luzamba

2

-

2

2

Ngandi

3

-

3

3

Mampuya

1

1

2

4

Manoka

2

1

3

5

Résidentiel

1

2

3

6

Mawete

-

3

3

7

Mvulanene

1

3

4

 

Total

10

10

20

 

Pourcentage

50

50

 

Source : Enquête personnelle 2019

Figure31 :Pollution Sonore

Concernant la problématique de la pollution sonore dans cette cité, généralement c'est un lieu qui est équilibré dans la mesure où dans d'autres quartiers il y a beaucoup des bruits des machines, des vendeurs ambulants, des receveurs taxi, contre quelques endroits où il y a du calme résidentiel soit 50 %.

Tableau n° 39 Gestion de déchets solides

Quartiers

Simple rejet dans la rue

Simple rejet dans la rivière ou ravin

Service de ramassage

Incinération

Enfouissement dans la parcelle

Fréquences

1

Luzamba

-

-

-

1

1

2

2

Ngandi

-

2

-

-

1

3

3

Mampuya

-

1

-

-

1

-

4

Manoka

-

3

-

-

-

3

5

Résidentiel

-

3

-

-

-

3

6

Mawete

1

2

-

-

-

3

7

Mvulanene

-

2

-

2

-

4

 

Total

1

13

-

3

3

20

 

Pourcentage

5

65

-

15

15

100

Source : Enquête personnelle 2019

Figure31 :Gestion de déchets solides

La gestion de déchets solides est une autre problématique qui n'est pas bien maîtrisé par la population Congolaise en générale.

En effet la population de Kasangulu en particulier préfère jeter leurs déchets solides dans des rivières ou dans des ravins soit 65 %, d'autres préfèrent les incinérer ce qui n'est pas bon pour l'environnement 15 % ; et d'autres gèrent les déchets dans leurs parcelles soit 15 % mais aussi quelques-uns les jettent dans la rue soit 5 %. Ces habitudes peuvent être les causes des inondations.

Tableau n° 40 Lutte anti érosive

Quartiers

Plante d'herbe

Barrage en Bambou

Rejet des déchets dans les ravins

Fréquences

1

Luzamba

1

1

-

 

2

Ngandi

1

1

1

3

3

Mampuya

-

2

2

2

4

Manoka

-

3

2

3

5

Résidentiel

-

3

3

3

6

Mawete

-

3

3

3

7

Mvulanene

2

2

3

4

 

Total

4

15

1

20

 

Pourcentage

20

75

5

100

Source : Enquête personnelle 2019

Figure32 :Lutte anti érosive

Tableau n° 41 Lutte anti érosive

Quartiers

Plante d'herbe

Barrage en Bambou

Rejet des déchets dans les ravins

Fréquences

1

Luzamba

1

1

-

 

2

Ngandi

1

1

1

3

3

Mampuya

-

2

2

2

4

Manoka

-

3

2

3

5

Résidentiel

-

3

3

3

6

Mawete

-

3

3

3

7

Mvulanene

2

2

3

4

 

Total

4

15

1

20

 

Pourcentage

20

75

5

100

Source : Enquête personnelle 2019

Figure33 :Lutte anti érosive

Nous sommes dans la cité de Kasangulu où nous nous retrouvions sur une pente, la majorité des personnes préfèrent les bambous comme moyen lutte contre l'érosion soit 75 % par contre 20 % préfèrent planter les herbes pour se sauver contre ce phénomène mais au moins 5 % utilisent le rejet des déchets dans les ravins.

Tableau n° 42 Financement de la lutte contre l'érosion

Quartiers

ONG

Etat

Occupants

Fréquences

1

Luzamba

-

-

2

2

2

Ngandi

1

-

2

3

3

Mampuya

2

-

-

-

4

Manoka

-

1

2

3

5

Résidentiel

-

-

3

3

6

Mawete

-

-

3

3

7

Mvulanene

-

-

4

4

 

Total

3

1

16

20

 

Pourcentage

15

5

80

100

Source : Enquête personnelle 2019

Figure34 :Financement de la lutte contre l'érosion

A la question de savoir qui finance leur lutte contre les érosions. L'Etat ne participe presque pas à cette lutte 5 %, ce dernier abandonne la population dans son combat contre les érosions. Quelques ONG 15 % organisent la lutte anti érosives ensemble avec les efforts de la population, on trouve que les occupants eux-mêmes fournissent des efforts pour lutter contre les érosions soit 80 pourcent.

Tableau n° 43 les maladies fréquentes

Quartiers

Paludismes

Maladies hydriques

Fréquences

1

Luzamba

2

-

2

2

Ngandi

2

1

3

3

Mampuya

1

1

2

4

Manoka

1

2

3

5

Résidentiel

3

-

3

6

Mawete

3

-

3

7

Mvulanene

3

1

4

 

Total

15

5

20

 

Pourcentage

75

25

100

Source : Enquête personnelle 2019

Figure35 :les maladies fréquentes

Après les inondations, les déchets mal gérés et les eaux usées jetées par ci par là, des maladies comme le paludisme et les maladies hydriques prennent de l'ampleur. Voici leur fréquence en pourcentage, 75 % de cas de paludisme recensés contre 25 % de cas de maladies hydriques.

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"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe leur portée"   François de la Rochefoucauld