Analyse de circuit de distribution des produits laitiers dans la commune d'Aru. Cas de Nido dans la superette Gad de 2016 à 2020par David TAMIZI MADRAGULE UNIC Aru - Licence 2020 |
C. 2. Les magasins d'usines :Créés par les producteurs, ils ont pour fonction d'écouler les stocks de produits directement aux consommateurs à des prix dits « d'usine ». C. 3\. Les grandes chaînes d'hypermarché et de supermarché :Les hypermarchés: sont des magasins de détail de plus de 2 500m2 à dominant Alimentaire, mais dans les nombreuses références (40 à 80 000) couvrent également de très nombreux produits de grande consommation. Situés en périphérie des villes de façon isolée où, le plus fréquemment, au sein d'un centre commercial dont ils sont le moteur, ils drainent une clientèle importante par leur prix attractif. Leurs marges réduites (18 à 22%) sont compensées par une rotation des stocks élevée. Les supermarchés : sont des magasins de détail à dominante alimentaire (notammentles produits frais), dont la surface est inférieure à 2 500m2. L'assortiment laisse une place très importante à l'alimentaire que les hypermarchés. Situés en centre-ville ou en proche périphérie, les supermarchés, qui avaient beaucoup souffert du développement des hypermarchés, ont su regagner leur part de marché en jouant sur la proximité et enredevant compétitifs sur les prix. Mais sur ce dernier point, ils doivent affronter aujourd'hui la concurrence très agressive des maxi discounts. C. 4. Les maxi discomptes ou hard discounters :Il s'agit de chaînes de magasins qui offrent un choix limité à des prix particulièrement bas. De surface moyenne (600 à 900m2), les maxidiscomptes ont un assortiment étroit et peu profond (environ 600 références alimentaires et non alimentaires). Ils vendent principalement des marques propres sans notoriété nationale ou des produits « premier prix » sans marque, mais certains enseignes ont élargi leur offre vers les marques nationales. Leurs prix très compétitifs sont dus à un taux de marge faible (environ 15%) et à une réduction des coûts de gestion : moins de personnel, décor sommaire, moins de coûts de mise en rayon, peu de référence mais avec un taux de rotation élevé. Leur rentabilité est aujourd'hui supérieure à celle des supermarchés et des hypermarchés. Tableau 2 - Les caractéristiques du grand commerce intégré37(*).
Source : LENDREVIE J. & LINDON Repose sur une boutique en ligne accessible via Internet permettant la commande, un système de paiement sécurisé en ligne et une infrastructure logistique puissante pouvant assurer les livraisons dans le monde entier. Le commerce électronique se développe aussi bien sur le marché B to B (entreprise à entreprise) que sur le marché B to C (entreprise à consommateur). C'est un puissant outil de segmentation, puisqu'il est possible, à travers le site web, de s'adresser personnellement à chaque client. Toutes les formes de commerce traditionnelles (indépendant, associé ou intégré) l'ont mis en place. Le e-commerce constitue pour l'instant, une voie complémentaire aux points de ventes et pour certains commerçants indépendants un moyen de survie. * 37LENDREVIE J. & LINDON D, « Mercator : théorie et pratique du marketing », 8eme édition, Paris, Dalloz, 2006, page 398. |
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