3.2. Discussion
La problématique de l'usage de l'outil smartphone en
milieux universitaire surtout pour les institutions supérieures et
universitaires publique de l'Etat dans la ville de Kisangani reste une
situation délicate tant-pour les avertis que pour les non avertis.
Ceci suppose que l'utilisation des smartphone est
considérée aujourd'hui sous deux angles dont l'un est positif et
l'autre est négatif. Nonobstant l'importance de cet outil informatique
de communication utilisé par la majorité des apprenants, la
quasi-totalité du commun des mortels, pense que le smartphone reste
abusivement utilisé par les élèves et les
étudiants.
3.2.1. Usage
prédominant de l'outil smartphone dans le milieu Universitaire
Il est vrai que dans le résultat que nous avons obtenu
qui démontre que les réseaux préféré de la
navigation et chat restent en réalité les Facebook, Whatsapp et
Instagram.Cettesituation dans notre étude est cité par plus de
70% des enquêtés et cela joue un rôle primordial dans le
vécu quotidien des étudiants de l'enseignement supérieur
et universitaire de la ville de Kisangani. A cela, ces propos corroborent ou se
ressemblent avec MOUSSA HANANEquand celui-ci souligne dans son étude que
les réseaux sociaux jouent un rôle primordial chez les
consommateurs ou internautes en montrant l'importance de ceux-ci.En effet son
étude démontre que les Whatsapp, Facebook et Twitter sont
utilisés partout et que tous les jeunes utilisent plus ou moins deux
réseaux sociaux chaque jour mais ils peuvent être très
abusifs.L'auteur continue en ajoutant qu'il y a des personnes qui ont besoin
d'être sur ces sites toutes les heures et toutes les minutes et que cela
peut créer des graves problèmes pour eux.
Ainsi dit, les 3 applications c'est-à-dire Facebook,
Whatsapp et Instagram qui sont les réseaux sociaux les plus
utilisé par les étudiants en raison de la communication, le
recherche et le divertissement. Cela démontre que notre première
hypothèse est confirmée.
3.2.2. Raison de
l'usage prédominant de smartphone
D'autre part, JEAN-FRANÇOIS BIRON et CATHERINE BOURASSA
DANSEREAU, démontrent que l'usage de smartphone via internet et
réseau social facilite la recherche inter personnelle et le
développement des jeunes.Ce qui confirme notre deuxième
hypothèse, car pour notre étude nous avons trouvé que
33.3% des étudiants utilisent leurs smartphone en raison d'accès
à l'information, la recherche scientifique, la communication et la
recherche d'emploi, illustrer dans le tableau N°5.
3.2.3. Incidence de
l'usage prédominant de smartphone
ISABELLE STENGERS, souligne que beaucoup d'étudiants
trouvent qu'il est difficile d'étudier car ils sont trop distraits par
leur Facebook.Souvent lesrésultats des examens sont pauvres à
cause de cela. Ainsi dit, ces résultats obtenu, par nos deux
prédécesseur viennent encore soutenir le nôtre inscrit dans
le tableau N°9 qui montre que les conséquences de l'usage
abusif de smartphone sur la santé des certains étudiants donnent
de l'Insomnie. Ce facteurest à la base des échecs cuisant, chez
certains étudiants utilisateur de cet outil représenté par
plus de 40% des enquêtés.
D'autre part, ANASTHASIE OBONO MBA dans son étude, elle
a obtenu les résultats selon lesquelles, dans les écoles
gabonaises, le téléphone est interdit durant toute
activité d'enseignement et dans les lieux prévus par les
règlement intérieur de chaque établissement en
règle général, les salles de classe. L'usage des
téléphones mobiles dans l'enseignement est un sujet à la
fois polémique et passionnant pour beaucoup.Ces appareils apparaissent
comme des objets incommodants dans les classes, qui viennent perturber le bon
déroulement et favorisent la déconcentration des
élèves. Toutefois, les résultats de cette auteur ne semble
pas en réalité se conformer au nôtre dans le sens où
en milieu supérieur et universitaire Boyomais, l'usage de
téléphone smart est conseillé si et seulement s'il est
rationnel, ceci est exprimé par 60% de nos enquêtés.
Il est clair que dans les résultats que nous avons
obtenus à propos de conséquences psychopathologiques, à
savoir : le trouble neurologique, le masochisme, l'obsession sexuelle, la
masturbation etc., propos pareils à ceux de JEAN-FRANÇOIS BIRON
et CATHERINE BOURASSA DANSEREAU, il y a lieu de souligner que la technologie
internet suscitecertains dégâtsaffectant la santé globale
des individus. Les appréhensions relatives aux impacts négatifs
des smartphones sont soulevées par les milieux scolaires et les
intervenants soucieux du bien-être des jeunes. Toutefois, leurs
résultats précités restent un peu contradictoires au
nôtre dans le sens où leurs préoccupations sont
identifiés et s'articulentsous trois grands thèmes : les
relations interpersonnelles, les temps consacré à la technologie
internet et le développement des jeunes. Néanmoins pour ce qui
est du 2ème paramètre, c'est-à-dire le temps
consacré à la technologie internet pour nos
enquêtés, les temps minimum à l'usage de smartphone le plus
avancé,reste entre 7 à 8 heures exprimer par plus ou moins 56.6%
des enquêtés et que la quantité utilisée pour les
mégas, 33.3% des enquêtés disent avoir utilisé 100
mégas et plus par jour et 36.6% des enquêtés passent leurs
temps sur la connexion gratuite.
Tous ces résultats montrent les incidences de cet usage
sur la vie académique des étudiants, la dépendance
à ces outils réduit à coup sûr les capacités
intellectuelles des étudiants détentaires de ces outils, ce qui
affirme notre dernière hypothèse.
|