Chapitre 2 : Le développement du régime
d'assurance chômage Algérien
Conclusion :
La vision nouvelle de l'assurance chômage
évoqué dans ce chapitre a pour objectif d'élargir le champ
de couverture de ce risque social, on a essayé de citer les
catégories concernées pensant qu'elle est vulnérable et
plus exposées aux aléas du chômage, les CDD, DAIP,
contractuels des institutions et administrations publiques, cela a pour objet
de les faire bénéficier en contre partie des cotisations
obligatoires qu'ils versent chaque mois, et aussi mettre ces catégories
en stabilité vis-à-vis de la perte de leur revenu.
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Conclusion générale
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Conclusion générale
Conclusion générale
La sécurité sociale est un ensemble
d'institutions qui ont pour fonction de protéger et d'assister
financièrement les individus, des conséquences de divers
aléas de la vie, généralement qualifiés de risques
sociaux, dont on cite : le chômage, la maternité, la vieillesse,
l'invalidité, perte de revenu, nécessité d'une aide
à la famille et à l'enfant et de prestations pour les survivants
et orphelins.
Notre étude sur le régime de de chômage,
nous a permis de comprendre la sécurité sociale et les
étapes qui ont conduit à l'instauration d'un tel régime en
Algérie, celle-ci comprend la branche du chômage prévues
par la convention internationale de l'OIT N° 44 du 23 Juin 1934 du
chômage, engagement tenu par l'Algérie après sa
ratification en 19 Octobre 1962 que je juge presque obsolète par rapport
à celle plus évoluée N° 168 non ratifiée par
l'Algérie.
L'ensemble des notions traitées dans la partie
théorique, nous ont permis d'acquérir des connaissances, ce qui
nous ont aidé dans l'élaboration de notre cas pratique, portant
sur l'amélioration et le développement du régime
d'assurance chômage dans sa globalité.
En revanche, l'analyse du chômage nous a permis de
déduire que ce dernier a une influence sur la situation
financière de la caisse, vu que le nombre de chômeurs est en
évolution continue, en positive ou en négative, le taux de
chômage a atteint un niveau élevé qui était 28,1% de
la population active en 1996 et s'est baissé pour atteindre un taux de
11,7% en septembre 2018, que nous le qualifions de stable et encourageant
à le réduire, ce qui explique l'efficacité des
différents dispositifs mis en oeuvre par les autorités et
confié à de différents organes, et plus
précisément à la CNAC.
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