3) Difficultéset les limites à notre
étude
Cette étude s'est réalisée avec quelques
difficultés et comporte des limites. D'abord, l'éloignement du
cadre de l'étude ; la Côte d'Ivoire, et de l'objet de
l'étude ; l'OIF dont le siège est situé à
Paris, pourrait constituer la première difficulté. Mais le
développement des technologies de l'information et de la communication a
permis sans doute d'atténuer cette difficulté
géographique. Toutefois, l'éloignement demeure un facteur
à prendre en compte dans ce travail. Ensuite, la disponibilité
des données. A part l'ouvrage de Jean Pierre VETTOVOGLIA, peu
d'études et de recherches sont consacrées la médiation de
la Francophonie, à cela s'ajoute l'insuffisance d'ouvrages dans le
centre de documentation relatifs au thème choisi.
Concernant les limites, nous évoquerons l'absence
d'entrevue avec des personnes ressources. Toutes nos tentatives sont
restées sans suite.En effet, nous sommes rentrés en contact avec
le siège de la Francophonie, par téléphone et internet
afin d'obtenir des entretiens mais sans succès. Nous avons envoyé
un questionnaire à la Délégation à la paix,
à la démocratie et aux droits de l'homme (DDPDH). Mais, hormis
les documents officiels mis à notre disposition, la réponse au
questionnaire nous n'est pas parvenue, jusqu'au moment de la rédaction
du présent rapport.Au demeurant, ces insuffisances n'enlèvent
rien à l'intérêt de notre sujet et à la
démarche adoptée pour répondre à nos questions de
recherche. Sans doute elles auraient pu contribuer à enrichir cette
recherche, mais c'est aussi cela le charme de toute recherche et travail
intellectuel.
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