WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Attitudes et perceptions des populations sur les catastrophes naturelles. Cas de la ville de Bukavu.

( Télécharger le fichier original )
par Christian MUHARANYI BAGULA
Institut supérieur de développement rural - Licence 2015
  

précédent sommaire suivant

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

4. GESTION DES RISQUES NATURELS

La réduction des risques est une composante essentielle à intégrer dans tout programme d'urgence et de développement, à travers l'élaboration et la mise en oeuvre de stratégies visant à réduire la vulnérabilité et accroître la résilience des populations (ISDR, 2005).

Les phases d'intervention en cas de catastrophe sont à considérer comme un processus interactif s'appuyant sur une gestion intégrée du risque qui, en synergie avec les dynamiques de développement et selon une approche multisectorielle, vise au renforcement des capacités locales (UE, 2001). Ceci implique une prise de conscience et une analyse systématique des aléas et des vulnérabilités, aux échelles locale et nationale. La gestion du risque est donc un processus multidisciplinaire qui, à travers des choix politiques locaux soutenus par les instances internationales, permet et favorise l'engagement actif d'une communauté dans la réduction de sa propre vulnérabilité et dans le renforcement de son autosuffisance en situation de crise (Philippe Garnier et Al 2011). Elle porte sur une démarche participative basée sur les connaissances disponibles sur place et d'adoption d'une stratégie de gestion du risque adaptée localement, tout en s'insérant dans un système régional et national, en liaison avec des plateformes internationales.

Les interventions des acteurs locaux pour la réduction des risques à Bukavu, devraient s'inscrire dans le cycle de gestion des catastrophes qui comprend les différentes étapes suivantes : l'analyse du risque, étude des capacités et de vulnérabilité, atténuation et prévention, planification de l'intervention, prédiction avertissements, réponse et enfin le rétablissement.

Analyse du risque

Rétablissement

Etude des capacités et de

Vulnérabilité

Réponse

Atténuation et Prévention

Prédiction avertissements

Planification de l'intervention

Source : Plan ORSEC de la RDC, 2012

25

précédent sommaire suivant






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Là où il n'y a pas d'espoir, nous devons l'inventer"   Albert Camus