CONCLUSION DU TRAVAIL
Nous voici au terme de notre travail pourtant
sur : « l'effet des politiques macroéconomiques sur
la croissance économique en RDC de 1972 à 2009 »
Mise à part l'introduction et la conclusion, notre
travail a été réparti en trois chapitres. Le premier
chapitre a concerné la considération théorique sur la
croissance économique afin de nous permettre d'actualiser ou avoir des
connaissances théoriques sur la croissance ainsi que sur les effets des
politiques macroéconomiques dont il a été question dans ce
présent travail. Le deuxième chapitre a porté sur l'effort
de développement en RDC, il a été question dans ce
chapitre de présenter les efforts qu'a fait l'Etat congolais à
partir de quelques indicateurs de développement et de croissance afin de
réaliser une croissance maintenu afin de déboucher au
développement du pays. Le troisième chapitre a concerné
les effets des politiques macroéconomiques sur la croissance
économique en RDC.
Au départ, nous nous étions proposé de
répondre au questionnement suivant : «Quelle a
été l'effet de la politique monétaire et de la politique
budgétaire, représentées successivement par les taux de
croissance de la masse monétaire et les taux de croissance des
dépenses publiques sur la croissance économique en RDC de 1972
à 2009? »
En vue de répondre à cette question nous avons
émis l'hypothèse suivante :
Malgré les aléas survenus en RDC, la masse
monétaire (tMM), et les dépenses gouvernementales
représentant des politiques macroéconomiques appliquées en
RDC dans la période allant de 1972 à 2009, auraient pour effet,
la croissance du PIB en RDC au cours de la période allant de 1972
à 2009.
Après analyse économétrique des
données, nous avons constaté que notre hypothèse a
été vérifiée totalement. Cependant, d'autres
variables interne ou externe à l'économie non incorporée
dans mon modèle sont susceptibles d'expliquer la croissance
économique RDC (soit 44% de coefficient d'indétermination).
La probabilité de la statique F de fisher est
significative à 5% (ce qui veux dire que notre est globalement
acceptée), en plus F calculé est supérieur à F lu
dans la table d'où on rejette l'hypothèse nulle de non
acceptation de notre modèle globalement.
Nous ne pouvons guère prétendre avoir
épuisé toute la matière dans ce domaine sur ce nous
demandons aux futurs chercheurs de nous compléter étant
donné que la croissance économique regorge plusieurs facettes.
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