Quand elle atteint le sol, elle se fractionne selon diverses
voies :
? Evaporation : elle s'évapore quand la
température est haute. L'eau évaporée donne naissance aux
nuages pour affirmer le cycle de l'eau ;
? Ruissellement : à la tombée sur un sol
imperméable, elle peut pénétrer. Le ruissellement
évolue vers les rivières et les océans,... l'abondance des
ruissellements est beaucoup accessible en ville, où les surfaces
imperméables sont beaucoup visibles, en l'occurrence les routes
asphaltées, parcelles carrelées, toitures des maisons
imperméables et présentant un fort plongement ;
? Evapotranspiration : usage par les végétaux ;
? Infiltration : si le sol présente une porosité,
structure poreuse.
Tout en tenant compte des facteurs de l'infiltration
(précipitation, nature du sol, relief), l'eau s'infiltre jusqu'à
rencontrer la couche imperméable et l'aquifère après le
remplissage des toutes les cavités (interstices). Dans les terrains
calcaires, on a la formation des karsts. Les nappes d'eau souterraines donnent
naissance aux sources qui vont alimenter par voie
18
souterraine, écoulement à la surface du sol, les
ruisseaux, lacs, rivières, qui communiquent aux océans.
Il est sans doute vrai que toutes les régions de la
planète ne reçoivent pas les précipitations en même
quantité ; la répartition des précipitations
dépendant directement de la température, vitesse du vent,
pression barométrique, quantité d'eau évaporée,
qualité d'eau, altitude, insolation.
En ville de Butembo et spécialement la commune Mususa,
où se situe le quartier Vungi, notre secteur d'études, nous
trouvons que certains facteurs ci hauts évoqués ont
été anéantis et d'autres restent fonctionnels pour
enrichir les nappes en eau, ceci est témoigné par la
présence des puits.